The Multiversity

Tara ne faisait pas encore partie du cercle intime de sa patronne, mais elle avait déjà fait l’amour avec elle. Helena était terriblement perverse, mais elle devait réaliser que Karen l’était au moins tout autant ! Infatigable, insatiable, pleine d’énergie et d’idées perverses, la Kryptonienne aimait se faire plaisir, et ne manquait pas d’idées pour dynamiser son entreprise. Elle s’inspirait des méthodes managériales uatéennes, des techniques qui avaient su faire leurs preuves ! En appliquant cela, Karen avait noté une baisse des tensions au sein de l’entreprise significatives. Elle n’était en soi pas sexiste, et elle savait que, au travail, les femmes pouvaient se montrer aussi autoritaires et harceleuses que les hommes, mais elle faisait tout son possible pour éviter les personnalités les plus nuisibles et les plus nocives. Les employés toxiques étaient humiliés et soumis, frustrés sexuellement, et, petit à petit, Karen développait au sein de Starr Industries une discipline fondée sur la rigueur et sur le sexe. Cela ne signifiait pas que son entreprise n’était pas sérieuse, mais, dans une logique feng shui sexuelle, elle harmonisait les différentes forces en présence. Bien sûr, il n’y avait aucun écrit, aucune trace, elle ne voulait pas d’un scandale… Même si certains salariés peu scrupuleux avaient toutefois tenté de la faire chanter. Pour autant, faire chanter une femme surpuissante dotée de pouvoirs quasi-divins ne menait jamais bien loin, et Karen n’avait eu aucune difficulté à retourner la situation contre eux.

Revenant à la situation actuelle, Kara sourit en voyant Helena lécher longuement les collants de Tara. Fétichiste, Tara avait développé une méthode de dressage des employés récalcitrants consistant à les faire jouir avec ses pieds. Cela pouvait sembler amusant, mais elle pouvait se montrer absolument redoutable quand elle le voulait. Tara était très douée, et elle sourit donc, remuant ses orteils dans la bouche d’Helena, relevant son autre pied pour relever le menton d’Helena, frottant ensuite son collant contre son visage. Helena se laissait aller, et remontait ensuite le long des collants, les léchant tendrement, déposant ensuite une série de baisers, gémissant faiblement. Cette situation l’excitait fortement, et Tara finit par se racler la gorge après quelques minutes.

Elle était la RH, et elle se tourna ensuite, invitant Helena à aller sucer une queue. Celle-ci se déplaça alors, le corps tout excité… Et sentit soudain une cravache s’abattre sur son cul. Le coup fit sursauter Helena, et émanait de Karen. La PDG sourit doucement, avant de regarder ses employés. Beaucoup étaient encore assez confus, peinant à se dire que tout cela était réel. Karen choisit donc pour Helena, en tirant sur sa laisse, et se rapprocha d’un homme. C’était un rouquin, qui s’appelait Edan.

« Pa… Patronne ?
-  Hum… Notre petite chatte ne vous fait pas envie, Edan ? »

Le jeune homme avait une érection infernale qui pointait sous son pantalon, et rougit encore.

« Je… Mais… C’est…
-  Ne soyez pas si pudiques ! Ma petite chatte, va le détendre, suce-moi ce bel Irlandais ! »

Originaire d’Irlande, Edan avait une alliance autour du doigt, mais ce n’était visiblement pas cela qui arrêterait Karen. Souriant doucement, la femme s’écarta, tandis qu’Edan, comme statufié, observa Helena se rapprocher de lui, et, quand ses mains commencèrent à tirer sur sa ceinture, il déglutit encore, sentant sa gorge s’assécher sur place.

Cette femme était terriblement exquise, à tel point qu’il en perdait son latin !

Helena n’eut pas à attendre bien longtemps pour se trouver un partenaire. Après un coup de cravache sur le cul, Karen tira sur sa laisse et la guida jusqu’à un certain Edan, un rouquin d’origine irlandaise qui semblait plutôt gêné à l’idée de se faire sucer devant tout le monde, surtout qu’il était marié. Pourtant, la jeune femme voyait bien l’érection qui tendait sous son pantalon.

« Nnnyyyuuu... détendez-vous maître... votre petite chatte va bien s’occuper de vous. »

Helena se rapprocha de lui, le débarrassa de son pantalon puis de son boxer, faisant émerger un sexe veineux et tendu qui la fit vite saliver.

« Miam... le maître est bien monté. Petite chatte... mmrraaww... va se régaler. »

La jeune femme ne laissa pas à ce brave garçon le temps de réfléchir à ce qui lui arrivait, elle se dépêcha d’empoigner cette verge pour la caresser tandis que sa langue vint s’attaquer à ses bourses. A la façon dont il couinait et gigotait alors qu’elle n’en était qu’à l’échauffement, elle se demanda s’il n’était pas en manque. S’il était marié, alors sa femme n’avait pas dû être très entreprenante au lit ces derniers temps. C’était donc l’occasion pour la petite chatte de se régaler tout en offrant à ce garçon une bonne occasion de lâcher un peu la pression.

« Hhhmmm... ggrroouu... »

Après avoir bien échauffé Edan, Helena prit son sexe en bouche pour le sucer comme elle savait si bien le faire. L’irlandais partit rapidement dans les tours, couinant de joie tandis que ses mains se posèrent sur la tête de son amante pour l’encourager à avaler sa queue plus profondément. Elle se retrouva vite à lui faire une délicieuse gorge profonde, sentant son gland enflé taper contre l’entrée de sa gorge. Plus de doute, il était vraiment en manque. Cette petite gâterie était juste ce dont il avait besoin. Et pendant qu’elle s’amusait, la petite chatte recevait aussi des coups de cravache sur le cul de la part de Karen et Tara.

Que mes maîtresses sont vilaines. Oui, encore !

Edan ne tint que trois petites minutes avant que le plaisir ne le submerge et qu’il ne jouisse. Helena sentit alors un torrent de foutre exploser dans sa bouche et se déverser dans sa gorge. Définitivement, son amant n’avait pas dû avoir de plaisir au lit avec sa femme depuis belle lurette. Une fois l’éjaculation finie, elle sortit sa verge de sa bouche et ouvrit grand pour que tout le monde voie la quantité de foutre qu’il y avait dedans. Elle joua un peu avec, le faisant tourner sur sa langue, puis elle l’avala.

« Nnnyyyuuu... »

Alors qu’elle commençait déjà à chercher son prochain amant, la petite chatte se retrouva attrapée et plaquée au sol par Edan. Ce dernier, après avoir goûté au plaisir avec elle, en voulait encore. Elle se retrouva donc sur le dos, les jambes écartées en grand, prête à se faire remplir la grotte par un mandrin encore bien vigoureux. Elle regarda en direction de ses maîtresses. Allaient-elles arrêter le rouquin devenu gourmand, ou au contraire encourager sa prise d’initiative ?

Karen sourit malicieusement devant ce délicieux spectacle. Sa femme s’adaptait à toutes les situations, et ne cessait d’amener en son for intérieur Power Girl à se demander si le problème venait d’elle. Sa perversité terrifiante avait-elle à ce point contaminé Helena ? Quand les deux femmes s’étaient connues sur Earth-2, elles étaient alors des âmes innocentes. Karen était la fille adoptive de Clark et de Loïs, alors même que, quand ils avaient quitté Krypton, elle était plus âgée que lui, et qu’il était un bébé ! Mais, le temps d’arriver sur Terre, son vaisseau avait subi une avarie cryogénique qui avait fait que, quand elle était finalement arrivée sur Terre, Clark avait grandi à l’âge adulte. Les deux avaient adopté Karen comme leur propre fille, et Karen avait fini par les considérer comme ses parents légitimes. Pendant son enfance, Helena avait été sa meilleure amie, sa « sœur de cœur », une jeune femme intrépide, toujours apte à faire des bêtises là où Karen était comme un éléphant au milieu d’un magasin de porcelaine, craignant de lui broyer les os en lui faisant des câlins. Et, finalement… C’était la facétieuse Helena qui voulait l’emmener dans la Batcave ou la faire sortir du périmètre de sécurité des parents qui était devenue la soumise ! Comme quoi, la vie révélait bien des surprises. Mais, en voyant ainsi Helena sucer la queue d’Edan, elle se rappela volontiers ses années vertes, où elle suivait lentement Helena. Les deux femmes avaient fini par s’affirmer en quittant Earth-2, en rejoignant ce monde.

Elle sortit de ses pensées quand Edan gémit. Les joues rouges, il semblait bien serré dans sa chemise, et jouit joyeusement dans la bouche d’Helena. Il s’abandonna puissamment en elle, serrant ses cheveux avec ses deux mains, et se recula ensuite. Helena avait reçu dans la foulée plusieurs fessées de Kara et de Tara, chacune des deux frappant son cul avec une cravache, se concentrant chacune sur l’une de ses fesses.

« Hmmm, mais quelle perverse… C’est à croire que, plus tu as du public, et plus tu deviens perverse, ma petite chatte ! »

Karen ne put que faire ce commentaire en la voyant s’agenouiller sur le sol, telle une petite chatte, et ouvrit la bouche, avalant bruyamment le sperme d’Edan. À ce stade, tous les salariés encore hésitants bandaient furieusement, et même les femmes semblaient très désireuses de coucher avec elle. Helena se retourna ensuite, finissant à quatre pattes, cherchant un autre amant, quand Edan retourna alors précipitamment sur elle. L’homme était comme possédé, et avait retrouvé son érection. Il la renversa sur le sol, et Karen vit Helena la regarder, attendant ses instructions.

Edan était toutefois très envieux, grognant furieusement, et embrassa sèchement la femme.

« Hmmm, bordel, je dois te baiser ! »

Karen se déplaça alors, et attrapa Edan par le col de la chemise, et le jeta en arrière. L’homme tomba sur les fesses, surpris, et regarda alors sa patronne, une lueur de frustration dans le regard… Puis le pied de Tara jaillit, et se posa alors sur son torse, le plaquant sur le sol.

« Tu as déjà eu ton tour, Edan ! Tu vas devoir attendre pour mériter encore ! Ici, il faut partager !
-  Mais… Non ! »

C’était le problème avec les hormones, ils finissaient par occulter tout raisonnement logique ! Karen n’était pas spécialement surprise, elle savait comment cela marchait.

« Oh si ! »

La cravache de Tara frappa alors le sexe de l’homme, et elle claqua des doigts.

« Attachez Edan sur une chaise face à notre chatte ! Mettez-lui un gag ball sur les lèvres, je veux qu’il regarde ! Helena décidera ensuite si elle vient le soulager ou non ! »

Comme quoi, Tara pouvait se montrer très autoritaire, et deux employés vinrent obéir, attachant Edan sur une chaise, qui gémit doucement. Oh, en soi, Karen comprenait son excitation. Elle était bien naturelle, mais, si on ne respectait pas les règles, ce serait vite le chaos et l’anarchie !

Pendant ce temps, un autre homme se rapprocha, et prit Helena à quatre pattes. Elle se mit en levrette, et sentit une belle verge s’enfoncer dans sa chatte, la faisant doucement gémir. L’homme était un peu ventripotent, sa bedaine se serrant sous sa chemise, et Karen sourit lentement, le laissant la pénétrer, accélérant en grognant. Il avait une belle barbe, bien fournie, et gifla avec ses grosses mains de bûcheron le cul de la jeune femme, haletant et soupirant profondément.

Façonnée par le sexe, Helena était loin d’avoir terminé sa journée !

Alors qu’Helena s’attendait à se faire énergiquement prendre par Edan, Karen et Tara l’arrêtèrent. L’assistante de direction maintint l’homme au sol, un pied sur son torse, lui expliquant que tout le monde devait être servi. Le rouquin se retrouva attaché à une chaise, un gag-ball dans la bouche, obligé de regarder la petite chatte qui allait déjà passer au partenaire suivant.

Un autre homme approcha. Il avait une allure plus primale qu’Edan avec sa bedaine, sa barbe bien fournie et ses mains solides, mais ce n’était pas forcément un mal. Helena le laissa manipuler son corps, et elle sentit son sexe s’enfoncer en elle en position de levrette.

« Aaahhh ! Nnnyyyaaa ! »

Contrairement à ses deux amants précédents, cette fois, la petite chatte était en position de dominée, recevant les assauts vigoureux de son amant tout en se faisant fesser. Sentir cette puissance et cette vaillance dans la façon dont elle se faisait baiser ravissait la jeune femme, qui savourait pleinement le plaisir qu’elle recevait.

« Ooouuuiii... quelle puissance... quelle trique. Mmmrrraaawww... petite chatte... aime ça. »

Face à elle, elle pouvait voir Edan, attaché et bâillonné, qui bandait comme un fou en voyant la façon dont elle se faisait prendre. En l’observant, elle se demanda ce qu’elle allait faire de lui. Certes il avait enfreint les règles, mais un tel entrain à lui faire l’amour méritait d’être salué. Et si, comme elle le supposait, il n’était plus intime avec sa femme depuis un moment, elle pouvait comprendre son envie de sexe, elle se sentait même un peu triste pour lui. A quoi ressemblerait sa vie si Karen et elle cessaient de faire l’amour ? Cependant, pas question de lui offrir une gâterie sans lui faire regretter sa transgression d’abord. Et se faire prendre par ce mâle bien bâti excitait follement son imagination perverse.

Quand ce gros ours finit par jouir en elle, Helena atteignit aussi l’orgasme, et sa mouille gicla contre le bassin de son amant. Elle avait le visage rouge et le cul encore plus rouge, mais elle avait clairement pris son pied. Il était maintenant temps pour elle pour décider de ce qu’elle comptait faire d’Edan. Et elle savait exactement ce qu’elle voulait. Restait à savoir si elle allait pouvoir le faire. Elle approcha à quatre pattes, ondulant des hanches pour le plus grand plaisir de son assistance, et elle vint lécher la queue bien tendue du rouquin, qui grognait sous son gag-ball.

« Tu as été un vilain garçon Edan... mais petite chatte est généreuse. Elle va te donner ce que tu veux... si tu veux bien lui répondre. Et ne mens pas... mmmrrraaawww... je le saurais. »

Elle s’installa sur les genoux du jeune homme, se collant près de lui pour bien lui faire sentir le moelleux de ses seins contre sa peau, et elle lui retira son gag-ball.

« Dis-moi Edan... est-ce que ta femme fait la grève du sexe ? Tu m’as l’air tellement tendu... et frustré. Depuis combien de temps ne l’as-tu plus défoncée... hhhmmm... avec ton gros canon ? »

Elle faisait exprès d’utiliser un langage très cru pour continuer à exciter son public. Puisqu’elle ne faisait l’amour avec personne pendant qu’elle s’amusait avec son nouveau jouet.

« Si tu ne fais plus l’amour à la maison... ooohhh... alors je te donnerai une fessée... devant tout le monde. Et ensuite... gggrrrooouuu... tu pourras me défoncer le minou... jusqu’à te vider les couilles dedans. »

Elle regarda ensuite en direction de Karen et Tara.

« Pas d’objection maîtresses ? Nnnyyyuuu... »

Helena se faisait joyeusement besogner sous les yeux de sa femme, qui en était très excitée. Ah, comme c’était beau ! Elle aimait vraiment ce genre de choses. Karen avait sans aucun doute des problèmes ! Comment expliquer autrement qu’elle puisse aimer autant que ça le sexe et la luxure ? Voir ce gros employé bedonnant défoncer avec énergie la chatte de sa femme, c’était magnifique, et elle se mordillait les lèvres, frissonnant en envisageant d’être à sa place. Elle regarda d’autres employés. Plus personne ne pensait désormais à autre chose, et elle laissa sa vision thermodynamique parler. Elle sourit doucement en voyant que tous les hommes bandaient furieusement, et se dit qu’elle allait avoir du mal à rester de marbre ainsi. De fait, ses joues rougissaient doucement, et l’homme finit par jouir dans le corps d’Helena, sa queue massive crachant des filaments de sperme, tandis que le salarié reprenait ensuite ses esprits.

Reprenant ses esprits, Helena se retourna alors vers Edan. Le jeune homme bandait furieusement, et Helena décida de quitter son rôle de « petite chatte » pour se mettre à parler. Elle le rejoignit à quatre pattes, et l’homme gémit quand elle lécha sa queue tendue. Visiblement, elle avait encore envie de jouer avec lui, et Karen sourit alors, la laissant faire. Si soumise face à elle, ou face aux femmes fortes, face aux hommes, elle se réveillait, comme si son côté maternel reprenait le dessus.

« Hmmm… »

Oui, rester calme devenait de plus en plus dur pour elle aussi ! Elle vit ensuite Helena remonter sur les cuisses d’Edan, et se frotter langoureusement contre lui, avant de lui ôter son gag-ball, qu’elle jeta au sol. Helena avait trouvé sa proie, et l’homme déglutit doucement crispant ses mains.

« Je… Je suis désolé pour tout à l’heure, je… J’ignore ce qui m’a pris… » réussit-il à se confesser.

Helena ne semblait guère s’intéresser à ses remords, et celle-ci préféra s’intéresser à sa relation conjugale avec sa femme. Edan rougit sur place, un peu honteux d’évoquer devant ses collègues une situation familiale très personnelle… Mais sa verge remontait furieusement, coulissant contre les cuisses trempées d’Helena. La chatte humaine était si belle, frottant ses seins contre son visage, se frottant contre lui. Elle aurait presque pu ronronner, et l’homme avait très chaud, et était incapable de réfléchir calmement. Sa verge tendue parlait à la place de son cerveau, noyant toute capacité de réflexion. C’était une délicieuse drogue, un magnifique sentiment euphorique qui s’emparait de lui. Déglutissant doucement, il l’observa encore, tandis qu’elle l’interrogeait, et se retourna vers Tara et Karen pour voir si elle pouvait agir à son gré.

Karen lui sourit doucement.

« Fais-toi plaisir, Helena ! »

À vrai dire, plus elle la voyait agir ainsi, et plus elle se disait qu’elle ne serait pas à sa place comme secrétaire. Elle la voyait bien devenir une sorte de geisha d’entreprise, venant soulager ses employés de toute cette tension sexuelle, désarmer les conflits sociaux à grand coups d’orgies.

« Je… Je couche avec Bethany, mais… E-Elle ne partage pas mes fantasmes… Elle… »

Il déglutit faiblement, et soupira quand le corps d’Helena flatta encore sa queue, la redressant joyeusement.

« Elle… Ses goûts ne sont pas comme les miens, elle… Elle aime les choses trop classiques ! »

Karen s’amusait de cette situation. Helena aimait dominer les hommes, mais, jusqu’à présent, son choix se portait plutôt sur des hommes efféminés, des traps. Allait-elle se diversifier pour s’attaquer à des hommes n’ayant pas l’apparence androgyne qu’elle appréciait ? Cela était beau à voir, mais Karen était aussi excitée, et ordonna à un homme de venir la besogner. Le salarié fut bien trop content d’obéir, à tel poitn que ses mains tremblaient. En sueur, il déboutonna sa ceinture, et se rua contre elle, tandis que Karen s’asseyait contre le comptoir. Elle enroula ses jambes autour de sa taille, sa main sur sa nuque, et le laissa s’enfoncer en elle, tout en soupirant, et surtout en regardant sa chérie agir par-dessus son épaule.

Maintenant qu’elle avait dompté Edan, Helena pouvait commencer à le punir.

« Je… Ce que je ressens pour t-toi, je ne le ressens plus pour elle depuis bien longtemps… C’est pour ça que… Que je me suis emporté, je n’aurai jamais cru jouir si vite en toi, mais… Tu es tellement différente, tellement… Haa… Tellement sexy ! »

Autant le dire clairement, Helena avait une touche avec cet homme !

Helena voyait bien qu’Edan avait un problème dans sa vie conjugale, et elle s’amusait à l’utiliser pour prendre le dessus sur lui. Jusqu’à présent, son goût pour la domination ne s’était porté que sur des hommes efféminés, mais là, elle avait envie de dominer ce rouquin, même s’il semblait bien dans sa peau en tant qu’homme. Il lui avoua que sa femme, Bethany, le laissait coucher avec lui, mais qu’elle n’avait pas les mêmes goûts que lui. Et à force de s’en tenir aux pratiques sexuelles classiques, il avait fini par accumuler une grosse frustration.

« Oh... je vois. Parle-moi un peu de tes goûts. Nnyyaa... qu’est-ce que tu aimes faire au lit ? »

La petite chatte l’encourageait à se lâcher en frottant son sexe tendu contre son joli cul rebondi. En tournant un peu la tête, elle vit que Karen était elle aussi passée à l’action, se faisant prendre sur le comptoir par un employé, les jambes enroulées autour de sa taille.

Edan se montra plutôt explicite sur ses goûts en matière de sexualité. Helena l’écouta tranquillement, se léchant les babines en s’imaginant ce rouquin lui faire tout ce qu’il décrivait, puis elle se mit à sourire quand il lui avoua la trouver très sexy. Elle lui caressa le visage et lui lécha le bout du nez.

« Mon pauvre garçon. Je comprends pourquoi tu étais si perdu. Mais ne t’en fais pas. »

Elle approcha sa bouche de son oreille.

« Mmrraaww... petite chatte va s’occuper de toi maintenant. »

La jeune femme détacha le rouquin de la chaise et finit de le déshabiller. Cependant, elle l’empêchait encore de la toucher ou de se servir de sa verge.

« Mais avant... tu dois être puni. Tu as enfreint les règles et tu as voulu me faire l’amour sans permission. Donc... »

Elle s’installa sur la chaise à la place de son soumis et le fit ensuite venir s’allonger sur ses genoux.

« Je vais te donner une fessée devant tout le monde. Tu vas avoir mal, tu vas avoir honte, mais si tu peux le supporter... tu auras ta récompense. »

Joignant le geste à la parole, Helena fit claquer sa main sur la fesse droite d’Edan. Elle y alla fort dès le début pour bien lui faire comprendre qu’elle ne plaisantait pas, puis les claque commencèrent à s’enchaîner. Cependant, l’humiliation ne faisait que commencer.

« Y en a-t-il parmi vous qui ont envie de punir ce méchant garçon ? Venez... nnnyyyuuu... ne soyez pas timides. »

Au début, personne n’osa bouger. Mais quand Tara arriva pour mettre des coups de cravache sur le derrière d’Edan, d’autres femmes eurent le courage de s’approcher et d’assouvir leur envie en fessant ce joli cul. Le rouquin était devenu le centre de l’attention, et cela ravissait sa maîtresse, qui continuait de s’amuser avec lui. Cependant, ses fantasmes ne tardèrent pas à venir la travailler, et tandis qu’elle punissait son soumis, elle se mit à l’imaginer en version féminisée. Une belle robe, une lingerie sexy, du maquillage... Edan avait du potentiel.

Oui... je suis sûre qu’un tanga en dentelle blanche lui irait à ravir. Un peu de mascara pour faire ressortir ses yeux... une robe fendue sur le côté... il serait parfait.

« Dis que tu es un vilain garçon. Dis que tu as été méchant, et que tu nous remercie de te donner la fessée pour t’éduquer. »

La punition dura pendant cinq minutes, puis Helena fit signe à tout le monde de s’éloigner. Elle releva Edan et l’installa sur ses genoux. Le pauvre avait le visage tout rouge, elle avait même l’impression que des larmes perlaient au coin de ses yeux.

« C’est bien Edan. Tu as enduré ta punition, maintenant tu vas avoir ta récompense. »

Elle approcha sa bouche de son oreille et la mordilla avant de murmurer.

« Tu as le droit de jouir une fois avec moi. J’assouvirai n’importe lequel de tes fantasmes. Gggrrrooouuu... tu n’as qu’à demander. »

Sa femme s’épanouissait à merveille dans le sexe. Jadis, Karen aurait pu s’en vouloir ou être choquée, surtout que cette passion pour le sexe venait en grande partie d’elle… Mais les choses avaient changé depuis. Karen et Helena avaient tous les deux changé, et, en l’état, Karen ne pouvait rester impassible à toute cette débauche. L’un de ses employés s’était frotté contre elle, et elle avait senti sa belle érection. Rapidement, l’homme la pénétra ensuite sur le bar, mais Karen regardait surtout par-dessus son épaule ce que sa femme faisait. Helena libéra Edan, et l’installa sur ses genoux, dans une position assez humiliante. Karen choisit de la laisser faire, amusée par la situation, tout en se disant que cela pourrait peut-être engendrer des problèmes par la suite. Mine de rien, le travail était un environnement qui pouvait vite se montrer toxique, où les gens avaient tendance à faire ressortir leurs frustrations sur leurs collègues. Mais il était maintenant trop tard pour faire machine arrière, et Karen regarda donc avec plaisir Helena fesser à plusieurs reprises Edan.

Le salarié rouquin hoqueta à chaque fessée, se tortillant sur place en cherchant ses mots. Helena pouvait se montrer délicieusement autoritaire, et Karen adorait voir cela. Elle le fessa encore, et Edan se mit à lui répondre, sa queue se dressant furieusement sur place.

« O-Oui, je… Je suis un vilain garçon, hmmm… Pu-Punissez-moi, Maîtresse… ! »

Helena abattit encore sa main à plusieurs reprises, tandis que Tara les rejoignit, et abattit sa cravache à plusieurs reprises. Elle se pencha dans le même temps vers Helena et l’embrassa tendrement sur les lèvres.

« Normalement, glissa Tara, c’est à moi de punir les salariés, mais je vais faire une exception avec toi, ma belle… »

Plus Helena découvrait l’entreprise, et plus elle réalisait tout le potentiel qu’il y avait à faire ici ! C’était une chose incroyable, et il ne faisait alors aucun doute qu’elle allait sacrément se faire plaisir ici, au point d’y passer assurément beaucoup de temps ! Souriant lentement, Karen la vit donc continuer à maltraiter Tara, tandis que plusieurs secrétaires s’y mêlèrent, ainsi que des cadres, et des assistantes de direction. Karen soupira doucement, gémissant en sentant son partenaire s’enfoncer profondément en elle.

Gémissant lentement, l’homme était en sueur, et Karen alla alors l’embrasser. Elle s’occupa un peu plus de lui, serrant son corps au sien, et ce fut pour ainsi dire le coup de grâce, qui amena son partenaire à jouir confusément en elle. Sa queue se tendit, et il s’abandonna joyeusement dans son corps, relâchant sa chaude semence.

« Han, vous êtes si bonne, Maîtresse…
-  Je sais… »

Power Girl l’embrassa une nouvelle fois, et invita un autre homme à venir. Un salarié supplémentaire se rapprocha. Elle sourit en voyant son alliance briller doucement sur son doigt, et il la pénétra à son tour, la faisant lentement gémir. Son endurance surnaturelle se manifestait surtout en matière sexuelle, et les employés allaient vite comprendre que les rumeurs circulant sur la libido de Karen Starr étaient loin d’être infondées.

De son côté, Helena avait fini de punir Edan, qui se releva gauchement. Ses fesses lui faisaient très mal, et sa queue l’élançait furieusement. Mais Helena l’invita désormais à voir ce qu’il avait envie de faire, et le jeune employé sourit doucement, avant de déglutir.

« Je… Je veux te so… Sodomiser, He-… Helena-chan… »

Il déglutit doucement, et la vit se mettre en position, à quatre pattes devant d’autres employés. Tara sourit doucement devant ce spectacle, et Edan s’enfonça rapidement en elle, gémissant de plaisir en sentant l’étroitesse de ce postérieur. D’autres hommes se rapprochèrent, pointant leurs verges vers Helena, et commencèrent à se masturber, tout en l’incitant à venir les masturber avec ses mains. Pour l’heure, personne ne voulait encore s’enfoncer dans sa bouche, car les gens souhaitaient entendre sa délicieuse voix remplir l’espace.

Après tout, les gémissements et les cris d’Helena étaient délicieusement exquis !

Helena s’était bien amusée en punissant Edan, mais maintenant elle voulait lui donner ce dont il avait envie. Et ce qu’il voulait, c’était la sodomiser.

« Mmrraaww… très bien. »

La petite chatte se mit à quatre pattes et écarta ses fesses avec ses mains pour dévoiler le passage vers sa rondelle. Le rouquin ne se fit pas prier pour venir se loger dedans, et elle put sentir sa belle trique tendue et veineuse écarter ses parois anales sur son passage. Elle pensait que la fessée l’aurait refroidi, mais il semblait au contraire plus dur qu’avant d’être puni.

« Gggaaahhh… ouah… ça c’est de la trique. »

Après que l’homme ait commencé à la besogner, d’autres hommes approchèrent d’elle avec le sexe hors de leurs pantalons, demandant à la petite chatte de venir les branler. Helena ne se fit pas prier, et attrapa une verge dans chaque main avant de commencer à les branler. Autant d’attention pour elle avait de quoi la ravir.

« Nnnyyyaaa… ooouuuiii… tant de belles bites… si dures et si juteuses… ooohhh ! »

Helena s’étonnait que personne ne vienne lui remplir la bouche, mais au moins comme ça elle pouvait couiner et miauler de tout son souffle, pour le plus grand plaisir de son auditoire. La jeune femme adorait être le centre de l’attention, et elle adorait recevoir tous ces beaux mandrins tendus.

« Aaahhh... continuez mes mignons. Votre petite chatte... mmmyyyuuu... adore vos bites ! »

Edan était si excitée qu’il ne mit que quelques minutes à jouir dans le fondement d’Helena. Quand à cette dernière, étant plutôt habituée au sexe anal dur, elle n’eut pas assez de plaisir pour atteindre l’orgasme. Par contre, elle eut la joie de recevoir le foutre des deux chibres qu’elle avait branlé sur le visage. Sa peau se retrouva zébrée de traces gluantes, et elle s’amusa à lécher le contour de sa bouche pour avaler tout ce bon jus.

« Hhhmmm... quel délice. »

La demoiselle se nettoya le visage et avala toute la semence qu’on lui avait donné. Elle alla ensuite rejoindre son amant rouquin et l’embrassa.

« Tu as aimé Edan ? Moi en tout cas... ça m’a plu. »

Elle frotta son visage dans son cou comme un chat en demande de câlins puis prit son sexe encore tendu dans sa main.

« Tu en veux encore pas vrai ? Eh bien désolée... mais ton tour est fini. Mais reviens me voir ce soir... et j’aurai quelque chose pour toi. »

En effet, Helena ne comptait pas en rester là avec Edan. Elle avait établi un premier contact, et maintenant le rouquin la voyait comme la personne qui pouvait satisfaire ses fantasmes. Elle allait s’en servir pour faire de lui un nouveau trap. Mais en attendant, elle avait encore un auditoire à satisfaire.

« Alors tout le monde... qui veut venir jouer avec petite chatte maintenant ? Mmmrrraaawww... J’ai beaucoup satisfait de messieurs jusqu’à maintenant. Y a-t-il une dame dans l’assistance... ooouuuhhh... qui veuille venir jouer avec moi ? »

La jeune femme remuait son joli corps en mettant en avant la rondeur de ses formes rebondies pour attiser le désir de son public. Même si elle avait envie de le faire avec une femme maintenant, elle n’aurait rien contre un autre chibre à satisfaire.

Comme possédé, Edan s’enfonça énergiquement en elle. Sa queue se heurta rapidement à ce cul délicieusement serré, mais les parois anales d’Helena se dilatèrent somme toute assez vite. Il baissa les yeux après avoir longuement soupiré, et déglutit en constatant que cette vision était magnifique. Le cul d’Helena s’écrasait autour de sa verge, et son membre assoiffé s’enfonçait en elle, jusqu’à la garde. Toute sa verge disparaissait en elle, et il grogna lentement, pinçant ses doigts en sueur sur ses fesses moelleuses. Il les pressa, les pinça. Edan aurait bien voulu la fesser, mais le jeune salarié était totalement subjugué par cette sodomie qu’il n’arrivait pas à penser à autre chose. Tout ça était tout simplement irréel ! Il y a encore une demi-heure, il s’endormait devant son écran en planchant sur des modélisations 3D, et, maintenant, sa queue s’enfonçait dans ce corps généreusement offert. Qu’est-ce qu’il pouvait aimer ce boulot ! Helena, très réactive, gémissait en masturbant deux belles queues, s’appuyant sur les verges tendues des autres hommes. Un joli cercle s’était formé autour d’elle, composé d’homme sen chaleur, qui bandaient tous. Helena était devenue l’attraction de tout l’étage, et on la filmait sans hésitation. Il n’y avait toutefois aucun risque de fuite, car l’accès à Internet était fourni par Starr Industries, et Karen comptait bien tout filtrer. Les vidéos de ce type resteraient sur l’île, elle ne voulait pas compromettre l’existence d’Huntress !

Mais quel spectacle ! oh, comme Karen aimait ça ! Voir sa femme devenir le désir de multiples hommes aux regards libidineux… Loin de la rendre jalouse, cela l’excitait furieusement, ainsi que le fait de savoir qu’aucun de ses hommes n’arriverait à la satisfaire pleinement. C’était trop tard pour Helena, qui avait goûté à du sexe supernaturel, que ce soit avec elle, ou avec Ishtar Naviento. De simples amants ordinaires ne pouvaient espérer satisfaire ce corps fortement entraîné, et cela amusait Karen. Edan n’était pourtant pas mauvais du tout, mais il aurait dû avoir de super-pouvoirs ou une maîtrise de la magie rose pour réussir à pousser Helena jusqu’à l’orgasme. Il s’abandonna en elle dans un long soupir, tout comme les deux hommes qu’Helena masturbait vigoureusement. Son visage se remplit d’une belle crème blanche poisseuse et collante, tout comme son cul.

Ravie, Helena se releva, tandis que le deuxième homme s’abandonnait dans le corps de Karen, l’excitant, mais sans arriver à la faire jouir. Elle l’embrasser tendrement, sensuellement, puis il se retira, et un troisième approcha, un homme chauve à la peau noire. Elle l’attrapa par sa cravate, et l’embrassa fortement, avant d’enrouler ses jambes autour de lui, et de le laisser s’enfoncer en elle. Sa queue était bien grosse, et, quand il posa ses mains sur elle, elle soupira en sentant avec joie le contact d’une alliance. Coucher avec des hommes mariés ou des femmes mariées, ça l’excitait toujours, comme un petit plus… Ou une preuve supplémentaire de sa grande perversion !

« Hmmm… »

Helena avait jeté son dévolu sur Edan, qui allait sûrement devenir un autre de ses esclaves, mais elle réclamait désormais la présence d’une femme. Au milieu des hommes, une femme s’approcha rapidement, faisant claquer doucement ses talons. S’appelant Courtney, elle était une cadre au sein de l’entreprise, proche de Tara. À Starr Industries, les femmes de caractère semblaient avoir une certaine influence sur le reste de la compagnie.

« Toi, ma chérie, tu vas devenir l’une des prochaines sex dolls de la compagnie… Je suis ravie de voir que mes idées plaisent à notre directrice ! »

L’idée d’utiliser des prostituées au sein de la société avait été avancée notamment par Courtney, qui assurait que c’était un moyen efficace de dénouer fortement les tensions au sein de l’entreprise, en aidant les employés à se relâcher. Courtney, de fait, venait de Tekworld, d’Uatis. Elle avait migré sur Terre à l’aide d’une passerelle entre GeoWeapon Corp., son ancien employeur, et Starr Industries. Et, dans les locaux de GWC, les sex dolls étaient régulières. Les employés talentueux recevaient même des tickets pour leur faire l’amour pendant une durée supérieure à la normale.

Courtney embrassa Helena en se tenant debout tout contre elle. Les deux femmes s’embrassèrent longuement, puis la femme lécha le visage d’Helena, nettoyant son sperme, une main sur sa joue, l’autre allant palper son délicieux cul. Elle gifla ensuite son postérieur, prouvant d’emblée qu’elle était une femme plutôt autoritaire, désireuse de s’imposer.

« Alors, quels sont tes projets, jeune chatte ? Qu’as-tu envie de faire avec une autre femme, hum ? »

Après l’appel d’Helena, une femme avança vers elle. Elle s’appelait Courtney, c’était une cadre de l’entreprise qui était proche de Tara. Elle approcha d’Helena et lui sourit en disant qu’elle était contente de voir que sa suggestion de faire appel à des prostituées d’entreprise plaisait à la directrice.

« Mmrraaww... c’est un plaisir pour moi... de satisfaire les employés. »

Les deux femmes s’embrassèrent longuement, puis Courtney se mit à nettoyer le visage de la petite chatte en léchant le sperme qui la maculait, une main sur son visage et l’autre sur son cul. Helena gémissait et se trémoussait sur place en sentant cette main palper et gifler son derrière. Une certaine autorité se dégageait de cette femme, elle en conclut donc qu’elle avait affaire à quelqu’un de semblable à Tara. Quand elle eut fini de l’embrasser, elle lui demanda ce qu’elle voulait faire avec elle.

« Ggrroouu... je ne suis pas encore sûre... mais si je faisais de vilaines choses... oouuhh... vous me donneriez une fessée ? »

Helena avait beau être au service des employés tandis qu’elle jouait les prostituées d’entreprise, elle n’en restait pas moins une femme joueuse et coquine. Le genre qui prenait plaisir à désobéir aux ordres de sa maîtresse juste pour le plaisir d'être punie ensuite. Et se faire punir devant tout le monde ne ferait que rajouter à son plaisir.

« Si vous êtes d’accord... je vais commencer... nnyyaa... par m’occuper de vos seins. »

La petite chatte se dépêcha de faire tomber le chemisier de la femme, dévoilant un soutien-gorge beige semi-transparent au travers duquel elle pouvait voir ses tétons. Courtney avait une magnifique poitrine, et son amante posa ses mains dessus pour les malaxer doucement.

« Mmmrrraaawww... je vais faire mes pattes de velours... sur vos coussins bien moelleux. »

Helena s’amusait à masser et presser cette poitrine rebondie tandis qu’elle enfouissait son visage dans la vallée entre ces seins, frottant ses joues contre le tissu raffiné de son soutien-gorge. Mais très vite, ne pas pouvoir sentir sa peau contre la sienne l’ennuya, et elle lui retira son sous-vêtement pour pouvoir s’occuper de ses seins directement.

« Maîtresse Courtney... mmmyyyaaa... petite chatte adore... vos melons. »

Helena se mit à cibler les tétons de Courtney. Elle les fit rouler entre ses doigts, les pinça, appuya dessus pour les enfoncer dans les seins de sa maîtresse... bref, elle les attaquait sans pitié pour faire mouiller son amante. Elle se régalait de ses soupirs de plaisir et de la sensation de ses pointes roses qui devenaient de plus en plus dures.

Après quelques minutes, elle arrêta de caresser ses seins et donna un petit coup de langue sur un de ses tétons, en guise d’avant-goût.

« Alors... aaahhh... que doit faire petite chatte... pour avoir sa fessée ? »

Courtney était une femme aussi redoutée qu’appréciée au sein de la compagnie. Elle avait conservé en elle tous les traits caractéristiques de l’élite uatéenne. Arrogante, belle et perverse, elle aimait dominer les hommes. Avec elle, les hommes ne pouvaient qu’être à ses pieds, et, quand ils la baisaient férocement, c’était toujours temporaire, provisoire. Courtney reprenait ensuite le contrôle. Seul son côté pervers arrondissait les angles, car elle aurait autrement été l’archétype de la supérieure hiérarchique ingérable, qui pousse ses collègues à la dépression. Courtney incarnait donc cette vision uatéenne du monde du travail, où les rapports sexuels permettaient de fluidifier et d’harmoniser la vie au sein de l’entreprise. Karen l’appréciait donc pour ça, et elle savait que beaucoup de salariés fantasmaient sur elle. Il suffisait de voir la liste de demandes de mutations internes quand Courtney recherchait un assistant supplémentaire.

Elle embrassa donc longuement Helena, palpant sans hésitation son divin fessier, pinçant ses fesses, se frottant à elle, jusqu’à ce que la petite chatte de la compagnie décide d’agir, et ne s’attaque aux gros seins de Courtney. Souriant doucement, celle-ci claqua des doigts, et deux salariés, ses assistants, soumis, rapprochèrent un fauteuil moelleux où Courtney s’assit. Helena resta assise sur ses cuisses, et la femme posa une main sur les cheveux d’Helena, les caressant et les emprisonnant.

« Hmmm… Te punir, oui.. Je vais adorer te punir, ma petite chatte… Pour t’attaquer ainsi à mes seins sans mon autorisation, et pour me faire ressentir autant de plaisir… Tu vois les deux hommes derrière moi ? L’un d’eux avait fixé ma poitrine une fois, sans même me demander mon avis. Depuis lors, il porte une cage de chasteté qui émet des vibrations électriques à basse fréquence déclenchant de fortes érections… Je le torture quand il m’apporte mon café, ou quand il est avec des clients… »

Le jeune homme rougit confusément. Avec Courtney, difficile d’être une personnalité forte. Elle sentit Helena se précipiter encore sur ses seins, jusqu’à les durcir fortement. La femme usa ensuite de ses mains, et le contact était, en vérité, onctueux, savoureux, délicieux. Helena savait y faire, Courtney se doutait qu’elle avait déjà dû pétrir bien des seins moelleux, mais elle le faisait avec une telle passion que c’en était… Magique !

Helena termina par un coup de langue, et redressa son visage. Courtney sourit alors.

« Et bien, avoir léché les seins de ta Maîtresse sans son autorisation, cela suffit amplement… Mes petits-chiens vont te conduire dans mon bureau spécial, celui où je punis les rebelles comme toi… »

À l’idée qu’Helena s’éloigne, les autres salariés déglutirent lentement.

« Assez ! s’exclama Courtney. Ce que vous voyez ici n’est qu’un avant-goût de la nouvelle union qui règnera au sein de l’entreprise ! Vos queues s’enfonceront toutes dans la chatte de cette salope, ainsi que des autres que nous ramènerons ! »

Karen la laissait faire. Elle appréciait Courtney, et elle sentit son dernier amant jouir en elle. Elle grogna sur place, soucieuse de rassurer les salariés qui n’avaient pas pu jouir.

« Ne vous en faites pas, Messieurs, vous pouvez tous venir baiser votre patronne… Mais je souhaite que Courtney montre l’affichage vidéo de la punition qu’elle va infliger à notre chatte en latex… »

Courtney confirma avec un sourire, et ordonna à ses larbins de guider Helena. On l’attrapa par la laisse, et elle dut avancer à quatre pattes, tandis qu’un assistant s’équipa d’une cravache, et fessa à plusieurs reprises Helena. Courtney leur fit signe d’avancer, et, pendant ce temps, les salariés de Starr Industries se rapprochaient tous de Karen, pour la prendre les uns après les autres, voire trois en même temps.

De son côté, Helena s’avança à quatre pattes, et rejoignit un couloir à l’opposé du grand open space, où Courtney se dirigea vers une porte verrouillée, qu’elle ouvrit à l’aide d’une carte de sécurité. Une petite salle d’attente se trouvait juste avant son donjon, et les deux salariés se dévêtirent totalement. Les assistants étaient totalement nus, à l’exception d’un harnais en cuir chacun et des cages de chasteté avec des vibromasseurs anaux intégrés.

« Moi seule décide quand mes petits chiens jouissent…
-  Oui, Maîtresse…
-  Vos petits chiens vous aiment tellement, Maîtresse… »

Sourire amusé sur les lèvres, Courtney ouvrit ensuite la porte. La pièce était sombre, et des néons s’allumèrent, diffusant une lumière rouge.

« Attachez-là sur la croix de Saint-André, puis vous sucerez ses seins pendant que je la fesserai pour la punir de son impertinence et de son insolence ! »

Courtney laissa toutefois un choix à Helena :

« Je te laisse décider si tu veux qu’ils portent des cagoules ou non. Personnellement, j’aime bien les priver de la vue, mais ils feront ce que tu souhaiteras là-dessus… »

Helena avait fait exprès de provoquer Courtney pour l’inciter à la punir, mais elle n’avait pas imaginé jusqu’où cela irait. Elle lui raconta que l’un des hommes derrière elle avait un jour louché sur sa poitrine sans sa permission, et que depuis il portait une cage de chasteté qui lui envoyait des décharges électriques sur commande. Cette femme était définitivement une grande dominatrice, et elle décida d’amener la petite chatte dans son bureau privé pour la punir comme elle le méritait.

« Mmyyuu... vous voulez m’emmener ? Mais... et les autres employés ? Ils n’ont pas pu jouer avec moi. »

Courtney dut amadouer les autres employés en leur expliquant que ce qui venait de se passer n’était qu’un avant-goût, et que d’ici peu, il y aurait d’autres prostituées d’entreprise pour les combler. Mais en attendant, Karen se proposa pour finir de combler les employés masculins encore en manque. Elle demanda aussi à ce que la punition de la petite chatte soit diffusée en direct pour que tout le monde puisse la voir.

« Mmrraaww... ce sera un plaisir maîtresse. »

Helena dut se déplacer à quatre pattes, tenue en laisse par un larbin de la femme, tandis qu’un autre lui donnait des fessées avec une cravache. Elle franchit une porte verrouillée ouverte par sa maîtresse, et les deux salariés qui la faisaient avancer se dévêtirent totalement, dévoilant une cage de chasteté avec des vibromasseurs anaux intégrés. Ils semblaient soumis à leur maîtresse et heureux de l’être.

« En plus de vos chiens... vous avez une belle chatte maintenant. »

Helena suivit les assistants de Courtney dans le donjon, et elle fut préparée pour leur maîtresse. Elle portait déjà une tenue appropriée pour l’endroit, alors ils se contentèrent de l’attacher et de positionner une caméra devant elle. La jeune femme mouillait déjà sur place.

« Nnnyyyaaa... bonjour tout le monde. J’ai été une vilaine petite chatte... et maîtresse Courtney va me punir. J’espère que ça vous plaira. »

Elle allait commencer dans les films pornos plus vite que ce qu’elle avait imaginé.

Courtney monta une caméra sur un trépied, tandis que, devant l’absence de réponse d’Helena sur les cagoules, elle mit elle-même les cagoules. Ils couvraient toute la vue des deux hommes, ne laissant que leurs bouches à l’air libre, leur permettant ainsi de respirer. Ils bandaient tous les deux furieusement, et Courtney, tout en préparant la caméra, donna ses explications :

« Je sais que Karen envisage de faire de toi une actrice pornographique. Le film qui va suivre sera, je pense, un bonus… Comme tu le sais, la compagnie de ta Maîtresse a de nombreux secteurs d’activités, et la pornographie est un domaine que nous investissons. Enfin, tu verras plus tard les nombreux projets prévus par ta Maîtresse… »

De quoi donner de l’eau à la bouche d’Helena. Mais Courtney n’allait pas end ire plus, elle en avait déjà beaucoup dit ! Elle déclencha donc la caméra, et regarda les deux salariés, transformés en esclaves, s’attaquer avec énergie aux seins d’Helena. Ils s’y attaquèrent avec passion, et virent les sucer tendrement. Leurs langues glissaient sur les tétons, et leurs dents mordillèrent la chair, tirant dessus. Helena ne tarda pas à gémir en se tortillant sur la croix, tandis qu’elle pouvait sentir les verges des deux hommes remuer sur son corps. Starr Industries était vraiment un endroit formidable ! Karen avait conçu une entreprise sans nulle autre pareille, où le sexe y était délicieusement omniprésent !

Courtney gloussa doucement en se rapprochant, et caressa le visage d’Helena avec sa cravache, glissant sur son menton, et l’amena contre les lèvres de l’héroïne. Elle tremblait doucement, rougissant sur place, se tortillant faiblement sur la croix.

« Mes deux petits chiens savent y faire, non ? Ils s’occupent bien de toi, petite chatte… Tu as le droit de t’estimer heureuse, d’en ronronner de plaisir ! »

La jeune dominatrice s’amusait, et finit dans le dos d’Helena. Elle attrapa d’une main sa laisse, et tira dessus vers l’arrière, ce qui eut pour effet de resserrer son collier, l’étranglant doucement, tandis que les deux hommes continuaient à doucement gémir. Elle pouvait sentir leurs virilités, leurs membres impatients. Ces vits turgescents ne semblaient demander qu’une chose, s’enfoncer dans ce corps doux, chaud, et magnifiquement appétissant ! C’était une doucereuse attirance, exquise ! Mais ils étaient obéissants, et, même s’ils étaient excités, ils continuaient comme ça.

Tenant la laisse d’une main, Courtney abattit la cravache de l’autre, la faisant claquer sur le cul d’Helena, qui ressortait sous la croix, et continua ainsi, donnant de solides coups, faisant à chaque fois gémir, voire hurler, Helena. Elle la laissait respirer pour mieux la battre, l’humilier tout en l’insultant.

« Une traînée incroyable ! Dire que Maîtresse comptait t’offrir initialement un travail normal, le genre de travail dont tu aurais pu être fière, que tu aurais pu mettre sur un CV. Mais, dès le premier jour, ta vraie nature de perverse masochiste a pris le dessus ! Tu n’es qu’une nymphomane ! Tu sais ce qu’on pourrait écrire sur ton CV, la seule ligne qui te décrive vraiment ? ‘‘Pute en chaleur‘‘ ! Tu es une pute ! »

À ce stade, il allait devenir difficile de nier quoi que ce soit, tant le plaisir était intense, violent, puissant. Courtney continua à l’humilier, et s’arrêta finalement quand le cul d’Helena avait bien rougi.

« Détachez-là de la croix ! Qu’elle se mette devant la caméra pendant que l’un la bourrera par l’arrière ! Je veux qu’elle regarde l’écran et qu’elle avoue combien elle aime qu’on l’insulte, qu’on la baise comme une chienne ! »

Car, somme toute, c’était bien là tout ce qu’Helena était ici… Une magnifique chienne qui ne faisait que l’amour, sous des formes différentes, ne parvenant pas à épancher son inextinguible soif !

Une fois attachée et préparée, Helena regarda Courtney passer à ses deux servants une cagoule qui les privait de toute vue, ne laissant que leurs bouches à l’air libre. La femme continua de préparer la caméra tout en expliquant qu’elle savait que Karen avait l’intention de faire d’elle une actrice porno. Apparemment, c’était l’un des secteurs dans lesquels Starr Industries comptait investir.

« Vraiment ? Nnyyaa... je n’étais pas au courant de ça. »

Helena pensait qu’elle allait juste tourner dans des petits films que sa chérie et elle seraient les seuls à voir, mais si elle comptait mettre de l’argent de l’entreprise dedans, cela allait peut-être prendre une plus grande dimension.

Quand la caméra se lança, les deux chiens de Courtney commencèrent à sucer tendrement les seins de la jeune femme, qui gémit en se tortillant sur la croix de Saint-André. Elle pouvait sentir leurs langues glisser sur ses pointes roses, leurs dents les mordiller, et leurs verges puissantes se frotter contre son corps. Ils semblaient terriblement excités mais restaient malgré tout très délicats dans leurs gestes. Leur maîtresse avait vraiment réussi à les dresser.

« Aaahhh... mmmrrraaawww... »

Comme demandé par Courtney, Helena se mit à ronronner de plaisir sous les assauts langoureux de ses amants, puis elle déglutit quand le collier autour de son cou se serra, lui coupant temporairement le souffle. La dominatrice s’amusait avec elle, ce qui ne manqua pas de faire mouiller la petite chatte encore plus. Mais ce n’était que le début. Après l’étranglement, elle passa à la fessée, abattant sa cravache sur le derrière rebondi de sa soumise. Elle ne la laissait respirer que le temps de gémir.

« Ggaahh... mmmyyyuuu... ooouuuiii... encooore ! »

Courtney se mit ensuite à l’insulter, comme quoi elle n’était qu’une perverse maso accro au sexe, et que la seule chose qui méritait de figurer sur son CV était son titre de pute en chaleur.

« Aaahhh... vous avez raison ! Ggghhh... je ne suis qu’une sale traînée... qui raffole de sexe sauvage. Ooohhh... je ne suis bonne... qu’à sucer des bites... lécher des chattes... et à me faire remplir... haaannn... par tous les trous. Ooouuuiii... je suis la plus grosse pute de bureau... qu’on ait jamais vu ! »

Helena en avait un peu honte, mais c’était vrai. Depuis qu’elle avait commencé sa journée, elle n’avait pratiquement que fait l’amour avec les employés de Karen. Et maintenant, elle offrait une performance pornographique en direct. Comment la prendre au sérieux en tant qu’employée après l’avoir vu ainsi ? Désormais, elle ne serait plus qu’Helena la salope.

Après quelques minutes à se faire sucer les seins et rougir le cul, la jeune femme fut finalement détachée de la croix, et sa maîtresse ordonna à ses chiens de venir la bourrer par l’arrière. Elle voulait la voir avouer combien elle aimait se faire baiser comme une chienne devant la caméra, que tout le monde voit à quel point elle était une salope. Helena ne put cacher son excitation à cette idée, et une fois détachée, elle guida l’un des deux hommes aveuglés pour qu’il se mette en position derrière elle. Elle était à quatre pattes, regardant vers la caméra, un grand sourire sur les lèvres, frottant ses fesses contre la trique de son amant.

« Mmmyyyuuu... maîtresse Courtney a raison. J’adore être insultée... et baisée comme une chienne. Et vous... vous avez envie de me baiser ? »

Elle se lécha sensuellement les lèvres pour attiser le désir de tous ceux qui regardaient.

« Maintenant que je travaille ici... hhhmmm... tout le monde aura l’occasion... de se faire plaisir au bureau. Mais ce sera seulement pour vous récompenser... nnnyyyaaa... si vous travaillez dur. »

Elle se mit à mimer une branlette avec sa main droite.

« Oui... très dur. »

Puis elle sentit le chien de Courtney s’enfoncer en elle. Sa trique était colossale, et la jeune femme lâcha un cri de plaisir intense aussitôt qu’il se logea en elle.

« AAAHHH ! Ooouuuiii... ça c’est de la bonne bite. »

Helena savait qu’elle était partie pour se faire joyeusement sauter par ce beau mâle en rut, et elle avait hâte de se montrer en train de prendre son pied devant la caméra.

Courtney ne put que sourire devant les réactions d’Helena. Si Karen voulait encore la faire travailler de manière normale, cela allait être très compliqué ! Elle était terriblement perverse, peut-être même encore plus que Karen, car la patronne arrivait tout de même à se retenir… Mais Helena, elle, en avait été incapable ! Elle s’était pliée très rapidement, succombant à ses viles pulsions, et Courtney savait que la possibilité de devenir une égérie du porno devrait lui plaire. Karen ne s’en faisait pas trop. Après tout, qui aurait pu soupçonner Clark Kent d’être Superman ? Helena continuerait à être Huntress, mais, là où Huntress serait une justicière très talentueuse, Helena, elle, serait une actrice et une prostituée de luxe. Courtney savait que Karen devait continuer à suivre ce qui arrivait à sa chérie, et elle se surpassait donc, la fouettant régulièrement, sentant le désir croître. Les deux chiens bandaient furieusement, leurs verges tendues frottant contre les jambes d’Helena. Courtney était mine de rien redoutable dans son genre. Comme Karen, elle était une dominatrice patentée, mais elle avait aussi été, plus jeune, comme Helena, une nymphomane affamée de sexe. Elle s’était peu à peu améliorée et perfectionnée, et prenait clairement son pied à dominer les autres.

Un sourire ravi éclaira ses lèvres en entendant Helena avouer ses faiblesses sexuelles.

« La plus grosse pute, rien que ça ? Tu t’avances, ma chérie ! N’est-ce pas de l’arrogance que je perçois là ? Une chienne n’a pas à être aussi présomptueuse ! »

Courtney déclara cela en tirant sur la laisse, étranglant à nouveau Helena. Elle la fouetta à nouveau, la faisant couiner, et relâcha ensuite la pression. Courtney se déplaça ensuite, et ordonna aux deux hommes de la libérer. Ils obtempérèrent, et la dominatrice en profita pour se déplacer, rejoignant un fauteuil, et s’assit en face d’Helena, croisant sensuellement les jambes. Tandis que les deux chiens se positionnaient, la cadre reprit :

« Tu sais, petite chatte, Karen a des projets ambitieux… Son projet est de faire des films pornographiques super-héroïques, et elle cherche une femme qui pourrait être une actrice principale, et enchaîner des films de ce genre. Penses-tu que tu seras à la hauteur, Helena ? Je dois admettre que ton corps serait parfait dans celui d’une Catwoman… »

Une déclaration amusante, vu qu’Helena était la fille d’une Catwoman issue d’une autre dimension.

« Quant à vous, mes petits chiens… Celui qui tient le plus longtemps avant de jouir aura l’immense honneur de porter l’une de mes culottes ! »

Les deux hommes sursautèrent, et tremblèrent nerveusement. Leur Maîtresse les effrayait autant qu’elle les excitait, et l’un se positionna donc, avant de prendre Helena par l’arrière, qui gémit joyeusement, visiblement très excitée à l’idée de pouvoir décrocher un rôle. Courtney, quant à elle, était si proche que ses pieds se rapprochaient de la tête d’Huntress.

« Allez, petite chatte, pendant que mes chiens te bourrent ton petit cul, viens me lécher, viens miauler contre mes pieds, montre combien ta Maîtresse t’excite et te plaît… »

C’était le genre d’invitations qu’on ne refuse pas !

Helena semblait être trop arrogante pour Courtney en affirmant qu’elle était la meilleure pute de bureau qui soit. Elle couina en se faisant étrangler par son collier et fouetter, puis sa maîtresse ordonna à ses chiens de la libérer. La jeune femme ne put s’empêcher d’être un peu déçue, mais heureusement, la cadre n’en avait pas fini avec elle. Elle lui expliqua que Karen comptait produire des films pornos super-héroïques, et elle cherchait une femme pour être son actrice principale. Elle voyait déjà bien cette petite chatte dans le rôle de Catwoman.

« Mmrraaww... oui... je jouerai n’importe quel personnage. Catwoman... Super-girl... Batgirl... Karen n’aura qu’à ordonner et j’obéirai. »

Helena savait que les films pornos sur les super-héroïnes tournaient en général tous autour du même thème : une héroïne tente de battre un méchant ou une méchante, mais elle n’y parvient pas, et après avoir été battue et humiliée, son ennemi lui fait l’amour, soit en la forçant, soit en contrôlant son esprit en l’hypnotisant ou en lui administrant des drogues. Et la jeune femme se voyait très bien dans le rôle de cette héroïne, même si au final, rien ne serait réel, hormis le plaisir ressenti.

Courtney ordonna à ses petits chiens de venir prendre le cul de la petit chatte en promettant à celui qui tiendrait le plus longtemps qu’il pourrait porter une de ses culottes, et cela sembla leur faire très plaisir. L’un d’eux se positionna derrière Helena et commença à la sodomiser tandis que la maîtresse ordonna à la demoiselle à quatre pattes de lui lécher les pieds en miaulant afin de montrer son amour à sa maîtresse.

« Nnnyyyaaa... oui maîtresse. »

Helena agissait presque sans réfléchir, tout son esprit était focalisé sur l’idée qu’elle pourrait bientôt tourner dans un film porno. Son plaisir se voyait à la façon dont elle léchait les pieds de Courtney, se frottait les joues dessus en ronronnant comme le ferait un vrai chat, et gémissait tandis qu’elle se faisait prendre le cul.

« Ooouuuhhh... mmmrrraaawww... maîtresse... c’est le pied ! »

Tandis qu’elle se faisait baiser et qu’elle flattait les pieds de Courtney, Helena se mit à imaginer le genre de scénario de film qu’elle aimerait faire. Elle arriverait habillée en Catwoman, avec pour but de s’en prendre à un super-vilain et de lui voler ses biens, mais elle finirait par être capturée. Le super-vilain l’attacherait ensuite devant un écran géant qu’elle serait obligée de regarder tandis qu’il lui passerait un film qui l’hypnotiserait pour en faire sa servante. Ou alors il lui injecterait un puissant aphrodisiaque et son corps la contraindrait à lui faire l’amour sauvagement. Peut-être même qu’elle finirait dans une scène de gang-bang, avec des hommes et des femmes assoiffés qui baiseraient le nouveau sextoy du super-vilain.

« Mmmyyyuuu... »

Dans tous les cas, elle avait hâte que Karen lui fasse tourner son premier film.

« Ggrroouu... maîtresse... que doit faire une petite chatte... pour pouvoir porter... haaannn... une de vos culottes ? »

Il n’y avait pas que les chiens qui étaient excités par l’idée.

Courtney souriait en voyant à quel point Helena était excitée. Elle ignorait encore tout ce que sa femme avait prévu, mais Courtney était uniquement là pour la stimuler, pour la motiver. Elle venait de titiller son imagination, et les deux esclaves la baisaient donc, chacun enchaînant après l’autre. Ils se surpassaient, conscients qu’ils mériteraient une récompense s’ils arrivaient à tenir. Helena, elle, léchait le pied de Courtney, remontant sur sa jambe, glissant sur son collant, avant de lui demander comment faire pour avoir le droit de porter sa culotte. La demande fit sourire Courtney, qui commença alors à se caresser intimement, glissant deux doigts sous sa culotte. Elle se masturba lentement.

« Si tu y tiens, petite chatte… Tu dois… Jouir au moins deux fois avant mon orgasme. »

Pour Courtney, ce défi était encore plus difficile que de ne pas jouir, car, si le premier orgasme viendrait facilement, le second serait plus dur, d’autant qu’il s’agissait d’orgasmes anaux. Mais, puisqu’elle avait deux amants, Helena se devait de les contenter tous les deux. La Maîtresse sourit donc, et observa la scène, mouillant lentement.

« Et tu dois continuer à me lécher aussi… Si tu cesses de me lécher pendant plus de cinq secondes, tu perdras ta récompense… C’est à ce prix-là qu’on devient une bonne chatte ! »

Et la bonne chatte continua donc son office, léchant donc. Elle remonta, et les coups de reins se multiplièrent. Les deux chiens derrière elle la besognaient sèchement, accélérant, grognant, utilisant tout ce que Courtney leur avait appris pour tenir. Helena sombrait avec joie dans la plus profonde des luxures, dans le stupre total et absolu. L’un des hommes jouit en elle, et, très rapidement, le second, très excité, le remplaça. Il s’enfonça en elle, la prenant vigoureusement, pinçant ses fesses, gémissant en se pinçant les lèvres. C’était si bon ! Ce cul serré se crispait autour de sa queue, et cette douleur exquise remuait profondément en lui. Ce contact était magnifique, et il ne pouvait qu’adorer ça, tremblant fiévreusement sur place.

Le temps passait donc, rythmé par les coups de reins et par les soupirs des uns et des autres. Courtney se masturbait de plus en plus frénétiquement, jusqu’à gémir, et eut un orgasme, peu de temps après que le deuxième homme se soit lâché dans le corps d’Helena. La belle chatte avait bien réussi, et, heureuse, Courtney se releva. Elle défit ensuite sa culotte, qui tomba sur le visage d’Helena. Une culotte salie par les traces de mouille, la rendant assez humide.

« Mes félicitations, petite chatte, tu as gagné le droit de porter ma culotte ! Vas-y, enfile-là vite ! »

N’était-ce pas là un immense honneur, après tout ?

Alors qu’Helena s’attendait à devoir relever un défi difficile ou humiliant, Courtney lui proposa au contraire quelque chose d’assez simple : elle devait jouir deux fois avant elle tout en continuant à la lécher. Du moins, le défi ne semblait pas difficile aux premiers abords, mais la jeune femme devait encore montrer qu’elle en était capable.

« Nnyyaa... bien maîtresse. »

Et la petite chatte continua son office, léchant allègrement les pieds et les jambes de sa maîtresse, remontant peu à peu jusqu’à ses genoux. Elle aurait voulu aller lui brouter le minou, mais elle se masturbait en la regardant se faire prendre, donc pas question de l’interrompre. Derrière elle, son amant continua de la baiser énergiquement, enfonçant son chibre puissant entre ses fesses en la tenant fermement par les hanches, claquant son délicieux cul pour le faire bien rougir. Il ne tarda pas à jouir en elle, et le second, tout aussi excité que lui, le remplaça rapidement.

« Aaahhh... ooouuuiii... défoncez-moi le cul... nnnyyyaaa... j’aime ça ! »

Helena sombrait avec joie dans la plus profonde des luxures, dans le stupre total et absolu. Elle avait déjà joui avec son premier amant, et elle se doutait qu’elle ne tarderait pas à jouir avec le second. Au niveau de Courtney, elle agissait de manière stratégique en ne laissant jamais d’intervalle de plus de trois secondes entre ses sessions de léchouilles afin de ne pas lui laisser le temps de réaliser quand elle arrêtait de la lécher pour qu’elle ne soit pas tentée de changer les règles. Avoir une conjointe comme Karen lui avait appris à économiser ses forces quand il s’agissait de sexe.

« Hhhmmm... ooohhh... maîtresse... vos chiens ont une... si grosse trique... AAAHHH ! »

Concentrée sur Courtney, Helena ne faisait plus vraiment attention à son propre plaisir, et elle atteignit très vite l’orgasme peu de temps après que le deuxième homme se soit lâché en elle, mais heureusement, juste avant que sa maîtresse ne jouisse. La petite chatte avait réussi son défi, et sa maîtresse la récompensa comme promis. Elle la regarda faire tomber sa culotte encore humide sur son visage et elle sourit en l’entendant lui ordonner de l’enfiler.

« Oui maîtresse. »

Courtney portait un tanga d’un violet légèrement pâle, mêlant habilement le tissu et la dentelle dans un mélange des plus raffinés. Helena se dépêcha de l’enfiler, et elle remarqua très vite qu’elle et sa maîtresse ne faisaient pas le même tour de taille. Certes les tangas dévoilaient plus de peau que les culottes, mais à la façon dont il rentrait dans le fessier de la petite chatte, on aurait presque pu croire qu’elle portait un string. Une fois habillée, elle tourna le dos à sa maîtresse et se mit à quatre pattes, bombant son joli petit cul à peine couvert par son nouveau sous-vêtement.

« Mmmyyyuuu... et maintenant maîtresse... qu’est-ce que je fais ? »

Ses deux chiens semblaient encore bien excités, elle aurait pu aller les sucer. Ou bien elle aurait pu aller montrer sa nouvelle culotte devant la caméra pour que tous les employés profitent de la vue. Ou peut-être que sa maîtresse avait envie de garder ce joli derrière rien que pour elle. Dans tous les cas, Helena espérait que pendant qu’elle était ici, Karen se consacrait à son travail. Une sur deux qui bosse, ce n’était déjà pas si mal.

Ah, quel talent ! La femme de Karen était vraiment incroyable ! Courtney la fit jouir avec un grand plaisir, faisant tout pour gagner. Un esprit très combatif malgré sa nature très soumise ! Courtney était ravie, mais elle n’allait pas pouvoir profiter davantage d’elle pour aujourd’hui. Mine de rien, elle aussi, elle devait travailler ! Elle hocha doucement la tête en remettant à Helena son tanga violet. Elle l’enfila avec joie, et s’exhiba avec. Le tanga lui allait moins qu’à Courtney, car elle n’avait pas les hanches musclées de la femme. La femme demanda alors à sa Maîtresse la suite du programme, tout en semblant totalement intoxiquée par le désir, par le stupre et le sexe.

*Je devrais peut-être lui dire les secrets de cette île, mais je pense que c’est à Karen de le faire…*

Courtney se redressa alors, et caressa le visage d’Helena, avant de l’embrasser sur les lèvres. Helena se mit ensuite à quatre pattes, et Courtney malaxa lentement ses belles fesses, frottant les deux ensemble. Elle pinça le délicieux cul de sa partenaire, mais sans aller encore jusqu’à la pénétrer.

« Malheureusement, ma chérie, je dois aller travailler… Mais tu peux toujours t’amuser avec mes deux petits chiens. Une fois que tu les auras épuisés, tu iras faire du sport. Il faut bien entraîner ce petit cul moulant, non ? »

De son côté, Courtney allait sans doute préparer la suite. Elle se déplaça alors, et ouvrit une porte latérale, donnant sur une agréable chambre. Une pièce assez petite, comprenant essentiellement un grand lit, et plusieurs caméras.

« Comme ça, Karen pourra te regarder faire l’amour avec ces deux-là… »

Courtney lui caressa le visage encore.

« On va tellement bien s’occuper de toi… Je vais aller chercher celle qui s’occupera de ta carrière pornographique, mais je ne sais pas si elle te trouvera à la salle de sport ou ici. Elle sera là dans quelques heures… »

Le choix allait aussi dépendre d’Helena. Allait-elle être une bonne chatte, et allait-elle arrêter cette séance pour s’entraîner ? Ou allait-elle au contraire profiter des deux beaux amants prêts à tout pour la servir ? Courtney embrassa encore Helena, et la renversa sur le lit, puis les deux hommes entrèrent ensuite. Ils étaient tout nus, à l’exception de leurs harnais en cuir, et de leurs cagoules. Libre à Helena de les enlever, tandis qu’ils s’installèrent à droite et à gauche d’elle. L’un vint l’embrasser sur les lèvres, et l’autre la renifla dans le creux du cou.

Ils frottèrent leurs verges contre ses cuisses, la reniflant, l’embrassant.

« Vous êtes si belles…
-  Nous sommes respectueux des femmes… En l’absence de notre Maîtresse, tu remplis cette fonction… Sauf si tu es incapable de l’assumer. Auquel cas…
-  C’est nous qui te dominerons. Tu sais, les chiens sont fidèles à leurs maîtres, mais, face aux autres, ils sont… Très dominateurs.
-  Et toi, tu es une petite chatte, non ? Est-ce que tu tiens à rester notre chatte ? »

Il allait être intéressant de voir comment Helena allait réagir…

Helena miaula de plaisir quand Courtney commença à malaxer lentement son beau cul mis en valeur par son tanga, pinçant ses fesses rebondies. Elle aurait voulu que ça dure plus longtemps, mais malheureusement sa maîtresse devait l’abandonner pour aller travailler.

« Oh non, déjà ? »

La jeune femme avait parfois tendance à oublier qu’elle se trouvait dans une entreprise. Cependant, elle pouvait toujours rester ici et s’amuser avec les petits chiens de Courtney. Cette dernière la conduisit dans une petite pièce avec un grand lit et plusieurs caméras, ce qui permettrait à Karen de la voir coucher avec ces deux mâles soumis. Elle lui dit également qu’elle allait lui envoyer celle qui allait s’occuper de sa carrière dans le porno d’ici quelques heures.

« Dis-lui de me retrouver à la salle de sport. Comme tu l’as dit, il faut que j’aille entraîner mon petit cul moulant. »

Après un dernier baiser de Courtney, Helena se retrouva renversée sur le lit, et les deux hommes vinrent s’installer à gauche et à droite de son corps. L’un vint l’embrasser tandis que l’autre vint renifler son parfum délicat dans son cou. Ils étaient vraiment très chauds et prêts à baiser comme des bêtes, mais ils voulaient d’abord savoir si Helena était là en tant que leur maîtresse ou en tant qu’une petite chatte qu’ils pouvaient dominer. La jeune femme se mit à sourire.

« Ni l’un ni l’autre mes chéris. Je suis juste une belle petite chatte qui veut passer du bon temps avec deux beaux chiens bien montés. Alors vous allez me donner ce que je veux, et je vous donnerai ce que vous voulez en échange. »

Et ainsi, Helena se lança dans une longue et délicieuse séance de baise avec ses deux amants. Ces derniers, excités et très endurants, la baisèrent pendant une longue heure qui sembla n’être qu’un instant pour la jeune femme. Elle s’était faite allègrement peloter les seins et les fesses, avait été léché un peu partout sur le corps, avait reçu leurs belles bites dans tous ses orifices mais aussi dans ses mains et entre ses seins. Pendant une heure, elle avait miaulé son plaisir et accompagné les aboiements et les grognement de ces deux mâles puissants et vigoureux, se faisant remplir et recouvrir de sperme par leurs soins. Quand elle en eut assez, elle était en sueur et couverte de fluides, mais elle était plus que ravie. Et surtout, elle espérait que Karen avait bien profité du spectacle. Quand elle finit par quitter le lit, ses deux amants étaient en train de reprendre des forces, visiblement très heureux de ce qui s’était passé. Elle leur dit au revoir avec un dernier baiser chacun.

« Oouuhh... merci mes beaux. Vous avez été au top. Maintenant excusez-moi... je vais aller faire un peu de sport. »

En quittant la pièce, Helena vit que Courtney lui avait laissé des vêtements ainsi qu’une note lui disant où elle pouvait trouver la salle de sport des employés et qu’on lui donnerait une tenue appropriée sur place. Au vu son état, elle ne traîna pas trop dans les couloirs et fila directement à la salle de sport en suivant les indications laissées par Courtney. Elle sentit le regard lubrique de plusieurs employés en passant, mais elle ne se laissa pas distraire.

Une fois arrivée à la salle de sport, Helena fut tout de suite accueillie par une employée qui la reconnut immédiatement.

« Bienvenue Mlle Wayne. »

« Comment vous savez qui je suis ? »

« Oh voyons, tout le monde à Starr Industries sait qui est la femme de notre PDG. En plus, vous vous êtes plutôt bien faite remarquer depuis votre arrivée. »

« Effectivement. Alors... on m’a dit qu’on me prêterait des vêtements ici. »

« Oui, tout à fait. Une femme est passée tout à l’heure et a tout réservé pour vous. Elle nous a aussi demandé de vous conseiller sur les machines et les exercices pour travailler vos fessiers. »

« Evidemment. Il y a un endroit où je peux prendre une douche ? »

« Oui, les douches des femmes sont là-bas. Votre tenue vous attend dans le casier 137 avec une serviette et des chaussures. »

Helena se dépêcha d’aller dans les douches pour pouvoir enlever ces vêtements pleins de sueur et de sperme et s’enfoncer sous l’eau chaude. Elle resta sous la douche une bonne dizaine de minutes, se savonnant et se shampouinant pour faire partir un maximum de fluides et d’odeurs de son corps. Une fois bien propre, elle alla à son casier pour récupérer sa tenue, et comme elle s’y attendait, c’était une tenue très courte et moulante. Elle se composait d’une brassière de sport bleue et noire assurant un maintien fort pour sa poitrine, ainsi que d’un mini short aux mêmes couleurs qui laissait voir le bas de ses fesses et montrait bien à quel point elles étaient musclées et rebondies. Elle avait également des baskets noires. Elle allait une fois de plus attirer tous les regards, mais ce n’était pas pour lui déplaire.

Une fois habillée, Helena sortit des douches et retourna à l’accueil de la salle, où la réceptionniste lui indiqua quelles machines et quels exercices seraient les plus bénéfiques pour son joli petit cul. Habituée à faire du sport, la jeune femme n’eut pas besoin de beaucoup de temps pour trouver ses marques, et elle commença à faire des squats bulgares en attendant la venue de la femme qui allait diriger sa carrière d’actrice porno.