The Multiversity

Elle le cherchait depuis plusieurs jours. Félicia se posa sur un toit, regardant encore les environs. C’était New York, la nuit, et Peter n’était pas là. Spider-Man n’était pas là. Elle soupira, nerveuse, inquiète. Personne ne l’avait revu depuis le combat d’il y a plusieurs jours. Félicia avait reçu la visite de Spider-Man. Ils avaient été en couple il y a plusieurs mois, mais Peter avait mis finn à leur relation quand il avait réalisé que Félicia ne l’aimait pas, lui, mais Spider-Man. Il voulait recoller les morceaux avec sa dulcinée, Mary Jane Watson, mais il revenait parfois lui demander de l’aide. Félicia était toujours amoureuse de lui, et elle regrettait, en soi, leur rupture… Même si elle avait aussi un peu déchanté. Sous le masque, Peter Parker était un jeune homme minable, exploité par son patron, vivant dans un studio minable de Brooklyn, un studio où les murs tremblaient à chaque fois que le métro aérien passait.

Peter avait eu besoin d’aide pour combattre deux criminels, Docteur Octopus et Le Hibou. En guerre, les deux super-vilains s’étaient associés pour concevoir un appareil spécial, en s’appuyant de plans volés à Reed Richards. L’idée était de créer un pont quantique permettant d’invoquer les variants dimensionnels des deux criminels, ce qui aurait engendré beaucoup de problèmes. Octopus cherchait à se constituer une armée. Spidey et Félicia avaient donc envahi le laboratoire de Doc Ock, et avaient affronté les super-vilains, tandis que la machine se mettait en marche.

La machine avait finalement touché Peter, et, depuis, il avait disparu. L’utilisation de la machine avait provoqué une surtension, suivie d’une explosion particulièrement violente. Quand Félicia avait émergé, elle avait appris que les corps du Hibou et d’Octopus avaient été retrouvés, mais pas Peter. Alors, depuis, elle se renseignait, tournant en rond. Peter avait-il disparu de l’autre côté ? Avait-il emprunté le pont quantique ? Félicia n’y connaissait pas grand-chose, et elle hésitait ce soir à rejoindre le Baxter Building. Reed Richards était à ses yeux sa seule option. Elle se posa donc sur un toit en face du gratte-ciel, le « 4 » géant scintillant au sommet du building.

Tandis que la Chatte Noire réfléchissait, elle ne vit pas une silhouette émerger dans son dos. Elle n’avait pas le spider-sense de Peter, rien d’autre que ses propres sens, et elle était trop concentrée pour se méfier…

…Y compris de la silhouette massive qui se rapprochait dans son dos !

Félicia était inquiète pour Peter. Il avait toujours tendance à prendre des risques, et, depuis leur combat redoutable contre Octopus, elle savait qu’il s’en voulait. Félicia avait été grièvement blessée. Elle avait examiné la tanière d’Octopus, et elle avait appris que le téléporteur quantique utilisé par ce dernier avait été envoyé au Baxter Building. Alors, c’était sa seule piste… Même si l’idée de se confronter aux Quatre Fantastiques ne la tentait pas. Elle examinait donc ce bâtiment massif. C’était un endroit un peu mystique, comme le Sanctum Sanctorum, un endroit où il pouvait se passer bien des choses.

Il pleuvait fort. Elle était sous un auvent, attendant une accalmie, sans se douter de ce qui enflait dans son dos… Et, quand elle sentit une présence, Félicia se retourna.

« Peter… ? »

Ce fut tout ce qu’elle put dire avant qu’il ne l’assomme brutalement d’un coup dans la nuque. Félicia sentit ses yeux se révulser dans ses orbites, et tomba en avant, glissant dans le coma.
« Gnnn… »

La Chatte Noire se réveilla peu de temps après, et sentit rapidement l’air frais lui caresser le corps. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, et se rappela de ce qui venait de se passer.

Elle sentit la toile sur ses membres, et prit peur en voyant une silhouette noire devant elle.

« Pe-Peter… ? »

C’était bien lui. Il se déplaça lentement, et elle vit son masque se retirer de son visage. C’était son symbiote, celui qu’il avait récupéré en menant une espèce de quête cosmique sur une autre planète. Depuis qu’il le portait, ils étaient ensemble, même si, après ce qu’elle avait vécu auprès du docteur Octopus, elle ne l’avait plus revu.

Pour l’heure, la jeune femme ne comprenait tout simplement pas ce que Peter faisait. Alors, quand il lui indiqua qu’il avait peur qu’elle panique, Félicia s’emporta :

« Mais de quoi tu parles ? Pourquoi tu m’as assommé ?! Libère-moi tout de suite ! »

Le symbiote… Venom ! Félicia écarquilla les yeux, terrifiée, surtout quand elle entendit une voix gutturale et profonde jaillir du corps de Peter… La voix du symbiote ! Elle resta donc silencieuse quand il retira de sa bouche le tentacule noir, puis lui expliqua qu’il n’était pas « son » Peter, mais un variant, qui avait échangé sa place avec le sien. L’esprit de Félicia ne tarda pas à s’emballer. Visiblement, ce Peter n’avait pas renoncé au symbiote comme l’avait fait son Peter. Félicia resta donc silencieuse, tout en se rappelant que les choses n’avaient pas été simples avec son Peter. Le fait est que Félicia n’aimait pas Peter Parker, mais elle aimait Spider-Man, et elle aimait ce que Spider-Man représentait : force, puissance, domination… De fait, la première fois où Spider-Man lui avait montré son visage, Félicia avait paniqué, et l’avait supplié de remettre son masque. C’était aussi pour ça qu’ils s’étaient séparés ; Peter se voyait avant tout comme un humain, mais Félicia n’était que fort peu intéressé par Peter Parker…. Un humain lambda, un photographe… Rien à voir avec Spider-Man !

Celui-là semblait différent, et, dans l’esprit de Félicia, une hypothèse commença à se former. Il bondit vers elle, s’appuyant contre le mur, son regard croisant le sien. Des tentacules noirs jaillirent de son dos, et déchirèrent les tentacules. Félicia s’appuya sur le rebord du mur, et finit par répondre :

« J-Je… Oui, tu n’es pas lui… Le Peter que je connais… Il s’est débarrassé du symbiote… Il disait que ça l’éloignait de ce qu’il était vraiment, de sa famille, de ses amis… »

Sa main se posa sur le torse de Peter, et elle sentit le contact gélatineux et symbiotique du costume, une texture grouillante de vie.

« S’il avait encore eu son costume, il aurait pu me protéger face à Octopus… »

Félicia remonta sa main, et toucha du bout des doigts le visage de Peter.

« Je n’ai jamais aimé Peter Parker… Un faible qui vit dans un appartement crasseux… Pour moi, Spider-Man se doit d’être puissant, fort… C’est Spider-Man que j’aime. Alors, si tu veux me séduire, montre-moi ton vrai visage… »

Félicia frémit en sentant le masque se reformer sur le visage de Peter, jusqu’à le faire disparaître. Elle caressa alors la joue de Spider-Man, et le vit ouvrir le masque, pour former des lèvres.

« Mais tu n’es plus vraiment Spider-Man… Tu es devenu Venom… Mon Venom. »

La Chatte Noire se pressa alors contre lui, et l’embrassa, ses seins heurtant le torse de Spider-Man. Félicia avait toujours aimé le danger, cela l’excitait, et elle sentait la force de cet homme, elle sentait sa puissance… Oui, elle aurait été folle de refuser une telle offre ! Son Peter avait préféré l’être fade qu’était Peter Parker à l’individu exceptionnel qu’était Spider-Man… Elle ne comptait pas commettre la même erreur une deuxième fois ! Alors, elle l’embrassa avec passion, sentant peu à peu le désir brûler en elle…

Pour elle, le symbiote n’était pas associé à de mauvaises choses. Elle n’était pas Mary Jane, et elle n’était pas le témoin de moralité de Spider-Man. Cela pouvait prêter à sourire car elle était après tout-elle-même une criminelle, mais Félicia, à sa manière, se rapprochait de Spider-Man. Elle volait aux riches, mais pour son propre usage. Les biens qu’elle volait ou les fonds qu’elle prélevait venaient souvent de différents trafics criminels. Elle appliquait donc sa propre justice, comme tout super-héros. Sous l’effet du symbiote, Spider-Man était plus violent, plus menaçant envers les criminels. Il ne se contentait pas juste de les appréhender, il les terrorisait, leur brisait parfois quelques os. Cette violence avait toujours plu à Félicia, elle se rappelait avoir été passablement excitée en voyant le super-héros briser une jambe d’un voleur à la tire. Si son Peter avait fini par l’emporter sur Spider-Man, ce n’était pas le cas de ce Spider-Man-là. Alors, Félicia, qui avait toujours su rebondir vite, l’embrassa donc.

« Hmmm… »

Elle avait serré ses jambes autour de son bassin. Elle pouvait sentir son érection, déformant sa combinaison symbiotique. Elle le sentait se presser à elle, et il aventura des tentacules à droite et à gauche, qu’elle vit dans les coins de sa vision. Elle soupira surtout quand l’une de ses mains abaissa sa fermeture, la tirant jusqu’à son nombril. Son autre main vint malaxer son postérieur, et elle soupira, gémissant lentement… Et couina quand il commença à la gifler, venant la fesser.

« Hmmm… ! »

Félicia frémit sur place, et resserra l’étau de ses jambes, faisant délicatement crisser sa combinaison contre la tenue symbiotique de son amant surpuissant. Elle frissonna à chaque fessée, et mordilla la lèvre de Spider-Man, léchant également la partie de son visage recouverte par le symbiote, cette espèce de slime collant. Elle embrassa donc ses joues, manifestant très clairement son intérêt pour cette partie-ci de son anatomie… Venom prit tout son temps, fessant encore le cul de Félicia. Sur ce point, au moins, il ressemblait au Peter qu’elle avait connu : s’il ne l’avait jamais fessé, il avait toujours aimé se plonger dans ses fesses.

En piste, décréta-t-il, et il agit ensuite ! Félicia sursauta en sentant des tentacules sur ses épaules.

« Spi… Haaa… !! »

Félicia poussa un cri de surprise en décollant dans les airs. Elle roula sur le toit, et finit allongée quand elle vit les tentacules de Venom arriver. La pluie avait cessé, et, si des nuages se trouvaient encore dans l’air, on pouvait voir une nuit noire entre eux. Les tentacules relevèrent Spider-Man, qui se dressa face à elle. Allongée, elle se releva lentement, en s’asseyant sur ses genoux, et se retrouva le visage proche de l’épaisse verge de Spider-Man. Une verge encore un peu trop humaine à son goût, même si elle voyait ici et là des filaments du symbiote, qui permettaient sans doute de renforcer son érection et la taille de sa verge.

*Il n’est pas encore totalement Venom… Peut-être est-ce aussi pour ça qu’il est venu me voir ?*

La Chatte Noire frotta son visage contre sa verge tendue, ce vit turgescent et assoiffé. Elle commença ensuite à le masturber, sentant la masse des tentacules autour d’elle. Elle frémit, mais ce n’était plus de la peur, mais de l’excitation. Félicia embrassa la pointe de la verge de l’homme, comme un signe de soumission, et commença à lécher sa queue.

« J’ai déjà goûté à Spider-Man, tu sais… Mais je n’ai jamais goûté à Venom. Si tu veux me baiser, tu dois y aller à fond. Mais je ne perdrai pas un nouveau Spider-Man, surtout quelqu’un comme toi… Quoi que tu veuilles faire, tu devras m’emporter avec toi… »

Il aurait fallu être folle pour être excitée devant une telle créature ! Ce n’était clairement pas « son » Peter, et ce n’était pas un super-héros qui lui faisait face. Pour autant, si Félicia avait eu peur au début, car prise par surprise, une excitation sauvage l’envahissait maintenant. Quand elle le vit venir vers elle, avec ces tentacules qui sortaient de son corps et ondulaient sensuellement autour de lui, elle en sentit la puissance, le désir. Comme ensorcelée, Félicia se mit à genoux, et suça donc ce membre, la solide queue de Venom. Elle le lécha, et frémit quand il l’insulta. Sa voix était grave, caverneuse. C’était une voix qu’elle connaissait, mais avec un timbre vocal plus grave, si bien qu’elle pouvait parfaitement dissocier cette voix de celle du Peter qu’elle connaissait. Elle sentit la queue de Spider-Man durcir contre ses lèvres,  mais elle n’eut en réalité pas vraiment l’occasion de le pomper, car elle sentit les tentacules de Venom glisser sur elle, frottant sur sa combinaison, provoquant de délicieux crissements. Félicia rougit, et soupira en relevant la tête, sentant les tentacules s’emparer de ses poignets.

Quand il parla de la « baiser », la Chatte Noire put sentir un frisson sur tout son corps.

« Oh…  Mon corps est à vous, Maître… »

Elle se soumettait volontairement, comme si elle était écrasée et naturellement soumise face à cet homme. Il se dégageait une telle force de lui que ça l’émoustillait ! Ce faisant, le corps de Félicia commençait à ronronner, signe de son excitation. Les tentacules s’enroulèrent sur elle, et elle se laissa porter. Félicia avait conscience qu’elle mouillait, et Venom la souleva sans difficulté, enroulant ses tentacules gluants sur elle.

« Haaa… Haaaa… »

Félicia finit la tête en bas, ses jambes se repliant parfois, retenues par des tentacules qui filaient jusqu’à son dos. Elle était dans la toile visqueuse de l’araignée, et déglutit quand, d’un mouvement brusque, Venom déchira sa combinaison à hauteur du bassin. Félicia se pinça les lèvres, avant de sentir contre son visage la verge tendue de Spider-Man. Le membre durci était proche de ses lèvres, et elle sentit ses mains être libérées des tentacules, tandis que la tête de Venom se retrouva entre ses cuisses. Félicia déplaça ses jambes, et alla les enrouler autour de la tête de Venom, puis les referma ensuite, l’emprisonnant ainsi entre ses cuisses. Elle sentait les tentacules sur son corps, et Félicia gémit encore, avant de caresser d’une main les testicules de son amant. Ils étaient recouverts de sa texture symbiotique, qui recouvrait également la base de sa verge.

La Chatte Noire prit alors son sexe en bouche, et soupira longuement, dans un 69 debout qui témoignait de sa souplesse et de l’endurance de son amant (image d’illustration). Toutefois, alors qu’elle s’y attaquait, et qu’elle sentait une grosse langue baveuse glisser sur sa chatte et sur ses fesses, Félicia gémit encore quand un tentacule phallique s’enfonça dans sa porte arrière. Ses griffes jaillirent, et se crispèrent sur les cuisses de Peter, entaillant la combinaison, comme pour signifier à Spider-Man que Félicia n’avait rien contre le sexe sauvage, bien au contraire.

« Hmmm… !! »

Leur séance ne faisait que commencer. Spider-Man pouvait également constater que Félicia était totalement imberbe, elle avait réalisé une opération au laser pour s’assurer d’avoir toujours une chatte dénuée de poils, ce qui permettait à sa grosse queue gluante de s’enfoncer en elle… Une queue qui, comme tout le reste, l’excitait furieusement, même si elle avait surtout très envie, comme toute bonne chatte, de recevoir son délicieux « lait » !

Pour autant qu’elle s’en rappelle, les meilleurs moments de sa relation avec son Peter avaient été quand il portait son symbiote. La manière dont Venom la baisait actuellement était en tout cas une confirmation qu’elle préférait cela à Spider-Man. Plus le temps passait, et plus Venom se montrait entreprenant, intense, et brutal. Sans son endurance surnaturelle, Félicia aurait sûrement pris peur, et elle en aurait en tout cas assurément souffert. Sa langue reptilienne était grosse, longue, et s’enfonçait dans sa chatte trempée, mais le coup de butoir vint surtout de sa verge… Une verge monstrueuse qu’il enfonça puissamment et profondément dans sa bouche. Félicia se mit à déglutir, et ce d’autant plus qu’elle avait la tête en bas. Cette situation introduisait déjà un certain malaise, qui n’alla que se renforcer en sentant ce gros membre en elle. Elle ne réalisait alors pas que Venom cherchait à la transformer, mais, à ce stade, c’était après tout déjà ce que Félicia souhaitait. Elle savait que le symbiote pouvait changer d’hôte, elle l’avait vu quand son Peter s’en était séparé, et que le symbiote avait pris comme hôte celui du journaliste Eddie Brock. Et le symbiote pouvait aussi se multiplier, même si elle n’avait jamais trop compris comment. Venom avait conçu Carnage. En voyant tout ce que Peter pouvait faire avec son symbiote, Félicia était naturellement émoustillée à l’idée de pouvoir, elle aussi, le faire.

« Hmmmmm…. Gnnnnnn… »

Ce puissant membre lui labourait la bouche avec force, s’enfonçant dans sa gorge. Quand il appuyait fort, et se glissait en elle jusqu’à la garde, Félicia pouvait sentir l’air lui manquer. Elle n’avait toutefois pas de régurgitation, et se sentait même chaudement excitée par ça. Ses mains se déplaçaient alors, et elle venait volontiers flatter les testicules de Venom, caressant et frottant ses bourses, comme pour mieux le stimuler. Elle avait confiance en lui. C’était peut-être une erreur, mais le fait est qu’il se retirait quand elle commençait à vraiment manquer d’air, ce qu’il pouvait percevoir dans la manière dont le corps de sa partenaire se trémoussait sur place. Elle n’arrivait même plus en soi à retenir sa salive, et le sentait repartir, avant de revenir, lui laissant juste le temps de reprendre son souffle, avant d’intensifier le rythme, encore et encore. Il était littéralement en train de lui baiser la gueule, de la prendre avec force, grognant et soupirant en agissant ainsi, ses testicules venant ainsi fouetter le front de Félicia, tapant sur ses yeux.

Félicia était comme dans un état second. Elle sentait qu’elle avait joui plusieurs fois, ce qui la maintenait dans un état euphorique assez excitant, et les privations régulières d’oxygène contribuaient à la maintenir dans cet état second. Elle n’arrivait même plus à avaler sa salive, qui dégoulinait sur la verge de son amant, tandis qu’il continuait inlassablement à la besogner. Sa verge coulissait d’avant en arrière dans sa bouche et dans sa gorge. Il l’enfonçait régulièrement jusqu’à la garde, puis se reculait jusqu’à ce que la pointe de son sexe soit sur le bord de ses lèvres, puis il s’enfonçait encore. Des mouvements simples, répétés frénétiquement, avec la soif d’un métahumain qui avait un besoin dévorant et compulsif de sexe. Et puis, il continuait à jouer avec sa chatte, enfonçant profondément sa langue en elle.

Cette séance intense dura de nombreuses minutes avant que Venom ne se mette à jouir. Il s’enfonça pour cela dans la gorge de Félicia, et se bloqua le temps de relâcher sa semence. Il y eut pour le coup beaucoup de sperme. Venom cracha un sperme blanc avec des traces noirâtres, des morceaux de symbiote qui filèrent directement dans le corps de la Chatte Noire.  Il se retira lentement de sa bouche, non sans s’assurer de décharger entre ses lèvres la moindre petite goutte de son sperme. Félicia referma ensuite les lèvres dès qu’elle sentit son sexe partir, et déglutit en s’efforçant de tout avaler. Elle avait déjà avalé le sperme de son Peter, et celui-là était à la fois similaire et… Différent. Elle avait le sentiment qu’il était aphrodisiaque, car elle sentait l’intérieur de son corps chauffer, bouillonner sous un feu qui peinait à se consumer.

*Ou peut-être que j’ai juste le feu au cul…*

Quand Wilson Fisk avait transformé Félicia en Chatte Noire, il avait renforcé son endurance, y compris sexuelle. Cela se confirmait en ce moment. Venom se retira d’elle, mais la posa sur une sorte de couche noirâtre symbiotique, chitineuse, qui se trouvait au sol. Félicia le laissa faire, et posa sa main sur le sol. Quand elle la retira, elle vit que plusieurs filaments la suivaient avant de se détacher. Ce fut plus ou moins la seule chose qu’elle constata avant de sentir son amant se lover dans son dos. Il avait beau avoir joui, sa verge restait toujours tendue. Il lui indiqua que ce n’était que le début, et elle soupira.

« O-Oui, Maître, en… Encore… Mon c-corps est à v-vous, comme j-je vous l’ai d-dit… »

Félicia bégayait un peu. Elle avait après tout eu une grosse verge dans sa bouche pendant de nombreuses minutes, alors elle avait la langue un peu pâteuse. Venom ne se fit guère prier. Il releva la jambe de Félicia, et se glissa dans sa chatte. Elle soupira encore, se mordillant les lèvres. Sa verge était toujours aussi épaisse, et elle poussa un premier cri, puis un gémissement ensuite, sentant ce membre s’enfoncer sans difficulté dans sa chatte… Et, de fait, Félicia contracta un orgasme presque instantané quand il la pénétra.

Sa main fila derrière elle, et elle s’agrippa à la nuque de Peter, tournant la tête pour réclamer un baiser, tout en

« B-Baise-moi, haaaa… Je t’appartiens… Mon amour ! »

Ils étaient partis ensemble pour un sacré rodéo ! Venom la besognait avec force, se lovant dans son dos. Profitant de la souplesse de Félicia, il souleva sa jambe, et commença à la bourrer. Ainsi prise, Félicia était transcendée de désir. Tout en elle ne tardait pas à se bousculer. Elle se mit à gémir, à soupirer, ses griffes glissant sur le slime noir et collant auquel elle était couchée. Une sorte de couverture symbiotique visqueuse qui était une excroissance de Venom, et qui se mit à réagir à l’excitation de son propriétaire.

« Haaaa…Ve… Venom… »

Le toit s’emplissait des soupirs langoureux de la jeune femme. La Chatte Noire se faisait besogner sans relâche par Venom, qui grognait, et la bourrait de plus en plus fort. Sa grosse queue dilatait sa chatte, et Félicia mouillait dessus, tout en sentant les tentacules de son amant s’attaquer à son corps. L’un d’entre eux se faufila sur son bourgeon intime, et titilla son clitoris. Deux autres s’attaquèrent à ses seins, filant sous sa combinaison, avant de la déchirer sans ménagement, pour s’attaquer à ses seins. Ils s’enroulèrent autour de ses tétons, et appuyèrent dessus, les pressant, tandis que le tentacule contre son clitoris se mit à bourdonner, déclenchant de nouveaux soupirs chez Félicia.

Elle sentit enfin un autre tentacule se faufiler dans son fondement, et se mordilla les lèvres. En réaction aux attouchements de Venom, le corps de Félicia se mit à vibrer, et à ronronner de plaisir. Elle sentit la main de Venom faire tourner sa tête, croisa son regard blanc, sa gueule monstrueuse… Sa chatte se contracta quand sa grosse langue baveuse glissa sur ses lèvres, avant de s’y enfoncer, écartant ses lèvres.

« Hmmmmmrpppffff… !! »

Ce baiser prononcé l’acheva, déclenchant chez elle un délicieux orgasme. Elle jouit contre sa queue, et gémit encore, tandis que Venom continuait à la prendre. Amplifiant le rythme, il la baisait fort, très fort. Le ventre de Félicia enflait même quand il enfonçait sa queue en elle jusqu’à la garde. C’était mine de rien un sacré morceau, un monceau de chair suffisamment puissant pour la briser, la déchirer de l’intérieur. Félicia devait à son endurance surnaturelle de ne pas s’effondrer tandis que, inlassablement, Venom continuait à la bourrer.

Félicia se mit à orgasmer à plusieurs reprises, se retrouvant finalement dans une sorte d’état second, planant en contractant des orgasmes en série. La Chatte Noire sentit finalement son amant jouir en elle, un orgasme puissant et dévastateur, qui la ravagea. Il la pilonna pendant toute la durée de cette baise sauvage, et, quand Venom se retira enfin, la jeune Félicia s’effondra sur la couverture en slime qui s’étirait au sol.

« Oooh… Oooh… »

Elle papillonna des yeux. Sa combinaison était en lambeaux. Venom lui proposa alors de rentrer chez elle ou de continuer à faire l’amour. Félicia observa pendant ce temps la manière dont le slime adhérait à l’une de ses mains. Elle la relevait lentement, et le slime suivait ses doigts, avant de se retirer. Son autre main caressait son ventre, sentant tout le sperme de l’homme. Elle ignorait alors qu’un bébé très particulier était en train de croître dans son ventre, et que sa croissance allait fortement s’accélérer avec les spermatozoïdes du symbiote. Dans son utérus, les spermatozoïdes de Peter s’assemblaient, formant en elle une couche qui se mélangea à ses ovules, s’étirant autour de l’ovule fécondé…

Félicia se releva alors, et acheva de retirer sa combinaison. Elle finit ainsi toute nue, et caressa le torse de Peter, avant de se mordiller les lèvres.

« Je vous invite chez moi, Maître… Mais j’ai encore envie que vous me baisiez… »

La Chatte Noire sourit, et grimpa alors sur le corps de l’homme, puis enroula ses jambes autour de sa taille, et s’empala dessus. Elle gémit encore en sentant ce membre en elle, et raffermit sa prise. Elle sentit le symbiote réagir, générant une ceinture autour de son dos, ainsi que des liens autour de ses jambes. Tremblant nerveusement, Félicia l’embrassa avec amour.

« J’ai toujours eu envie de m’envoyer en l’air… Au sens le plus strict du terme. »

Ce qu’elle proposait, elle y avait bien sûr déjà songé, mais, entre songer à un fantasme et le réaliser, la chose était différente. Cela aurait pu s’envisager à l’époque où Spider-Man portait encore le symbiote, mais il s’en était débarrassé, et il avait besoin de se concentrer pour viser avec ses toiles. Mais, avec Venom, la chose était différente. Son symbiote avait une conscience, et pouvait donc agir avec sa propre volonté.

Félicia gémit en sentant le gros membre de Venom dans sa chatte, et soupira contre lui. Elle l’avait instinctivement appelé « Maître », ce qui était un lapsus tout à fait clair. Elle sentit ensuite le symbiote se contracter, avant de projeter deux épais tentacules en avant. Venom s’en servit ensuite en basculant en arrière. Les tentacules se bandèrent au maximum, avant de se relâcher, et catapultèrent Venom dans les hauteurs.

« Haaaa… !! »

Félicia sentit le sifflement du vent sur son corps, mais surtout l’épaisse queue de Venom qui s’enfonça dans sa chatte, au plus profond, la force de la pénétration étant renforcée par la puissance de son prodigieux saut. Félicia s’appuyait sur lui, et remua lentement, pour accompagner cette queue. L’expérience était incroyable, et terriblement jouissive !

Venom bondit dans les airs, puis posa sa main sur la tête de Félicia, l’autre générant une longue toile veineuse. Ils basculèrent vers le bas, et remontèrent ensuite. Venom tournoya ensuite en se projetant en l’air, déplaçant sa main pour attraper l’une des fesses de Félicia, qu’il griffa au passage. Il fit un salto en l’air, puis généra une autre toile, et se balança encore, avant de se catapulter à nouveau.

« Hmmmm… Ve… Venom, haaaa… ! »

Son amant les propulsa en l’air, et ils s’envolèrent au-dessus de la cime des immeubles. Félicia soupira en contractant un nouvel orgasme, puis Venom jouit à son tour, avant de descendre avec elle. Il descendit en piqué, et Félicia gémit encore, voyant le sol se rapprocher dangereusement… Puis Venom se redressa.

Ils frôlèrent une voiture, puis Venom bondit sur un bus, avant de sauter en hauteur, et déploya une nouvelle toile. Ils rejoignirent la façade d’un immeuble, et s’appuyèrent dessus. Le pied de Félicia heurta la vitre d’un étage abritant des bureaux. Derrière elle, elle sentit Venom générer un mucus noir, ce qui fit que son corps ne heurta pas le béton, mais ce mucus. Elle croisa le regard de Venom, et l’embrassa encore, avant de sentir Venom la bourrer à nouveau.

« Hmmm… Haaaa.. B-Baise-moi encore, je t’appartiens… »

Le mur se fissurait derrière eux, tandis que le corps de Félicia partait d’avant en arrière, et qu’elle se mit à jouir encore. Elle lui appartenait, sa chose, un véritable fucktoy ambulant que Venom continuait à remplir. Sa queue massive empêchant toute extraction, le ventre de Félicia était de fait en train de grossir et de s’arrondir, chose qu’aucun des deux amants ne constatait encore vraiment.

À cette heure, les bureaux étaient vides, mais, si on avait pu les observer, Félicia n’aurait eu aucune gêne à s’offrir ainsi sous le regard envieux de femmes qui ne rêveraient sûrement que d’être elles aussi à sa place. C’était tellement bon ! Elle prenait un pied incroyable à se faire ainsi baiser d’un bout à l’autre de Manhattan !

Ce que Félicia vivait était incroyable ! Elle aurait pu croire qu’elle rêvait, si les coups de reins de Venom n’étaient pas aussi forts ! Soupirant longuement, elle se pressait contre lui, et l’embrassait longuement, sentant la langue reptilienne de Venom s’enfoncer dans sa bouche, optant pour des gorges profondes gluantes et épaisses. Elle écarquillait les yeux sous la surprise, tandis que ses parois intimes se resserraient autour de la queue épaisse et monstrueuse de son amant. Il était celui qu’elle avait toujours aimé. Quand son Peter avait renoncé à son symbiote, il avait renoncé à cette puissance, cette force grisante, cette domination virile. Félicia, qui avait toujours convoité la puissance, en était naturellement enivrée. Elle avait toujours eu envie d’avoir ce symbiote. Elle n’avait jamais compris pourquoi Peter avait voulu s’en séparer. C’était si bon ! Elle ne savait pas encore qu’un symbiote germait en elle, mais elle le sentait sans doute… Ou elle le fantasmait.

« Hmmm… »

Son corps remuait d’avant en arrière. Elle se faisait prendre fort, si fort, qu’elle crachait parfois sa salive. Le slime tentaculaire derrière elle la retenait, et l’accompagnait, tandis que, face à elle, son amant et Maître continuait à la besogner. On ne l’avait jamais baisé aussi fort, c’était une certitude ! Insatiable, son amant poussait des grognements bestiaux. Félicia se souciait alors bien que des riverains les observent. L’idée aurait même contribué à l’exciter ! Autant dire qu’elle orgasma beaucoup contre ce mur, ne sentant même pas les fissures, tant les coups de reins de Venom étaient forts. Il la prenait sans ménagement, et aurait sans doute pu la tuer si elle n’avait pas son endurance. Elle griffa ses épaules sans même le réaliser, n’atteignant pas sa chair, ses ongles tranchants et pointus se heurtant à la peau symbiotique de Venom.

Venom finit par jouir en elle, et Félicia déglutit, se pressant contre lui. Elle sentit le foutre épais fuser en elle, et elle imagina ce sperme se diluer dans son corps, se mélangeant à elle… Ce qui la fit jouir. Encore. Félicia le sentit jouir encore après, balançant des chapelets de foutre qui défiaient tout simplement l’entendement. Et, tandis qu’il se vidait en elle, Félicia ressentit encore la soif, l’envie de lui faire l’amour, qu’il la remplisse encore. Elle croisa son regard blanchâtre, et l’embrassa à nouveau.

« Oh, Venom, c’est si bon… Tout ce sperme en moi, je te sens en moi… Mon Maître… »

Quand elle sentit le slime derrière elle se détendre, elle enroula ses jambes autour du bassin de Venom. Ses hurlements bestiaux avaient été entendus en contrebas, et certains badauds avaient déjà commencé à filmer, sans trop arriver à zoomer sur ce qu’ils voyaient. Venom bondit ensuite, conservant sa verge en elle. Elle hoqueta en, le sentant prendre son élan avant de se catapulter dans les airs, la pression la plaquant à nouveau contre lui. Il rebondit sur un toit, puis bondit ensuite en tournoyant sur place. Félicia sentait sa queue durcir encore en elle, ainsi qu’un tentacule qui s’enroulait autour de son bassin, empêchant ainsi la verge de Venom de se retirer d’elle.

Ils atterrirent sur la pelouse de Central Park, et Félicia, en sentant la pression descendre, tomba vers le sol… Avant que Venom ne la retienne.

« Oooh… »

La verge du symbiote avait failli se retirer d’elle, avant de revenir. Néanmoins, Félicia bascula tout de même vers le sol. Ses bras heurtèrent la pelouse, et elle put voir en contreplongée le corps massif de Venom, qui semblait avoir gagné en épaisseur. Ainsi penchée vers le sol, elle frémit en sentant les tentacules venir, serpentant sur son corps, avant que deux d’entre eux ne terminent leur course en s’enfonçant dans sa bouche.

« Hmmmm… »

Elle gémit, sentant qu’ils s’étaient enroulés avant cela autour de son cou, pressant sensuellement et chaudement leur texture organique contre sa peau. Elle pouvait voir son ventre qui avait grossi enfler, se déformant sous les coups de reins de Venom. Une vision magnifique. Elle était sa chose, et c’était tout ce qu’elle voulait… Qu’il la baise, qu’il la baise encore !