The Multiversity

Val'nadi aimait bien Streeaka, si aux yeux de son peuple, elle pouvait avoir l'air faible sur certains points, pour elle, elle était plus « humaine », non pas sur le point de vue de race, mais il était normal de se montrer plus tendre selon certaines situations. La douceur de cette femme était agréable, Val'nadi savait que chaque jour qui passait rendait impossible le retour de sa véritable mère. Elle ne serait pas contre la retrouver, bien évidemment, mais elle était aussi réaliste. C'est pourquoi voir la Drow jouer ce rôle lui faisait aussi un peu de bien, elle ne pouvait la voir comme sa vraie mère, mais elle aimait l'attention qu'elle lui portait.

Allongée sur ce petit morceau de terre, sentant l'herbe dans son dos, une sensation qu'elle n'avait pas ressentie depuis bien longtemps. De voir le ciel en haut, le vraie ciel, tout cela était si agréable pour elle, peut-être presque autant que ce que lui faisait ressentir sa mère. C'est vrai que cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas remis les pieds à la surface après tout. Sa mère Drow s'enfonçait doucement en elle, doublement même, ce quii la faisait gémir plus que d'habitude tandis qu'elle se penchait sur elle, sa main sur la gorge. Ce n'est pas ce qu'elle préférait mais la Drow n'allait jamais plus loin, heureusement. En terme général, Val'nadi n'était pas très portée sur la douleur, elle l'acceptait mais à petite dose. Elle se demandait toujours si ce n'était pas une stratégie de Streeaka pour mieux la câliner ensuite en se faisant pardonner ? Peut-être ? Ou alors Val'nadi y voyait juste cette possibilité ? En tout cas, elle s'attaquait ensuite à l'un de ses petits tétons, se penchant plus sur elle encore, l'écrasant tendrement.

« Hmmmmm haaaaaaaaan ouiiiiiiii~ J'aime sentir ton amour, Maman ! »

Sortant ses jambes de l'eau, elle les enroulait autour de sa taille, sentant mieux encore ses verges s'enfoncer entre ses cuisses et ses fesses. En haut aussi, elle levait ses bras, les passant autour de sa mère pour la câliner et l'embrasser plus facilement pendant qu'elle lui faisait l'amour. Tout ce mélange était si agréable, elle en profitait dignement, se demandant ce qui pourrait bien l'attendre par la suite ? Elle se doutait que sa « tante » n'allait pas simplement rester de côté tout le long du séjour mais pour le moment, elle n'avait que sa mère à sustenter et c'était déjà pas mal.

« Huuuum Mamaaaaaan~ Q-quand tu m'auras r-remplis... haaaan, tu, tu voudras bien... ha, m'arroser aussi ? »

Elle ne parlait pas de douche dorée, même si cela était déjà arrivée, elle parlait de bukkake, voir juste de se faire jouir dessus, pas forcément sur le visage. Elle aimait la sensation chaude et collante du foutre sur elle, surtout sur certaines parties de son corps. Après, ça dépendait de ses envies aussi.

Streeaka éduquait Val’nadi. En bonne mère de substitution, elle l’initiait au sexe, et, chez les Drows, il y avait des gradations dans le sexe. Le sadomasochisme était la manière naturelle de faire l’amour chez les Drows, l’un des enseignements de la Déesse Lolth. Val’nadi venait toutefois d’une autre civilisation, et avait incorporé en elle les réflexes des autres elfes. Il fallait donc l’initier progressivement, qu’elle admette la sainte alchimie entre douleur et bonheur. La douleur, c’était le signe que le corps était vivant, qu’il réagissait. La douleur en tant que telle n’était pas la bienvenue, car elle était un signal d’alerte, le signe que l’organisme subissait quelque chose qu’il n’appréciait pas. Mais, dans le cadre d’un rapport sexuel, les choses s’inversaient. La douleur, c’était aussi ce qui vous stimulait, ce qui réveillait le corps. La douleur était donc une composante nécessaire pour stimuler l’organisme, et, quand elle se couplait au plaisir, alors on était dans le sexe. Cela, Streeaka l’avait enseigné à toutes ses filles en leur faisant l’amour. Elle veillait à leur bonheur, et, au vu des standards des Drows, on aurait pu la qualifier de « maman-poule ».

Contre Val’nadi, elle enfonçait donc ses deux verges en elle. La douleur de l’elfette était noyée dans le plaisir. Comme toute chose en ce monde, le rapport sexuel était un équilibre à trouver, un équilibre subtil entre la douleur et le plaisir. Cet équilibre, Streeaka l’instaurait chez Val’nadi, tout en la pénétrant vigoureusement.

« Oh, tu es si bonne, ma chérie, hmmm… M’enfoncer en toi, c’est… C’est si agréable, haaaanh… !! »

Val’nadi avait un vœu, un souhait, celui que sa Maman l’inonde de sperme ensuite. Avec la magie, il était tout à fait possible d’accroître la quantité de sperme.

« Han, ma chérie… Maman va te remplir d’amour… Hmmm… Aussi bien dedans que… Hmmm… Dehors… ! »

Avec Streeaka, il suffisait de demander, et on était exaucée ! Elle se redressa, pour la prendre en étant debout, ses deux verges coulissant en elle. Streeaka continuait à la bourrer, y allant vite, accroissant progressivement le rythme au fur et à mesure que les parois internes de Val’nadi se dilataient, et facilitaient ainsi l’insertion de ses membres.

« M-Mais tu connais la règle, ma belle petite perverse… S-Si tu veux que Maman jouisse en toi, t-tu dois… Haaa… Tu dois d’abord jouir ! »

Baisée sur de l'herbe verte, sous le ciel bleu, les pieds en partie immergés dans l'eau, cela faisait bien longtemps qu'elle ne s'était pas senti aussi bien, même sans compter le sexe. Mais pour le coup, cela était un petit plus pour elle. Sa mère Drow la prenait doublement en l'inondant de plaisir, mais elle avait hâte que cela soit physiquement le cas, Streeaka ne la faisait pas spécialement languir, elle la couvrait de douceur, la pinçant parfois ici et là, mais cela restait encore très doux. Elle savait bien que le côté « douleur » pouvait être bien plus élevé que ça. Pour le moment, elle profitait joyeusement de tout cela, couverte d'amour, sur ça, elle ne pouvait pas mentir. Autant, elle se méfiait à son arrivée, autant elle lui faisait confiance maintenant, la Drow ne lui voulait aucun mal, à elle et ses petites sœurs. Val'nadi n'avait jamais découvert la moindre trace qui justifierait ce confort pour une quelconque action de sa part, dans le mauvais sens. Il faut croire qu'elle a eu de la chance de tomber sur une des rares Drows les plus douces qu'elle ai pu rencontrer dans sa vie.

La petite elfe remuait doucement, plus que d'habitude, mais la sensation de l'herbe après tout ce temps, ça la détendait, c'était si agréable ! Si sa mère voulait bien lui offrir ce qu'elle attendait, il fallait quand même suivre les règles ici. Le bas du corps un peu surélevé, empalée doublement sur elle, l'une de ses mains glissa entre ses cuisses, elle se titillait le petit bonbon en observant Streeaka qui lui faisait l'amour.

« Huuuum, c'est ça que Maman attend ? Hum, que je me touche en te han, regardant ? Vas-y, Maman... Continue de me faire l'amour comme ça... Han, oui... Mmmmmmh, ça approche... Han, oui, encore... Encore Maman, vas y, j-je JOUIIIIIIIIIIIS !!!!! »

Sa petite voix se fit entendre sous ce ciel bleu, elle se cambra sur l'herbe, remuant alors que son nectar d'amour coula autour de sa la queue supérieure de sa mère, aspergeant aussi le bas de son ventre, arrivant jusqu'au nombril environ. C'était si libérateur... Mais il y avait autre chose qui approchait, qui allait l'emmener au septième ciel, à peine redescendu, comme si elle faisait du trampoline.

La forêt, la nature sylvestre… Streeaka ne pouvait nier que cela avait un certain charme. Pour elle, cela venait sans doute du fait que Streeaka se rappelait encore de sa jeunesse, il y a des millénaires, de la première fois qu’elle avait vu la Tour d’Ivoire, qu’elle avait foulé le sable avec ses pieds, couru le long des roses rouges de Can-‘Ka No Rey… Elle s’était habituée à vivre à l’Outreterre, mais elle ne niait pas l’attrait du soleil sur son corps, les douces odeurs de la forêt, de l’eau… Val’nadi ressentait aussi tout cela. Oh, Streeaka l’avait rendu addict au sexe, mais elle voyait un véritable soulagement chez elle. Oui, sa Val’nadi revivait en revoyant la nature de la surface. Elle souriait, une lueur joyeuse et mutine dans les yeux, se masturbant tout en sentant les verges de sa Mamane n elle. Son corps s’était surélevé, ce qui faisait que la tête de Val’nadi heurtait le sol.

« Hmmm… M-Ma douce Val’nadi est devenue si perverse, haaa… Il faut croire que la vue du soleil te rend encore plus perverse qu’avant, mon beau bébé ! »

Streeaka s’en amusait, mais elle ne comptait pas accélérer les choses. Au contraire, il semblait plus judicieux de faire durer le plaisir, que Val’nadi savoure ses retrouvailles avec son environnement ! Sa belle se mit donc à jouir, et Streeaka sourit encore. Sans laisser le temps à Val’nadi de se reposer, la Matriarche la retourna, et la redressa. Elle empoigna les cheveux de Val’nadi, et tira dessus pour la redresser, et qu’elle se mette à quatre pattes, les jambes et les mains dans la terre. Streeaka la prit alors en levrette, reprenant ses coups de reins avec force. Sa main se releva, et s’abattit pour claquer les délicieuses fesses de Val’nadi. Une bonne claque qui résonna autour d’elles, tandis que les deux verges accéléraient progressivement, gagnant en intensité et en profondeur.

La Matriarche grognait et soupirait, faisant claquer ses bourses contre le corps de Val’nadi, donnant des coups de plus en plus prononcés, au point que Val’nadi finit par perdre son équilibre. Sa tête bascula en avant, ce qui la fit se cambrer. Elle finit la tête dans le gazon, et Streeaka se redressa à nouveau, puis déplaça sa jambe. Elle opta pour une posture plus soutenue en posant son pied sur le visage de Val’nadi, et en continuant à la bourrer avec force, douleur et plaisir se mélangeant pour un cocktail explosif et délicieusement aliénant.

« Régale Maman de tes jurons, ma chérie ! Dis à Maman combien tu l’aimes, et à quel point tu aimes quand elle te baise comme une salope ! »

Valn’adi n’était pas forcément portée sur les jurons, mais, dans le contexte actuel, Streeaka était curieuse de voir si elle allait vraiment se lâcher…