Tension sexuelle entre Mère et Fils
Posté : 14 déc. 2024 20:40
Elle s’était répandue dans tout le lycée, insidieuse et nauséabonde. Shinji n’était même pas certain de comment cela avait commencé, mais chaque fois qu’il passait près d’un groupe de terminales, il entendait des éclats de rire étouffés, des murmures, et, pire encore, des mots qu’il aurait préféré ne jamais entendre.
« Sa mère, tu l’as vue ? Une bombe. Je te jure, si j’avais dix ans de plus… »
Des mots crus, une vulgarité qui lui retournait l’estomac. Chaque phrase était comme une lame qu’on enfonçait un peu plus profondément. Mais aujourd’hui, c’était pire : en sortant de classe, il avait surpris leur chef, un certain Hiroto. Ce type arrogant et grande gueule,était en train de décrire à ses amis ses fantasmes les plus grotesques à propos d’elle, son sourire moqueur élargissant la fissure béante dans le contrôle de Shinji.
Il avait tenté de l’ignorer. Vraiment. Mais il n’y arriva pas. C’était plus fort que lui.
À la sortie des cours, Shinji attendit, les mains dans les poches pour masquer les tremblements de colère qui l’agitaient. Il savait où il serait : le type traînait toujours près du terrain de sport après les cours, entouré de ses deux acolytes, des gars costauds mais visiblement incapables de réfléchir sans leur leader.
Quand il le vit, Shinji marcha droit vers lui, ses pas lourds sur le gravier.
— Toi.
Le garçon leva un sourcil, surpris, puis éclata de rire en le voyant approcher.
— C’est quoi ton problème ? lança-t-il avec ce même sourire suffisant, clope à la main.
— Mon problème, c’est toi. Arrête de parler de ma mère.
Ses mots étaient tranchants, presque crachés, et il sentait déjà les regards curieux des autres élèves qui traînaient dans le coin. Mais le garçon ne se démonta pas. Au contraire, il haussa les épaules, affichant un sourire encore plus provocateur.
— Tu devrais être flatté, non ? Elle est canon, ta daronne. Pourquoi t’énerver ?
C’en était trop. Shinji n’attendit pas une seconde de plus. Son poing partit comme une balle, droit dans la mâchoire de ce sourire arrogant. Le choc fit reculer le garçon d’un pas, et les rires autour s’éteignirent en une fraction de seconde.
Mais il n’était pas seul. À peine le leader vacilla-t-il que ses deux acolytes réagirent. L’un saisit Shinji par l’épaule, l’autre essaya de le repousser. Mais Shinji, galvanisé par sa colère, se dégagea et enchaîna par un takedown, entrainant son adversaire au sol et le rouant de coups, façon ground and pound.
— T’ouvres encore ta gueule ?! Hein ?! hurla-t-il.
Les coups pleuvaient dans la confusion. Les deux autres gars ripostèrent, essayant de dégager Shinji. Ils le mirent à terre avant de le piétiner.
"Arrêtez ça immédiatement !"
Le gardien scolaire surgit, attrapant l’un des agresseurs par le col et repoussant l’autre. Il se plaça entre Shinji et ses attaquants, bras tendus pour les séparer.
"Vous êtes fous ou quoi ? Vous voulez tuer quelqu’un ?!" hurla-t-il.
Shinji, allongé, respirait difficilement, le visage couvert de contusions. Hiroto, lui, geignait en arrière-plan, son visage méconnaissable. Les élèves présents autour, fascinés par la scène, s’éloignaient peu à peu sous le regard furieux du gardien.
"Vous trois, chez le directeur. Tout de suite."
Les deux amis d’Hiroto obtempérèrent, lançant un regard noir à Shinji. Le gardien aida ce dernier à se relever, sa respiration encore tremblante.
"Tu viens aussi," dit-il d’un ton plus calme, mais ferme.
________________________________________
L’atmosphère dans le bureau du directeur était lourde. Shinji, le visage encore marqué par les contusions de la bagarre, était assis sur une chaise, le regard baissé, serrant les poings sur ses genoux. En face de lui, Hiroto jouait à la victime, la tête légèrement bandée, son air plaintif accentué par quelques geignements exagérés.
Le directeur, un homme d’âge mûr avec des lunettes fines, soupira lourdement avant de s’adresser à Shinji :
"J’ai du appeler ta mère, Shinji. Elle est en route. J'espère que tu mesures la gravité de la situation."
Shinji ne répondit pas. Son silence n’était pas dû à un manque de respect, mais à la culpabilité mêlée de colère qu’il éprouvait. Il savait qu’il avait dépassé les bornes, mais il ne supportait pas de voir Hiroto jouer la comédie après ce qu’il avait dit.
« Bien que Hiroto ait aussi eu une part de responsabilité verbale, nous ne pouvons tolérer une telle violence, tu es allé trop loin. Mais d’abord, je vais avoir un tête a tête avec ta mére. »
Quelques minutes plus tard, Shinji entendit la porte s’ouvrir…
« Sa mère, tu l’as vue ? Une bombe. Je te jure, si j’avais dix ans de plus… »
Des mots crus, une vulgarité qui lui retournait l’estomac. Chaque phrase était comme une lame qu’on enfonçait un peu plus profondément. Mais aujourd’hui, c’était pire : en sortant de classe, il avait surpris leur chef, un certain Hiroto. Ce type arrogant et grande gueule,était en train de décrire à ses amis ses fantasmes les plus grotesques à propos d’elle, son sourire moqueur élargissant la fissure béante dans le contrôle de Shinji.
Il avait tenté de l’ignorer. Vraiment. Mais il n’y arriva pas. C’était plus fort que lui.
À la sortie des cours, Shinji attendit, les mains dans les poches pour masquer les tremblements de colère qui l’agitaient. Il savait où il serait : le type traînait toujours près du terrain de sport après les cours, entouré de ses deux acolytes, des gars costauds mais visiblement incapables de réfléchir sans leur leader.
Quand il le vit, Shinji marcha droit vers lui, ses pas lourds sur le gravier.
— Toi.
Le garçon leva un sourcil, surpris, puis éclata de rire en le voyant approcher.
— C’est quoi ton problème ? lança-t-il avec ce même sourire suffisant, clope à la main.
— Mon problème, c’est toi. Arrête de parler de ma mère.
Ses mots étaient tranchants, presque crachés, et il sentait déjà les regards curieux des autres élèves qui traînaient dans le coin. Mais le garçon ne se démonta pas. Au contraire, il haussa les épaules, affichant un sourire encore plus provocateur.
— Tu devrais être flatté, non ? Elle est canon, ta daronne. Pourquoi t’énerver ?
C’en était trop. Shinji n’attendit pas une seconde de plus. Son poing partit comme une balle, droit dans la mâchoire de ce sourire arrogant. Le choc fit reculer le garçon d’un pas, et les rires autour s’éteignirent en une fraction de seconde.
Mais il n’était pas seul. À peine le leader vacilla-t-il que ses deux acolytes réagirent. L’un saisit Shinji par l’épaule, l’autre essaya de le repousser. Mais Shinji, galvanisé par sa colère, se dégagea et enchaîna par un takedown, entrainant son adversaire au sol et le rouant de coups, façon ground and pound.
— T’ouvres encore ta gueule ?! Hein ?! hurla-t-il.
Les coups pleuvaient dans la confusion. Les deux autres gars ripostèrent, essayant de dégager Shinji. Ils le mirent à terre avant de le piétiner.
"Arrêtez ça immédiatement !"
Le gardien scolaire surgit, attrapant l’un des agresseurs par le col et repoussant l’autre. Il se plaça entre Shinji et ses attaquants, bras tendus pour les séparer.
"Vous êtes fous ou quoi ? Vous voulez tuer quelqu’un ?!" hurla-t-il.
Shinji, allongé, respirait difficilement, le visage couvert de contusions. Hiroto, lui, geignait en arrière-plan, son visage méconnaissable. Les élèves présents autour, fascinés par la scène, s’éloignaient peu à peu sous le regard furieux du gardien.
"Vous trois, chez le directeur. Tout de suite."
Les deux amis d’Hiroto obtempérèrent, lançant un regard noir à Shinji. Le gardien aida ce dernier à se relever, sa respiration encore tremblante.
"Tu viens aussi," dit-il d’un ton plus calme, mais ferme.
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L’atmosphère dans le bureau du directeur était lourde. Shinji, le visage encore marqué par les contusions de la bagarre, était assis sur une chaise, le regard baissé, serrant les poings sur ses genoux. En face de lui, Hiroto jouait à la victime, la tête légèrement bandée, son air plaintif accentué par quelques geignements exagérés.
Le directeur, un homme d’âge mûr avec des lunettes fines, soupira lourdement avant de s’adresser à Shinji :
"J’ai du appeler ta mère, Shinji. Elle est en route. J'espère que tu mesures la gravité de la situation."
Shinji ne répondit pas. Son silence n’était pas dû à un manque de respect, mais à la culpabilité mêlée de colère qu’il éprouvait. Il savait qu’il avait dépassé les bornes, mais il ne supportait pas de voir Hiroto jouer la comédie après ce qu’il avait dit.
« Bien que Hiroto ait aussi eu une part de responsabilité verbale, nous ne pouvons tolérer une telle violence, tu es allé trop loin. Mais d’abord, je vais avoir un tête a tête avec ta mére. »
Quelques minutes plus tard, Shinji entendit la porte s’ouvrir…