The Multiversity

Le Lys était particulièrement calme en ce début de soirée, comme si l’endroit lui-même retenait son souffle avant que la tension ne monte. La magie imprégnait chaque recoin du bâtiment, transformant les espaces selon les désirs et les attentes des invités, leur offrant ce qu’ils cherchaient avant même qu’ils ne sachent ce qu’ils désiraient. Ce soir, l’ambiance était soigneusement préparée pour accueillir une invitée spéciale et rendre son expérience inoubliable.

La pièce où Sakura avait décidé d’accueillir Megumi respirait l’élégance érotique japonaise : des paravents peints de motifs délicats représentant des cerisiers en fleurs, une lumière tamisée créée par des lanternes en papier, et un tatami soigneusement aménagé au centre de la pièce. Un miroir ancien et magnifiquement sculpté était placé contre le mur, non pour l’usage traditionnel, mais pour un tout autre genre d’observation.

Sakura était là, comme une vision envoûtante. Son apparence humaine anthropomorphe restait d'une beauté déconcertante, ses traits parfaitement harmonieux, son port noble. Son kimono rouge vif, orné de fleurs dorées et blanches, épousait ses formes avec une élégance sensuelle. Elle avait relevé ses cheveux, dévoilant la courbe de son cou, une invitation subtile et calculée.

Quand la porte coulissa avec un léger grincement, annonçant l’arrivée de Megumi, Sakura releva lentement la tête et prononça avec un sourire aux lèvres :

« Megumi. » La voix de Sakura était douce, mais chargée de cette autorité naturelle qu’elle savait si bien manier. « Vous voilà, j’espère que vous êtes prêtes à découvrir une expérience hors du commun. »

Elle se leva avec une grâce étudiée, s’avançant lentement vers Megumi. Ses mouvements étaient calculés pour captiver : une démarche fluide, chaque pas dégageant une confiance prédatrice, son regard ancré dans celui de Megumi. Arrivée à sa hauteur, Sakura se pencha légèrement, presque imperceptiblement, assez pour que leur proximité devienne une promesse silencieuse.

« J'ai beaucoup entendu parler de vous, » reprit Sakura, sa voix devenant plus basse, plus intime. « Et je dois dire que je suis curieuse. Vous êtes ici pour tourner un film, n’est-ce pas ? Mais dites-moi, Megumi… » Elle inclina la tête, son regard scrutant la jeune femme avec une intensité presque dévorante. « Avez-vous vraiment idée de ce dont je suis capable ? »

Elle se redressa, jouant avec une mèche de ses cheveux, laissant un instant de silence planer, suffisant pour que Megumi puisse sentir la tension monter. Puis, avec un geste de la main, Sakura invita Megumi à la suivre dans la pièce.

« J’ai pris la liberté de m’assurer que tout soit parfait pour notre collaboration. Après tout, nous ne ferons pas juste un film ici. Nous allons vivre une expérience… unique. » Elle se tourna vers Megumi, son sourire prenant une teinte espiègle. « Et pour répondre à vos attentes, nous avons même pris en compte vos préférences… particulières. »

Sakura fit un signe vers un paravent derrière lequel une lumière douce se diffusait, créant des ombres évocatrices. « La magie du Lys peut donner vie à tes fantasmes les plus inaccessibles. Et je serai là pour m’assurer que tout se déroule… exactement comme vous le souhaitez. Mais avant de commencer… » Elle s’approcha encore, réduisant la distance entre elles jusqu’à ce que leurs visages ne soient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. « J’aimerais savoir : comment vous sentez-vous, Megumi, à l’idée de jouer avec moi ce soir ? »

Son sourire s’élargit, promettant tout autant de plaisir que de défis. La partie pouvait commencer.

L’idée lui était venue après une énième séance photo qui avait dérapé. De l’exotisme ! Oui, c’était bien vague, mais c’était là le tout début d’une réflexion qui allait la mener au Lys.
La chose s’était faites presque naturellement : Megumi voulait proposer quelque chose de différent à ses fans, quitte à justifier ce qu’ils allaient voir par une tenue très sophistiquée ou des effets spéciaux de fou. Mais c’était déjà plus compliqué de trouver la personne qu’il lui fallait… heureusement, le bouche à oreille avait finit par faire son office et le nom d’un lieu très particulier lui était parvenu entre deux verres dans son club pour non-humain préféré.

Et, quelques recherches et arrangements plus tard, elle se retrouvait en cet instant à pénétrer dans une chambre superbement décorée en compagnie d’une femme anthropomorphe tout à fait à son goût et qui aurait tout ce qu’il faut pour la combler. Elle avait hésité un instant pour sa propre tenue, mais puisqu’on l’avait prévenue que la chambre était on ne peut plus japonaise elle avait opté pour un kimono avec une lingerie fine et simple à enlever en dessous. Après tout, l’objectif restait d’enlever tout ça et d’avoir de belles images…

« Bonjour Madame Sakura… ou Sakura tout court ? »
Peu douée pour les formalités, Megumi ne savait pas bien sur quel pied danser pour le moment. Après tout, ce n’était pas tous les jours qu’elle venait dans un lieu aussi haut-de-gamme.
« Oh que oui, je suis plus qu’impatiente ! J’espère que nous allons bien nous amuser toutes les deux. »

Et, à la démarche de la femme, Megumi fut vite persuadée que du bon temps elles allaient en passer : sensuelle, avec ce petit quelque chose d’une prédatrice qui étudie sa proie… la Seishi sent une petite vague chaude la traverser, comme si son corps avait parfaitement reçu le message envoyé par Sakura. Et une question vient, dans un sens, signer cette promesse de débauche.

« Oui c’est ça, c’est pour un film… et entre nous, non, vos collègues ont préféré me laisser la surprise. On m’a juste dit que vous aviez de solides arguments. »

Megumi affiche un sourire entendu. Elle a rarement l’occasion de prendre du bon temps avec des créatures comme Sakura, alors elle a bien l’intention d’en profiter à 100% et d’encaisser tout ce qu'elle voudra bien lui offrir. L’idée est bien partagée par sa partenaire, qui lui assure que tout est en place !

« Ça, je suis sûre que ça va être unique… j’ai pas la chance de croiser de belles femmes comme vous tous les jours sur Terre, c’est même bien trop rare… »

Soyons honnête : la drague et les compliments, ce n’est pas vraiment le truc de Megumi. Elle est généralement très directe, mais puisque son hôtesse est on ne peut plus charmante elle essaie de faire de petits efforts…

« Vous êtes déjà un fantasme à vous seule ! Enfin je veux dire que j’ai très envie que vous me preniez… en main. »

Elle se rattrape comme elle peut : sa libido se manifeste déjà, et elle n’est pas aidée par la sensualité de la femme. Alors forcément, lorsque celle-ci vient lui murmurer quelques mots pour savoir comment elle se sent à l’idée de jouer avec elle, elle laisse tomber durant un instant ses tentatives de subtilité.

« Je me sens chaude comme la braise, au point où je suis à deux doigts de déjà mouiller… »

Megumi laisse courir un doigt sur la main de la belle, avant de se rappeler qu’il faut faire un petit tour de vérification du matériel. Visiblement tout est bien en place et prêt à filmer ce qui va se dérouler ici… donc… il suffit de lancer tout ça et de s’amuser !

« Et toi Sakura, tu te sens prête à te faire filmer en train de me faire crier de plaisir ? Tu vas surement faire des jaloux… et beaucoup d’heureux, moi la première d’ailleurs ! »

Gagnant en assurance au fil des minutes, Megumi ne s'est même pas rendue compte qu'elle avait commencé à la tutoyer...

La pièce semblait vibrer d’une énergie presque tangible, une tension subtile mais incessante qui s’amplifiait à chaque mouvement calculé de Sakura. Les caméras en forme d’yeux, fixées aux murs et stratégiquement disposées à divers endroits, luisaient faiblement, leurs iris mécaniques capturant chaque détail dans un silence presque cérémonial. L’ambiance, savamment orchestrée, mêlait mystère et sensualité, comme si l’espace lui-même respirait en synchronie avec les deux femmes.

Sakura, toujours à côté de Megumi, effleura sa peau avec une lenteur intentionnelle, ses griffes traçant des chemins invisibles qui éveillaient des frissons incontrôlables. Le regard de Megumi, capturé à la fois par le miroir et par les caméras, trahissait une lutte intérieure : un mélange d’excitation et de légère hésitation face à la vulnérabilité de la situation.

« Megumi… » murmura Sakura, sa voix emplie d’une douceur hypnotique. Elle se rapprocha, ses lèvres à quelques centimètres de l’oreille de la jeune femme, et y laissa un souffle chaud, comme une promesse chuchotée. « Chaque angle, chaque geste… tout est parfait. Ces caméras ne sont pas là pour juger, elles sont là pour célébrer ce moment. Vous êtes une œuvre d’art vivante. »

D’un geste fluide, Sakura se redressa, ses mouvements empreints d’une grâce féline, et se plaça derrière Megumi. Ses mains délicates se posèrent sur le nœud final du kimono de la jeune femme, le déliant lentement tout en maintenant un contact visuel dans le miroir. Le tissu glissa progressivement, dévoilant la peau nue de Megumi par fragments, chaque millimètre exposé devenant un spectacle soigneusement capturé par les yeux mécaniques autour d’elles.

« Laissez-vous aller… » souffla Sakura, ses yeux brillants d’une intensité captivante. Elle fit glisser les pans du kimono de Megumi jusqu’à ses épaules, les laissant retomber lentement pour dévoiler sa poitrine. Ses doigts, tièdes et précis, traçaient des lignes imaginaires sur les courbes nouvellement exposées, ajoutant une couche de sensualité à l’instant.

Lorsque le kimono tomba finalement au sol, Megumi se retrouva entièrement nue devant le miroir, sa silhouette éclairée par la lumière tamisée de la pièce et amplifiée par les multiples angles capturés. Sakura, derrière elle maintenant, posa une main ferme mais tendre sur son épaule, l’invitant à se lever légèrement pour la guider vers une position plus intime.

« Venez, Megumi... » murmura-t-elle en l’aidant à se repositionner. Avec une douceur inégalée, elle fit asseoir Megumi devant le miroir, ses cuisses légèrement écartées, une posture à la fois vulnérable et magnifiquement audacieuse. Les caméras, toujours discrètes mais omniprésentes, tournaient autour d’elles comme des spectateurs silencieux, immortalisant chaque détail de la scène.

Sakura s’installa ensuite derrière elle, ses longues jambes élégamment repliées sous son propre corps. Son torse, recouvert d’une fine couche de fourrure blanche scintillante, effleura le dos de Megumi alors qu’elle glissait ses bras autour de son ventre, posant ses mains sur ses cuisses nues. Sa queue, souple et expressive, se posa négligemment sur la jambe de Megumi, ajoutant une dimension tactile supplémentaire à l’instant.

« Regardez-vous… » chuchota Sakura, ses mains remontant lentement des cuisses de Megumi vers son ventre, traçant des caresses aussi légères que des plumes. Elle planta son regard dans celui de Megumi à travers le miroir, leur reflet devenant le centre de la pièce. « Chaque courbe, chaque expression… Tout cela appartient à ce moment. Vous êtes divine, Megumi. »

Sakura ajusta légèrement la posture de Megumi, ses mains guidant ses épaules pour qu’elle s’ouvre davantage, son dos touchant son propre torse. Leurs visages, si proches à présent, semblaient se fondre dans une harmonie parfaite, l’image reflétée dans le miroir étant à la fois intime et hypnotique.

Avec une précision mesurée, Sakura leva une main pour frôler la mâchoire de Megumi, la dirigeant doucement pour qu’elle observe les caméras. « Vous voyez, Megumi ? Elles vous adorent… Chaque angle, chaque détail, elles capturent la perfection. »

Sa voix se fit plus basse, plus rauque, son souffle effleurant la nuque de Megumi alors qu’elle déposait un baiser fugace sur sa peau. « Nous sommes prêtes… et vous êtes magnifique. Laissez-moi vous montrer tout ce dont vous êtes capable. »

Megumi observe tout autant la pièce et la disposition des équipements que sa partenaire. Techniquement, tout est fait pour pouvoir les filmer sous tous les angles – et Sakura a l’air, de son point de vue, tout à fait disposée de la prendre sous tous les angles également. En bref, tout semble prêt pour la suite ! Et la kitsune le lui précise bien, utilisant même les mots que Megumi avait en tête en étudiant les lieux. Mais est-ce qu’elle a l’air d’avoir besoin d’être rassurée ?

« J’aurais pas dit mieux, rien ne va échapper aux caméras… alors je compte sur toi pour faire m’aider à faire de superbes prises. »

Faire des prises, se faire prendre… Megumi a un sourire amusé en y pensant, tout en suivant sa partenaire du regard. Celle-ci a visiblement décidé de lancer les hostilités, venant la débarrasser de son kimono lentement, sensuellement, jouant certainement avec les futurs spectateurs qui vont retenir leur souffle lorsqu’ils vont comprendre que ça y est, ça commence.

« Tu fais ça très bien… »

Megumi se laisse effectivement aller. Elle ne bronche pas, profite de ce mélange de douceur et de désir qu’elle pense percevoir chez sa partenaire. Mieux encore, elle se laisse toucher en se mordillant la lèvre : la sensation est très différente des humaines, et elle sait que ce n’est qu’un début. Et la créature l’invite à la suivre, ce qu’elle fait avec une impatience : qu’est-ce qui l’attend au juste ? Désormais assise et les jambes écartées, les spectateurs pourront profiter de la vue de sa poitrine et ses lèvres intimes prêtes à s’offrir. Et, derrière elle, Sakura vient sublimer le tableau qui s’annonce déjà somptueux.

« Je ne suis pas la seule Sakura. Nous sommes deux dans cette scène. »

Face à tant de compliments, Megumi ne sait pas exactement quoi dire. Disons que la poésie, ce n’est pas forcément son point fort ! Cependant, elle apprécie le contact de la fourrure et la queue de Sakura est on ne peut plus douce. Si elles étaient parties pour dormir ensemble, elle n’a aucun doute sur le fait qu’elle se blottirait contre pour en profiter !
Dans leur position actuelle, Megumi n'a qu'une envie : embrasser la kitsune. C’est vrai ça, ça serait une première… mais celle-ci a décidé de continuer de jouer avec elle, même si elle dépose un baiser sur sa peau. Ce n'est que partie remise !

« Je suis prête à montrer ce dont je suis capable… et ce que je suis capable d’encaisser. Et toi, tu te sens prête à faire une démonstration de ton savoir-faire… ? »

Après tout, ce n’est pas le premier rodéo de Megumi ! Mais en ce qui concerne Sakura, elle en est moins sûre. Elle n’est évidemment pas sa première cliente, mais toutes ne doivent pas lui demander de filmer leurs ébats…

"Je vais vous montrer, Megumi. Vous faire découvrir tout mon savoir-faire."

L’air chargé d'érotisme, saturé d’ombres veloutées et du clignement feutré des caméras invisibles, avale le murmure de Sakura alors qu’elle se presse contre le dos nu de Megumi. Ses bras s’enroulent lentement autour de la taille fine, glissant comme un ruban de soie vivante, sa fourrure tiède contrastant avec la douceur satinée de la peau humaine sous ses paumes. Elle s’imprègne de chaque détail, la chaleur subtile qui irradie du corps de Megumi, le rythme léger et irrégulier de sa respiration.

Sa queue, souple et soyeuse, vient s’enrouler avec paresse autour de l’une des jambes de son amante, effleurant sa cuisse nue d’un mouvement presque involontaire, à peine une caresse, mais suffisante pour lui rappeler sa présence, pour suggérer la suite sans la précipiter.

Sakura laisse ses mains glisser sur le ventre plat, ses griffes soigneusement rétractées, traçant une ligne invisible du creux de son nombril jusqu’à la courbe pleine de ses seins. Ses doigts ne les saisissent pas tout de suite. Elle effleure d’abord la peau tendue au-dessus, contournant leur forme ronde avec une lenteur calculée, laissant le poids naturel de sa paume exercer une pression subtile avant de finalement s’autoriser à refermer ses mains dessus.

Ses paumes moulent leur fermeté, ses doigts s’adaptent à leur forme, testant leur souplesse avant de commencer à les malaxer en de lentes pressions. Ses pouces viennent frotter les pointes dressées, de simples frôlements d’abord, puis elle les pince légèrement, appliquant juste assez de force pour provoquer une sensation plus vive. Elle relâche, caresse à nouveau, reprend cette danse rythmée entre provocation et apaisement, entre picotements et caresses plus pleines, sculptant la réaction de Megumi sans avoir besoin de l’entendre.

"Regardez-vous, Megumi."

Sa voix, grave et suave, vibre contre la peau nue alors qu’elle l’invite à contempler leur reflet dans le grand miroir devant elles. Ses mains ne s’arrêtent pas, elles descendent à nouveau, effleurant les côtes avant de revenir sur le ventre, plus bas cette fois. Sa main droite glisse sur la ligne du pubis, frôle la naissance de ses cuisses sans s’y aventurer immédiatement. Sa paume effleure à peine la chair moite et douce, caressant plus qu’elle ne pénètre, testant la chaleur qui s’en dégage.

Elle étire ce moment, laissant ses doigts se poser à peine sur la peau, comme une plume effleurant l’eau d’un bassin. Puis, enfin, elle trace lentement la ligne de la fente avec son index, un simple contact du bout de la griffe rétractée. Un mouvement fluide, glissant du haut vers le bas, effleurant chaque courbe avant de recommencer, sans jamais appuyer.

Puis, avec une patience féline, elle écarte délicatement les lèvres, exposant leur moiteur à l’air frais de la pièce. Sa main gauche, toujours posée sur le ventre de Megumi, descend légèrement, comme pour maintenir son amante en place. Son index et son majeur glissent enfin à l’intérieur, enfonçant lentement leur longueur dans la chair accueillante, ses mouvements calculés pour explorer chaque millimètre de ce nouvel espace.

Elle les enfonce jusqu’à la dernière phalange avant de les retirer avec la même lenteur, observant l’effet qu’elle provoque dans le miroir. Puis elle recommence, variant la profondeur, ajustant la pression, testant la souplesse interne de Megumi comme un artisan qui apprendrait la texture d’un tissu précieux.

"Vous êtes déjà si mouillée, Megumi ?…"

Sa main gauche remonte légèrement et son pouce vient se poser sur le bouton de chair sensible qu’elle a jusqu’ici évité. Elle ne presse pas immédiatement. Elle le frôle d’abord, du bout de la pulpe, exécutant des cercles lents et minutieux, augmentant progressivement la pression. Ses doigts à l’intérieur adoptent un rythme complémentaire, caressant l’intérieur avec une précision qui ne doit rien au hasard.

Sakura ajuste le mouvement, accélérant par brèves saccades avant de ralentir à nouveau, alternant entre remplissage et stimulation externe, sculptant un crescendo maîtrisé. Elle incline légèrement la tête, son souffle effleurant l’oreille de Megumi alors qu’elle continue, ses gestes s’affinant à chaque seconde, suivant un rythme invisible qu’elle seule perçoit.

"Regardez comme votre corps répond bien…"

Elle accentue la pression, ses doigts à l’intérieur se courbant légèrement, cherchant ce point précis qu’elle devine sans avoir besoin de l’entendre. Son autre main revient à la poitrine, reprenant son manège sur les pointes dures, synchronisant ses gestes pour faire monter la tension de façon méthodique.

Elle ne presse pas encore le dernier seuil. Elle le retarde, elle l’étire. Elle veut plus de temps, plus d’images capturées par les caméras avides. Plus de minutes à modeler la réaction de Megumi sous ses doigts experts.

Megumi ferme un instant les yeux pour profiter du contact de Sakura. Quelle douceur, quel plaisir… elle sait que la sensation est très différente de celle du contact humain, mais ça lui fait toujours un petit quelque chose. Et ça, Sakura peut certainement le ressentir ! Megumi a un petit frisson en sentant sa queue glisser sur sa jambe, puis un sourire. C’était vraiment une bonne idée de venir ici !

« Hmm… vous faites ça très bien Sakura… »

Un nouveau frisson remonte le long de son dos en sentant les mains de sa partenaire découvrir sa poitrine. Elle se languit de sentir plus, et son souhait se retrouve vite exaucé : les mains de Sakura viennent saisir ses seins, les malaxant d’une manière très agréable… ses tétons durcissent lentement, approuvant le traitement offert.

Puis, sur invitation de Sakura, Megumi ouvre de nouveaux les yeux pour se regarder dans la glace. Une façon de voir ce que les spectateurs verront… elle a un petit sourire en coin. Les petits veinards, elles vont leur offrir un sacré show !

« Oh… j’adore la route que vous prenez… »

Megumi peut sentir la main de la renarde glisser lentement entre ses cuisses et venir jouer avec son intimité. Elle le fait avec lenteur et douceur, comme pour s’assurer que la température monte lentement chez la Seishi : pourtant, même si elle fait au mieux pour ne pas encore le montrer, Megumi est déjà chaude comme la braise. C’est même un miracle quand elle ne l’est pas !
Puis, un début de libération. Elle sent des doigts glisser lentement en elle, doigts qui vont rapidement se retrouver trempés, mais qui arrachent de nouveaux gémissements à Megumi.

« O-oui… je suis trop excitée… j’ai trop envie de baiser… »

Elle sait que ses paroles un peu crues contrastent avec la douceur de Sakura, mais elle se dit que c’est en partie pour ça que ses fans l’apprécient. Et en plus, le message est clairement passé à Sakura : elle en veut, alors elle n’aura pas à se retenir ! Et celle-ci continue de jouer avec elle, alternant stimulations intérieures et extérieures, doigté et caresses sur son clitoris… de quoi la rendre folle ! Elle se laisse aller, se reposant bien plus contre Sakura qu’il y a encore quelques minutes, en se demandant à quelle sauce elle va être mangée ensuite…

La pièce semblait vibrer d’une énergie sensuelle suffocante, saturée d’une tension érotique presque palpable, les ombres veloutées des lanternes en papier projetant des motifs dansants sur les paravents. Les caméras, discrètes mais insatiables, leurs lentilles de verre noir scintillant comme des yeux affamés dans la pénombre, enregistraient chaque détail de l’échange entre Sakura et Megumi, leurs mécanismes silencieux bourdonnant d’une avidité mécanique, capturant l’essence brute de leur désir ardent, chaque angle de leurs corps, chaque goutte de sueur, chaque frisson. Les yeux rouges de Sakura, profonds et flamboyants, brillaient d’une malice perverse et ardente, comme deux braises incandescentes prêtes à tout consumer, leurs pupilles dilatées trahissant son propre désir. Son kimono s’ouvrait largement à chaque mouvement, dévoilant la courbe voluptueuse de ses hanches, la fourrure satinée de ses cuisses et le tatouage papillon au bas-ventre qui commençait à briller d’une magie érotique. Sakura, positionnée derrière Megumi face au miroir, laissait ses mains continuer ses gestes sur le corps de sa partenaire avec une précision sensuelle et explicite, ses doigts experts continuant leurs gestes à l’endroit où ils étaient.

Le corps de Megumi réagissait bien sous ses caresses, Sakura devinait, aux gémissements de sa partenaire, que le désir de sa partenaire atteignait des sommets. « Pas tout de suite… J’ai encore envie de m’amuser… », souffla-t-elle, sa voix rauque et veloutée débordant de promesses, chaque mot caressant l’air comme une main invisible, résonnant avec une douceur hypnotique dans l’espace confiné, son souffle chaud et humide effleurant la nuque de Megumi, laissant une traînée de frissons sur sa peau. D’un mouvement fluide, elle se releva, sa queue touffue ondulant derrière elle comme une caresse lascive, son extrémité rosée, légèrement plus claire que le reste de sa fourrure, effleurant le tatami avec une sensualité provocante.

Elle s’approcha d’un paravent orné de motifs floraux, ses pas légers résonnant à peine sur le tatami, chaque pas faisant onduler son kimono pour dévoiler un peu plus sa fourrure satinée et on pouvait entrevoir ses deux sexes, un pénis bien érigé, veiné et palpitant, une goutte de liquide clair perlant à son extrémité et des lèvres féminines gonflées et luisantes, leurs contours brillants de mouille. Derrière le panneau, elle saisit une boîte laquée noire, ornée de gravures dorées illustrant des scènes de débauche lesbiennes explicites, des corps de femmes entrelacés dans des positions obscènes, des mains liées par des cordes, des langues explorant des chairs offertes, des regards extatiques figés dans l’orgasme, des gouttes de sueur et de mouille peintes avec une précision réaliste, et l’ouvrit avec une révérence presque rituelle, ses doigts fins frôlant le bois verni avec une sensualité calculée. À l’intérieur reposaient des cordes de bondage rouges, leurs fibres soyeuses et brillantes scintillant comme des rubis sous la lumière tamisée, chaque fil tressé avec soin, leurs extrémités légèrement effilochées, leurs surfaces lisses et rugueuses à la fois, imprégnées d’une magie subtile qui promettait d’exacerber chaque sensation, chaque frisson, chaque gémissement.

« Laissez-moi vous habiller d’une autre manière », annonça Sakura, les cordes pendantes comme des serpents prêts à mordre, leurs textures rugueuses et lisses à la fois promettant une étreinte implacable, leurs bouts frôlant le sol avec un léger bruissement, comme un chuchotement menaçant. Elle s’agenouilla derrière sa partenaire, son kimono s’ouvrant davantage pour exposer sa fourrure et attrapa les poignets de Megumi avec une fermeté délicate, les ramenant derrière son dos pour les croiser au niveau de ses reins, la peau de ses bras légèrement rougie par la pression, de fines marques roses apparaissant sous ses doigts. Avec une précision artistique, elle enroula une corde rouge autour des poignets, formant des nœuds serrés qui mordirent légèrement la peau, immobilisant ses bras et accentuant la cambrure de son dos, faisant jaillir ses seins nus vers l’avant, leurs courbes généreuses exposées comme une offrande, leurs tétons durcis pointant fièrement. Les cordes s’entrecroisèrent sur son torse, dessinant un motif en losange qui enserra ses seins, les comprimant juste assez pour accentuer leur forme, chaque nœud pressant sa chair avec une tension délicieusement douloureuse, laissant des marques roses sur sa peau, la corde frottant légèrement contre ses tétons à chaque mouvement, ajoutant une friction subtile mais intense. Elle fit passer une longueur de corde autour des cuisses de Megumi, les écartant largement pour exposer sa chatte trempée et palpitante, les fibres rugueuses frôlant ses lèvres intimes gonflées et luisantes, un filet de mouille coulant le long des cordes, les rendant brillantes sous la lumière, et termina par un nœud central juste au-dessus de son clitoris, la corde pressant son bourgeon gonflé à chaque respiration, un mélange de plaisir et de tension, ses lèvres intimes s’ouvrant davantage sous la pression, exposant un intérieur rose et mouillé.

« Respirez profondément », ordonna Sakura. Elle ajusta les cordes avec une tendresse perverse, transformant le shibari en une œuvre d’art érotique.

Avec une douceur lascive, Sakura guida Megumi pour l’allonger sur le tatami, la positionnant sur le dos, ses bras attachés derrière son dos arquant son buste pour offrir ses seins gonflés aux regards, leurs tétons durcis pointant vers le plafond comme des invitations, tandis que les cordes rouges maintenaient ses cuisses écartées, exposant totalement sa fente luisante et palpitante, ses lèvres intimes s’ouvrant comme une fleur sous la tension. Sakura s’installa entre ses jambes, ses yeux rouges fixant la vulve offerte avec une avidité lubrique, sa langue passant sur ses propres lèvres dans une anticipation gourmande, ses crocs légèrement visibles scintillant sous la lumière, une goutte de salive perlant au coin. Sa queue touffue caressa l’intérieur de la cuisse de Megumi, son extrémité glissant sur sa peau comme une plume, tandis que ses mains ajustaient les cordes, leurs doigts pressant légèrement pour intensifier la pression des liens contre la chair tendre, laissant de légères marques rouges sur la peau, comme des griffures délicates.

Puis, Sakura se pencha, son souffle chaud effleurant la fente de Megumi, les faisant s’ouvrir davantage sous la chaleur, l’odeur de son excitation emplissant l’air, un mélange qui fit frémir les narines de Sakura, ses yeux se fermant un instant pour savourer l’arôme. Sa langue, longue et agile, s’étira pour lécher lentement du bas de sa fente jusqu’à son clitoris, goûtant sa chaleur salée avec une voracité contenue, chaque coup de langue laissant une traînée brillante et collante sur sa peau, le sexe de Megumi luisant sous la lumière tamisée. Elle aspira le bourgeon durci entre ses lèvres, ses dents effleurant la chair sensible avec une précision cruelle, un léger pincement qui contrastait avec la douceur de sa langue, avant de plonger sa langue profondément dans son vagin, explorant ses parois humides et chaudes avec des mouvements ondulants, goûtant chaque repli de sa chair intérieure avec une avidité gourmande, sa langue s’enfonçant jusqu’à la base, ses lèvres pressées contre les chairs, aspirant légèrement pour intensifier la sensation, ses propres gémissements doux résonnant comme une mélodie érotique dans la pièce, mêlés au bruit humide et obscène de ses succions, un claquement érotique qui emplissait l’espace.

Après plusieurs minutes de ce cunnilingus intense, Sakura se redressa légèrement, un filet de salive et de mouille brillant sur ses lèvres, coulant lentement sur son menton et gouttant sur le tatami, son souffle rapide trahissant son propre désir, sa poitrine se soulevant à un rythme irrégulier, ses seins ronds et fermes visibles sous son kimono ouvert. Elle tendit la main vers la boîte laquée et en sortit une panoplie de godes, ses doigts caressant les différents modèles, certains lisses, d’autres texturés avec des bosses et des nervures, certains vibrants avec des moteurs silencieux, avant de sélectionner un spécimen imposant en silicone noir, veiné et courbé pour frapper les points sensibles, sa surface lisse et légèrement brillante promettant une intrusion délicieuse, luisant sous la lumière comme une arme de plaisir sculptée, ses veines artificielles pulsant presque sous la lumière tamisée, sa taille imposante, presque aussi longue et épaisse qu’un avant-bras, ajoutant une menace érotique à son apparence. « Passons à un niveau supérieur », murmura-t-elle. Elle lubrifia le gode avec une lenteur délibérée, ses doigts glissant sur le jouet avec une sensualité provocante, étalant le liquide froid et glissant. Elle le positionna à l’entrée de la chatte de Megumi, la pointe frôlant ses lèvres intimes, les écartant lentement pour révéler un intérieur rose et humide, puis, d’un mouvement fluide, elle le glissa en elle, s’enfonçant profondément jusqu’à ce que la base heurte son pubis, étirant ses parois avec une pression délicieuse, un bruit humide et obscène accompagnant chaque pénétration, sa mouille débordant autour du gode. Sakura commença à le bouger, ses coups de reins simulés faisant claquer le jouet contre ses chairs trempées, chaque pénétration résonnant dans la pièce comme un écho accompagnés bruits de succions humides et rythmiques.

« Regardez-vous, Megumi… une œuvre d’art vivante », souffla Sakura, ses yeux fixant Megumi, attachée et impuissante sous l’assaut du gode, qui s’offrait aux caméras, Elle accéléra le rythme, tournant le jouet pour stimuler son point G, le bruit humide et rythmique de ses chairs résonnant dans la pièce, chaque pénétration plus profonde, chaque mouvement plus brutal, ses lèvres intimes s’étirant autour du gode. Un gloussement léger et taquin échappa à Sakura, ses lèvres s’étirant dans un sourire malicieux, révélant une pointe de ses crocs acérés, ses yeux pétillant de désir, ses joues légèrement rougies par l’excitation. « Si vous jouissez, Megumi, vous aurez la récompense que vous voulez tant… », murmura-t-elle, sa voix hypnotique teintée d’une promesse, ses doigts ajustant le gode pour le faire vibrer légèrement contre son point sensible, ses mouvements précis poussant Megumi vers l’extase, chaque vibration plus intense, le jouet glissant avec un bruit humide et obscène. La louve savait que ce n’était qu’un prélude, et elle comptait bien prolonger ce spectacle de débauche inoubliable, orchestrant chaque mouvement de ses mains et de ses hanches avec une maîtrise sensuelle, comblant son désir nymphomane insatiable dans une danse érotique où chaque geste était une célébration du plaisir, chaque instant capturé par les caméras avides pour l’éternité, l’odeur de leur excitation saturant l’air, mêlée à la chaleur moite de la pièce, créant une atmosphère où le désir était presque tangible, une promesse de plaisir sans fin.

Avec un mélange d’anticipation et de frustration, Megumi regarde Sakura se lever alors qu’elle lui annonce vouloir continuer de s‘amuser avant de passer au plat de résistance. Flûte ! Elle qui est déjà brulante de désir, on dirait qu’elle va encore plus chauffer avant de pouvoir se laisser aller !

Elle observe le paravent vers lequel son hôtesse se dirige. Il est bien beau… mais c’est autre chose qui attire son regard, cette superbe verge pleine de promesse qui se dresse grâce à elle. On dirait que Sakura aussi est très excitée… et elle la voit attraper une boîte, sans bien voir de quoi il s’agit. Qu’est-ce qu’il peut bien y avoir dedans ? Des jouets ? Megumi penche un peu la tête comme si cela lui permettait de voir le contenu, mais on dirait qu’elle va devoir attendre que la renarde sorte ce qu’il y a dedans…

« Oooh… »

Megumi découvre ce que tient Sakura dans sa main au même moment qu’elle l’annonce, du moins à sa façon : des cordes, qui sont d’autant plus de promesses de débauche. La Seishi se laisse guider, voyant que sa partenaire décide rapidement de la marche à suivre : ses mains finissent attachées dans son dos, avant que la corde ne vienne resserrée son corps et ses courbes pour les mettre en valeur mais aussi l’immobiliser et lui procurer du plaisir. Après tout, la corde frotte sur certaines zones érogènes…

« … vous êtes douée Sakura… »

Comme demandé, Megumi respire profondément. Elle n’a jamais eu de partenaire adepte de ce type d’art, aussi se laisse-t-elle guider sans discuter les ordres. Puis la voilà allongée au sol, offerte à sa partenaire et aux caméras : ses jambes sont maintenues écartées, laissant à Sakura tout le loisir de venir déguster son intimité dégoulinante.

« …. Ah ! »

Un premier coup de langue vient surprendre Megumi, qui était jusque là concentrée sur le souffle chaud et les caresses sur ses cuisses. Elle réagit très positivement, prenant son pied à ne pas savoir quand et comment la courtisane va la toucher. Alors, lorsque Sakura se décide à lui offrir un cunnilingus on ne peut plus gourmand avant de plonger sa langue en elle, Megumi ne peut retenir des cris de plaisir.

Tout cela dure de trop courtes minutes, après lesquelles Sakura se redresse. Megumi la dévore du regard, les joues rouges, s’imaginant déjà se faire pénétrer par la belle. Mais il n’en est rien : à la place, elle semble chercher autre chose dans la boîte aux merveilles… et sort un gode plus qu’imposant.

« … oh woh… sacré calibre… »

Megumi se mord la lèvre en regardant Sakura lubrifier le gode. Il est énorme ! La simple idée de le sentir l’envahir l’excite au plus haut point, alors quand sa partenaire se décide à l’enfoncer en elle elle hurle sous l’incroyable sensation. Son corps accueille avec une certaine facilité l’engin, démontrant sa capacité à encaisser bien plus qu’on pourrait le croire au premier abord.

« Oooh… putain… c’est si… bon ! »

Megumi ne sait pas si elle est une œuvre d’art vivante, mais dans l’immédiat elle se sent comme un jouet sexuel vivant. Du moins elle espère que Sakura finira par l’utiliser tel quel et profiter de sa présence pour se faire plaisir. La promesse d’une récompense, aussi tentante qu’elle soit, n’a cependant pas réellement d’impact : la Seishi est déjà au bord de l’orgasme, et même si elle attend avec impatience la queue de Sakura elle est trop submergée par le plaisir pour bien comprendre ses propos.

« … hmmmf… ! »

Elle se cambre autant qu’elle le peut alors que l’orgasme la gagne, maintenue par les cordes. C’est si bon ! Et elle sait aussi que ce n’est qu’un début…

Sakura observa l’orgasme de Megumi avec une satisfaction féline, ses yeux roses brillant d’une lueur de triomphe et de désir inassouvi, capturant chaque frisson, chaque cambrure de ce corps attaché sous les cordes rouges qui mordaient délicatement sa peau. Les caméras, toujours en action, enregistraient ce moment d’extase pure, leurs lentilles scintillant comme des spectateurs avides, mais Sakura n’avait d’yeux que pour la femme devant elle, son souffle encore rapide, ses joues rougies par l’intensité du plaisir qu’elle venait de lui offrir. La louve passa lentement sa langue sur ses lèvres, goûtant encore la saveur salée et sucrée de l’intimité de Megumi, un sourire malicieux étirant ses traits alors qu’elle reposait le gode imposant sur le tatami, ses doigts luisants de lubrifiant et de mouille scintillant sous la lumière tamisée.

« Magnifique… » murmura-t-elle, sa voix rauque et veloutée résonnant dans la pièce comme une caresse, chaque mot chargé de cette douceur hypnotique qui était sa signature. Elle se redressa légèrement, son kimono s’ouvrant davantage, dévoilant la courbe de ses hanches et la fourrure satinée de ses cuisses, son propre désir désormais impossible à ignorer. Son pénis, érigé et palpitant, d'environ 18 cm de long, se dressait fièrement, une goutte de pré-sperme perlant à son extrémité, glissant lentement le long de sa longueur veinée, tandis que ses lèvres féminines, gonflées et luisantes, laissaient échapper un filet de mouille qui coulait le long de ses cuisses, trahissant l’ampleur de son excitation. Un tatouage délicat ornait son flanc droit : des fleurs de cerisier aux pétales roses et blancs, entrelacées dans un motif gracieux, semblant danser sur sa fourrure immaculée, leurs contours légèrement luminescents sous l’effet de la magie érotique qui l’habitait.

Elle s’agenouilla à nouveau entre les jambes écartées de Megumi, sa queue touffue ondulant derrière elle, son extrémité rosée effleurant le tatami avec une sensualité provocante. Ses mains, aux griffes rétractées, glissèrent sur les cordes qui enserraient les cuisses de sa partenaire, ajustant légèrement leur tension pour maintenir cette position offerte, les fibres rugueuses frôlant les lèvres intimes encore frémissantes, un filet de mouille coulant le long des cordes, les rendant brillantes sous la lumière. « Vous avez été parfaite, Megumi… » souffla-t-elle, sa voix empreinte d’une tendresse perverse, ses yeux roses fixant l’intimité exposée avec une avidité lubrique. « Mais ce n’est que le début… Je vous ai promis une récompense, n’est-ce pas ? »

Avec une grâce féline, Sakura se pencha en avant, son souffle chaud effleurant à nouveau la peau sensible de Megumi, ses narines frémissant alors qu’elle inhalait l’odeur enivrante de son excitation, un mélange de sueur, de mouille et de désir brut qui faisait vibrer ses instincts de louve. Elle tendit une main vers la boîte laquée, ses doigts fins caressant les différents jouets avant de sélectionner un plug anal en silicone noir, plus petit que le gode précédent mais orné de petites bosses texturées, sa surface lisse et légèrement brillante promettant une intrusion délicieusement stimulante. Elle le lubrifia avec une lenteur délibérée, ses doigts glissant sur le jouet avec une sensualité provocante, étalant le liquide froid et glissant, ses yeux ne quittant jamais le corps attaché devant elle.

« Détendez-vous… » murmura-t-elle, sa voix hypnotique résonnant comme une mélodie envoûtante, ses mots tissés de magie érotique glissant dans l’air pour apaiser et exciter à la fois. Elle positionna le plug à l’entrée de l’anus de Megumi, la pointe frôlant la chair plissée, l’écartant lentement pour révéler un intérieur rose et serré, puis, d’un mouvement fluide, elle le glissa à l’intérieur, s’enfonçant doucement jusqu’à ce que la base soit bien en place, les bosses texturées frottant contre les parois internes avec une pression délicieuse, un bruit humide et discret accompagnant l’intrusion. Sakura ajusta le plug avec une précision experte, s’assurant qu’il reste bien en place, ses doigts effleurant les fesses de Megumi avec une tendresse calculée, laissant de légères marques roses sur la peau sous la pression de ses caresses.

Sakura se redressa ensuite, ses mains glissant sur ses propres cuisses pour remonter jusqu’à son kimono, qu’elle fit glisser complètement, le tissu tombant au sol dans un bruissement soyeux, dévoilant son corps nu dans toute sa splendeur. Sa fourrure blanche immaculée scintillait sous la lumière tamisée, contrastant avec ses yeux roses flamboyants et le tatouage de fleurs de cerisier sur son flanc gauche, dont les pétales roses et blancs semblaient s’animer sous l’effet de la lumière, scintillant comme des joyaux sur sa peau. Son sexe, d'environ 18 cm, dur et veiné, se dressait avec une arrogance provocante, tandis que ses lèvres féminines, gonflées et luisantes, laissaient échapper un filet de mouille qui coulait le long de ses cuisses, trahissant l’ampleur de son propre désir. Ses seins ronds et fermes, recouverts d’une fine couche de fourrure, se soulevaient à un rythme irrégulier, ses tétons durcis pointant fièrement sous l’excitation.

Avec une grâce autoritaire, Sakura saisit les cordes qui enserraient les bras de Megumi, ses doigts fins tirant légèrement pour la redresser, la guidant avec une fermeté délicate pour la mettre à genoux sur le tatami. Les cordes rouges maintenaient ses bras attachés derrière son dos, accentuant la cambrure de son buste, ses seins nus se soulevant à un rythme irrégulier, leurs tétons durcis pointant fièrement, tandis que les cordes autour de ses cuisses forçaient ses jambes à rester légèrement écartées, exposant sa chatte trempée et palpitante, un filet de mouille coulant le long de ses cuisses pour goutter sur le tatami. Le plug anal, bien en place, ajoutait une pression subtile mais constante, ses bosses texturées frottant contre ses parois internes à chaque mouvement, intensifiant la sensation de plénitude et de vulnérabilité.

Sakura se releva, sa queue touffue ondulant derrière elle, et se positionna devant Megumi, son membre palpitant à quelques centimètres de son visage, une autre goutte de pré-sperme perlant à son extrémité, luisante et collante, tombant lentement pour s’écraser sur le menton de Megumi, laissant une traînée brillante sur sa peau. « Avant de vous donner ce que vous voulez… » murmura-t-elle, sa voix rauque et veloutée, teintée d’une autorité joueuse, « J’aimerais que vous me goûtiez, Megumi. Montrez-moi à quel point vous pouvez être une bonne fille… »

Avec une tendresse provocante, Sakura saisit son pénis de sa main droite, ses doigts fins enroulés autour de sa longueur veinée, et le guida vers le visage de Megumi, le gland frôlant d’abord sa joue avec une douceur taquine, laissant une traînée humide de pré-sperme sur sa peau hâlée. Elle le fit glisser lentement, le frottant contre sa joue, puis sur son menton, la chaleur de son membre contrastant avec la fraîcheur de la pièce, son odeur musquée emplissant l’air, un mélange de désir brut et de fourrure tiède qui saturait les sens. Elle donna une petite tape légère sur la joue de Megumi avec son pieu de chair, un geste tendre mais dominant, le gland claquant doucement contre sa peau, laissant une nouvelle goutte de pré-sperme s’étaler sur sa pommette, luisante sous la lumière tamisée.

Sakura inclina légèrement les hanches, frottant maintenant son pénis contre les lèvres de Megumi, le gland glissant sur leur surface douce, les écartant à peine pour laisser une traînée collante de pré-sperme sur sa bouche, son goût salé et légèrement sucré effleurant ses sens. Elle ajusta sa position, ses cuisses de part et d’autre des épaules de Megumi, son intimité féminine désormais à quelques centimètres de son visage, ses lèvres gonflées et luisantes frôlant son front alors qu’elle se penchait en avant, un filet de mouille coulant lentement de ses lèvres intimes pour goutter sur la peau de Megumi, une chaleur liquide et collante qui glissait sur son visage, mêlant l’odeur de son excitation à celle de son pénis.

Elle frotta son intimité contre le front de Megumi, ses lèvres féminines s’écartant légèrement sous la pression, laissant une traînée brillante de mouille sur sa peau, l’odeur de sa cyprine saturant l’air, un parfum enivrant qui se mêlait à la chaleur de son pénis toujours pressé contre ses lèvres. « Ouvrez la bouche… » ordonna-t-elle, sa voix hypnotique résonnant comme une promesse sulfureuse, ses yeux roses fixant Megumi avec une intensité dévorante, ses pupilles dilatées par l’excitation. Sakura ajusta son membre, le gland frôlant à nouveau la bouche de Megumi, attendant qu’elle obéisse, son souffle rapide trahissant son propre désir, ses seins se soulevant à un rythme irrégulier, ses tétons durcis frémissant sous l’excitation. « Sucez-moi, Megumi… » murmura-t-elle, sa voix plus basse, plus rauque, chargée d’une promesse de plaisir partagé, ses doigts glissant dans les cheveux de Megumi pour les saisir avec une fermeté délicate, ses griffes rétractées effleurant son cuir chevelu avec une tendresse possessive.

Sakura savait que les caméras capturaient chaque instant, chaque angle de leur débauche, mais pour elle, ce n’était qu’un détail. Ce qui comptait, c’était ce moment, ce corps offert à genoux devant elle, ce plaisir qu’elle orchestrait avec une précision artistique, cette danse érotique où chaque geste était une célébration du désir. Elle comptait bien prolonger ce spectacle, combler son propre désir nymphomane tout en poussant Megumi vers de nouveaux sommets, ses mouvements s’affinant à chaque seconde, ses yeux roses pétillant de malice et de passion, les fleurs de cerisier sur son flanc gauche scintillant comme des joyaux sous la lumière tamisée, son corps vibrant d’une énergie sensuelle qui promettait des délices encore plus sulfureux.

Son esprit et son corps submergés par l’orgasme, c’est sans surprise que les pensées de Megumi se dispersent et forment un tout incohérent. Pourtant, la Seishi ne perd pas tant le nord que l’on pourrait le croire : elle pense aussi bien à son plaisir, celui qui l’a mené là, qu’au spectacle qu’elle offre à ses futurs spectateurs mais aussi à Sakura. Et d’ailleurs, est-ce que sa partenaire va profiter de son état pour, elle aussi, se donner du plaisir… ? Pour le moment elle l’ignore, bien qu’elle l’observe se dévoiler et lui offrir un premier aperçu de son instrument de plaisir…

« Aaah… une récompense oui… »

C’est vrai, Sakura lui a parlé de récompense. Elle ne sait pas exactement de quoi il va s’agir, d’autant que la sentir observer son intimité avec tant de proximité dans son état lui fait tourner la tête… est-ce qu’elle va la goûter ? Lui remettre cet énorme gode ? La prendre ? Autre chose ? Malgré le souffle chaud qui se fait sentir sur sa peau, c’est bien ‘autre chose’ que la renarde a prévu. Elle l’entend chercher quelque chose dans sa boîte, et aperçoit quelque chose de plus petit mais à la forme assez équivoque… un sourire se dessine sur les lèvres de Megumi, qui comprend qu’une nouvelle couche de plaisir va s’ajouter à leur rencontre. Détendue, elle l’est – et même impatiente en réalité de sentir ce nouvel objet se glisser en elle, écarter son anus et s’y enfoncer…

« Oooooh… oui… »

Sakura ne la fait pas languir, installant le jouer avec une certaine délicatesse. Megumi profite de la sensation, le jouet se glissant lentement en elle de manière à lui laisser le temps de savourer le plaisir apporté. Il est bien accueilli par la Seishi, qui semble si habituée à ce genre d’objet que rien ne le repousse.

Il ne faut qu’une poignée de secondes de plus pour que Sakura se redresse et que Megumi puisse l’admirer dans toute sa splendeur. Ses yeux brillent en voyant sa lourde poitrine, sans parler de son pénis… puis celle-ci saisit les cordes et replace Megumi à sa convenance, donnant à celle-ci l’impression d’être un objet parmi d’autres. Elle s’attend à sentir l’épais membre de sa partenaire se glisser en elle, la prendre sans sommation… et pourtant, la belle décide de venir jouer un peu plus avec elle et la mettre face à face avec son pénis.

« Woh… »

Megumi hume l’air, excitée en voyant de si près un tel pénis. Il est évident à sa vue que Sakura la désire, et l’inverse est vrai aussi : la Seishi tente de lécher le pénis lorsqu’il s’approche de son visage, même si l’autre femme veut continuer de mener la danse. Alors Megumi la laisse faire. Elle veut que Sakura l’utilise comme bon lui semble et se fasse plaisir avec elle, mais elle sait aussi que ses fans vont adorer la voir se faire dominer. C’est pourtant presque une torture de sentir ce superbe pénis caresser sa peau, lui tapoter la joue puis se frotter contre ses lèvres sans se jeter dessus comme une affamée ! Heureusement, sa retenue n’est que de courte durée car de doux mots atteignent ses oreilles : ‘ouvrez la bouche…’. Nul besoin de le répéter, la demi-succube ouvrant la bouche sans se faire prier. Une seconde plus tard, ses lèvres viennent entourer le gland et sa langue le lécher, avant de le prendre un peu plus profondément en bouche… et de se rendre compte qu’elle ne pourra pas aller aussi loin qu’elle le voudrait à cause de sa position. Malgré une légère frustration, elle profite de ce qui lui est offert et suce Sakura avec avidité, espérant que celle-ci va lui faire le plaisir d’avancer les hanches et lui offrir toute la longue de sa superbe queue…