The Multiversity

Pour Fallah, c'était simple, elle devait rattraper sa boulette et pour ça, elle devait faire grimper sa princesse aux rideaux ! Elle continuait de la prendre, bandant ses muscles autant que sa queue, elle la besognait sans vergogne dans le seul but de la faire grimper au septième ciel ! Fallah ne prétendait pas être le meilleur coup de tout Papua, elle a passé plus de temps à apprendre à se défendre et à protéger le prince que de savoir satisfaire les besoins d'un homme ou d'une femme, mais ce soir, elle devait faire mieux que la plus grande courtisane du harem royal. Elle devait la surpasser pour pouvoir laver son honneur et se faire pardonner. La princesse en prenait pour son grade alors que leurs corps se frottaient l'un contre l'autre, mêlant passion, plaisir, sueur, bref, elles ne faisaient qu'une alors qu'elle la bourrait contre le mur. Ses jambes enroulées à sa taille alors que les baisers de Fallah se faisaient de plus en plus langoureux et long. Parfois mordant. Elle continuait, bien décidé à tenir le plus longtemps possible avec elle, quitte à la faire jouir plusieur fois avant elle s'il le fallait, mais les deux jeunes femmes étaient liée par le plaisir et l'orgasme de Fallah enclenchait celui de la princesse qui cria son plaisir pendant que Fallah en faisait de même, la tête blotite dans le cou de la princesse qui reprenait doucement son souffle. De même pour Rhian qui continuait de tenir Rhian par les fesses par la même occasion.

« Mmmmh, merci... ma princesse... Vu comment tu sembles épuisé, je serais tenté de te prendre, huf, par le cul en douceur pour te ménager. »

Cela n'était qu'une petite provocation faite pour lui redonner un second souffle. Elle la déposait doucement en ôtant ses mains, mais en la gardant contre elle, la coinçant contre le mur pour un baiser plus doux alors qu'elle caressait son corps déjà bien huilé.

« Il faut que je tienne ma promesse après tout, non ? Je t'ai rempli ta petite chatte, mais ton cul m'a l'air bien jaloux d'être laissé dans son coin. »

Le visage légèrement penché vers elle – Fallah étant légèrement plus grande qu'elle – elle y frottait le bout de son nez contre le sien, pendant que ses mains continuaient de parcourir le corps de sa petite princesse. Fallah venait même se mettre à genoux, baisant délicatement ses lèvres, mais aussi son cou, sa poitrine, son nombril et enfin, son intimité toute chaude et bien remplis. Ses lèvres se faisaient douces sur le petit bonbon de Rhian pendant que ses mains avaient trouvé son délicat petit cul qui risquait bientôt de subir à son tour un assaut furieux de la part de Fallah.

« Tu te souviens, de notre première fois ? J'ai parcouru ton corps de long en large avec mes lèvres. J'ai presque autant embrassé ta petite chatte que tes lèvres ce soir-là, huhu... J'avais adoré entendre pour la première fois tes couinements de plaisir quand nos lèvres se frottaient et te voir étendue sur le lit, couvert de cyprine. Je crois que rien ne pourra effacer cette image de mon esprit. »

Cela remontait déjà à quelques années, quand Rhian découvrait son corps et que Fallah avait eu une soirée de libre, où elle a pu passer une partie de la nuit avec la princesse. Elle n'était pas aussi instruite à l'école que les femmes du harem, mais Fallah avait déjà eut quelques rapports avec le prince et d'autres femmes donc elle a pu donner de son savoir à la douce princesse. Recommencer cette même nuit serait plus compliqué vu la queue qui se tendait de Fallah. Mais qui sait, un autre soir. La jeune femme se redressa, une caresse sur son visage en lui volant un nouveau baiser.

« Tu auras beau avoir tous les titres du monde et monter sur tes grands chevaux, tu resteras ma petite Rhian à moi. »

Princesse ou reine, nul différence pour Fallah qui avait vu grandir Rhian, partageant parfois leur croissance ensemble pour enfin devenir deux femmes. Aux caractères bien similaires dans un sens et pourtant si opposée.

Elles s’unissaient ensemble, avec appétit et force. Fallah était, comme à son habitude, très endurante. Une femme passionnelle, forte, musclée, qui la besognait avec puissance. C’était là tout ce que Rhian demandait, tout ce qu’elle souhaitait ! Elle sentait le corps de Fallah s’écraser contre le sien, la coinçant contre le mur. Les jambes de Rhian venaient s’enrouler fermement autour de la taille de Fallah, se serrant à hauteur de son bassin. Elle appuyait fortement dessus, empêchant Fallah de se retirer, l’embrassant longuement. Elle savourait ce moment, tout simplement. Ce moment délicieux, onctueux, intense, où la chair claquait contre la chair sans relâche.

« Hmmm… Haaaa… »

Dieu, que c’était bon ! Sentir Fallah la prendre ainsi, avec un appétit féroce, puissant… Elle crispa ses doigts sur sa nuque, et se mit à jouir, sentant le plaisir l’envahir avec délice. Elle s’abandonna contre le corps de Fallah, qui se relâcha également en elle. Sa puissante garde du corps s’abandonna avec appétit à ce plaisir immense, une vague jouissive qui les traversa toutes les deux. Rhian soupira longuement en fermant les yeux, et se sentit partir, au fur et à mesure que la vague l’envahissait et la remplissait. Elle se calma ensuite progressivement, reprenant peu à peu ses esprits, et rouvrit lentement les yeux.

Libérant Fallah, Rhian posa ses pieds sur le sol, et resta accolée à Fallah, qui l’embrassa doucement. Battant le chaud et le froid, la douceur et la violence, Fallah embrassa ensuite le reste du corps bouillonnant de Rhian, jusqu’à s’agenouiller devant sa fleur. Rhian resta silencieuse en la laissant faire, et déplaça ses mains pour empoigner doucement les cheveux de Fallah, avant de soupirer quand ses lèvres s’attaquèrent à sa fleur. Elle frémit en se mordillant les lèvres, consciente que sa chatte était déjà bien remplie de leurs jus intimes, et frissonna encore quand les tendres et fermes mains de Fallah se posèrent sur ses fesses, pressant doucement et fermement son cul.

« Haaaa… Fa-Fallah… »

Soupirant doucement, Rhian se tortillait sur place, reprenant lentement ses esprits. Fallah lui demanda si elle se rappelait de leur première fois, ce qui ne manqua pas d’amener un doux sourire sur les lèvres de l’intéressée.

« Évidemment que je m’en souviens… Tu m’impressionnais tellement, toi qui es si proche de mon frère… Et, comme maintenant, j’avais envie de te sentir contre moi, de sentir ton corps chaud et musclé m’écraser, de te sentir me prendre avec énergie… »

Les deux femmes n’avaient, depuis lors, jamais cessé de se rapprocher, à tel point que Fallah semblait désormais être autant aux services d’Herebos que de Rhian, même si la relation qu’elle entretenait avec chacun des deux était différente. Fallah jouait avec l’intimité de Rhian, tout en lui rappelant ensuite qu’elle resterait à jamais sa « petite Rhian ». La Princesse gloussa doucement en baissant la tête, s’appuyant brièvement contre le mur.

« Et toi, hum… Tu seras toujours bien plus qu’une simple garde du corps à mes yeux, Fallah… Bien plus. »

Fallah se sentait libéré d'un certain poids, il en faudra bien plus pour la vaincre, mais pour le coup, elle se sentait plus légère en profitant d'un petit moment de douceur en compagnie de la princesse. Elle était certes le genre de femme qui aimait montrer sa force sous bien des angles, mais elle aimait aussi faire preuve de douceur. Après tout, si elle n'aimait pas ça, leur première fois aurait été bien différent. Face à sa petite fleur, elle l'embrassait doucement sans oublier que la suite allait l'amener à passer par-derrière, mais pour le moment, inutile de se presser. Rhian profitait de cette position pour la caresser doucement, se remémorant leurs souvenirs communs. C'est sûr que Fallah était une sacrée femme, même dans la vie de la princesse. Ce n'était pas la petite amie d'Hérébos, une amante parmi tant d'autres, mais plus une amie. Elle a grandit avec lui, elle s'est entraînée avec lui, sa vie ne servait qu'à être son épée et son bouclier. Tuant ses ennemis, sacrifiant sa vie si besoin. Les Amari ont toujours vécu de la sorte auprès des Thoris. Avec Rhian, elle n'avait jamais eu la mission de la servir directement, même si d'une certaine logique, les ordres les plus importants venait des parents, puis du prince et enfin de la princesse. Mais si aucune des trois personnes, au-dessus, n'avait de mission à lui confier, elle était libre d'agir comme elle l'entendait.

Quel était la place de Fallah auprès de Rhian ? Juste une garde du corps ? Une amie ? Une grande sœur ? Peut-être un peu tout ça et peut-être un peu plus aussi. Fallah ne se préoccupait pas des relations amoureuses pour le moment, elle savait qu'elle devait songer à avoir un bébé pour continuer à faire en sorte que la prochaine génération d'Amari protège les Thoris mais logiquement, elle ne pensera pas à se trouver quelqu'un avant que le prince n'ait une femme à ses côtés. Après tout, elle avait quelques mois de différence avec lui pour cette raison. Sa mère s'était retirée sur ordre du roi pour qu'elle puisse, de son côté, trouver un homme et avoir un enfant, qui grandira auprès du prince. Garçon ou fille, peu importe. Fallah se redressa après la phrase de Rhian, son corps glissait contre le sien, levant son menton pour baiser ses lèvres avec douceur.

« Ma petite Rhian... »

Ses mains caressaient les courbes de la princesse, se penchant pour sur elle, venant la soulever, une main derrière les genoux, et son dos, porté comme la princesse qu'elle était. Elle la menait doucement vers le lit, ne quittant pas son regard en la déposant délicatement dessus avant de la surplomber en se mettant à quatre pattes.

« Alors, souhaites-tu que je sois plus douce pour la suite, ou non ? »

Elle lui avait proposé de se montrer plus douce, mais après tout, bien qu'elle n'obéissait pas forcément aux ordres ce soir, elle pouvait la laisser décider pour ça. Son visage près du siens, elle le caressait d'une main, gardant un sourire doux adresser à Rhian. Après tout, elles n'étaient pas forcées d'y retourner de suite, Fallah n'était pas contre l'idée de prolonger cet instant câlin, c'était agréable. Les nuits de Papua étaient froides et ce genre de petites choses était toujours le bienvenu pour se réchauffer même si oui, le sexe était un meilleur remède. Mais il faut savoir varier les plaisirs.

Rhian et Fallah venaient de faire joyeusement l'amour. Après un début de soirée compliqué, Fallah avait finalement réussi à convaincre Rhian de se laisser faire, et de ne pas chercher à sortir. Pour ça, la garde du corps avait dû y mettre du sien, et on pouvait donc raisonnablement croire que Rhian était désormais calmée. Mais Fallah était bien placée pour savoir que la tumultueuse Princesse de Papua ne se laissait pas dominer aussi facilement. Elle se déplaça donc, et posa respectueusement Rhian sur le lit, tout en se dressant au-dessus d'elle. Rhian se coucha au milieu du lit, et remonta sa main pour caresser le visage de Fallah, lui souriant quand celle-ci lui demanda si elle voulait qu'elle soit plus douce ou non. Le doigt de Rhian glissa sur les lèvres de Fallah, et elle appuya dessus, fourrant son doigt entre ses tendres lèvres.

« Et bien... Je ne sais pas trop... Mais la nuit est encore loin d'être terminée, et, si tu relâches l'attention, tu sais très bien que je vais sortir... »

Ou peut-être pas ? Mais maintenir le suspens était tout de même plus amusant pour Rhian. Elle se pinça donc les lèvres, et posa ses doigts sur la nuque de Fallah, puis l'embrassa tendrement. Elle serra son corps contre le sien, et releva lentement ses jambes, venant les frotter contre ses cuisses. Rhian était une femme très gourmande, et elle n'allait sûrement pas se contenter de cette première semaine. Elle sentait de plus que Fallah avait encore du répondant, mais sa verge avait tout de même perdu de sa superbe. C'était compréhensible, car elle venait après tout de jouir en elle.

Constatant cela, Rhian soupira doucement, et croisa son regard avec celui de Fallah, rompant ensuite le baiser. Son autre main se posa sur la nuque de Fallah, et elle lui sourit ensuite.

« Et puis, ta queue a bien diminué... Je crois qu'elle aurait bien besoin de sentir mes lèvres, non ? Je suis sûre que je peux lui susurrer avec ma langue des paroles magiques pour qu'elle se mette au garde-à-vous bien comme il faut... »

C'était une allusion qui n'avait pas grand-chose de subtil, mais il suffisait de voir les yeux encore très vivaces de Rhian pour comprendre que celle-ci n'en avait pas encore fini avec sa partenaire... Et même loin de là !

Fallah veillait sur sa princesse, c'était sa mission nocturne, peu importe ce qui se passait, elle devait la garder dans cette chambre et si pour ça, elle devait la garder tout contre elle, alors ce serait avec plaisir ! La jeune femme venait de lui remplir un de ses deux orifices, elle devait encore faire le second, mais elle se demandait si elle devait y aller avec la même énergie ou de façon plus douce ? Elle pouvait bien lui faire cette petite fleur. Rhian était d'humeur très câline, venant l'embrasser tendrement en laissant ses mains la caresser. Surplombant cette dernière, son corps se pressait délicatement contre le sien pour répondre à ce baiser avec autant de tendresse. Elle avait beau être dominante et ne pas céder aux caprices de la princesse, elle savait aussi se montrer douce pour elle, elle méritait bien cela, elle était comme sa petite sœur pour elle alors, celui ou celle qui fera du mal à Rhian aura affaire avec elle !

« Ne compte pas là-dessus, même si je m'endors avant toi, je te garderais bien contre moi et crois-moi, tu n'auras pas assez de force pour te retirer de ce câlin. »

Il n'était pas question d'échouer à sa mission après tout alors Fallah allait tout faire pour garder la princesse à ses côtés, très près de son corps. C'était son devoir après tout. Même si Rhian venait à vouloir lui offrir un massage buccal sur sa queue pour la remettre en forme, elle n'allait pas refuser cela. Fallah étirait son sourire, rapprochant à nouveau son visage du sien, mais pas pour l'embrasser, elle frotta le bout de son nez sur le sien.

« Soit, montre-moi tes talents, ma princesse. Ma queue est tout à toi. »

Fallah tombait sur le côté du lit, près de Rhian, se mettant sur le dos, mais pas complètement, car elle était encore tournée vers elle, embrassant fougueusement sa princesse en gardant une main sur sa nuque, la seconde dans son dos.

« Je ne doute pas de ton talent, mais je suis sûre que même sans poser tes lèvres sur ma queue, t'entendre être vulgaire suffirait à me foutre la gaule ! »

Enfin, elle n'allait pas être contre une fellation royale. Elle rompait le baiser, lui laissant ainsi toute la liberté pour remettre sa queue au garde-à-vous, seule face à son colosse ou bien en soixante-neuf, elle lui laissait le choix. Le principal étant qu'elle soit de nouveau prête à la pénétrer.

Souriant doucement, Rhian continuait à s'amuser avec Fallah. Elle n'envisageait désormais plus sérieusement de fausser compagnie à sa geôlière. Elle ignorait de quoi Herebos pouvait bien discuter, mais ce n'était pas très grave. Ce ne serait ni la première fois ni la dernière que son père la tiendrait à l'écart de ce genre de choses, et elle savait qu'elle pourrait ensuite faire parler son frère. Alors, à défaut de pouvoir satisfaire ses pulsions royales, elle pouvait à tout le moins satisfaire ses pulsions purement corporelles.

Observant la verge de Fallah quand celle-ci se coucha sur le dos, elle sourit ensuite doucement quand celle-ci lui rappelait qu'elle aimait la vulgarité de Rhian.

« Moi, vulgaire ? Une Princesse n'est jamais vulgaire, Fallah... Elle emploie juste les mots qui conviennent à la situation donnée. »

Rhian se mit entre les jambes de Fallah, et renifla son sexe. Elle sourit alors, et caressa la verge avec sa main, puis donna un baiser dessus, avant de commencer à la lécher.

« D'un autre côté, hmmm... Cette belle queue stimule chez moi des envies fort peu princières ou recommandées par le protocole... Comme celle de se faire baiser comme une chienne par ta grosse queue... »

Tout en parlant, elle continuait à s'attaquer à cette verge, la léchant et l'embrassant régulièrement, la couvrant de doucereuses attentions.  Rhian savait y faire, et elle prenait tout son temps, sentant peu à peu ce vit se durcir, prenant une forme plus érectile, plus dure, plus raide. Un spectacle très agréable, qui amena petit à petit Rhian à remonter la bouche. Au fur et à mesure qu'elle sentait la verge de Fallah se durcir, et qu'elle entendait celle-ci gémir, elle commença par sucer pleinement cette verge.

Ce faisant, Rhian ne pouvait plus savourer les oreilles de Fallah avec ses jurons ou ses propos grossiers, mais elle compensait cela par une bonne succion, relevant les yeux pour voir la manière dont Fallah réagissait à ce qu'elle faisait. Et, visiblement, la scène était loin de lui déplaire ! Rhian continua donc à la pomper, s'enfonçant sur sa queue, plus profondément, continuant à doucement soupirer de plaisir.

La joie de sentir la verge de Fallah se durcir, de sentir la belle Papuanne reprendre son hardiesse, c'était... Exquis !

Fallah profitait de la situation ? Pas du tout, elle a toujours été assez taquine avec Rhian, certes, plus jeunes, le sexe n'avait pas sa place et c'était plus bon enfant et dans un sens, plus proche, car la jeune femme était plus douce, mais toujours aussi protectrice. Mais maintenant, à part en présence du roi, de la reine, parfois du prince, elle n'était pas comme les autres personnes du palais à plier le genou devant elle, elle venait vers elle, au contraire, lui prouvant qu'elle n'avait pas peur, bien qu'elle la respectait. Rhian n'était pas sa chose, c'était une amie, une petite sœur, sa princesse, son amante favorite en un sens, mais pas un vulgaire objet, malgré ce qu'elle pourrait dire dans le feu de l'action. Allongée sur le lit, elle attendait donc que sa princesse vienne s'occuper de sa queue, tout en se montrant vulgaire, à chacun son petit point faible après tout. Même si la princesse jouait justement cette carte en se disant non-vulgaire, elle se trouvait entre ses cuisses, trouvant par elle-même une solution pour satisfaire les oreilles de Fallah.

« Vas-y ma princesse... Excites-moi pour que je baise comme une petite chienne. »

La princesse commençait à la masturber et à déposer bien des baisers sur sa queue qui se dressait doucement de plus en plus. Elle lui caressait le visage en douceur en la regardant, installée entre ses cuisses. Cette petite princesse était bien éduquée et savait ce qu'elle faisait, Fallah ne pouvait que soupirer et gémir doucement devant une fellation royale. Le bout de ses doigts passait sur son visage, parfois ses cheveux, mais elle faisait en sorte de ne pas trop la gêner en tout cas. De ce fait, elle ne disait pas de vulgarité, mais rien que les bruits que faisait sa bouche, ça suffisait à être suffisant pour Rhian.

« Ooooooh, ma petite princesse... Combien de bite, tu as sucé pour me pomper divinement ? »

Une question qui n'attendait pas forcément de réponse. Après tout, Fallah était un peu jalouse, c'est vrai, en ce qui concernait les petites escapades de Rhian. Elle ne cherchait pas à faire d'elle sa petite amie – quoi que ? – ou la privé de s'amuser, mais il est vrai qu'elle était assez possessive avec elle. Le syndrome de la grande sœur possessif peut-être ? Mais pour en revenir à ce qui se passait, elle caressait son corps de rêve avec le dos de son pied, passant sur ses hanches, parfois un peu ses petites fesses rondes, en tout cas, elle avait la peau douce, peu importe où elle passait sa main, son pied. L’érection bien tendue, elle laissait sa princesse en profiter, retenant quand même une certaine envie, mais bon... c'était Rhian, alors malgré qu'elle dominait, elle lui laissait un peu de liberté.

« Mmmmh... je me tâte... Est-ce que je te prive de ma belle bite ? Ta l'air de bien l'aimer ? Ou bien... huuuum... Ou alors je prends ton petit cul ? Ou encore ta petite chatte... Ta l'air d'en redemander de ce côté-là. »

Sa queue était bien assez dure pour ça, mais pour le moment, elle n'avait rempli son utérus qu'une seule fois, et en sortant sa queue via la potion, elle voulait lui remplir ses deux trous donc, l'objectif était fait... quoique, elle semblait bien partie pour lui remplir la bouche aussi.

Rhian s'activait, rappelant à Fallah qu'elle était la Princesse, ce qui amena celle-ci à ironiser sur le nombre de verges que Rhian avait déjà dû sucer. Celle-ci leva lentement les yeux en fronçant les sourcils, se demandant ce que signifiait vraiment cette remarque. De l'ironie ? Oui, sans doute, mais Rhian commençait à bien connaître sa Fallah, et savait que celle-ci ne disait pas ç a de manière totalement gratuite. Elle avait également senti cela quand Rhian avait proposé d'aller au harem, et que Fallah avait refusé rapidement, préférant passer sa soirée avec elle... Alors que, pour retenir Rhian, l'enfermer dans le harem aurait été bine plus simple. Rhian en vint même à se demander pourquoi ce choix n'avait pas été choisi dès le début par Herebos. Au milieu des courtisanes, et sous l'étroite surveillance de la garde, Rhian était très restreinte dans ses mouvements ! Le choix de l'enfermer dans sa chambre avec Fallah n'était donc sans doute pas aussi anodin que ça... Car, si quelqu'un était bien placé pour savoir ce que Fallah pensait au sujet de Rhian, c'était nécessairement Herebos, son frère.

Fallah continuait donc son office, se refusant de jouir, tandis que Rhian continuait à la sucer. Elle enfonçait sa trique dans sa bouche, et remuait, d'avant en arrière. Elle humectait la verge de Fallah de sa salive, et celle-ci, sentant l'orgasme venir, finit par retirer sa verge de sa bouche. Sa queue était toute tendue, et Rhian la renifla doucement, posant quelques baisers dessus, tout en sentant sa main se serrer sur ses cheveux. Elle frémissait doucement, impatiente, une lueur malicieuse dans les yeux.

« Vu ce que tu dis, Fallah, je croirai presque que tu voulais me faire ça depuis bien longtemps... Mais, après tout, c'est peut-être ce qui explique pourquoi mon frère a choisi dès le début de te confier la tâche impossible de me garder, plutôt que de me confiner au harem... Ou pourquoi tu refuses d'aller au harem avec moi... »

Rhian était bien une Princesse, une femme observatrice. Elle sourit donc, et grimpa à nouveau sur le lit, écartant les jambes devant Fallah, en penchant la tête sur le côté.

« La vraie question, ce n'est donc pas ce que moi, je veux... Mais ce que toi, tu souhaites me faire. Si je savais que tu avais tant envie de me faire l'amour, Fallah, je t'aurai invité au harem dès que possible. Tu es une grande timide, en fait... Et... En fait, je pensais que tu étais plutôt amoureuse de mon frère. »

Qui aurait cru qu'une séance aussi perverse puisse prendre, de manière inattendue, un ton plus sérieux ?

Elle gardait la princesse sous son étroite surveillance, ce n'était pas un jeu de dames ou un peu de bavardage qui allait l'endormir, sa mission était de veiller sur elle et elle allait mener sa mission à bien, comme souvent. Elle savait que cette princesse avait un comportement de fugueuse et n'en faisait qu'à sa tête, elle n'allait pas le lui reprocher mais voilà, elle était entre de bonnes-mains. Toujours à s'occuper de sa verge tendue, Rhian venait à se poser d'autres questions, se faisant même son petit raisonnement à elle.

« Tu passes bien trop de temps au harem, ma Rhian, moi, j'ai peu l'occasion de profiter de toi... La dernière fois que j'ai pu dormir avec toi, ton corps n'était pas aussi formé. »

Leur dernière nuit remonte à loin, oui, même si Hérébos était aussi là cette nuit, elle avait à peine embrasser Rhian, plus jeune à ce moment-là alors que là, elle pouvait jouir de son corps sans le moindre pépin. S'installant sur le lit dans une position des plus charmante, elle se rapprochait d'elle, se penchant même vers sa princesse pour presser son corps contre le sien, la forçant à s'allonger. Rhian pensait Fallah amoureuse de son frère ? Que ce soit vrai ou que ce soit faux, cela lui était surtout interdit. Même si sa queue était tendue et écrasée entre elles, Fallah aussi parlais un peu plus sérieusement, caressant les cheveux de sa princesse.

« Ton frère est un bel homme, et il est plutôt bon au lit, mais j'ai le droit de m'amuser avec lui, pas de l'aimer comme ça. Je le connais depuis que je suis enfant, je le vois plus comme un frère, mon meilleur ami que comme un père pour mes futurs enfants. Le sexe avec, j'ai rien contre, mais plus intime... Et puis, je n'ai pas le droit de l'aimer de cette façon. Les Amari servent les Thoris depuis bien longtemps, comme ma mère a servit ton père, il est possible qu'ils aient couché ensemble, mais jamais ils n'ont dépassé cette limite. »

Il était peut-être temps de rappeller un peu comment fonctionnait leur deux familles qui étaient liée depuis plusieurs générations maintenant.

« Les Amari servent la couronne, il est de coutume que les Amari ont des enfants en même temps que les Thoris, je suis venue au monde car ton père s'est retiré du champ de bataille pour mener sa vie de famille avec ta mère et ainsi ton frère est né. Quand ce fut sûr que ta mère était enceinte, ma mère continua sa mission et pu devenir maman à son tour, que je sois né garçon ou fille, mon rôle était prévue d'avance, servir le prince ou la princesse qui allait naître. Comme ma mère et tous ceux et celles avant moi, mon rôle est de protéger le premier enfant, donc ton frère. Hélas, ma mère n'a pas réussi à tomber enceinte pour toi, sinon, toi aussi, tu aurais eu ta Fallah personnelle. Enfin, je me plains pas, je t'ai pour moi toute seule ! »

C'était sa petite princesse. Donc oui, le jour où Hérébos aura une fiancée et que cette dernière attendra un bébé, il sera temps pour elle d'en faire autant afin que la prochaine génération d'Amari serve à nouveau la couronne de Papua. Elle n'avait pas le droit d'avoir ce genre de sentiment pour Hérébos, cependant, elle ignorait si elle devait en faire autant avec Rhian ? Elle était une Thoris, une princesse, mais c'est Hérébos qu'elle sert. Cela dit, si tout cela s’emboîte, cela voudrait dire que le neveu/la nièce d'Hérébos devra protéger son enfant ? Ce serait un peu étrange... Amari et Thoris si proche, c'est du jamais vue ! Mais Fallah était très protectrice, un peu jalouse que les autres profitent de sa Rhian, de là à dire qu'elle l'aime... Qui sait ? Fallah remuait doucement, de sorte à pouvoir reprendre leur petit jeu et s'enfoncer en elle. Rhian l'avait bien sucée, dans peu de temps, elle pourra se libérer en elle, mais pas trop vite quand même.

« Tu es ma petite princesse, rien qu'à moi. »

Dit-elle amusée, en venant l'embrasser langoureusement, sa verge s'enfonçant doucement jusqu'au bout pour un rythme doux et délicat.

Allongées l’une contre l’autre, les deux femmes se faisaient mutuellement plaisir. Rhian titillait sa belle Fallah, qui lui rappela alors les liens étroits unissant les Amari aux Thoris. La première avait juré de servir la seconde, et se débrouillait toujours pour avoir des enfants en même temps que les premiers, afin que les Amari grandissent avec les Thoris. La règle était simple : un Amari pour un Thoris, et réciproquement. À chaque fois qu’on annonçait un héritier royal, les Amari concevaient un enfant. Fallah avait été la seule exception, car, quand Rhian avait été annoncée, ses parents n’avaient plus été en mesure de procréer. Elle était donc devenue à la fois l’amante d’Herebos, mais aussi de Rhian. Et, même si Herebos ne pouvait pas l’épouser, cela n’empêchait pas l’amour. Ceci étant dit, Fallah refusa d’avouer la réalité de ses sentiments, que ce soit à l’égard d’Herebos, ou d’elle-même. Au lieu de ça, elle se frottait contre elle, écrasant avec appétit Rhian. Sous cette couche de douceur et de chaleur, Rhian tremblait nerveusement, se pinçant joyeusement et sensuellement les lèvres. Elle lui avoua ensuite qu’elle était « sa petite princesse ». Rhian sourit alors, et répondit avec appétit à son baiser. Sa main se serra sur ses cheveux, et elle se pressa contre le corps de Fallah, gémissant fortement à son contact.

La Papuanne releva ses jambes pour les enrouler autour de sa taille. Elle serra dessus, puis banda ses muscles, et, profitant d’un moment d’inattention de Fallah, la retourna alors. La femme se retrouva sous elle, et Rhian se redressa, à califourchon sur son corps. Elle sourit alors, et frotta son bassin contre la verge de Fallah, qui releva sa main pour caresser son visage. Frémissant doucement, la Princesse suçota le pouce de Fallah, et décida de lui répondre :

« Je ne crois pas que tu connaisses les détails de cette alliance, ma chère Fallah. Tu sais, à l’origine, Riniya Amari, ta descendante, était l’une des épouses de mon aïeul, Chourouk Thoris. Nous partageons le même sang, quoique diffus et lointain. Alors… Tu es un peu comme ma sœur. »

Les liens entre les Amari et les Thoris avaient aussi été très proches à divers moments de l’histoire. Même si rien n’était officialisé, beaucoup d’Amari  étaient issus de relations adultérines avec les Thoris. Rhian sourit, ignorant si Fallah connaissait cette partie de l’histoire. Rhian aimait en tout cas se dire que Fallah était un peu comme la grande-sœur qu’elle n’avait jamais eu, très protectrice. Les Amari étaient les intendants de la famille royale, leurs enfants étaient éduqués en même temps que les Thoris, servant ainsi de relais de secours si jamais quelque chose devait arriver aux Thoris. Au sein de l’institution royale, les Thoris formaient la branche principale et les Amari la branche secondaire, veillant sur la branche principale.

Rhian se pencha vers Fallah, et l’embrassa sur les lèvres.

« Je t’aime, ma Fallah… Alors, puisque tu ne veux pas que j’aille au harem ce soir, tu as intérêt à me baiser très fort… »

Tout en parlant, Rhian attrapa la verge de Fallah, qu’elle caressa doucement. Elle serra ce joli membre entre ses doigts, remontant sur le vit, puis se déplaça un peu, et s’empala dessus, soupirant en sentant cette épaisse verge s’enfoncer dans son corps.

« Han putain, que c’est bon, bordel, hmmm… ! »

Les Thoris et les Amari avaient beau être parfois très proche, il y avait bien longtemps que leurs deux familles n'en formaient pas une seule, donc pour Fallah, Rhian restait sa petite sœur sans vraiment l'être, là où Hérébos restait le prince qu'elle devait protéger, ainsi était sa destinée. Elle avait beau être proche de ce dernier, ils étaient amis, et même un peu plus, mais Hérébos pouvait librement voir d'autres femmes ou même des hommes, elle s'en fichait royalement, mais pour Rhian, c'est différent. Elle prenait son rôle de grande sœur au sérieux.

« Peu importe ce que les gens en diront, tu restes ma petite sœur, Rhian et je veillerais sur toi autant que sur ton frère. Lui, c'est une obligation, toi, c'est mon devoir. »

Obligation, devoir, c'était un peu pareil, sauf que là, c'était elle qui l'avait décidé. Fallah avait beau avoir été éloigné des activités enfantine pour se dévouer à son entraînement pour veiller sur le prince, elle avait toujours accorder un peu de son temps à la princesse quand elle en avait eu l'occasion, devenant sa grande sœur depuis si longtemps. La jeune femme était certes jalouse de ses virées au harem ou ailleurs, elle devait veiller sur elle et s'assurer que personne ne lui ferait de mal, cela serait signé son arrêt de mort, s'en prendre à la princesse de Papua, quelle erreur ! Mais avant même que le courroux royal s'abatte sur une personne, Fallah passera d'abord régler ce souci. C'était sa princesse et elle veillerait sur elle, autant que possible. Prise d'un élan de courage, Rhian échangea leur position, afin de se poser sur elle, s'empalant sur sa lance de chair. Laissons ce genre de détail très romantique dans un sens, de côté pour se concentrer sur l'essentiel. Fallah passait ses doigts entre les siens pour se joindre à elle.

« Huhu, tu veux que me focalise sur toi, mais tu ne tiens déjà plus ? Allons, un peu de nerf ! »

Fallah profita de cette position pour donner un petit coup de rein en prenant appui sur le lit, elle la tenait par les mains, et elle n'allait pas s'arrêter de sitôt. Elle allait la faire remuer et la faire jouir, la faire crier de plaisir, de désir, car c'est ce qu'elle attendait après tout.

« Mmmmh, regarde-toi.... Position de dominante, mais dominée... Mmmmh, tu as beau être princesse... tu es à moi, Rhian... Tu es ma princesse ! »

Fallah aimait bien insister là-dessus, sans vouloir la soumettre en esclavage, elle n'irait jamais jusque-là, elle aimait avoir l'exclusivité de sa princesse, la câliner, la baiser, veiller sur elle, tout simplement. Peut-être une forme d'amour inavouer, allez savoir, mais en tout cas, personne ne pourrais mieux veiller sur Rhian qu'elle pour le moment. C'était sa princesse. Elle tira sur ses bras pour l'amener à elle, relachant ses mains pour la serrer entre ses bras en l'embrassant passionnément, délicatement serrer contre son corps, sa poitrine se pressant contre la sienne. Sa princesse à elle.

Rhian soupirait contre Fallah, dansant sur elle. Sa garde du corps était une femme robuste, comme elle pouvait s’y attendre, et plus endurante qu’elle ne l’avait pensé initialement. Sur ce point, elle était ravie de s’être trompée ! Fallah se montrait au contraire très résistante sur le plan sexuel, et allait sans doute réussir à tenir Rhian en haleine. Elle avait après tout refusé d’aller au harem, et précisa le fond de sa pensée en caressant Rhian ; elle était « sa princesse à elle », rien que pour elle ! Rhian sourit doucement, se sentant légèrement rougir. Comme elle avait pu se tromper ! Finalement, il semblait que Fallah soit amoureuse d’elle, et non d’Herebos… Qu’est-ce qu’elle allait bien pouvoir faire de cette information ? Confuse, Rhian sentit Fallah se redresser, et les deux femmes s’embrassèrent longuement, lovées l’une contre l’autre, la verge de Fallah bien dressée et s’enfonçant en elle.

Un doux soupir traversa ensuite les lèvres de Rhian, qui s’efforça de lui sourire, et retourna l’embrasser, avant de mordiller sa lèvre inférieure.

« Pour l’heure, c’est moi qui te chevauche, Fallah… Et ne fanfaronne pas trop, hmm… La nuit est encore loin d’être terminée ! »

Fallah allait pouvoir multiplier ses constats sur l’endurance de sa partenaire. Ce n’était pas pour rien que Rhian avait suggéré ce petit tour au harem, car elle était après tout, sur le plan sexuel, plutôt gourmande. Elle reposa Fallah sur le lit, et continua à danser sur elle, s’empalant avec appétit sur son beau membre. Elles étaient déjà en train de faire l’amour depuis un petit moment dans sa chambre, mais rien ne semblait devoir diminuer l’ardeur de Fallah. Rhian en était comblée. C’était la preuve qu’elle plaisait beaucoup à sa partenaire, une soif qu’elle s’efforçait d’entretenir à sa manière.

« Et… Haaaa… Je me demande bien comment tu comptes sustenter… Ta Princesse personnelle, Fa-Fallah, hmm… Les Princesses sont très gourmandes, tu sais… »

C’était, mine de rien, un sacré défi qui s’offrait à elle !

Fallah s'ouvrait un peu plus, non pas qu'elle cachait ce genre de choses, mais avec Rhian, elle avait tendance à être un peu trop détendue, rarement sérieuse, comme une grande sœur. Il y avait pourtant de l'amour ? Elle était jalouse de la voir filer dans les bras des autres femmes, c'est vrai, même dans les bras des hommes, mais c'était son côté grande-soeur qui parlait ou vraiment son côté femme amoureuse ? Le mystère restait entier pour le moment, tant qu'elle ne s'était pas déclarer à elle. Elle restait allongée, ayant une princesse sur sa queue, qui dansait pour elle. Son corps de rêve qui s'agitait doucement, une parfaite danseuse, elle ignorait si elle en avait le talent, mais elle avait le corps pour. Fallah savait danser les danses de Papua, sa formation de soldate voulait cela aussi, au cas où elle devrait s'infiltrer pour remplir certaines missions. Hérébos avait toujours complimenté ses danses même si son corps était parfois un peu trop musclé pour que ce soit parfait. Rhian, son corps était parfaits pour cela, pas un gramme de graisse superflue, pas de muscles qui se dessinait sur sa peau, elle serait parfaite pour ça !

« Mmmmh, tu veux me dominer, princesse ? Je suis pas le genre d'étalon qui se laisse facilement, huuum, maîtriser. »

Mais pour le jeu, elle va la laisser sur elle, après tout, la vue était des plus agréables pour le moment. Voir Rhian dandiner son corps sur elle, voir ses formes remuer, son visage se crisper sous l'effet du plaisir, de l'amour, c'était magique. Rien que pour ça, Fallah pouvait se laisser « faire » et profiter du spectacle. Rhian tenait bon, comme elle, mais face à sa question ou sa provocation, peut-être, Fallah donna un nouveau coup de rein, un peu plus fort en tirant les bras de Rhian, l'allongeant sur son corps pour la garder entre ses bras musclée.

« Tu as beau être très gourmande... J'ai une très grosse queue rien que pour toi, ma princesse. »

Observant sa princesse dans les yeux, elle l'embrassait doucement en la gardant entre ses bras, tandis qu'elle remuait son bassin de plus en plus pour mieux enfoncer sa trique bien au fond, écartant ses parois vaginales sur son passage. Fallah était bien membrée quand elle devenait futa, elle comptait bien que Rhian soit habitué à la sentir venir en elle. Un de ses bras la gardait maintenus contre elle, leur corps glissant l'un contre l'autre, tandis qu'elle caressa sa chevelure sans rompre ce long et onctueux baiser. Après un long moment de silence, uniquement déranger par le bruit de leurs corps et de leur bouche, elle rompit le baiser, mais pas la proximité entre elles.

« Mmmmmh, ma princesse... je vais te remplir huuuum... Jouis sur ma queue, d'accord ? »

Elle était si proche, elle voulait voir son visage se déformer par le plaisir, le plaisir de se sentir rempli par Fallah.

Rhian dansait sur le corps de Fallah. Sa partenaire était forte, très endurante, et, plus cette nuit passait, et plus Rhian découvrait sur elle des choses qu’elle ignorait jusqu’à présent. Elle savait que Fallah tenait beaucoup à elle, mais elle ne l’aurait jamais imaginé être jalouse, et refuser que Rhian aille voir les autres femmes de son harem ce soir. Cela signifiait beaucoup… Peut-être que Fallah se voilait la face, mais Rhian, elle, était suffisamment lucide pour comprendre ce que cela voulait dire. Elle savait, en dansant sur elle, que ce que Fallah ressentait à son encontre n’était pas que du désir sexuel. À sa manière, elle l’aimait, et cet amour interdit la portait. Elle était prête à la suivre, à la suivre partout où Rhian irait. L’ordre d’Herebos n’était finalement pour Fallah qu’une parfaite excuse pour rester avec Rhian, et ça, la Princesse le réalisait. Elle n’était pas du genre à jouer avec les sentiments des autres, alors elle ne comptait pas forcément parler de ça.

Pour l’heure, Rhian dansait sur la belle verge de sa partenaire. Son membre s’enfonçait lourdement en elle, et elle sentit les mains de Fallah se crisper sur ses fesses. Rhian couina encore, poussant de longs gémissements. Fallah lui demanda de jouir sur sa queue, et Rhian attrapa alors les mains de Fallah, les serrant dans les siennes. Elle mouillait fortement, et sentait l’orgasme s’approcher. Une vague qui menaçait encore de l’emporter avec appétit.

« Re-Regarde-moi, Fallah… Je… Je veux que nous jouissions ensemble… Yeux dans les yeux… Comme si nous étions deux amantes éprises l’une de l’autre ! »

La Princesse était curieuse de voir comment Fallah allait réagir à cette déclaration, qui pouvait confirmer ce que Rhian pensait. Ses doigts se serrèrent dans les siens, et, tout en se forçant à regarder les yeux de Fallah, elle laissa le plaisir l’envahir. Rhian ferma les yeux, et gémit…

« Haaaa… !! »

…Puis le plaisir suprême l’envahit, et elle se mit à jouir avec joie, sa mouille se répandant avec appétit et force sur la queue de sa partenaire !

Fallah ne se voyait pas devenir la femme ou l'amante de Rhian à cause de tout ce qu'elle avait comme obligation vis-à-vis du prince, oui, elle était jalouse de la voir allez vers d'autres femmes – et hommes ? – et préférait avoir l'exclusivité d'elle, comme lors de leur jeunesse où elles se partageaient exclusivement leurs baisers. Rhian a grandi depuis, comme Fallah qui devait s'absenter plus longtemps avec le prince en mission. Mais ce soir, il n'était pas question des autres, juste d'elles et personnes d'autre. Elle était allongée dans son lit, sa princesse chevauchant sa queue et qui prenait là un sacré plaisir en la tenant par les hanches, glissant parfois vers ce joli petit cul bien rond et bien moelleux. Sa princesse était une très belle femme, elle n'était pas une simple beauté que Fallah pouvait s'imaginer baiser pour se décontracter après une mission, sa princesse méritait autant d'être traité comme telle, une princesse à sublimer et à caresser qu'à traiter comme une belle petite salope qui n'attendait qu'une personne ait assez de couilles pour la dominer, avec amour. C'est sûr qu'être toute docile, ce n'était pas le genre de Fallah, même avec Hérébos, il devait user de sa force pour ne pas perdre face à elles, mais entre eux, pour le coup, c'était plus un lien frère et sœur. Ayant grandi ensemble, s'entrainant souvent ensemble, le sexe n'avait rien d'un lien d'amour.

Fallah savourait le corps bien formé de sa princesse, elle avait bien hérité de la beauté de sa mère même si pour Fallah, Rhian était bien plus belle que sa majesté la reine. Cette dernière délogea ses mains pour les prendre dans les siennes avec une curieuse demande. Du moins, Fallah ne fit pas attention au sous-entendu qu'il pouvait bien y avoir. C'était juste une demande mignonne qu'elle allait lui accorder si ça pouvait lui faire plaisir. Elle avait toujours en tête que leurs petits jeux avaient vite fini en mal tout à l'heure alors elle voulait bien lui tenir tête, mais pas trop. Serrant ses mains avec fermeté, mais douceur aussi, elle ne quitta pas sa princesse des yeux, peu importe combien son corps était aussi sexy et merveilleux quand il remuait sur elle. Rhian fermait quand même les yeux face au plaisir qui l'envahissait, la mouille débordant sur sa queue, Fallah lui renvoyait la pareille, sans fermer les yeux, remplissant sa petite chambre royale de millions d'envahisseurs ! Son épaisse et longue queue crachait son foutre à toute vitesse, remplissant la petite zone intime de sa princesse, serrant un peu plus ses petites mains.

« Hmmmmmm bordeeeeel.... Haaaaaaaaaaaaan, ma princesse ! »

Elle récupéra son corps chaud et moite contre le sien, la laissant souffler un peu, sa queue faisant office de bouchon pour que sa semence n'en découle pas trop vite. Fallah aussi reprenait son souffle, lâchant sa main pour caresser sa tête en silence. Un doux silence qui faisait du bien quand même. Mais après quelques instants de silence, elle lui embrassa le bout du nez en gloussant.

« Tu as fermé les yeux, ma princesse. Je me demande si ça veut dire que je dois recommencer à te remplir ta petite chatte ou si je dois te fesser comme une vilaine princesse ? »

Il n'y avait pas le feu, elles pouvaient profiter de ce petit câlin, mais tôt ou tard, cette question devra avoir une réponse. Fallah se voilait la face pour son amour envers Rhian, mais elle avait des obligations avec son rôle de garde du corps du prince qu'elle ne pouvait pas simplement envisager Rhian comme une partenaire officielle. C'était surtout son titre de princesse qui posait problème, sans ça, Fallah était libre d'avoir un/e petit/e ami/e mais elle devra avoir un enfant que lorsque le prince en aura un en route, pas avant.

« Ma petite princesse. »

Dit-elle joyeusement en frottant le bout de son nez sur le sien. Elle était si adorable après tout. Un simple câlin, sa main glissant sur sa douce peau huilé naturellement. Sa princesse à elle.

Rhian n’aurait jamais cru que cette soirée prendrait un tel tournant ! Mais elle n’irait nullement s’en plaindre. Coucher avec Fallah était indéniablement excitant, et elle commençait à percer au jour son amie… Qui était désormais plus que ça. Joignant ses mains avec les siennes, elle dansait donc sur elle. Gémissant et soupirant, Rhian sentait ce puissant membre remuer en elle, la prenant fortement. Elle remuait donc sur elle, dansant de haut en bas, faisant craquer le lit. Rythmée par ses gémissements, Rhian prenait peu à peu un bon rythme, et sentit la main de Fallah se déplacer, venant parfois palper ses fesses. Tout était fait pour exciter au mieux la belle Papuanne, et cela marchait plutôt bien. Toutefois, quand elle sentait la vague remonter en elle, elle ferma parfois les yeux. Difficile de toute manière de ne pas cligner des yeux ! Fallah avait une trique phénoménale, à la hauteur de son endurance exceptionnelle !

« Haaaa… Haaaaaannn… !! »

Dansant sur elle, Rhian finit par atteindre le plaisir suprême. Un double orgasme traversa les deux femmes. Rhian se relâcha à nouveau sur Fallah, qui jouit furieusement en elle. Sa queue tressauta, et la verge de Fallah expulsa d’épaisses quantités de foutre en elle. Rhian la laissa s’abandonner en elle, et bascula ensuite contre son corps, s’affalant contre le corps musclé et chaud de Fallah. Un délicieux corps bouillonnant, qui témoignait du talent et de la soif de sa partenaire.

Fallah l’embrassa sur la pointe du nez, tout en lui faisant observer qu’elle avait fermé les yeux au moment de l’orgasme, de sorte qu’elle hésitait à devoir la punir… Rhian sourit alors, et s’étala un peu plus, venant finalement s’allonger confortablement. La queue de Fallah ressortit de son corps, et Rhian lui sourit doucement, restant lovée contre elle. Que choisir entre la punition et la douceur ? Rhian n’en avait aucune idée, mais, après tout, le choix ne lui appartenait pas exclusivement !

« À toi de choisir, Fallah… Je suis ta prisonnière pour ce soir, après tout… » glissa-t-elle, tout en venant l’embrasser tendrement et avec appétit sur les lèvres.

Fallah aimait sa princesse, peut-être ignorait-elle jusqu'à quel point, ou peut-être se voilait-elle la face à cause de leurs familles, de ses principes à elle en tant que garde du corps du prince Hérébos ? Mais son amour envers la princesse était au-delà de son amour pour le prince. Certes, elle donnerait sa vie pour lui, tel était son rôle de protéger le prince, elle l'aimait, mais comme une sœur aimerait son frère. Ils ont grandi ensemble, travailler ensemble, et même si entre eux, le sexe n'était pas rare, il n'était pas au même niveau de l'amour qu'elle portait pour la princesse. Ce petit bout de femme qu'elle a vu grandir et qu'elle a tenter de protéger indirectement avec Hérébos, cette même princesse curieuse à qui elle a offert ses lèvres pour lui apprendre à embrasser. Fallah et Rhian avaient bien des anecdotes aussi touchantes que sensuelle, et cette soirée serait à placer dans une case très privée. Le corps de sa princesse était contre le sien tandis que la belle Papuanne hésitait sur la suite ? C'est que Rhian avait fermé les yeux après tout... mais comment en vouloir à une princesse comme elle ?

Elle l'embrassait tendrement puisqu'elle le demandait, glissant ses mains sur son dos, douceur et protection. Quelques secondes ou quelques minutes, elle ne savait pas combien de temps avait duré ce baiser, mais remonta sa main, caressant sa sublime coiffure en se tournant doucement avec elle, l'allongeant sur le lit, grimpant sur elle en contrepartie.

« Je sers les Thoris, mon rôle est donc de prendre soin de toi, ma princesse. »

La punition attendra plus tard, soit dans la soirée, soit une prochaine fois, mais Fallah sentait sa verge reprendre du poil de la bête alors qu'elle se pressait doucement contre son corps, l'écrasant délicatement, prenant bien soin d'écarter les jambes de la princesse, sa verge venant s'étaler déjà sur ses lèvres intimes, glissant le long, remontant le long de sa peau. Étant une femme très bien membrée, elle arriva non loin de son nombril.

« Et quelque chose me fait dire que ta petite chatte à encore de la place en elle, n'est-ce pas ? Alors... je peux encore me décharger dedans, non ? L'idée de te sentir rempli de foutre n'a pas l'air de te déplaire après tout, ma Rhian ? »

Étirant son sourire, elle la baisa à la commissure des lèvres, avant de commencer à se placer pour reprendre ce même chemin unique qui menait au plaisir ensemble. Ce dernier devrait être bien lubrifier à présent et Fallah glissa doucement en elle, s'enfonçant en douceur, toujours en écrasant sa princesse qu'elle ne quittait pas des yeux et ce n'était qu'une fois bien rentrée, jusqu'à la base, qu'elle ferma les paupières en venant l'embrasser.

« Mmmmh... »

La belle guerrière dominait sa princesse, mais elle était aussi à son service, indirectement alors elle pouvait bien suivre certaines de ses envies, si cela lui plaisait, mais pour l'heure, elle resta sur la douceur, cherchant à glisser ses mains sous son dos, pour mieux sentir son corps presser contre le sien pendant qu'elle allait lui faire l'amour. Oh oui, Fallah savait être très câline quand on lui donnait l'occasion. Un gros chat en manque de câlin... une tigresse très affectueuse plutôt. Chaque coup de butoir était lent à se retirer, sec et brutale à s'enfoncer, mais toujours avec amour et tendresse.

La situation était lentement en train de se clarifier entre elles. Chacune des deux femmes s’avouait ainsi son amour réciproque à l’autre. Enfin, du moins, Rhian avait compris que Fallah ressentait pour elle bien plus qu’une simple affection proche. Elle le comprenait maintenant, et ne pouvait que s’en vouloir de ne pas l’avoir remarqué avant. Pourtant, les indices étaient tous là, évidents, visibles ! Mais ce n’était que maintenant qu’elle en prenait pleinement conscience, et de tout ce que cela impliquait. L’amour de Fallah pour elle, leur union… Elle sentit la verge de Fallah durcir à nouveau contre son bas-ventre, cette queue pulsant doucement sur sa peau. Elles venaient de faire l’amour, mais cela n’avait pas encore totalement repu Fallah, qui en voulait davantage.

Rhian lui sourit doucement en caressant son visage. Sa main glissa sur sa joue, et elle se mordilla les lèvres en la regardant. Si belle, si forte, Fallah était tout simplement parfaite ! Les deux femmes se frottèrent encore l’une contre l’autre, puis Fallah se décida à passer aux choses sérieuses, et retourna la pénétrer.

« Hmmm… »

Sous ce contact, Rhian soupira faiblement, laissant Fallah la pénétrer avec amour. Son corps se mit à faiblement remuer, et elle releva ses jambes, venant les frotter contre les hanches de sa partenaire, avant de les enrouler autour de sa taille. Elle commença ensuite à appuyer, tout en sentant les mains de Fallah se serrer dans son dos, cherchant à la serrer tout contre elle. Un besoin de proximité auquel Rhian répondit en se serrant contre elle, ses jambes s’enroulant gracieusement autour de sa taille.

« Han… En-Encore, Fallah ! Hmmm… ! »

Elle se pinça les lèvres, et laissa Fallah continuer à la prendre avec force…

Fallah était douce avec sa princesse, outre le respect à son statut, elle aimait ce petit bout de femme, elle avait grandi avec, même si elle a passé bien plus de temps avec Hérébos que Rhian, elle avait marché à ses côtés longuement, ayant même eu la chance de lui décrocher son premier baiser. Les Amari protégeaient les Thoris, son but premier était la protection du prince, c'était un ordre royal, mais elle protégeait aussi la princesse. Après tout, le prince était un guerrier aussi fort, si ce n'est un peu plus qu'elle, Rhian était une princesse qui avait du caractère, mais qui ne saurait sans doute pas à l'aise pour affronter un réel adversaire. Fallah devait donc corriger cela. Mais maintenant, elle avait ouvert les yeux sur autre chose, maintenant qu'elle avait grandit, sa jalousie à la voir passer du temps au harem ou avec d'autres femmes. Il était plaisant de la voir repousser les avances que son père lui envoyait au travers de prétendant, mais elle n'aimait pas la voir collée les autres femmes. Non pas que Fallah était possessive, elle comprenait cela en son absence, mais quand elle était disponible et que la princesse allait en voir une autre, elle n'aimait pas ça... Elle semblait loin cette époque où elle était la seule vers qui elle venait, que ce soit pour jouer ou pour parler.

Mais à présent, les choses semblaient changer, en mieux pour elles. De là à entendre Fallah lui déclarer sa flamme, ça semblait un peu aller vite, même si les signes étaient là, elle n'avait pas ce côté fleur bleue, bien qu'elle n'y allait pas de mainmorte sur les petits mots doux, accompagné des gestes qui allaient avec. Elle se mentait à elle-même ou bien, c'était l'euphorie du moment ? Quoi qu'il en soit, sa verge était toujours aussi dure et elle était collée contre elle, son corps si doux se pressait au sien, plus musclé, plus dure, mais dans un bon sens. Elle remua quelque peu pour pénétrer sa princesse en douceur, sans la quitter des yeux, retournant entre ses cuisses, dans cette zone où sa semence avait déjà aspergé le coin, mais elle voulait recommencer.

« Oh, ma princesse... »

Ses lèvres se perdaient dans son cou, elle remuait faiblement, un rythme lent, plein de douceur, un soupçon de force aussi de temps à autre, elle savourait ce moment. Les jambes de la princesse enroulée autour de sa taille, elle aussi serrait son corps fragile contre le sien, leur poitrine s'écrasant, elle remontait vers ses lèvres pour lui voler un baiser, gardant un œil ouvert sur elle, veillant sur le plaisir de sa petite Rhian, se délectant du plaisir sur son visage. Sa peau sucrée, le teint caramel de sa peau, elle était sa petite douceur et dans ce genre de situation, Fallah était très gourmande !

« Mmmmh, que tu es belle, haaan, ma princesse... »

Sa bouche se perdait près de son oreille, léchant et titillant son oreille pour potentiellement y trouver une zone érogène, mais surtout pour souffler son plaisir si près. Rhian pourra tout entendre, du plus subtil soupire au grognement ultime.

« Je veux te remplir... humph, encore et encore... Tu seras... mmmmh, ma princesse fourrée haaaa... à la crème. »

Fallah fit jouer sa langue sur ses lèvres, qu'elle entende bien que la guerrière s'en léchait déjà les babines. Ce n'était pas son genre de dire des choses qu'elle ne ferait pas. Là, elle avait de quoi combler sa princesse toute la nuit, au moins jusqu'à ce qu'elles s'écroulent de fatigue. Elle voulait de nouveau lui remplir l'intimité, mais que Rhian se rassure, Fallah n'allait pas se contenter que de ça.

Rhian continuait à se faire prendre par sa puissante garde du corps. Elle avait progressivement pris conscience que leur relation venait de franchir un palier, un point de non-retour. Elle gémissait longuement, sentant la verge de Fallah la remplir, la prenant avec énergie, avec passion. Infatigable, inépuisable, Fallah continuait son office, et Rhian couina à nouveau, remontant sa main pour empoigner les cheveux de Fallah. Des cheveux trempés, et son autre main s’appuya sur l’épaule de Fallah.

« Hmmm… »

La jeune Princesse mouillait encore, et sentit l’orgasme la traverser. Ses yeux se voilèrent, et elle laissa le plaisir la submerger. Une vague blanche l’inonda, et le plaisir la traversa de part en part. Elle gémit longuement en fermant les yeux, et se laissa transporter, goûtant pendant quelques secondes à l’excellence.

« Haaannn… »

Le plaisir suprême… L’orgasme, une joie immense qui l’envahit, et la laissa ensuite toute tremblotante de désir !