The Multiversity

Theorem était essoufflé, se tenant à la paroi de métal devant lui, pantelant. Son postérieur rougi par le sexe brutal qu'il avait reçu laissait échapper un peu de la semence de son maître mais Chengzu ne l'entendait pas de cette oreille et vint enfiler son plug anal pour qu'il conserve son jus intime. Lorsque le sextoy s'enfonça en lui, le haiena poussa un petit gémissement avant qu'il ne soit bien en place. Pas de doutes, le sperme de son homme allait rester jusqu'à son absorption totale. Puis Chengzu l'embrassa avant de replacer sa tenue et ses cheveux, lui démontrant quand même un attachement profond et un amour très fort. Theorem resta silencieux quand il lui annonça qu'il avait très envie de lui et qu'en échange, il offrait de réaliser un de ses fantasmes ce midi. A cette annonce, il en avala sa salive en anticipant tout ce qui allait se passer. Puis finalement son dominant allait s'en aller, mais le travestit retenait sa veste.

"Je vous aime tant également, mais... attendez, Maître Chengzu... Je ne peux pas vous laisser partir dans cet état."

Le jeune haiena se mit à genoux devant le bélier avant d'écarter un peu sa tenue pour accéder à sa verge, encore sale de cette sodomie intense. Il s'agissait de sperme et de salive surtout, mais c'était son devoir de veiller à ce qu'il reparte propre. Calmement il commença à sucer son sexe au repos. Sa langue caressait sa peau tout en pompant avant de passer à ses testicules et à son pubis. Une fois propre, il le replaça soigneusement dans son sous-vêtement de latex avant de faire une bise sur le paquet ainsi formé. Finalement il replaça sa tunique convenablement et se releva pour faire face au bélier.

"J'ai hâte de vous revoir ce midi. Il y a une petite salle de bain à côté des toilettes, sur le même pont que votre atelier. Nous pourrions nous retrouver dans une des cabines de douches à midi tapante et je vous y attendrais. Il vous suffira de toquer 6 fois d'affilé sur la porte et je saurais que c'est vous. Passez une agréable matinée, Maître Chengzu."

Il lui fit une tendre bise en le laissant finalement partir (non pas sans mater son postérieur quand il s'en allait). Finalement il retourna à sa supervision et quelques ouvriers eurent des regards déplacés quand il revint. Pas de doutes, certains l'avait vu copuler dans le couloir. Il en devint un peu rouge mais ne donna pas suite en terminant son travail dans la salle des machines. Il retourna ensuite à la timonerie pour vérifier le cap et regarder quelques rapports de réparations avant de voir l'heure de midi arriver. Il s'empressa de descendre au pont où le bélier travaillait avant de se diriger vers la salle de bain. Il y avait plusieurs cabines de douches avec loquet et Theorem en sélectionna une pour s'y glisser. Il se deshabilla avec soin pour ne conserver que ses bas, ses gants et son harnais sexuel. Il attendit calmement l'arrivée de son maître en positionnant quelques sextoy sur une serviette avant d'entendre les 6 coups. Il ouvrit calmement, le laissant entrer avant de fermer derrière.

"Rebonjour Maître Chengzu. J'ai mûrement réfléchi, et j'aimerai beaucoup me faire fister aujourd'hui... J'ai prit plusieurs sextoy, une gag ball, un bandeau, un crayon pour que vous marquiez plein de cochonneries sur moi et une gros pot de lubrifiant... Si vous voulez commencer, je suis parfaitement disponible..."

Dit-il avec un sourire pervers et gêné, des joues toutes rouges et surtout une sudation qui commençait déjà et des tremblements d'excitation...

Avant de le laisser partir, Theorem nettoya son sexe. Chengzu le regarda faire, silencieusement. En d’autres circonstances, ils auraient sans doute pu repartir pour un nouveau tour... Mais, après la séance avec Ishtar, puis celle avec Theorem, l’homme-bélier était pour ainsi dire épuisé, et très largement satisfait. Il sourit d’ailleurs quand le jeune homme remit son sexe en place, sous la culotte, avant d’embrasser celle-ci, et lui caressa tendrement les cheveux. Chengzu sortit ensuite de la coursive, et vit, au regard des gardes, que ceux-ci n’étaient pas dupes sur ce qui venait de se passer. Il ne leur parla pas, sentant un bref moment de gêne le saisir... Mais aussi d’excitation. Comme si le fait de savoir qu’on l’observait, au lieu de le restreindre, finissait également par l’exciter chaudement.

L’homme se montra bien plus professionnel dans le reste de la matinée, travaillant sur les commandes spéciales qu’il avait reçu, à savoir des tenues pour Ishtar Naviento et pour Alice Korvander. En confectionnant soigneusement le latex, en le moulant, il lui était difficile de ne pas songer à tout ce qu’il avait fait la nuit et en ce début de journée. Tandis qu’il moulait précisément les gants d’Alice, revoyant les mesures qu’il avait faites, il se rappelait les suçons qu’il avait fait sur chacun de ses doigts, avant qu’elle ne les fasse à Theorem, ceux-ci s’amusant à échanger leurs doigts. Et, quand ce fut au tour d’Ishtar, de lui mouler des collants, il s’imagina les enfiler tout en l’embrassant, goûtant à sa peau douce et forte, s’imbibant de sa puissance et de sa virilité.

Pour autant, Chengzu s’appliqua précautionneusement dans son atelier, glissant ensuite le latex sur un moule, et continua à le travailler, jusqu’à ce que l’horloge sonne la pause-déjeuner. Chengzu avait préparé un petit sandwich, et, après quelques hésitations, remonta directement au bureau de Theorem. D’ores et déjà, le plaisir commençait à revenir, croissant furieusement en lui, formant une érection lancinante. C’est dans ces conditions qu’il retrouva donc son amant.

Le bureau de Theorem était très agréable, mais il constata que Theorem ne s’y trouvait pas, et alla le rejoindre dans un endroit moins seyant et plus intime en même temps… Une cabine de douche ! En revoyant son amant, le cœur de Chengzu s’emballa doucement, et il le salua. Toutefois, Chengzu dut bien admettre qu’il ne s’intéressa guère au discours de son bel éphèbe, préférant porter son attention sur le bel homme, qui l’accueillit... Dans d’agréables sous-vêtements moulants en latex.

« Oh, Theorem... Quel accueil ! » s’enthousiasma Chengzu.

Il lui sourit chaleureusement, et l’embrassa en le saluant, caressant ses hanches au passage. Son amant avait opté pour retirer son uniforme, et accueillait donc son amant avec ses sous-vêtements, comprenant un harnais très réussi en latex, que les mains de Chengzu s’amusèrent à caresser et à serrer pendant toute la durée de leur baiser. Celui-ci présenta ensuite à son amant une panoplie de jouets divers et variés, tout en exposant son fantasme : être fisté... Et être également marqué par Chengzu à l’aide d’un feutre sur le corps.

« Oh... Tu ne manques pas d’idées, décidément, Theorem ! » s’exclama un Chengzu conquis.

L’homme fit doucement craquer ses doigts, faisant crisser ses gants en latex, tout en contemplant le lubrifiant. Un fist... Il savait ce que cela impliquait, mais Theorem était déjà tellement habitué à se faire sodomiser que cela ne semblait pas aussi impossible que ça. C’était démentiel, bien sûr, mais... Qu’est-ce qui ne l’était pas ici ? Chengzu se pinça doucement les lèvres, détournant pendant quelques secondes son regard de son amoureux. Aimer le fait de faire souffrir la personne qu’on aime... N’était-ce pas là le plus grand paradoxe du désir amoureux ?

Puis il se retourna vers lui.

« Ok, je vais commencer par dilater ton postérieur, Theorem... Mets-toi contre la paroi, et écarte bien tes jambes en bombant ton petit cul. »

Avec Chengzu, le mode opératoire était toujours crescendo. Il commençait toujours assez doucement (sauf quand une personne comme Ishtar le chauffait sans vergogne), et finissait progressivement par devenir de plus en plus pervers, pour le plus grand plaisir de son amoureux...

Theorem réalisa alors rapidement qu'il allait bel et bien se faire fister. C'est à dire prendre le poing ou la main au complet de son partenaire dans son fondement. Il s'en mordit la lèvre inférieure avant de voir que son boyfriend se préparait déjà à le dilater. Un sentiment d'intense soumission lui serra la gorge, émoustillait son ventre et faisait légèrement trembler son corps. Un regard dans le miroir au dessus du lavabo lui renvoya la situation. Il était là, habillé d'un harnais sexuel entourant son corps fin et gracile, une cage dorée valant l'équivalent d'une voiture de luxe qui enclavait son pénis vierge pendant entre ses cuisses et une peau huilée et brillante le rendant encore plus désirable... Il entendit l'ordre de son compagnon et il avala sa salive.

"Bien sûr, Maître Chengzu. Je suis à vous, offert complètement."

Dit-il en s'appuyant contre le mur carrelée. Il fit pointer son postérieur en arrière, écartant les jambes pour écarter ses fesses et donner un meilleur accès avant de faire se lover sa queue contre son flanc pour parfaitement dégager l'espace. Le jeune travelo posa ses mains sur le mur pour bien se tenir et cambra son dos au maximum pour ainsi donner une vue imprenable sur son plug anal retenu par une chaînette à sa cage de chasteté. Il la tira délicatement en gémissant avant qu'un plop sonore n'indique sa réussite. Sa rondelle était bien ouverte déjà et un peu du sperme de Chengzu laissé là de leur précédente baise fit un fin filet le long de sa cuisse. Il laissa pendre le plug à la chaînette rattachée à sa cage de chasteté avant de remettre ses mains contre le mur.

"Han... Je ne suis plus un homme depuis si longtemps... Merci de rester avec moi malgré cela, Maître Chengzu... J'ai hâte de vous sentir en moi..."

Theorem n'avait plus qu'à attendre le bélier, restant immobile (bien qu'il tremblait comme une feuille) contre le mur, en sueur et complètement offert à son homme.

Chengzu avait juste un léger problème : il ignorait comment faire ! Theorem était là, devant lui, dans un endroit assez inattendu pour leurs retrouvailles. Ils étaient dans une cabine de douche, au milieu des toilettes. Il l’observa silencieusement, le voyant se mettre en position. Ses mains se posèrent sur le mur, et Theorem écarta ses jambes, se cambrant bien en lui présentant son postérieur. Chengzu regarda sa main gantée, et se demanda ensuite comment faire. Un fist... Il n’avait encore jamais pratiqué ça ! C’est en ce genre de moments qu’il aurait voulu qu’Ishtar soit là... Ce qui l’amena également à penser à ce soir, et à ce que lui et elle allaient faire subir à Theorem. Cette idée ne manqua pas de réveiller son excitation, et il baissa les yeux vers sa queue, qui était fièrement dressée, joyeusement élancée, et manifestement impatiente à l’idée de le sodomiser. Certes, Chengzu devait glisser la main, mais... Peut-être pouvait-il commencer par le sodomiser ? Cela dilaterait sûrement son cul pour la suite !

L’homme-bélier se rapprocha alors, et attrapa les cheveux de Theorem, tirant dessus. Sa tête partit en arrière, et il frémit doucement, humant son odeur.

« Oui, Theorem, je vais défoncer ton petit cul, mais... Commençons par le commencement ! »

Il lui ôta son plug anal, si tant est que l’homme l’avait encore, puis posa sa main sur sa verge, et l’enfonça dans son cul. La position était, somme toute, globalement similaire à celle qu’ils avaient prise tantôt, dans le couloir. Il le baisait contre le mur, et relâcha progressivement ses cheveux, pour empoigner ses mains, écrasant son corps contre le sien. La similarité de la posture trahissait peut-être chez le jeune homme un certain fantasme pour le sexe sauvage et brutal, contre le mur. Il le pénétra en tout cas par là, sentant le cul de Theorem se dilater encore, et grogna dans son dos, y allant sans ménagement, cherchant à s’enfoncer profondément, à le dilater autant que possible. Il y a sans doute encore quelques jours, les hurlements stridents de son amant auraient pu le refréner, mais l’entendre ainsi gémir ne faisait que l’exciter, stimulant des pulsions dominatrices qui se réveillaient en lui.

« Su-Supplie-moi, Theorem... Supplie ton Maître ! »

Il voulait l’entendre parler, l’entendre prendre part à cela. Chengzu continuait à le sodomiser, jusqu’à avoir, au bout d’une dizaine de minutes de ce traitement, un orgasme. Il se relâcha dans son corps, s’y abandonnant copieusement... Et ne s’arrêta pas là. Chengzu se retira de son corps, et ordonna à Theorem de se remettre en bonne position. Sa verge avait bien dilaté les parois anales de Theorem, de sorte que Chengzu put sans problème y glisser un doigt, puis un second. Il aurait sans doute dû ôter le gant, mais il savait qu’il ne portait pas du latex traditionnel. Le latex infernois était conçu pour être encore plus élastique et moulant que le latex ordinaire, et destiné à des fonctions sexuelles.

Remuant ses doigts d’une main, il tenait avec l’autre les cheveux de Theorem, et remuait vigoureusement en lui, remuant ses doigts pour continuer à dilater ses parois anales. De cette manière, il continuait à s’enfoncer en lui, bien décidé à satisfaire le fantasme de son amant, et à fourrer sa main en lui...

Visiblement Chengzu avait encore envie de sodomiser le jeune Haiena contre le mur et il ne se priva pas de le faire. Il tenait solidement sa queue de cheval et tirait dessus tout en l'enculant contre le carrelage. Soumis à son maître, il se laissa sauvagement défoncer le fondement en serrant les dents et en lâchant des petits cris par moments alors qu'il serrait ses poings sur le mur froid de la salle de bain. La cabine de douche n'était super grande, mais pour le moment ses pensées étaient centrées sur le bélier. Puis il entendit son maître lui ordonner de supplier, de parler. Il allait répondre à toutes ses injonctives avec plaisir.

"Han pitié Maître Chengzu ! Défoncez mon postérieur de sous-homme avec votre queue énorme ! Haaah ! Uhaaa ! Je suis à vous ! Hiiii ! Je suis votre jouet sexuel ! Gnnnniiii ! Remplissez-moi de vos gênes supérieurs !!!"

Le jeune travestit lâchait des commentaires toujours plus vulgaires et rabaissant à son sujet alors que Chengzu finissait enfin par se lâcher en lui en l'écrasant contre la paroi. Il put sentir son sperme chaud l'envahir alors qu'il tenait sur la pointe des pieds. Theorem en poussa un long cri étouffé alors que ses yeux se révulsèrent et que sa langue pendait vers le sol. Finalement Chengzu le relâcha mais lui tenait toujours les cheveux pour l'obliger à rester debout. Un ordre sec vint, celui de se remettre en position pour la suite. Le travelo était encore plus tremblant qu'au début mais il se remit contre le mur, le cul cambré et offert. Un peu de semence s'échappait malgré tout de son orifice bien ouvert alors que son maître gardait ses cheveux empoignés pour venir lui doigter le postérieur.

"Hiii ! Aaaaah ! Je vais me faire fister..."

Gémit-il alors qu'il resta en position. Sa prostate était matraquée par les doigts du bélier alors qu'il sentait un puissant sentiment d'infériorité et de soumission. Son maître était totalement habillé, en uniforme, alors que Theorem était en harnais sexuel et offert à son homme. Le femboy savait qu'il était tout à lui désormais. Chengzu aurait put lui demander n'importe quoi, il aurait obéit. Là il avait juste envie de sentir la main de son homme en lui, de lui appartenir totalement.

"Maître Chengzu, je suis si heureux d'être à vous !"

Le sexe avait cette capacité phénoménale et libératoire de vous faire tout oublier. Et Chengzu, de fait, oubliait tout. Cette sodomie brutale, fidèle à ce que l’homme faisait de plus en plus avec Theorem, balaya ses doutes et ses interrogations. Ses rapports avec Ishtar Naviento, la relation triangulaire que la redoutable dragonne souhaitait instaurer... Tout cela s’évanouissait au profit du sexe. Un plaisir instinctif, primaire, simple, bestial, mais diablement efficace, et terriblement addictif. Il absorbait totalement Chengzu, qui avait joui avec grand plaisir dans le con de son amant. Mais, contrairement aux fois précédentes, cette sodomie-ci n’était qu’un prélude. De fait, tout en respirant abondamment, Chengzu se surprenait à constater combien son corps commençait à s’habituer à son appétit disproportionné. Il y a encore quelques jours à peine, tout cela lui aurait suffi, mais, là, face au cul défoncé de Theorem, face à son amant qui écartait les jambes devant lui, Chengzu sentait une nouvelle soif remonter en lui, une envie furieuse de le baiser encore, de le faire hurler, de l’humilier, de le blesser et de le battre... La violence de telles pensées surprit même l’homme-bélier, qui serra ses mains en voyant que celles-ci tremblaient sous la nervosité.

Devant lui, Theorem s’offrait sans la moindre retenue, impatient de se faire fister. Chengzu regarda finalement sa main en la relevant, et se pinça les lèvres, des pensées multiples venant à traverser son esprit.

*Mais qu’est-ce que tu fais ? Es-tu sûr de ton fait, Chen’ ? Tu sais comment faire, au moins ?!*

Il l’ignorait, bien entendu. Enfin, il n’avait encore jamais eu l’occasion de le pratiquer, mais il avait pu constater que les parois anales de Theorem se dilataient très bien, comme une conséquence de sa forte expérience en matière de sodomie. Chengzu sourit doucement en se rapprochant, et se glissa dans le dos de son amant, posant une main sur son cul, qu’il serra et malaxa nerveusement.

« Cambre bien ton petit cul, Theorem... »

Theorem faisait tout ce qu’il pouvait pour motiver son amant, en s’insultant généreusement, ce qui, il faut bien le dire, marchait plutôt bien. Chengzu commença donc, et glissa un premier doigt dans le cul de Theorem, qui fut rapidement rejoint par un second, et par un troisième. Rien de bien difficile jusqu’à présent puisqu’il avait joyeusement ouvert le passage avec sa verge. Il commença alors à remuer, sentant les parois internes de son amant résister, la peau devenant plus dure. Chengzu se pinça les lèvres, courbant légèrement son dos en prenant plus d’amplitude. Son autre main se crispa sur le corps de Theorem, et il continua à remuer, faisant tournoyer ses doigts.

Son autre main se serrait sur ses cheveux, et il grognait, continuant à forcer le passage, faisant preuve d’une violence contenue et graduelle, au fur et à mesure que le fondement de Theorem se dilatait, facilitant l’accès.

« Quand j’en aurai fini avec toi, mon petit chien, tu auras du mal à t’asseoir... Fais-moi confiance !! »

Il racontait à peu près tout ce qu’il lui passait par la tête, tout en poursuivant ses mouvements, soupirant sur place, dilatant de plus en plus le col de Theorem, sentant les parois s’écarter...

...Jusqu’à pouvoir, après de longues minutes de reptation et de frottement, enfoncer sa main, ce qui l’amena à écarquiller les yeux sous la stupeur.

Le corps humain faisait décidément preuve d’une élasticité qu’il n’aurait jamais pu imaginer auparavant ![/color]

Theorem avait musclé son postérieur plus que tout ses autres muscles depuis qu'il était devenu un esclave. En résultat de toutes ces années de servitude et de tourments sexuels, il avait développé son anus, élastique tout en restant serré, ce qui offrait à ses partenaires des plaisirs inimaginables. Là il prenait la main de son maître et la main, c'était un symbole fort. La main qui serre le cou de son soumis pour lui rappeler le contrôle que la tension continuel d'un collier finis par affadir. La main du maître qui fait les fessées jusqu'à rendre le postérieur rouge et qui fait en sorte que s'asseoir devient une punition pendant plusieurs jours. La main du maître qui pointe du doigt, qui donne des ordres tacites, qui est une arme hypnotique quand elle est gainée de latex... Cette main qu'il avait appris à respecter comme tout venait de s'enfoncer dans son fondement et sa rondelle maltraitée vint se serrer sur son poignet alors qu'une tension musculaire comme jamais serrait son bas ventre. Sa cage de chasteté laissait échapper des petites gouttes de présperme qui tombaient au sol alors qu'il était en sueur et dépendant. Le moindre petit mouvement de Chen avait des répercussions sur le corps de Theorem qui se cambrait, se secouait et tremblait. Une sensation de pouvoir dévorante qui amena le travelo dans une fièvre sexuelle.

"Haaan ! Haaan Maître ! Je la sens en moi ! Haaaan !"

Son corps se crispa, se cambrait à l'extrême alors que ses yeux roulèrent vers le haut et louchèrent légèrement. Sa bouche s'ouvrit pour laisser pendre sa langue alors qu'il finit par jouir. Un tremblement diffus et un long gémissement féminin, presque un chant, accompagna enfin le relâchement de son sperme qui coula de la bouche du dragon doré que formait sa cage de chasteté. Son anus était tellement ouvert quand Chen se retira qu'il semblait tout faire pour essayer de reprendre sa forme fermée en palpitant. Mais il restait pour le moment assez écarté pour permettre de voir son intérieur bien rouge. Theorem ne tenait plus et glissa contre la parois pour finir le cul relevé mais le haut du corps à plat. Malheureusement, la pause repas était terminée, et ceci depuis plus d'une demi-heure. Du coup Chengzu dût partir en avance, en laissant Theo dans cet état et avec la responsabilité de tout nettoyer. L'après-midi commença et Theorem fut un peu tremblant pendant une bonne heure après tout ça. Il lui fallut au moins autant de temps pour remettre son plug anal. Puis enfin, le soir arriva et Ishtar envoya un message au bélier pour l'inviter à la rejoindre rapidement dans ses quartiers. La dragonne savait donner des ordres et ménager le suspens. Chengzu resta dans le flou jusqu'à arriver devant les quartiers de la dragonne. Le garde ne lui demanda pas son identité et le laissa passer. Il avait déjà les accréditations... Une fois à l'intérieur, l'endroit semblait plongé dans la pénombre. Une forte odeur sexuelle se propageait dans l'air... Un encens aphrodisiaque brûlait dans la chambre alors qu'Ishtar était dans son fauteuil, habillée de son bikini en V, de sa veste d'uniforme et de ses mythiques bas de latex et bottes de métal. Assise dans le fauteuil en cuir face au lit, elle se massait la poitrine avec un lubrifiant aphrodisiaque sans en découvrir ses seins pour autant alors que Theorem était à genoux devant elle, pompant sa grosse queue. Il avait un bandeau sur les yeux et avait des menottes de cuir alors qu'Ishtar l'avait habillé d'une tenue de soumis, son cul était exposé, avec un plug plus imposant et vibrant logé dans son fondement. La dragonne vit Chengzu arriver et elle s'empressa de boire son verre de vin de champignons aphrodisiaque avant de lui parler, gardant une main dans les cheveux de Theo, l'empêchant de se dérober à son devoir.

"Sois plus obscène, Theorem... Je veux entendre ta succion de bouche de salope sur ma queue !"

Elle lui fit signe de s'approcher en posant un doigt sur sa bouche pour lui indiquer de se taire. Une fois proche, la dragonne l'embrassa à pleine bouche en amenant une des mains du bélier sur sa poitrine pour la flatter un peu. Une fois ces salutations linguales passées, elle lui murmura dans l'oreille.

"Enlève ta veste et ta tunique mon beau... Je veux te voir dans ta combichaps sous ta tenue..."

(Pour décrire au mieux les tenues de Theo et de Chen)

Après leur quickie (qui ne fut finalement pas si rapide que ça), Chengzu eut un peu de mal à reprendre la journée. Se remettre au rythme dans son atelier était difficile, car ses membres tremblaient nerveusement. Il mit de fait trois fois plus de temps pour finir sa commande. Nerveux, Chengzu retrouva peu à peu son calme, tout en sentant encore une certaine dose de fébrilité. Theorem, Ishtar... Deux individus très différents l’un de l’autre. L’un était aussi soumis que l’autre était dominatrice, mais ils étaient tous les deux sacrément pervers. Avec eux, Chengzu se transformait, et, si cette facette de sa personnalité l’avait effrayé au début, c’était maintenant avec grand plaisir qu’il l’acceptait. Il aimait goûter à cela, à ce vice, à cette luxure, à ce sexe débridé. Le sexe suintait dans tous les couloirs à Nachtheim, comme si la sexualité débridée de l’ancienne Tsarine avait impacté les lieux. Chengzu ne pouvait pas nier qu’il aimait ça, même si, au fur et à mesure que le temps passait, il se montrait aussi de plus en plus gourmand.

Chengzu travailla donc, et, en fin de journée, l’une des lieutenantes d’Ishtar vint le voir, en lui indiquant qu’il était convoqué dans les quartiers de l’Amirale Magma Suprême à une heure bien précise.

« Et n’arrivez pas en retard, ni en avance. »

Difficile de dire ce qu’Ishtar lui voulait, mais il avait tout de même une théorie là-dessus. Chengzu acquiesça donc, et termina la combinaison qu’il était en train de faire. Plutôt doué, il bénéficiait ici d’un équipement très perfectionné, ce qui lui permettait d’avoir un excellent rendement, de sorte qu’il utilisa ses dernières heures de travail pour lui-même, laissant parler son imagination et sa créativité personnelle.

Puis le soir vint. Chengzu ferma son atelier, et s’avança dans les immenses couloirs de la colonie. Il sentait déjà une vague remonter en lui, et rejoignit les appartements d’Ishtar. Dans l’antichambre, Chengzu retira ses vêtements, ne conservant que son sous-vêtement, à savoir cette combinaison moulante avec une ouverture globale. De fait, tout son torse était visible, ainsi que ses cuisses, et son sexe proprement épilé. Chengzu s’observa devant le miroir pendant de nombreuses secondes, percevant les effluves de la chambre d’Ishtar. Il put ainsi voir son sexe se raidir progressivement, jusqu’à former une belle érection. Chengzu serra nerveusement les poings, essayant de se retenir.

Chengzu ouvrit ensuite la porte, et pénétra dans la chambre d’Ishtar. Elle était là, voluptueuse, puissante, assise dans un gros fauteuil, ses jambes écartées... Et Theorem était en train de la sucer. Chengzu s’avança lentement, comme pris d’un frisson électrique, un spasme nerveux. Il referma doucement la porte, le silence n’étant rompu que par les bruits de succion de Theorem. Chengzu se rapprocha lentement, au bout de plusieurs longues secondes, en entendant Ishtar parler. Sa voix était forte, sensuelle, et elle serrait d’une main les cheveux de Theorem. En se déplaçant, Chengzu déglutit, son érection s’accroissant encore.

*Elle est si belle...*

Le jeune homme déglutit doucement, et hocha la tête quand Ishtar lui intima le silence. Évidemment, il ne ferait rien qui soit susceptible de la mettre en défaut, et la rejoignit ensuite. Les deux amants s’embrassèrent copieusement, et la main de Chengzu ne se fit pas prier pour masser l’un des opulents seins d’Ishtar, pressant le téton, tirant dessus, ou se contentant juste d’apposer ses doigts contre sa chair, enfonçant ses doigts dessus.

Mais Chengzu ignorait quoi faire. Fort heureusement, il disposait d’un bloc-notes à côté, et écrivit quelques mots dessus, d’une main fébrile, tandis que sa queue en érection caressait les cheveux de Theorem :

Depuis combien de temps est-ce qu’il vous suce ?

Une réponse qui allait sans doute alimenter encore ses fantasmes...

Theorem pompait la grosse queue veineuse d'Ishtar et la dragonne lui imposait le rythme, tout en le privant de son sens visuel par un bandeau placé sur ses yeux. Ce bandeau de cuir comportait une lanière qui faisait en sorte de mouler parfaitement son visage, l'aveuglant totalement. Il y avait le mot FAGGOT écrit dessus en grand. La dragonne regarda le mot de Chengzu avant de le tirer de nouveau vers elle pour l'embrasser langoureusement. Leurs deux langues se caressèrent puis finalement elle rompis le baiser en lui murmurant dans le creux de l'oreille.

"Ca fait une bonne demi-heure qu'il me suce, mon chéri."

Satisfaite, elle lâcha un grand soupir avant de poser sa main sur le front de Theorem, le repoussant de sa queue épaisse. Son pénis était couvert de salive, gluant et épais alors qu'elle tapa son faciès avec son membre, déposant généreusement de la bave dessus. Elle se redressa de son fauteuil en repoussant le jeune Haiena qui toussait de s'être étouffé sur le mandrin de l'amirale alors que cette dernière amena un étrange appareil au milieu de la pièce, face au lit. Il s'agissait d'une sybian, un cheval d'arçon vibrant, possédant un gode. Dans le cas de celui-ci couvert de cuir noir, le gode était large et imposant. Ishtar releva totalement Theorem, lui tendant une petite bouteille noire et violette qu'elle ouvrit. La fragrance était puissante, comme quand on ouvre une bouteille de dissolvant. Elle amena la fiole dans les mains temporairement libres de Theorem.

"Prend ta drogue préférée mon beau."

Theorem amena la fiole sous son nez en tremblant un peu. Il boucha une de ses narines avec sa main et inspira de l'autre sous le goulot. Juste avant il expira un maximum avant d'inspirer lentement et continuellement. Une fois son inspiration terminée, il bloqua sa respiration et donna la bouteille à Ishtar qui la referma. Il n'expira que quelques secondes plus tard en poussant un long gémissement. Ishtar montra la fiole de poppers à Chengzu en souriant.

"Quel dégénéré tu es, Theorem ! Et si Chengzu apprenait que tu étais un tox, que dirait-il ?"
"Han non pitié, ne lui dites pas..."
"Ta gueule et vient que je t'installes pour la suite."

La dragonne retira le plug anal de son soumis et le guida vers l'appareil avant de le faire s'asseoir dessus, le gode se glissant entre ses fesses. Le plug qu'elle lui avait mit était plus imposant que celui qu'il avait l'habitude, mais surtout il gênait ses mouvements. Une fois empalé sur le gode, elle l'harnacha comme il fallait pour qu'il garde ses mains dans le dos avant de mettre sur ses oreilles des écouteurs puissant diffusant des bruits de baise et de la musique forte. Elle déposa une bise sur son nez avant de se tourner vers Chengzu, venant enfin se coller à lui en écrasant ses énormes seins pleins de lubrifiant sur lui. Ishtar était huileuse, obscène et à l'odeur puissante. Elle l'embrassa longuement, gardant leurs deux verges collées l'une contre l'autre avant qu'elle ne baisse une main pour coincer leurs deux pénis l'un contre l'autre pour les masturber d'une main et les lubrifier en ajoutant encore de l'huile.

"Il ne peut plus nous entendre, il va planer en se faisant démonter le cul. Si tu en veux aussi, j'en ai des super bonnes..."

Dit-elle en l'embrassant encore. Elle s'empara d'un ona-hole transparent et vint doucement amener l'ouverture contre leurs deux glands l'un contre l'autre. Elle poussa pour doucement les faire entrer dans ce canal étroit. Ishtar soupira d'aise avant de commencer les vas et vient dans ce tube de silicone lubrifié qui faisait un bruit parfaitement unique et savoureux. Ishtar écarta alors son bikini en V, révélant ses seins en matant Chengzu.

"Ca te dirait un petit rail directement entre mes seins ?... Haha, ça fait peut être trop rapide pour toi les prises de drogues... Tu n'as qu'à demander, mais je peux devenir ta drogue aussi, huhu."

Ishtar instaurait en lui des sentiments confus. Mais, plus il la côtoyait, et plus il était attiré par elle. Jadis, le jeune homme n’aurait jamais cru ça possible, mais il ressentait à la fois quelque chose pour Theorem et pour Ishtar. Difficile de classifier le tout, mais, en les voyant ainsi, en voyant la bouche de Theorem remuer sur la queue massive d’Ishtar, en entendant les soupirs de Theorem, ses longs gémissements, il se sentait... À sa place. Peut-être aurait-il dû ressentir de la jalousie en voyant son amoureux se faire ainsi prendre, mais la réalité est qu’il ne s’imaginait pas ça autrement. Chengzu en arrivait au stade où il commençait à comprendre que son couple avec Theorem ne pouvait s’envisager sans Ishtar. Il la regarda encore, frappé par sa beauté. Une femme forte, une véritable beauté masculine avec un corps massif. Elle était puissante, et sa main s’écrabouillait sur le crâne de Theorem, plaquant la tête du jeune soumis contre sa massive queue. Il la suçait longuement, et elle n’hésitait pas à le forcer à faire de longues gorges profondes, intenses et épuisantes. Chengzu, de son côté, observait tout cela, et déglutit quand Ishtar expliqua qu’il faisait ça depuis une demi-heure.

*La Princesse de Sylvandell m’avait prévenu, l’endurance d’Ishtar est redoutable...*

Elle lui avait indiqué cela après un autre baiser, un baiser intense où Ishtar exprimait toute sa passion. Chengzu ne pouvait que la laisser faire, et se recula nerveusement. Pour une obscure raison, elle en tenait pas à ce que Theorem sache qu’il était là. Enfin, Theorem savait qu’ils n’étaient pas tout seuls, mais il ne semblait en être nullement gêné. En même temps, vu tout ce qu’Ishtar lui avait déjà fait subir, c’était la routine. Ishtar se rapprocha de son immense lit, et récupéra un étrange meuble cylindrique, tandis que Theorem reprenait sa respiration. Chengzu reconnut bien évidemment l’objet. C’était un sybian, une sorte de croisement entre une planche et un coussin, servant à la soumission.

Mais Ishtar avait encore autre chose, et Chengzu fronça les sourcils en la voyant sortir une sorte de flacon, et l’amena près de Theorem.

*De la drogue ?*

Interdit, il regarda Theorem sniffer le contenu de la fiole, et son corps se raidit sur place. Des tremblements nerveux, des spasmes musculaires, agitèrent le corps de Theorem, avant qu’Ishtar ne l’immobilise sur le sybian à l’aide d’un harnais et d’un plug anal, un solide vibromasseur qu’elle lui enfonça dans le cul. Pour le coup, le masque dissimulait les yeux de Theorem, mais pas son visage, celui d’un homme béat, en pleine extase. Chengzu vit ensuite Ishtar se rapprocher, mettre sur les oreilles de Theorem un casque audio, puis lui indiqua qu’il ne pourrait plus les entendre.

Chengzu ne détacha son regard de Theorem que quand Ishtar se tint devant lu. Il déglutit quand sa queue heurta la sienne, et frémit ensuite, se pinçant les lèvres. Il ignorait sur le coup quoi penser de ce qu’il avait vu, de cette scène avec Ishtar et Theorem. Elle commençait à les masturber, et il soupira à nouveau, ne parvenant guère qu’à prononcer le nom de sa partenaire entre deux soupirs :

« I-Ishtar... »

Bien décidé à le pousser dans ses retranchements, Ishtar utilisa ensuite un onahole, une sorte de petit coffret qu’elle glissa entre eux, reliant ainsi leurs queues avec cet appareil. Chengzu ferma alors les yeux pendant quelques secondes, puis termina en louchant sur la voluptueuse poitrine d’Ishtar, que celle-ci lui tendait bien généreusement.

« Je... Euh... »

L’idée de se droguer ne le tentait effectivement pas, mais ses mains se déplacèrent encore. L’une se posa sur les fesses d’Ishtar, sentant ce solide cul contre ses doigts. Son autre main alla empoigner la nuque d’Ishtar, et il se pencha vers elle. Sans s’attaquer encore à ses seins, il l’embrassa sur les lèvres, puis se glissa dans le creux de son cou, et l’embrassa là, venant même mordiller sa chair, sentant sa peau solide, tendre et épaisse.

« C’est curieux à dire, mais... C’est comme ça que j’imagine les choses, Ishtar. Moi et Theorem, c’est excellent, mais... Il manquait quelque chose à notre union, quelque chose pour la transcender et la perfectionner. Et j’ai compris que... Que c’était toi qu’il fallait, Ishtar. »

Tout ça n’avait peut-être pas grand-sens. Chengzu avait toujours eu du mal à exprimer ses sentiments, et c’était encore plus vrai quand il était en train de bander face à une femme draconique aux formes voluptueuses.

Ishtar souriait de toutes ses dents à cette réponse et vint doucement embrasser à nouveau Chengzu en bougeant ses hanches et sa main droite pour faire monter et descendre le masturbateur. Elle s'arrêta un moment avant de le regarder en silence de son regard mauve hypnotique avant de retirer le jouet sexuel, un peu à regret mais elle voulait passer à plus. Elle décolla sa généreuse poitrine du torse de Chengzu avant de se masturber un peu devant lui. Perverse, elle vint récupérer les quelques gouttes de pré-sperme au bout de son gland pour venir lécher ses doigts gainés de latex devant lui.

"Bon, il est temps de passer à la suite..."

La dragonne se dirigea vers Theorem encore en trance sexuelle sur la sybian avant de doucement lui retirer ses écouteurs et de relever de la machine en tirant sur son collier. Elle lui laissa son bandeau sur les yeux avant de le guider vers le lit.

"Mon travelo chéri... J'ai ramené un invité avec nous. C'est ton Chengzu adoré qui t'as vu te faire défoncer le derrière sur une sybian sous l'emprise du poppers."

Theorem se raidissait alors qu'Ishtar serrait sa main gauche autour de la gorge du haiena. L'asphyxie érotique était un jeu dangereux, mais Ishtar savait quand s'arrêter et surtout la finalité de la chose. Elle empêchait ainsi à Theorem répondre, réalisant juste faiblement qu'il avait été maté au pire moment, tout en devant faire face à la soudaine privation d'air qui le faisait se raidir et sa cage de chasteté eut plusieurs spasmes alors qu'elle le relâcha. Il prit une grande inspiration, cherchant à reprenddre son souffle alors qu'Ishtar regarda le bélier.

"Couches-toi sur le dos mon beau, sur notre lit conjugal..."

Le grand lit à baldaquin aux draps de latex noir, au sommier en obsidienne noir et aux mâts taillées de scènes de sexe affligeantes. La dragonne attendit que Chengzu ne se couche sur le dos avant de venir en faisant monter Theorem aveuglé sur le lit, à califourchon sur son amant. La dragonne fut très entreprenante avant de guider le pénis du bélier en le tenant par la racine, directement sur la rondelle de Theorem avant de l'enfoncer en tirant sur la laisse. Le travestit lâcha un grand soupire avant de poser ses mains sur le torse de Chengzu. Même aveugle il put reconnaître sa combi-chaps formant ce harnais, et son odeur... Il se baissa un peu sur lui, cherchant à l'embrasser.

"Han Maître Chengzu..."

Theorem avait une fièvre de sexe, il en voulait plus, mais Ishtar tira sur la laisse pour l'empêcher d'embrasser SON homme. Elle seglissa derrière la hyène en latex avant de guider son mandrin contre celui de Chengzu. Son gland appuya contre la rondelle déjà occupée du jeune travelo qui serra les dents, comprenant ce qui l'attendait. Son corps se crispa et Chengzu put sentir son pénis se faire soudainement compresser dans un espace plus réduit, sentant le sexe de la dragonne se pressant contre lui, comme avec l'ona-hole plus tôt... Mais là c'était dans le fondement brûlant du haiena qui lâcha un cri bien sonore, sa petite cage s'agitant doucement et laissant s'échapper un peu de pré-sperme sur le bas ventre du bélier. Ishtar s'installa mieux et prit une bouffée de cigarette avant de l'écraser sur le mât le plus proche. Elle garda Theorem à 45° en tirant sur la laisse et posa son index sur sa bouche pour dire à Chen de se taire sur ce qui allait se passer. Elle écarta doucement son haut de bikini à nouveau, révélant ses magnifiques seins en contre-plongée à Chengzu alors que Theo avait simplement une couche de cuir sur les yeux pour l'empêcher de les voir.

"Serre-les dents mon travelo, c'est partit !"

Ishtar commença ses vas et vient, guidant par la même Chengzu comme lorsqu'ils le faisaient avec le masturbateur. Sauf qque là, le sextoy, c'était theorem qui gigotait et vivait son premier double anal avec une telle intensité qu'il n'arrivait ni à parler ni à penser !

Cette scène était tout simplement surréaliste. Du moins, c’était sans doute ce que Chengzu aurait pu encore pensé il y a quelques jours. Mais, entre-temps, le jeune homme avait quantité de choses phénoménales ici. La perversion d’Ishtar ne semblait avoir aucune limite, et il avait désormais acquis la conviction que, si Theorem était aussi pervers, aussi nymphomane, c’était en grande partie lié à Ishtar. Lui-même ne pouvait d’ailleurs prétendre être pur ou chaste. N’avait-il pas longuement et violemment sodomisé Theorem lors de la pause-déjeuner récemment ? Cet endroit était aussi en train de le changer. Tout en regardant Theorem se trémousser sur sa sybian, il repensa fugacement à ce qu’Alice lui avait dit lors de leur nuit de débauche… Qu’ici, elle pouvait se laisser aller. Qu’elle ne connaissait que peu d’endroits où elle pouvait laisser parler ses pulsions plus vicieuses sans crainte de choquer les gens, et sans crainte que cela n’impacte sur son visage public. Et, peu à peu, Chengzu comprenait l’inaltérable leçon qu’il y avait derrière. Tout cela n’était pas surnaturel, ni la preuve qu’il était foncièrement mauvais en aimant faire souffrir Theorem. L’être humain était juste ainsi, aimant faire l’amour, mais aimant aussi la souffrance. Pour Alice, ce plaisir était cathartique, et répondait à des pulsions spéciales qui s’agitaient en elle, comme en chaque individu. Ce qu’elle lui disait était le fruit de ce qu’elle avait vécu ici, et c’était aussi ce que Chengzu vivait.

Ishtar changea alors les règles. Elle déplaça Chengzu et Theorem, tout en indiquant à Theorem que c’était Chengzu qui les avait rejoints. Celui-ci écarquilla doucement des yeux, surpris par ce changement, elle qui lui avait demandé il y a quelques minutes à peine de ne pas faire de bruit, et s’était d’ailleurs amusé avec Theorem en lui demandant ce que Chengzu imaginerait s’il savait qu’il se droguait. Mais Theorem n’était plus en état de réfléchir consciemment.

*Est-ce que c’est comme ça qu’elle a réussi à le soumettre à ce point ? En le droguant jusqu’à ce qu’il en perde toute raison ?*

Mais, quand Chengzu avait rencontré Theorem, ce dernier n’avait pas eu besoin de drogues… Chengzu était donc assez confus. Dans un coin de sa tête, il se demandait toujours comment le preux chevalier qu’il avait connu avait bien évolué pour finir ainsi. Y avait-il uniquement Ishtar ? Les questions peinaient toutefois à se bousculer dans sa tête, surtout quand Ishtar le coucha sur le dos, et qu’il sentit le corps de Theorem sur lui. Ishtar prenait les choses en main, et attrapa sa verge, tandis que les mains de Theorem se posèrent sur son torse.

« The-Theorem… » répondit maladroitement Chengzu à sa phrase.

Il se pencha aussi pour l’embrasser, mais Ishtar tira alors la laisse en arrière, avant que Chengzu ne soit contraint de pénétrer la rondelle de Theorem. Il entendit les soupirs de plaisir du jeune homme, et crispa ses mains sur ses hanches, soupirant à son tour en fermant brièvement les yeux. Ah, que c’était bon ! La position était assez inhabituelle pour lui, tandis qu’il se demandait ce qu’Ishtar avait en tête. La réponse vint toutefois d’elle-même quand il sentit la queue d’Ishtar.

*Elle ne va quand même pas…*

Mais si ! Il grogna alors en sentant sa propre queue se compresser davantage entre les parois anales de Theorem et l’imposante verge d’Ishtar. Ce geste impensable était néanmoins possible, car Theorem était un sodomite convaincu, qui multipliait les sodomies. Ses parois anales se dilataient par conséquent très facilement, ce qui permit à Ishtar de le sodomiser à son tour. Autrement dit, Theorem avait droit à une double sodomie ! Son corps se mettait à remuer d’avant en arrière, même si Ishtar le maintenait en position. Par sa carrure et par son poids, la puissante dragonne rythmait leurs ébats, donnant de grands coups de reins qui soulevaient Theorem, lui permettant ainsi de satisfaire également Chengzu, qui grognait sur place.

Comme à chaque fois qu’il devenait très excité, des tremblements nerveux parcoururent le corps de Chengzu, ce qui l’amena à serrer ses mains sur les hanches de Theorem, tout en laissant Ishtar rythmer leurs ébats. La bave s’écoulait des lèvres de Theorem, qui tirait parfois la langue, semblant complètement écrasé par ce plaisir intense et violent.

« The-Theorem, hmmm… ! »

Difficile de parler, difficile de se concentrer, car le plaisir le submergeait lui aussi. Il sentait la sueur couler le long de son visage, glissant sur son torse, et griffait souvent les hanches de Theorem en les serrant trop fortement. Mais, au-delà de tout, au-delà de l’effort, au-delà de la grande perversité de cette scène…

…C’était tout simplement trop bon !

La suite fut assez prévisible, mais Ishtar continua son vas et vient en jouant avec ses seins, léchant ses tétons perversement en offrant ce spectacle à son bélier. Elle joua comme ça un long moment avant que Theo ne lâche un profond gémissement en sentant les deux pénis en lui accélérer le tempo et devenir saccadés. Rapidement la dragonne fit en sorte de coller avec l'orgasme de son chéri, jouissant dans le fondement du travelo en même temps que Chengzu. Remplit avec autant de sperme, son ventre donnait un peu l'impression d'être enceint. Finalement le soumis lâcha également un bel orgasme quasiment simultanément, tirant la langue en un bel ahegao alors qu'il avait son bandeau et plusieurs giclées de spermes sortirent de sa cage de chasteté, repeignant le bas-ventre de Chengzu en contre-bas. Dès qu'Ishtar se retira, elle aida le bélier à sortir aussi avant de prendre un plug anal et le visser dans le fondement de la hyène qui lâcha un petit cri plaintif. En même temps, elle lui installait un plug d'une taille très respectable alors qu'elle se mit assise à côté de Chengzu, puis se coucha comme lui, calée par les oreillers en latex. Elle embrassa Chengzu plusieurs fois en tirant sur la laisse pour que Theo commence son nettoyage.

"Au travail mon pédé."

Dit-elle alors que Theorem se retrouva à quatre pattes devant leurs deux verges collantes et sales. Il ne pouvait pas les voir, mais il savait qu'elles étaient là. Gardant la croupe relevée, le ventre plein de semences, il commença à lécher le pénis de la dragonne puis celui du bélier, sans distinction mais avec le plus grand soin, les nettoyant au fur et à mesure alors que les draps du lit étaient déjà bien sales. La dragonne embrassait le bélier pendant ce temps, roulant sa langue avec la sienne en ne le quittant pas des yeux. Ce n'est qu'une fois biens propres et leurs pénis bien lustrés qu'Ishtar fit signe à Chengzu de se redresser. Pendant ce temps elle replaça son haut correctement avant de remettre sa verge dans son bikini. Elle aida Chengzu à remettre sa verge dans le petit sous-vêtement qu'il portait avec son chaps. Une fois fait, elle tira le bandeau sur les yeux de Theorem pour lui redonner la vue. Ce qu'il put voir après que ses yeux soient habitués, c'était Ishtar et Chengzu, lovés l'un contre l'autre, dans le lit. Avant qu'il ne dise quoi que ce soit, Ishtar s'exprima.

"Theorem, ma brave hyène de guerre, rappel-toi que tu es mon esclave, ma propriété. J'ai toléré que tu ai une relation sentimentale, mais je dois bien avouer que Chengzu est un des mecs les plus beaux que j'ai croisé dans ma vie. Nous avons flirté et le courant est très bien passé..."

Ishtar roula un patin à Chengzu, roulant sa langue avec la sienne de manière à être très bien visible. Theorem était à genoux à les regarder faire, se mordillant la lèvre inférieure, une expression confuse entre angoisse profonde et excitation suprême. C'est en tout cas comme ça que ses boyaux lui serraient le ventre en lui donnant des papillons de plaisir. La dragonne repris son speech.

"Chengzu a plusieurs choses que tu n'auras jamais... Comme une belle queue ! Sans rire, tu as vu ce morceau ? Jamais je ne songerais à mettre son engin en cage, elle est trop parfaite !"

Dit-elle en caressant la bosse dans son chaps, l'embrassant encore un peu.

"Il est beau, mignon, et en prime il a quelque chose que toi, vraiment tu n'auras jamais... Chengzu est LIBRE, c'est un homme libre, un vrai citoyen. Toi tu es un esclave... Un bien, autant que l'est cette chaise ou cet oreiller que j'écrase sous moi. Mais rassure-toi, vraiment... Comme moi et Chengzu sommes ensembles, tu peux maintenant être NOTRE possession. Sûrement qu'il te baisera autant qu'il le souhaitera et quand il aura une envie soudaine tu devras répondre présent. Vous vivrez ici, d'ailleurs désormais ton métier non-officiel de pute tu le feras pour nous deux. Tu devras rendre compte à Chengzu entre-midi quand j'ai pas le temps. Le soir quand tu rentreras ici, c'est tenue de soubrette et tu fais le ménage puis le repas pour nous. Tu pourras peut être manger avec nous des fois, sinon c'est cuisine. D'ailleurs là, j'ai très soif, je veux un cocktail comme je les aime... Et tu vas en faire un pour Chengzu et venir en soubrette ici. Et si tu vois le rideau baissé, tu comprendras que tu dois laisser les boissons à disposition et attendre sagement."

Theorem se prit cette tirade dans les dents, gardant son expression tout le long avant que la dragonne ne repousse la hyène avec son pied pour qu'il parte. Theorem était perdu, cherchant le regard de Chengzu mais une deuxième poussée lui rappela qu'il devait y aller. Dès qu'il quitta la pièce, Ishtar tira une corde de cuir et les rideaux de latex se refermèrent autour d'eux. Elle se tourna vers Chengzu en l'embrassant de manière bien plus poisseuse et baveuse alors qu'elle se mettait assise sur le bas-ventre du bélier, tirant son décolleté pour montrer ses seins. Leur nouvelle vie allait commencer... et ce que Theorem possédait, elle le prenait. La hyène se dépêchait de mettre son uniforme de soubrette alors qu'il passa au bar pour faire une boisson pour la dragonne et une autre pour le bélier... Quelques larmes coulèrent dans la préparation, mais c'est aussi ce que la dragonne aimait, car elle savait aussi que la cage de Theo allait échapper quelques gouttes de pré-sperme. Elle roucoula avec le bélier avant de guider sa verge en elle.

"Ne t'inquiète pas mon beau... han... Il n'a pas le choix d'accepter... Et je te rendrait plus heureux qu'un humble esclave... Tu n'as qu'à voir le fastueux endroit où je vis..."

Défoncer Theorem était toujours autant un régal, mais, avec Ishtar en prime, Chengzu se sentait comme dans un état second. Couché sur le lit, il sentait le corps de Theorem remuer contre lui. Entre ses deux Maîtres, Theorem n’était plus qu’une sorte de poupée vivante gonflable, ondulant sur place, son cul défoncé par deux chibres assoiffés qui le baisaient longuement et sans relâche. Il gémissait contre lui, et ce spectacle était tout simplement délicieux. Chengzu vivait là un sacré moment, terriblement jouissif, et laissait l’homme danser devant lui, le caressant, se crispant à ses hanches. Ishtar les dominait tous les deux, femme massive, amante terrible et dominatrice, prédatrice. Elle les domptait, tout en besognant sèchement et furieusement Theorem. La scène était jouissive, exquise, elle aurait pu durer l’éternité… Mais aucun d’eux n’était éternel.

Chengzu finit par s’abandonner, et jouit tout contre la chaude queue d’Ishtar. C’était un contact très spécial, dérangeant au début, mais qu’il appréciait de plus en plus… Frotter sa queue contre celle de la dragonne. Ils jouirent joyeusement, remplissant le cul de Theorem, et Chengzu se permit même d’embrasser son amant… Avant qu’Ishtar ne le reprenne.

Le reste fut ensuite assez rapide. Ishtar rappela à Theorem sa condition d’esclave, tout en le comparant à Chengzu, qui rougit doucement. Theorem put brièvement les voir, deux amants heureux. Chengzu reprenait ses forces, allongé à côté d’Ishtar, tandis que la dragonne expliqua à Theorem qu’il serait leur esclave mutuel, qu’il serait autant sa petite pute personnelle que celle de Chengzu. Restant silencieux, Chengzu, tout en reprenant des forces, notait la joie perverse avec laquelle Ishtar rabaissait son amant. Et, venant de jouir, Chengzu pouvait se permettre d’être un peu plus lucide.

*Est-ce qu’elle m’aime vraiment ? Ou est-ce qu’elle a voulu me séduire uniquement pour voler à Theorem la seule chose qui lui appartient et qui ne soit pas à elle ?*

Cette question état horrible, mais, ce qui était encore plus horrible, c’était sans doute que Chengzu n’ait pas la moindre idée de la réponse à apporter à cette question. Ishtar était puissante, manipulatrice, perverse. Que pouvait-elle bien trouver à un simple gantier ? Il n’avait rien d’exceptionnel, si ce n’est d’être l’homme que Theorem aimait. Son amant restait de marbre, un silence lourd de sous-entendus, tandis qu’Ishtar lui expliquait que, si les rideaux du lit étaient tirés, il ne pourrait pas entrer. Le jeune homme fila ensuite dans la cuisine, restant silencieux, toujours écrasé sur place.

Ishtar se retourna ensuite vers Chengzu, et ils s’embrassèrent, tandis qu’elle rapprochait le sexe de Chengzu du sien, pour qu’il la sodomise encore. Ishtar lui indiqua de ne pas s’inquiéter, qu’elle le rendrait encore plus heureux que lui ne pourrait jamais le faire. Chengzu resta encore silencieux pendant plusieurs secondes, avant de secouer la tête :

« Mais je l’aime aussi, Ishtar. »

Il se releva alors.

« Il faut que j’aille lui parler, je reviens. »

Chengzu se rendit alors dans la cuisine. Theorem lui tournait le dos, préparant les deux sodas près d’une machine. Chengzu ne savait pas trop quoi faire. Il venait de le sodomiser violemment, et ses muscles étaient encore assez engourdis. L’homme-bélier posa ses mains sur les épaules de Theorem, restant dans son dos.

« Cela ne change rien entre nous, Theorem. C’est pour toi que je suis venu ici, à Nachtheim, et c’est pour toi que je continue à rester. Je t’aime, Theorem. »

Il le retourna alors, et l’embrassa sur les lèvres.

« C’est pour toi, tout ça… Je l’ai vu avec la Princesse, la dernière fois. Tu… C’est ce que tu veux, non ? Être un soumis. Et… Et bien, Ishtar reste ta Maîtresse, alors… Il m’a semblé plus logique que nous formions une sorte de famille… Ensemble. »

Une famille assez perverse, et pour la moins originale… Mais c’était malgré tout cette idée qui prédominait. Chengzu l’embrassa encore, puis retourna voir Ishtar, le laissant finir les sodas.

« J’aime Theorem, Ishtar. Je… Je ne veux pas être placé dans une situation qui m’amènerait à devoir choisir entre toi ou lui. »

C’était, somme toute, aussi simple que ça.

Alors qu'Ishtar allait faire entrer la verge de Chengzu dans son fondement en le chevauchant, elle vit le bélier se dérober sous elle et se précipiter pour aller voir Theorem. La dragonne en resta un moment interdite, clignant plusieurs fois des yeux avant de serrer les dents, tous crocs sortit en grognant de frustration. Nul doute que ce grognement fut assez audible pour que Chengzu l'entende en quittant la pièce. La dragonne se coucha sur le ventre en serrant un oreiller de latex, criant dedans en battant des jambes pour passer sa colère. On aurait dit une adolescente frustrée alors qu'elle se calma doucement en sortant son téléphone pour regarder quelques photos et vidéos faites pendant des séances de sexe. Plusieurs idées se chamboulaient dans sa tête pendant ce moment de navigation futile sur son smartphone à la conception grossière et sommaire.

*Grmbl... A quoi il pense celui là ? Une créature magnifique et irréelle comme moi en latex et couverte de transpi qui s'offre à lui et qu'est-ce qu'il fait ? Il saute dans les bras d'un esclave... Certes, mon esclave le plus cher et le plus précieux, mais quand même ! Aucun doute que si je donnais à Theorem sa liberté, il irait loin de moi avec Chengzu... Même si j'ai bien envie de construire quelque chose avec mon bélier d'amour... Il faudrait que je commence sérieusement sa formation de maître SM au plus vite.*

Pendant ce temps, Theorem terminait de préparer un cocktail à la hauteur des goûts atypiques d'Ishtar. Base de Nachtwurzel Gamma avec spiritueux local de Nachtheim et un zeste de fruit acide endémique. Il le fit avec beaucoup d'adresse alors qu'il sentit la présence de Chengzu dans son dos. Il fut sortit de ses pensées en sentant ses mains sur ses épaules. Theorem posa sa patte de hyène sur la main de Chengzu en fermant les yeux, l'écoutant. Finalement il le retourna et l'embrassa. Theorem ouvrit enfin les yeux, une larme roulant sur sa joue.

"Je ne connais que ça, Maître Chengzu... Je ne suis bon qu'à ça... Ishtar a raison, je ne devrais jamais me comparer à quelqu'un, ça m'éviterais des souffrances."

Il soupira avant de faire un autre baiser au bélier.

"Allez vite retrouver votre nouvelle compagne, Maître Chengzu. Je serais toujours à vos côtés, à vous deux."

Dès qu'il fut retourné auprès de la dragonne, Theorem termina ses cocktails avant de rapidement enfiler sa robe de soubrette par dessus sa lingerie actuelle. La dragonne regarda Chengzu revenir en restant quand même concentrée sur son téléphone, le boudant un peu.

"Hmpf... Je sais bien, Chen. Tu l'aimes beaucoup ce petit protèle désespéré... Quand je l'ai rencontré, il ne savait pas le potentiel qu'il avait. Je t'ai dit que tu aurais son accord peu importe ce qu'on fait. Je veux bien passer sur ce petit geste caractériel que tu m'as fait mais... Ne crois pas que tu vas t'en tirer comme ça."

Elle se redressa dans le lit, se mettant assise au fond avant de tendre la main vers Theorem qui entra, donnant sa boisson à la dragonne qui commença à siroter. Chengzu de son côté eut un cocktail un peu différent, à base de Nachtwurzel Sievert et d'un vin moins alcoolisé. Il le savait moins extrême que la dragonne en matière d'alcool. Une fois les boissons servis, Ishtar regarda Theorem qui tenait son plateau contre lui. Ce genre de regard, il en détournait en général les yeux, bien dressé à ne pas provoquer la dragonne par un regard mal placé.

"Chengzu ne veut pas choisir entre moi ou toi, Theorem. Tu vas donc devoir rester avec nous pour toujours... Mais ce n'est pas quelque chose qui doit te déplaire, non ?"

"N.. Non Amirale Gouverneure Magma Suprême !"

Le dragonne termina son verre, le posant sur sa table de chevet. Elle sembla pensive.

"Bon... Parce que je veux montrer que je suis généreuse également, je vais t'autoriser à dormir dans le lit désormais... Mais attention, si tu commence à trop monopoliser mon Chengzu, tu finiras au panier au pieds du lit."

Theorem se raidit aussitôt avant de se mettre à genoux. Il plia son corps de telle manière à être genoux pliés sous lui, les mains au sol, sa tête sur ses mains, complètement replié sur lui-même dans une posture de soumission. Un dogeza qui fit bien sourire la dragonne qui posa son pied sur la tête de l'haiena.

"Merci Maîtresse ! Merci infiniment ! Je m'en montrerais digne ! Votre grandeur n'a d'égal que votre puissance !"

Ishtar sourit de plus belle avant de se lover contre Chengzu.

"Fait pareil... Pose ton pied sur sa tête... Regarde comme il est soumis... C'est un objet, Chengzu... Là c'est un tapis, mais il peut être tout ce que tu veux... J'ai envie de voir tes capacités actuelles... Montre-moi ce que tu peux faire avec Theorem."

Dit-elle en se mettant plus au fond du lit, mettant son téléphone en mode caméra pour filmer la chose. Bien sûr elle n'hésiterais pas à se masturber en le regardant faire et la dispute serait alors de l'histoire ancienne...

Jusqu’à quel point Theorem était-il consentant à tout ce qu’Ishtar faisait ? Chengzu avait encore du mal à le comprendre. Il vit bien une larme de frustration rouler le long de l’œil de Theorem, mais se rappelait encore tout ce qu’on lui avait dit. La Princesse de Sylvandell lui avait expliqué qu’il n’y avait rien à faire. Même avant que Theorem ne rejoigne Ishtar, il avait déjà perdu toute volonté, toute envie de vivre seul. Elle avait voulu l’amener à rejoindre la Garde royale, à lui offrir une nouvelle vie, quitte à l’affranchir… Mais sans succès. Theorem voulait être un soumis, et ça, Chengzu le voyait. Sa réaction était peut-être un peu excessive, car il avait effectivement entendu le grondement colérique d’Ishtar… Mais le jeune homme-bélier ne savait toujours pas vraiment comment s’en sortir.

Il retrouva donc Ishtar, qui semblait s’être radoucie, et qui, en tout cas, indiqua à Theorem qu’il allait faire partie intégrante de leur vie. Chengzu, lui, choisit de rester silencieux, conscient que son geste était difficile à comprendre et à interpréter… Sans doute parce que lui-même avait du mal à comprendre ce qu’il avait fait. Avait-il commis une erreur ? Le problème est qu’il ignorait ce qu’Ishtar et Theorem pensaient vraiment. Pourquoi Ishtar torturait sexuellement Theorem ? Pourquoi l’humilier à ce point ? Et, concernant Theorem, jusqu’à quel point appréciait-il cela ? Ne cherchait-il pas, en son for intérieur, à se révolter ? Et lui, Chengzu, débarquait au milieu de cette situation. Il devait encore comprendre tout ça, et vit Theorem s’agenouiller, se couchant sur le sol, se prosternant… Et Ishtar posa son pied sur son tête, l’humiliant encore.

Chengzu resta silencieux, et, après plusieurs secondes, son pied se posa également sur la tête de Theorem, se rapprochant de celui d’Ishtar. La Dragonne semblait avoir retrouvé le contrôle, et il la regarda silencieusement. Elle s’était assise sur le rebord du lit, exhibant sa belle verge, et tenait un appareil à la main, filmant la future scène. Elle voulait qu’il punisse Theorem devant elle, et il hocha la tête.

« Très bien, Ishtar… »

Il se déplaça lentement, et se retrouva dans le dos de Theorem. Toutefois, avant de lui donner des ordres, Chengzu regarda autour de lui, et récupéra une laisse, qu’il attacha au collier de Theorem situé autour de son cou. Il tira dessus, le relevant, et commença à avoir des idées. La boisson qu’il avait bue… Chengzu sentit déjà l’envie de la rejeter, d’uriner, et une idée perverse commença à perler en lui. C’était sans doute le seul moyen de calmer les choses, et il ne pouvait pas nier qu’il y prendrait un certain plaisir. Dans sa main, il avait récupéré une cravache, et tira sur la laisse.

« Theorem ! Viens me sucer, petit chien ! »

Sa voix posée devenait plus autoritaire, plus ferme. Quand Theorem se redressa, Chengzu posa ses mains sur ses cheveux, et ferma les yeux, avant de lui pisser dessus. Il urina pendant plusieurs secondes, remplissant sa bouche.

« Je t’interdis de boire, Theorem ! Ce sera ton défi. Je vais t’enculer comme une vieille pute, et tu devras garder ma pisse dans ta bouche. Si tu la bois, je vais devoir te punir férocement. »

Instinctivement, il répétait ce qu’Alice lui avait dit. Pour vérifier à quel point Theorem aimait la soumission, elle lui proposait des jeux, des défis sexuels… Et lui proposait aussi ça, car c’était également une manière de stimuler intellectuellement Theorem, et de voir ce qu’il ferait. Chengzu tira encore sur la laisse, pour le redresser.

« Fous-toi à quatre pattes, je vais t’enculer sous les yeux de ta Maîtresse et de mon amour ! »

Et, quand Theorem obtempéra, Chengzu relâcha la laisse, le temps de guider sa verge, et s’enfonça en lui. Il grogna doucement, et attrapa la laisse de Theorem, tirant encore, et commença à donner des coups de reins. Il grogna sur place, et ne tarda pas à le fouetter avec sa cravache, tout en tirant sur la laisse, ce qui étranglait parfois Theorem en serrant le collier. Et le défi de Chengzu prenait tout son sens, car, juste devant Theorem, il y avait Ishtar. Autrement dit, s’il relâchait l’urine, il risquait de le relâcher sur Ishtar…

…Ce qui risquait de donner lieu à une punition sans pareille !

Theorem pensait qu'il allait pouvoir sucer son maître comme il savait si bien le faire, avec toute l'application qu'on lui reconnaissait pour cette tâche. Mais non, à peine on lui avait demandé de venir sucer que la verge de son Maître déversa son flot doré. Theorem se fit un peu arroser sur la surprise, mouillant son visage et un peu son torse avant qu'il ne réagisse pour amener sa bouche autour du gland du bélier. Le goût de l'urine envahissait ses sens et vu comme ses derniers avaient été amplifiés au delà de la raison, il vivait l'expérience bien au dessus de ce que les autres pouvaient le sentir. Il remplit l'intégralité de sa cavité buccale avant que son Maître ne se retire Theorem eut ensuite l'ordre de se remettre à quatre pattes, ce qu'il fit et se retrouva juste devant la dragonne. Ishtar filmait la scène à travers son téléphone et caressait sa verge avec envie, commençant une lente masturbation tout en les observant. La bouche remplit d'urine chaude et sa croupe présentée, Theorem sentit finalement le bélier s'enfoncer en lui d'un coup sec, sa laisse le tirant soudainement en arrière pour le cambrer. Les cris étouffés de l'Haiena étaient délicieux à entendre pour la dragonne qui en accéléra sa masturbation au rythme des coups de cravache sur son postérieur. La dragonne prit alors la parole.

"Tu as entendu, mon joli travelo ? Chengzu m'a bien désigné comme son amour ! Nous nous aimons ! Mais ne t'inquiète pas, on continuera de te fourrer et de t'avoir auprès de nous !"

Ishtar leva sa queue bardée de colliers à pics avant de ramasser avec le bandeau de Theorem. Ce bandeau de latex comportant les lettres FAGGOT bien en évidence... Elle ria un peu avant de doucement lui mettre sur le visage alors qu'il retenait l'urine dans sa bouche sous les coups de reins et de cravache de Chengzu. Une fois aveugle, la dragonne tira sur les côtés de son bikini en V, révélant ses superbes seins nus devant le bélier. Elle les caressa devant lui d'une main avant de reprendre sa masturbation avec énergie.

"Haaan, Tu m'aimes mon Chengzu ? Hmmm moi je t'aime ! Je ferais de toi un Prince, un Maître ! Mate-moi, bien au delà de ce que Theorem n'a jamais pu faire et jouissons ensembles ! Je veux juster sur sa petite gueule d'amour pleine de ton eau dorée pendant qu'on se roule une méga pelle !"

La dragonne posa le téléphone de manière à les filmer ensemble alors qu'elle s'installa presque à genoux devant Theorem. Elle lui empoigna les cheveux du travelo pour coller sa tête contre sa verge humide alors qu'elle se pencha en avant pour embrasser Chengzu et lui permettre de palper ses seins pleins de silicones. Tout en se frottant sur la face du Haiena qui luttait pour ne pas crier ou avaler, elle roulait un patin à son bélier, roulant sa langue avec la sienne avant d'accélérer le tempo en sentait Chengzu proche. Ils purent jouir ensembles et Ishtar repeint la tête de son esclave et un peu son dos avant de voir la semence du bélier cercler l'anus du jeune travelo. Dès qu'il se retira, Ishtar prit l'initiative de remettre le plug du soumis, pour que son sperme reste à l'intérieur.

"Hmmm C'était trop bon... Je te laisse finir ta séance avec Theorem, après ça te dirait que je te fasse un petit relooking pour être plus infernois ? Je sais d'avance que tu vas adorer !"

Dit-elle en se reculant, remettant son bikini en place pour cacher ses seins parfait. Theorem resta à quatre pattes, tremblant encore de cet orgasme alors qu'il avait entendu tout ce netorare autour de lui... Chengzu n'était donc plus son amoureux ?

Cette fois, Chengzu était lancé. Plus il passait de temps ici, en compagnie de Theorem et d’Ishtar, et plus, sous le calme apparent du jeune homme, sous sa bonté d’âme, une nouvelle personnalité émergeait. Un Chengzu dominateur, pervers, violent, et même cruel. Et là, sous les yeux d’Ishtar, Chengzu laissait parler ce penchant sombre de sa personnalité, fruit d’années de frustrations et de retenues. Il enculait sèchement et brutalement Theorem, se régalant de voir le corps de Theorem se tendre, tandis que, devant lui, Ishtar s’excitait de plus en plus. En ce moment, Chengzu était assez confus. Il y avait, non pas quelque chose de schizophrénique, mais une sorte de dédoublement de personnalité. Et, quand ses sombres pulsions s’exprimaient, il ressentait une furieuse bouffée d’adrénaline. Sa queue se gonflait dans le cul de Thjeorem, sa gorge s’asséchait. Ishtar s’était redressée, et remit sur la tête de Theorem son bandeau, tout en posant sa queue sur son front, écrasant ses testicules sur son nez et sur ses lèvres, le déstabilisant.

Une belle claque résonna alors sur le cul de l’homme. Theorem couinait doucement, se tortillant sous ses deux maîtres. Chengzu frémit quand Ishtar écarta les pans de son bikini, révélant ses magnifiques seins, et il se pencha vers elle. D’une main, il maintenait la laisse de Theorem, et serra dessus, l’étranglant pendant plusieurs secondes, tout en partageant avec Ishtar un baiser sensuel et gourmand.

« Hmmmm… !! »

Ils s’embrassèrent donc, et la main de Chengzu, celle qui ne tenait pas la laisse, massa l’un des seins. Il pinça le téton de la femme. Que les seins soient siliconés ou non, il ne le sentait pas vraiment, percevant juste une texture douce, se durcissant à hauteur des pointes. Theorem était de son côté délicieusement écrasé par les deux maîtres, qui le dominaient, s’aplatissant sur lui. Les minutes passaient ainsi, tandis que le jeune homme pouvait entendre les bruits spongieux de leurs bouches, des baisers humides et pressés, où leurs langues jouaient ensemble, l’une contre l’autre.

Chengzu aimait tout simplement ça. Il avait le sentiment d’être face à une égale, une femme forte qui allait l’endurcir. Il aurait presque pu devenir son esclave en d’autres circonstances. Quand elle se mit à jouir, il frémit en voyant des jets crémeux éclabousser le visage de Theorem, glissant sur son dos, et tombant même autour de sa queue. Ce contact le fit frémir, et il pinça encore le téton d’Ishtar, mordillant sa lèvre inférieure, puis se concentra. Sa queue se tendit encore, et cracha des filaments de foutre.

« Oh bordel… ! Oui, Ishtar, je t’aime, ma Reine ! » clama-t-il en jouissant, et en giflant sèchement le cul de Theorem.

Il se relâcha dans le fondement de celui-ci, crachant sa semence chaude. Puis, quand il se retira, Ishtar remit rapidement en place un plug anal, comme pour retenir le sperme de l’homme. Le visage de Theorem avait pris une teinte poisseuse, le sperme remontant même dans ses cheveux. Elle proposa ensuite que Chengzu en finisse avec Theorem, et ce dernier regarda pensivement la Dragonne. Il venait de jouir, mais sentait encore en lui cette soif, cette envie de baiser.

« Je dois encore me faire pardonner, Ishtar, pour la manière cavalière dont je me suis comporté tantôt… »

Son imagination s’emballait encore, et il se déplaça devant Theorem.

« Fais le beau, Theorem, ouvre la bouche, montre-moi que tu as suivi les instructions de ton Maître ! »

Ce dernier se redressa, et pencha la tête en arrière. Quand il ouvrit la bouche, Chengzu sourit en voyant son urine, qui flottait encore dans sa bouche.

« Avale bien, Theorem… Tu vas avoir l’occasion de me sucer. »

Il se retourna alors vers Ishtar, et lui attrapa doucement les mains.

« C’est à moi de goûter à ta queue, Ishtar… Je souhaite que tu me sodomises, pendant que Theorem me sucera. De cette manière, je me rachèterai pour l’affront que je t’ai fait tantôt… »

Et, à vrai dire, l’idée de sentir la queue d’Ishtar dans son fondement n’était pas sans l’exciter furieusement…

Theorem avait gardé l'urine de son dominant dans sa bouche depuis le début. Bien sûr, se faire sodomiser aussi fort et s'occuper de la verge de la dragonne contre sa face ne fut pas des plus simples, mais il avait été utilisé comme une chienne alors qu'il se faisait enculer très fort et fesser tout en devant supporter d'entendre Chengzu et Ishtar s'embrasser et s'aimer juste au dessus de lui. Une fois douché du sperme de la dragonne et le cul remplit de celui de son dominant, il fut de nouveau mit à contribution. Il fit le beau, fléchissant les genoux en gardant les jambes écartées et en relevant son buste, levant les bras repliés comme un petit chien alors qu'il recula la tête en arrière pour montrer qu'il avait été un urinoir docile. Son bandeau sur les yeux l'empêchait de voir la dragonne qui tira Chen contre elle avant de l'embrasser furieusement, lui roulant un patin digne de ce nom avant de se retirer en remettant son haut de bikini en place. Ils entendirent nettement la déglutition sonore de la hyène qui avala toute l'eau dorée de son dominant.

"Tu es vierge du fondement mon beau bélier... Tu as vu comme je suis équipé, je ne pourrai que te faire du mal. Ce ne sera pas donc ce soir, mais on ira progressivement jusqu'à ce qu'on puisse le faire. Mon petit Haiena que tu vois là, je lui ai déchiré le postérieur avec ma queue d'entrée de jeu, je voulais qu'il sache sa position. Mais toi... Tu es mon égal, j'irais donc très doucement... Pour l'heure... Theorem, commence le ménage et lave-toi un peu. Je dois m'occuper de Chengzu."

"Bi.. Bien Maîtresse."

Ishtar sortit de la chambre en tenant Chengzu par la main, l'amenant à leur salle de bain. L'endroit était carrelé de noir, et comportait bien sûr le classique toilette marin en métal, un double lavabo mais aussi une baignoire d'angle très luxueuse qu'Ishtar utilisait fort peu, mais aussi une chaise médicale mécanique où la dragonne guida Chengzu avant de l'aider à s'asseoir. Elle déplia une valise segmentée avant de sortir ses différents produits à piercings. Calmement elle installa des gants jetables sur ses actuels gants de latex avant de commencer à badigeonner son sexe d'eau savonneuse puis de bétadine dermique qu'elle appliqua de façon généreuse.

"Ton sexe est magnifique déjà, mais je voulais lui donner un peu de caractère. Laisse-moi te poser deux petites barrettes et finir ton look... Tu pourras toujours les enlever et j'ai plein de produits pour que ce soit sans douleur avec une cicatrisation très rapide... Tu as vu les anneaux de Theo, tu sais que je fais du bon travail... Alors ne bouge pas mon beau..."

Elle prit ses pinces et ses cathéter et commença la pose des anneaux. Elle fit ça très bien, sans que Chengzu ne se plaigne et lui installa deux barrettes sous le sexe en or ainsi qu'un guiche derrière les testicules. Elle déposa un beaume spécial infernois qui cicatriserait ses piercing en quelques jours avant de passer à son look. Doucement elle lui fit un petit maquillage discret avant de tirer doucement sur le ruban bleu autour de sa corne droite.

"Je sais que vous les Hitsuji, vous gardez ça pour symboliser votre ordre social... Mais tu as quitté tes terres, tu es venu ici... Je vais te donner quelque chose digne des Naviento."

//////////////////////////////

Quelques semaines passèrent où Ishtar s'était un peu accaparé Chengzu. Elle le relooka, passait presque ses journées avec lui en déléguant son travail à d'autres. Elle mangeait tous les jours avec lui en se faisant servir par un Theorem en soubrette bâillonné. En effet, Theorem garda une gag ball durant les moments où il fréquentait Ishtar et Chengzu. Malgré la promesse de la dragonne, il ne put dormir dans le lit avec eux pour le moment, mais il pouvait clairement entendre qu'ils faisaient l'amour tous les soirs... Mais ce matin serait différent. Ishtar avait abreuvé Chengzu de livres sur le BDSM, de cours sur comment dominer, sur la psychologie et les rapports de force. Elle lui avait donné des ouvrages anatomiques pour localiser les endroits du corps les plus érogènes ou douloureux avant de considérer Chen prêt et pleinement cicatrisé. Theorem arriva le matin avec le plateau du petit déjeuner au lit, bâillonné, alors que la dragonne replaça bien son haut avant son arrivée.

"C'est bien mon Theo. Tu as été exemplaire durant ces deux longues semaines. Tu as tenu bon. Sache que moi et Chengzu vivons le parfait amour désormais ! Tu vas pouvoir enlever ta gag ball. N'oublis pas que le matin, tu dois t'occuper de nos érections matinales..."

Ishtar se mit assise sur le bord du lit et invita Chengzu à faire de même. Tout deux avaient une belle érection dès le matin et calmement, Theorem déposa le plateau sur la table de chevet avant de se mettre à genoux. Il regarda le sexe du bélier qui avait bien changé... Il avait envie de lui parler, de le tutoyer, de se rapprocher de nouveau... Mais le regard hautain de son maître lui fit comprendre que ce n'était plus d'actualité. Le travelo regarda le piercing au pénis de son homme avant de doucement ouvrir la bouche... Mais Ishtar posa sa main sur le front du soumis pour l'empêcher.

"Hey là... Déjà tu vas nous faire un joli dogeza et implorer Chengzu."

Theorem rougit. Sa relation avec le bélier ne serait plus la même désormais et il le comprit. Doucement il retira sa robe de soubrette, la repliant soigneusement... Il termina en sous-vêtements et retira sa culotte pour la poser sur le tas de vêtements avant de se mettre à genoux, puis de se prosterner, les mains sur son front, complètement offert. La dragonne posa son pieds sur la tête de travelo en souriant perversement avant de se tourner vers Chengzu. Alors qu'on entendit les déclarations de la hyène après deux semaines de silence.

"Merci de me garder auprès de vous, Maîtresse Ishtar et Maître Chengzu... J'implore votre attention et l'intime désir de vous sucer afin que vous puissiez passer une matinée reposante et que je puisse prendre mon petit déjeuner... Pitié... Ca fait deux semaines que je dois sucer des inconnus contre un peu d'argent pour satisfaire mon appétit..."

La dragonne sourit de plus belle en retirant son pieds. Après tout, sauf autorisation de ses dominants, Theorem ne se nourrissait que de semence masculine...

"Montre-moi... Je ne fais que regarder."

Il était temps de voir les capacités de son bélier...

Deux semaines passèrent depuis cette soirée fatidique où la relation entre Chengzu, Ishtar et Theorem avait franchi un point de non-retour. Deux délicieuses semaines où la vie de Chengzu avait également changé. Ishtar ne s’était pas contentée de le relooker, elle l’avait aussi changé. Pendant deux semaines, il n’avait pas touché une seule fois Theorem, et Ishtar lui ordonnait d’aller se détendre dans les quartiers les plus redoutables de Nachtheim, ceux réservés aux dockers ou aux mineurs. Des individus crasseux et hargneux, et il y venait déguiser en prostituée. Il devait rapporter chaque soir une somme importante pour avoir le droit de dormir avec eux… Enfin, de dormir dans leur chambre. S’il n’en rapportait pas assez, Ishtar le punissait férocement, et le faisait passer la nuit dans une vierge de fer adaptée. Cet appareil n’était pas rempli de pointes acérées et tranchantes, mais de pointes en plastique, qui diffusaient des ondes électriques. L’idée était de torturer sexuellement Theorem, mais en lui refusant la délivrance de l’orgasme. De fait, pendant ces deux semaines, Theorem ne put jamais jouir, car à aucun moment ses nouveaux maîtres ne lui rendirent sa clef.

Ishtar veillait sur Chengzu, et il avait fermé son atelier pour congé. Ishtar étant sa principale cliente, ce n’était pas bien grave. Ils firent évidemment férocement l’amour, et Chengzu participa aux réunions d’Ishtar, à sa vie en tant que dirigeante de Nachtheim. Il apprit ainsi que la Princesse de Sylvandell était partie, mais qu’Ishtar recevrait bientôt d’autres personnes importantes, notamment Mélinda Warren, qui était l’une des plus grosses clientes de la colonie, et qui avait aidé à son développement. Elle tenait à ce que Chengzu soit parfait en prévision de cette réunion.

De fait, le look de Chengzu avait connu quelques évolutions significatives :

Il portait désormais autour de ses cornes de bouc deux petits colliers en cuir avec des pointes, marquant son autorité. Chengzu avait troqué son ancien ruban bleu, signe de son clan, au profit de ces deux liens en cuir, qui marquaient désormais son appartenance à Nachtheim, et à Ishtar Naviento,
Autour de son cou, l’homme avait une chaîne en fer avec, au bout, l’unique exemplaire de la clef de la cage de chasteté dorée de Theorem. Ishtar le lui avait remis, et il était donc le seul à pouvoir soulager Theorem, ce qu’il ne faisait pas, même quand leur esclave avait envie d’uriner. Il devait uriner dans sa cage, ce qui ne devait pas être très confortable, et contribuait à sa dégradation morale et physique,
Enfin, il portait autour du doigt une bague. C’était une belle chevalière draconique, qu’Ishtar lui avait récemment glissé, et qui signifiait qu’elle le considérait comme un amant très important… Cette chevalière était l’équivalent d’une bague de fiançailles.

Plus le temps passait, et plus Chengzu aimait Ishtar. Cette facette sombre de sa personnalité s’exprimait pleinement, au gré de leurs conversations, de ses rencontres. Quand Theorem avait la chance de dormir avec eux, il dormait dans une niche à côté du lit, et entendait ses maîtres forniquer toute la nuit, y compris en compagnie d’invités. Theorem passa ainsi deux semaines d’humiliation, ne pouvant retirer son gag ball que pour sucer des queues sales et crasseuses. C’était humiliant et dégradant, et Chengzu, lui, apprenait l’art du bondage.

Après ces deux semaines, Chengzu se retrouva ainsi devant Theorem, en position de soumis, implorant ses maîtres de pouvoir les sucer. Ishtar était allongée dans le lit, observant son amant. Chengzu observa Theorem silencieusement. Le regard doucereux de l’homme, bienveillant, avait disparu. Il était plus dur, plus ferme, et il releva sa main gantée, avant de retirer le gant.

« Je voulais te montrer ceci, Theorem… Tu vois cette chevalière ? Ishtar me l’a offerte récemment. Tu comprends son importance, n’est-ce pas ? La manière dont nous faisons l’amour, dont nous communiquons, elle et moi… C’est particulièrement intense. Et, alors que tu as la chance de passer chaque nuit en notre compagnie, tu oses encore te plaindre ? »

Sa voix était forte, dure. Il remit le gant en place, et attrapa les cheveux de Theorem, les empoignant durement.

« Ishtar me forme depuis deux semaines, Theorem… Pour t’éduquer, pour te briser, pour t’humilier. Je compte bien mettre cela à application. Suce ma queue, petite pédale. »

Alors que Theorem se rapprochait, et que le membre de Chengzu disparut dans sa bouche, la deuxième main de Chengzu se serra sur ses cheveux. Il pivota, de manière à faire face à Ishtar, et recula alors son bassin, puis fonça en avant, donnant un douloureux coup de reins. Theorem se mit à couiner, et Chengzu accéléra encore, venant, non pas lui laisser l’occasion de le sucer, mais le baisant au contraire. Il grognait sur place, enfournant sa bite dans sa bouche, tapant contre sa gorge, lui baisant la bouche avec une force de plus en plus croissante.

« Là, là… Suce bien, petit merdeux… Hmmm… Goûte à ma queue, savoure-là !! »

Est-ce que tout cela plairait à Chengzu ? Tout ce qu’il avait envie, outre baiser la bouche de Theorem, c’était de retourner lui faire l’amour, de se perdre contre son corps voluptueux et massif…

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