Re: Des Monstres et des Androgynes [Camille Marquise]
Posté : 22 sept. 2024 13:02
Camille ne pourrait pas tenir longtemps, pas contre une femme comme elle. Elle était après tout mi-humaine et mi-monstre, dans le bon côté du terme. Son côté monstrueux ne l’enlaidissait pas, au contraire, mais lui donnait un côté beaucoup plus sensuel, bestial, et sauvage. Elle avait déployé tous ses talents, titillant en Camille son esprit préhistorique, ses pulsions reptiliennes. Tout être humain standard avait aussi en lui ce côté monstrueux, ancestral, cette sauvagerie primitive qui s’exprimait à travers le désir sexuel. Camille ne pouvait pas vraiment lutter contre ça, et cela le fit donc jouir.
Avec délectation, Shaïra le sentit s’abandonner en elle, déversant sa chaude semence dans de léger s soupirs. Il s’affaissa ensuite, et Shaïra reprit peu à peu sa forme humaine. Elle lui sourit quand il indiqua être désolé. Shaïra avait conservé son serpent, qui glissa sur elle, et nota le regard curieux de Camille vers lui.
« C’est l’un de mes enfants… Je les ponds quand je suis sous ma forme totalement reptilienne. Rassure-toi, notre enfant sera un hybride. »
Elle pouvait sentir le mélange de gêne et de fascination dans ses yeux. Sa gêne par rapport à son orgasme, sa fascination par rapport à la nature si particulière, si exquise, de Shaïra. Cela l’amusait. La Lamia echidna se pencha sur lui, et l’embrassa alors sur le front.
« Cesse d’être désolé tout le temps, tu n’as pas à l’être. Si tu jouis si vite, c’est parce que je t’excite trop. Donc, si tu es désolé, c’est que c’est de ma faute, et c’est à moi de me sentir coupable. Tu ne voudrais tout de même pas que ta Maîtresse se sente coupable, n’est-ce pas ? »
Shaïra s’amusait, tout simplement. Elle venait de jouer avec lui, et lécha sa joue.
« Quand tu sortiras de l’hôpital, je te laisserai une lettre sous ton oreiller, avec une adresse. C’est là que tu me retrouveras, Camille… Soit tu continueras ta vie normale, soit tu me rejoindras, et tu renonceras à cette vie. Ne prends pas cela à la légère, mon chéri. Tu devras faire un choix, et tu ne pourras pas revenir dessus. »
Avec délectation, Shaïra le sentit s’abandonner en elle, déversant sa chaude semence dans de léger s soupirs. Il s’affaissa ensuite, et Shaïra reprit peu à peu sa forme humaine. Elle lui sourit quand il indiqua être désolé. Shaïra avait conservé son serpent, qui glissa sur elle, et nota le regard curieux de Camille vers lui.
« C’est l’un de mes enfants… Je les ponds quand je suis sous ma forme totalement reptilienne. Rassure-toi, notre enfant sera un hybride. »
Elle pouvait sentir le mélange de gêne et de fascination dans ses yeux. Sa gêne par rapport à son orgasme, sa fascination par rapport à la nature si particulière, si exquise, de Shaïra. Cela l’amusait. La Lamia echidna se pencha sur lui, et l’embrassa alors sur le front.
« Cesse d’être désolé tout le temps, tu n’as pas à l’être. Si tu jouis si vite, c’est parce que je t’excite trop. Donc, si tu es désolé, c’est que c’est de ma faute, et c’est à moi de me sentir coupable. Tu ne voudrais tout de même pas que ta Maîtresse se sente coupable, n’est-ce pas ? »
Shaïra s’amusait, tout simplement. Elle venait de jouer avec lui, et lécha sa joue.
« Quand tu sortiras de l’hôpital, je te laisserai une lettre sous ton oreiller, avec une adresse. C’est là que tu me retrouveras, Camille… Soit tu continueras ta vie normale, soit tu me rejoindras, et tu renonceras à cette vie. Ne prends pas cela à la légère, mon chéri. Tu devras faire un choix, et tu ne pourras pas revenir dessus. »
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