The Multiversity

Mineko n’avait pas pensé qu’une simple réplique comme ça, puis être finalement une perche tendue à sa Maitresse. Alice en tout cas en profita bien pour la saisir et la fit bousculé sur le côté. Un frisson la parcourut avec le jouet en elle qui vibrais face au choc contre le lit. Alice passa alors au-dessus d’elle et vient lui retirer sa culotte la faisant de nouveau rougir. Gémissant doucement au contact des doigts de sa maitresse sur ses lèvres intime, Mineko léchait doucement les autres doigts sur ses lèvre plus classique.

Cette position ne dura pourtant pas longtemps, car Alice la retourna sur le ventre et lui demanda de se mettre à quatre patte, ce que Minéko fit immédiatement, sentant le plug toujours en elle au moindre mouvement. Sa Maitresse rattacha alors une laisse à son collier et se saisie d’une cravache. Puis elle sentie alors un coup sur l’une de ses fesses lui arrachant un petit cri.

-C’est moi Maitresse, c’est votre Minéko qui a besoin d’être éduqué.

Elle n’était pas habitué à ce genre de situation, enfin pas de la vivre elle-même, mais c’était étrangement excitant. Minéko ne comptait pas y résisté, malgré les vibrations et la douleur dans ses fesses, surtout si ça plaisait en plus à sa Maitresse.

Alice se pinça les lèvres en sentant un délicieux frisson la traverser après ce premier coup de cravache. Devant elle, Mineko se mit à soupirer, et confirma qu’elle avait besoin d’être « éduquée ». Alice avait certes promis de ne pas lui prendre sa virginité, mais ça ne les empêchait pas de jouer ensemble… Ni même d’éduquer sa jeune esclave ! Elle tira sur la laisse, puis se déplaça alors.

« Au moins, tu es honnête, ma petite Mineko… Allons donc te dresser un peu ! »

La jeune Princesse tira sur la laisse, et Mineko dut la suivre à quatre pattes. Alice la conduisit dans ses appartements. Elle ne rejoignit pas la chambre où Mineko se retrouverait ce soir avec elle et son mari, mais une autre pièce, au fond. Elle ouvrit la porte à l’aide d’une clef qu’elle portait sur elle, puis offrit à Mineko un sourire malicieux, très engageant… Et entra ensuite. La pièce était plongée dans la pénombre, et Mineko entra également. La porte était plus lourde que les autres portes, une porte insonorisée sur laquelle il y avait un cœur rose à l’entrée. Elle se referma dans un claquement derrière Mineko, qui se retrouva plongée dans la pénombre. Il n’y avait aucune fenêtre ici, mais la pièce restait ventilée. Alice alluma alors plusieurs bougies, et, au bout de quelques minutes, la pièce se dévoila dans son ensemble.

Mineko avait pu entendre dans la foulée des bruits de vêtements qu’on tombait, et qu’on mettait. Alice laissait son imagination travailler, et, quand les bougies s’allumèrent, la Princesse avait renfilé sa tenue de dominatrice. Elle tenait la cravache entre ses mains, tirant dessus avec la main qui en tenait le rebord, la pliant et la dépliant. Elle désigna ensuite un meuble sur lequel plusieurs sabliers étaient installés, et en retourna un.

« Quand le dernier grain de sable sera tombé, ta leçon sera terminée. Cela mettra environ une heure… »

Alice se rapprocha ensuite. La pièce abritait également divers instruments : chevalet, croix de Saint-André… Et, naturellement, un grand lit en forme de cœur avec des sangles et des chaînes dessus. Alice faisait doucement claquer ses talons, et donna un coup de cravache supplémentaire sur les fesses de Mineko.

« Pour le moment, nous allons commencer par dix coups de fouet… Je ne veux pas abîmer tes vêtements, donc déshabille-toi, ma petite chienne… »

Mineko se laissa placé une laisse à son collier et suivi sa maitresse à quatre patte ce n’était pas sa première fois ainsi. Puis après ce qu’elle lui avait dit plus tôt si elle ne supportait pas ça, ça aurait était moins crédible. Elles changèrent encore de pièces pour une autre au fond du couloir. Cette fois c’était dans le noir qu’elle se retrouva, mais Alice semblait parfaitement se repéré, car elle l’entendit bouger, des bruits de tissus, es qu’elle se changeait ? Soit elle voyait bien dans le noir, soit elle connaissait bien la pièce pour faire ça.

Finalement, elle ut de la lumière découvrant la pièce au flamme de bougie. Sa Maitresse c’était effectivement bien changer pour une tenue de dominatrice, qui lui allait plutôt bien. Elle lui montra alors un sablier et lui expliqua que sa leçon se terminera avec la fin de ce dernier dans une heure.

-Bien Maitresse.

C’était quand même quelque chose, surtout qu’elle ne savait pas ce qu’elle lui préparait. Mais elle ut vite un début de réponse, se faire fouetté. Quelque chose de pas si rare pour des esclaves, mais bon pour ce qu’elle connaissait d’Alice, ce n’était des coups cruels, mais des coups surement maitrisé, enfin elle avait envie d’y croire.

Mineko se releva donc et suivant ses consignes, commença à retirer ses vêtements un à un. Une nouvelle fois elle révéla son corps des plus quelconque ni beau, ni laid, juste une fille banale, si ce n’est qu’elle portait une laisse autour du coup et qu’un objet de ressortait d’entre ses fesses…

-Voilà Maitresse…

Elle rougissait un peu, mais elle était prête à accepter ses coups pour sa Maitresse.

Alice sourit donc quand Mineko se déshabilla. Elle avait sorti son fouet, qui était douloureux, mais qui n’était pas affuté. Il n’était donc pas très tranchant. Alice se déplaça lentement, et caressa de sa main l’épaule de Mineko, puis glissa sur sa peau. Son corps heurta le sien, et elle l’embrassa dans le creux du cou, mordillant sa chair, avant de pincer ses seins avec ses mains gantées. Elle sentit Mineko se tortiller sur place, et Alice sourit donc.

« Je vais te fouetter, ma belle petite chatte… »

Alice lécha sa joue, puis mordilla son lobe de l’oreille. Elle tira dessus, puis s’écarta ensuite. La jeune tête blonde fit claquer ses talons sur le sol, puis attacha Mineko par les poignets et les chevilles à des bracelets reliés à des chaînes. Elle sourit encore, puis, tout en attachant ses chevilles, embrassa ses jambes et ses deux fesses, avant de donner une claque dessus. Alice se releva ensuite, et mit un bandeau noir autour des yeux de Mineko, qu’elle noua ensuite à l’arrière de sa nuque. Une fois ceci fait, Alice attrapa un premier objet oblongue, et le glissa contre les lèvres de Mineko.

En le léchant, Mineko allait pouvoir constater de quoi il s’agissait : un gode ! Alice lui ordonna de bien le lécher, de le lubrifier et de le suçoter. Elle le remua dans sa bouche tout en masturbant dans la foulée la jeune femme, se délectant de ses soupirs, de la manière dont son corps se crispait. Fourrant deux doigts dans sa chatte, Alice la masturba avec amour, pendant une bonne minute, puis finit par retirer ses doigts.

« Là, là, je te prépare un peu pour la suite, ma chérie… »

Elle l’embrassa sur la joue, tout en enfonçant le gode dans son fondement. Fait notable : le gode avait une queue poilue à l’arrière. C’était un plug tail. Le tout était un sex toy offert par le clan Warren, et enchanté par Décatis. Le gode se mit à vibrer quand Alice l’enfonça entièrement, sentant les fesses de Mineko s’écarter au fur et à mesure que sa petite porte arrière se dilatait, et, quand il fut enfoncé  entièrement, sa queue se redressa, remuant sur place. Alice étira ensuite son fouet.

« Voilà les règles de notre jeu, ma chérie. Je vais te fouetter dix fois. À chaque fois, je veux que tu t’insultes. Balance-moi un joli juron de ta petite bouche toute innocente ! Si tu ne le fais pas, le coup sera nul, et je recommencerai alors à te fouetter. Montre à ta Maîtresse… L’adorable catin que tu es ♥ ! »

Joignant le geste à la parole, Alice abattit son fouet, fouettant l’une des fesses de Mineko dans un claquement sonore bien senti…

Même en étant non effilé, le fouet restait une arme redoutable. De dos, Mineko frémit à chaque fouet, et Alice comprit assez rapidement qu’elle avait placé la barre trop haut. Elle entendit Mineko hurler, puis hurler encore, et elle frémissait sur place. Si Mineko parvint à s’insulter, elle finit par implorer Alice de s’arrêter là. Alice resta silencieuse pendant quelques instants… Et défit les liens retenant Mineko. Elle glissa ensuite au sol, et Alice l’observa lentement.

« Peut-être ai-je été un peu trop emballée… »

Alice se pencha vers elle, et lui caressa le visage, puis l’embrassa chaudement sur les lèvres.

« Je suppose que Mélinda n’a pas dû trop te fesser… Excuse-moi, ma chérie, je ne voulais pas te faire pleurer ! Enfin, rassure-toi, j’ai du baume pour éviter que ton petit cul ne te fasse trop mal. »

Alice se redressa, et laissa Mineko l’attendre. Elle se déplaça donc, et revint rapidement, en tenant dans sa main un baume médical. Une conception spéciale, qu’on ne trouverait pas dans une pharmacie. Elle s’en imbiba ses doigts gantés, puis demanda à Mineko de se mettre à quatre pattes au sol, et frotta ensuite ses fesses, glissant ses doigts sur la peau rougie. Elle retira également le plug tail de Mineko, puis continua à lui malaxer longuement les fesses, pressant et pinçant la chair de la jeune femme.

« C’est un baume conçu par les alchimistes du culte d’Aphrodite. Laisse le désir t’envahir, refoule tes larmes, et la douleur va s’atténuer. »

Prenant son temps, Alice continuait son office, jusqu’à ce que le baume disparaisse. Alice se déplaça ensuite, et s’agenouilla devant Mineko, puis releva du doigt le menton de la jeune femme.

« Nettoie mes doigts, maintenant… Utilise ta langue et ta bouche.| »

Elle laissa Mineko lécher. Le baume n’était pas désagréable, et elle caressa avec son autre main la tête de Mineko, glissant ses doigts sur ses cheveux.

« Au fond, tu es une petite poupée fragile, ma Mineko… Une petite chatte… »

Alice remuait ses doigts dans sa bouche, et continua son office pendant un certain temps, jusqu’à ce que ses doigts soient bien propres. Elle l’invita à la suivre, puis ouvrit sa grande penderie, et trouva une tenue qui pourrait convenir à Mineko.

« Tiens, une belle tenue d’infirmière ! Je t’ai mis du baume, mais il vaut mieux que j’évite de toucher tes fesses, donc autant enfiler une tenue qui les protègera… Enfile la tenue, puis rejoins-moi au lit, je vais tâcher de faire partir de ton esprit la  douleur que tu as ressentie, ma belle… »

Mineko se laissa détacher, les larmes encore au yeux. Elle aurait préféré arrivé à supporter.  Elle se sentait comme une enfant qui n’avait pas réussi à satisfaire ses parents et qui s’en voulait pour ça. Sans un mot, elle se laissa glissé au sol, puis docilement se mit à quatre patte. Léchant les doigts de sa maitresse, elle se rendit compte qu’effectivement Mélinda ne l’avait pas préparé à la dure. Effectivement elle avait fait d’elle une esclave et l’avait enregistré légalement dans ce monde en tant que tel. Elle l’avait dressé à l’obéissance, l’avait préparé à servir de jouet sexuelle tout en la gardant vierge, mais n’avait pas passé par la douleur ou la torture. Surement qu’elle la sentait encore trop fragile pour ça. Les humaine de la terre était moins habitué à la douleur et c’était tout autant son esprit qui était fragile. Après tout elle était devenue esclave, car elle avait tenté de se suicidé et que Mélinda lui avait proposé de lui offrir sa vie, plutôt que de la jeté d’un toit.

Malgré ses pensées encore perturbé, elle suivait ce que sa maitresse lui faisait, la douleur de ses fesses se calmait avec le baume qu’elle lui mettait. Mineko se redressa et prit la tenue qu’Alice lui avait donné et l’enfila ne portant rien d’autre dessous. Une fois changer, elle monta sur le lit comme demandé et s’installa à côté de sa maitresse, retrouvant enfin la parole.

-Je suis désoler Maitresse, il me faudra du temps à m’habitué, mais si c’est ce que voulez de moi, j’accepte et je ferais l’effort pour apprendre à mieux supporté.

Minéko n’avait pas changer d’avis, puis de toute façon il était trop tard pour ça, elle était une esclave à point c’est tout. Mais Alice lui avait expliqué se qu’elle comptait faire d’elle, ses projets et comptait bien tenir se rôle pour y arrivé.

Trop rapide, trop hâtive ! Alice avait tiré sur sa chance, mais Mélinda n’avait pas formé Mineko sur tous les points. C’était aussi elle qui s’en voulait. Elle avait fait pleurer Mineko ! Elle laissa donc à celle-ci le temps d’enfiler sa tenue d’infirmière en latex. Ce n’était pas en soi nécessaire, mais cela leur offrait surtout du temps… Et du temps à Alice pour réfléchir, et songer à ce qu’elle avait fait, et surtout à comment améliorer la situation, comment rebondir. Mineko revint ensuite sur le lit, et s’allongea à côté d’elle. C’était un lit avec une couverture noire en latex, qui crissait donc sous elles. Alice remonta sa main, et caressa la joue de Mineko quand elle s’excusa.

Son autre main se posa sur la bouche de Mineko, un doigt sur ses lèvres, comme pour lui intimer de se taire. Elle l’embrassa ensuite sur les lèvres, venant frotter son corps au sien, puis se dressa ensuite au-dessus de Mineko. Elle se retourna pour mieux l’observer, et l’embrassa une nouvelle fois, frottant son corps contre le sien, surtout à hauteur de ses jambes.

« Ce n’est pas à toi d’être désolée, ma choupette, c’est à moi… C’est moi ta Maîtresse, c’est à moi de voir ce que tu aimes, et où je peux te former. Toutes les esclaves ne sont pas des masochistes, tu sais, je suis curieuse de voir si tu développeras en toi ou non ce fantasme… Mais je ne veux pas te forcer à faire ce que tu ne veux pas. »

Cela pouvait paraître contradictoire, car le principe même d’un esclave était de faire ce qu’on avait pas envie de faire. Alice suivait sa propre logique, inspirée de Mélinda. Elle sourit donc encore à Mineko, et l’embrassa dans le creux du cou.

« Je ne veux pas que tu sois mon esclave, mais aussi ma servante, mon amante… Et ma meilleure amie quand j’irai sur Terre. Je me dois donc de me faire pardonner, ma chérie… »

Alice déplaça ses mains, et vint caresser son corps, puis glissa ses mains entre ses cuisses, et caressa son sexe.

« Je suis curieuse de voir si tu aimes le contact du latex… C’est assez particulier, comme une seconde peau, mais ça rend aussi ton corps beaucoup plus sensible. »

La jeune Reine s’écarta ensuite, et se coucha sur le flanc, caressant encore le corps de Mineko.

« Vas-y, caresse-moi à ton tour… Lèche-moi aussi, ressens ce contact si particulier… »

La relation entre Alice et Mineko était en train de se creuser, au point qu’Alice commença à se dire qu’il était nécessaire de modifier ses plans en ce qui la concernait. Mineko se pressait tendrement contre elle, et commença à la caresser, à lécher, à s’imbiber de ce contact si particulier, ce mélange entre la douce peau de la Princesse et son latex chatoyant qui luisait et qui frottait contre la langue de Mineko. Alice soupirait doucement, en s’efforçant de rester calme, de garder sa contenance, et ce même si, à chaque minute qui s’écoulait, elle avait de plus en plus envie de passer aux choses sérieuses, et de lui faire furieusement l’amour. Mineko léchait et embrassait son sein, et Alice resta silencieuse, se contentant de l’observer, sans vouloir perturber sa concentration. Elle la laissa faire, et Mineko continua à titiller son sein, s’enhardissant petit à petit. Mineko lui glissa ensuite qu’elle allait y prendre goût, et Alice, les joues légèrement rougies, se mordilla les lèvres.

« O-Oui, je le sens, ma belle… »

Sa main glissa sur ses cheveux. Alice savait que Mineko avait été formée par Mélinda, et elle savait donc que Mélinda l’avait bien formé. Cependant, elle ne pouvait pas exclure que Mélinda lui ait mis, sans doute involontairement, la pression. Après tout, être l’esclave personnel d’Alice était un honneur. Alice attendit un peu, et finit par voler à Mineko un baiser. Elle sentit que Mineko y répondait avec emphase, comme si ce désir sexuel croissant commençait à la libérer. Il y avait probablement aussi ce qu’Alice avait dit, à savoir qu’elle voulait que Mineko ne soit pas uniquement son esclave, mais aussi son amie, et son amante. Cela avait sans doute dû l’aider.

Alice coucha lentement Mineko sous elle, tout en l’embrassant longuement. Elle rompit ensuite le baiser et lui sourit alors, ses lèvres proches des siennes. La main de la Princesse vint malaxer l’un des seins de Mineko, et elle l’embrassa ensuite dans le creux du cou, mordillant ensuite sa chair très légèrement, juste pour l’entendre gémir. Elle était si belle, quand elle couinait ! Sa petite voix aiguë faisait frémir la belle blonde, qui se lovait contre elle, un peu couchée sur le côté de Mineko.

« Tout à l’heure, je t’ai dit que je souhaitais attendre l’arrivée de mon époux… Mais je me suis trompée. C’est à toi de choisir, Mineko. À toi de décider qui te prend ta virginité, et quand ce sera fait. »

Alice se rapprocha encore d’elle, et l’embrassa sur les lèvres.

« Sache que je serai honorée d’être ta première fois, si tu en as envie… Après, connaissant Mélinda, peut-être préfères-tu autre chose… Mais, quoi qu’il en soit, ce n’est pas à moi de t’imposer cela, c’est à toi de me dire si tu as envie qu’on fasse l’amour, ma chérie. »

Et, après cette tirade, elle l’embrassa à nouveau, cette fois en enlaçant son cou avec ses bras, et en l’embrassant longuement…