The Multiversity

[Strawberry Girls]

Si les petites fraises ont échappé au pire, on pourrait croire que finalement, elles vont quand même y passer mais là, c'était l’inverse de la frayeur d'être des objets, car c'étaient leurs sauveuses. Aoki et Felicia étaient venues dans leur tenue d'héroïne et ont sauvé les trois demoiselles. Certes, ça aurait été un peu rapide de les initier au BDSM, mais si c'était de la douceur qu'elles voulaient, elles en avaient à revendre. La belle Japonaise s'occupait de la petite Chinoise, la plus petite du trio, tant en taille – bien qu'elles ne soient pas bien grandes chacune – comme en âge. La douceur de sa peau était exquise et elle prenait tout son temps, ses mains glissaient sur sa peau de soie, provoquant parfois un petit soufflement de plaisir, tout chez elle était adorable. Aoki osait à peine aller plus loin, elle était si adorable qu'elle aurait presque l'impression d'être la méchante alors que sur le visage de Mei, tout n'était que bonheur, elle était heureuse d'être dans ce lit avec elle. Felicia avançait aussi à son rythme avec Tiên, venant la caresser sur ses cuisses, usant de ses griffes pour lui retirer sa petite culotte sans même lui retirer le bas de son pyjama. Qu'elle le remarque ou non, sa culotte avait une petite tâche humide.

Elle l'allongea sur le lit, profitant doucement de son corps en l'embrassant, constatant que la pile électrique était bien calme. Mais face à ce genre de situation, elle avait moins d'assurance, d'expérience donc forcément, ce n'était pas encore dans ses habitudes, difficiles d'être aussi survoltée que d'habitude. La pauvre en perdait même un peu de son anglais pour parler avec Felicia.

« [Je, euh... pas être... tout le temps, euh...] »

Ce petit manque de confiance, de ne pas trouver ses mots, ça lui donnait un petit air adorable, alors que d'habitude, elle ne tenait pas en place, le contraste était amusant et intéressant. Bien sûr qu'elle était partante, mais face à l'inconnu, elle ne pouvait pas savoir comment agir, quoi faire ? Kurumi continuait de filmer les deux couples, cette dernière avait un petit geste pour sa sœur, ses doigts glissant sur ses cheveux, pour la rassurer. Un petit geste, mais qui comptait pour elles, elles étaient unies ensemble. Même Mei, allongée dans le lit, glissait sa main dans celle de Tiên pour la rassurer, la petite vietnamienne devenait soudainement le centre de la soirée. Aoki l'observait en souriant, tout en bécotant sa petite fraise.

« Positions nous de sorte à ce qu'elles soient côte à côte, ça devrait les aider. »

Côte à côte le long ou juste leur tête l'une à côte de l'autre, ça serait sûrement même plus simple. Aoki bougeait doucement avec Mei, les deux demoiselles pouvaient se voir, tout en ayant vu facilement sur les deux jeunes femmes. Elles devraient pouvoir passer aux choses sérieuses comme ça.

« [Vous êtes biens, comme ça ?] »

Un petit signe de tête des filles suffisait à la rassurer, maintenant, elles pouvaient sûrement leur offrir un orgasme et faire d'elles, de vraies femmes ? Le plaisir saphique était si beau, propre et délicieux. Ce serait une erreur de brûler les étapes après tout.

[Félicia Hardy]

Un sourire amusé orna les délicates lèvres de Félicia. Face à elle, Tiên-chan n’en menait pas large, et, quand Félicia la provoqua gentiment, la jeune fraise rougit furieusement en bafouillant, n’arrivant plus à parler. Félicia posa alors un doigt sur ses lèvres, lui intimant doucement le silence. Elle continuait à prendre tout son temps. Un jour viendra où Aoki et Félicia seront plus intenses avec elles, mais ce n’était pas encore le cas. Pour l’heure, c’était bien sous des kilos de douceur et d’amour que les deux femmes agissaient. Félicia embrassa à nouveau Tiên.

« Laisse-toi faire, ma petite, Maman Félicia veille sur toi… »

À côté d’elles, Aoki se déplaça avec Mei, l’allongeant à côté de Tiên. La main de Mei se déplaça, et ses doigts s’entremêlèrent avec celles de Tiên. Un geste touchant, attendrissant, évidemment destiné à les rassurer toutes les deux. Cela commença aussi à donner une idée à Félicia.

« Aoki… Dis à Mei-chan d’embrasser Tiên-chan, et nous leur ferons l’amour comme ça… »

La position voulue était donc que Mei-chan s’allonge au-dessus de Tiên-chan, mais sur le ventre, là où Tiên-chan était sur le dos. Le visage de Mei-chan rejoignit ainsi celui de Tiên-chan, à l’envers d’elle, et les deux Strawberries purent doucement s’embrasser. Félicia, de son côté, déplaça son visage, et se logea entre les jambes de Tiên-chan. Elle écarta ses cuisses, et sentit le corps de la jeune frémir quand ses lèvres s’approchèrent de son sexe. Félicia commença à lécher ce délicat bourgeon, bien décidée à amener ainsi Tiên-chan à l’orgasme, tandis qu’elle embrasserait sa sœur, la belle Mei-chan.

N’était-ce pas là, après tout, une magnifique manière de les amener toutes les deux vers l’orgasme ?

[Strawberry Girls]

Dans le lit des femmes, le plaisir se faisait doucement sentir, après tout, il ne fallait pas aller trop vite, elles ont échappé à un sordide destin, quand bien même elles allaient leur proposer quelque chose de similaire bientôt, il ne fallait pas aller trop vite. Kurumi avait déjà eut droit à son plaisir, il fallait se concentrer sur les deux autres à présent, Tiên et Mei. Les demoiselles faisaient confiance en leur maîtresse mais ce n'était pas encore tout à fait ça. Au moins, elles étaient en bonne voie, côte à côte, elles se tenaient la main et cela était aussi mignon que c'était nécessaire, pour les rassurer. Aoki comprenait la certaine impatience de sa chérie mais face à son envie, elle lui tenait la main en allant l'embrasser, posant une main sur son entrejambe pour s'assurer que rien ne sortait de suite.

« Doucement, ma chérie... Laissons les d'abord faire leur premier pas... ensuite nous leur montrerons combien c'est agréable. »

Aoki allait servir d'exemple, un doux exemple pour changer un peu puis faire ça devant un public, ça pouvait être assez excitant aussi. Les demoiselles s'embrassaient doucement, sous le regard des adultes et même de Kurumi qui gardait un œil sur la situation. Mei était écrasée par son amie et elles s'embrassaient, un peu timidement mais cela rendait la scène si touchante. Aoki fut la première à glisser la tête entre leurs cuisses, léchant tour à tour leurs intimités si fluides et délicieuses. Ce petit goût d'innocence rendait cela encore plus savoureux. Leurs petits gémissements étaient tout aussi adorable mais Aoki laissait aussi Felicia goûté à ce petit nectar pour qu'elle se fasse son avis.

« Aidons les un peu après... nous leur montrerons autre chose. »

Dit-elle avec un clin d’œil. Oui, Felicia allait pouvoir décharger ses couilles mais il fallait avant tout leur montrer que la douceur était aussi un possibilité, un sexe masculin ne voulait pas forcément dire 'violence'. Leurs mains se retrouvaient entre leurs cuisses, chacune doigtait sa petite fraise doucement, pendant que leur langoureux baiser prenait de plus en plus de passion et bientôt, leur orgasme allait montrer une nouvelle voie pour elles.
 

[Félicia Hardy]

Félicia ne comptait pas déployer sa verge. Pas ce soir, ou, alors, juste avec Aoki. Les Strawberries avaient besoin de douceur, de tendresse, d’un amour chaud et doucereux. Félicia comptait bien agir comme ça. Quand Aoki posa sa main sur l’entrejambes de Félicia, celle-ci fronça donc les sourcils, et posa un doigt sur les lèvres d’Aoki, comme pour qu’elle n’en dise pas davantage, et lui répondit :

« Je le sais bien, ma chérie… Je n’avais pas l’intention de le faire, regarde comme elles sont mignonnes toutes les deux… »

Deux petites fleurs qui s’embrassaient doucement. Félicia partit à l’assaut de Tiên-chan comme Aiko partit à l’assaut de Mei-chan. Félicia se tenait au-dessus du bassin de Tiên,-chan, et, si elle était habile de ses doigts, elle l’était aussi de sa langue affamée. La Chatte Noire se mit donc à lécher, encore et encore. Sa langue partait à l’assaut de sa petite chatte, jouant avec. Elle titillait son bourgeon, le stimulait comme il le fallait, en faisant preuve d’un indéniable talent. Tiên-chan se tortillait sur place, soupirant contre les lèvres de Mei-chan, et Félicia, en léchant cette zone poilue, atteignait le clitoris. Elle était habituée à lécher la chatte parfaitement épilée d’Aoki, et il allait falloir former les Strawberries à s’épiler ici aussi.

Félicia déplaçait ses mains sur les cuisses de Tiên-chan, puis venait glisser deux doigts en elle, accompagnant ainsi les mouvements de sa langue. Elle connaissait bien cette anatomie, et n’hésitait pas à presser le clitoris de la jeune femme. Elle pressait cette zone de plaisir, assoiffée de la mener à l’orgasme, désireuse de s’abreuver davantage.

« Jouis, ma belle… Laisse-toi porter, c’est là tout ce que ton corps réclame… »

[Strawberry Girls]

Les petites fraises commençaient à se laisser faire avec les deux femmes, elles ne risquaient rien, elles le savaient, mais doucement, leurs degrés de confiance s'épanouissaient. Il est vrai que les voir se bécoter était sûrement une des plus belles choses qu'elles pourraient voir en ce moment. Elles étaient à la fois si innocentes et si jeunes femmes, le mélange était bien dosé, c'était parfait. Il ne fallait pas négliger Kurumi, mais elle venait de jouir, elle pouvait laisser ses amies en profiter elles aussi. Si Aoki ne les connaissaient pas aussi bien, et si elles n'auraient pas vécu cet épisode ce soir, cela ferait bien longtemps qu'elle serait collée à elles, essayant de les mener dans son antre où elle aurait pu tenter de prendre leur innocence. Mais non, ses petites fraises méritaient ce qu'il y avait de mieux et sans vouloir jouer les mamans, car elles n'étaient pas si écartées côté âge, elle veillait sur le trio. Felicia reprenait doucement avec Tiên, caressant son entrecuisse si doux et juteux. Si la belle chatte noire voyait son pelage comme un petit défaut, Aoki y voyait la perfection. Certes, elle s'épilait pour sa belle voleuse, mais elle aimait laisser ses poils pousser. Un petit coup de rasage ne fait pas de mal parfois, mais, caresser sa toison, au risque d'avoir un petit poil sur la langue, ça rendait la chose plus douce, plus amusante.

De son côté, sa petite poupée méritait autant d'amour et Aoki ne s'en privait pas, l'embrassant en laissant son corps se frotter au sien, elle laissait leur petite zone intime se frotter, même si ce n'était pas en ciseaux, elle sentait bien que ce frottement était une bonne chose. Aoki faisait dans la douceur, Felicia aussi, mais Aoki maintenait ce contacte, par le regard, par leur corps. Mei ne la touchait pas trop pour le moment, elle subissait plus qu'elle ne participait, mais elle ne disait pas non. À force de sentir ce frottement, Mei termina enfin, jouissant contre son manager, elle semblait se cambrer en poussant un tout petit cri, si mignon et adorable qui fit glousser la seule femme, s'étalant doucement sur son corps aussi doux que la demoiselle était mignonne.

« [Si tu jouis toujours comme ça, on risque de beaucoup te faire jouir, ma petite chérie.] »

Félicia en avait fait autant avec sa petite partenaire, qui reprenait son souffle en contemplant le corps de femme de la belle Maman chat qu'elle avait gagné. Aoki glissa la main dans le dos de sa fiancée, se redressant à ses côtés, elles avaient beau avoir trois chatons à s'occuper, elle avait besoin d'un peu d'amour, avec un grand A, de sa chérie.

« Mmmmh, ma chérie... Montre à nos chatons... comment tu t'occupes si bien de leur maman~ »

Cela pourrait-être une ouverture pour ce qu'elles pourraient faire ensuite ? Douceur d'adulte, pas la peine de sortir le grand jeu, mais quelque chose de déjà plus pimenter pour leurs jeunes yeux. Se faire prendre devant ses petites fraises, ça pourrait bien lui plaire en plus par-dessus le sexe tout court. À défaut d'être sauvage, ça saura être assez pour la rendre heureuse. Elle restait près de sa belle chatte noire, venant murmurer à son oreille.

« Quand elles seront prêtes, amène les à participer une a une... »

Petit à petit, que leur duo devienne bien plus.

[Félicia Hardy]

Félicia se doutait bien que sa Aoki allait avoir du mal à rester calme. Trois petites beautés face à elle ainsi que Félicia, cela était trop ! La Chatte Noire s’occupait de Tiên, caressant sa toison, sentant les poils glisser contre ses doigts gantés. Sa chatte était toute humide, témoignant du plaisir immense que Tiên-chan ressentait. En souriant délicieusement, Félicia continuait donc son office, poursuivant ses caresses intimes. Elle observait le visage de Tiên-chan, souriant en la voyant rougir, en entendant ses doux soupirs, ses gémissements… Ils étaient si adorables, si mignons ! Félicia ne put que sourire en regardant le visage de Tiên-chan se contracter sous l’effet d’un plaisir intense. Elle était tout simplement en train de jouir, de s’abandonner contre ses doigts.

« Lààà… Magnifique, ma chérie ! »

Pour la féliciter, Félicia l’embrassa longuement. Elle retira ses doigts trempés de son intimité, et sentit Tiên-chan soupirer doucement contre elle, répondant avec envie à son baiser. Ce premier orgasme rendait la Strawberry un peu plus active. Aoki se rapprocha alors, et proposa à Félicia de passer à un niveau supérieur, en faisant l’amour devant elles. Félicia soupira lentement, et se mit sur ses genoux. Elle se retourna vers Aoki, posa sa main sur la nuque de sa belle… Puis, après un sourire complice, alla l’embrasser fougueusement. Un baiser nettement plus soutenu et énergique que celui qu’elle venait de faire à Tiên-chan, laquelle était aux premières loges pour voir leurs « Maîtresses/Mamans » s’embrasser avec passion.

Et, tout en l’embrassant, Félicia promena sa main sur le corps de sa belle, pinçant son sein, puis descendit encore. Elle glissa sa main entre ses cuisses, et commença à la masturber. Comme elle s’y attendait, la zone était assez humide, témoignant du plaisir sincère qu’Aoki éprouvait en ce moment. Quand Félicia termina ce passionnant baiser, ses doigts griffus glissèrent sur les lèvres d’Aoki, les caressant, ou s’y engouffrant un peu. Félicia soupira ensuite, ferma les yeux, et Aoki put alors sentir une bosse bien familière se former contre son corps. Un sourire éclaira ensuite les lèvres de Félicia, qui embrassa sa chérie dans le creux du cou.

« Si c’est ce que tu veux, je dois bien admettre qu’embrasser ces chéries m’a bien excité, moi aussi… »

Félicia sourit ensuite, et sentit sons exe masculin se contorsionner dans sa combinaison. Elle venait de déployer sa verge, ce qui faisait aussi que son corps avait légèrement gagné en musculature.

« Dis-leur de s’asseoir sur le fond du lit, sur nos coussins… Ensuite, mets-toi à quatre pattes devant elle, et dis-leur que Maman Félicia va venir baiser bien comme il faut Maman Aoki, petit catin… ♥ »

[Strawberry Girls]

La suite de la soirée promettait d'être plus pimentée. Certes, apprendre aux petites fraises à se faire plaisir était délicieux, mais le plaisir était trop grand. Une par une, elles auraient pu rester sages et y aller en douceur, mais là, l'excitation était triplée et Aoki avait de plus en plus envie de se soulager. À défaut de coucher avec elles de façon violente, au moins que Felicia la soulage. Elle avait un peu peur qu'avec ceux à quoi elles ont échappé, elles n'aiment pas ce qui allait arriver, mais la vérité était autrement faites. Sa chérie était dans le même sens qu'elle, son passionnant baiser le prouvant, ses mains baladeuses sur son corps était un signe qu'elle connaissait que trop bien. La Black Cat se retenait aussi face à elles, mais avec Aoki, elle allait se lâcher ! Elle le sentait après tout... cette bosse sous sa combinaison... Elle savait ce que ça voulait dire, et même si le noir cachait le léger changement physique de sa belle chatte, Aoki savait qu'en dessous, elle pouvait passer la soirée à lécher ses muscles et surtout sa verge. Tout fébrile, elle acquiesçait doucement en se tournant vers les filles, parlant en anglais pour se faire comprendre des trois à la fois. Autant Kurumi était Japonaise donc elle comprenait parfaitement ce qui a été dit, autant Tiên comprenait un peu, c'était Mei, la plus jeune du trio qui avait encore le plus de mal avec le japonais.

« [Les filles, installez vous au fond du lit et, observez bien... Vos Mamans vont vous montrer comment notre amour prend forme. Il n'y a rien de méchants dans ce que vous allez voir, moi et Felicia, sommes d'accord donc, même si elle peut se montrer plus... sauvage ou vulgaire, ce n'est qu'une forme d'amour, d'accord ?] »

L'accent anglais, par une Japonaise, c'était mignon, Aoki usait de sa douce voix, arrondissant les angles en caressant doucement leur visage, veillant sur elles en s'assurant qu'elles n'aient pas peur. C'était un des points essentiels. Elle ne l'avait pas précisé, mais si elles voulaient se toucher ou approcher, elles le pourront bien qu'elles seront sûrement clouées sur place. Un dernier tendre sourire aux trois fraises avant de prendre place, à quatre pattes devant elles, le fessier vers sa fiancée, elle était prête en tournant son regard vers elle. Sa voix resta douce, suave, mais les mots qui en sortaient étaient cette fois plus adultes, toujours en usant de la langue maternelle de Felicia, pour mieux l'aguicher.

« [Encule-moi avec amour~] »

Le petit show privé allait pouvoir commencer, elle espérait ouvrir ses petites fraises, qu'elles se montrent au moins curieuse pour envisager elles aussi d'y passer, même de façon plus douce. Pas forcément ce soir, mais entrouvrir une porte.

[Félicia Hardy]

Face aux Strawberries, les deux femmes allaient passer aux choses sérieuses. Aoki leur ordonna doucement de se caler au fond du lit, sur les oreillers, et contre le solide dakimakura, ces grands traversins typiques du Japon. Elles s’installèrent donc, chacune venant tenir la main de l’autre, ce qui fit que la Strawberry du milieu trouva ses deux mains prises. Face à elles, le spectacle était assez impressionnant. Aoki se mit bien comme il fallait, à quatre pattes, en cambrant son dos, faisant crisser sa combinaison en latex. Félicia, de son côté, se redressa. Si elle aurait encore pu faire l’amour ainsi avec les Strawberries pendant toute la nuit, force est d’admettre que, maintenant qu’Aoki s’offrait à elle comme ça, Félicia sentait la soif la saisir. Sa verge se contorsionnait dans sa combinaison, appuyant fortement dessus. Ce monceau de chair avait su instantanément capter l’attention d’Aoki, il était donc tout à fait naturel qu’Aoki en profite.

Un léger sourire malicieux orna les lèvres de Félicia quand Aoki se borna à demander à se faire « enculer avec amour ». Félicia caressa avec l’une de ses mains les fesses d’Aoki, pinçant sa chair, la faisant gémir, tout en libérant avec son autre main son sexe. Sa verge finit par se redresser, invisible aux trois Strawberries, le corps d’Aoki les séparant.

« Tu aimes ça, hein ? Vous devez savoir une chose, mes petites chéries… Maîtresse Aoki aime beaucoup qu’on la respecte… Mais, parfois, elle aime aussi que Maîtresse Félicia… »

Félicia soupira, et approcha sa verge du fondement de sa femme, puis donna une grosse claque en rentrant dedans, tout en soupirant. Elle finit ensuite sa phrase :

« …La baise comme une bonne petite chienne ! »

La Chatte Noire ignorait comment les Strawberries allaient réagir devant cet échange de dirty talk, comme on le disait dans la langue maternelle de Félicia. Mais elles étaient ici pour être initiées au sexe, et il était aux yeux de Félicia important qu’elles comprennent qu’on pouvait se faire du mal en s’aimant bien, que tout cela n’était finalement qu’un jeu, et que, tant que les deux parties étaient consentantes, tout n’était que bonheur infini. Alors, pour commencer ça, Félicia s’enfonça dans le fondement serré d’Aoki, et frémit en s’appuyant sur ses hanches, ses griffes étirant ses ongles pour glisser sur le latex de sa femme. Elle remua ensuite en se mordillant les lèvres, commençant tout simplement sa sodomie d’amour !

[Strawberry Girls]

Oui, ce qu'elles allaient voir serait assez étonnant et inattendu, mais, outre l'envie d'Aoki, elle a sentie à travers leurs baisers que, traumatisé ou non, avec elles, elles étaient en confiance et que les deux femmes pouvaient se permettre d'aller un poil plus rapidement qu'avec d'autres filles de leurs âges. Puis si jamais c'est trop, elles pouvaient s'arrêter. Ce ne sera pas si simple, mais ce n'était pas impossible. Face à Aoki et Felicia, de gauche à droite, il y avait Kurumi, Mei et enfin Tiên. C'était la plus jeune au centre, observant leur manager/maman prendre une pose très sensuelle tout en parlant anglais. Il le fallait bien pour que chacune comprenne bien comme Mei et Tiên n'étaient pas encore à jour avec le Japonais. Puis comme ça, Felicia avait l'occasion de parler un peu dans sa langue natale. De plus, Aoki trouvait toujours que le sexe, en anglais, ça avait quelque chose de plus excitant ! Tout ses « fuck », « cum », « harder », c'était un petit plus qui rendait la chose bien meilleure !

Felicia laissait sa main se balader sur son cul, se préparant à se montrer un peu plus amoureuse, face à un public plus jeune, mais qui risquait de bien souvent assister et de participer à tout cela. De leur pointe de vue, elles ne voyaient rien, elles comprenaient que leurs « mamans » allaient passer à la vitesse au-dessus, Aoki le sentait dans son dos, à sa façon d'être caressé, que sa queue se tendait et que la Black Cat allait se lâcher. Quand la claque tomba, surprenant un peu le trio, Aoki sentit surtout sa queue s'enfoncer dans son cul. Cette délicieuse bite, dont elle connaissait chaque parcelle, était si délicieuse ! Elle l'aimait autant en elle que sur elle.

« [Haaaaaan ! Ouiiiiii !!! Enfonce ta grosse Bite en moi~] »

Aoki se lâchait aussi, s'éloignant doucement de la douce image qu'elle montrait ce soir, elle espérait que les filles comprenaient ce qui se passait, même sans être de parfaites petites anglophones, elles devaient saisir les grosses lignes au moins ? Mais en bonne mère, Aoki se devait de rassurer ses filles.

« [N'ayez pas peur, les filles... haaaan, Maman aime se faire baiser haaaaan ouiiiii... par le cul... pas la chatte... par la bouuuuche aussi... Hum, ouh... si vous ne voulez pas subir ça... Maman... Maman prendra pour vous, mes amours~] »

Difficile de dire si elles étaient envoûtées ou terroriser ? Leur visage n'était pas celui de trois petites nympho qui attendaient leur tour. Elles se questionnaient, en bien ou en mal, tout cela était inédit, peut-être même le fait de voir deux femmes, jouer de la sorte ? Kurumi était la plus âgée du trio, elle était celle qui pouvait imaginer subir ça, peut-être pas de la même façon, aussi fort, mais si Felicia lui grimpait dessus... Elle pouvait lui offrir sa virginité, sûrement. Tiên et Mei étaient encore confuses par une telle chose, en bien, en mal, ce n'était pas le genre de chose qu'elles pensaient voir. Déjà voir un peu de SM de leur part, c'était... waouh ! Mais alors ça...

« [Maman Aoki... Maman Felicia a... un... un pénis ?] »

Cela semblait évident, mais il fallait bien une vraie réponse, peut-être étaient-elles douées pour la comédie ? Aoki eut un sourire plus doux, sa main se tendait, caressant le tibia de sa petite fraise japonaise.

« [Oui, ma chérie... Han, la meilleure de toutes...] »

L'amour parlait, mais en partenaires fréquentes, elle avait Pamela ou Harleen parfois, mais elles n'égalaient pas sa Felicia, elle était bien meilleure qu'elles.

[Félicia Hardy]

Face aux Strawberries, Félicia et Aoki se livraient à leur rituel préféré : faire l’amour. Le faire intensivement. Cela n’allait clairement pas aller aussi loin que quand elles avaient invité Doutzen, et qu’elles avaient baisé comme des folles toute la nuit. Les Strawberries Girls étaient en effet plus innocentes que Doutzen, elles maîtrisaient moins le désir sexuel. Elles venaient d’en prendre connaissance, comme des bourgeons qui venaient d’éclore, déployant leurs magnifiques pétales. Trois belles fleurs qui allaient devoir réaliser le rapport ambivalent qui existait entre le plaisir et la douleur. Un rapport ambivalent que le sexe exprimait au mieux. Faire l’amour, c’était confronter ces deux sensations que tout semblait opposer, mais qui étaient pourtant les facettes d’une seule et même pièce, le désir de vie. N’importe quel médecin vous le dirait ; la douleur, c’était un signe de vie. Quand on avait mal, c’est que le corps humain réagissait à une sensation déplaisante, et vous envoyait un signal d’avertissement. C’était simple, c’était ce que tout enfant apprenait. Puis, en grandissant, en vieillissant, on découvrait que les choses n’étaient pas si simples, car le rapport sexuel impliquait la douleur. Une douleur qui était le moteur du plaisir, la contraction et l’union de deux contradictions. Cela, elles allaient le réaliser. Si on le faisait généralement de façon empirique, par l’expérience et la découverte, Félicia et Aoki souhaitaient les éduquer. Après ce que les Strawberries avaient vécu ce soir, après leur capture, c’était la seule solution pour qu’elles surmontent ce traumatisme, pour que les fleurs s’épanouissent. Et puis, et puis… Ah, pour le dire simplement, baiser Aoki devant les visages ravis de ces trois adolescentes, ça excitait quand même pas mal Félicia !

Sa queue tendue s’enfonça dans la chatte d’Aoki, et elle sourit en voyant les regards surpris des Strawberries en découvrant que Maman Félicia avait un pénis. Celle-ci sourit, tout en gémissant de plaisir au contact des lèvres intimes d’Aoki. Elle se glissa assez simplement en elle, s’enfonçant dans sa chatte, sentant que les parois intimes d’Aoki s’écartaient naturellement sur son passage.

« Hihi, tu mouilles comme jamais, ma chérie… À croire que faire l’amour devant nos petites protégées t’excite plus que de raison ! »

Allait-elle le nier ? Oh non, bien sûr que non ! Comment pourrait-on nier l’évidence, après tout ? Souriant malicieusement, Félicia remuait en elle.

« N’hésitez pas à venir toucher, les filles… C’est votre spectacle, haaaa… Regardez comment Maman Aoki aime que Maman Félicia… Hmmm… L-Lui fasse l’amour très fort, haaaa… ! »

N’était-ce pas un spectacle merveilleux à voir ? En tout cas, à ressentir, c’était incroyable !

[Strawberry Girls]

Aoki avait envie de protéger ses petites fraises, de les cajoler et de leur offrir tout l'amour dont elles avaient besoin. Mais en compagnie de sa Felicia, elle voulait plus aussi. Et si cela donnait envie aux filles d'y goûter, c'état tout benef'. Aoki ne forçait personne. Ou l'on répondait oui à ses avances, ou on disait non. Et si elles hésitaient trop, elle posait juste la question, tendant des perches jusqu'à avoir confirmation ou non sur le fait d'essayer. Pour le moment, elles allaient dans leur sens, les baisers, les caresses, les coups de langue, elles ont été dans leur sens. L'amour entre deux femmes, c'était beau, c'était doux, c'était magique. Même si ce n'est pas vraiment le cas, elle imaginait plus, l'amour entre deux hommes, plus vulgaire et brutal. Pourtant, pour ce genre de choses, elle s'en sortait très bien avec Felicia.

Les trois petites fraises restaient entre elles, observant cela comme des chatons timides qui n'osaient pas approcher, trouillardes de la nouveauté. Mais Aoki se détendait, sentant la sainte queue sa chérie la pénétrer, elle s'en mordait la lèvre inférieure, son bonheur revenait de plein fouet. Sa douce Felicia au-dessus d'elle, ses chatons non loin, c'était beau.

« [Huuuum, oh oui, Felinyan... Continue encore~] »

Elle restait encore sage, elle ne voulait pas partir trop vite, puis face à elles, elle voulait y aller en douceur, sans les brusquer. Mais oui, Felicia avait raison, faire l'amour devant elles, ça avait un petit côté excitant n'empêche. La Balck Cat les invitait à approcher, Aoki tendait sa main vers elles, pour les faire venir. Doucement, elles approchaient, Tiên vint saisir la main d'Aoki en restant près d'elle, la douce petite Mei lui caressa la joue et Kurumi toucha son ventre, glissant plus bas. Elle ne touchait pas encore sa zone intime, mais elle essayait de voir si elle pouvait sentir le mouvement en elle ?

« [Hum, oui, mes chéries... Rester avec moi... regarder et, han, profiter.] »

Sa main de libre se posa sur celle de Mei, rassurant la plus jeune du trio, serrant doucement la main de Tiên, au centre, laissant Kurumi, l'ainée et presque majeur du groupe caresser sa peau. Oui, elle avait bien vu cette verge bien grosse glisser en elle, disparaissant entre ses lèvres, elle était là, en dessous... Elle avait bien des questions, idiote comme pertinente, mais elle ne savait pas par quoi commencer face à tout cela.

Aoki venait baiser la petite main de Mei, l'observant avec tendresse pendant qu'elle se faisait baiser, ses yeux se posant ensuite sur ses deux autres petites fraises.

« [Hum, quand vous serez prêtes, han, les filles... Vos mamans vous feront tendrement... l'amour...] »

Elles auront le choix, Aoki ou Felicia. Avoir les deux ensemble était possible, mais pour une première fois, ça semblait un peu gros, on n'était pas dans un film porno. Les filles écoutaient Aoki, continuant de la tenir, la caresser, ce fut Kurumi, qui agissait la première en se penchant vers Felicia pour l'embrasser doucement.

« [Est-ce que ça fait vraiment mal ? On... on m'a toujours dit, un peu...] »

C'était une étape à passer, il ne faut pas mentir, c'était douloureux, mais on s'y faisait, puis c'était un maigre paiement pour ensuite toujours en prendre plaisir. Ce n'est pas comme si l'hymen allait se reformer une fois qu'elles auraient fini. Aoki en profitait pour répondre.

« [Un peu, oui, hum... mais tu n'as pas... à avoir peur... la douleur est... passagère, après... ce ne sera han, que du plaisir~] »

C'était rassurant, mais Kurumi comme ses partenaires, avaient encore un peu de doutes... on ne fait pas disparaître les hésitations d'un claquement de doigts après tout.

[Félicia Hardy]

Évidemment, Félicia comptait elle aussi prendre soin des Strawberries. Elle l’avait démontré tout à l’heure en allant les sauver des Guramu, mais elle le démontrait encore maintenant en les initiant sexuellement. Les Strawberries avaient désormais l’âge d’avoir des relations sexuelles, et Félicia était bien placée pour savoir que la chose était d’importance. Peu de gens au monde savaient que Félicia avait perdu sa virginité quand elle était étudiante à l’ESU, l’Empire State University. Elle avait été violée par son colocataire, et ce viol avait façonné son existence. Elle avait refoulé son traumatisme en devenant la Chatte Noire, et il lui avait fallu des années pour réussir à surmonter ce choc, et pour que Félicia Hardy revienne. Ce traumatisme lui avait coûté sa relation avec Peter, car Félicia n’était à l’époque pas encore prête à laisser parler Félicia, elle laissait la Chatte Noire s’exprimer. Alors, pour rien au monde, elle ne voulait infliger cela aux Strawberries ! Elles étaient très importantes, au point que ce jeu de rôles « mères/filles » témoignait sans doute d’une réalité plus profonde qu’un simple jeu sexuel.

Les filles regardaient donc le duo, elles entendaient les soupirs d’Aoki, les couinements des deux femmes, le crissement des combinaisons. Félicia soupirait et haletait également, sentant sa verge se contorsionner dans la chatte d’Aoki. De délicieux bruits flasques accompagnaient les deux femmes, un concert sensoriel ! Les Strawberries en prenaient plein les yeux. Elles palpaient doucement Aoki, et demandèrent si cela faisait mal. Félicia sourit alors, et donna une fessée à Aoki, qui la fit hurler.

« C’est… Haaaa… La douleur ne doit pas vous faire peur, mes jolies. Si… Si vous avez envie de faire l’amour, la douleur ne fera que vous stimuler davantage. »

Cela pouvait sembler contradictoire. Félicia soupira encore, et fit signe à deux d’entre elles d’approcher. Elles se lovèrent à gauche et à droite de Félicia, qui décolla ses mains des fesses d’Aoki pour peloter les fesses des Strawberries.

« Le… Le désir sexuel, vous commencez à le ressentir, n’est-ce pas ? Cette force en vous, cette… Cette soif. On a dû vous l’enseigner à l’école, non ? La douleur… Est source de vie. Le signe que votre organisme ressent encore des stimulations. Ce désir, cette soif… La douleur ne doit pas vous inquiéter, mes chéries, elle est… Inhérente, haaaa… Re-Regardez ma queue, mes belles. Vous…. Vous voyez comme je fais l’amour à Maman Aoki ? Cela me fait mal, mais… C’est si bon… »

Félicia crispait parfois ses mains sur les fesses des jeunes femmes.

« A-Allez-y, embrassez mes seins, pincez-les-moi. Vous serez prêtes… Le jour où vous comprendrez ce que ça fait, oooh. Cette douleur… Ne re-repousse rien… Elle vous libère, elle vous permet de f-faire l’amour, haaaa… Si ma queue n’était pas si serrée dans la petite chatte de Ma-Maman Aoki, haaa… J-Jamais je ne pourrais lui f-faire l’amour avec autant d’énergie, hmmm… N’ayez pas peur de cela, mes chéries. Est-ce que… Hmmmm… V-Vous le ressentez ? Cette chaleur qui bouillonne en vous, cette ivresse qui vous hante ? C-Ce désir… ? »

[Strawberry Girls]

Entre elles, l'amour était là, il était fort et dès le premier soir, elles ont mis la barre haute. D'un simple défi, amusé, elles ont été si loin ensemble, du romantisme au fisting en passant par le SM, leur domaine de prédilection, Aoki et Felicia s'aimaient. Dès le premier soir, bien que les premiers indices fussent présents, ça ne s'est pas fait de suite. Mais maintenant, après bien des épreuves, elles envisageaient de s'épouser, enfin, Aoki l'ignorait encore, c'est Felicia qui préparait ça pour le moment idéal. Mais sans le demander, la belle Japonaise en rêvait, de ça, et de porter son enfant même si pour ce sujet, c'était plus sensible. Elle avait des enfants, en Amérique, elle ne voulait pas les arracher à leur père pour elle, ni les lui faire oublier avec, au moins un bébé entre elles. Mais dans sa pudeur, Aoki taisait ses envies. L'avoir à ses côtés était déjà bien suffisant pour elle.

Les Strawberry observaient, approchant doucement tandis que Felicia jouait les tutrices tout en besognant sa chérie. Tiên restait près d'Aoki, caressant ses cheveux et là où la Black Cat parlait en anglais pour les filles, Tiên comprenait via le regard de son manager. La douleur y était, comme le plaisir. C'était bizarre, elle ne se voyait pas spécialement attirée par le SM, mais l'amour, physique, faisait un peu mal. Amour-amour hein, pas amour d'un mari violent ou d'une copine jalouse. Point de douleur née de la haine et de la méchanceté. Mei et Kurumi étaient entre les mains de Felicia, elle expliquait, tandis que ses mains caressaient leurs petites fesses, sous leur pyjama. Moins rebondi que celui qu'elle enculait actuellement, mais les trois petites fraises avaient du potentiel sur ce terrain. Jamais Aoki ne les forceraient si elles n'avaient pas envie. Mais si cela ne les rebute pas, elles doivent d'abord goûter avant de se faire un avis.

Elle les invitaient à jouer avec sa poitrine, en la pinçant s'il le faut, pour qu'elle voie de leurs propres yeux. Aoki était en train de lécher et sucer les doigts de Tiên, elle les tendait vers elle, mimant une fellation, même si Tiên était une fille, à n'en point douté, l'opération sur ses doigts l’hypnotisait, à moins que ce ne soit que la scène en réalité ?

Mei restait timide et douce, baladant son doigt autour de ce petit bout de chair tout dur, à côté d'elle, Felicia avait une grosse poitrine. Les Asiatiques n'étaient pas réputés pour être généreux de ce côté, il y avait des japonaises – et autres ethnies asiatiques – plutôt bien dote par la nature, pouvant faire rougir certaines personnes, mais en général, leur atout charme n'était pas ici. Kurumi était douce, mais moins que sa petite Mei, entre ses doigts, elle pinçait le sein de Maman Felicia, doucement, bien entendu, mais cela devait provoquer un minimum de douleur chez elle.

« [Maman Félicia... Tu pourrais me faire... l'a... l'amour ensuite?] »
« [Et moi, avec Maman Aoki, s'il te plaît ? Enfin... si, ''ça'', c'est possible pour elle ?] »

Avoir une verge ? C'était plus souvent le cas de Felicia depuis son opération, mais parfois la belle chatte aimait ronronner quand sa douce petite amie la prenait avec amour donc, oui. Il n'y a que Mei, qui restait muette sur ce sujet pour le moment... Voir ses deux amies franchir le cap pourrait l'aider à faire son choix ? Peut-être...

« Haaaaaan, Kurumi-chan~ Je suis heureuse que, han, tu me veuilles, moi... Promis... je serais toute douce pour toi~ »