The Multiversity

Après avoir puissamment joui dans les corps de ses deux prêtresses-épouses, même Phasmaria devait se reposer un peu, reprendre des forces. La nuit était encore loin d’être finie, et il fallait savoir alterner les phases. Elle s’allongea donc entre les deux femmes. Comme toujours, Byleth était la plus expressive, tandis qu’Anu, plus silencieuse, se blottissait néanmoins aussi contre elle. Phasmaria commençait à bien dissocier les deux. L’une était extravertie, et l’autre introvertie. Néanmoins, les deux étaient complémentaires. Les mains de Phasmaria glissèrent des épaules de ses deux amantes pour aller se poser sur leurs fesses. Elle les pressa avec amour, malaxant leur délicieux petit cul. Byleth lui parla ensuite, s’interrogeant sur le sexe de leur futur enfant, tout en lui indiquant qu’elle préférerait avoir une fille.

« Eh bien, il existe certaines potions qui permettent d’orienter le sexe de ton bébé. Si tu le veux, nous les appliquerons sur toi. »

Phasmaria lui sourit, et l’embrassa. Les trois femmes avaient désormais chacune un inmon qui brillait, le meilleur témoin que leur nuit de plaisir n’était pas terminée. Byleth s’interrogeait déjà sur le nom, ce qui conduisit Phasmaria à l’embrasser à nouveau.

« Ton instinct maternel doit être encouragé, ma Byleth… Je suis sûre que Anu, aussi silencieuse soit-elle, est ravie aussi de porter notre enfant. »

Elle tourna sa tête vers Anu, et lui sourit lentement.

« Allez, mes belles, la nuit n’est pas encore finie, et je compte bien vous offrir aussi la possibilité de vous enfanter entre vous, si cette perspective vous tente… Pendant que vous allez y réfléchir, je veux que vous vénériez mon corps, comme la divinité que je suis pour vous. »

Phasmaria soupira doucement, et remonta ses mains pour caresser leurs cheveux avec tendresse. Le désir était encore là, fort, s’exprimant chez les trois femmes.

« Vous pouvez commencer par mes seins si vous voulez, mais je veux que vous embrassiez et que vous léchiez chaque parcelle de mon corps, mes amours… »

Elle leur sourit encore, sentant bien que ce traitement allait renforcer son érection…

La nuit était le début de leurs surprises, Byleth commençait à délaisser sa timidité inhabituelle pour redevenir cette curieuse pipelette qui avait mille et une question pour sa déesse, là où Anu restait la même, en un peu plus câline. D'ordinaire, il n'y avait que sa sœur qui pouvait vraiment s'en vanter. Et oui, si la parole de la déesse était vraie, cela ne faisait même pas une heure que sa semence était en train de fabriquer la progéniture divine, vouloir l'orienter ou imaginer son futur, c'était un peu tôt. Mais venant de Byleth, il va falloir s'y habituer, on savait au moins vers quels sujets sera poussé sa curiosité au cours des prochaines semaines. Porter le bébé de Phasmaria, c'était inouï pour elle. Jamais elle n'aurait imaginé pouvoir faire ça.

La déesse avait ses envies, elle pourrait réussir à tout avoir rapidement, d'un simple ordre, pour Byleth, il en serait ainsi, Anu serait moins serviable. Elle aimait Phasmaria, mais elle était encore sauvage, à sa façon. Elle a toujours protégé sa sœur, n'en faisant qu'à sa tête. Peut-être un jour, elles auront des bébés ensemble, pour le moment, savoir leur enfant frère/soeur simplement par le lien qui les unissaient à la déesse, ça lui convenait. De véritables liens de sang. Mais pour l'instant, la déesse voulait reprendre, sans en délaisser une, voulant d'elles qu'elles lèchent chaque parcelle de son corps. Une bien belle idée, l'une serait plus enjouées que l'autre, qui, elle, avait l’habitude de ça sur elle-même déjà. L'imon sur elles, ne leur faisait pas poser de question, pas plus que ça.

« Il est temps que je vous rende une toute petite part de tout le bien que vous m'avez offert, ma déesse. Je tâcherais de m'en montrer à la hauteur. »

Anu resta silencieuse, comme souvent, mais elle fut la première à se mettre au travail, venant téter la belle poitrine de la déesse. Même si Byleth voulait réussir et être efficace, elle fut plus hésitante, copiant sa sœur neko en imitant cette dernière pour le moment. On sentait qu'Anu savait utiliser sa langue – pour faire sa toilette d'ordinaire – et provoquait chez la divinité, le plaisir recherché. Même l'humaine savait se défendre, dans sa maladresse et son hésitation, elle savait faire du bon travail, de quoi obtenir l'approbation divine. Elle profitait un peu de l'ambiance, l'imon agissant peut-être sur elle, pour caresser la belle, sa main glissait sur le ventre de Phasmaria, remontant un peu, descendant vers sa douce cuisse. Elle était pas velue comme Anu sur certaines parties du corps, mais elle était douce. Douce et huilée. Ça, elle le savait, ça lui était déjà arrivée. Anu se concentrait surtout sur ce que faisait sa bouche, mais sa faible poitrine blottie contre elle, faisait ressentir chez la déesse les petites vibrations de ses ronronnements de plaisir.

Byleth et Anu avaient eu droit au Saint-Graal absolu, le corps parfait de leur Déesse vénérée. Elles portaient désormais chacune les enfants de Phasmaria. La Déesse-neko les récompensait donc en leur offrant à contempler son corps somptueux. Tandis qu’elle restait allongée sur le lit, Phasmaria replia aussi sa verge, son sexe reprenant finalement la forme normale d’un sexe de femme. Elles se pressèrent donc toutes les deux contre elles, ravies, honorées, flattées de voir que leur Maîtresse tenait à elles, et le leur faisait savoir. Phasmaria leur souriait donc doucement, et Byleth lui annonça qu’elles comptaient bien lui rendre « une toute petite part » de tout ce que la Déesse venait de leur offrir. Phasmaria ne put que sourire, et caressa d’une main les cheveux de Byleth, avant de l’embrasser sur le crâne.

« Tu sais comment parler aux Déesses, toi, ma chérie ! »

Phasmaria n’en était pas vraiment une, mais quelle importance ? Ce n’était pas comme si on allait vérifier ! Elle soupirait doucement en sentant Anu vibrer chaudement contre elle, son délicieux corps vrombissant contre elle. La Déesse-neko caressait à nouveau leurs belles fesses, sentant leurs langues glisser sur ses seins, et leurs mains caresser sa peau. Phasmaria se concentra un peu, et ses seins se gonflèrent alors. La Reine-Déesse usa de sa magie, et posa ensuite ses mains sur les têtes de Byleth et d’Anu.

« Vous avez soif, hein ? Mes petites chéries… Venez donc téter le bon lait de Maman Phasmaria… »

Son sort de magie rose allait prouver son efficacité. Elle se mit en effet à générer du lait, que les deux femmes purent donc goûter en la léchant. Mais, tandis qu’elles pompaient ses tétons, Phasmaria gémit, et se mit à ronronner à son tour. Elle se mordilla doucement les lèvres, et une envoûtante odeur se dégagea de son corps.

« Ne… Haaaa… N’hésitez pas à me caresser intimement, mes petits trésors, mon lait… N’en sera que plus agréable, hihi ! »

C’était un bon maternel pour personnes adultes, un lait généré par magie rose… Un lait qui était donc aphrodisiaque ! De quoi faire ronronner davantage Anu et conduire Byleth à se presser davantage contre le corps de Phasmaria !

Phasmaria fit une pause dans son ébat, laissant son corps en offrandes aux futures mères de ses enfants. Byleth y croyait dur comme fer, à ses yeux, cette femme était une déesse, ça crevait les yeux ! Puis quand bien même ce ne serait pas le cas, elle était la reine ici, et sa sécurité était entre ses mains. Elle était la seule ou l'une des rares humaines ici. Anu, un peu comme sa sœur, elle s'en fichait. Ce qui l'intéressait, c'était de veiller sur sa sœur, mais si elle peut avoir le confort et la sécurité en plus, ça lui convient parfaitement. Les deux prêtresses approchaient, la demoiselle fut la première à ne pas manquer cette occasion en venant lécher et téter le petit téton de la déesse neko. Elle était ravie, heureuse de lui rendre une petite part du plaisir offert.

Elle ne cachait pas sa joie en gémissant, sa main glissant sur la peau cuivrée de sa déesse, son ventre était doux et elle sentait légèrement ses muscles sous sa peau. Pas assez musclées pour les afficher, mais elle sentait, sous ses doigts. Cela l'excitait. Tout chez la déesse l'excitait ! Une déesse qui veut faire d'elle une de ses femmes et mère de son/ses enfants, jamais elle n'aurait cru ça de toute sa vie ! Sa sœur neko était plus réservé, elle tétait son sein, le léchant, sa petite langue râpeuse glissait dessus, coincée entre ses dents, sans la mordiller, faisant passer non pas ses doigts, mais ses griffes sur sa peau. Sans la marquer, mais ainsi, la déesse avait les deux faces d'une même pièce à ses côtés. Douceur et sauvagerie. C'est dommage, Anu était juste un peu plus petite – en taille, en âge, elle était un peu plus âgée que sa sœur – et moins généreuse que Byleth sur ses formes. Non pas qu'elle ait énormément de différence, mais mit côte à côte, on voyait une petite différence.

Elle changea d'abord de plan, faisant que ses seins puissent nourrir ses épouses. Pour le coup, même si Byleth aimait ça, c'est plus Anu qui était conquise par l'attention. La divine neko venait à changer la donne, rendant son délicieux aphrodisiaque, enfin, seulement si les filles s'amusaient aussi entre ses cuisses. La douce main de l'humaine glissa plus bas pour arrivée à ses lèvres intimes puis Anu la suivit, de façon moins délicate, elle s'inséra aussi. Elle faisait attention, ses griffes étaient plus courtes pour l'occasion tandis que deux doigts différents se baladaient en elle. Le goût ne changeait pas spécialement, mais les futures mamans se sentaient d'humeur plus coquine, ça oui ! Byleth était plus bruyante en tétant sa déesse, Anu ronronnait plus fort, mais surtout, elle se frottait doucement contre elle. L'excitation avait presque un effet de chaleur pour elle. Bien le seul moment où elle était vulnérable ! À moins que ses véritables chaleurs étaient proches et que donc, Phasmaria avait juste fait avancer la pendule ? Elles le sauront bien assez vite de toute façon.

La nuit était encore longue et pleine de promesses. Phasmaria jouait avec ses futures épouses, et, après leur avoir fait l’amour, il était temps de changer de rythme, d’instaurer un semblant de calme avant de retourner à des activités plus intenses. Phasmaria lisait une véritable et heureuse adoration dans les yeux de Byleth. Même Anu, plus renfermée, et sans doute plus sceptique que sa sœur, commençait à elle aussi se laisser bercer. Il faut dire que Phasmaria était une épouse accueillante, belle, perverse, et généreuse. Une « fausse » Déesse, qui ignorait encore à ce jour qu’un sang divin pulsait vraiment dans ses veines. Elle jouait son rôle à merveille, et était flattée de sentir chez Byleth une adoration sincère. Que Byleth la prenne vraiment ou pas pour une Déesse était finalement secondaire, elle la voyait comme un guide à suivre, et c’était là tout ce que Phasmaria souhaitait faire. Instruite et cultivée, elle savait que la foi préexistait à la raison d’État. La foi, c’était le moyen le plus ancestral d’unir un peuple, de l’unir autour d’une croyance commune, de stimuler en lui ses rêves et peurs d’enfants pour les concrétiser dans une relation adulte et mâture.

Phasmaria sourit donc en caressant les cheveux des deux femmes, qui vinrent palper ses seins, venant goûter à sa poitrine, s’imbibant de son odeur. Phasmaria soupirait et ronronnait doucement, ses mains continuant à les caresser.

« Oh, mes belles, vous êtes si chaudes… Je sens ton désir, ma Byleth d’amour, et toi aussi, ma Anu, tu ronronnes si fort… »

La Déesse-neko usa encore de sa magie, et Byleth et Anu purent sentir les seins de Phasmaria grossir, enfler. Tandis que les deux la masturbaient, les seins de Phasmaria se gorgeaient d’un délicieux lait aphrodisiaque.

« Plus vous me caressez, et plus vous pourrez boire, mes chéries… Gorgez du bon lit de votre Maîtresse, de votre épouse, de votre Déesse, haaaa… !! »

Et, plus elles tétaient, et plus Phasmaria mouillait… Un délicieux cercle vertueux de luxure naissait ainsi au milieu du lit, entremêlé de soupirs, de gémissements, et de ronronnements…