The Multiversity

Ne pas demander à Ai d'être autant perverse, c'est comme demander à ne plus avoir d'oxygène sur Terre, c'est impossible ! Elle avait découvert le sexe, elle aimait ça et dorénavant, elle ne vivait que pour ça. Et c'était le cas de le dire, à les voir, elle et son clone ne plus se lâcher, se coller l'une contre l'autre en gémissant et en couinant comme par possible, il fallait croire que rien n'allait les séparer de sitôt, pas même la fin du monde. Elle continuait d'embrasser avec passion son double, ne la lâchant pas si facilement, pas même pour la superbe sodomie que Mélinda lui offrait. C'était un délice, c'était si bon, avec cette verge qui ne cessait de grossir en plus, Ai était aux anges et pourtant, ses seuls remerciements étaient ses gémissements quand son double ne lui bloquait pas la langue avec ses baisers si délicieux. Elles avaient beau se jouir l'une contre l'autre, parfois faire de beaux arcs-en-ciel en foutre, ça ne changeait rien à leur envie et à leur passion. Même si à force de jouir, la vraie Ai n'avait plus autant de sperme à donner, ça restait quand même une grosse quantité même si moins grande que d'ordinaire.

Leur semence était pratiquement une seconde peau pour elles qui se collaient l'une contre l'autre, cela arrosait parfois leur maîtresse mais les Ai s'en fichait, cela faisait partie des joies du sexe après tout, non ? Bien sûr que oui ! Même si les verges de leur maîtresse étaient délicieuses ainsi logées dans leur petit trou du cul, elles ne pouvaient penser à autre chose que de jouir encore et encore, de se faire plaisir ainsi et de repousser plus loin leur limite, que Mélinda elle-même crie stop tellement Ai se montrait si perverse et unique en son genre. Il est vrai que des humaines qui tiennent aussi bien le coup... ce n'est pas rare mais pas commun non plus. Même si ses fantasmes lui faisaient souvent perdre connaissance un moment, elle semblait infatigable une fois sur pied. Même si ce n'était qu'en apparence. Bien sûr qu'Ai voit ses limites se rapprocher de plus en plus, d'autant plus que demain, elle avait cours. Même si pour le coup, elle va pas avoir de mal à s'endormir.

Car quand sonnait la nouvelle jouissance de Mélinda, suivit en rythme par Edessa, les deux jumelles ne tardaient à jouir aussi, s'arrosant mutuellement avant de retomber, l'une dormait presque sur l'autre tellement la fatigue de cet ébat était royale. La tête sur l'épaule de l'autre, elles reprenaient leur souffle. Fin du match ? Pas si sûr mais une pause, certainement.

« Oh Maîtresse... Ma vie à vos côtés... ne suffirait pas... à vous remercier... »
« On a... tant à faire encore... Ai-chan. »
« Oui... mais là... je veux souffler... »

Si toutes les chambres de ce manoir promettait d'être aussi bon et agréablement riche en surprise, Ai n'aurait pas assez de ses vacances scolaires pour s'amuser pleinement ici ! Mais au moins, la vampire était sûre de toujours voir la petite futanari chez elle, pour ça, c'est sûr. Elle caressait à peine le corps gluant mais toujours aussi bon de sa jumelle, se disant qu'elle allait retirer sa tenue. Couverte ainsi de foutre, l'effet érotique, sublime et excitant en avait pris pour son grade, au moins, c'était la preuve que sa tenue était ravissante !

« Faut pas que je dorme ici... faudrait que je rejoigne... Shii-chan ensuite... la pauvre m'attend... Faut encore... que je lui fasse l'amour. »
« Moi aussi ? »
« Bah oui, elle en aura deux pour le prix d'une... Par contre, faudra d'abord te cacher, on lui fera une surprise !!! »

Quelques mots échangés et les voilà prête à reprendre les rênes après ces deux minutes de paix et de repos, même si elles n'aguichaient pas leur maîtresse pour le moment – pas volontairement du moins – elles n'allaient pas tarder à revenir au galop sur elles ! Ai – la vraie – s'écartait doucement en retirant un à un les éléments qu'elle portait encore, sous les yeux médusés de sa jumelle.

« Mais pourquoi tu retires ça ?! »
« C'est inutile maintenant que c'est couvert de ta semence Ai-chan. Puis comme ça, ce sera l'occasion de mettre un autre genre de pyjama ensuite. »

Son clone gloussait en sachant ce que « pyjama » pouvait vouloir dire dans cette situation avec Ai. Restant nu comme un ver – elle était trop poisseuse pour oser vouloir porter quelque chose maintenant – elle se tourna vers sa Maîtresse avec un large sourire, sans aucune trace de fatigue – même si ce n'était pas le cas.

« On joue à quoi Maîtresse maintenant ? »
« Vous voulez voir les Ai baiser ensemble ? »
« Ou bien on va dire bonsoir à d'autres filles ? »
« Ou même une petite gâterie à Edes-chan ? »

Les voir maintenant à l'identique, il serait difficile de différencier la vraie du clone...

Magie et le sexe ne faisaient jamais aussi bon ménage qu’en matière de magie rose. Les plaisirs auxquels Ai avait droit étaient clairement surnaturels. On ne verrait pas ça ailleurs, dans des relations classiques. Un clone, une succube joueuse, et ce sperme qui vint à recouvrir leurs corps, comme une sorte de couche de peinture blanche. Une curieuse odeur émanait de cette pièce, le genre de curieuse odeur qui était assez coutumière dans les chambres du manoir et du harem. Une raison pour laquelle il fallait tous les jours passer le ménage, et ce en aspergeant des litres de désodorisants. Autant dire que, avec Mélinda, les fabricants de désodorisants faisaient fortune ! Mélinda, de fait, tenait à ce que le manoir reste propre. Elle était très libre avec tout ce qui relevait du sexe, à condition que ça ne vire pas en un baisodrome sordide de bas-étage. Et, pour cela, il était nécessaire de tout nettoyer. Autrement dit, derrière la cyclone Ai, une équipe de ménage allait passer, éventuellement se faire l’amour sur place, puis renettoyer ensuite. Dans la mesure où l’équipe de nettoyage portait généralement des tenues de maid sexy made-in-Warren, soit parfois fournis avec des accessoires (comme un plug ou un vibromasseur), il était fréquent qu’elles fassent des pauses.

Pour l’heure, une telle pause avait lieu entre Ai et son clone, Ai-2. Les deux Ai soupiraient longuement, reprenant leurs forces. Allongées sur le sol, étalées entre Mélinda et Edessa, elles se câlinaient doucement, le sperme collant à leurs corps, formant des bruits spongieux assez… Inattendus. Finalement, la première Ai se redressa, et ôta ses vêtements, estimant qu’il ne servait plus à rien, maintenant, de les porter. Elle se retrouva donc aussi nue que sa « sœur », et, peu à peu, le sperme qui la recouvrait glissa tout le long de son corps, comme une sorte de symbiote qui chercherait à couvrir tout son corps. Deux espèces de glaces blanches se trouvaient au milieu de la pièce, le sperme retenu à leur corps par les bienfaits de sa fée faite maison : Edessa.

Poliment, Mélinda sourit quand Ai lui avoua qu’elle n’aurait pas de toute sa vie à offrir pour la remercier.

*Si ça, ce n’est pas un serment de fidélité...*

La vampire avait les bras croisés, tout en voyant les deux femmes discuter entre elles. La manière avec laquelle Ai avait adopté son clone était passionnante. Qui sait ce que cela promettait pour la suite ? La petite Ai était effectivement une incroyable perverse, et un tel comportement augurait de magnifiques choses pour la suite. Finalement, elles se retournèrent vers Mélinda, pour demander la suite. Elles avaient envie d’aller voir la belle Shii, qui allait probablement faire une crise cardiaque en voyant deux Ai… Mais Mélinda fit rapidement quelques précisions.

« Votre sperme ne va pas tenir éternellement… Et je n’ai pas envie que vous le laissiez dans tous les couloirs pour rejoindre Shii… Pensez à vos petites camarades du matin qui vont devoir nettoyer tout ça.
-  Par conséquent, nous allons encore jouer ensemble, mes deux glaces. »

Difficile de fatiguer quelqu’un comme Edessa, une Succube. Elle était la fierté de Mélinda, le fleuron du harem, et on comprenait rapidement pourquoi. Au harem, tout le monde l’aimait. Elle était amie avec tous les esclaves. Edessa était, en quelque sorte, l’un des rochers du harem, un pilier inébranlable qui permettait au cœur de l’entreprise sexuelle de battre. Son corps avait accueilli des milliers de verges au cours de sa longue existence, et elle avait entraîné, formé, et rassuré des dizaines et des dizaines d’esclaves.

Edessa leur sourit donc, ses mains venant caresser leurs cheveux.

« J’ai toujours eu envie de me faire prendre par une fille couverte de sperme et sa jumelle… »

Elle s’écarta alors, et plia les genoux, se mettant à quatre pattes, avec sa robe, sa queue caudale allant caresser la joue de l’une des Ai, avant de descendre pour s’enrouler gracieusement autour de son sexe, et presser délicatement dessus. Le message était clair : une venant s’occuper de ses fesses, l’autre de sa bouche. Avec sa robe si particulière, il y avait juste à tirer sur le nœud du bas pour pouvoir atteindre sa croupe.

« Venez, mes petites chéries… Venez baiser la belle Edessa… »

Quand on savait ce que les clients devaient payer pour avoir le droit d’enfoncer leur queue dans le corps d’Edessa… Autant dire que les Ai étaient très chanceuses !

La vie était parfois tellement belle, il faut voir la vie en rose, la vie en magie rose plutôt ! Ai avait bien vidé ses bourses – sûrement dans son corps puisqu'elle n'avait jamais vu ses testicules – presque autant que lors de certaines soirées du Futabu. Ha c'était génial ce genre de soirée mais ça manquait de filles, souvent entre elles ou toujours les mêmes filles. Au moins chez Mélinda... ça va être chouette ! Les deux Ai étaient couverte de sperme mais cela ne semblait pas les déranger, au contraire, ça semblait les amuser ? Enfin bon, les deux Ai étaient fidèle, l'une comme l'autre mais voilà que leur maîtresse ne voulait pas les laisser partir comme ça, pas avant d'être nettoyé entièrement. Logique mais Ai espérait bien que Mélinda ne voulait pas parler simplement de douche ? Ou alors une douche avec des tas de langues, ça serait avec joie !

Heureusement Edessa était là pour les rassurer, voulant faire l'amour avec deux filles couvertes de sperme... Eh bien il suffit de demander, elles ne pourraient jamais rien refuser à une telle beauté ! Et puis le fait qu'elle enroula et pressait doucement la queue de la petite Futa était bien plus que suffisant pour la faire venir à elle. Elle était faible face à la tentation... Il suffisait de la voir à quatre pattes, attendant sa petite récompense pour de suite, retrouver un second souffle et avoir envie de la prendre dans tous les sens du terme ! Cependant, la Succube n'avait pas idée de ce qu'elle venait de faire... Elle n'avait pas désigné qui s’occupait de quoi ? Du coup, les deux Ai ne savaient pas trop, l'une comme l'autre vantant les qualités des deux orifices proposés sans pour autant se décider. Puis, elles laissèrent le hasard faire les choses, récupérant une pièce qui traînait sur une table – d'ailleurs c'était une pièce de cinq cents Yens – elles avaient décidé ça au hasard. Pile, c'est Ai qui s'occupe de sa bouche, Face, c'est Ai. Tirant la pièce qui retomba sur le sol, au final ce fut Ai qui allait d'abord s'occuper de sa petite bouche, la vraie Ai ! S'approchant presque en sautillant de joie, elle venait caresser les beaux cheveux roses de sa nouvelle copine.

« Han ça sera la première fois qu'une Succube me suce. Je peux prendre tes cornes pour mener la danse ? »
« Et moi c'est la première fois que je vais sodomiser une Succube ! Je compte bien te lécher ta belle queue en même temps. »

Elle laissait son clone commencer à enfoncer sa verge entre les belles petites fesses et gémir sous les premiers coups avant qu'elle ne vienne cesser de caresser le beau visage d'Edes-chan et attrapait doucement ses cornes en enfonçant son sexe dans sa belle petite bouche.

« Han, c'est tellement bon. Mhhhh je n'ose pas imaginer comment c'est bon, huuuum, entre tes cuisses ! »
« Je te rassuuuuure, hum... son petit cul est tout aussi déliiiiiiicieux ! »

Les deux se faisaient doucement plaisir en baisant les deux orifices d'Edessa. La vraie Ai était douce en agrippant les cornes, fermant les yeux en savourant cette bouche accompagnée de cette langue alors que la seconde tenait la belle queue à deux mains, venant la sucer comme un chibre entre ses mains, la caressant aussi comme s'il s'agissait de ça. Mélinda pouvait se rincer l’œil et même inviter des gens pour observer, aucune de ses trois-là ne sera gêné d'être ainsi observé, ça les exciterait sûrement bien plus.

« Hhhhaaaaaa.... on sent bien... qu'Edes-chan est... hum une grosse gourmande ! »
« Huuuum mmmoouuiiii ! Ce petit cul à... connu bien des bites avant... la mienne... »
« Mais c'est aussi... haaaa... pour ça qu'on l'aime ! »
« Oh ouiiiiiii ! On a... tellement à lui offrir... Dans sa petite bouche... son petit cul... »
« Ai-chan !!! Prenont ensuite... sa petite chatte à deux ! »
« Oh ouiiiiiiiii ! On va faire... bien gonfler son joli ventre... avec notre belle foutre ! »

Mais avant, fallait-il encore jouir et là, elles en étaient pas prêtes mais des petits cris et gémissements suffisent à faire monter le plaisir et donc, à jouir plus vite. Comme elles disaient, plus vite elles jouissent, plus vite elles vont recommencer après tout ! Déjà que les Ai gémissaient de plus en plus, les deux futas n'ont pas prêt de finir d'offrir beaucoup de travail aux servantes de Mélinda.

Mélinda observait les deux crèmes glacées tournant lentement autour d’Edessa, en se demandant comment elles allaient la prendre. Elles discutaient entre elles pour savoir qui aurait le privilège de lui butiner le cul, et de prendre sa bouche. Amusée, Mélinda observait ce spectacle. Le foutre collait magnifiquement à leur peau, formant véritablement une sorte de seconde peau, qui ne laissait aucune trace sur le sol. Un spectacle véritablement fascinant, qui faisait sourire Mélinda. Se mordillant les lèvres, la jeune femme s’était assise sur un fauteuil, toute nue, et les vit agir. Ce fut la vraie Ai qui allait s’occuper de la bouche, et le clone de son cul. La Succube, qui avait dû patienter le temps qu’elle se décide, hocha la tête quand Ai demanda si elle pouvait s’appuyer sur ses cornes.

« Bien sûr, ma puce, elles sont faites pour ça ! »

Les mains d’Edessa se crispèrent sur le sol, puis elle sentit les mains du clone dénouer quelques liens, ayant ainsi accès à sa croupe, cette croupe qui avait été usée, usée tant et tant de fois... Impossible pour Mélinda de compter le nombre de fois où elle avait sodomisé la belle Edessa ! Sa verge rentra dans ses fesses, et Edessa poussa un long soupir de joie, son visage tapant contre sa verge... Puis ce membre rentra dans sa bouche, et elle soupira de plaisir. Comme toujours, Edessa ne se sentait vraiment pleine et remplie que quand on lui faisait ainsi l’amour, que quand on la sodomisait, ou qu’on baisait sa belle petite bouche. Soupirant longuement, la Succube sentait donc les deux clones se frotter, et ne résista vite pas à l’envie de poser ses mains sur les fesses d’Ai, sur ce cul enduit de sperme.

C’était... C’était collant et doux. Beaucoup auraient pu trouver ce spectacle répugnant, tant le sperme pouvait puer... Mais Edessa, elle, adorait cette odeur. Elle remuait sa bouche d’avant en arrière, n’ayant toutefois pas grand-chose à faire, car les deux femmes s’occupaient à la perfection d’elle et de son corps, se tortillant en elle. Des queues qui la pénétraient joyeusement, des soupirs s’échappant profondément de ses lèvres, sa queue caudale venant caresser le corps du clone, s’approchant de ses lèvres.

Peu à peu, la mouille d’Edessa vint à maculer le sol, au fur et à mesure des coups de trique de ses deux amantes. Elles se défoulaient, et Edessa en profitait pour remuer ses doigts, en glissant un dans les fesses d’Ai, la sodomisant également... Avant de les sentir jouir au bout de quelques minutes.

« Hummmm-hmmmmm... !! »

Le corps d’Edessa se tortillait entre les deux femmes, et elle goûta à leur sperme, le trouvant... Magnifique.

Ah, que c’était bon ! La Succube avait toutes les raisons du monde d’être heureuse de ce qu’elle ressentait en ce moment.

Une fois lancée, il fallait vraiment l'épuisée pour qu'Ai cesse de penser au cul et daigne enfin se reposer ou se comporter comme une jeune normale. Mais comment être normale quand il y avait tant de beauté dans cette maison ? C'est comme être invité dans une pâtisserie lors d'un dur et pénible régime... la tentation est forte. On peut y résister un peu mais tôt ou tard, la tentation sait faire les yeux doux. Et maintenant qu'ici, elle avait un clone ou une jumelle comme elle aimait se dire, la pause ne sera pas de sitôt ! Avec une belle succube qui leur était offerte, comment ne pas avoir envie de se vider tant en semence qu'en énergie pour ses beaux yeux... et pour son beau petit cul ? Elle était fière d'avoir la possibilité de la tenir par les cornes pour mieux lui prendre la bouche comme bon lui semblait.

Sa sœur jumelle n'était pas déplaisante non plus, elle avait le droit à ce beau fessier qu'elle baisait avec joie en jouant avec sa queue par la même occasion. Et face à tant de plaisir avec une si belle personne, les deux petites futas ne pouvaient que se sentir si bien, défonçant avec joie ce joli petit cul et cette délicieuse petite bouche. Oh que cette petite langue était tendre et délicieuse ! Une chance que ses cornes étaient solides et elle espérait ne pas lui faire mal en les serrant, plus elle serrait, plus elle approchait de l'orgasme ! Telle deux jumelles à l'unisson elles jouirent ensemble, l'une se vidant dans sa bouche, l'autre dans son cul. La vraie Ai avait quand même moins de foutre à distribuer que son clone, depuis le début de la journée, elle s'était vidé pas mal de fois... plus que d'habitude mais il faut aussi dire aussi que c'était tellement tentant de jouir ici !

Les deux futas se reposèrent un peu, s'observant avant de venir s'embrasser délicatement par-dessus la belle succube, restant en elle en partageant ce baiser digne d'un moment romantique avant de doucement se retirer d'elle.

« Humm Edes-chan, ta bouche est tellement confortable... »
« Et c'est pareil pour ton petit cul. »
« Allonge-toi, jolie succube, on va te faire un petit plaisir pour te reposer... »
« Mais Edes-chan est pas fatigué ? »
« Oui mais on va jouer côte à côte... Regarde... »

Repoussant doucement la belle succube pour qu'elle s'allonge sur le dos et ensuite, elle caressa doucement son ventre, remontant sa main pour venir caresser un de ces seins doucement avant d'écarter doucement sa poitrine, bloquant sa robe entre ses deux seins... Quelle chanceuse cette robe quand même.

« Tu te demandes pas si elle a du bon lait dans sa poitrine ? »
« Maintenant que tu le dis... »
« Voyons ça ensemble ?! »

Se penchant sur elle, elle venait lécher son téton, venant doucement le prendre en bouche pour le sucer, pressant son sein par la même occasion. Pas son son clone, elle était plus patiente en léchant doucement ce petit téton.  Toutes les deux remuaient doucement leurs fessiers de gauche à droite. C'était envoûtant, hypnotisant... Mélinda va être être tentée ou bien elle va juste savourer cela avec ses yeux ? En tout cas, cela ne retira en rien du plaisir des deux petites futas.

La levrette, l’une de ses positions privilégiées, préférées... Mélinda était bien placée pour savoir combien Edessa aimait se faire prendre par là. Cette robe avait été conçue pour ça, conçue pour lui permettre d’être prise sans avoir à se déshabiller. Contrairement à bien des gens, la Succube partait du principe que le sexe pouvait tout à fait s’envisager avec des vêtements, et que, loin d’être rédhibitoire, les vêtements avaient une dimension sexuelle non négligeable. C’était paradoxal, car les vêtements avaient été initialement conçus pour cacher le sexe, et donc comme des manières de calmer les pulsions... Mais l’esprit humain, retors par nature, avait fini par s’accommoder de ces tenues collantes, et par y trouver des sources d’excitation importantes. Et Edessa, elle, aimait ça. Elle avait plusieurs variantes de la même robe, car il arrivait fréquemment que les cordes se déchirent... En même temps, quand on se faisait régulièrement prendre, ça pouvait se comprendre, car le sexe, fondamentalement, était violent. C’était un contact physique douloureux et lourd, quelque chose d’intense et de jouissif... Mais de douloureux malgré tout. Et ça, il ne fallait jamais l’oublier.

Edessa remuait donc contre les deux femmes, en les sentant la pénétrer joyeusement. Ai et son clone se défoulaient en elle, et Mélinda observait le spectacle en souriant... Puis les sentit jouir toutes les deux. Comme la Succube l’avait expliqué à Ai, le clone sexuel dépendait aussi de la bonne volonté du modèle d’origine, et, vu la manière dont Ai fantasmait sur son clone, celui-ci était terriblement réel, se comportant comme une sorte de sœur jumelle perverse. Elle vit ainsi les deux femmes se pencher l’une vers l’autre, les quatre mains prenant appui sur le beau dos d’Edessa pour leur permettre de goulûment s’embrasser.

« Hmmmmmmm... » gémissait longuement la Succube, en se mordillant les lèvres.

Ah, ces contacts délicieux ! Oh, la sensation d’avaler du sperme, de goûter à ce liquide de vie, une sensation qui ruisselait dans tout son corps, en faisant frissonner tous ses membres. Sa queue caudale caressait les fesses du clone, tandis qu’elle retira ses doigts du cul de la vraie Ai, et les sentit ensuite s’écarter d’elle, leurs sexes toujours tendus, et le désir toujours brûlant dans la prunelle de leurs yeux. La Succube ne pouvait que sourire, ravie par un tel spectacle.

Edessa, effectivement, n’était guère fatiguée, mais, en souriant, alla se coucher sur le dos, et les invita à venir :

« Venez jouer avec Edessa, mes chéries, Edessa a été conçue pour ça, pour servir d’amante à qui le veut... »

Mine de rien, Mélinda voyait beaucoup de rapports entre Edessa et Sya, cette turbulente Ange de la Luxure qui était actuellement hébergée chez elle. Les deux étaient de profondes perverses dotées de pouvoirs magiques orientés vers le sexe, et les deux aimaient l’idée d’avoir de nombreux amants. Néanmoins, outre ces rapprochements, il y avait aussi d’importantes différences, comme le fait qu’Edessa aimait aussi bien coucher avec des femmes qu’avec des hommes.

Les mains d’Edessa massaient les fesses des deux glaces de foutre, et la première Ai écarta son décolleté, dévoilant ainsi la généreuse poitrine de la Succube, qui sourit en voyant ce qu’elles avaient envie de faire.

« Oh oui, mes belles... Venez prendre le bon lait de votre Maman... »

Elle leur sourit, et, quand elles se positionnèrent,  les mains de la Succube vinrent masser leurs délicates fesses, les laissant néanmoins se dandiner, tandis qu’elles commençaient à suçoter ses seins, faisant gémir la Succube... Qui ne comptait cependant pas offrir son précieux lait aphrodisiaque si facilement. Il fallait bien un peu de challenge ! Elle les laissa donc s’évertuer, et, entre-temps, Mélinda se déplaça lentement, sa verge déployée... Et, comme si Edessa comprenait inconsciemment ce qu’elle voulait, un clone d’elle-même se forma.

« Tu prends laquelle, ma chérie ?
-  Hum... À toi l’honneur, ma puce... »

Ai n’était pas la seule à savoir s’accommoder d’un clone, et, quand on avait l’emploi du temps très chargé de Mélinda, avoir une jumelle qui raisonnerait exactement comme elle n’était pas une mauvaise idée. Les deux femmes s’embrassèrent donc, Mélinda, comme toujours, adorant son propre reflet, puis se rapprochèrent des deux Ai, venant claquer les fesses.

« Alors, mes petites salopes...
-  ...À voir vos culs se dandiner ainsi, on jurerait que vous n’avez qu’une seule envie : vous faire défoncer comme de grosses chiennes en chaleur...
-  Mais nous n’en sommes pas très sûres, alors il faudrait nous le prouver... Hurlez que vous êtes des salopes, mes petites chiennes, et que tout ce que vous avez envie, en ce moment, c’est de sentir vos jolis petits culs de pute se faire remplir par des grosses queues tendues ! »

Les deux Mélinda formaient une paire redoutable...

Quand on parle de sexe avec AI, on s'engage dans une longue conversation qui pouvait très vite devenir de la pratique. Mélinda n'avait pas attendu longtemps avant de voir Ai sortir son petit chibre pour venir jouer avec elle. Là ou une personne normale aurait été assez gênée de faire l'amour avec des inconnus, la futa n'était absolument pas gênée ! En même temps, Shii l'a vraiment découverte en train de se masturber avec sa culotte alors dans le genre pervers... Maintenant qu'elle avait pris connaissance du fait que Terra existait – du moins les différentes femmes qui pouvaient y avoir tout droit sorti de son imagination – elle ne quitterait pas Mélinda. Oh ça non ! Ha moins d'une autre femme comme Mélinda qui lui confierait les clés de son harem et des centaines, voire des milliers de femmes à baiser, là, oui elle laisserait Mélinda tranquille. Comme ce genre de personne ne cours pas les rues, la vampire avait presque adopté cette petite futa qui va se faire une joie d'inspecter ici minutieusement chacune des femmes qui y habitaient ! En dehors de Shii qui était une femme normale et avec qui elle va souvent jouer ici ou à l'école, son regard s'était porté sur Edessa.

Et quel choix ! Elle avait carrément gagné une jumelle avec qui jouer ! Se jetant sur la belle poitrine de la succube, la petite futa était un peu trop enthousiaste pour déchirer la robe de sa nouvelle amie mais cette poitrine était un vrai appel à l'aide ! Elle entendait ses deux petits bouts de chair qui criait « sucez-nous » et elle ne pouvait supporter ce cri alors elle se jetait dessus, espérant cesser les voix et combler son amie. L'idée même, un seul instant que la Succube joue les mamans, cela ne les dérangeraient nullement tant qu'elles peuvent jouer ensemble avec sa poitrine. Ai avait une sexualité débordante et presque sans taboue. Comme tout le monde, elle ne pensait pas pouvoir faire ça avec des morts, des enfants, des animaux – animaux, pas furry ça ne compte pas – mais en dehors de ça, qu'une Succube lui demande de l'appeller maman... elle pourrait même dire papa, dieu, elle s'en fichait hein !

Il est vrai que sucer cette poitrine était déjà une chose bien excitante mais sentir en plus le lait couler dans sa bouche ?! C'était une grande première pour Ai, encore une chose à barrer de sa liste, grâce à Mélinda ! Dommage pour Mélinda que la petite futa ne soit pas riche, elle lui aurait donné toute sa fortune pour vivre ici pour toujours ! Mais bon, elle n’était qu'une petite Japonaise comme une autre... avec un pénis et une sexualité pleine de vigueur ! Sans faire attention à ce qui se passait derrière, elles n'avaient pas vu les vampires qui venaient leur faire la surprise de claquer leur petit cul sans crier gare ! Les deux Mélinda se plaisaient déjà à faire des Ai leurs petits jouets... Aussi étrange soit-il, tant que la petite futa pouvait dormir un peu avant d'aller en cours, pas de soucis ! C'est bien la seule chose qu'elle craignait ça, de sécher les cours et que ses parents l'apprennent. Ils étaient plutôt cool mais il fallait absolument respecter les quelques règles qu'ils avaient.

« Haaaa ! Maîtresse ça fait mal ! J'ai mal à mon petit cul... je crois que... que la grosse queue de maîtresse pourra que me faire du bien ?! »
« C'est vrai. On a le petit cul qui brûle et on a vraiment envie de sentir vos belles bites venir nous ramoner. »
« Peut-être que les Maîtresses veulent plutôt nous défoncer notre petite chatte ? »
« C'est vrai que j'ai mal aussi là... Alors Maîtresse, vous voulez nous baiser quoi ? »
« Baisez-nous Maîtresses ! Nous sommes deux petites putes en chaleurs et pis le lait de maman nous rend encore plus en chaleur. »
« Venez nous punir avec vos belles bites, ça brûle en nous et seul votre sperme délicieux peut nous aider. »

La tête posée contre le sein de la Succube, la vraie Ai tendait ses mains vers ses fesses pour les écarter et présenter sa croupe, prête à être baiser à Mélinda alors que sa jumelle se contentait de deux doigts pour dégager l'accès à son petit cul, ça promettait de remuer et de hurler de plaisir contre la belle Succube. De quoi lui laisser de beaux rêves en perspective !

Ai n’était pas la seule à fantasmer sur le fait d’avoir une jumelle, un clone sexuel qui s’apprêtait à coucher avec elle. Il était assez récurrent qu’Edessa invoque un clone sexuel de Mélinda, et, comme pour Ai, ce clone sexuel était tellement fréquent qu’il avait une sorte de personnalité propre, tout en étant aussi rattaché à la personnalité propre de Mélinda. La magie permettait de défier les lois de la logique, et les deux Mélinda étaient l’une à côté de l’autre, toutes deux nues, toutes deux se masturbant en voyant Ai et son clone les inciter à venir... Si Ai lui offrait le choix, la sodomie semblait néanmoins avoir sa préférence, Ai offrant sa croupe avec impatience. Mélinda sourit donc, et se rapprocha un peu.

« Effectivement...
-  Ces deux salopes ont besoin d’être punies méchamment... »

Qui était la vraie ? Qui était la fausse ? Chacune avait la même voix, et l’une des deux Mélinda alla claquer les fesses d’une Ai. Toute heureuse, Edessa, elle, avait droit à un spectacle fabuleux, et sa tête était penchée vers la scène qui avait lieu sous ses yeux. Quatre femmes, dont deux étaient des clones, se tortillaient devant elle. La Succube caressait les cheveux des deux Ai, crispant ses doigts dessus, avant de sentir les deux Mélinda se rapprocher... Puis cette improbable et incroyable scène de sexe se poursuivit.

Les deux verges s’enfoncèrent dans les anus des deux Ai, et Mélinda poussa un long soupir de plaisir en s’y perdant, une onde de douleur venant la traverser. Une onde jouissive, comme dans chaque sodomie, quand le sexe heurtait la peau interne, résistante... Mélinda posa ses mains sur les hanches de la femme, avant de les ramener sur ses fesses, et s’appuya dessus, prenant la femme, en remuant d’avant en arrière, son sexe filant en arrière, avant de foncer en avant. La vampire multipliait les mouvements dans le corps de la femme, et ses doigts se crispèrent sur sa peau tendre et trempée.

« Hmmm...
-  Ho ouuuiii... »

Les coups de triques se mirent à parler, s’accompagnant de gifles et de claques sur les beaux culs de ces deux femmes. Edessa soupirait de plaisir, toute cette excitation sexuelle la faisant frissonner.

« Oh oui, mes chéries, hum... Venez jouer avec mes seins ! »

Les deux vampires prenaient les culs des deux Ai, et, aux yeux de Mélinda, il ne faisait en ce moment aucun doute qu’Ai ne pourrait que vivre avec elle. La vampire continuait à la prendre joyeusement, crispant ses ongles sur sa peau, son sexe s’engloutissant totalement en elle, avant de revenir en arrière, puis de repartir en avant, Mélinda multipliant de nombreux coups de reins, profonds et lourds.

« Ohhh ouiiii... Haaaannn...
-  Haaaaaaaaaaaaaannnn... !! »

La sodomie... Que c’était bon !

Et comment qu'Ai restera aux côtés de Mélinda, le contraire était impossible. Elle était en sécurité ici, elle s'amusait bien, elle pouvait librement laisser parler ses fantasmes, pourquoi voudrait-elle partir ? Malheureusement pour elle ce n'était pas les vacances et elle ne pourra pas dormir tous les soirs chez son amie mais elle la verra souvent chez elle, ça c'est sûr. Se frottant contre la belle succube, responsable de sa jumelle et de cette mini-partouze qui commençait à se formait ici, elle était au paradis. Ai ne peux que se plaire ici, elle va avoir que des amies à ses côtés, ça, c’est sûr. Sachant qu'elle comptait bien réaliser un ou deux fantasmes avec chacune des filles ici... Ce n'est pas demain la veille que la vampire ne va plus voir Ai courir de chambre en chambre pour faire parler ses besoins.

Face aux menaçantes queues des vampires, les deux futas tentèrent faussement de se réfugier dans les bras d'Edessa mais surtout d'inviter les Mélinda à se faire plaisir, c'était là tout l’enjeu en vérité. Évidemment que les deux vampires vont se faire plaisir et pour preuve, elles ne prenaient pas de pincette pour venir prendre leur petit cul, faisant naître une vague de gémissements et de claquement. Que ce soit avec leur main ou leur bassin, leur petit cul n'avait pas fini de gigoter sous les assauts de Mélinda.

« Haaaaaaaaaannn ! »
« Oooooh ouiiiii Maîtresse !!!! »

Les deux futas auraient de plus en plus de mal à se dire que cela prendra fin, ne serait-ce que quelques heures pour dormir, aller à l'école ou rester un peu chez elle... Mais ce n'était pas grave, cet endroit n'allait pas s'envoler en une nuit, aucun risque. Ai montrait une jolie frimousse heureuse dans le plaisir et la douleur, la queue de la vampire faisait un bon travail en ramonant son anus, leurs mains crispées sur leurs fesses ou leurs hanches, elles en prenaient pour leurs grades les perverses. Et vu l'invitation de la belle Succube, elles ne vont pas se faire prier les petites futas ! Elles se jetèrent dessus, léchant et tétant la belle poitrine de la démone. Une des Ai était plus douce, faisant ça de façon normale dirons-nous alors que l'autre était plus vorace, venant mordiller ce petit morceau de chair si rebelle ! Il pointait sans cesse comme pour la narguer puis... est-ce de sa faute si le lait de succube est si bon ? Sérieusement, on lui proposerait un biberon qu'elle ne dirait pas non ! Mais quitte à jouer le bébé pour avoir du lait, autant aller boire ça la source, comme maintenant.

« Hyaaaannnnnnn !!!! Maîtresse.... vous y allez trop FOOOOOOORTTT !!!! »
« Mhhhh Edes-chan.... Ma queue... elle est trop duuuuur... Viens me traire s'il te p-plait-muuuuuuuhhhhhh ! »
« Non pas moi... Mmmmh je préfère... la laisser... haaan... se frotter... contre ta cuisse.... »

Perverse jusqu'au bout des ongles. La vrai Ai était celle qui se servait de la cuisse de la succube pour s'y frotter, observant la belle Succube avec la passion sexuelle, se laissant bercer dans cette zone de luxure en profitant de son bon lait. Là où son clone avait un regard vers sa Mélinda, un petit regard défiant envers elle mais pourquoi ? Bah pour en avoir toujours plus sur son petit cul.

« Allez-y Maîtresse... DONNEZ-TOUT DANS MON PETIT CUL !!!! »
« MMMMhhhhh... Moi aussi Maîtresse ! »

Existe-il une esclave terrienne aussi perverse et fidèle envers Mélinda ? Fidèle, peut-être, perverse... On parle d'Ai quand même...

Ai et Mélinda, c’était le début d’une longue histoire d’amour. Au vu de son pedigree exceptionnel, Mélinda aurait tout à fait pu rejoindre le culte de Lust. C’était une fantastique histoire de sexe, de sexe sauvage, trash, sans fin, avec des Futas’, des clones, des succubes, le tout sous la potion saine et divine de la magie rose. Les trois femmes, qui en étaient maintenant cinq, s’amusaient toutes ensemble, et Edessa, comme à chaque fois, était ravie d’avoir une nouvelle partenaire de jeu… Et qui ne le serait pas ? Elle avait devant elle, non seulement sa Maîtresse, mais aussi une magnifique perverse ! Ai continuait à se faire bourrer le cul, et les deux Ai piaillaient joyeusement, dans un concert de joies, tandis que le clone demandait à se faire masturber, et l’autre se contentait de se masturber contre la cuisse de la femme.

« Vous… Vous êtes incorrigibles, mes… Mes petites salopes !!
-  Ouuuiiii… Incorrigibles ! »

Les deux Mélinda remuaient joyeusement dans les corps des deux Ai, malmenant férocement leurs culs, amenant leurs petites têtes à rebondir contre les généreux seins d’Edessa, qui peinait à les maintenir contre elle. Pour masturber la queue du clone d’Ai, elle utilisa sa queue caudale, venant la faire remonter entre ses jambes pour qu’elle file sous le corps d’Ai, et vienne ainsi s’entortiller autour de sa queue, la comprimant et la compressant, tirant dessus. Sa queue caudale s’enroula autour de ce sexe, et elle entreprit donc de la masturber, avec un sourire sur le coin des lèvres, pendant que son lait fusait dans la bouche affamée de ces deux femmes.

Elles étaient deux amantes redoutables, aussi talentueuses qu’insatiables, ce qui, en soi, n’avait rien de surprenant, le clone héritant des facultés de l’hôte d’origine. Elles se tortillaient donc, et Edessa savourait ce moment, sentant, contre son corps, la puissance des coups de reins de sa Maîtresse et de son fameux clone, avec lequel elle aimait énormément jouer, même si elle ne l’avouait pas explicitement. Ensemble, elles faisaient des folies, et, quand Edessa était aux premières loges pour y assister, c’était comme être au Paradis !

« Oui, encore, encore… Baisez encore, encore ! »

Une main claqua l’un des fessiers des Ai, et Mélinda, la vraie, enfonça sa queue, hurlant et gémissant, de la sueur coulant le long de son corps en chaleur. Elle remuait violemment, d’avant en arrière, se tortillant sur place, son membre se glissant merveilleusement bien dans ce petit cul bien formé. S’y mouvoir était un plaisir constant et récurrent, une joie continuelle… Ai était faite pour le sexe, et il ne faisait aucun doute qu’elle resterait ici… Ce qui donnait des idées à Mélinda.

Se crispant contre son corps, elle se concentra, sentant l’orgasme approcher rapidement… Les corps étaient en sueur, la peau se frottait, et, dans de longs soupirs, tous les orgasmes affluèrent… Les deux Ai, les deux Mélinda… Une magnifique projection de foutre, dans des soupirs langoureux, longs et puissants !

Le clone de Mélinda avait ensuite disparu, mais Ai avait encore le sien, qui ne disparaîtrait que quand elle le souhaiterait. Ayant retiré sa queue du cul d’Ai, la vampire soupirait longuement, en reprenant son souffle :

« Aaaah, tu sais… Tu es vraiment une grande perverse, Ai… À tel point que je pense qu’il y a quelqu’un dans mon harem qui devrait énormément te plaire… Une autre perverse avec de longs cheveux bleus et une peau douce comme celle d’un bébé. »

Et elle, dans le genre, était une sacrée perverse !

Faire l'amour à une vampire ? Fait. Faire l'amour avec une succube ? Aussi. Faire l'amour avec une succube et une vampire ? Aussi fait. Ça va en faire des choses à retirer de sa liste quand elle va rentrer chez elle ! Prise par la vraie Mélinda, elle laissait sa queue se frotter contre sa cuisse, c'était si excitant alors que ce sein, si doux et moelleux n'avait pas fini de lui donner ce délicieux lait qui coulait de son téton. Comment quitter cet endroit ? C'était comme être au paradis ? Pourquoi n'était-elle pas déjà une adulte, elle n'aurait pas de compte à rendre à ses parents et vivrait toujours aux côtés de Mélinda. Mais voyons le bon côté des choses, ça lui permettra de prendre une pause et ensuite de mieux leur faire l'amour. Pour le moment, elle savourait ce concert de gémissements, de cris, de sueur, de foutre, le tout bien mélangé, c'était sublime !

Laissant la vampire se faire plaisir et jouir dans son cul, elle en fit autant sur la cuisse de la succube. Par chance, elle n'était plus aussi en forme qu'à son arrivée donc les quelques litres de foutres se changeaient une portion généreuse pour une futa sans pour autant provoquer une inondation, idem pour son clone qui avait eu droit à sa queue autour de la sienne. Ne quittant pas la poitrine ni le corps d'Edessa, la petite futa commençait à agiter le drapeau blanc en restant allongée contre elle. Le paradis. Elle n'avait pas d'autres mots. Elle a dû mourir noyer dans la piscine et voilà le résultat, le paradis sans ange mais le paradis quand même. La vampire venait même titiller sa curiosité alors qu'elle restait pendue au sein de la succube, le sourire ne semblait pas vouloir quitter son corps.

« Ha oui ? Oh je suis curieuse de la connaître alors, je suis sûre qu'on va devenir très copine alors ! » Si elle était aussi perverse qu'elle, c'est sûr et certain ! Quittant le sein de sa nouvelle copine, elle s'allongea sur le dos pour regarder Mélinda, sa queue était assez tendue encore mais pas chargé à cent pour cent. « Maîtresse, je pensais pas dire ça si vite mais je pense aller me laver et dormir avec Shii-chan avant d'aller à l'école demain... »
« Tu es déjà fatiguée ? Petite joueuse. »
« Mais ! Moi je jouais déjà avec Shii-chan à l'école et même sur le chemin de l'école alors que toi, tu es là depuis dix minutes à peine ! Facile de critiquer, beuh ! » dit-elle en tirant la langue.
« J'ai le droit d'aller me reposer, Maîtresse ? »

Naturellement, ce manoir n'était pas une prison et demain, la journée allait être aussi longue et aussi bonne que cette soirée. Même si elle va surement devoir passer la soirée chez elle, au moins la nuit surement ? Elle verra bien. Mélinda accepta donc et Ai se redressa avant d'embrasser tendrement Edessa pour lui souhaiter une bonne nuit, la laissant avec ses jambes couvertes de foutre, son clone la suivait sur les talons, non pas pour vraiment se laver mais l'enculer sous la douche. Un fantasme à viré de leur liste encore ! C'est ce qui se passa, à peine sous la douche, son clone la prenait contre le mur, venant se venger sur le petit cul de la vraie futa, partageant ce plaisir sans ménagement avant de se sentir libérée. Elle se fit pardonner en aidant l'original à se laver, retirant cette odeur de foutre et de sueur qui lui collait à la peau. Une fois propre comme à son arrivée, elle se baladait dans le plus simple appareil, venant embrasser à son tour tendrement Mélinda pour lui souhaiter une bonne nuit avant de se glisser en silence dans le lit de Shii. Son clone la suivait elle aussi pour se reposer – et peut-être disparaître dans son sommeil ?

Elle laissa sa nouvelle copine dormir, elle n'allait pas l’embêter et venait simplement se coller contre elle pour s'endormir. C'est demain matin qu'elle va avoir besoin d'elle pour son premier orgasme de la journée. En général elle fait ça seule, à la main en fantasmant sur ses rêves roses mais là... elle n'aura pas besoin d'imaginer quoi que ce soit. Elle n'eut aucun mal à trouver le sommeil et à se reposer tranquillement. La nuit passait, bien des orgasmes ont eut lieu dans son dos pendant qu'elle dormait, dans les autres pièces du manoir. Mais son portable vibrait, le réveil était en marche. Une bonne heure pour se laver, s'habiller, déjeuner, aller en cours... mais une journée commence toujours par retirer cette érection d'entre ses jambes. Le bruit avait dû sûrement réveillé Shii, qui, soit avait le sommeil lourd, soit espérait se réveiller quelques minutes un peu plus tard ? Tout contre elle, elle embrassa son cou, le baisant doucement en commençant à faire passer ses mains sur son corps.

« Shii-chan... lèves-toi s'il te plaît... j'ai besoin de toi pour me vider... »

Question, Shii-chan aimait se faire prendre en dormant ou elle préférait mettre la main à la pâte ? Baisant sa poitrine dénudée – sans pour autant ôter ses vêtements – elle se frottait contre elle, sa queue venant caressant son entrejambe, elle en avait déjà très envie...

« Allez Shii-chaaaaaan, sinon c'est moi qui décide... Dans ton petit minou ? Dans tes petites fesses ? Ta petite bouche me semble aussi parfaite pour bien se réveiller, huuum? »

Puis c'était elle ou Shii-chan sentait si bon le matin ? Ai partage rarement un lit avec une autre femme une nuit alors, ça lui faisait tout drôle mais elle comptait bien profiter de sa présence, dans bien des sens. Elle lui laissait l'occasion de choisir, de plus, elle avait encore son joker à utiliser pour l'avoir mené à Mélinda ? Enfin, ça, c'est elle qui voit quand l'utiliser, elle a le temps. Puis à l'école, elles vont se rapprocher, Ai ne compte pas la lâcher de sitôt !

« Je ne savais pas que la Terre recelait de créatures si particulières, Maîtresse...
-  Tu vois, on peut parfois être surprise, Edessa... J’ignore depuis combien de temps la Terre et Terra sont reliées par des Portails, mais je suppose que, s’ils sont là depuis longtemps, ça doit expliquer pourquoi certains individus de la population locale sont si... Particuliers. »

Yoake, de fait, était une ville un peu exceptionnelle, si on la comparait au reste des communes de la Terre. Jinmu, par exemple, était clairement un lycée sexuel, fondé par les plus puissantes familles de la ville, et qui disposait de leur protection. Or, ces familles avaient des contacts assez haut placés, que ce soit au sein du rectorat, ou même du gouvernement. Est-ce que cela expliquait pourquoi le lycée n’avait jamais été fermé ? Jusqu’à quel point les Portails dimensionnels avaient façonné l’architecture de la ville ? Ai, en tout cas, était relativement une personne fascinante, un individu rempli de perversion, une Futanari aussi gourmande qu’adorable. Mélinda était convaincue qu’elle formerait, avec Sya, un couple très réussi. Sya était une belle esclave, une Ange aux cheveux bleus qui adorait coucher avec tout le monde. Mélinda n’aurait donc aucune difficulté à les regrouper ensemble.

Pour l’heure, elle était en compagnie d’Edessa, et elle pensait bien qu’elle dormirait avec elle ce soir. Edessa ne portait pas le nom « Warren », mais, pour Mélinda, ça ne changeait rien, car elle avait toujours considéré comme sa fille. Elle avait tenu Edessa quand elle était encore un petit bébé tout replet et tout chaud, en lui donnant le sein. La mère biologique d’Edessa n’avait jamais voulu de la Succube, ce qui fait que Mélinda l’avait toujours éduqué elle-même. Mais Ai n’était pas au bout de ses surprises... Il y avait encore Sya à lui présenter, mais peut-être qu’elle voudrait aussi rencontrer Kriviel, une magnifique Slime bleue, qui était l’une des plus récentes acquisitions de la vampire.

« Nous allons dormir ensemble, ma petite Edessa...
-  Oh oui, Maîtresse, j’en serais ravie... »

Elle esquissa alors un léger sourire en redressant la tête, serrant le corps de Mélinda contre le sien :

« Oh... Le clone d’Ai est en train de la baiser dans la douche... »

Ce clone avait été généré par la magie rose d’Edessa, et il était donc normal qu’elle soit encore connectée à cette dernière. Fermant les yeux, elle s’absorba dans cette vision pendant quelques secondes... Avant de sentir Mélinda pincer son téton, la faisant couiner.

« Ah !
-  Ne m’oublie pas si vite, Edessa... Moi, j’ai encore de grosses soifs...
-  Oh oui ? Vraiment, Maîtresse ? Hum... Il faut que je me dévoue à épancher votre soif, alors... »

Mélinda n’offrit aucune réponse verbale, se contentant de pousser Edessa, la couchant sur le dos... Et elle alla l’embrasser...

---

Shii, elle, avait passé une soirée nettement plus studieuse. Clara lui avait fait l’amour, mais elle avait refusé d’aller jouer avec la Slime, en arguant qu’elle avait des devoirs à faire. Sur ce point, elle avait, fort heureusement, le soutien de sa Maîtresse. Maîtresse Warren savait que Shii était une fille très intelligente et très studieuse, et elle l’entraînait donc, en lui disant que son destin futur n’était pas que d’être une simple prostituée à son service, mais de viser plus haut. Shii avait donc révisé le soir, avant de se coucher, seule, dans sa chambre, ce qui n’était pas pour la déranger spécialement. Shii s’était donc endormie tranquillement dans son lit, avec, à côté d’elle, une peluche... Qui n’était autre qu’une Mélinda en peluche.

La lycéenne portait un simple short rose et un débardeur pastel, et dormait tendrement... Ce qui fit que, quand Ai arriva et se glissa dans son lit, la jeune femme ne réagit pas, mais constata vite, au matin, qu’on l’avait rejoint dans le lit. C’était quelque chose de fréquent, qu’on la prenne en pleine nuit, et, fort heureusement, elle était matinale. Elle cligna donc des yeux en se réveillant, avant de sentir, contre sa hanche, le sexe érigé d’Ai.

« A-Ai... ?! »

Elle sentit rapidement Ai venir l’embrasser, tout en lui demandant comment elle voulait être prise. La réponse ne tarda pas à se faire entendre, tandis que Shii se mit à rougir furieusement. Maintenant qu’Ai était dans le manoir, Shii était sûre qu’elle la reverrait fréquemment, et ce ne serait-ce que parce que Maîtresse avait lié les deux femmes.

Shii déglutit donc en entendant la proposition de la femme, et répondit en la caressant, le choix étant, à vrai dire, assez rapide à faire :

« Sur... Sur moi, Ai... »

Une sodomie de si bon matin ? Même pour elle, ça serait un peu trop dur. Et, quant à une fellation, elle était encore en train de sommeiller. Partant de là, il n’y avait donc plus qu’une position sexuelle à tenter : la posture classique et usuelle.

« Pé... Pénètre-moi... » soupira-t-elle faiblement.

Quelle agréable fin de soirée, son premier soir chez Mélinda, elle s'en souviendra pour toujours. Mais la suite aussi car elle ne comptait pas finir cet épisode comme ça. Elle avait rejoint le lit de Shii pour s'endormir en étant nue mais sans faire de bêtise, elle avait juste câliné Shii comme elle câlinait sa peluche de Mélinda. Elle a peut-être eu des rêves bien rose dans la nuit mais sans jamais réveiller son amie, ni même profiter de la situation. Mais au petit matin, c'était différent, en un regard, elle se rappelait de la soirée. D'ordinaire chez elle, le matin signifie se vider en repensant à de beaux rêves, à faire travailler son imagination ou bien de voir un de ces sites fétiches dans ses favoris mais pas besoin de ça ce matin, elle avait un service à domicile ! Même si elle n'était pas chez elle. Sans déshabiller Shii, elle bougeait de façon à analysé la tenue de sa copine sans y passer ses yeux sous la couette, juste avec sa queue tendue, laissant le choix à sa copine à lunettes de choisir commencer débuter la journée et ce fut la façon classique ? Ok, ça lui allait.

« T'en a de la chance Shii-chan... tu seras la première fille à qui je fais l'amour en me réveillant. »

De sa vie ! Ai avait fait bien des choses mais jamais ça, jamais. Alors pour le coup, grande première pour sa nouvelle amie. Sans trop bouger, elle gloussait comme une petite folle, venant seulement ouvrir l’entrée pour sa queue, écartant le short de sa copine pour la pénétrer doucement en gémissant. Grosse surprise pour Shii en tout cas, Ai avait la réputation d'avoir beaucoup de semence à expulser mais le matin, c'est pire ! Plus de six heures sans se masturber, ça va en faire de la crème !

« Huuuuum... Je suis sûre... ouh, que tu aimes ça... baiser dès le matin, haaan... »

Sûrement, connaissant un peu Méinda, elle devait commencer la journée comme Shii en étant aussi douce ou bien plus brutale. Elle verra ça quand elle partagera son lit. Pour le moment, la petite futa restait contre Shii, les bras autour d'elle pour mieux l'enlacer pour mieux lui faire l'amour, en douceur bien sur. Ai était bien plus vif mais elle venait de se réveiller alors elle se mettait au rythme des escargots. Sa bouche venait se coller contre la sienne pour l'embrasser tendrement, parfois de simples petits bisous sur ses lèvres en continuant ses mouvements du bassin.

« Houph... HHAAAANN.... Oh c'est si boooon... faire ça au réveil... mmmmhhh oooouh ! »

Était-ce aussi bon quand on était à la place de Shii ? Encore une chose a essayé sous peu. Venant lui baiser le cou, elle augmentait doucement le rythme de ses coups de reins pour mieux la prendre, se faisaient doucement rebondir sur le matelas bien moelleux de Shii et plus ça allait et plus elle y mettait son énergie, retrouvant peu à peu la forme de ce réveil extraordinaire. Des réveils comme ça, elle en veut bien plus souvent !

« Shii-chan ! Attention haaaan... à être aussi belle quand j-je te haaaan... baise, je vais vite jouir ! »

Abstinence pendant plusieurs heures, envie du matin, Shii, mauvais calcul pour tenir très longtemps car elle se sentait dangereusement approcher de la limite sauf qu'elle ne comptait pas se retenir ni se retirer alors Ai en connaissait une qui va avoir le ventre bien rond, tout plein de semence ! Elle va même en déborder et changer les draps. Quoique ça, ça devait être fréquent ici.

« Shii-chan... Shii-chan... SHII-CHAAAAAAN !!!!! »

Et là, elle ne s'était jamais aussi bien senti en se sentant se vider alors que le ventre de son amie grossissait à vue d’œil. Oh quel pied ! Petite la Ai mais costaud ! Elle se retira alors que les lèvres intimes de Shii étaient transformé en fontaine blanche qui continuait de couler lentement. Quel réveil !

« Huhu, on dirait que ma Shii-chan est enceinte comme ça ! Désolé pour ça mais le matin... j'ai eu le temps de bien stocké... tu m'en veux pas de t'avoir rempli comme ça, Shii-chan ? Tu veux que je t'aide à te lever ? »

Ai étant débarrassé de sa petite affaire, elle était bien plus gentille et câline. Elle savait qu'elle devrait aller à l'école alors elle n'allait pas s'amuser à recommencer encore et encore...

Mélinda adorait l’odeur du sexe au petit matin. Baiser en se réveillant, c’était, effectivement, le plus efficace et le plus tendre des réveils, bien plus agréable que la stridente sonnerie du réveil vous arrachant à vos rêves nocturnes. Il était presque 7h00, les cours commençaient à 9h00, et il fallait, globalement, une demi-heure pour rejoindre le lycée depuis le manoir, dix minutes pour rejoindre le périphérique descendant dans la partie basse, deux minutes de descente, et dix à quinze minutes dans les transports en commun. Généralement, les filles partaient toutes ensemble, formant un vrai groupe qui débarquait au lycée, et donnant une véritable impression de voir une corporation débarquer. Ensuite, le groupe se diluait dans le lycée. La camaraderie, après tout, c’était important.

Ai pénétrait donc Shii, remuant joyeusement en elle, faisant soupirer les deux adolescentes. Shii se tortillait sous elle, appréciant, elle aussi, énormément ce moment. Ses joues étaient toutes rouges, et ses mains caressaient se cramponnaient au dos d’Ai. Encore un peu patraque, la sensation de ce membre érectile enfoncé en elle la réveilla, lui faisant pousser un petit cri, puis sa main descendit pour s’appuyer sur les fesses d’Ai, venant se crisper contre l’une, son autre main s’appuyant sur sa nuque. Shii était dans sa meilleure partie, celle où elle se faisait prendre par quelqu’un d’autre. Les Futanaris, les femmes hermaphrodites, c’était quelque chose de fort à Yoake, de grands fantasmes, et elles semblaient toutes devoir, un jour ou l’autre, passer par le lycée Jinmu. Les deux femmes dansaient ensemble, faisant doucement soupirer le lit, et s’embrassaient aussi, entre deux soupirs.

« Haaa... Ai, haaaa... »

Son amie y allait de plus en plus vite, tandis que leurs corps se réveillaient totalement et pleinement. Le sexe, c’était la méthode ultime contre les réveils qui s’étiraient. Elles remuaient ensemble, le petit corps chaud d’Ai se blottissant contre le sien, à l’image de cette queue qui s’enfonçait en elle, dans sa chatte, pour ne plus en ressortir. Les joues rouges et les pyjamas se frottaient ensemble, et la scène, en réalité, ne fut pas bien longue. C’était du sexe matinal, après une nuit de rêves qui, au manoir, étaient généralement très érotiques. Choisir où dormir allait être difficile pour Ai, car, chez ses parents, elle risquait de beaucoup s’ennuyer la nuit. Pourtant, elle avait bien dit que, le soir suivant, elle retournerait chez ses parents. Tiendrait-elle promesse, ou non ? Dans un petit recoin de sa tête, Shii se disait que ça allait être amusant. Ai avait un tel appétit qu’elle était, pour ainsi dire, prédestinée à être au manoir, et à être l’esclave de sa Maîtresse.

Plus vous étiez pervers, et plus vous aviez de chances d’être accueillis à bras ouverts au sein du manoir.

En l’état, Ai la pénétrait, la bourrant, puis finit par jouir, dans une quantité impressionnante. Shii eut également un orgasme, mais qui fut totalement noyé dans celui d’Ai, sa queue balançant des filaments de foutre, qui firent gémir Shii, tandis que son ventre se mettait à onduler et à grossir, frappé par ce surplus de sperme.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Shii soupira longuement, avant de s’étaler sur le lit. Ai se redressa un peu ensuite, et, constatant son ouvrage, proposa son aide. Shii, elle, ne répondit pas tout de suite, posant d’abord une main sur son ventre, afin d’en sentir la rondeur et l’épaisseur.

« Pfffiouh... Tu m’as pas loupé, hein, petite cachottière ? Il va falloir que j’aille aux toilettes, je ne peux pas descendre manger comme ça... »

Fort heureusement, chaque chambre avait une petite porte dans un coin, menant à une cabine abritant des toilettes. C’est que Mélinda avait pensé à tout. Elle avait dépensé sans compter pour bâtir ce manoir.

« Tu comptes rester ce soir au manoir, alors ? » ne put s’empêcher de demander Shii en se redressant.

Pour Ai, ça allait probablement être un vrai dilemme !

Quelle soirée ! Et quel réveil ! Ai était si satisfaite, c'était la première fois qu'elle se réveillait en faisant l'amour. C'est déjà arrivée qu'elle se masturbe inconsciemment dans son sommeil ou bien qu'elle se masturbe à peine les yeux ouverts mais faire l'amour, une grande première ! Et elle aimait ça ! Chose à recommencer donc au cours des prochaines fois. Mais alors que la câline petite futa tournait autour de Shii en restant très douce, venant se blottir contre elle mais la pauvre demoiselle avait une seule envie, se vider. Elle aida comme elle pouvait sa copine, sachant qu'elle venait à peine d'ouvrir les yeux alors elle n'était pas la plus réactive qui soit, sauf quand on parle de sexe, alors là, elle est fidèle au poste ! En revanche, sa question se fit plus sérieuse, se demandant si elle allait rester là encore ce soir. Elle aimerait beaucoup mais elle avait certaines choses à respecter.

« J'aimerais trop mais même si mes parents sont plutôt cool, j'ai quand même quelques règles à respecter, la première étant de ne pas louper les cours, peu importe que mes notes soient sous la moyenne tant que je fais au moins l'effort d'essayer et d'être présente aux cours. Puis pour ce qui est de découcher, disons que je ne peux pas faire ça tous les jours, même si je dis dormir chez une amie, ils trouveront ça louche que je dorme là-bas un soir sur deux. Mais promis et ça, tu peux me croire, je ferais tout pour venir ici le plus longtemps possible ! Et si je dors pas ici, je viendrais au moins m'amuser en étant à l'heure pour rentrer manger chez moi. »

Maintenant qu'elle savait que le paradis était à deux pas de chez elle, elle n'allait pas se faire prier pour revenir rarement. Ce sera souvent mais hélas, elle ne pourra pas dire quand exactement elle reviendra passer une nouvelle nuit ici. Ce week-end sûrement et peut-être demain aussi ? Enfin, c'est à voir mais rien n'est fixé même si AI reviendra ici bientôt aussi sûr que le soleil se couchera et se lèvera sur le Japon. Elle laissa à Shii le temps de se sentir plus légère et retrouver son ventre habituel puis une fois de retour, elle en profita pour lui emprunter une tenue d'école – elle n'allait pas reporter son uniforme de la veille quand même – idem pour les sous-vêtements avant de poser une question plus sérieuse.

« Et toi alors ? Tu habites officiellement ici ou tu habites aussi chez tes parents ? Si c'est le cas, je pense pouvoir revenir plus souvent si je peux dire aller chez toi en sachant ou cela se trouve plus ou moins afin de rendre mon mensonge plus vrai. »

Se préparant, il ne lui restait plus qu'à avaler un petit quelque chose avant de partir mais elle pense prendre un petit quelque chose sur la table ou en cuisine avant de filer car si les autres filles la tente trop, elle risque de rater quelques heures de cours si ce n'est pas la journée. Laissant donc le temps passer en vérifier son sac, elle s'apprêtait à partir en cours avec Shii mais avant, il y avait une chose importante à faire avant d'y aller vraiment.

« Shii-chan, tu peux me guider jusqu'à la chambre de Maîtresse, je voudrais aller la remercier et lui dire à bientôt. »

Si, c'est vrai, elle a bien le droit de se montrer gentille sans arrière-pensée quand même. Allant jusqu'à la chambre qu'elle ouvrait doucement, elle voyait un faible rayon de lumière à travers les rideaux qui éclairaient des corps dans ce lit. Il y avait Mélinda mais aussi des filles qu'elle ne connaissait pas encore. Elle s'approcha sans bruit près d'elle pour se pencher sur elle et lui baiser le front en caressant son visage pour dire à voix basse :

« Merci pour cette soirée Maîtresse, je tâcherais de revenir très vite à vous mais je sais pas quand malheureusement... »

Mais vite, c'était le bon mot. Était-elle réveillée ? Trop fatiguée ? Elle n'insistait pas et retourna sur ses pas pour rejoindre Shii et aller avec elle pour aller en cours, pour se reposer un peu et travailler... Si seulement elle savait quel genre de journée attendait la petite futa perverse...

Faire l’amour de bon matin, c’était, au sein du manoir, ou du harem, une sorte de tradition locale. Shii avait dû s’y plier, mais elle passa quand même plusieurs minutes dans les toilettes, se vidant, jusqu’à ce que son ventre dispose d’une taille normale. Son ventre en profita ensuite pour gargouiller joyeusement, venant confirmer que cette séance rapide avait creusé sa faim. Shii, de son côté, avait très envie de revenir, mais devrait aussi consacrer du temps à sa famille, ce qui ne put que faire sourire Shii.

« Oui, je comprends. »

Ai lui demanda ensuite comment elle, elle faisait, et Shii haussa les épaules :

« Tu sais, Jinmu a une grande sphère d’influence dans la région, et beaucoup des filles, ici, sont à l’internat. Comme moi… Maîtresse a des contacts au sein de l’administration pour pouvoir faire en sorte que nous soyons transférées sans que les parents ne soient informés. En somme, je vis ici toute l’année. »

Shii choisit de ne pas trop en parler. Ses histoires de famille, c’était encore un peu trop intime pour Ai, et elle n’en avait parlé, au sein du manoir, qu’à Clara et qu’à sa Maîtresse. Ai ne sembla pas se formaliser davantage, et, après avoir emprunté les tenues de Shii, commença par se rendre dans la chambre de Mélinda. Le matin au manoir était bien plus chaste qu’au harem, où le sexe était continuel et omniprésent. Mais, même au manoir, ça restait la marque de Mélinda. Ainsi, en se rendant vers la chambre de leur Maîtresse, les deux femmes entendirent, par le biais de portes entrouvertes, parfois des soupirs et des gémissements. Ce qu’il fallait surtout craindre, le matin, c’était les esclaves de Maîtresse originaires du harem, car elles étaient les plus gourmandes. Si les lycéennes étaient épuisées, ce n’était pas le cas de ces femmes très expérimentées, qui vous prenaient joyeusement et sans relâche, surtout le matin.

La jeune lycéenne s’arrêta devant une belle double porte.

« Maîtresse est là… »

Shii laissa Ai rentrer toute seule. La chambre de Mélinda était grande, plongée dans la pénombre, et parfumée d’une odeur de sexe. Quatre femmes se tenaient dans le lit, une sous Mélinda, lui servant d’oreiller, et les deux autres à sa gauche et à sa droite, gloussant et parlant entre elles en la câlinant. Réveillée, Mélinda sourit à Shii.

« Oh, ne sois pas si prompte à l’idée de vouloir nous quitter, Ai… Je suis sûre que nous allons nous revoir bien vite. »

Sur ce point, Mélinda n’avait pas tort.

---

Aujourd’hui, l’emploi du temps présentait un creux d’une demi-heure. Un premier cours commençait à 09h00 pour finir à 10h30, et le second n’avait lieu qu’à partir de 11h00. Cependant, alors qu’Ai sortait de la salle de cours, ce fut pour constater qu’une femme l’attendait, avec un sourire mielleux sur les lèvres.

Mélinda était là.

« Re-bonjour, Ai… Tu as filé comme une voleuse ce matin. J’espère que les vêtements de Shii sont agréables à porter… »

Ai avait l’air de beaucoup aimer les porter, en tout cas. Mais, au-delà de ça, il était permis de se demander ce que Mélinda faisait là. La femme se mit à marcher, en compagnie d’Ai, tout en se dirigeant vers l’administration.

« Comme tu as dû le comprendre, mes activités nécessitent une couverture officielle pour s’exercer. Je ne peux pas me permettre de me heurter aux parents de mes esclaves, qui verraient sûrement d’un mauvais œil que je sois la Maîtresse de leurs perverses progénitures. »

Tout en marchant, elle reprit :

« Il est temps de te présenter à quelqu’un… Quelqu’un qui se chargera de te couvrir auprès de tes parents si jamais tu devais arriver en retard à tel ou tel cours, ou en louper quelques-uns pour d’obscures raisons… »

La vampire lui fit un nouveau sourire, et se dirigea vers le secrétariat de Jinmu. Jinmu comprenait plusieurs secrétariats, selon les intervenants : élèves, professeurs, parents d’élèves, etc… Loin d’être un simple lycée, l’établissement était un vaste ensemble scolaire et éducatif.

Mélinda toqua à la porte, et entra ensuite.

C’était un grand bureau, mais il n’y avait qu’une seule personne à l’intérieur, une amante régulière.

Shani Stevens.

Oh, ainsi Jinmu avait quelques personnes haut placées qui contrôlaient une grande partie de la ville ? Cette idée d'internat était quand même intéressante mais il va falloir pour elle étudier cette option car Ai n'avait jamais été très étude alors du jour au lendemain en faire une jeune élève assidue qui veut aller dans un internat pour se concentrer sur ses études... ça fait louche ! Mais pour ce qui était de Mélinda, elle ne pensait pas la voir réveillée ? Et vue son intelligence et son argent, elle la pensait du genre à sécher les cours de temps en temps alors face à sa petite remarque, elle ne pouvait que lui sourire en espérant bien la revoir très vite. Elle n'imaginait juste ne pas la voir déjà au lycée. Elle pensait que Mélinda gardait sa sphère d'amie au lycée pour ne rien laisser paraître entre son manoir et les études.

Après avoir commencé les cours, elle quitta la salle pour aller boire un peu d'eau et peut-être se masturber pour évacuer les pensées intimes des cours, imaginant bien faire des choses avec Mélinda et les autres. Même si sa queue n'était pas aussi grande que son bras, elle préférait garder son identité secrète alors elle avait toujours le scotch qui collait sa queue en l'air, évitant le pire même si parfois ce n'était pas très agréable, en érection comme a retirer mais elle n'avait pas le choix. Sauf qu'en sortant, elle croisa Mélinda dans son uniforme scolaire qui l'attendait ? Elle ferma doucement la porte en parlant à voix basse avec elle.

« Maîtresse ? Désolé pour ce matin mais plus je vous aurais vu, vous ou les autres et plus la tentation de sécher les cours aurait été trop forte ! Puis y a bien que sur ça que mes parents ne rigolent pas. Sinon, évidemment que je serais resté. Oh, et évidemment que les vêtements de Shii-chan sont agréables ! Les sous-vêtements un peu larges mais imaginer ce que notre belle Shii-chan a fait dedans suffit à me remonter le moral. »

Non pas qu'elle soit triste mais son moral était spécial, si elle baisait, elle était toujours de bonne humeur ! Mélinda l'invitait à marcher en parlant de choses intéressante, chose que la petite futa comprenait parfaitement, sur tous les points.

« Oui je vois. Moi aussi j'aimerais rester avec vous pour baiser autant de fois que possible Maîtresse mais mes parents, ça ne leur plairait pas. »

Autant rejoindre la majorité des avis évidents. Quel parent serait fier de laisser leur enfant traîner avec une bourgeoise perverse qui fait de leur enfant des poupées de sexe ? La vampire comptait bien lui présenter quelqu'un qui pourrait les aider à avoir moins de cours et plus de plaisir ? Voilà qui était très intéressant en effet ! Mais en entrant dans un bureau avec Mélinda, Ai retint son souffle en voyant la beauté derrière son bureau. Han, combien de fois Ai avait fantasmé sur cette superbe femme ? Si belle, si sexy, si parfaite ! Elle s'était branlé bien des fois en imaginant faire un tas de choses avec elle, plus coquine les unes que les autres. Mais de un, elle fantasmait, de deux, pourquoi elle irait voir cette beauté et de quatre, comment une simple visite tournerait en porno aussi vite ? Ne sachant pas à quel point Shani Stevens était alliée à Mélinda, elle ne préféra pas faire de fausse note et la petite futa se pencha doucement en avant pour la saluer.

« Bonjour mademoiselle Shani, je m'appelle Aihara Ai, enchantée de faire votre connaissance ! »

Pour la suite... doit-elle rester sérieuse ou habillée ? Elle sentait déjà le scotch contre sa queue la faire souffrir. Pourquoi faut-il en que le beau sexe soit aussi... beau ?! Elle ne laissait rien paraître sur son visage, elle avait l'habitude mais bon sang, tant de fantasmes qui défilent sous ses yeux... dur de résister très longtemps !

Mélinda ignorait alors qu’Ai fantasmait déjà sur Shani, mais, en soi, ce ne serait pas surprenant. Jinmu disposait d’un Intranet local, une sorte de réseau privé pour les élèves du lycée, notamment ceux de l’internat. Un réseau inaccessible à l’administration, et Mélinda savait que, parmi le personnel le plus bandant de l’administration, Shani Stevens figurait souvent dans les Top 3. Elle sentit donc l’afflux sanguin à hauteur de la verge d’Ai, tandis que la jeune lycéenne, en entrant dans le bureau de Shani, s’efforça de rester calme. Impossible, néanmoins, de cacher son excitation à Mélinda, qui savait que Ai, pour dissimuler sa queue, l’attachait à son ventre avec du scotch. C’était un système très particulier, mais elle savait que les membres du Futabu Club avaient des phallus disproportionnés, parfois si épais qu’ils filaient entre leurs seins. Mélinda l’avait vu en personne.

Un sourire amusé éclairait donc ses lèvres. Shani n’était pas l’esclave de Mélinda, plus une sorte d’amie, d’amante qu’il fallait entretenir. À Jinmu, les secrétaires étaient choyées, car, outre leur beauté, elles avaient un grand pouvoir. Sans elles, Mélinda n’aurait jamais pu avoir un dossier scolaire conforme, et ainsi pouvoir s’inscrire au lycée, et, surtout, pouvoir y rester au cours des années. Les secrétaires de Jinmu étaient corrompues, dans un sens positif, et, en ce domaine, Shani était très efficace. Mélinda l’invitait souvent à son manoir.

« Oh, et bien... Je suis également enchantée de te voir, Aihara-san. »

La voix de Shani était douce. Si Mélinda aimait autant cette femme, c’était aussi parce que, outre sa beauté, il y avait, dans son sang, quelque chose d’inouï et d’exceptionnel. Quelque chose de divin, alors que Shani était, pourtant, bel et bien une humaine. Ai était visiblement confuse, et Mélinda s’avança alors, venant caresser les cheveux de la femme, tout en s’asseyant sur le rebord du bureau.

« Allons, Ai, à ton avis... Comment donc crois-tu qu’un club comme le tien peut exister à Jinmu sans que personne ne s’y soit intéressée ? Et encore, le Futabu n’est pas une exception... Il existe quantité d’autres clubs encore plus pervers que le tien. »

Shani rougit légèrement, tout en souriant, et se pencha un peu en arrière, rehaussant ainsi ses magnifiques seins, superbement bien serrés dans sa chemise blanche.

« Mélinda m’a demandé de t’inscrire éventuellement comme pensionnaire à l’internat... Une couverture officielle pour te permettre de passer plus de temps chez Mélinda, en sachant que tu pourras toujours continuer à dormir chez tes parents. Mais j’ai cru comprendre que tu passais de très bons moments chez notre amie commune.
-  Oh oui, follement ! »

Nouveau sourire moqueur à destination de la pauvre Ai, qui ne savait visiblement plus du tout comment se mettre. Mélinda se déplaça alors, et retourna dans le dos d’Ai, où elle alla alors caresser son sexe. Pour cela, elle passa sa main par-devant Ai, et masturba sa queue, à travers sa tenue d’écolière.

« Hmmm... Vu comment tu bandes, ma pauvre Ai, je comprends que tu aies du mal à réfléchir...
-  V-Vraiment ?
-  Hmm-hmmm... »

Mélinda mordilla doucement le cou d’Ai, tirant délicatement sur sa peau, et murmura quelques mots dans le creux de l’oreille d’Ai :

« Shani est une jeune femme docile, mais qui dispose d’une incroyable expérience sexuelle, surtout à Jinmu. Tu sais, son plus grand fantasme est de coucher avec tous les élèves du lycée. Elle a un carnet où elle met une croix sur chaque élève avec qui elle a couché, et espère le remplir intégralement de croix d’ici à la fin de l’année. »

La vampire sourit à nouveau, continuant à doucement masturber la belle Ai.

« Diable, que ta queue est dure... C’est à croire que tu as envie d’avoir ta croix sur ce carnet ! »

Ai était surprise de voir Mélinda ici mais surtout de voir qu'elle l'emmenait voir Shani afin d'avoir une excuse pour passer plus de temps avec Mélinda sans rien craindre côté étude. Il ne manquait plus que de grandes ailes blanches et une auréole pour Mélinda et ce sera son ange gardien. Car si elle avait déjà croisé Shani dans les couloirs, la voir en vrai à quelques mètres, les yeux dans les yeux, ça affluait forcément son sang entre ses jambes. Shani avait beau être enchanté, elle ne le sera pas moins qu'Ai qui sans son morceau de scotch entre ses jambes laisserait sûrement voir une petite bosse au niveau de sa jupe. Elle n'était pas la mieux lotie du futabu ni même du lycée mais elle se fichait de la taille. Au contraire, les autres trouvaient cela plus mignon et on se jetait plus facilement sur elle donc c'était tout à son honneur.

Même si Mélinda tapait dans le mille, elle avait du mal à croire qu'il existait pire comme club que le futabu ? Quoi de pire qu'un groupe de futa qui invite les autres à venir pour leur servir de sac à foutre ? Il y avait pire que ça ? Dans le lycée ? Non, elle demande à avoir des preuves sous les yeux pour y croire.

« Héhé, ce serait mentir de dire que je me suis ennuyé chez elle. Au contraire même, je me suis pas ennuyé une seule seconde ! »

Le sourire de la petite futa était bien grand à cette idée, elle était plus impatiente que jamais de voir arrivé les vacances pour passer de longues journée plein de sexe avec toute ses nouvelles copines ! Mélinda revint dans son dos pour mieux l'exciter en caressant son sexe en lui murmurant de belles choses au creux de l'oreille, la pauvre Ai gémissait doucement en se laissant faire, imaginant déjà bien des choses avec Shani, être prise sur son bureau ou au contraire, Shani penché sur son bureau pendant qu'elle se fait plaisir en lui bourrant les fesses ! Halala, elle avait tellement envie de... tout !

« Ha nooon Maîtresse ! Je veux pas avoir une croix... J'en veux plusieurs ! Je veux avoir le re-record de croix dans son carnet ! »

Légèrement poussé par la vampire, elle se rapprocha de Shani à pas de louve pour venir passer à côté du bureau et bercer par ses envies, elle venait s’asseoir sur ses cuisses en tenant ses bras pour se tenir contre elle, lui faisant face avec des tas d'envie, se demandant quelle carte Shani allait pioché dans son jeu.

« Comment veux-tu jouer Shani-chan ? N'ai pas peur de me dire tes envies, je meeeeeurs d'envie de connaître tes goûts ! »

Et ses dessous aussi. Vu l'allure sexy que la jeune femme trimballait, Ai étant fan des dessous sexy, elle va sûrement être servi par Shani ? Elle espérait du moins mais cela ne l'empêchait pas de fantasmer pour le moment. Frétillante comme un poisson dans l'eau, elle se retenait de l'embrasser afin de savourer les quelques mots qu'elle va lui dire pour lui répondre. Halala, si Mélinda était une déesse, elle l'aurait prier chaque instant de sa vie, cette femme était un vrai trésor pour elle... Elle vivra avec elle, c'est sûr, si être son amie la gâte autant, Mélinda n'avait aucun souci à se faire pour Ai, elle la suivra aveuglément où elle ira.

Avoir Mélinda et Shani ensemble, Ai pouvait se targuer d’être vernie. Mélinda souriait donc, en voyant bien, au-delà du trouble d’Ai, son émotion et son plaisir. Elle allait coucher avec Shani, qui était visiblement un fantasme de longue date. Mélinda était bien placée pour le savoir. Signe de la perversion ambiante qui régnait à Jinmu, sur l’Intranet local, Shani figurait parmi les femmes les plus « baisables » de l’administration du lycée. La belle secrétaire était dans un grand bureau, le secrétariat, comprenant un long bureau faisant face aux élèves, et Ai en fit rapidement le tour, tout en avouant avoir très envie de coucher avec Shani. Cette dernière connaissait le Futabu Club. Lorsqu’elle était venue à Jinmu, Shani était encore une secrétaire qui essayait de lutter contre ses pulsions sexuelles. Autant dire qu’il n’avait fallu que quelques semaines à Yoake pour que Shani renonce à tous ses idéaux, et laisse parler sa profonde perversion. De plus, depuis qu’un gang de Futas en latex avec des seins énormes était venu la voir, et lui avait fait l’amour sur son balcon, régulièrement, ses voisins venaient coucher avec elle.Si, en France, Shani avait déjà une expérience sexuelle forte, ici, au Japon, c’était... Incomparable.

Shani vit donc Ai s’asseoir sur ses cuisses, et lui sourit, caressant ses jambes. Ai rougissait légèrement. La perverse Futa’, qui n’hésitait pas à prendre Shii, se montrait étrangement timide en ce moment.

*Diable, elle a flashé sur la belle Shani...*

Mélinda sourit néanmoins quand Ai sembla redevenir elle-même, en demandant à Shani quelles étaient ses « envies ». L’intéressée fit mine de réfléchir, et glissa sa main sous la minijupe de la femme.

« Pour l’instant... Je veux juste sentir... Oh... »

La secrétaire esquissa un sourire en sentant le sexe de la femme, un membre bien tendu, qui semblait très serré, et pour cause, puisqu’un morceau de scotch le retenait. La secrétaire dut gratter un peu, et, espérant ne pas faire trop mal à Ai, tira sur le scotch, le retirant rapidement.

« Quelle idée de te saucissonner avec un truc pareil... »

Ah, les adolescentes pouvaient avoir des idées bizarres, parfois ! Néanmoins, Shani avait maintenant une belle emprise, et elle tenait ce sexe dans le creux de sa main, ce membre chaud, qui palpitait comme un poumon plein d’énergie. Shani la masturba donc, tout doucement, et, avec son autre main, qui tenait sa nuque, elle crispa un peu ses doigts sur elle, puis en profita pour l’embrasser.

Le spectacle était assez mignon à voir, et, pour le moment, Mélinda se contentait d’être une silencieuse spectatrice. N’importe quel élève pouvait rentrer à n’importe quel moment, ce qui ne faisait que rendre ce moment encore plus excitant, en lui rajoutant un frisson d’inconnu.

Et Shani, elle, ne tarda pas à enfoncer sa langue dans la bouche d’Ai, pour lui faire découvrir les joies du « French Kiss »...