Re: La Traque De Dolceus [Suki Tetsuhiko]
Posté : 02 sept. 2024 01:07
Vanillia ne pouvait que constater une chose évidente : Suki était une cliente très difficile ! Elle avait visiblement de lourds reproches à l’encontre de sa femme, le principal étant sans doute qu’elle l’appréciait… Une chose qu’elle ne pouvait admettre, et qui ne faisait qu’entretenir sa colère. Cette jeune femme débordait d’énergie sous elle, lui assurant que jamais elle ne se compromettrait avec des esclavagistes, et qu’elle ne se voyait pas être une esclave. Vanillia sourit doucement, et l’embrassa sur les lèvres, remuant sa verge contre elle. Un joli mât tendu, bien érigé, assoiffé, témoignant du désir intense de Vanillia. Elle lui sourit encore, doucement.
« Nous ne forçons personne ici, ma chérie… De quelles excuses parles-tu ? Tous nos pensionnaires ont le choix… Le choix de partir, ou celui de rester. Ceux qui naissent esclaves ici reçoivent ce choix à la majorité, et les autres… Les autres le reçoivent lorsque nous les formons. Alors, en quoi est-ce criminel, hum ? »
Elle se pencha vers Suki, et l’embrassa doucement dans le creux du cou.
« Si tu juges Mélinda devant ta cour, pour peu que celle-ci soit objective, la relaxe est la seule chose envisageable… Être libre, c’est aussi renoncer à sa propre liberté. Si ce choix est volontaire et librement éclairé, comment pourrait-ce être de l’esclavage ? Nous nous disons esclavagistes, mais je ne me suis jamais considérée comme telle. Et je n’aurai jamais épousé une esclavagiste. »
Vanillia l’embrassa à nouveau. Elle se redressa alors, et l’incita à se mettre à quatre pattes. Mélinda n’avait pas négligé Djill, et elle la prenait en levrette, par l’arrière. Sa verge pilonnait sa chatte, et elle caressait l’un des seins de Djill à travers sa combinaison, pinçant le téton. Djill gémissait avec appétit, et Vanillia voulait que Suki la regarde.
« Maî-Maîtresse Mélinda, haaaa… »
Djill mouillait abondamment, et ne tarda pas à contracter un orgasme quand Mélinda la fessa, claquant son insolent fessier. Vanillia, de son côté, promenait doucement sa verge, curieuse de voir pour quel trou le cœur de Suki allait battre le plus fort.
« Trouves-tu que Djill soit une esclave ? N’a-t-on pas le droit d’aimer l’idée de se soumettre à une personne, ma chérie ? »
« Nous ne forçons personne ici, ma chérie… De quelles excuses parles-tu ? Tous nos pensionnaires ont le choix… Le choix de partir, ou celui de rester. Ceux qui naissent esclaves ici reçoivent ce choix à la majorité, et les autres… Les autres le reçoivent lorsque nous les formons. Alors, en quoi est-ce criminel, hum ? »
Elle se pencha vers Suki, et l’embrassa doucement dans le creux du cou.
« Si tu juges Mélinda devant ta cour, pour peu que celle-ci soit objective, la relaxe est la seule chose envisageable… Être libre, c’est aussi renoncer à sa propre liberté. Si ce choix est volontaire et librement éclairé, comment pourrait-ce être de l’esclavage ? Nous nous disons esclavagistes, mais je ne me suis jamais considérée comme telle. Et je n’aurai jamais épousé une esclavagiste. »
Vanillia l’embrassa à nouveau. Elle se redressa alors, et l’incita à se mettre à quatre pattes. Mélinda n’avait pas négligé Djill, et elle la prenait en levrette, par l’arrière. Sa verge pilonnait sa chatte, et elle caressait l’un des seins de Djill à travers sa combinaison, pinçant le téton. Djill gémissait avec appétit, et Vanillia voulait que Suki la regarde.
« Maî-Maîtresse Mélinda, haaaa… »
Djill mouillait abondamment, et ne tarda pas à contracter un orgasme quand Mélinda la fessa, claquant son insolent fessier. Vanillia, de son côté, promenait doucement sa verge, curieuse de voir pour quel trou le cœur de Suki allait battre le plus fort.
« Trouves-tu que Djill soit une esclave ? N’a-t-on pas le droit d’aimer l’idée de se soumettre à une personne, ma chérie ? »