The Multiversity

Joyce Mallone allait plonger dans un tout nouvel univers. Le mutagène qui transformait les femmes de Stepford les désinhibait complètement, sexuellement parlant. Il était ainsi impossible de les violer, car elles avaient été reprogrammées, reconditionnées, pour aimer déraisonnablement le sexe. C’était un terrible lavage de cerveau, mais également physique, jouant avec les hormones, avec le désir féminin, pour stimuler ce dernier. Joyce allait succomber à cela, sans que Bobbie ne ressente la moindre gêne à l’idée de baiser cette femme sous les yeux de Joana. Pour le coup, la pauvre Joana allait devoir prendre son mal en patience, mais réformer ne profondeur Stepford, cela nécessitait bien quelques sacrifices, non ? Et puis, ce n’était pas comme si les deux Futanaris allaient cesser de s’occuper d’elle.

Magnifique dans sa guêpière blanche, mettant en valeur sa lourde poitrine, Joyce ne tarda pas à gémir, et même à hurler, en sentant les verges de ses Maîtresses la pilonner. Elle n’était plus habituée aux sodomies, mais le redevint vite, et Jessica sourit. Elle se pinça les lèvres, constatant que les renseignements qu’elle détenait étaient corrects. Elle avait à peine préparé Joyce que celle-ci succombait au plaisir anal.

« Énorme, oui… ! Hmmm… Et tu es si bonne, Joyce… Je croyais que personne ne pouvait mouiller autant que Joana, mais… Tu fais concurrence ! »

Sa femme était retournée s’occuper de la caméra, et, pendant plusieurs minutes, les deux Futanaris ne se préoccupèrent que de Joyce. Leurs grosses verges devaient réussir à pénétrer dans ses orifices étroits, ce qui déclencha moult hurlements. Tout cela excitait furieusement Bobbie, qui se pinçait doucement les lèvres, continuant son office, soutenue par Jessica, qui frissonnait sur place. Les mains de Jessica remontèrent pour pincer les seins de Bobbie à travers son corset, tirant sur les tétons, les faisant glisser hors du corsage. Elle joua avec, tout en grognant dans le dos de Joyce, tout contre son oreille. Elle léchait sa peau, n’hésitant pas à mordiller son oreille, tandis que Bobbie allait lui voler un baiser, sentant la main de Joyce se crisper sur ses cheveux, tandis que sa queue tapait contre son col de l’utérus.

La scène se voulait intense, et les deux femmes se reculaient volontiers, montrant ainsi à la caméra leurs sexes tendus. Celui de Bobbie, à chaque fois qu’il se retirait, laisser filer de la mouille à profusion, avant qu’elle ne retourne encore en elle, répandant de la mouille le long des cuisses de Joyce.

« Là, profite, hmmm… Ce plaisir immense, infini…
-  Tu crois que cela va se terminer, mais ça ne peut pas… Ton corps a été conçu pour endurer et supporter un tel plaisir. Et ce jusqu’à ce que ton esprit finisse par lâcher… Ce qui, je pense, dépendra de ta frustration sexuelle. Autrement dit…
-  Plus tu tiendras, et plus ce sera le signe que ton mari n’arrive pas à satisfaire ton corps comme il le mérite… »

Autant dire que ce spectacle risquait de durer longtemps, mais Bobbie ne comptait pas ignorer sa femme éternellement. Non, elle voulait juste habituer son corps à cette double pénétration avec Jessica sur le corps de Bobbie avant de retourner s’occuper de sa belle femme.

Il ne fallait après tout pas que celle-ci se sente abandonnée…

Joyce allait découvrir un tout nouveau monde grâce aux futas. Bobbie dans sa chatte et Jessica dans son anus, elle était prise dans un délicieux sandwich sexuel. Elle sentait les sexes de ses maîtresses bouger en elle, écartant ses parois vaginales et anales, la noyant sous un torrent de plaisir.

« Aaahhh... hhhmmm... ooouuuiii... »

Et il n’y avait pas que les bites qui la faisaient crier. Les mains de Jessica attrapèrent ses tétons sous son corset pour les pincer et les tirer, ce qui fit couiner de plaisir la femme du maire. Et elle couina encore plus fort quand sa poitrine fut libérée de sa lingerie et offerte en pâture à ses amantes affamées. Bobbie lui offrait des baisers pulpeux, une main en appui contre sa nuque, pendant que sa queue allait taper profondément dans son antre. Leurs deux sexes durs et tendus la labouraient sans relâche, faisant gicler la mouille de sa chatte.

Joyce se sentait comblée, bien plus qu’elle ne l’était habituellement avec son mari, et les futas lui expliquèrent que ce n’était que le début. Le traitement de Stepford l’avait transformée, son corps était fait pour accueillir un tel plaisir, et ce jusqu’à ce que son esprit finisse par lâcher. Sa résistance serait proportionnelle à sa frustration.

« Aaahhh... alors... sautez-moi bien... que je me vide... de toute ma frustration... ooohhh ! »

Joyce ne s’imaginait pas être frustrée. Roger n’était pas l’amant idéal, mais il savait quand même s’occuper d’elle. Et pourtant, à chaque seconde qu’elle passait entre les mains de ses maîtresses, elle perdait de plus en plus d’estime pour les prouesses sexuelles de son cher époux. Sa chatte ruisselait en avalant avec joie la trique puissante de Bobbie, et même si la queue tendue de Jessica lui élargissait les parois anales, la douleur n’était rien devant le plaisir de la sodomie.

« Oui... oouuii... OOOUUUIII ! »

Joyce prenait son pied, mais bizarrement, elle n’arrivait pas à atteindre l’orgasme. Elle sentait la chaleur monter en elle, elle avait toujours plus envie de bite, mais cela semblait ne jamais lui suffire. Et pourtant, ses maîtresses donnaient tout pour la satisfaire : pénétrations intensives, baisers gourmands, caresses sur sa poitrine et fessées. Mais la femme du maire restait frustrée.

« Aaahhh... défoncez-moi... putain ! Plus fort ! »

Joyce se mit à agir à son tour et empoigna la poitrine de Bobbie, la malaxant avec une énergie à la hauteur de sa frustration. Ainsi, elle pensait encourager la futa à a remplir avec plus de force ou bien faire grossir son érection.

De son côté, Joana continuait d’observer le spectacle avec envie. Les futas étaient d’une redoutable puissance, elles savaient commence assurer le spectacle, aussi bien pour les personnes qui regardaient en direct que pour l’enregistrement. La jeune femme, chaude comme une bouillotte, aurait voulu se toucher devant la vue de ces belles femmes baisant comme des truies, mais elle ne pouvait pas. C’était un autre effet du traitement de Stepford : les femmes étaient obligées de satisfaire leur envie avec quelqu’un. Donc, si elle voulait avoir une chance de jouir, elle devait attendre qu’une des deux futas la saute.

Bien sûr, Bobbie pensait à sa femme. Mais elle pensait aussi à Stepford, au futur de la ville… Et ce futur s’écrivait en ce moment, devant elle. Il fallait percer le blocage psychologique de Joyce, ce dont Jessica lui avait parlé. Les femmes de Stepford étaient encodées génétiquement et sexuellement pour être fidèles, et, pour assurer cela, elles étaient incapables de jouir. Quand une femme de Stepford subissait le traitement hormonal et génétique visant à l’améliorer, elle était aussi liée à son futur époux. Même si un autre homme lui faisait l’amour, elle ne pouvait pas jouir. Combattre ce blocage était le véritable ennemi des deux Futanaris. Pour Jessica, il fallait juste insister, et insister encore, jusqu’à rompre le lien, percer le blocage mental en amenant Joyce dans un état d’extase tel qu’elle n’arriverait plus à comprendre quoi que ce soit. Tout cela nécessitait du temps, de l’effort, mais, dès que Joyce aurait un orgasme de la part d’une autre personne que son époux, le blocage serait rompu. Elle serait alors « libérée », même si Jessica ignorait ce qui se passerait dans l’esprit de Joyce.

Certes, Joana avait réussi à la faire jouir en jouant avec elle, mais ce n’était pas la même chose que là où les deux femmes la pénétraient. L’idée de Jessica était que ce conditionnement s’opérait lors de tout coït, car il avait avant tout été pensé pour les autres hommes.

Pour Bobbie, c’était la seule explication justifiant qu’elle n’ait pas joui encore. Face aux deux Futanaris ensemble, résister, ou, plutôt, ne pas jouir, semblait impossible. Soupirant longuement, Bobbie alla l’embrasser longuement. Elle pressa son corps chaudement contre le sien, sentant Joyce se crisper. Elle se mit à jurer, souhaitant se faire pénétrer plus fortement encore.

« Petite cochonne, hmmm… Tu aimes ça, hein ?
-  Tu es si bonne, Joyce, si bonne ! Ah, ton petit cul est magique ! »

Bobbie l’embrassa encore, mordillant ses lèvres, puis fourra sa langue dans sa bouche, tout en palpant également les seins de la jeune femme. Elles la baisaient ensemble, veillant à se synchroniser, afin de s’enfoncer mutuellement en elle, et le plus longuement possible. Les deux Futanaris commençaient à avoir des sueurs, car elles pénétraient vigoureusement leur proie. Il fallait pousser Joyce dans ses derniers retranchements, mais, comme toute femme de Stepford, elle était très endurante. C’était aussi comme ça que Stepford s’assurait de leur fidélité, car il n’était pas facile de les rompre, de les briser psychologiquement.

Ce que les deux femmes visaient, c’était l’état d’ahegao, ce terme japonais désignant le visage d’un individu en état d’orgasme, prenant une pose ridicule et extatique. Elles suaient et haletaient, tout en la baisant encore, chaque coup de reins leur donnant l’impression de sortir Joyce de son conditionnement, la besognant énergiquement, le spectacle s’inscrivant sur la durée.

« Vas-y, vas-y…
-  Jouis, salope ! »

Jessica mordilla son cou, pinçant encore ses tétons. Elles mélangeaient avec elle douleur et plaisir, bien décidées à la pousser dans ses derniers retranchements.

Joyce se laissait totalement emporter par le plaisir incroyable de sa double pénétration. Pendant que Bobbie pilonnait sa chatte détrempée, Jessica la faisait renouer avec les plaisirs de la sodomie. Elle prenait méchamment son pied, mais pourtant elle ne jouissait pas. C’était comme si quelque chose la bloquait. Son plaisir tourna rapidement à la frustration, une frustration qu’elle tentait de relâcher de toutes les façons possibles, comme en malaxant avec force la poitrine de Bobbie ou en lançant des obscénités en rafale.

« Aaahhh... mais putain... défoncez-moi ! Faites gicler... votre salope ! »

Elle avait beau vouloir atteindre l’orgasme, rien ne semblait suffire. Et pourtant, les futas se lâchaient. En plus de défoncer ses orifices avec leurs sexes, elles tripotaient ses parties érogènes et lui offraient un superbe mélange de douleur et de plaisir. Mais tout cela ne faisait que la stimuler, elle n’arrivait pas à jouir.

« Nooonnn... pourquoi ? Pourquoi... aaaggghhh... je ne peux pas jouir ? »

Mais alors que Joyce commençait à perdre espoir, Bobbie et Jessica continuaient à tout donner. Elles se dépassaient, faisaient des efforts, et à force, quelque chose se décoinça dans le corps de la femme de Stepford. Elle sentit un délicieux frisson remonter dans son dos et devenir de plus en plus intense à mesure que le temps passait. Peu à peu, sa frustration retombait et elle retrouvait à nouveau le plaisir de se faire démonter par deux grosses bites bien dures.

« Aaahhh... je sens... quelque chose... hhhmmm... qui monte... ooohhh ! »

Mais plus ce frisson montait, plus elle commençait à s’inquiéter. Une partie d’elle-même lui disait que cette sensation n’était pas normale, qu’elle ne devait pas autant aimer se faire prendre par ces futas, mais son corps ne pouvait plus résister. Elle essaya, pendant un court instant, de se libérer de l’étreinte des deux femmes, mais elle ne parvint qu’à se faire sauter plus fort. Et à force, son petit frisson se mit à lui parcourir tout le corps.

« Aaahhh... je... ooohhh... non... c’est... hhhmmm... ça vient... AAAGGGHHH ! »

Le conditionnement avait tenu aussi longtemps qu’il avait pu, mais au terme d’un long et puissant coït avec Bobbie et Jessica, son entrave psychologique fut dépassée et elle sentit l’orgasme la submerger. Dans un cri indescriptible, sa mouille jaillit en torrent et son visage se déforma en une expression ridicule de plaisir. Jamais elle n’avait eu un orgasme aussi redoutable. Il fut même tellement redoutable qu’elle s’écroula peu de temps après la fin de sa jouissance.

Joana, qui s’occupait de la caméra, s’adressa à l’objectif.

« Alors ? N’est-ce pas... hhhmmm... fascinant ? »

Plus le temps passait, et plus il était difficile de se dire si cette séance de sexe était juste de l’amour intense, ou une scène de viol sauvage. Les deux Futanaris se déchaînaient, et même Joana aurait déjà joui au moins cinq fois. Joyce s’impatientait, se frustrant sur place, implorant ses Maîtresses de « faire gicler » la « salope » qu’elle était.

« Hmmmm… La première fois… Est toujours la plus difficile ! »

Petit à petit, Joyce ne hurlait plus. Ses yeux se révulsèrent dans ses orbites, et elle n’avalait même plus sa salive. Les deux femmes la mettaient dans un état second, Bobbie grognant régulièrement. Elle se pressa contre le corps de Joyce, ses mains moites maltraitant son cul, la pinçant fortement. Sa queue s’enfonçait jusqu’à la garde, tapant contre le col de l’utérus de Joyce… Et celle-ci continuait à errer, l’esprit fragmenté, jusqu’à… Jusqu’à la délivrance. Quelque chose se brisa dans son esprit, un blocage inconscient sauta quand elle redevint la femme sauvage et préhistorique qui était en elle. Le sexe ne pouvait être totalement restreint, c’était quelque chose d’inconscient, de profond. Cette force souterraine rejaillit dans le corps de Joyce, brisant ce blocage…

…Et, dans un hurlement ressemblant à un long hululement, elle se mit à jouir. Un orgasme exquis qui inonda la queue de Bobbie. Pour le coup, les deux Futanaris s’abandonnèrent également en elle, jouissant généreusement et copieusement dans son corps.

« Haaaa… Haaaannn…
-  Pffftt… ! »

Joyce reprenait doucement ses esprits. Elle papillonnait des yeux, et Joana se rapprocha alors. Sa femme était impatiente, mais aussi heureuse, très heureuse de voir que le blocage psychologique s’était rompu. Joyce était maintenant « libre ». Le conditionnement psychologique ayant sauté, plus jamais les choses ne seraient comme avant pour Joyce. Les deux Futanaris se retirèrent doucement, et le corps épuisé de Joyce se colla contre celui de Bobbie, qui la déposa délicatement et précautionneusement sur le milieu du lit.

Ensuite, elles s’assirent autour d’elle, caressant délicatement son corps, la main de Bobbie allant caresser les cheveux de Joana, l’incitant à embrasser le sexe de Joyce.

« Tu as réussi, Joyce… Tu as su briser le conditionnement psychologique qui t’empêchait de jouir au contact d’une autre verge que celle de ton mari.
-  Quand il couchera à nouveau avec toi, tu comprendras enfin ce qu’est vraiment le sexe. »

La perspective réjouissait les deux Futanaris, qui allèrent embrasser Joyce à tour de rôle. Celle-ci reprenait lentement et pesamment ses esprits, mais les femmes étaient encore loin d’en avoir fini avec elle.

« Maintenant, Joana, je crois que tu as mérité une bonne récompense… Mets-toi à quatre pattes au-dessus de Joyce, en bonne position de levrette, et montre-lui comme tu aimes que je te défonce la chatte… »

Le langage était évidemment cru, comme à chaque fois qu’elles se retrouvaient dans une telle situation…

Joyce avait finalement brisé le blocage inconscient que le traitement de Stepford avait appliqué en elle. Désormais, elle n’était plus limitée à son mari quand il s’agissait de se faire baiser par une belle bite. Cet orgasme, aussi intense que profond, l’avait laissée dans un état second. Bobbie l’allongea délicatement sur le milieu du lit pour qu’elle puisse reprendre ses esprits pendant que les deux futas lui parlaient et l’embrassaient.

« Aahh... gghh... hhggnn... »

De son côté, Joana gardait la femme du maire excitée en léchant doucement son minou, ramassant au passage le sperme qui en coulait, la bonne crème de sa femme adorée. Au bout d’un moment, cette dernière lui demanda de se mettre au-dessus du corps de Joyce, en position de levrette, pour qu’elle lui montre combien elle aimait se faire défoncer la chatte par le sexe de la futa.

« Tout de suite mon amour. »

Joyce se mit à quatre pattes au-dessus de Joyce, son visage faisant face au sien. Elle lui donna un rapide baiser avant de lui murmurer des cochonneries à l’oreille.

« Regarde bien... Joyce. Regarde... comme c’est bon... quand ma chérie... me baise en levrette. »

La femme sentit les mains de sa bien-aimée saisir son cul dodu et lui donner de bonnes fessées, ce qui la fit gémir de plaisir. A chaque fois qu’une main s’abattait sur ses fesses, elle couinait et en demandait encore. Mais ce n’était qu’une mise en bouche, le vrai plaisir arriva après.

Quand Joana sentit Bobbie approcher son sexe de son antre intime trempée et en manque de queue, sa femme sentit un délicieux frisson la gagner. La pénétration n’avait même pas encore commencée qu’elle était déjà parcourue de spasmes quand le gland de sa maîtresse frottait contre sa chatte.

« Aahh... maîtresse... ma chatte humide... a faim... de votre grosse bite. »

Heureusement, elle ne la fit pas languir très longtemps avant de s’enfoncer en elle. Prise en levrette, Joana grimpa rapidement dans les tours, ravie de pouvoir se faire enfin baiser après tout le temps qu’elle avait passé à attendre et à regarder Joyce se faire prendre en sandwich.

« Oui... putain ooouuuiii... enfin, je me fais sauter ! Ggaahh... quel pied ! »

La femme alla embrasser Joyce et trouva facilement le chemin de sa langue pour la faire jouer avec la sienne. Elle ne savait pas si la dame était assez consciente pour réaliser ce qui se passait autour d’elle, mais si c’était le cas, pas de doute qu’elle ne tarderait pas à vouloir rejoindre la fête.

Maintenant que Joyce était « libre », elle allait progressivement sentir la différence. Les deux Futanaris s’étaient surpassées, littéralement. Elles avaient épuisé Joyce, brisant son corps. Que la femme du maire ne soit pas tombée dans les pommes témoignait de son endurance, de son caractère exceptionnel. Joyce reprenait ses forces, et frémit doucement quand Joana la rejoignit. Impatiente, la femme de Bobbie l’embrassa chaudement, et Joyce répondit faiblement, avant que Bobbie ne la pénètre brusquement. Le cri de Joana surprit positivement Joyce, qui sentit un peu de salive tomber sur son nez. Ses yeux s’écarquillèrent, tandis que son amante s’épanchait sous ses yeux, se déhanchant d’avant en arrière.

« Hmmmm… !! »

Joyce déglutit doucement, et, quand Joana alla l’embrasser à nouveau, elle répondit avec envie à son baiser, pressant ses lèvres contre les siennes. Le contact la fit doucement rougir, et elle remua lentement sur place, relevant l’une de ses mains pour caresser doucement la joue de Joana. Celle-ci se retira ensuite, et continua à se laisser prendre. Bobbie posa ses puissantes mains sur les hanches de sa partenaire, et accéléra le rythme. Elle semblait prendre en masculinité et en virilité, comme si le mutagène ayant fait d’elle la femme qu’elle était continuait à agir. Elle grognait, pinçant le cul de Joana, le giflant régulièrement, tout en enfonçant sa puissante trique en elle sans ménagement, sans répit, avec un appétit féroce et renouvelé.

Bobbie, comme d’habitude, se livrait à un coït féroce et durable, bien consciente que sa femme était très gourmande, et qu’il fallait donc l’honorer comme il se doit, c’est-à-dire en la baisant énergiquement et durablement.

« Han, ce que tu es bonne, ma chérie !! Hmmm… !! »

Joyce soupirait alors, semblant peu à peu sortir de sa torpeur. Le blocage rompu, elle pouvait libérer tout son plein potentiel, et elle caressa encore le visage de Joana, admirant cette beauté, admirant ce visage empreint de désir. C’était là l’expression d’une joie infinie, d’un plaisir délicieux. Joyce s’humecta les lèvres, et se redressa doucement, venant embrasser à nouveau Joyce, et déplaça ses mains, venant caresser son dos, grattant sa peau douce et tendre, jusqu’à poser ses mains sur ses fesses. Elle frissonna en sentant les doigts de Bobbie, et enchaîna naturellement :

« Je… Je ne veux pas déranger Maîtresse, mais… J’aime tant ton cul, Joyce… C’est incroyable, je… Je n’avais encore jamais ressenti ça, je… Je ne comprends pas… »

Jessica les rejoignit en s’allongeant à côté des deux femmes, et caressa d’une main l’un des seins de Joyce, le pinçant sans vergogne.

« C’est le désir véritable, Joyce. Les hommes qui transforment les femmes de Stepford en font des nymphomanes, afin qu’elles puissent toujours jouir au contact de leurs hommes, mais briment aussi leurs pulsions. Les hommes de Stepford ne subissent pas les mêmes améliorations que nous, et ils sont donc incapables de te satisfaire comme tu le dois. En faisant sauter ton verrou psychique, nous avons libéré tes véritables pulsions, sans ce blocage psychologique. Tu réalises seulement à quel point le désir féminin est immense… »

Joyce soupira doucement, continuant à frissonner, sentant ses seins heurter ceux de Joyce à chaque coup de reins de leur Maîtresse. Sous ses doigts, Jessica sentait le téton de sa partenaire durcir, ce qui ne pouvait que la ravir, arrachant sur ses lèvres un joyeux sourire.

« Mais tu le comprendras en couchant avec Roger… Car, quand ton mari se relâchera en toi, tu te languiras de nous, et tu reviendras voir tes Maîtresses, Joyce… Et, comme tout ce que tu veux, c’est rendre Stepford heureuse et développée, tu voudras naturellement que les autres femmes de Stepford ressentent ce même bonheur… N’est-ce pas ? »

Petit à petit, le plan de la révolution stepfordienne se mettait en marche !

Alors que Joana se faisait énergiquement baiser par Bobbie, Joyce reprenait peu à peu ses esprits, et la vue de ce coït puissant juste au-dessus d’elle la stimula. Elle sortait peu à peu de sa torpeur, et échangea des baisers et des caresses avec Joana. Elle se montra de plus en plus audacieuse, allant jusqu’à poser ses mains sur son joli cul. Elle ressentait une attirance forte pour le corps de la femme, une attirance comme elle n’en avait encore jamais ressentie. Et tandis qu’elle caressait et malaxait les fesses dodues de Joana, Jessica vint s’allonger à côté d’elle et pinça un de ses seins.

« Aahh. »

La futa lui expliqua que ce qu’elle ressentait était le désir véritable. Maintenant que le verrou psychologique de Stepford avait sauté, son corps ressentait à nouveau les pulsions que son mari avait restreintes pour en faire une femme docile et obéissante. Mais maintenant, elle avait un aperçu de la véritable immensité du désir féminin. Elle lui expliqua aussi que son mari ne serait plus en mesure de lui offrir satisfaction. Chacun de ses orgasmes ne sera pour elle que le rappel du véritable plaisir expérimenté avec les futas, et elle reviendra vers elles. Et bientôt, toutes les femmes feront de même.

« Hhhmmm... oouuii... je veux... qu’elles le ressentent... toutes. »

Joyce était de plus en plus excitée alors qu’elle reprenait ses esprits. Elle s’amusait avec le corps de Joana, embrassant ses lèvres pulpeuses et caressant son beau petit cul, souriant en regardant l’expression de plaisir sur son visage. Elle n’arrivait pas à croire qu’une femme qui ressentait quotidiennement le plaisir qu’elle ressentait maintenant n’ait pas voulu s’enfermer avec sa femme pour toujours dans leur chambre pour baiser comme des animaux jusqu’à leur mort.

« Ooohhh... aaahhh... »

La femme du maire se mit à fantasmer sur l’avenir de Stepford si toutes les femmes étaient libérées de leur blocage mental et se mettaient toutes à ressentir le véritable plaisir. Stepford deviendrait la première ville d’Amérique où les femmes seraient enfin totalement libérés sur le plan sexuel, où personne ne moraliserait leurs pratiques, où il n’y aurait plus de tabou, où les possibilités seraient plus grandes, et où l’extase serait permanente. Ce serait le paradis. L’imaginer suffisait à faire mouiller la femme, mais elle avait quand même une inquiétude, qu’elle voulut partager avec Jessica.

« Mais... et les hommes... dans tout ça ? Est-ce qu’ils vont... hhhmmm... nous laisser faire... sans rien dire ? »

Si Joyce ne trouvait plus satisfaction avec son mari, elle n’aurait plus de raison de coucher avec lui. Et si jamais Roger, ainsi que les autres hommes de Stepford, se retrouvaient tout à coup privés de rapports sexuels, et par conséquent d’une part de leur autorité, ils pourraient très mal le prendre. Le plan de révolution du couple Eberhart serait détruit dès son lancement.

« Comment... peut-on éviter... aaahhh... que les choses se passent mal ? »

Jessica avait bien sûr des réponses à lui donner, mais la femme du maire, qui était de plus en plus assoiffée, lorgnait tellement sur sa bite tendue que la futa ne put résister à l’envie de la lui faire sucer.

Heureusement qu’avoir la bouche pleine n’empêchait pas Joyce d’écouter ce qu’on lui disait.

Il y avait en Joyce un potentiel de frustration incroyable. Il était en train de sortir, comme le trop-plein d’une eau trop longtemps retenue par une digue. Jessica s’amusait de cela, tout en comprenant aussi les interrogations légitimes de Joyce. Comment faire en sorte que les hommes ne se révoltent pas contre elles ? Pour Jessica, la réponse était plutôt simple, mais elle ne répondit pas tout de suite. Sa queue avait de nouveau durci, et elle invita Joyce à venir la sucer.

« Là, là… Viens me sucer, petite pute… »

Tout en faisant ça, Joyce se déplaça donc, de sorte que Joana pouvait, avec son visage, avoir accès à ses fesses. Jessica ordonna à Joyce de bien se mettre en position, de se mettre à quatre pattes, Jessica elle-même se redressant en s’adossant contre le rebord du lit pour permettre à Joyce de se mettre à quatre pattes. Ceci fait, Joana put fourrer son visage contre le cul de Joyce, et lécha son fondement, la main de Bobbie se crispant sur ses cheveux, contraignant ainsi Joana à bien se mettre en position.

Jessica soupira donc, sentant la bouche de Joyce avaler sa verge. Cette frustration était bien naturelle, elle l’emmagasinait en elle depuis des années sans jamais véritablement en prendre conscience. Cette révélation s’était finalement faite en elle, ce soir, et tout remontait à la surface.

« Les hommes… Sont un problème, Joyce. Ils sont dominateurs, et ils n’admettront pas facilement que nous libérions leurs femmes de leurs prisons… Et le programme pour libérer les femmes est, comme tu as pu le voir, délicat, car il faut vous pousser dans vos ultimes retranchements. Nous le ferons… Femme par femme. Je n’ai pas envie de bannir les hommes, mais le changement se fera… Progressivement. Quand ils verront qu’ils n’arrivent plus à faire jouir leurs femmes, qu’elles ne leur sont plus obéissantes. Le choix leur appartiendra ensuite. Soit vivre dans cette nouvelle Stepford, soit partir… »

C’était le plan, une stratégie sur le long terme. À chaque jour, elles séduiraient une nouvelle femme, et rechercheraient parmi elles celles qui étaient susceptibles de devenir des Futanaris. Il y en aurait sans doute assez peu, mais ce n’était pas vraiment un problème. Moins il y aurait de Futanaris, et plus celles-ci pourraient régner tranquillement, en baisant tous les jours les beautés de Stepford. Cette idée, qui était un rêve longtemps entretenu par Jessica, fit se durcir encore sa queue. Sa main serra les cheveux de Joyce, et elle la força à enchaîner les gorges profondes.

Ainsi libérée, Joyce s’avérait aussi bien plus entreprenante, et plus endurante.

« Hmmm… Oh, ma chérie, je crois que nous allons devoir te baiser toute la nuit… Vu ton immense appétit, hmmm… »

Elle continuait à pomper son dard, visiblement impatiente de récolter son nectar… Sans doute aussi comme Joana, qui avait un accès direct au bassin de la jeune femme…

Le plan de la révolution de Stepford se mettait peu à peu en place. Joyce avait été libérée de son conditionnement psychologique, et elle exprimait à présent toute l’étendue de sa perversion et de son envie de sexe. Pendant qu’elle suçait la grosse bite de Jessica, cette dernière lui expliqua qu’elle avait déjà songé aux problèmes qu’allaient entrainer les hommes de Stepford quand ils comprendraient ce qui les attendait. Ils avaient fait en sorte que leurs femmes leur soient soumises, ils n’allaient sûrement pas apprécier de les voir redevenir libres. Mais Jessica était confiante, elle était sûre que les hommes finiraient par voir que le changement était positif pour la majorité. Et s’ils ne l’acceptaient pas, ils n’auraient plus qu’à s’en aller.

« Hhhmmm... »

La femme du maire avait des doutes, mais son inquiétude était noyée sous le plaisir qu’elle ressentait. Elle avait la bouche remplie par la vergue juteuse de la futa, et pendant que Bobbie sautait joyeusement Joana, cette dernière lui léchait le fondement. La femme du maire frissonnait avec délice en sentant ces léchouilles contre sa rondelle, elle se laissait porter par le plaisir et enchaînait les gorges profondes. Jessica sentait bien l’excitation intense qui gagnait la jeune femme, impatiente de pouvoir goûter à son bon jus, et déclara qu’elle allait devoir la baiser toute la nuit pour calmer son immense appétit.

« Hhhmmm ! »

Joyce était aux anges. Elle s’imaginait déjà dans ce nouveau Stepford, où elle pourrait offrir son corps à Roger pour qu’il puisse se satisfaire, et ensuite aller combler ses appétits sexuels avec des futas qui la sauteraient longuement et intensément. Ainsi, elle resterait une bonne épouse et une femme comblée.

De son côté, Joana voyait les choses tout autrement. Tandis que Bobbie la faisait grimper aux rideaux en la baisant en levrette, elle léchait l’anus fraîchement élargi de Joyce, duquel coulait encore un peu de sperme. Même après sa transformation, la jeune femme restait lesbienne, et pour elle, Stepford ne pourrait pas devenir parfait tant qu’il resterait des hommes dedans. En plus, le talent de sa femme avec sa bite montrait bien qu’ils étaient superflus, hormis peut-être pour faire des enfants. Elle s’imaginait plutôt faire de Stepford un paradis féminin, en utilisant la technologie génétique pour transformer les hommes et en faire de ravissantes femmes. Il suffirait juste de créer quelques futas de plus et tout le monde pourrait se faire plaisir en permanence, comme elles se faisaient plaisir en ce moment.

« Aaahhh... putain... ooouuuiii. »

Excitée comme une puce, Joana mit une claque bien sonore sur le cul de Joyce, qui sursauta en la sentant.

« Allez petite salope... avale-moi cette bite... ooohhh... plus profond.
Ggaahh... ooouuuiii... Bobbie... baise-moi... comme une chienne... OOOUUUIII ! »

Au final, tout le monde dans la chambre prenait son pied. Et le jour était encore loin.

Ce serait une révolution sexuelle, une révolution qui commençait dans le lit, et qui se terminerait dans le lit. Dans le fond, chacune voulait la même chose, mais avec quelques variantes. Il allait falloir par la suite accorder les violons. Joana avait déjà exposé que son rêve était de supprimer les hommes de Stepford, non pas en les tuant, mais en les transformant en femmes. Convaincre Joyce allait sans doute devoir demander un peu d’efforts, mais, à court ou long terme, cette idée s’imposerait aussi à elle. Joana fantasmait déjà à l’idée d’élargir la communauté, de profiter des gens venant ici brièvement, à l’occasion d’une escale, pour en faire de magnifiques femmes. Et cette idée n’était en réalité pas non plus pour déplaire à Bobbie. Leur rêve d’une meilleure Stepford se profilait doucement, une ville qui, sous ses atours de petite ville américaine, serait en réalité un lieu d’orgie continuelle.

« Ouii, Joana, ma chienne, ma belle chienne… ! »

La Futanari déployait toute son ardeur, tout comme Joyce, qui se mit à enchaîner les gorges profondes. Les deux mains de Jessica se serrèrent autour de sa tête, et elle commença à donner de solides coups de reins, enfonçant sa juteuse trique dans la bouche de sa partenaire, la malmenant avec plaisir.

« Là, là, petite pute, avale bien fort… Suce bien ma queue, continue comme ça… P-Pompe fort, hmmm… »

Joyce était très entreprenante, et sa manière de s’activer sur sa queue ne manquait pas d’exciter Jessica. Elle pompait son dard avec appétit, creusant ses joues, rougissant sous l’effort, tout en se dandinant, remuant son bassin. Elle offrait son cul sans vergogne à sa partenaire, qui s’y attaquait avec appétit, léchant son fondement, enfonçant ensuite ses doigts, tandis que des grosses claques s’abattaient sur son cul. Comme à chaque fois, Bobbie la baisait énergiquement. Même quand elles essayaient d’y aller calmement, la situation finissait toujours par déraper, et Bobbie en arrivait systématiquement au stade où elle la besognait furieusement. C’est ce qui était en train de se passer, et Joana avait par conséquent de plus en mal à se concentrer sur son anulingus. Elle fourrait son visage contre le cul de Joyce, pinçait ses fesses. C’était une sensation exquise, que Joyce devait également ressentir au vu de la manière dont la grosse queue de Jessica se perdait en elle.

La Futanari blonde se crispa encore, étouffant parfois sa partenaire. Elle n’avait jamais ressenti une telle fellation de sa vie, elle n’avait jamais goûté à une verge aussi puissante, à un phallus aussi épais. C’était exquis, magnifique, et elle aurait sans doute pu en verser des larmes de bonheur. Inlassablement, Jessica lui prenait la tête, la baisait sans relâche, jusqu’à ce que, dans un ultime râle, dans un long soupir, elle ne jouisse en elle. Un superbe orgasme, où sa queue tressauta dans la bouche de Joyce, gonflant ses joues. Joyce faillit bien s’évanouir sous cette vague, et sentit le sperme éclater dans sa gorge, puis dans sa bouche.

Bobbie n’avait pas encore joui, et continua à sodomiser sa femme, l’enculant sans ménagement, sans la moindre pitié. Tandis que Joyce reprenait ses esprits, Jessica la retourna doucement, et l’assit sur le lit, face à Joana.

« Regardez donc, Joyce… Regardez comme Bobbie et Joana sont heureuses… N’est-ce pas là une vision à faire partager ? À faire ressentir à toutes les femmes de Stepford ? Regardez-les, Joyce, et félicitez-vous du fait de savoir que nous allons encore vous baiser longuement, très longuement… »

La femme du maire semblait totalement fascinée par ce spectacle.

« Vous avez encore la bouche pleine de mon foutre, Joyce… Allez le partager avec Joana, c’est un goût dont elle raffole, elle aussi… »

Les deux Futanaris n’avaient pas encore fini de s’amuser longuement avec elle…

Les visions de Joyce et du couple Eberhart pour l’avenir de Stepford étaient encore éloignées, mais elles se rejoignaient sur le point le plus important : il fallait changer la façon dont les femmes prenaient du plaisir au lit. Après avoir goûté à la puissance d’une futa, Joyce savait qu’elle ne pourrait plus se contenter de son mari, qu’il lui en faudrait plus. Mais cela allait aussi nécessiter de se préparer à l’opposition. Roger et les autres hommes de Stepford n’allaient sûrement pas laisser les choses se faire sans réagir, surtout si le plan de Joana et Bobbie de changer les hommes en femmes se concrétisait.

« Aaahhh... ooouuuiii... comme ça ! »

Mais en attendant, Joana savourait surtout la grosse queue de sa femme qui lui dilatait l’anus avec force, lui arrachant cri de plaisir sur cri de plaisir. Elle prenait tellement son pied qu’elle finit par ne plus pouvoir se concentrer suffisamment pour lécher la rondelle de la femme du maire. Elle enfouit son visage dans son fessier généreux, pinçant la chair moelleuse de ses fesses en gémissant. Dire qu’elle avait monté cette queue de taureau tellement de fois, et qu’elle trouvait toujours ça aussi bon.

De son côté, Joyce expérimentait le plaisir de se faire baiser la bouche par une bite digne de ce nom. Jessica allait et venait profondément dans sa gorge, les mains serrées autour de sa tête, et rien ne semblait pouvoir l’arrêter. La femme du maire se régalait avec cette lance de chair colossale et bien juteuse, elle aimait être utilisée comme un vide-couilles par la futa et recevoir son énorme trique dans la bouche. Encouragée par son amante, elle léchait et pompait ce vit appétissant de toutes ses forces, et elle en mouillait comme une fontaine.

« Hhhmmm... »

Et finalement, ses efforts menèrent Jessica à la jouissance. Joyce sentit la queue de la futa tressauter dans sa bouche et, dans un râle de plaisir, elle libéra tout son foutre. Elle n’avait encore jamais rien vu de tel. Il y en avait une énorme quantité, tellement qu’il lui remplit la bouche en un éclair. Elle crut qu’elle allait s’étouffer en avalant toute la semence qui coulait dans sa bouche et dans sa gorge. Et quand son amante lui lâcha la tête, elle se retira, laissant les derniers jets atterrir sur son visage et sa poitrine. Déboussolée, elle dut s’allonger pour ne pas s’évanouir.

« Aaahhh... aagghh... »

Cela allait bien au-delà de tout ce qu’elle connaissait. Elle avait presque tourné de l’œil juste en faisant une fellation, et le flot de sperme qui avait jailli avait manqué de la noyer. Encore la tête dans le brouillard, elle se laissa gentiment diriger par son amante, qui voulait lui faire profiter du spectacle du couple Eberhart en plein ébat.

« Ooohhh ... ooouuuiii... putain, ooouuuiii ! »

Cette vision si plaisante raviva peu à peu la flamme de Joyce, qui suivit les instructions de Jessica et s’approcha de Joana. Elle posa ses deux mains sur ses joues et approcha doucement son visage.

« Joana... dis aahh. »

« Aaahhh ! »

La femme de Stepford eut droit à un baiser de la part de la femme du maire, baiser au cours duquel cette dernière partagea avec elle tout le sperme qu’il lui restait encore dans la bouche. Et évidemment, elle se fit un plaisir de tout boire. Contrairement à elle, elle était habituée aux orgasmes dantesques d’une futa, et elle avala cette bonne crème avec grand plaisir. Quand leurs lèvres se séparèrent, un mince filet de bave et de semence les relia pendant quelques instants avant de se briser.

« Hhhmmm... merci Joyce... pour le rafraîchissement. »

Pendant ce temps, dans son dos, Bobbie continuait de la démonter avec force, pilonnant son anus et enchaînant les fessées. Joana était folle de désir, elle criait et suppliait pour en avoir toujours plus. Son derrière lui faisait tellement mal que c’en était un délice. Sa femme n’arrêtait pas de lui dire qu’elle était sa chienne, qu’elle aimait la monter de la sorte et la voir crier, qu’elle avait hâte de voir toute une bande de futas la prendre en gang-bang et lui faire crier son plaisir jusqu’à l’épuisement total. Il n’en fallut pas plus pour les faire jouir toutes les deux.

« Ça y est... ça vient... AAARRRGGGHHH ! »

Joana poussa un cri de tous les diables, à l’unisson avec celui de Bobbie, et elles jouirent toutes les deux abondamment. La femme sentit sa mouille jaillir et son cul se remplir de foutre, puis elle s’écroula quand sa chérie se délogea d’elle. Même si le sexe était bon et qu’elle avait l’habitude, elle restait un être humain. Et après un coït de cette force, il fallait bien qu’elle reprenne son souffle.

« Aaahhh... ma chérie... tu es vraiment... la reine des futas. »

Une fois Joana de nouveau en forme, Joyce prit l’initiative d’aller voir Bobbie.

« Maintenant, on inverse les places. Je vais m’occuper de Bobbie, et Joana de Jessica. »

Sans qu’elle laisse le temps à quiconque de parler, la femme du maire se mit à genoux devant la futa rousse et lécha sa verge.

« Hhhmmm... votre queue est toute sale. Je vais la nettoyer... bien comme il faut. »

Elle se mit à lécher ce vit dans les moindres recoins, ramassant toute la semence qui trainait encore dessus. Et une fois qu’il serait bien érigé, elle le pomperait.

Après la levrette, Bobbie s’arrêta à un moment, ralentissant le rythme pour coucher Jooana sur le dos. Elle retourna très rapidement la sodomiser, et attrapa ses jambes, la baisant comme ça, le dos de Joana glissant sur le lit, remuant au fur et à mesure que la femme la prenait longuement. De leur côté, Jessica avait joyeusement joui dans la bouchez de Joyce, manquant l’étouffer. Habituée à coucher avec son mari, Joyce découvrait désormais une toute nouvelle envergure des relations sexuelles, et elle allait progressivement réaliser que son corps était celui d’une femme améliorée, d’une femme pensée pour de tels plaisirs.

« Là, ma chérie, hmmm… T’es si bonne, bordel… Comment ton cul fait pour rester si étroit… Alors que je passe mon temps à te défoncer, hnnn… !! »

Jessica motiva Joyce à les rejoindre, et la femme du maire s’avança à quatre pattes, la bouche encore remplie de foutre, et s’allongea contre Joana, venant l’embrasser. En voyant cela, les mains de Bobbie se crispèrent sur ses genoux, et sa queue elle-même sembla encore se gonfler, se durcir… Elle la pénétra plus farouchement, sa queue s’enfonçant de nouveau dans les tréfonds du cul de Joana, qui couina contre les lèvres de Joyce. Ensemble, les deux femmes se livrèrent à un long baiser, tandis que Jessica s’amusait à filmer ça. Tout en ayant joui, la Futa’ avait toujours sa queue redressée, témoignant d’une excitation qui ne voulait pas se tarir, ni partir. Joyce était vraiment tombée dans une sorte de paradis sexuel, un endroit dont elle ne voudrait plus jamais partir.

Les deux femmes s’embrassèrent donc, et Bobbie soupira lentement. Ce spectacle l’acheva, et sa queue enfla encore sur place. Bobbie s’abandonna dans un cri, et Joyce n’eut qu’à lever les yeux pour voir la puissante Futanari se mettre à jouir longuement. Un délicieux orgasme, tout comme celui de Joana, qui se tortilla sur place, relâchant sa mouille. La queue gonflée de Bobbie s’abandonna longuement, avant que la jeune Futanari ne se calme progressivement. Elle retira sa queue du corps de sa femme, et Joyce, de nouveau toute excitée, proposa alors d’inverser les rôles, et se rapprocha de la queue de Bobbie. Celle-ci sourit doucement, et caressa de sa main les cheveux de la jeune femme.

« Tu le sens en toi, Joyce, hein ? Cette soif inextinguible… Maintenant que ton blocage a sauté, que tu peux pleinement exprimer tout ton amour, tu peux enfin être libre… Mais ne va pas croire que nous voulons renverser les hommes, et les bannir d’ici. Le rêve de ma femme, que je partage de plus en plus en te voyant, est de faire d’eux des Futanaris, d’utiliser leurs machines pour qu’ils deviennent des femmes. Nous sommes vraiment le sexe fort, Joyce, regarde notre endurance… Regarde comme j’ai joui, et comme ma queue est encore bien dressée… »

Joyce était même comme hypnotisée, et entreprit de lécher sa queue, nettoyant celle-ci, la sentant peu à peu se redresser. Bobbie frémit doucement, et, de son côté, Jessica repoussa Joana, la couchant sur le lit, et s’allongea sur elle. Elle s’écrasa contre elle, et alla la prendre en missionnaire. Sa queue avait déjà retrouvé sa superbe, et les cris de Joana résonnèrent dans la pièce, stimulant Bobbie, qui entendit le lit grincer, couinant sous les mouvements multiples et puissants de Jessica, passionnés et énergiques.

« Je crois bien qu’on va te baiser toute la nuit, Joyce, jusqu’à ce que l’aube se lève… » glissa-t-elle, tandis que Joyce commençait à pomper sa queue, agenouillée devant elle.

Elle pouvait ainsi sentir sa grosse queue s’enfoncer dans sa belle bouche…

Pendant que Joyce nettoyait la queue de Bobbie avec sa bouche, cette dernière lui parla de ses plans pour l’avenir de Stepford, notamment de son désir d’utiliser les machines de transformation pour changer les hommes en superbes femmes. Certaines seraient des femmes standards, d’autres des futas. Elle affirmait que les femmes membrées étaient le sexe fort, que leur puissance et leur endurance sexuelle étaient sans pareille, et donc il lui semblait logique que les hommes laissent leur place. Cependant, la femme du maire n’était pas aussi convaincue qu’elle.

« Plus d’homme ? Mais... à qui vais-je être mariée alors ? »

Même si le blocage psychique qui bridait son plaisir avait sauté, elle restait encore soumise à plusieurs règles, et notamment qu’elle était mariée au maire de la ville, Roger Mallone. Leur mariage n’était pas parfait, mais elle était attachée à lui, et elle ne voulait pas le perdre. Elle était d’accord pour satisfaire ses besoins physiques primaires en couchant comme un animal avec des femmes et des futas, mais elle voulait quand même avoir un mari à accueillir le soir à la maison.

« J’ai besoin... de mon Roger... je... »

Mais la discussion tourna court quand Bobbie lui fit de nouveau avaler sa queue. Ce sexe était si bon, si puissant, si gonflé dans sa bouche... elle en oubliait tout le reste. Elle entreprit de lécher sa trique, la nettoyant de tout le sperme coulant encore dessus, la sentant devenir de plus en plus dure dans sa bouche. Elle se régalait en léchant la futa et en écoutant ses soupirs de plaisir. Et une fois la verge bien nettoyée, elle eut envie d’aller plus loin.

« Slurp... et si... on pompait un peu tout ça ? »

Joyce prit le sexe de Bobbie en bouche et se mit à le sucer. Comme pour Jessica, elle faisait preuve d’un certain talent, creusant ses joues et aspirant l’air pour bien pomper, allant et venant le long de cette hampe de chair délicieuse, la léchant tout du long à chaque passage.

« Hhhmmm ! »

La femme du maire se régalait avec le sexe de la futa en bouche, mais elle prenait aussi son pied en l’écoutant gémir, ou quand elle posait ses mains sur sa tête pour la faire aller plus profondément, ou quand elle lui envoyait des commentaire salaces. C’était le rêve.

« Hhhmmm... ggghhh ! »

Joyce se retrouva rapidement à prendre la bite de Bobbie en gorge profonde, s’étouffant à moitié à chaque fois qu’elle l’avalait, mais le plaisir qui la gagnait était si grand qu’elle se fichait bien d’être étranglée par cette énorme saucisse. Tout son corps vibrait, sa chatte mouillait abondamment, et elle couinait à chaque fois que la verge de la futa bougeait.

De son côté, Joana se préparait à se faire sauter par Jessica. Cette dernière décida de la prendre en missionnaire, et elle se retrouva allongée sur le matelas, les jambes bien écartées. Elle sentit le corps de la futa s’écraser contre le sien et sa trique s’enfoncer en elle d’un coup sec. La femme était tellement mouillée que l’entrée se fit avec une étonnante facilité.

« Aaahhh. Oui, vas-y à fond ! »

Joana hurla son plaisir dans toute la chambre jusqu’à ce que Jessica vienne lui fermer la bouche en l’embrassant. La femme de Stepford sentait la chaleur de son corps contre le sien, surtout au niveau de leurs énormes poitrines se frottant l’une contre l’autre. Leur coït était puissant, Joana sentait la grosse verge de Jessica aller et venir en elle, ses tétons qui se frottaient joyeusement contre les siens, et sa langue dansait fougueusement avec la sienne. C’était une baise digne d’une futa.

« Hhhmmm... HHHMMM ! »

Emportée par le plaisir, la femme de Stepford enroula ses bras et ses jambes autour du corps de son amante, l’encourageant à aller toujours plus profondément en elle. Pas question qu’elle la relâche avant de l’avoir fait jouir en rafales.

Le traitement allait encore devoir se poursuivre. Bobbie était convaincue que Joyce n’était pas vraiment amoureuse de Roger, que c’était un ensemble de produits chimiques et d’un traitement cérébral qui conduisaient Joyce à être si malléable… Comme une manière de précipiter le sentiment de soumission naturelle inhérent à toutes ces mères au foyer, ces ménagères qui se contentaient de leur quotidien, et qui, peu à peu, acceptaient de vivre dans une prison aux barreaux soyeux et agréables. Quand les Futanaris exposèrent leur plan d’envergure, à savoir la disparition des hommes de Stepford, Joyce paniqua légèrement. Bobbie ne lui laissa pas davantage le temps de réfléchir, et enfonça son membre veineux dans sa bouche. Bobbie soupira doucement en sentant Joyce oublier tout le reste. En soi, c’était un détournement du conditionnement psychologique et physique que Joyce avait vécu. Celle-ci était une nymphomane en puissance, et elle ne pouvait qu’aimer cette fellation, la sensation de cette grosse queue s’enfonçant copieusement dans sa bouche, lui arrachant de longs soupirs.

« Hmmm… Là, oui, c’est bien… Haaaa, quelle énergie, Joyce, quel appétit ! »

Comme transportée, la belle blonde continuait à pomper son dard avec envie, disparaissant petit à petit, ne devenant plus qu’un atome de désir, une sorte d’immense et magnifique poupée de chair et de sexe. Contre elle, Bobbie soupirait longuement, sentant la bouche de la jeune femme s’activer sur sa verge. Un appétit féroce s’emparait d’elle, et Bobbie était encore plus excitée en voyant sa Joana disparaître sous le corps massif et anguleux de Jessica.

Ne lui épargnant rien, la blonde platine opta pour une position classique à côté de Bobbie et de Joyce. De fait, en tendant la main, Joana aurait pu caresser le dos de Joyce, et peut-être même palper son cul quand celle-ci se redressait. Ceci étant dit, cela supposait de se faire à la rude pénétration vaginale de Jessica. Le coït était intense, brutal. Le lit pliait sous le corps de Jessica, qui s’enfonçait durablement et brutalement dans le corps d’une Joana ravie.

Une telle vue ne pouvait que ravir sa femme. Joana se crispa contre le corps de Jessica, enroulant ses bras et ses jambes autour d’elle. En retour, Jessica serra les cheveux de Joana dans sa main, et l’embrassa furieusement, sa langue s’enfonçant goulûment dans sa bouche, jouant avec elle. Le contact était très intense, savoureux à souhait.

« Là, là, bordel, t’es si bonne, ma chérie… Je n’arriverai jamais à me lasser de toi… »

De son côté, Bobbie se pinça les lèvres, sentant le plaisir croître en elle. Difficile de rester aux élans de Joyce, à la passion de la jeune femme. Les gorges profondes se multipliaient, amenant doucement Bobbie proche du point de rupture. La magnifique rouquine finit par sentir la vague remonter en elle. Ses doigts se crispèrent férocement sur les cheveux de sa partenaire, et, dans un ultime soupir, elle se mit à jouir copieusement.

Sa queue tressauta, et explosa dans la bouche de Joyce, libérant des filaments de foutre. Elle la remplit de bonheur, s’abandonnant pendant une bonne minute à ce plaisir exquis et suprême, sentant progressivement tout son corps se calmer.

« Diable, c’est si bon… Là, là, savoure bien, ma chérie… »

Elle se retira progressivement, mais prit soin de conserver sa queue dans la bouche de Joyce pendant de longues minutes après son orgasme. Elle marinait ainsi dans ce sperme, et se retira ensuite. Sa queue avait dégonflé, mais restait toujours bien grosse, et légèrement redressée.

« Voilà… Est-ce que tu ne les trouves pas belles, dis-moi ? » demanda-t-elle, en s’adressant à Joyce, et en faisant évidemment référence à Jessica et à Joana.

Après avoir bien pompé le dard de Bobbie, Joyce reprenait tranquillement son souffle en regardant comment Joana et Jessica s’envoyaient en l’air avec énergie. Elles étaient délicieusement perverses, et elles prenaient tellement leur pied que la femme au foyer en mouillait sur place. Les voir ainsi lui laissait presque croire que Stepford pourrait sans fonctionner sans homme, mais dès qu’elle commençait à l’envisager, elle repensait à Roger et arrêtait d’imaginer sa vie sans lui. Ils étaient mariés depuis si longtemps, ils avaient fait deux beaux enfants, avaient vécu des tas de choses, bonnes comme mauvaises. jamais elle ne pourrait s’imaginer vivre sans être mariée avec lui, même si elle ne prendrait probablement plus jamais son pied avec lui.

« Oui... elles sont magnifiques. »

Joana prenait son pied avec Jessica. La futa allait et venait en elle, la tenant fermement par les cheveux, et lui offrant des baisers gourmands dignes d’un coït de ce niveau. Tout son corps tremblait et frémissait joyeusement, elle criait son plaisir à répétition et savourait chaque seconde de cette baise magistrale.

« Ooouuuiii... vas-y Jessica. Montre-moi... comment les puissantes futas... hhhmmm... traitent les petites putes... dans mon genre. »

Évidemment, Joana savoura chaque minute de cette délicieuse baise, où se mêlaient mouvements furieux et paroles salaces, jusqu’à ce qu’elle en jouisse. Mais même après son orgasme, elle continua de se faire joyeusement sauter. Jessica la tourna sur le ventre, lui fit lever les fesses et commença à lui prendre le cul en lui ordonnant d’aboyer comme une chienne, ce qu’elle fit avec plaisir.

De son côté, Joyce observait ce superbe spectacle tout en pensant à l’avenir de Stepford. Mais très vite, elle fut fatiguée de penser et voulut reprendre le sport avec Bobbie. Elle se tourna vers elle et se lécha les babines.

« Alors... si on se remettait en selle nous aussi ? »

La nuit se poursuivit donc, dans une longue et sensuelle orgie. Joyce n’avait sans aucun doute jamais connu une telle orgie, qui se termina pour elle par une double pénétration des deux Futanaris. Joyce s’était ensuite effondrée, et les quatre femmes avaient dormi ensemble. Joyce avait ensuite repris ses esprits, tout en devant réfléchir à la suite, tandis que les Futanaris lui avaient expliqué leurs projets. Même en se reposant, le corps de Joyce était continuellement tripoté et caressé en de nombreux endroits, comme pour entretenir la flamme qui brûlait en elle.

Joyce devait organiser une réunion spéciale du club des femmes de Stepford, mais était partie avec des étoiles dans les yeux, Jessica la raccompagnant, posant nonchalamment une main sur le cul endolori de Joyce. Concrètement, il allait falloir attendre qu’elle couche avec Roger, et qu’elle constate qu’elle ne pouvait plus prendre son pied comme avant. Pour Bobbie, c’était une belle victoire, qu’elle célébra au petit matin en prenant sa femme contre le mur du perron, juste après avoir refermé la porte. Elle se relâcha en elle, et les deux femmes allèrent ensuite s’occuper de leurs filles, leur préparant à manger.

La prochaine cible de Bobbie était désormais toute trouvée : Zoey, sa belle assistante aux formes pulpeuses. Joana tenait bien évidemment à y participer, et Bobbie n’y était pas opposée.

« Mais il faut organiser ça intelligemment, Joana… Tu n’as qu’à venir vers 11h à mon bureau. Je préparerai Zoey, et on la baisera ensemble. »

Joana n’avait pas la capacité, comme Bobbie, de devenir hermaphrodite, mais elle pouvait toujours user de ses lèvres, ou d’un solide strap-on. Elles en parlaient pendant que leurs filles se lavaient, et l’idée de coucher avec Zoey et Joana excita encore Bobbie, dont la queue se redressa sous son tablier.

« Hm… Viens t’occuper de ça, vilaine fille… » ordonna-t-elle sensuellement à Joana.

Sa partenaire s’agenouilla donc, et alla pomper son beau chibre. L’aide de Zoey ne serait pas aussi déterminante que celle de Joyce pour renverser les hommes de Stepford, mais, le temps que Joyce se décide et n’entreprenne vraiment de les aider, Bobbie comptait bien continuer à séduire les femmes les unes après les autres. Le fait est que les hommes de Stepford étaient trop gourmands, et qu’il y avait plus de femmes que d’hommes dans la ville. C’était pour ça que certaines femmes comme Zoey avaient un statut particulier, des célibataires soumises, dociles, s’offrant, non pas à un homme en particulier, mais à Stepford toute entière.

Une recrue qui était donc bien pratique, et qui excitait à titre personnel Bobbie, qui fantasmait déjà à l’idée de sodomiser son beau cul sous le regard concupiscent et libidineux de sa femme…

Ce fut une nuit que Joyce n’allait pas oublier de sitôt. Après s’être faite longuement prise dans tous les sens par les futas, elle avait fini par tourner de l’œil et s’était écroulée sur le lit, s’endormant presque immédiatement. A son réveil, Jessica l’avait raccompagnée chez elle, et Joana était restée avec sa chère femme, qui l’avait tout de suite prise contre le mur du perron aussitôt leurs invitées parties. Après ça, leurs filles rentèrent à la maison et les mamans se consacrèrent à elles.

Pendant que leurs princesses prenaient leurs douches, Joana et Bobbie discutaient de la suite de leur plan. Leur prochaine était Zoey, l’assistante de Bobbie à la mairie. Evidemment, parler de ça excitait bien la futa, et sa femme se faisait un plaisir de lui pomper sa grosse queue pendant qu’elle récapitulait leur plan.

« Hhhmmm... alors à toi de jouer ma chérie. J’arriverai à 11h... avec des tas de jouets. »

Joana eut juste le temps de finir de sucer sa femme avant que leurs filles ne redescendent. Ces dernières s’étaient plutôt bien acclimatées à la vie à Stepford, et ce malgré les nombreux changements auxquels elles avaient fait. La nouvelle allure de Joana, Bobbie qui travaillait, leur nouvelle école... Mais quand elle les voyait, Joana se rappelait que le plan de transformation de Stepford n’était pas là que pour les femmes du présent. Elle faisait aussi ça pour ses filles, pour qu’elles ne finissent pas en femmes au foyer décérébrées sans qu’on leur donne le choix. La transformation de Stepford allait leur offrir un meilleur environnement pour grandir sereinement en tant que femmes. Ensuite, ce serait à elles de voir si elles veulent devenir des femmes travailleuses comme Bobbie ou des femmes d’intérieur comme Joana.

« Bonne journée mes chéries. Travaillez bien à l’école. »

Un bisou chacune et les voilà parties. Bobbie partit ensuite au travail et Joana se mit au travail dans la maison. Elle commença par sa chambre, qui avait besoin d’être aérée et nettoyée après la nuit de folie qu’elle avait vécue. Elle rassembla les vêtements qui trainaient un peu partout et changea les draps. Elle s’occupa de la vaisselle, puis passa un coup d’aspirateur, fit du tri dans les vêtements sales pour préparer des machines de linge... Et en un éclair, il était presque 11 heures.

« Oh, déjà ? Il faut que je me dépêche. »

Joana rassembla dans un sac différentes types de godes et de sextoys, un tablier des plus séduisants et de la lingerie sexy, et elle se dépêcha de partir.

C’était une journée ordinaire pour Zoey. Elle était arrivée à la mairie un peu avant Bobbie pour vérifier son emploi du temps de la journée. Et quand sa patronne était arrivée, elle l’avait accueillie avec une bonne tasse de café.

« Bonjour Mme Eberhart. J’espère que vous allez bien. Aujourd’hui, il faut que vous décidiez quelles photos vous voulez garder pour les annonces du concours de tarte du mois prochain. Et le maire veut aussi voir vos photos pour la brochure touristique. »

La jeune femme ne se doutait pas encore de ce que cette journée allait lui réserver.

Maintenant que Bobbie travaillait pour la mairie, elle participait à de nombreuses activités nécessitant une couverture médiatique. Après tout, Bobbie restait photographe, ce qui était d’ailleurs une excellente excuse pour trouver des femmes et améliorer ses plans. Récemment, elle avait pris une série de clichés, car le Maire souhaitait moderniser le site Internet de la commune, et voulait des photos des différents lieux emblématiques. Quand Bobbie rejoignit son bureau, Zoey la salua avec un café, et lui rappela cela. Bobbie la sourit en la remerciant.

« Tu as bien raison, Zoey. Que ferais-je sans toi ? Nous allons récupérer les différentes photographies prises pour le concours… »

Des photographies de tourtes et des ménagères de Stepford, grand sourire, en train de les préparer. Une vie rêvée ! Autant dire que Bobbie était bien plus intéressée par le cul de Zoey que par les photographies. S’installant derrière son bureau, elle commença donc à récupérer les photographies, tandis que Zoey, impeccable dans son tailleur serré, attendait ses instructions.

« Il va falloir décaler le rendez-vous prévu en fin de matinée, Zoey…
-  Oh, bien sûr. Pour une raison particulière ?
-  On peut dire ça, oui… »

Bobbie sourit doucement à Zoey. Elles avaient déjà commencé à flirter ensemble, mais Bobbie était cette fois prête à passer aux choses sérieuses.

« Ma femme va venir vers 11 heures… De fait, il est peu probable que je sois très productive ce matin…
-  Oh… C’est… C’est une bonne nouvelle… »

La Futanari sourit doucement.

« Oui, on peut dire ça, Zoey… »

Bobbie continua à regarder son écran d’ordinateur, compilant les photos, réfléchissant encore et toujours à ses plans d’avenir pour Stepford. Elle se plaisait bien dans cette ville… Et il semblait normal qu’elle veuille améliorer cette ville, perfectionner Stepford. Est-ce que Joyce allait les dénoncer ? Le maire allait-il bondir dans son bureau avec plusieurs agents de sécurité ? Le plus probable semblait surtout que Joyce passe sa journée à se rappeler cette folle soirée avec Bobbie, Joana et Jessica. Zoey, de son côté, dit de l’archivage et du tri, rangeant des classeurs, offrant à Bobbie la vue de son délicieux cul quand elle se penchait pour ranger des armoires.

Lentement, Bobbie soupira, amenant Zoey à se retourner vers elle.

« Je me demande pourquoi tu viens à chaque fois dans un tailleur aussi serré, Zoey… Ton mari ne te satisfait-il pas assez ? »

C’était une question assez directe, mais Bobbie se devait aussi de préparer le terrain de jeu en prévision de l’arrivée de Joana…

Quand Zoey apprit que Joana allait venir à la mairie à 11 heures, elle se dit qu’elle allait avoir une journée tranquille. En général, quand sa femme venait la voir au travail, Bobbie restait avec elle pendant plusieurs heures, et quand elle finissait par revenir, elle était assez déconcentrée et expédiait le travail en vitesse pour pouvoir rentrer vite chez elle. Mais cela voulait aussi dire qu’il allait falloir se dépêcher de faire le travail demandé pour aujourd’hui. Heureusement, Bobbie semblait assez appliquée pour le moment. De son côté, Zoey s’occupait de trier et d’archiver des classeurs pleins d’anciens documents et d’anciennes photos qui pouvaient servir de références à sa patronne au cas où.

Alors qu’elle travaillait sans rien demander à personne, Zoey entendit Bobbie soupirer et se retourna. Apparemment, son tailleur était un peu trop serré au goût de sa patronne, qui en vint à lui demander de but en blanc si elle était satisfaite avec son mari.

« Quoi ? Mais si voyons. Je suis très satisfaite. C’est... Pourquoi vous me demandez ça ? »

La jeune femme commença à réaliser que sa patronne lui faisait du rentre-dedans. Cela allait à l’encontre de tout ce qu’elle avait appris lors de sa transformation en femme de Stepford, mais elle était tout de même intriguée et attirée. Car il y avait bien une raison pour laquelle elle venait chaque jour avec un tailleur aussi moulant, et elle ne voyait plus de raison de le cacher.

« Eh bien... pour être tout à fait honnête... si je porte un tailleur très serré... c’est parce que je voulais voir... si les rumeurs étaient vraies. »

Mais de quelles rumeurs parlait-elle ?

« Quand je suis arrivée à Setpford... on m’a dit que les futas étaient... plus puissantes et vigoureuses au lit... que les hommes. Mais aussi... qu’elles étaient incapables... de se contrôler... qu’elles voulaient tout le temps baiser. Du coup, j’ai essayé... de me tenir à distance de Jessica. Mais quand vous avez commencé... à travailler ici... j’ai su que je ne pourrais pas vous éviter éternellement. Alors j’ai voulu attaquer de front... en portant des tenues assez... moulantes... pour voir comment vous réagiriez. »

A ce stade, Zoey s’attendait déjà à ce que Bobbie lui saute dessus pour lui faire sauvagement l’amour sur le bureau, ou au moins qu’elle se mette à la peloter.

« Alors... est-ce que les rumeurs sont vraies ? Est-ce que vous avez envie de moi... maintenant ? »

La jeune femme ne voulait pas tromper son mari, même avec une autre femme, mais plus elle restait proche de sa patronne, plus elle sentait sa chaleur intérieure devenir forte, tout comme son désir. Elle n’était pas sûre de pouvoir résister en cas d’attaque directe de la futa.