Re: Voyage scolaire [PV Hikari Harigato]
Posté : 03 sept. 2024 08:47
Hirotaka n'avait aucune idée de ce qu'avait pu cacher cette tisane, pour lui, ce n'était qu'un bon geste d'une élève qui retentait de garder son visage d'ange auprès d'un professeur qui, jusqu'ici, n'avait pas vraiment eu à redire sur elle. Éviter un blâme, un avertissement, pour certains, ce n'était rien, pour d'autres ce genre de choses, c'était comme une arme braquée sur eux, la moindre remarque sur leur bulletin pouvait leur fermer certaines portes d'école élitiste qui voulait des élèves blancs comme neige, sans avoir eu la moindre remarque sur leur comportement dans leur vie scolaire. Buvant sa tasse, doucement, il sentait sa langue se délier sur certaines choses qu'il n'aurait pas forcément livrées de lui-même. Il était adulte, il avait vécu certaines expériences dans sa vie, mais la compagnie des femmes, ce n'était pas un domaine qu'il maîtrisait. La vie des femmes durant l’ère Edo, les femmes de samurai, les femmes japonaises qui ont su marqué l'histoire avec une arme en main ou en restant en retrait, ça, il connaissait, mais sinon... Il savait que le souci devait venir de lui bien que sa dernière relation, ça datait de l'époque universitaire donc, ça fait quelques années... une époque où il devait absolument réussir, il a quand même fait partie de ses trois élève toujours en tête lorsqu'ils étaient diplômés, ce n'était pas rien ! Mais depuis... Il n'a jamais vraiment cherché la vie de couple, plus centré sur l'arrivée d'argent pour aider sa famille, mais l'envie était là. Juste qu'il n'en avait pas spécialement le courage ou l'envie. L'envie de savoir quoi parler avec une femme.
Hikari entrait dans la danse, venant confirmer ce qu'il pensait de lui, mais la suite... il ne l'aurait jamais deviné. La voir prononcer ses mots et la voir doucement tirée sur son yukata. Il n'en perdait pas une miette, sa tasse en main, rougissant doucement. En temps normal, il aurait détourné le regard en lui demandant un peu de sérieux, mais pour le coup, il était perdu, il laissait un côté plus en retrait de lui s'exprimer. Il restait un homme après tout, même s'il savait se tenir. Hikari se montrait séduisante, sans trop en montrer pour le moment, mais c'était peut-être un plus. Pourquoi trop en montrer, la séduction laissait une part de mystère après tout. Mais voilà, la jeune femme lui tourna le dos, lui demandant de l'aide en le laissant regarder cette nuque qu'il appréciait tant. Si fine, elle semblait si douce et pour sûr, elle devait sentir bon et rester délicate. Ses mains se concentraient à défaire doucement ce nœud, son cœur s’emballait, il avait l'impression que son cœur remplaçait son cerveau, ça cognait dans son crâne, dans ses oreilles, mais peu importe ce qui pouvait se passer, il ne voyait que sa nuque. C'était idiot et en temps normal, il n'y prêtait pas forcément attention, mais une femme en kimono, dévoiler sa nuque... C'était comme en Europe, pendant l'époque du moyen-âge, si une femme osait montrer ses jambes, au moins jusqu'aux genoux, mais quelle vulgarité !
« Pardonnez-moi, Hikari-san... »
L'obi tombait, mais ses bras venaient remplacer la ceinture pour empêcher son yukata de tomber. Mais ce fut surtout pour ses lèvres qu'il s'excusait. Elles venaient sur sa nuque, baisant cette petite parcelle de peau, se concentrant autant à l'arrière de sa tête qu'il venait doucement baiser aussi son cou. Il ne s'était pas trompé, elle avait la peau tellement douce, une odeur des plus agréable et un goût exquis. C'était peut-être l'ingrédient secret de la tisane qui parlait, mais elle était parfaite ! Lentement et doucement, il baisait son cou, se fichant de l'heure, de la situation. Oh, si Hikari se débattait et refusait, il irait sûrement s'arrêter, mais si elle ne disait rien... Son étreinte était solide, mais si sa collègue voulait défaire ses bras, il la laisserait guider ces derniers. Même dans son dos, la jeune femme ne tarderait pas à sentir l'effet de tout cela sur lui, l'excitation grimpait et Hirotaka retrouvait une sensation perdue depuis longtemps, celui de passer un moment agréable avec une jeune femme.
« Hikari-san, je... »
Il n'avait pas les mots, il ignorait ce qu'il lui arrivait, il gardait cependant la tête froide pour ne pas aller contre l'humeur de la jeune femme, mais si elle était partante, il en était tout autant. Lui qui mettait un point d'honneur à respecter les règles, à éviter les relations entre collègues pour ce genre de situation, là, le livre des règles était fermé, il laissait parler son instinct. Une de ses mains, toujours accrochée à son corps, venait doucement saisir une de ses mains, qui lui semblait si petite et fragile sur le coup, il ne se reconnaît pas.
Hikari entrait dans la danse, venant confirmer ce qu'il pensait de lui, mais la suite... il ne l'aurait jamais deviné. La voir prononcer ses mots et la voir doucement tirée sur son yukata. Il n'en perdait pas une miette, sa tasse en main, rougissant doucement. En temps normal, il aurait détourné le regard en lui demandant un peu de sérieux, mais pour le coup, il était perdu, il laissait un côté plus en retrait de lui s'exprimer. Il restait un homme après tout, même s'il savait se tenir. Hikari se montrait séduisante, sans trop en montrer pour le moment, mais c'était peut-être un plus. Pourquoi trop en montrer, la séduction laissait une part de mystère après tout. Mais voilà, la jeune femme lui tourna le dos, lui demandant de l'aide en le laissant regarder cette nuque qu'il appréciait tant. Si fine, elle semblait si douce et pour sûr, elle devait sentir bon et rester délicate. Ses mains se concentraient à défaire doucement ce nœud, son cœur s’emballait, il avait l'impression que son cœur remplaçait son cerveau, ça cognait dans son crâne, dans ses oreilles, mais peu importe ce qui pouvait se passer, il ne voyait que sa nuque. C'était idiot et en temps normal, il n'y prêtait pas forcément attention, mais une femme en kimono, dévoiler sa nuque... C'était comme en Europe, pendant l'époque du moyen-âge, si une femme osait montrer ses jambes, au moins jusqu'aux genoux, mais quelle vulgarité !
« Pardonnez-moi, Hikari-san... »
L'obi tombait, mais ses bras venaient remplacer la ceinture pour empêcher son yukata de tomber. Mais ce fut surtout pour ses lèvres qu'il s'excusait. Elles venaient sur sa nuque, baisant cette petite parcelle de peau, se concentrant autant à l'arrière de sa tête qu'il venait doucement baiser aussi son cou. Il ne s'était pas trompé, elle avait la peau tellement douce, une odeur des plus agréable et un goût exquis. C'était peut-être l'ingrédient secret de la tisane qui parlait, mais elle était parfaite ! Lentement et doucement, il baisait son cou, se fichant de l'heure, de la situation. Oh, si Hikari se débattait et refusait, il irait sûrement s'arrêter, mais si elle ne disait rien... Son étreinte était solide, mais si sa collègue voulait défaire ses bras, il la laisserait guider ces derniers. Même dans son dos, la jeune femme ne tarderait pas à sentir l'effet de tout cela sur lui, l'excitation grimpait et Hirotaka retrouvait une sensation perdue depuis longtemps, celui de passer un moment agréable avec une jeune femme.
« Hikari-san, je... »
Il n'avait pas les mots, il ignorait ce qu'il lui arrivait, il gardait cependant la tête froide pour ne pas aller contre l'humeur de la jeune femme, mais si elle était partante, il en était tout autant. Lui qui mettait un point d'honneur à respecter les règles, à éviter les relations entre collègues pour ce genre de situation, là, le livre des règles était fermé, il laissait parler son instinct. Une de ses mains, toujours accrochée à son corps, venait doucement saisir une de ses mains, qui lui semblait si petite et fragile sur le coup, il ne se reconnaît pas.