The Multiversity

Hinata

Lors de la première nuit en temps que femme marier, Hinata avait réussi à mettre sa femme enceinte, et maintenant ici, profitant de leur voyage de noce, Shunya devait lui renvoyer la pareille. Même si sa femme avait un peu de mal à se mettre au travail, Hinata travaillerait pour deux, sans soucis. Loin d'être aussi redoutable que Tsukasa où de cette femme qu'elle a vue en vidéo avec la belle blonde, une femme se nommant Poison qui enchaînait les partenaires comme elle dévorait une délicieuse pâtisserie, la jeune reine était normale. Elle n'était ni mauvaise, ni une spécialiste, elle savait faire des choses et elle les mettrait à contribution avec sa femme, mais c'est tout. Ainsi, elle continua de remuer sur la queue tendue de son aimée, la belle Shunya pouvait rester ainsi toute la soirée, elle continuera de danser et de provoquer en elle moult plaisir. Elle comptait bien rattraper sa femme et porter à son tour la vie en elle. Faire grandir leur bébé ensemble, et pourquoi pas, accoucher ensemble ? Un doux fantasme qui avait peu de chance de voir le jour. Hinata n'était pas encore enceinte et en plus, Shunya avait déjà un peu d'avance.

« Mmmmmh, oh mon amour... mmmhh tu es si bonne... »

Elle continua encore et encore, sans perdre espoir et passion, jusqu'à enfin ressentir la vibration de trop, celle qui fit jouir sa femme, remplissant son utérus de sa crème blanche et chaude qui se répandait dans son corps. Hinata gémissait, remplissant la chambre de son amour, pendant qu'elle aussi atteignait l'orgasme avec sa femme. Un délicieux orgasme qui la faisait trembler de joie. Délaissant ses muscles, la reine se reposait un peu, mais il faut croire qu'elle avait enfin réveillé la bête, car Shunya la plaquait sur le lit, venant s'allonger sur son corps, bloquant ses mains sur le lit, venant même lui voler un baiser. Une audace de sa part qui était très apprécier. Elle ne luttait pas, laissant sa moitiés prendre les rênes, se contentant de ce délicieux baiser plein d'amour, de cette queue à nouveau tendue qui se frayait doucement un chemin tout tracé de blanc en elle.

« Mmmmmmh.... »

Son corps chaud se pressait contre le sien, ses seins contre ses seins, elle sentait à travers sa chair, son petit cœur qui battait avec le sien, tout deux aussi unies qu'elles ne l'étaient. Si elle aurait eu la possibilité d'user de ses mains, elle aurait enlacé sa femme, mais pour le moment, elle la laissait faire, savourant cette petite partie d'autorité dont faisait preuve son épouse. Bercée par ce délicieux baiser, elle fermait les yeux quelques instants en sentant sa langue danser avec la sienne.

« Shunya... mmmh, ma Shunyanya.... »

Son corps chaud réchauffait le sien, ses mains retrouvaient une certaine liberté, elle mis donc en place son envie, venant entourée le corps de sa femme, une tendre étreinte, laissant ses mains caresser le dos de la belle et douce Shunya, continuant ce baiser pendant qu'Hinata ressentait les quelques mouvements de sa femme en elle, son corps se frottant contre le sien avec toujours plus d'amour.

« Hmmm... une fois... deux fois...Dix fois ! Cent fois ! Haaa... je te laisserais jouir... autant de fois que tu le souhaites... mon amour. Tu as à moi, mon amour... autant que je suis tout à toi. »

Hinata revenait embrasser sa femme, laissant une de ses mains quitter son dos pour caresser ses cheveux. Ses doigts glissaient entre ses cheveux plus doux que de la soie, écartant ses jambes pour laisser autant de place que de confort à sa moitié. La famille royale d'Edoras écrivait une nouvelle page de son histoire, Hinata en a écrit les premières lignes juste après le mariage, c'était désormais au tour de sa femme d'en écrire la suite. Elles ne seraient sûrement pas les plus bruyantes de cet hôtel à faire l'amour ce soir, mais elles seront sans aucun doute les plus amoureuses et les plus délicates. Pour le moment du moins.

Tessou

Ce soir, la jeune femme était une tigresse qui pourrait faire un carnage si on ne la calme pas ! Et fort heureusement, Kara était désormais équipée pour la calmer, un peu grâce à Tessou qui avait un peu tricher, mais du moment que toutes les deux y trouvent leur compte, alors c'est bon. Une grande première pour la super femme, mais première fois ou non, sa partenaire allait en profiter, et ce, jusqu'à ce qu'elle tombe d'épuisement. Une grande première pour la super femme, mais première fois ou non, sa partenaire allait en profiter, et ce, jusqu'à ce qu'elle tombe d'épuisement. Oh oui, un objet qui par la simple vue lui donnait moult envie. Allongée sur le lit, elle était plaquée par la super femme qui la baisait assez doucement pour le moment, une agréable sensation de plaisir, mais toujours pas assez ! Là, elle voulait que ça déménage, de sentir son corps balader dans tous les sens par une Kara possédée par une succube !

« Haaaaaaaaaaaaaa ! Ouiiiii ! Encore Kara ! Baise-moi ! »

Sauf si c'était Tessou qui était possédées par une succube ? Elle sentait ses lèvres dans son cou, ses mains aggripaient les couvertures vers elle, sentant chaque léger coup de rein de sa belle héroïne. Elle aussi tremblait de plaisir, mais bien qu'elle fasiat face à l'objet de ses convoitises, ce n'était pas encore assez, elle en voulait plus, toujours plus ! Relâchant les couvertures, elle retournait vers les lèvres de sa belle blonde, l'embrassant avec toujours plus de passion et d'envie avant que Kara ne lui demande de lui pincer le cul ? Pourquoi ? Envie de SM ? Peu probable, avec sa super peau, elle ne sentirait rien, même si Tessou venait la fesser avec une pelle. Mais soit, elle avait sa queue en elle, elle pouvait faire ça pour elle. Elle s'agrippa a son cou avec l'un de ses bras, venant à son tour lui embrasser le cou, pendant que son autre main venait donc lui pincer les fesses. Un effort qui lui ferait peut-être quelques minutes avant d'exploser, mais qu'importe, même en jouissant de suite, ce ne sera pas suffisant pour la combler. Mais après avoir résisté plus longtemps grâce aux petits pincements, Kara venait jouir en elle, provoquant aussi son orgasme.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA PUTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIN !!! »

Elle se lâchait, entièrement. Ce soir, Tessou honorait Lust sans s'en rendre compte. Vibrante de plaisir, de désir, elle laissait son corps se soulager, caressant son ventre, sa main descendant plus bas.

« Hmmmm... je le sent.... Ton sperme bien chaud... Couler en moi... Mais... Ce n'est pas assez... Baise-moi, mon amour, aussi fort que possible ! Je veux que ce lit meure de cette nuit d'amour ! »

D'ordinaire, Tessou était une femme simple, faisant l'amour avec Kara, comme deux femmes le ferait, en tenant mine de rien assez bien la route, sans être très endurante, elle tenait bien le cap avec une super femme comme partenaire. Et quand Kara usait de gode, elle tenait moins bien, mais elle semblait plus sensible face à un membre masculin. Et là, face à une telle Kara, elle va jouir de nombreuses fois et elle ne comptait pas agiter le drapeau blanc de sitôt. Pour preuve, elle allait aguicher un peu sa super partenaire. Venant se placer à quatre pattes, elle retira le haut de son kimono, étant entièrement nue, avant d'agiter doucement son cul, à croire qu'elle cherchait à l’envoûter. Se tenant sur un bras, elle écartait autant que possible ses fesses pour que son anus soit le plus visible possible.

« Allez... Enfonce ta grosse bite dans mon petit cul Trèèèèèès étroit... et viens me déboîter les hanches ! »

Oui, bon, ne pas prendre au pied de la lettre, mais ça prouvait bien combien la Japonaise était Très excitée ce soir ! C'était à se demander laquelle des deux allait agiter son drapeau blanc en premier ? Ce soir, Kara allait affronter le pire des adversaires au monde... L'envie associée à la luxure. Une fusion redoutable.

Ai, Harmony & les Karistal

Dans la suite de Mélinda, l'ambiance restait très agréable, surtout pour la petite Luna qui était pour le moment au centre de toutes les attentions. Allongée sur le lit, elle avait toutes ses maîtresses autour d'elle, jouant à ce petit jeu de devinette où pour le moment, elle avait gagné son premier gage, ayant une petite pince accroché à chacun de ses tétons, avec des clochettes qui allait forcement faire un délicieux petit bruit quand elle va remuer. Que ce soit de plaisir, de douleur ou de frustration, cela fera un délicieux petit bruit. Les Karistal observaient leur neko bien joyeux pour le moment, Harmony restait toujours aveuglé par la beauté d'Alice pour qui elle en pinçait, cela se voyait comme le nez sur le visage. Quant à Ai, elle observait ce petit jeu bien sympathique en se masturbant doucement, elle était déjà prête à y retourner mais elle n'avait pas de frustration à juste regarder, elle aimait aussi observer les autres jouer ensemble, ça pourrait l'inspirer. Et Mélinda ne l'oubliait pas pour autant, lui demandant de s'occuper de sa petite chatte, devant lui lécher sa petite fente pour le moment, sans faire plus que nécessaire.

« D'accord, Maîtresse ! »

Toujours prête, toujours de bonne humeur, il n'y avait que lorsqu'on arrivait à épuiser Ai de façon normale ou plus rapidement en lui pompant son sang qu'elle se montrait moins joyeuse et qu'elle était moins entrain à se mettre au travail, mais là, ça allait très bien ! À genoux, devant ses jambes écartes, Ai venait lui lécher sa petite chatte, savourant cet arrière-goût qui n'était pas sans rappelé le goût de sa seconde Maîtresse, Vanilla, qui venait de jouir dans Luna. Pour Ai, c'était donc tout bénéf' ! Les vampires venaient embrasser Luna, mais la petite neko ne se trompait pas, elle reconnaissait sans mal les deux paires de lèvres qui l'affrontaient. Alice ayant une idée, elle la partageait avec Yuka, après avoir doucement embrassé Harmony qui pouvait s'en satisfaire. De simples baisers, même juste passer un peu de temps entre ses bras suffiraient à la demoiselle pour vivre pleinement cette soirée. Bien entendu, la semi-ange allait participer à ce petit piège tendu par Alice pour la neko.

Yuka allait donc embrasser Luna, venant ensuite placer Harmony pour un léger baiser sur ses petites lèvres, ce qui semblait faire hésiter la neko. Et dans la hâte, elle se trompait en venant désignée Alice et non Harmony. Mélinda le lui indiqua alors que la belle Alice caressait doucement ses bras en venant demander à Harmony de la punir pour cette erreur.

« M-moi ? La punir ? »

Elle qui était si envoûtée par Alice depuis le début, elle sortait de ce rêve en entendant cela. On voyait bien que cela n'était pas son domaine. Punir, même pour jouer, elle n'avait jamais fait ça. Mais face à cette panique, Yuko venait à la rassurer, restant assise près de sa petite neko.

« Ne t'inquiète pas, Harmony. On sait que tu ne lui feras rien de mal et puis tu sais, Luna aime ce genre de punition. Mélinda a déjà dû te punir, après tout, non ? »
« Très... très peu... »

Même dans ce rôle, elle n'était pas à son aise, Mélinda l'ayant compris. Et puis Harmony n'était pas le genre de fille que l'on pouvait punir comme ça, elle faisait bien son travail après tout alors qu'est-ce qu'on pourrait lui reprocher ? Observant Luna, elle ne savait pas quoi faire ? Ai s'occupait de son entrejambe, elle avait des clochettes aux tétons... Des gifles ? Trop violent. Des pichenettes ? Bof, ça ne va pas compter... Elle restait muette un instant, observant Luna sans trouver d'idée avant de proposer quelque chose... de bien ?

« On... On pourrait lui mordiller l'oreille chacune notre tour... non ? »

Harmony, trop douce pour ce monde, elle fera une bien mauvaise maîtresse pour éduquer des esclaves. Elle rougissait un peu en sachant son idée pas terrible, mais ce n'était pas sa tasse de thé. Mais soit, Harmony avait décidé donc...

« D'accord, Yuka, prend l'autre côté... »

Les jumelles venaient ensemble mordiller les petites oreilles de la neko, venant de suite utiliser leurs dents pour mordiller en douceur ses petites oreilles velues, pour mieux la faire couiner de plaisir. Un vrai régal que d'entendre la petite chatte miauler ainsi. Y a pas à dire, cela suffisait à faire mouiller les deux jumelles qui, une fois leur forfait accomplit, ronronnait près de Luna, venant susurrer bien des choses à ses oreilles.

« Mmmmmmh tu me rend folle, Luna chérie... »
« Oh oui, tu m'excites tellement, jolie Luna... »

Mais elles devaient laisser la place, les deux blondes s’écartaient donc, laissant la place à leur grande sœur et à Harmony qui a décider de cette punition pour en faire autant. La soubrette se rapprochait doucement avant de se pencher près de Luna, approchant timidement ses lèvres de son oreille, venant donc la mordiller, sans user de ses dents. Seules ses lèvres « pinçaient » ses adorables petites oreilles, faisant cela avec Alice, qui ensuite laisseront place au couple Warren. Leur petit jeu allait durer longtemps ? Sûrement jusqu'à faire jouir Luna ou au moins la rendre folle d'envie ? Allez savoir.... Quoi qu'il en soit, les jumelles savouraient ce petit jeu et Ai n'avait pas vraiment à se plaindre.

Kiriko

Kiriko et Sha savouraient leur voyage de noce et pour le coup, elles avaient des invités de marque puisque trois anciennes femmes de Sha étaient venues s'inviter lors de cette petite soirée. Misha, l'une des femmes de Sha les plus marquantes et la première que la Celkhane à découvert, Aloe, la sorcière vouant ses services autant à Sha que Lust, et enfin Tharja, qui était une sorcière extrêmement jalouse, mais qui pour le coup, était nettement moins dangereuse. Heureusement, dans un sens, car la nuit de noce pourrait s’avérer très mouvementée sinon. Mais pour le moment, elle et Aloe s'occupait de ses queues, ce qui procurait un grand plaisir autant à la Celkhane qu'à la déesse. Quant à Misha, Kiriko tentait de venir s'occuper de la sorcière qui avait mis au monde la jolie Nausicaa qui était devenue en quelques sortes Luxuria, ainsi que sa petite Jasmine, dont elle ignorait encore ce qu'elle était devenue...

Toutes les trois étaient ravies de revenir en quelque sorte à la vie ici, profitant du corps de Sha qui était aussi celui de Kiriko, sentant la vie grandir en elles. La Celkhane avait déjà Arya dans son ventre, pas plus grande qu'un petit-pois au maximum et aussi Abbigail mais encore moins car cela ne faisait que quelques minutes qu'elle avait fait en sorte de jouir en elle. Sha et Kiriko ne faisaient qu'un pour le moment, les trois sorcières profitaient du corps de Sha qui recouvrait celui de Kiriko et ensuite, selon les dires de la déesse, ce sera le tour de sa femme d'en profiter à fond. Là, elles se partageaient le plaisir.

« Hmmmm Shaaaaa... »

C'était gentil à elle de penser à sa femme, mais Kiriko aussi, bien que tout cela soit agréable avec elles, elle voulait avant tout partager un moment avec sa femme. Ses mains ne pouvant pas vraiment faire un réel plaisir à Sha – même si elle se caressait, ce serait un plaisir pour elles, pas pour elle uniquement. Mais Sha était en train de se faire plaisir à se fondre avec son corps sous cette forme de slime. Les deux sorcières se faisaient bien plaisir avec les queues de Sha dont le plaisir voyageait entre elles.

« Haaaaan... Mmmmmh haaaan... Mmmm j'ai tant envie... mmmmh, de vous jouir dans votre bouche... mmmmmh. »

Aloe et Tharja ne tarderont pas à avoir ce petit plaisir, mais pas tout de suite. Sa tête entre les jambes de Misha, elle se faisait plaisir à lui lécher le minou tant bien que mal. Une belle partouse s'annonçait, car même si Kiriko pouvait avoir trois sorcières pour la combler, il lui fallait absolument Sha pour que ce soit un vrai plaisir. Qu'importe son rôle, la déesse devait y participer pour que sa femme soit réellement satisfaite, qu'importe leur talent à ses trois-là.Si Kiriko continuait ainsi à s'entraîner, d'ici plusieurs mois ou années, Sha pourrait sûrement organiser une véritable orgie avec toutes les femmes de sa vie. Toutes celles qui ont connu le même bonheur que Kiriko, celles qui ont fait sourire Sha, celles qui ont porté sa descendance, sa descendance même, car après tout, leur amour pouvait être incestueux, cela n'était pas interdit chez les sorcières.

« Tu te caches... mon amour... mais je saurais... Haaaaa... toi aussi...te faire hurler de plaisir... »

Quand bien même Sha était là, en elle, Kiriko la préférait la voir en chair et en os, pouvant ainsi jour réellement avec elle. Mais chacun ses plaisirs, pour le moment, elle lui faisait plaisir, elle se faisait plaisir, elle leur faisaient plaisir.

Harley Quinn

L'amour avec un grand A, voilà ce qui faisait vibrer Harley. Elle pouvait aimer la liberté et semer sa folie sur sa propre route comme Pam' sème ses petites graines pour un monde plus vert, mais au fond d'elle, l'arlequin restait une adolescente qui pensait au prince charmant sur son cheval blanc à lui réciter des poèmes entouré de petits zozio qui gazouillent dans un jardin. Alors quand Pamela lui promettait tout cela, la vie bien rangée – qui avait commencé, car ce n'était pas le cas lors de son arrivée au Japon – ainsi que ce qui allait avec comme la vie de famille avec les enfants et tout le tralala, ça la faisait rêver. Certes, cela voulait dire faire une croix sur les virées nocturnes pour casser quelques dents avec son gros maillet, mais, elle était prête à essayer le remède. Et puis elle savait bien que tôt ou tard, elle devrait se remettre au travail d'une façon ou d'une autre. Un loubard pour leur chercher des noix, un super vilain qui va débarquer comme de par hasard au beau milieu de leur jardin en décidant que ce sera ici qu'il allait fracturer la terre en deux, l'univers ne manquait pas de leur jouer de mauvais tour.

Mais pour aller sur cette route, il va falloir avoir sa petite graine dans son potager. À voir par la suite quel genre de chose va faire planter sa Pamela chérie, une jolie rose ou un petit bout de chou ? L'avenir le leur dira, mais en attendant, elle écartait joyeusement les jambes avec l'aide des tentacules de Poison Ivy pour qu'elle soit mieux placer pour venir y planter sa petite graine. Libre à elle d'en planter plusieurs d'un coup, avec une si belle et douée jardinière, elle ne sera pas choquée de devoir s'occuper de son potager. C'est juste que Pam devra venir l'arroser plus souvent.

« Mmmmmmh oooh ma Pamelaaaaaaaa-chériiiiiie... Peut-être, haaa... Que notre bébé... aura mon dynamisme ! Huuum... ou peut-être... ton sérieux ? Haaaa. »

Communiquant autant avec leurs mots qu'avec leurs baisers, les amoureuses continuaient, main dans la main, de tenter de faire en sorte qu'Harley soit enceinte de ce petit bébé qui viendra retenir leur amour, comme le lierre pouvait tenir les structures les plus fracturées. Oh oui, un amour incassable. Elle se voyait déjà avec sa belle robe de marier, et un joli bidon tout rond. Belle et fragile, elle sera exquise, à ne pas en douter. Car Harley voulait y croire, à ce mariage, cette vie, cet amour. Elle a fait une croix indélébile sur le Joker et elle espérait que ce dernier finira comme le goujat qu'il est, seul, écraser une nouvelle fois par Batman. Mort triste et seul, sans avoir réussi là où Harley aurait pu l'aider s'il aurait fait attention à elle. Mais tant pis pour lui ! Dorénavant, sa vie sentait bon la rose et les plantes vertes.

« Haaaan. Ensemence-moi, ma belle jardinière. »

Joyeuse, gaie, heureuse et souriante, Harley était toujours aussi belle et enjoué, comment ne pas l'être quand l'être aimée dansait avec elle ? Elle la serrait contre elle, une main plaquée dans son dos, le caressant, le griffant légèrement avec la pointe de ses ongles, sa seconde main se perdait dans ses cheveux de feu, si doux et flamboyant, pour un baiser encore plus fort, comme elles.

« Mmmmh, oh Pamelaaaa... Dis-le-moi encore... Dis que tu m'aimes... Hmmm, et qu'ensemble... On sera les plus heureuses, haaaa, et les meilleures mamans mmmmh, du monde ! »

Non pas qu'Harley avait un doute à ce sujet, mais entendre cela était si agréable, pourquoi elle devrait se priver d'un petit bonheur comme ça ? C'était juste une promesse d'un bonheur qui ne serait pas si lointain après tout.

Aoki

Tellement sauvage, c'était un moment si intense et si bon. Aoki avait bien des goût, normaux comme le fait d'aimer ce petit moment après l'amour où elles sont blotties, prêtres à s'endormir en savourant leur journée, leur soirée, mais surtout leur amour. Mais elle aimait aussi les choses qui n'étaient pas forcément la norme chez les autres. Le fisting – à petite dose – tout comme la golden shower dans le même cas, le BDSM dans les grosses lignes, soumises de Felicia, dominant ses autres soumises, c'était quelque chose d'agréable. Mais ce soir, ce n'était pas Felicia qui lui faisait l'amour, pas même la Black Cat, c'était une bête féroce qui demandant qu'à la soumettre, l'amour bestial, dans le plus simple appareil, avant même la création d'un langage ou autre, c'était une véritable bête voulant assouvir son envie. Et la jeune femme n'avait rien contre l'idée de n'être que son sac à foutre, cela lui plaisait aussi.

« Haaaaaaaaaa ouiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! Bordeeeeel, ouiiiiii ! »

Même si le lit était délaissé pour être prise contre le mur, son visage comme son corps écrasé contre le mur, elle avait presque cette impression qu'elle risquait d'y laisser sa trace dessus tant sa voleuse était puissante dans ses coups de reins. Elle gémissait, mouillant toujours plus sa fente, sentant le liquide couler comme il pouvait dans sa combinaison. Car ce n'était pas une mince affaire. Elle avait chaud, en plus de cet amour, de cet effort, mais pas grave, c'était au moins une bonne raison de faire un bel effort, du beau sport. Comme ça au moins elle n'avait pas de remords à manger de délicieuses chose qui d'ordinaire devrait lui faire poser la question de savoir si c'était bon pour sa ligne ? Rien que ça, ça suffisait à éviter la question, sans compter qu'elle s’entraînait bien assez, au SHIELD en suivant comme elle pouvait un entraînement de soldat de base – n'ayant aucun pouvoir ou talent particulier – que ce soit seul, avec d'autres soldats de base ou parfois elle avait l'honneur de voir son entraînement supervisé par Black Widow. Aoki n'avait aucune question à se poser sur sa ligne, elle faisait bien assez de sport pour ne pas se soucier de tout cela.

« Raaaaaaannnnnnn mmmmmmmmhhh aaaaaaaaaaah ! »

Le bonheur était si haut, Aoki n'arrivait même plus à parler, ne pouvant que subir son assaut bestial et amoureux, ses griffes raclant le mur pour en chercher la sortie, mais elle ne se tira pas de ses griffes. De toute façon, elle ne voulait pas fuir, mais elle devait quand même chercher à ne pas finir dans la gueule de ce fauve. Il était rare que sa Felicia soit aussi investie, aussi brute, mais ça lui plaisait. Après, cette double queue en était sûrement la cause, mais idem, ça ne lui déplaisait pas. Bien que surprenante au lit, Aoki ne pourrait pas assumer un tel service tous les jours, mais ce soir, elle était prête à tout faire pour calmer ce fauve. Que cette panthère se calme pour devenir un petit chaton avec lequel elle pourra dormir pour la calmer jusqu'au petit matin. Car quand l'orgasme arriva, elle se cambra comme elle pouvait, mais elle était bloquée entre le mur et la Black Cat, hurlant son plaisait à l’hôtel entier. Une chance que les chambres soient insonorisées sinon, elles en auraient eu des coups dans les murs pour le bruit.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!! »

Cette double explosion de bonheur la laissa sans force, à peine Felicia retira ses queues qu'elle tombait à genoux, encore tremblotants de cette petite séance. Elle reprenait son souffle, venant se retourner doucement, assise sur ses fesses encore un peu douloureux. Elle levait la tête vers elle, imposante et grande, surtout de ce point de vue. Ni son regard, ni celui de la voleuse agitait le drapeau blanc, mais une légère pause suffirait sûrement à repartir pour un prochain round.

« Oh Feli-nyan... »

Elle était encore plus impressionnante ainsi, sa belle voleuse tout comme ses queues qui pendaient devant son visage. Si grosse, si longue, si épaisse, elles semblaient colossale ! Sa main venait en caresser une, doucement, elle sentait le sang couler dedans, les veines gonfler, sûrement déjà prête à se remettre en action.

« Tu te surpasses ce soir... Si on continue comme ça... Je passerais ma journée cloîtrée dans le lit... Mais je suis sûre que tu attends que ça... De me déboîter les hanches en m'enculant de toutes tes forces, avec tes deux grosses bites, hein... »

Aoki était en train d'agiter une allumette sous son nez alors qu'elle était couverte d'essence dans une pièce où était stocker tout type d'explosif... Les chances de s'en tirer sans aucun dégât étaient très faibles. Elle aurait sûrement plus de chance à construire un château de cartes dans un cyclone que de mettre fin à cette petite sauterie de suite. Se mordant la lèvre inférieure, elle ignorant quand ce fauve allait la mordre jusqu'au sang, mais ce n'était qu'une question de seconde, au prochain clignement de paupière, très certainement...

Sya

Un moment si doux, si agréable avec sa mère, Sya aimait ce genre de chose, délaissant un peu les fesser, le côté soumission, esclave et tout le reste pour une relation plus « saine ». Enfin, saine était un bien grand mot, mais pour le moment, il n'y avait rien de tout cela, juste de l'amour entre l'ange et la démone. Si l'amour n'avait pas porté sa flèche entre elle et ses nekos, elles auraient sûrement pu partager plus qu'une relation mère et fille. Tout comme Sya aurait pu faire de Limma autre chose que son amie et sa première élève. Mais elle n'était pas là pour ré-écrire l'histoire. Pour le moment, elle embrassait sa mère tendrement, sa langue contre la sienne, savourant cet organe bavant, chaque petite goutte de salive était si délicieuse en elle. Sya a eut la meilleure des formations sexuelles, tout le monde, qu'importe le monde, avait un petit plaisir sur le haut du panier. Que ce soit une partie du corps, un vêtements, une façon de jouer ou autre. Eh bien pour Sya, ce n'étaient pas les jolies fesses, pas même les poitrines bien rebondies ou même les queues bien dressées qui faisait son bonheur, c'était la langue. Elle pouvait embrasser durant des heures. Ses premiers souvenirs de sa formation étaient justement par le biais d'une langue, ça comptait donc beaucoup pour elle.

« Ooooh, Maman... »

Réceptive à sa demande, Sya venant à se redresser, venant se superposer au-dessus de sa queue tendue, sa mouille coulant doucement sur son beau bâton rouge. Sya mouillait autant qu'une glace en plein désert, à vue d’œil, son entrejambe fondait. Sa queue n'avait aucun mal à la pénétrer à nouveau ce soir, lâchant un soupir plaisant alors qu'elle glissait jusqu'au bout de sa queue. Samara la regardait toujours avec ce même sourire, Sya oubliait peu à peu ce qui venait de se passer, se concentrant plus sur cet aspect doux et plaisant de sa chère maman qui lui faisait l'amour avec toujours autant de passion et plaisir. Même si leur nouveau rodéo commençait à peine, la démone dévoilait son intention vis-à-vis du fait que Sya était enceinte, de lui offrir aucun repos jusqu'au moment d'accoucher.

« Huuuuum mais Maman... haaa, d'habitude... ma nuit sert à prendre des forces... mmmh, à laisser la magie agir pendant mon sommeil... Mais dans ce cas... Haaaa... Je vais devoir... faire avancer la chose. »

Le ventre de Sya s'illuminait un instant, laissant diverses marques magiques apparaître sur sa peau, laissant ainsi le bébé grandir en elle, pendant qu'elle ne dormait pas. Samara ne comptait pas la laisser souffler avant de porter son bébé dans ses bras, alors Sya allait devoir agir en conséquence. Elle espérait juste ne pas être trop fatigué au moment de pousser... Mais ça, c'était une autre histoire. Elle prolongera sûrement son sommeil un peu plus longtemps une fois son bébé dans les bras de sa seconde maman.

« Mmmmmmh... Après... Il faudra bien prendre soin de ta petite Sya... Mmmmh aaaah... Vouloir épuiser ta fille enceinte... C'est pas gentil, Maman. »

Sya ne lui en voulait pas vraiment, elle voulait juste en échange passer un agréable moment avec Samara. Vouloir épuiser ta fille enceinte... Sya avait passé de bons et long moment au sein de l'écurie de Lust entouré de poney et de licornes avec des queues aussi grandes qu'elle alors faire l'amour en étant enceinte et devoir accouché après, ça devrait ne pas poser de réels soucis. Après tout, il est normal que Sya ai quelques exigences, de légers caprices, c'était une femme enceinte...

Entre Shunya et Hinata, c’était du sérieux. Fonder une famille était non seulement un objectif personnel, mais même d’intérêt public ! Shunya en avait pleinement conscience. Elle savait que son statut de roturière faisait jaser, car elle privait des familles aristocratiques de la possibilité de rejoindre la famille royale. Il fallait donc faire d’autres enfants, pour assurer la prospérité de la lignée royale. Et, au-delà de ça, Shunya fantasmait volontiers à l’idée de mettre enceinte Hinata rapidement, afin qu’elles soient enceinte en même temps, et qu’elles vivent les mêmes choses. Shunya avait déjà bien du mal à ne pas sombrer en s’imaginant porter le bébé d’Hinata. C’était pourtant bel et bien le cas, et cette situation la troublait fortement. Mais elle était maintenant excitée, la belle Hinata l’avait sortie de sa torpeur, et, sur elle, Shunya souriait doucement.

Ses mains caressèrent ses épaules, et se crispèrent lorsqu’elle la pénétra à nouveau. C’était une posture classique, la position du missionnaire, mais, à dire vrai, beaucoup de positions allaient y passer ce soir ! Hinata porterait leur bébé, c’était écrit ! Shunya soupirait contre elle, et l’embrassa chaudement sur les lèvres, déplaçant sa main pour masser son sein à travers son kimono, pinçant le téton. Les beaux seins d’Hinata ressortaient, le kimono moulant les tétons à la perfection. Gémissant encore, Shunya lécha son cou, et mordilla sa chair après leur baiser, se délectant des couinements d’Hinata, frémissant tout contre elle.

« Oh, Hinata, tu… Tu es si belle, haaaa… »

Shunya ne pouvait qu’aimer ça, ce moment d’intimité avec Hinata, ce moment qu’elle aurait eu envie de faire durer toute la nuit. Elle l’embrassa à nouveau, plus longuement, sa langue allant jouer avec la sienne. Oui, ce soir, personne ne viendrait les déranger. Même Tsukasa et ses jeux pervers resteraient dehors ! La seule personne que Shunya acceptera, ce sera Nora, qui viendra quand elles seraient épuisées, afin d’user de sa magie pour renouveler leur vigueur, et pour les rejoindre. Avec son aide, Hinata tomberait enceinte ! Cette idée était comme un leitmotiv, une idée fixe qui s’instillait en elle.

« Hmmm… »

Elle joua de sa langue avec elle, mordilla même ses lèvres, bien décidée à montrer à Hinata tout ce dont elle était capable ! Tsukasa l’avait longuement formé à l’art du baiser, lui enseignant les multiples baisers, et, là, Shunya expérimentait les plus sensuels et les plus mordants, ceux où la langue et les dents se mêlaient à ce frottement des lèvres et de la salive. Elle s’y expérimentait avec un indéniable talent, remuant contre elle, son corps ondulant contre le sien, son membre retrouvant de sa superbe, sa vigueur se nichant dans les lèvres intimes d’Hinata. Contre elles, le lit grinçait doucement, et Shunya soupirait encore, couinant, se pinçant les lèvres, s’habituant à ce plaisir masculin, à cette vague violente et jouissive qui remuait fortement en elle. C’était particulièrement épuisant, un spectacle intensif et lourd.

Les minutes défilaient à toute allure, et Shunya l’embrassa une nouvelle fois, ne rompant le baiser que pour le reprendre.

« Hi-Hinata, haaaannn… Après ça, hmmm… Je te baiserai en levrette, hihi… En giflant ton postérieur, haaaannn… Oui, ma chérie, je vais te faire tout vivre ce soir, tooouuutt !! »

Le désir l’absorbait, la faisait délirer. La guérisseuse en perdait la raison, succombant à ses fantasmes les plus pervers, et ce avec un plaisir manifeste, avec une joie profonde et torride. En ce moment, elle n’avait qu’une idée en tête, qu’un objectif : la baiser… La baiser encore et encore ! La baiser sans relâche, et ce jusqu’à ce que l’aube se lève, et que Nora leur annonce la fantastique nouvelle. Alors, Hinata porterait leur enfant… Et le rêve de Shunya se poursuivrait.

Encore, encore !
La méconnaissable Tessou était transformée. Une succube avait sûrement dû la posséder, et ce changement était aussi inattendu qu’exquis. Elle poussait de grands cris gutturaux, se laissant joyeusement aller, figure magnifique et envoûtante se dandinant sous ses yeux. Comment Kara était-elle supposée pouvoir lutter ? Face à l’engouement de sa chérie, Kara fondait. Tessou lui pinça donc les fesses, et, effectivement, Kara ressentait comme une douce caresse. Ceci étant dit, sa peau était normale, elle n’était pas faite de pierre. Sinon, la pauvre aurait déjà tué Tessou ! Ceci voulait dire que Tessou pouvait y enfoncer ses doigts, sentir la chair de la jeune femme, c’était juste que le corps de Kara était extrêmement résistant. Elle sentit donc ses doigts sur ses fesses, et sourit quand elle palpa.

*Au moins, elle est encore suffisamment lucide pour m’entendre, c’est déjà ça…*

Et c’était une première bonne chose. Tessou restait encore lucide, mais elle emportait Kara dans sa lubricité. D’un autre côté, ce n’était pas la première fois que Kara la provoquait ainsi, qu’elle voulait l’aider à sortir du carcan dans lequel Tessou s’était enfermée, dans ce quotidien où elle se sacrifiait totalement au profit de son boulot et de sa fille, avec le risque, à long terme, de la voir devenir l’une de ces mères obsessionnelles au Japon, parodie d’une kyōiku mama. Évidemment, Kara ne le lui avait jamais dit directement pour ne pas la vexer, mais… Le fait est que Tessou venait d’exploser au Paradisio Hotel. Si Kara avait su pour son escapade avec Mélinda Warren, elle aurait sans doute mieux compris la réaction de Tessou. Si elle savait que Mélinda lui envoyait régulièrement des courriers avec des photographies coquines, et dont le contenu des lettres aurait fait rougir n’importe qui, et ces fameuses pilules roses, elle aurait également mieux pu combler les blancs. Mais, pour l’heure, les interrogations qu’elle se posait s’effondraient devant le plaisir immédiat qu’elle ressentait.

Kara soupira donc, gémissant en se pinçant les lèvres, jusqu’à s’abandonner en elle. Une jouissance étonnamment rapide pour la Kryptonienne, mais, à son corps défendant, elle n’était pas spécialement habituée à porter une verge. Cet appareil phallique encombrant était extrêmement sensible, et l’orgasme masculin s’avérait très différent de l’orgasme féminin, plus bref, mais bien plus intense, noyant et occultant tout le reste. Sa bouche s’écarquilla en un long soupir de plaisir tandis qu’elle sentait tout son corps fondre en elle. Sa queue tressauta sur place, et, après une telle vague de jouissance, elle pouvait presque mieux comprendre pourquoi un homme s’effondrait ensuite.

« C’était si bon, Tessou… »

Tessou ne lui accorda même pas le luxe du repos, venant repousser Kara, et se mit ensuite à quatre pattes, se déshabillant au passage. Exhibant son magnifique corps, elle remua son postérieur devant elle, allant jusqu’à se comporter de manière très obscène, en titillant sa rondelle.

« Oh… »

Même Kara n’était pas aveugle. Tessou avait dû rencontrer une aventure, elle avait loupé un épisode, c’était évident ! Mais Kara l’interrogerait plus tard. Pour l’heure, elle massa le cul de Tessou, le malaxant tendrement entre ses doigts, lui souriant doucement. Sa queue tendue se releva pour caresser son postérieur, glissant près de sa rondelle.

« Toi, ma chérie, tu me caches quelque chose… Mais j’en saurai plus ultérieurement. Car je vais te questionner, ma belle, quitte à devoir te brutaliser un peu pour ça… Sexuellement parlant, bien entendu ! »

Pour l’heure, ses motivations étaient toutes autres, et sa verge glissa contre le fondement de Tessou. Elle sentit le corps de sa partenaire se crisper sur place, tous ses muscles se bandant à ce contact, puis Kara soupira lentement, et gémit encore, avant de forcer le passage. Elle repartit en arrière, puis fila brusquement en avant, dilatant progressivement la petite porte arrière de Tessou, ses mains se crispant fortement sur son cul. Du moins, évidemment pas assez pour lui broyer les os, mais suffisamment pour comprimer sa chair, pour la griffer. Kara rougissait sur place, et ferma les yeux, se mordillant les lèvres, avant de sentir sa verge remuer en elle, dilatant les parois anales de la policière.

« Hm, bordel, t’es… T’es si étroite, Tessou, bordel !! »

Même pour Kara, c’était douloureux, et elle dut gifler sa partenaire, comme pour se donner du courage. Ses muscles se bandèrent, et elle reprit son office, gémissant une nouvelle fois, soupirant longuement.

« Hmmmm… !! »

Petit à petit, elle s’enfonçait en elle, dilatant et défonçant ce joli cul pour pouvoir y enfoncer sa belle trique, son membre assoiffé, et ainsi offrir à Tessou une magnifique sodomie…
Luna s’était faite piéger ! Dans d’autres circonstances, elle aurait pu reprocher à ses Maîtresses d’avoir triché en ramenant Dame Harmony, mais elle savait déjà ce qu’on lui répondrait… Que cette possibilité n’était pas interdite dans les règles, et que Luna était juste une mauvaise joueuse. Deux échecs, quand même ! Mais, d’un autre côté, elle n’avait encore jamais embrassé Dame Harmony, et son baiser avait été très bref, peu marqué, très discret, comme ceux que Maîtresse Alice faisait quand elle n’était pas en chaleur. L’erreur de Luna était donc compréhensible, et le simple fait de confier à Harmony le soin de la « punition » signifierait que celle-ci serait très douce.

D’ailleurs, quand Harmony proposa de lui mordiller les oreilles, Luna déglutit, et ses belles oreilles pointues se mirent à frétiller. C’est que les oreilles d’une neko étaient très sensibles ! Les mordiller excitait beaucoup Luna, ce qui était d’autant plus compliqué à gérer pour elle que Dame Ai la léchait avec appétit, et que Luna commençait à trembler de plaisir. Ses petites clochettes carillonnaient quand elle se déplaçait, et elle se mit à doucement gémir, ondulant sur place, quand ses Maîtresses mordillèrent ses oreilles. Pas de dents de vampires ! Et jamais Maîtresse Alice ne mordillerait sans un baiser auparavant ! C’était donc la preuve qu’il s’agissait des Maîtresses Karistal, et Luna se mit à ronronner, un sourire béat venant se dessiner sur ses lèvres.

« Maîtresses… »

À ce stade-là, il fallait être totalement aveugle pour croire qu’elle était vraiment punie, vu la manière dont elle réagissait, pleine d’excitation, son cœur rebondissant doucement et joyeusement dans le creux de sa poitrine. Quand Dame Harmony suçota son oreille, un délicieux couinement s’échappa des lèvres de Luna, qui remonta sa main pour caresser subitement la joue de Dame Harmony.

« La prochaine fois, Luna se rappellera de vos lèvres, Dame Harmony… »

Mélinda sourit brièvement, et, quand ce fut à elle, elle mordilla un peu plus fortement l’oreille de Luna, tout en lui pinçant un téton. Luna se mit à couiner, reconnaissait bien là le caractère direct et douloureux de sa Maîtresse vampirique. Mélinda, de son côté, sentait la manière dont le sang d’Harmony bouillonnait très particulièrement dans son corps face à Alice. Elle sourit donc brièvement, tandis que les femmes se regardaient entre elles. Fallait-il encore continuer à jouer ?

De manière très naturelle, Mélinda prit les devants, et défit le bandeau de Luna. Celle-ci cligna des yeux, avant de voir ses quatre Maîtresses, chacune assises tout autour d’elle.

« Nyyyuuu… »

Luna ne savait tout simplement pas quoi dire, car ce tableau était tout simplement trop beau.

« Bon… Ma charmante Ai va te pénétrer, ma belle Luna, car elle l’a bien mérité, et toi aussi. Quant à toi, Harmony, tu vas t’occuper d’Alice, et, de mon côté, moi et ma femme, nous allons honorer la beauté des jumelles Karistal comme il se doit… »

Mélinda se pinça doucement les lèvres, une posture assurée et sereine. Elle avait un talent naturel pour dominer, mais précisa rapidement :

« En revanche, nous irons toutes sur le même lit, mes chéries… »

Autant dire que c’était une délicieuse orgie qui s’organisait…
En fusionnant avec le corps de sa Kiriko, Sha était ravie et comblée. L’Ombre était heureuse en elle, elle sentait l’amour de Kiriko, qui battait furieusement dans son corps. Sha aimait tout cela, mais, à la vérité, elle aimait aussi s’occuper du corps de sa femme, la caresser dans tous les sens. Autour d’elles, les anciennes incarnations de Sha se faisaient plaisir, et le plaisir montait graduellement dans le corps des deux femmes. Sha et Kiriko ne pouvaient guère espérer lutter contre les efforts combinés d’Aloe, de Tharja, et de Misha. Aloe et Tharja les suçaient avec appétit et avec délectation, chacune témoignant d’un talent unique en son genre. Quant à Misha, elle gémissait dans le dos de Sha/Kiriko, soupirant longuement.

Ne disant rien, Sha profitait, jusqu’à pousser Kiriko dans ses derniers retranchements. Un orgasme foudroyant traversa le corps de sa femme, et celle-ci s’effondra sur le lit, comme sonnée. Et, quand Kiriko reprit enfin ses esprits, elle se trouvait couchée au milieu du lit. Elle avait à nouveau repris possession de son corps, et avait troqué sa robe de soirée sensuelle pour son habituelle combinaison violette.

Une main noirâtre caressa alors son visage, et un pouce glissa sur ses lèvres.

« Désolée, ma chérie, cette fusion a parfois des effets excessifs sur les corps, et tu n’y as pas échappé. Tu as… Eu un léger blanc après notre orgasme commun. J’en ai profité pour te rhabiller. »

Une autre main caressa ses jambes. Sha n’avait jamais dissimulé tout l’attrait qu’elle avait pour sa femme dans sa combinaison violette moulante. Kiriko était somptueuse ainsi. En réalité, elle était somptueuse dans n’importe quelle tenue, mais c’était avec sa combinaison de guerrière qu’elle l’avait rencontré pour la première fois. Sha avait sauvé la vie de Kiriko, et Kiriko lui avait prêté serment. Ensuite, elles s’étaient aimées l’une et l’autre, perpétuant ainsi un amour multimillénaire.

Sha se présentait à Kiriko sous sa forme astrale. L’Ombre flottait au-dessus d’elle, et, quand le visage de Kiriko se tourna vers elle, elle alla l’embrasser, chaudement, longuement. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, et son corps se lova contre le sien, prenant une forme plus solide. Les mains de Kiriko glissèrent sur son corps, et les deux femmes partagèrent ainsi un long baiser.

« En définitive, il n’y a que toi et moi ce soir, ma Kiriko… »

Sa main caressa le ventre de Kiriko, de sa femme.

« Et nos bébés respectifs… »

À l’issue de Wallündrill, Sha et Kiriko et s’étaient mariées, et une somptueuse orgie avait eu lieu, à l’issue de laquelle Sha avait enfanté Kiriko. Il était désormais temps de lui rendre la pareille, mais, sous sa forme astrale, Sha ne pouvait tomber enceinte. Son corps humain n’était toutefois pas loin, mais la nuit était encore longue, et rien ne pressait. Pour l’heure, Sha voulait juste satisfaire ses pulsions perverses en caressant sous toutes ses formes le corps de Kiriko.

Finalement, Sha n’avait qu’une seule chose à dire, qu’elle expliqua ensuite, après avoir rompu le baiser :

« Je t’aime, Kiriko… » soupira-t-elle tendrement.
Un bébé, donc… Un mariage, puis une famille. Pamela savait que c’était ce dont Harley avait toujours rêvé avec son Joker, qu’il décide de renoncer au crime, et fonde avec elle une famille, menant une vie normale et bien rangée. Ce rêve était toujours traversé chez Harley, mais, même si elles avaient des enfants, la normalité ne viendrait jamais les saisir. Elles étaient toutes les deux des mutantes, des femmes hors-normes, atypiques. Pamela ne voyait pas Harley se transformer en sympathique ménagère, en femme au foyer l’attendant le soir et lui préparant son repas dans un tablier de cuisine. Ivy sourit brièvement à cette idée, tandis que, sous elle, Harley caressait son corps, glissant sa main sur ses cheveux, l’autre dans le bas de son dos, le long d’une zone creuse.

« Un mélange de nous deux, haaaa… Cet enfant… Sera totalement ingérable, je le crains bien… »

Sa froide intelligence comblée à la douce folie d’Harley… Le mélange était fascinant ! Les tentacules continuant à jouer sur le corps d’Harley, Pamela continua à la pénétrer, enfonçant sa trique dans sa délicieuse chatte. Sa partenaire poussa un nouveau soupir, tout en demandant à Ivy de la complimenter. Celle-ci vint à sourire malicieusement, se mordillant également les lèvres. L’idée n’était pas sans l’amuser, et elle déposa un bref baiser sur les lèvres de la femme.

La complimenter n’était vraiment pas un problème pour Ivy, qui caressa ses hanches, et l’embrassa ensuite dans le creux du cou, mordillant tendrement sa chair.

« Mais que pourrais-je bien te dire, hmmm… ? Que tu es ma petite folle ? La première fois que je t’ai vu, ma chérie, alors que tu errais dans ce parc, j’étais bien loin de me douter que tu changerais ma vie à ce point, que… Que tu me… Hnnnn… Que tu me compléterais comme ça ! »

Elle avait souvent pesté sur Harley, sur ses gaffes à répétition, sur sa sale manie de parler trop vite, mais, somme toute, c’était aussi ça qui faisait son charme, et qui justifiait des coups de fouet à répétition… Coups de fouet qu’Harley, dans le fond, avait toujours adoré. Pamela continuait à onduler en elle, remplissant la cavité intime d’Harley avec son sexe masculin. Sa virilité ne lui épargnait rien, mais Pamela préférait y aller lentement, profondément, marquant le coup, la pénétrant durement et longuement.

« Je t’aime, mon amour, oui… J’ai mis des mois, si ce n’est des années, à réaliser que tu étais mon petit clown… Plus personne ne viendra te reprendre, désormais, car tu m’appartiens, ma chérie. Nous fonderons une famille, et tu seras ma femme, et rien ne changera cet état de fait. Je t’aime, oui, ma Harley, haaaa… »

Il était rare que Pamela se laisse ainsi aller, mais comment résister à sa belle Harley ? Elle l’embrassa encore, longuement, tandis que, suite à cette déclaration, la queue de la jeune femme semblait avoir encore grossi, enflant dans sa chatte, se distillant en elle. C’était un membre chaud, vorace, qui pulsait doucement, qui gonflait dans son corps. Pamela soupira encore, prolongeant volontiers le baiser, fourrant sa langue dans sa bouche.

« Et.. Hmmm… Je vais tellement te baiser, ma Harley, oh, si tu savais, haaaannn… »

Très clairement, cette nuit semblait encore loin d’être terminée !
L’endurance surnaturelle d’Aoki allait être poussée à rude épreuve ce soir. Félicia était comme possédée, son corps envahi par un véritable démon du sexe qui avait intégralement pris possession d’elle. Impossible de se retenir, impossible de se refréner, impossible de se calmer. Tout ce qu’elle voulait, c’était la baiser ! La baiser dans tous les sens, la baiser en long, en large, et en travers ! Ses deux queues s’enfonçaient douloureusement dans le corps d’Aoki, et ces modifications génétiques entraînaient aussi des modifications corporelles, la silhouette fine et athlétique de Félicia devenant bien plus musculeuse, plus épaisse. Une véritable « hulkaïsation » qui la rendait encore plus impressionnante, signe aussi que les drogues qu’elle utilisait devaient être prises à petite dose ! Félicia grognait contre le dos d’Aoki, qui ne touchait même plus le sol.

« Hmmm… Rrrrrr… !! »

Plus féline en ce moment qu’humaine, Félicia laissait s’exprimer son côté sauvage. Elle raisonnait davantage par instinct que par réflexion, continuant à baiser Aoki sans ménagement. Sa main tirait sur ses cheveux, sans tenir compte de ses éventuelles protestations. En ce moment, rien n’aurait pu arrêter Félicia, tout simplement. La force qui l’envahissait était totalitaire, terrible, redoutablement prenante. Elle la contrôlait intégralement, et la Chatte Noire ne pouvait y échapper. Elle la prenait donc, consciente, dans un recoin de son esprit, qu’Aoki pouvait l’endurer.

Black Widow l’avait dit. Il y avait quelque chose de spécial chez Aoki, une force qui ne demandait qu’à s’affirmer. Félicia s’était toujours interrogée sur les raisons ayant pu amener la froide espionne à entraîner cette femme. Avec elle, Aoki suivait des entraînements exigeants, mais elle arrivait à tenir le coup, à suivre le programme de formation du SHIELD. Aoki ne pouvait pas encore accompagner Félicia lors de ses vols, mais la Chatte Noire envisageait de plus en plus sérieusement de l’utiliser comme acolyte. Elle serait ainsi sa « White Cat », la Chatte Blanche… Mais, pour l’heure, Aoki se faisait surtout violemment défoncer.

L’autre main de Félicia se cramponnait sur son sein, et elle continuait à la prendre, faisant heurter son corps contre le mur. Un tableau décoratif sauta de son accroche pour tomber sur le sol, tandis que Félicia continuait à grogner, la besognant toujours plus férocement. En soi, elle n’allait pas forcément vite, mais elle prenait après tout à la fois le fondement et l’intimité de sa chérie, avec des queues bien grosses, bien épaisses. Elle haletait dans son dos, ses dents pointant, ses yeux prenant une teinte plus jaunâtre. Elle tourna le visage d’Aoki pour l’embrasser, un baiser vorace, dominateur.

Douleur et plaisir ne faisaient plus qu’un, et, quand l’orgasme vint enfin la libérer, elle avait des larmes aux yeux. Elle gémit longuement, poussant un long feulement, un miaulement de plaisir en sentant ses deux queues se vider dans le corps d’Aoki, jouissant abondamment.

« Mraaaaaaaaaaaaawww… !! »

Félicia s’abandonna en elle, fermant les yeux, et, quand elle eut enfin joui, son corps reprit une contenance normale. Elle s’écarta d’Aoki, et sentit un vertige la saisir, qui l’amena à tituber. Fort heureusement, le lit se trouvait là, et elle se posa dessus, respirant lourdement. Devant elle, Aoki gisait au sol, ayant laissé une belle traînée de sueur sur le mur… Et ayant aussi griffé le papier peint. Elle avait laissé ses marques, et Félicia ferma les yeux, sentant le contrecoup la saisir. Peinant à se relever, Aoki lécha doucement ses deux sexes.

« Hmmm… Tu sais, Aoki, je… Je crois que je vais nous faire couler un bon bain… Histoire que nous reprenions nos esprits, tu… Tu en penses quoi ? »

Difficile pour Aoki d’être contre ce que Félicia proposait. Elle l’embrassa chaudement, puis invita Aoki à la rejoindre dans la salle de bains de la chambre d’ici une dizaine de minutes. Même si Félicia aimait beaucoup sa combinaison, après tout ce qu’elle avait donné, la retirer fut un véritable soulagement. Nue, elle ne portait plus qu’un collier autour du cou, et fit doucement couler l’eau de leur grande baignoire carrée, suffisamment grande pour les accueillir toutes les deux sans problème, et disposant d’un mode jacuzzi intégré.

Elle fit tranquillement couler l’eau, tout en reprenant ses esprits, et avisa une sorte de petit coffret abritant des pétales rouges qu’elle répandit sur l’eau chaude du bain, tout en allumant quelques bougies. Consciencieuse, elle prit tout son temps pour préparer un véritable cocon d’amour, un nid romantique tranchant avec la vulgarité et la sauvagerie des derniers moments…

…Et, quand Aoki fit irruption dans la pièce, elle eut ainsi droit à une vision enchanteresse, celle du corps nu de Félicia lui faisant face, l’observant en souriant depuis le miroir, à moitié dans l’eau.

« Hmmm… L’eau est un peu chaude, ma chérie, je crois que je vais avoir besoin d’aide… »
Samara sourit doucement quand Sya remua tendrement sur elle, expliquant qu’elle avait besoin de dormir pour que sa grossesse évolue. Le concept était surprenant. Une grossesse, ce n’était justement pas très reposant, a fortiori si Sya utilisait sa magie pour accélérer la gestation du bébé. Samara restait toutefois très curieuse, et elle sentit la magie dans le ventre de Sya s’accélérer, comme une sorte de siphon. Des glyphes en surbrillance se formèrent le long de son ventre, témoignant du fait que la petite Angelotte était en train de puiser dans son énergie pour réussir à accoucher tout en restant éveillée. Une petite moue boudeuse traversa ses lèvres, et Samara sourit brièvement.

« Allons, ma chérie, il est normal que je sois là pour voir la naissance de mon premier enfant, non ? »

L’Archimage l’embrassa alors, et laissa Sya se redresser. Elle la souleva par les cuisses, et sa verge se redressa. Samara, tout en l’embrassant, rabaissa le corps de Sya, qui s’empala doucement sur sa queue. Rien n’était forcé, rien ne se voulait excessivement violent, ce n’était que de l’amour, une sorte de tendresse sexuelle qui s’exprimait dans ses légers coups de reins. Sya remuait sur elle.

« C’est la magie rose qui alimente ce sort divin, Sya… Alors, que je te fasse l’amour n’y changera rien, n’est-ce pas ? Ce sera juste plus épuisant pour toi… Ce qui n’est pas sans me déplaire. »

Mais ce serait sans doute une autre de ses phrases qui surprendrait Sya… Celle où elle parlait de son « premier » enfant. Samara l’embrassa encore, et continua à la câliner, laissant sa chère Ange remuer encore sur elle, sa queue gonflant lentement dans son corps.

« J’ai rompu avec mes liens infernaux, Sya… Et… Pour devenir une femme plus forte et plus influente, il va falloir… Que je fonde mon propre clan. Toi, tu as la chance d’être la première pierre qui me permettra d’avoir par la suite mon clan, une… Un magnifique enfant naîtra de notre union, et il sera le premier d’une belle série… Pas forcément qu’avec toi, hmmm… Et… Hmmm… Oh, ma chère Sya… Tu sais, je pense même qu’il faudra que quelqu’un m’engrosse, mais… J’ignore encore qui pourrait être cet heureux élu. »

Initialement lesbienne, Samara s’était formée et s’était éduquée pour pouvoir aimer coucher avec les hommes. Et elle songeait sérieusement à un clan, seul moyen pour elle de s’élever encore. Elle était une simple haut-fonctionnaire de Mijak, et se rêvait aristocrate, fondant son propre clan, disposant de son château, de ses terres, de ses gens pour la respecter, pour la vénérer et la craindre. La vanité de Samara se gonflait à cette idée, à l’idée de voir des statues à son effigie, des tableaux, des foules de courtisans…

Elle soupira encore, et embrassa plus sensuellement Sya, mordillant sa lèvre inférieure.

« Qu’est-ce que tu ne penses, hm, ma petite Ange ? De m’imaginer en Comtesse… »

L’image était séduisante, et Samara se laissait volontiers tenter, continuant à la laisser danser sur elle…

Hinata

Leur mariage avait beau être tout récent, Hinata savait que chaque jour sera meilleur que le précédent et avec la nuit qui allait se préparer pour elles, pour sûr, ça allait être quelque chose ! La reine avait bien fait son travail, à peine sa femme avait eut la bague au doigt qu'elle était enceinte au petit matin, bon, elle n'allait pas se jeter des fleurs, la moitié du travail avait été aussi pour sa femme après tout, et ce soir, et même les prochains sûrement, il sera question d'inverser les rôles. C'était à Shunya de la prendre et de faire en sorte que la prochaine génération de Kaguya prenne vie. Allongée sur le lit, elle sentait sa tendre femme la prendre avec passion et envie, cherchant à faire en sorte que ses coups de reins puisse être celui qui ira finalement planter la petite graine en elle. Elle n'avait pas lésiné sur les moyens, bien que cela n'ait pas coûté une somme astronomique, ce kimono très court, léger et pratiquement transparent faisait son effet, sans même avoir eut besoin de l'ouvrir ou le retirer. Sa femme était envoûtée par ce dernier.

« Mmmmh et je le serais plus, haaa, pour toi, mon amour... »

Comme son amour pour elle, sa beauté allait grandir, ce qui serait d'autant plus vrai quand elle sera enceinte, que son ventre allait prendre du volume et ainsi la vie en leur ventre allait grandir pour solidifier cette notion de famille. Shunya n'avait rien d'une femme enceinte pour le moment, avec à peine quelques jours, elle n'allait pas déjà prendre quelques tailles aux hanches, leur bébé n'était même pas de la taille d'un petit-pois. Mais Hinata attendait cela impatiemment, de la voir prendre du ventre, en faire de même en imaginant tout ce qui allait arriver par la suite dans leur quotidien. Les bons comme les mauvais côtés évidemment. Les biberons à pas d'heure, les pleurs qui risquent de réveiller le second bébé, la fatigue, et ainsi de suite. Mais c'était un maigre sacrifice comparé à tout ce que la vie aura à leur offrir avec leurs bébés. Les premiers d'une longue suite car pas question qu'ils s'arrêtent en si bon chemin.

« Haaaan, oui... hmmm, c'est si bon... »

La sentir contre son corps, la sentir lui faire l'amour avec cette passion, ça la rendait si heureuse. Même si elle commençait à venir lui pincer les tétons, Hinata n'avait jamais dit détester cela, ça pimentait leur soirée. Certes, il était question avant tout de faire un bébé, mais cela n'allait pas gêner la chose. Et si cela peut motiver sa femme, Hinata pourrait même la laisser y aller avec les dents. Ses mains caressaient le dos de sa femme, caressant son tatouage magique, suivant les lignes de ce dernier. Enfin, elle le faisait à la sensation sous ses mains, cette petite chaleur qui s'en dégageait, les légères bosses sous ses doigts, elle en suivait le tracé quand elle ne succombait pas au plaisir que Shunya lui offrait. Un vrai talent qu'Hinata devait subir, mais quel plaisir !

« Ooooh oui ! Tout, ha... ce que tu voudras, mon amour... Tant que cela, hm... te fera bander... Je me ferais une joie de, mmmh, t'exciter. »

Son corps était écrasé contre le sien, sa langue se collait à la sienne dans un baiser aussi passionné et tendre que langoureux et profond. Il était impossible qu'Hinata se soit tromper en lui avouant ses sentiments, sur toutes les femmes qui peuplaient ce monde, c'était bien elle son âme sœur. Une telle connexion, ça en était presque dingue mais tellement bon. Et après l'avoir sentie contre elle, elle sentait surtout son orgasme arrivée, qui venait déclencher par la suite celui d'Hinata. Crispant ses doigts, elle sentait la vague de plaisir se balader dans tout son corps. Tant de plaisir en quelques secondes....

« Haaaaaaan.... Oh, ma Shunyanya... »

Hinata la remerciait d'un nouveau baiser, plus doux en caressant son visage. Mais elle se dégageait bien vite, venant se mettre à quatre pattes sur leur lit, sa nuisette kimono camouflait en partie ses fesses, mais la jeune reine venait à les remuer doucement.

« Allez mon amour, pas le temps de te reposer et viens faire ton devoir de femme. Viens me prendre comme bon te semble, mais surtout.. Remplis-moi. »

Hinata aussi se lâchait, plus lentement, mais elle était au moins sur la bonne route pour ce genre de choses.

Tessou

La transformation était brutale, mais dans le bon sens. Pour sûr que si Kara aurait été comme Tessou, poli, un peu coincée et du genre douce au lit, elle aurait pris peur face à cette démone. Mais Tessou avait besoin d'expulser tout ça. Leur première fois, ça avait été pareil, mais Tessou à cette époque n'avait pas fait l'amour – pas même en se satisfaisant seule – depuis plus d'un an alors elle avait relâcher toute cette pression. Alors que là, Kara s'occupait tout de même souvent d'elle, sans pour autant partir dans un rodéo incroyable tous les soirs, Tessou avait de quoi faire. Ce qu'elle avait entre les jambes, elle le devait à Mélinda Warren, cette vampire qu'elle a aider quand elle avait perdu la mémoire avant de la retrouver par la suite. Elle avait obtenu un petit cadeau de sa part, mais elle le cachait à Kara. D'une part car cela était destiné à être utiliser en guise de cadeau d'anniversaire, et de deux, elle ne voulait pas évoquer l'épisode Mélinda, du moins, comment elle l'a remercier. Bien qu'elles ne formaient pas encore un couple, Tessou ne pouvait pas avouer comme ça avoir trompé Kara. Même sans être un couple. Certes, pour sa défense, elle avait été droguée par un aphrodisiaque, mais quand même...

Alors il en est de même pour ses lettres et photos. Bien sûr elle les lits et s'étonne parfois du cliché qui l'accompagne, mais elle déchire tout et ça finit à la poubelle. Pas question que Kara tombe dessus ou d'ici quelques années, que sa fille tombe dessus ! Elle n'était pas insensible au charme de la vampire, bien qu'elle semblait jeune physiquement, mais Tessou s'était attaché à Kara, comme Kyoko d'ailleurs alors ne plus la voir soudainement, à cause d'une telle bêtise, elle ne pourrait se le pardonner. Un peu vieux jeu, certes, mais Tessou était ainsi. Mais pas ce soir, ce soir, la luxure était à l'honneur et tout le reste ne comptait pas, sauf si ça pouvait exciter sa belle blonde. À quatre pattes, agitant son petit cul, elle n'attendait que de recevoir sa matraque de chair en elle, une petite sodomie, voilà qui irait réveiller bien des souvenirs, mais surtout de très bonnes sensations. La main de Kara palpant son cul suffisait à la faire vibrer de plaisir, de désir, mais ce n'était pas ce qu'elle attendait d'elle, c'était autre chose de long et dur qu'elle attendait...

« Huuum, me questionner, hein ? Tu vas t'y prendre comment, hein ? Me biffler avec ta belle matraque, han ? Tu vas me l'enfoncer dans la gorge, c'est ça ? »

Tessou cherchait à exciter Kara, mais elle s'excitait aussi toute seule, se mordant la lèvre inférieure à cette idée loin d'être déplaisante. Ha si Kara voulait assouvir des fantasmes, c'était le bon soir pour ça. D'ordinaire Tessou était plus chaste, aimant faire l'amour, mais de façon plus calme, enveloppé dans de jolies nuisettes et des petites culottes toute mignonne. Là, là ça n'avait pas sa place. Kara commença, sa queue s'enfonçait doucement en elle, Tessou souffrait avec elle, serrant les dents en sachant bien que cette douleur allait se transformer en plaisir.

« Haaaaa bor-del ! »

Mais quand elle la sentait entièrement en elle, quand elle sentait son bassin contre sa peau, plus de doute, le plus dur avait été fait. La main de Kara griffait sa peau, la pressait, mais ce n'était pas ça qui allait calmer ce fauve. Jouant de sa puissance ce soir, Tessou s'amusait à faire des cercles avec ses fesses, offrant encore plus de plaisir à cette super femme en position de faiblesse face à cette frêle humaine.

« Mmmmh, ça ne fait, ha... que commencer, mon amour... Place aux choses sérieuses, maintenant... Encule-moi, à fond ! Fait de moi ton esclave, ta chienne ! Haan... Viens me violer, ma petite salope. »

Plus les minutes s'écoulaient et plus la jeune Japonaise était méconnaissable. Vulgaire, provoquante, aguichante, elle piochait les meilleures cartes de la soirée. Après tout, en temps normal, elle ne parlerait pas de viol comme d'une chose amusante, elle avait subi ça en plus des tortures avec la Duchesse, son corps en était marqué après tout. Mais le fait d'en parler sans en faire le lien restait du coup bon signe. Kara pouvait plier un tank comme une boulette de papier, mais ce soir, elle va avoir un sacré morceau à affronter et sa super force n'y changeras rien.

Ai & Harmony, les Karistal

Luna avait certes perdu et, bien que les punitions étaient du genre à lui faire plaisir, Harmony optait pour une chose qui ne pourrait pas lui faire mal. Elle aurait bien proposé les baisers, mais c'était le centre même de ce petit jeu alors ça serait redondant. Du coup, mâchouiller son oreille restait une chose acceptable. Elle-même n'avait rien contre des baisers sur ses oreilles. Bon après, elle n'était pas une neko et savait que ce genre de chose était beaucoup plus intense pour ce genre de personnes. Les jumelles passaient en premier et chacune venant mâchouiller une de ses petites oreilles velues et adorable, nul besoin de chercher qui pouvait couvrir Luna avec autant d'amour, surtout en même temps. Harmony allait elle aussi donner sa punition, avec toute la délicatesse du monde, ses lèvres venant pincer ses petits morceaux de peaux alors que la neko relevait sa main pour lui caresser la joue.

Elle ne répondit que par un sourire, chose que la neko ne pouvait pas voir évidemment, mais elle prit sa main, la déplaçant sur ses lèvres en déposant un petit baiser dessus. Laissant Mélinda agir par la suite, la vampire venait mettre fin à ce petit jeu, sans pour autant délaisser Luna ou une autre personne. Pour commencer dans ses petits changements, Ai allait pouvoir s'occuper de Luna, la remplir à nouveau, cette belle petite chatte qu'elle a si bien habillée. Harmony fut agréablement surprise de savoir qu'elle allait passer un moment avec Alice, elle ne saurait remercier assez Mélinda pour ça. Quant aux jumelles, elles seront avec le couple Warren. Tout le monde y trouvait son bonheur.

« Oh oh oh, je vais pouvoir te remplir, Luna-chan. »

S'étant redressé, la petite futa avançait vers elle comme un fauve sur sa proie, les yeux dans les yeux, allant embrasser la jolie neko en laissant une de ses mains caresser son corps. Son corps couvert en partie, mais aussi dénudé parfois, un joli contraste. Gardant son front contre le sien, elle décollait juste ses lèvres des siennes en souriant tendrement, parlant de façon mielleuse avec elle. Ai n'était en rien méchante. Très perverses et passionnée dans ses rapports sexuels mais douce comme un agneau. Même si de par nature, elle était dominante, c'était une douce domination, pas comme les Karistal.

« Qu'est-ce que tu préfères pour commencer, jolie chatte ? Tu veux que je te prenne ton petit minou ou ton petit cul ? »

Ai allait bien s'occuper d'elle, avec douceur et passion, laissant son nez se frotter contre le sien. Allant avec Alice sur le lit, la domestique de Mélinda se montrait plus tactile qu'à son habitude, elle qui d'ordinaire attendrait l'ordre de Mélinda, elle se blottissait déjà contre Alice, sans l'embrasser, mais la contemplant avec amour en passant sa main doucement sur son corps.

« Que puis-je faire pour vous satisfaire, majesté ? »

La semi-ange buvait les paroles d'Alice, elle pourrait lui demander ce que bon lui semble, elle finirait par accepter tant elle n'avait d'yeux que pour la princesse de Sylvandell. Il y avait deux autres couples sur ce lit, enfin, trois en comptant le fait que les Karistal étaient deux, mais sans appel général, Harmony n'auras d'yeux que pour la belle blonde. Sa tête posée sur son épaule, elle pourrait se contenter d'un câlin, espérant que ce dernier dure des années. Elle savait cet amour impossible, mais elle voulait garder autant de bon souvenir que possible pour pouvoir combler ses pages et ainsi la tourner tôt ou tard. Quant aux jumelles, l'amour d'Harmony ne sera pas au rendez-vous, et la douceur d'Ai non plus, les deux se rapprochaient des Warren, Yuko vers Mélinda, Yuka vers Vanilla, les deux ouvraient le bal avec juste une douce étreinte.

« Alors Maîtresse ? Qu'est-ce qui vous ferait plaisir pour commencer, mh ? »
« Quelque chose me fait dire, que vous aimerez me prendre par le cul, Maîtresse ? Ne vous retenez pas, je suis tout à vous. »

Les Karistal avaient leur façon d'être et cela n'irait pas déplaire aux vampires. Yuka baisé doucement le cou de Vanilla en se blottissait contre elle, là où Yuko caressait la joue de Mélinda en frottant son corps contre le sien.

Kiriko

Pour ce soir, Kiriko était bien entourée, et ses trois partenaires visibles étaient tout aussi excitantes, Aloe, Tharja et Misha. En une seule soirée, Sha avait quatre de ses femmes auprès d'elle. C'était sûrement elle la plus gâtée, mais, après tout, c'était leur déesse, comment ne pas lui rendre honneur de cette façon ? Deux bouches s'occupaient de ses queues même si techniquement, il n'y en avait qu'une des deux qui était vraiment à elle. Mais sa fusion avec Sha faisait qu'elle sentait aussi le plaisir de la queue de sa déesse. Un grand plaisir. Si grand que l'orgasme qui allait avec finit par lui faire perdre conscience, de plaisir justement. L'occasion pour elle de se reposer un peu, mais aussi d'en apprendre plus sur son passée, lointain et commun avec Sha...

Difficile à dire quand cela se passait ? Au tout début de leur relation ? Vers la fin ? Au milieu ? Difficile de trancher, la seule chose que Kiriko voyait, c'était une chambre, grande, belle et qui sentait bon. À moins que cela ne soit due qu'à la présence de Sha à ses côtés, sous sa forme humaine. Elle ne savait pas quelle sorcière elle était, la seule chose qu'elle pouvait déduire, c'était qu'elle était humaine vu la forme de ses mains et un teint de peau similaire à ce qu'elle avait actuellement. La seule chose qui pouvait en soit un peu, choquer, c'était que Sha portait quelque chose. Pas une nuisette sexy à en tomber raid mort ou autre, un maillot assez court avec de fine brettelle mettant en valeur sa poitrine généreuse, mais rien de trop osée. Idem pour cette Kiriko dont elle voyait son corps couvert. Bien qu'elle embrassait Sha, cela ne semblait pas allez plus loin que des baisers et cela cessait, quand on frappait à la porte, laissant entrer dans la pièce une petite fille, dépassant péniblement le mètre avec une chevelure rose bonbon, des petites oreilles pointues et une robe de chambre rose, tenant en ses bras sa peluche pour dormir.

« Je peux dormir avec vous, ce soir ? »
« Bien sûr, mon trésor, vient voir tes mamans. »

La petite avançait, rejoignant le lit avec un brun de difficulté avant de se blottir entre ses parents. Kiriko embrassait le front de la petite fille, en lui offrant le plus tendre des sourires. Sha n'était pas avare non plus, portant son attention sur elles.

« Tu as toujours ta place ici, ma petite Nanamo, même si parfois tes mamans ont besoin d'être un peu seule pour dormir, comme promis, ce soir, tu restes avec nous. Jamais tu ne me quitteras, Nanamo. »
« Non, Maman, je resterais toujours avec toi. »

Kiriko – du moins celle quelle était dans cette vision – sourirait en lui baisant le front à nouveau avant d'éteindre les lumières et dormir toutes les trois ensemble. Si cela pouvait faire sourire, la vérité était un poil plus triste, car en vérité, cette sorcière qu'elle était, n'avait pas connue que des jours heureux. Soriel, son nom de l'époque, peinait à avoir un enfant, d'abord juger comme impossible à procréer, le miracle avait pourtant eut lieu. Elle avait jadis eut un enfant avec Sha, mais ce bébé tant désiré n'avait vécu qu'une courte vie, de quelques jours et toute la magie du monde ne pouvait ramener un mort, sans risquer de se brûler. Un miracle n'arrivant pas deux fois, elle ne pouvait avoir à nouveau un enfant. Même l'amour de Sha ne suffisait pas à lui rendre le sourire et c'est ainsi qu'était arrivée dans leur vie, Nanamo. Bien qu'elle avait une apparence d'enfant, elle était issue d'un peuple cachée, celui des Lalafell. Un peuple très doué en magie et qui, par la même occasion, vénérait donc Sha. Douée sous toute forme de magie, ils restaient cachés dans l'ombre et ne se mêlaient pas aux autres peuples, garantissant ainsi leur sécurité. C'était différent pour Sha, déesse des sorcières. Donc, même si en réalité Nanamo était une jeune adulte, elle jouait le rôle de petite fille pour Soriel, l'aidant à retrouver le sourire, quitte à juste jouer les petites filles et se faire bichonner tous les jours...

Retrouvant ses esprits, la sublime Sha était là, sous sa forme spectrale. Même si elle était belle en tant qu'humaine, même ainsi Kiriko la trouvait sublime. C'était sous cette forme qu'elle avait d'ailleurs demandé à tomber enceinte. Kiriko essuya ses yeux, légèrement embuée avant de sourire à Sha en portant ses mains vers son visage.

« Ce n'est rien, mon amour. Je ne suis que ta sorcière, je ne suis pas une déesse pour prétendre supporter tes orgasmes. »

Dit-elle amusée. Elle trouvait ça un peu idiot d'être habillée, car qu'importe que sa femme aimait sa tenue, elle ne restait jamais bien longtemps sur son corps. Jamais en un seul morceau du moins. La déesse la rejoignait, venant se coller à elle, et ensemble, avec leurs bébés. La sorcière ne pouvait qu'être heureuse de voir son rêve devenir réalité, elle et sa femme et dans neuf mois environ, leur petite Arya et Abbigail. Oui, elle était un peu impatiente bien qu'elle veuille vivre ses neufs mois pleinement, les bons comme les mauvais côtés.

« Je t'aime aussi, Sha... et notre bonheur ne fait que commencer. »

Oui, elle comptait bien vivre des dizaines d'années à ses côtés et voir leur famille s’agrandir d'année en année, avoir tant de petites sorcières à gérer qu'elle en gagnera rapidement ses premières mèches blanches.

« Mais, qu'est-ce que tu me réserves donc, ensuite ? Car pour m'habiller comme ça, c'est pas pour dormir vue que je dors nue... et je doute qu'on ait une sortie de prévus, vu l'heure qu'il est... donc ? »

Kiriko savait bien, du moins dans les grosses lignes, ce qui allait se produire, la question, était de savoir, comment ? Peut-être pas la forme slime vu ce qui venait de se produire, en mettant ça de côté, il reste encore tant de possibilités qui l'émoustille déjà.

Harley Quinn

Il lui tardait de tomber enceinte, d'avoir cette mini Pamarley en elle – nom provisoire, évidemment – et voir quel genre de bébé, ce sera ? Oh un petit gars, ce serait bien, mais une petite rose folle dingue, ce serait encore mieux ! Harley saura lui trouver de ravissante petites robes et de mignons petits costume d'arlequin ! Voir même tout un tas de choses encore ! Elle ne manquait pas d'idée sur ça. Et puis outre la ressemblance, à quel point sera-t-il intelligent ? L’intellect de Pamela avec les taquineries d'Harley, elles vont en baver ! Ou la folie d'Harley coupler à son envie d'un monde vert... Elle va vite rejoindre Greenpeace cette petite ! Mais passons à autre chose, à l'amour ! Harley avait envie d'un peu de fumée rose autour d'elle, de quelques notes de piano en fond comme dans les jeux de l'humour, ou un truc dans le genre qui dure depuis dix générations, un truc à l'eau de rose... Bref, elle voulait plonger son regard dans celui de sa belle plante et sombrer de plaisir.

« Hoooo, ma Pamy-chériiiie !!! »

Elle adorait, mais elle en voulait plus ! C'était une drogue incroyable ! Elle l'écoutait avec plaisir, avançant toujours plus loin dans ses propos. Ne pas la quitter... rester A elle... Devenir sa femme... Non, elle voyait plus loin, plus pervers, mais c'était l'amour qui parlait, car bien entendu, ce que Pamela avait dit, ça lui convenait très bien...

« Han oui ma chérie... Haaaa, tu me mettras un collier et une laiiiiiiisse ! Huuum, puis je serais... aussi... han, et surtout... La mère de ton enfant. »

Harley ne perdait pas son sourire. Son sourire comme son regard justement, il n'y avait pas une once de folie dedans, juste un feu ardent qui brûlait pour elle, pour sa belle plante qui ne cessait de la couvrir d'amour. Comment Harley pourrait se dire qu'elle quitterait une telle femme ? Il faudrait être folle ! Oui enfin, plus qu'elle ne l'était ! Répondant plus que présente à son baiser, elle adorait la sensation de ses lèvres sur les siennes, elle fondait sur place tant elle adorait sa jardinière adorée.

« Haaaaaaan ouiiiii mon amoooooour ! Baise ta petite Harley !!!! Haaaaaaaaaaaaan bien bien fort ! Et, ha, tout au fooooooond ! Comme ça, hummm... la petite graine sera bien plantée ! Alors, haaaaa... Sors ton baobab et remplis-moi la chatte, mon amour ! »

Amour souple et délicat couplé à ce qui était vulgaire et cru... Subtile mélange qui pouvait bien les représenter au final. Pas forcément en sexe, mais dans leurs mauvais coups, Pamela faisait preuve de finesse et de discrétion là où Harley avait besoin de sept bazookas minimum pour se montrer discrète. Toujours bine agrippée à sa chérie rousse, tant avec les jambes qu'avec ses bras, elle se mordait la lèvre inférieure sans quiter son regard du sien.

« Allez ! Vas-y chérie baise-moi Haaaaaa ouuuh ouais ! Rhhhhhaaaaa encore encore ENCORE !!!! »

La bête était déchaînée et il n'y avait qu'une solution pour la calmer...

Aoki

C'était intense, si intense ! Aoki avait rarement eut sa Felicia si motivée et si concentrée à la culbuter comme ça. Certes, une double pénétration, c'était une première, mais elle avait confiance. Oui, même en la sentant grogner, lui tirer les cheveux et ses mains se montrant plus brutale que douce, même quand elle pressait sa poitrine. Mais peu importe. Elle savourait cet accouplement si sauvage, mais ô combien délicieux. Bien entendu, elle souffrait, se faire tirer les cheveux comme ça n'avait rien de délicat, ses mains faisaient parfois mal, ses queues étaient aussi grosses que gourmande, un mal pour un bien cela dit. Mais elle aimait ça. Elle aimait quand elle était douce avec elle, quand elle était sa maîtresse, quand elle était un fauve, elle aimait la Black Cat, elle aimait Felicia Hardy, elle aimait cette femme, tout simplement. Elle pourrait l'attacher en pleine nuit pour lui faire l'amour qu'elle aimerait ça. Elle allait en baver demain ou même après si ça continue, mais pas grave, elle aimait tout ce qui se passait.

« Ooooooh ouiiii ! Haaaaaa, Feli... Nyaaaaaan ! »

Aoki grattait le mur, ses coups de reins si puissants qu'elle finissait à force par ne plus avoir les pieds au sol, juste de sentir Felicia jouer avec elle comme elle jouerait avec un sac à foutre. C'est ça, elle était sa chose en ce moment et tout les « je t'aime » et les caresses n'y changerons rien. Là, ce n'était qu'un fauve ayant besoin de se soulager, rien d'autre. Et elle aimait ça, ça ne changeait en rien son point de vue sur sa bien-aimée. Les muscles bien plus présent dans son dos ne la dérangeait pas, ça rendait la chose plus à son goût. Non pas qu'elle fantasmait sur les muscles, mais elle était sa princesse, et elle, son « prince » charmant alors forcément, elle se devait d'être forte pour cela. Venant enfin se libérer, Felicia jouissait en elle, par ses deux queues, noyant les fondements d'Aoki qui se sentait libérer elle aussi. Elle avait un peu mal, mais libre. Ses énormes mandrins se retiraient et elle tombait au sol, le corps tremblant encore de ce délicieux plaisir intense. Il ne serait pas étonnant que sa semence si précieuse finisse par s'en échapper un peu, elle lui avait dilaté l'anus comme le vagin ! Sacré performances ! L'esprit embrumé, elle se dirigeait machinalement vers elle, venant lécher l'une de ses belles queues, mais c'était Felicia qui agitait le drapeau blanc cette fois, préférant avant un bon bain.

« Oh... J'en serais ravie, ma chérie. »

Elle ne regrettait pas ce costume, mais il serait bon de le retirer un peu et de retirer la sueur et la crasse qu'elle avait récolter. Il ne faut pas oublier que Felicia avait arroser sa poitrine et depuis, sa semence avait eut le temps de bien se mêler à sa chaleur et sa sueur sur sa poitrine. Une bonne douche ou un bon bain, quoi de mieux pour se sentir bien propre avant une potentielle suite ou alors juste une bonne nuit de sommeil. Restant un peu seule, elle retirait lentement sa combinaison, se sentant libérer de cet accessoire aussi excitant qu’essoufflant. Maintenir Felicia dans un état pareil, c'était du sport. Elle restait assise près du lit, ne préférant pas y laisser son odeur, qui, en dehors du feu de l'action, ne devait pas sentir si bon que ça. Une fois qu'elle entendait l'eau qui avait cesser de couler, elle rejoignait la salle de bain, se tenait près de la porte, face à une vision du paradis...

« Hum, tu m'en demandes beaucoup... Tu m'as bien épuisé ce soir. »

Dit-elle en souriant avant de doucement de déplacer pour la rejoindre. Elle baisa le haut de ses fesses, remontant son dos, jusqu'à sa nuque. Elle se glissa à son tour dans la baignoire, venant la rejoindre doucement, sans se presser, déposant un baiser rapide sur ses lèvres.

« Maintenant que mon fauve s'est calmer, elle pourrait prendre soin de sa petite chatte, non ? »

Si d'ordinaire, elle prenait Felicia selon son humeur, là, un peu de douceur serait le bienvenu.

« Enfin, je peux sûrement réussir à te détendre un peu avant ça. Un peu d'aide pour te laver ? Te masser peut-être ? »

Une telle performance, ça méritait de prendre soin de ce corps de rêve aussi.

Sya

De nouveau heureuse avec sa maman, l'ange savourait ce petit câlin, elle aimait toujours ses câlins, mais quand elle se montrait vraiment douce, ça devait être les meilleures vues leur rareté. Hélas, pour elle, Samara voulait lui faire l'amour toute la nuit ce qui d'ordinaire est normal, là, vu qu'elle comptait sur son sommeil pour que la magie rose fasse son travail et lui laisser assez de force lors du grand moment, là, elle va devoir rester éveiller pour que sa jolie maman y assiste. Continuant de - faussement – bouder, elle la regardait en gonflant ses joues.

« Mais, moi, je préférais huuum... dormir avec toi, pour que demain... haaaa... tu puisse tenir ta fille entre tes bras. »

Samara laissait parler ses envies, son cœur, avouant que cet enfant était le bienvenu, que Sya serait la première pierre à ses projets, une grande famille ? Ce terme la faisait rêver, elle se voyait déjà mettre au monde des tas de nephalem toutes plus mignonne les unes que les autres, ses enfants avec Samara, avec ses nekos, oh oui, elle voyait là une très grande famille et ça, ça la rendait heureuse autant que cela l'excitait. Car pour avoir beaucoup d'enfants, il faut beaucoup copuler. Eh oui. Elle ne perdait pas le nord. Mais quand sa mère avoua qu'elle voudrait aussi avoir sa petite graine en elle, elle avait toute l'attention de sa fille pour le coup.

« Ooooh moi mamaaaaaan ! Haaaaan, oui, je veux... hummm, te faire l'amour et, haaaa... jouir en toi huuuuuuum ! »

Oh, cette idée lui plaisait vraiment beaucoup, d'imaginer prendre sa mère, avec tendresse pour qu'elle puisse attendre son bébé, ça la rendait heureuse et impatiente. Rien ne disait que Samara penchait pour Sya pour ça, elle avait sa fierté de démone, mais l'idée plaisait beaucoup à Sya en tout cas. Quant aux fantasmes de sa mère de se voir en comtesse, pour Sya, peu de différence, mais sa mère aimaient ce genre de titre, alors soit.

« Huuum, tu seras tellement belle... et excitaaaaante, haaaa... Même en reine, tu serais si belle, maman... Huuum.... Et on aura des princesses, ha, comme ça. »

L'idée de prendre soin de petite princesse la tentait bien ? Bon, ça ne changerait rien à son rôle de maman, mais elle pourrait lui mettre de très belles robes hors de prix juste sous prétexte qu'une princesse s'habillait ainsi. Enfin, peut-être que porter une couronne ne tentait pas Samara, Sya se fichait bien du statut des gens, pauvres comme nobles, elle aidait les femmes ayant besoin de ses services, point final.

« Hmmm, mais quand, haaa... tu seras comtesse... Je serais toujours ta fille chérie, huuuum ? Tu me baiseras foooort ? Huuum haaaa... et tu me puniras, huuum ? Et après, hou, tu me câlineras, maman chérie ? »

Sya aimait toutes les facettes de sa mère, de la plus cruelle des démones à la plus douce des mamans, tout était bon pour l'exciter. Et puis, ses sens de la luxure était très poussé dans cet état, elle le sentait... Tout autour d'elles, dans cet hotel, tant de femmes faisait l'amour comme si cela était leur dernière fois, des odeurs qu'elle connaissait comme Mélinda ou les Karistal mais des odeurs inconnues mais tout de même délicieuses. Mmmh oui... Dans toutes ses odeurs, certaines faisaient l'amour comme Sya, pour agrandir leur famille, du moins, elles essayaient. Après, ça fonctionne ou non, elle n'en savait rien.

Petit à petit, Shunya se découvrait sexuellement. Elle avait quelques années de retard, car elle avait, pendant des années, fait preuve d’une incroyable timidité. Elle s’était révélée en compagnie d’Hinata, et se découvrait, sexuellement parlant. Elle avait ainsi découvert qu’elle aimait beaucoup l’hermaphrodisme, la sodomie, la fellation… Et là, à voir Hinata dans ce beau kimono transparent, elle réalisait aussi cette passion latente pour le fétichisme, quelque chose qu’elle avait déjà eu l’occasion d’effleurer quand Tsukasa lui avait présenté de longs gants moulants avec des collants, le tout dans une tenue sensuelle en latex… Shunya n’en était pas encore à ce stade, mais là, tandis qu’elle jouissait dans le corps d’Hinata, elle s’imagina pendant quelques secondes ainsi, dans une tenue de dominatrice.

Timide, elle se révélait encore plus facilement, et, quand Hinata se mit à quatre pattes, Shunya sentit ce frisson la traverser. Ce fantasme lancinant revint. Elle venait de jouir, et sa queue se redressa encore. Le tatouage s’illumina encore dans son dos. Rien à voir avec ses premières fois où elle était devenue étincelante. Là, la marque brillait, et elle se pinça les lèvres.

« Oh oui, ma chérie… À quatre pattes devant moi, c’est exactement comme ça que je t’imaginais… Mais il est temps d’essayer encore autre chose… »

Si Hinata la regardait, elle pourrait voir les yeux de Shunya s’illuminer d’une étrange lueur violette, tandis qu’un symbole très particulier se formait progressivement sur son ventre : un cœur violet, la marque de Lust. Shunya frémit donc, pinçant le cul d’Hinata, puis ouvrit un placard avec sa magie, et amena à elle plusieurs vêtements. Elle enfila ainsi un body noir moulant en latex, ainsi que des bas noirs en latex qu’elle attacha à son body avec des porte-jarretelles. Ainsi équipée, Shunya retourna se presser contre le dos de sa femme, et sa queue caressa doucement ses fesses, se nichant dans le creux, appuyant dessus.

« Je te l’ai dit, Hinata-chan, je t’enfante ce soir, et, pour ça, je compte bien exécuter tous mes fantasmes… Y compris celui de te dominer pleinement ! »

Shunya leva alors sa main, et gifla le beau petit cul d’Hinata. Une fessée délicate, mais qui claqua dans la chambre, comme pour illustrer le fait que Shunya était prête à passer aux choses sérieuses. Elle guida ensuite sa verge, et titilla l’ouverture d’Hinata, avant de s’enfoncer de nouveau dans sa chatte, la prenant joyeusement en levrette. Là, dans cette position, elle avait bien plus d’amplitude, ce qui rendait le coït encore plus agréable.

« Haaaann, Hi-Hinata-chan, hmm… Je vais te baiser violemment, ma belle… Je veux que tu me vouvoies, hmmm… Comme si j’étais ta Maîtresse, haaaannn… »

À cette idée, Shunya en rougissait, autant de honte que d’un plaisir manifeste qui remontait progressivement en elle !
Tessou ne cessait de la surprendre… Positivement parlant. Kara frémit quand elle s’enfonça en elle, heurtant son fondement. Le cul de Tessou était bien serré. Si la policière angoissait à l’idée de lui avouer sa luxure auprès de Mélinda, la réalité aurait pu la surprendre. Si Tessou avait été marquée par la Duchesse, Kara, elle, venait d’une dimension où son propre cousin était devenu un tyran totalitaire, et où Kara avait été brimée. En redécouvrant la liberté, elle en profitait pleinement, et elle ne voulait pas brimer Tessou. Si elle apprenait donc ce que celle-ci avait fait avec Mélinda, elle proposerait sûrement à Tessou de venir avec elle dans ce fameux manoir. Sauf à ce que Mélinda dispose de kryptonite, Kara ne craignait pas grand-chose… Qui sait ? Pour l’heure, en tout cas, point de Mélinda Warren, simplement deux femmes affamées. Kara frissonnait devant cette verge, mais il était évident que, tôt ou tard, Tessou allait devoir répondre à des questions, et allait devoir expliquer à Kara comment elle avait récupéré une pilule d’hermaphrodisme.

Mais, pour l’heure, donc, Kara se concentrait sur une seule chose : enculer sa chérie plus fortement encore ! Celle-ci l’insultait même, souhaitant qu’elle y aille plus fort. Kara grogna donc, et donna une belle gifle sur le cul de Tessou, tout en filant en arrière, et donna un coup de reins supplémentaire, ce qui renversa Tessou… Mais Kara l’attrapa par les cheveux, et tira en arrière, la redressant, arrachant à la policière quelques cris. Bien sûr, elle ne serrait pas trop fort.

« Hmmm… Ce… Tu es si étroite, haaaaa, ma chienne… Je ne t’ai pas assez en-Enculé, hmmm… Oh ouiii, je sens ton manque, haaaannn… Tu n’attendais que ça, h-hein ? Que ta Maîtresse… Se rappelle à toi ! »

Kara se laissait aller, le plaisir l’enivrant, la douleur la noyant. La sodomie, c’était ça, un subtil et redoutable mélange de deux émotions antinomiques, le plaisir et la souffrance. Plus généralement, le sexe fonctionnait ainsi, mais la sodomie mettait tout cela en exergue. Le petit cul de Tessou était très serré, et la douleur éclatait pour les deux femmes. Kara se pinça les lèvres, sentant difficilement son membre s’enfoncer dans le corps de la belle policière. Chaque coup de reins la faisait gémir, tout son corps tremblant au contact de la jeune femme. Elle s’enfonçait lentement, dilatant et écartant les parois anales à chaque coup, soupirant, gémissant longuement.

Supergirl se prenait au jeu, et, pour compenser la douleur, giflait le cul de Tessou. C’était une situation d’autant plus intense pour la Kryptonienne qu’elle n’était pas habituée à ça. Elle ne se faisait pas mal comme un humain ordinaire, mais là, les simples lois de la physique s’appliquaient à elle et à son membre magique. La sueur commençait à couler sur son corps, et elle prenait Tessou en levrette, jusqu’à pouvoir s’enfoncer plus profondément en elle. Son membre s’enfonçait jusqu’à la garde, et elle soupira encore, giflant le cul de Tessou.

« Allez, ma petite chienne ! N’escompte pas dormir si vite ! C’est… C’est TOIma salope ! Dis-le ! Dis que tu es la salope de ta Maîtresse, une chienne toute juste bonne à être FOURRÉE ! »

Tessou libérait enfin ses pulsions sexuelles longtemps refoulées. Fort heureusement, Kyoko ne risquait pas de les entendre, et les deux femmes se laissaient aller. Peu habituée à ce membre, Kara mit quelques minutes avant de jouir avec appétit dans le cul de sa partenaire. Elle inonda ses fesses, et soupira ensuite lentement, sentant un frisson traverser son corps. C’était la première fois qu’elle expérimentait l’orgasme masculin, et l’intensité de cet orgasme la laissait pantoise. Une femme avait un orgasme tout aussi intense, mais qui s’étalait plus longuement, une véritable petite mort qui remuait dans vos entrailles. L’orgasme masculin était recherché, on se forçait, on bandait furieusement, et la jouissance prenait tout son sens, véritable délivrance phallique.

La respiration lourde, Kara resta encore quelques secondes dans le cul chaud de Tessou, et sortit son membre.

« Je n’en ai pas encore fini avec toi, Tessou… Mais il me faut une tenue plus appropriée… »

Elle disparut dans un coup-de-vent… Et revint une ou deux secondes après dans un autre coup-de-vent. Kara avait troqué sa combinaison habituelle pour une tenue moulante noirâtre bien différente. Elle avait une paire de longs gants et collants noirs avec un corset noir moulant, mettant en valeur ses seins. Sa verge était toujours là, et elle tenait dans sa main un collier avec une laisse.

« Bon… Tu m’as insulté tout à l’heure, non ? Il faut donc te rappeler les usages… »

Kara mit son collier autour de son cou, et attrapa la laisse, sa queue trempée près de son visage.

« Tu vas lécher mon membre… Pendant que je réfléchis à tes limites. Car tu es ma chienne, et je sais que les chiennes aiment marquer leur territoire avec de l’urine. Alors, en toute logique, je devrais te pisser dessus… Ou dedans » glissa-t-elle sur un ton sensuel, presque comme si on l’avait drogué à la kryptonite rouge.

Elle maintint sa proposition en suspens, afin de voir comment Tessou allait réagir, et de pouvoir analyser son rythme cardiaque, ce qui lui permettrait de savoir si l’idée la terrorisait… Ou, au contraire, éveillait en elle une sourde et profonde excitation !
Mélinda prenait naturellement les rênes des opérations, et sa suite disposait d’un lit king size suffisamment grand pour abriter les six personnes qui batifolaient joyeusement depuis maintenant une bonne heure. Elle avait répertorié les couples en fonction de leur attirance mutuelle. Luna, qui avait été bien cajolée par toutes ses Maîtresses, flottait comme sur un petit nuage, mais avait aussi les joues très rouges. Tout son corps tremblait nerveusement, et, quand Dame Ai alla l’embrasser, Luna frémit, ronronnant sur place. Ses poils se hérissèrent, ses oreilles pointues se redressèrent, sa queue caudale se durcit doucement, et ses petites griffes titillèrent le lit. Tous les signes avant-coureur étaient là, témoignant de la furieuse excitation de Luna. Ses Maîtresses l’avaient furieusement chauffé, et elle embrassa donc avec appétit Dame Ai.

Celle-ci avait un baiser très vif. Luna avait déjà eu l’occasion de la rencontrer quand elle était au service de Maîtresse Mélinda. Elle sentait l’énergie de Dame Ai, sa puissance, et même une certaine forme d’impatience dans ce baiser appuyé. À quatre pattes, Dame Ai l’embrassa assez longuement, avant de se redresser, et proposa à « Luna-chan » de choisir par quel trou la prendre. Luna pencha la tête sur le côté, avant de se mordiller les lèvres, et se tourna face à Ai, lui présentant son postérieur. Sa queue caudale descendit, et flatta la belle queue de Dame Ai. Sa queue phallique heurta ensuite ses fesses, et Luna déplaça sa queue caudale, l’entourant autour de la taille de Dame Ai.

« Nyyyuuu… Lu-Luna est très chaude, Dame Ai… Alors… Prenez son petit corps par le cul, mrrrraaawww… »

La neko se dandina sur place, tout en ayant aussi devant elle une formidable vue sur ce qui allait se passer. Elle sentit Dame Ai se rapprocher. Malgré sa petite taille, Dame Ai était très énergique, et Luna sentait bien que celle-ci n’avait rien perdu de tout son pétillant. Sa queue caudale se mit donc à frissonner, vibrant chaudement et doucement, comme pour motiver davantage Dame Ai à venir la prendre bien fort.

Devant Luna, Alice était en compagnie d’Harmony. On disait souvent d’une personne aimée qu’elle était la dernière à réaliser qu’on l’aimait. Ce vieux dicton avait-il vocation à s’appliquer ici ? Pour Mélinda, l’amour d’Harmony envers Alice était évident, aussi évident que le nez au milieu de la figure, mais Alice, soit feignait de le voir, soit ne l’avait vraiment pas vu. Toujours est-il que les deux femmes allèrent s’embrasser. Pour l’occasion, Alice n’avait pas encore enfilé sa tenue de dominatrice, mais portait une tenue moulante blanche, ressemblant à celle de Yuko, à savoir une sorte de long sling bikini blanc, dévoilant son ventre parfait, et protégeant ses seins et son sexe, les bretelles partant sur les côtés.

« Oh, Harmony… »

Après que celle-ci se soit blottie contre elle, Alice l’avait tout naturellement embrassé, pressant son corps contre le sien. Elle la déplaça ensuite, la caressant doucement, et Harmony se retrouva couchée sur le dos. Alice resta sur elle, sa main se glissant dans la sienne. Ses doigts se serrèrent dessus, et elle l’embrassa à nouveau, ses jambes se frottèrent contre les siennes.

« Tes lèvres sont si douces, ma belle… Si tendres… »

Le nez d’Alice se frotta contre le sien, et elle appuya encore. Alice se concentra ensuite en fermant les yeux, et Harmony put ainsi sentir une bosse taper contre ses cuisses. Un sourire moqueur éclaira ensuite les lèvres de la Princesse, qui embrassa à nouveau la jeune femme. Pendant ce temps, elle déplaça son autre main, de manière à attraper sa verge, et se redressa un peu.

« A-Allez, ma chérie… Laisse-moi te faire du bien ! »

Son membre s’enfonça doucement entre ses cuisses, et elle commença à remuer, retournant embrasser Harmony, cette fois en mordillant ses lèvres, optant ainsi pour un baiser plus marqué, plus prononcé, son corps frissonnant sur place au contact de celui de sa belle partenaire. Plus hargneuse, plus vive, elle s’enfonça en elle, remuant avec appétit dans son corps.

De son côté, Mélinda était assise dans le fond du lit, et observait ces deux couples naissants, tandis que Yuko et Yuka la rejoignirent. Vanillia était assise à côté de sa femme, leurs mains entrelacées, et celles-ci se détachèrent quand les deux jumelles s’approchèrent. Yuka se lova contre Vanillia, qui sentit doucement sa queue se redresser. Elle répondit au baiser de Yuka, qui proposa une sodomie, faisant délicatement sourire Vanillia. Ainsi, Yuka savait son petit fantasme, qui n’était en réalité pas difficile à deviner. On pouvait aisément supposer que Luna avait parlé des longues heures de sodomie que Vanillia lui avait jadis infligé.

Vanillia répondit donc à son baiser, et repoussa doucement Yuka.

« Hm-hmmm… J’admets que ce petit cul est tentant. Mets-toi bien à quatre pattes, ma belle petite Yuka… Frotte ton petit cul contre ma queue, montre-moi combien tu as envie de te faire baiser… »

Quant à Yuko, elle se frottait contre le corps de Mélinda, qui posa sa main sur ses fesses, pressant son cul, et caressa sa nuque avec l’autre main. Elle l’embrassa sur le nez, puis sur les lèvres, et soupira doucement.

« Je sais par où commencer avec toi, ma Yuko… »

Elle la repoussa à son tour, et Yuko se coucha sur le lit, son visage se retrouvant ainsi sous celui de sa sœur. Tandis que Yuka se faisait prendre par l’arrière, et que Vanillia la giflait en la sodomisant ensuite, Mélinda, elle, resta devant Yuko, ; et enfonça son membre dans sa chatte, tout en la laissant embrasser sa sœur. Si le péché mignon de Vanillia restait la sodomie, pour Mélinda, l’inceste était quelque chose qu’elle avait toujours apprécié.

Yuko se trouvait donc avec le visage sous celui de Yuka, et Mélinda la pénétra doucement, enfonçant son membre chaud et assoiffé en elle.

« Hmmm… Tu es si bonne, ma petite chérie… »

C’est ainsi qu’une délicieuse orgie s’organisait sur le lit, faisant craquer les supports de ce dernier.
Sha fronça lentement les sourcils, percevant le trouble de Kiriko, ses émotions. Tandis qu’elle reprenait ses esprits, elle avait rêvé… Comme si une nouvelle personnalité avait rejailli. Soriel… Sha se remémora cette puissante sorcière, qui avait des gènes elfiques. Du fait de ses gènes elfiques, avoir un enfant lui était de base difficile, et leur fils était mort au bout de quelques jours, à cause d’une virulente épidémie de peste. L’accouchement de l’enfant avait été compliqué, si compliqué que, suite à cela, Soriel était devenue incapable d’enfanter, et ce malgré tous les efforts de Sha. En étant proche des elfes, Soriel s’était rapprochée des peuples sylvains, notamment les Viéras, ces femmes-lapines, et avait ainsi adopté une Lalafell.

*Nanamo…*

L’esprit de Kiriko était pour Sha un livre ouvert. Elle lisait ses pensées sans même le vouloir, et essaya de se rappeler ce qu’elle savait de Nanamo. Les Lalafell… Un peuple silencieux, qui vivait dans l’isolement, dans des cités oniriques, généralement dans des lieux chargés de magie, comme des îles, des forêts profondes… Sha avait oublié Nanamo, et se demanda pourquoi Kiriko avait songé à elle. Comme une madeleine de Proust, elle revit également les souvenirs affluer, tandis que Kiriko, visiblement émue, revenait à elle.

Elle se vit dans une cité elfique, une citadelle située dans une grande forêt. Des arbres millénaires se trouvaient là. La nuit venait progressivement, un voile noirâtre tombant sur la ville, et elle se retourna vers la chambre. Nanamo venait d’arriver…

Sha papillonna des yeux, et ses lèvres se rapprochèrent de celles de Kiriko. Elle venait de lui demander ce qu’elle comptait faire. Sous sa forme astrale, Sha caressa la joue de Kiriko, son pouce glissant sur ses lèvres.

« Tu sais comme je te trouve belle dans cette tenue, non ? »

L’Ombre se rapprocha de Kiriko, et l’embrassa une nouvelle fois, sa langue s’enfonçant dans sa bouche. Une langue qui devint un peu plus reptilienne, tandis que Sha appuyait sur son corps. Elle la coucha ainsi sur le lit, et des tentacules noirs jaillirent autour de Kiriko, s’enroulant autour de ses poignets et de ses chevilles. Elle se retrouva ainsi retenue sur le lit, en étoile, et Sha sourit encore. L’Ombre se redressa doucement, posant une main sur l’épaule de Kiriko, et son autre main titilla ses lèvres. Elle sourit encore, deux langues jaillissant de sa bouche, tournoyant sur place.

« Je vais te faire longuement l’amour, Kiriko… Doucement, tendrement, passionnément, mais aussi violemment… »

Sha comptait tout lui faire subir, et se pencha encore, venant déposer un baiser dans le creux du cou de la femme, puis lécha ensuite son corps. Une nouvelle vision revint ensuite.

Nanamo la tenait par la main, et elles s’avançaient toutes les deux le long d’une plage.

« Maman est par là… » dit-elle, avec une infinie tristesse dans la voix.

Sha la suivit, voyant une île curieuse, paradisiaque, visiblement située dans des régions tropicales de Terra. Des Moogles se trouvaient là, étonnantes créatures blanchâtres très proches des Lalafell. Pas d’embarcation à proximité, et Sha entendit le sifflement de mouettes qui évoluaient dans les airs.

Quels étaient le sens de ses visions ? Sha déposa un baiser sur l’un des seins de Kiriko, le pinçant à travers la combinaison. Pendant ce temps, l’Ombre les entourait, et une autre Sha apparut alors, jaillissant du mur. Son torse apparaissait, et sa main caressa le visage de Kiriko, puis cette deuxième Sha l’embrassa. Petit à petit, Sha se multipliait pour s’occuper de Kiriko. Elles avaient été très violentes auparavant, sexuellement parlant.

L’Ombre variait donc les plaisirs, car, même si Kiriko voulait donner le change, Sha sentait que quelque chose l’avait perturbé, quelque chose qui était lié à Soriel, et à Nanamo. Elle voulait donc en savoir plus en sondant ses propres souvenirs… Tout en faisant plaisir à Kiriko.

Quatre Sha s’occupaient désormais de Kiriko. L’une l’embrassait langoureusement. Deux autres léchaient chacun de ses seins, et la quatrième s’attaquait à son sexe, le tout à travers sa combinaison.
Pamela venait de faire sa déclaration, de lever toutes les ambiguïtés et tous les doutes éventuels. Oui, elle était amoureuse. Oui, elle aimait Harley. Elle l’aimait profondément et sincèrement, d’un amour éternel, presque immuable, intense et passionné. Une situation surprenante pour les deux femmes, car, si Harley avait toujours été très excentrique, Ivy, elle, était plus calme, plus froide, plus réfléchie. Mais là, dans ce lit, le démon du sexe s’emparait d’elles. Elle se savait inféconde, mais Ivy savait aussi qu’Harley était féconde, et que les deux femmes étaient très fortement compatibles. Si Ivy pouvait mettre une femme enceinte, ce ne pouvait être qu’Harley. L’idée semblait l’enthousiasmer, et Ivy se laissa aller à visualiser leur futur… Elles ensemble, dormant dans un lit, avec leur fille en plein milieu, une délicieuse blondinette, ou peut-être une rouquine avec des tâches de rousseur…

Cette idée fit bander encore plus fort Ivy, qui sentit un frisson la traverser. Tout son corps frémit sur place, et son membre gonfla et durcit dans le corps d’Harley. Elles avaient fait toutes les positions possibles et inimaginables ensemble, et ce n’était pas prévu de se terminer. Ivy la prenait en missionnaire pour le moment, et soupira quand les jambes d’Harley se crispèrent autour de ses hanches. Cependant, vu comment Harley s’enflammait, Ivy savait qu’elle allait devoir se surpasser.

« Oh, Harley… Ma délicieuse petite pute… »

Elle retourna l’embrasser. Sa main pinça son sein, tirant sur le téton, et elle s’enfonça en elle, remuant rapidement, furieusement. Sa queue s’enfonçait dans sa chatte, allant taper contre son col de l’utérus. Le lit se mit à craquer, et les deux femmes jouèrent avec leurs langues, avant qu’Harley ne lui mordille les lèvres. Elle sentait l’excitation d’Harley. Infatigable, inépuisable, Harley était une locomotive à réaction, qui vivait toujours la vie passionnément, et sans juste milieu. Soit elle débordait de joie, soit elle était dans un état quasi-dépressif. Dans tous les cas, Ivy était son pilier, celle qui aidait Harley à se structurer, à s’insérer socialement. Était-ce pour ça qu’Harley avait fini par traverser tout un océan pour la rejoindre ?

Frémissant, Ivy la baisait donc, besognant son corps, défonçant méthodiquement sa petite chatte, gémissant contre elle. Des tentacules remuaient sur les deux femmes, autour des bras d’Harley, mais sans l’entraver. Un autre s’enroula autour de son cou.

« Haaaannn, t’es si bonne, ma chérie… Une bonne petite salope rien que pour moi, haaaa… !! »

Ivy se laissait aussi aller, devenant plus grossière, plus injurieuse. Sa main attrapa le tentacule léger situé autour du cou d’Harley. Il n’était pas là pour l’étrangler, mais pour agir comme collier.

« Ma belle esclave, ma Harley, hmmm… »

Un nouveau baiser ponctua leur coït, puis Ivy continua à remuer, encore et encore. Le temps n’avait plus d’importance pour elles, qui continuaient à se faire l’amour copieusement, sans relâche, passionnément. Mettre enceinte Harley allait demander du temps, des efforts, de multiples essais. Il y aurait de la frustration, des déceptions, car Ivy savait qu’elle allait devoir faire de nombreuses expériences. Ses toxines rendaient toute tentative d’accouchement impossible de sa part, mais, pour Harley, elle devait « juste » rendre son sperme fécond. Ce n’était pas impossible, mais ce n’était pas simple non plus.

Entre-temps, les minutes défilaient, jusqu’à ce qu’Ivy jouisse dans le corps d’Harley. Elle se redressa ensuite, et retourna son clown, l’ordonnant ensuite de se relever. Le tentacule autour de son cou s’étira, formant une longue excroissance qui agit comme une laisse, et qu’Ivy serra dans sa main. Elle tira dessus, forçant Harley à se mettre à quatre pattes, et gémit encore. Sa verge gonfla sur place, et, dans un grognement, Ivy l’amena à se dédoubler.

« Làààà… Ouuuiiii, ma salope, ma belle esclave… ! »

Pamela la laboura à nouveau, s’enfonçant simultanément dans son cul et dans sa chatte.

« Là, lààà… Aboie bien fort, ma chienne, ma salope !! »

Elle tira sur la laisse d’une main, et, avec l’autre, gifla sèchement le cul d’Harley. Celle-ci était si excitée, si enflammée, qu’il semblait presque normal qu’Ivy opte pour un régime plus soutenu et plus intense avec elle.
Félicia s’était surpassée. Elle avait baisé le corps d’Aoki dans les grandes largeurs, éprouvant, comme à chaque fois, l’endurance surnaturelle d’Aoki. À chaque séance, à chaque fois qu’elle repoussait les limites, Aoki arrivait à tenir. Et, comme toujours, Félicia en était par la suite agréablement surprise. Plus le temps passait, et plus ce qui était au départ une simple relation sexuelle devenait une vie de couple. La preuve en était qu’elles passaient des vacances ensemble, et que, même si elles avaient passé l’essentiel de leur séjour à forniquer, les autres moments, elles marchaient en se tenant la main. Tout le monde les prenait pour un couple, et Félicia devait bien admettre que cette idée lui plaisait. Tout comme elle, Aoki avait connu des déceptions amoureuses, des déboires qui avaient fait d’elle la femme qu’elle était, une femme entreprenante, aventureuse, mais qui ne voulait plus se lier, qui ne voulait plus avoir le cœur brisé. Félicia pouvait tout à fait comprendre ça, car elle avait déjà subi ça, notamment avec Peter…

…Mais l’amour avait ses propres raisons, ses propres motivations, et se moquait souvent pas mal de ce qu’on pensait. Il s’imposait, et, tandis qu’Aoki la rejoignait, Félicia faisait preuve de suffisamment de lucidité pour se livrer à sa propre introspection. Aoki l’embrassa doucement sur chaque fesse, se penchant vers elle. Son corps était sal, sa poitrine brillait et luisait doucement, en ayant récupéré les fluides naturels de Félicia. Aoki était éreintée, mais le feu de la passion brûlait toujours dans ses yeux.

« Aoki… » soupira doucement Félicia après ses quelques baisers.

Les deux femmes s’allongèrent dans la baignoire. Celle-ci était suffisamment grande pour qu’elles puissent s’y allonger toutes les deux, Félicia sous Aoki. Celle-ci se lova contre elle, et, très rapidement, les deux femmes s’embrassèrent. Un baiser tendre, sensuel, la main de Félicia allant caresser les cheveux d’Aoki, son autre main caressant son dos. Aoki proposa ensuite de lui faire un massage, et Félicia lui sourit à nouveau. Les deux femmes restaient blotties l’une contre l’autre, et sa main descendit encore, agrippant la cuisse d’Aoki, et elle fila sur son genou, redressant son corps contre le sien.

« Tu sais que je suis très féline, Aoki, j’aime beaucoup les massages… Mais je crois que tu en aurais, toi aussi, besoin, non ? »

C’était à Aoki de choisir, mais celle-ci semblait privilégier de la masser. Félicia se retourna alors, et lui présenta son dos, aimant surtout les massages dans le dos. Elle permettait ainsi à Aoki de pouvoir s’asseoir sur son dos, et un premier ronronnement traversa le corps de Félicia, qui se pinça les lèvres.

« Tu sais, Aoki… Je… Je réfléchis de plus en plus à nous deux, et… Je… Hmmm… J’aime vraiment t’avoir près de moi, tu sais, et… Ce séjour au Paradisio Hotel est vraiment… Magnifique ! »

Aussi assurée et forte soit-elle, les sentiments amoureux étaient toujours quelque chose de complexe pour la Chatte Noire !
Samara appréciait beaucoup Sya. Elle avait tout pour lui plaire. Sa beauté, sa perversion, et sa nature angélique. Une forte magie résonnait également en elle, une magie qui s’exprimait essentiellement à travers la magie rose. Samara comptait toutefois la former là-dessus, afin de la rendre plus forte. Elle était très ambitieuse, et, tout comme Samara avait des projets pour elle-même, elle en avait aussi pour Sya. Elle la pénétrait donc, sentant la vie remuer en elle. Sya voulait dormir, mais ce n’était pas la position de Samara.

« Tu espères vraiment… Hmmm… Que je ne te regarderai pas accoucher, hein ? Que je ne t’entendrai pas gémir ? Rassure-toi, le bébé va grandir, que tu fasses l’amour ou non. Et je compte bien te pénétrer et te faire l’amour jusqu’à ce que notre fille sorte de ton ventre. »

L’Ange avait la bénédiction de Lust, et elle était aussi un lien direct pour permettre à Samara de se rapprocher de cette Déesse. Ses mains se serrèrent sur celles de Sya, et elle la plaqua plus lourdement contre le lit, son corps onctueux et sensuel dominant Sya de toute sa hauteur et de tout son poids. Sa queue s’enfonça profondément en elle, tapant contre son col de l’utérus, et Sya se mit à gémir, se tortillant sur place, car Samara, malicieusement, cessa de remuer. Elle maintint la pression pendant de longues secondes, savourant le corps de Sya qui se dandinait contre elle. L’Ange de Lust gémissait, et la main de Samara se déplaça, titillant ses lèvres.

« Peu importe ce que je deviens, Sya, je te baiserai toujours. Tu seras toujours ma petite fille chérie… Ainsi que ma pute préférée ! »

Elle reprit alors ses mouvements, ondulant sur elle. Le corps de Sya était sien, tout lui appartenait, et Samara entendait bien faire ainsi durer le plaisir. Elle la prenait donc, s’enfonçant régulièrement, passionnément, soupirant longuement au passage. Comme toujours, sa petite chatte intime était un pur délice, un régal, et Samara s’y enfonçait avec appétit. Pour autant, elle pénétrait Sya à un rythme raisonnable, normal, car elle voulait aussi lui parler.

« Sya, je veux t’aider, hmmm… À te perfectionner dans tous les domaines. »

N’était-ce pas son rôle en tant que mère ? Mais qu’avait-elle précisément en tête ? Son idée n’allait sans doute pas ravir Sya, mais, puisque leur relation était en train d’évoluer, Samara décida de se lancer, caressant d’une main le visage de la belle Angelotte.

« Je sais… Le traumatisme que tu as subi, hmmm… Et je veux t’aider à l’outrepasser. Sya… Je suis convaincue que tu n’atteindras vraiment ton plein potentiel que quand tu accepteras de coucher avec des hommes. Je suis passée par là, moi aussi, et… C’est dans ce domaine que j’aimerai t’aider. »

Hinata

Leur nuit d'amour pouvait continuer, Hinata savait que sa femme portait en elle leur premier enfant, maintenant, c'était à son tour de porter de bébé de sa femme et qui sait, avoir une double naissance en même temps ? Cela serait amusant, mais ce n'était qu'un détail. Techniquement, ce serait à Shunya d'accoucher en premier car même si Hinata tombe enceinte ce soir, c'était elle qui avait déjà quelques jours d'avances. Se postant à quatre pattes devant elle, elle attendait plus que sa femme vienne à elle pour continuer leur petite soirée et ainsi, recevoir sa semence qui donnera naissance à un autre bébé Kaguya dans neuf mois. Face à cela, sa femme avait certaines pulsions à assouvir, se servant donc de sa magie pour changer quelque peu de tenue. Une tenue plus moulante, en cuir ou en latex – d'ailleurs à qui était-ce ? Tsukasa avait amené ça ou Shunya avait bien caché son jeu ? - qui couvrait une partie de son corps. C'était dommage, elle aimait voir le corps nu de sa femme, même en temps normal, Hinata préférait le tissu à cette matière, mais si cela l'excitait et lui permettrait de mieux la féconder, alors soit.

Si c'était l'un de ses fantasmes après tout, elle allait jouer le jeu. La petite claque sur sa fesse la surpris un peu, lâchant un petit couinement de surprise, tournant son visage vers cette nouvelle Shunya qui en voulait plus. Jouer le rôle de la maîtresse, la vouvoyer par la même occasion. Hm, un jeu de rôle donc ? Il est vrai que jusque-là, ça a toujours été simple entre elles, pas de rôles, de ce genre de choses, mais après tout, elles sont marier à présent et il est commun d'avoir ce genre de pratique dans un couple parait-il ?

« Hmmmm haaa, vous me faites trop languir, Maîtresse... Votre grosse queue me rend folle, vous savez.... Ha... J'aime quand... quand vous me prenez, han... de toutes vos forces. »

Hinata n'avait rien contre la vulgarité, dans le feu de l'action, elle se laissait porter par la chose, mais fallait-il déjà mettre la machine en marche pour ça. La reine remuait doucement son bassin, ses fesses se frottant contre la partie latex présente sur le corps de sa femme pendant que cette dernière profitait de son rôle. Elle ne saurait pas dire si entre elles, il y avait vraiment une dominante ? Hinata a plus souvent eut ce rôle, car jusque-là, elle cherchait à enfanter sa femme et puis, même marier, Shunya avait toujours ce sentiment de faire face à la reine, même si depuis leur rencontre, ça avait bien évolué. Mais de là à dire que l'une est dominante sur l'autre ? Non, elles restaient égale l'une envers l'autre. Même si les prochains jours vont laisser à la jeune femme de quoi porter la culotte pour mieux mettre Hinata enceinte. Une fois cela fait, leur couple retrouvera un certain équilibre.

« Hmmm oh, Maîtresse... Remplissez-moi, s'il vous plaît... »

La reine d'Edoras attendait les ordres et les attentes de sa femme. Tout ce qu'elle voudra, tout ce qui pourra satisfaire son appétit pourrait sûrement avoir une influence sur sa semence ? Plus elle sera heureuse dans l'orgasme, plus ses millions de petites choses pourront chercher ses ovules et donner naissance à un beau bébé dans plusieurs mois. Pour le moment, sa chatte était bien remplit de sa belle queue, et encore un peu de sa semence, mais ce n'était pas assez... Elle en voulait plus, toujours plus, jusqu'à enfin savoir que la vie poussait dans son ventre.

Tessou

Tel le docteur Jekil et Mister Hyde, la douce et quelque peu timide Tessou laissait place à une bête assoiffée, vulgaire et dévergondée qui malgré sa force humaine, chercher à dominer la super femme. Pas la moindre chance, mais elle tentait. Son cul était pris par Kara qui la prenait doucement, le temps de s'habituer à cet étroit petit endroit si délicieux. Tessou gémissait, couinait sous les petites gifles sur son cul, elle adorait ça, elle voulait tant jouir cette nuit, encore et encore et encore ! Kara avec une bite, l'idée faisait naître en elle mille et un fantasme. Même si la Kryptonienne venait à y aller parfois un peu plus fort au risque de la déloger, elle lui tirait les cheveux pour la faire revenir à elle. Ça faisait mal, mais ça l'excitait. Non pas que la jeune femme soit attirée par le BDSM, mais pour l'occasion, elle se fichait de la douleur, elle préférait cette petite douleur entre ses fesses, sentir sa grosse queue faire son travail, c'est tout ce qui comptait pour elle.

« Haaaaaa ouaiiiiiis ! Haaaaa, je suis ta Pute ! Huummm haaaaaan... Ta petite chienne en chaleur ! Huuuum haaaaaa pu-tain ouaiiiis ! Remplis-moi le cul... avec ta grosse bite ! Fais moi déborder le cul !!! »

Se lâchant complétement, même leur première nuit ne valait pas celle-ci. Tessou était totalement une autre femme, son exacte opposée. La seule chose pouvant ramener la vraie Tessou à elle serait d'entendre Kyoko pleurer, mais par chance, son bébé dormait paisiblement à côté et ne semblait pas déranger par les bruits. Le sommeil lourd ou une bonne isolation, allez savoir, en tous cas, pas de pleurs de bébé. Toujours accompagnée d'une ou deux gifle sur son cul, Tessou continuait de gémir, laissant même parfois un léger filet de bave couler le long de son menton tant elle était heureuse, au septieme ciel. Mas quand enfin elle fut libérer par ce flot crémeux et chaud qui coulait dans son anus, elle fut calmée. Ce ne serait que temporaire, mais elle gémissait , les yeux dans le vague en tremblotant. Oh oui, son corps était si léger, si libre... Kara se retira pour aller se changer en un instant, revenant avec une tenue plus noire et plus moulante. Tessou préférait sa tenue de base, mais pour l'occasion, c'était parfait !

« Oooooh... »

Kara agitait sa bite sous son nez en lui donnant des ordres une fois le collier mis à son cou. En temps normale, supposée que Kara devrait vider sa vessie sur ou en elle aurait dégoûté Tessou. C'était dégoûtant. Puis il faudrait changer les draps et prendre une bonne douche ou deux pour retirer cette sensation de sa peau. Pas question de porter Kyoko si Kara lui aurait pissé dessus ! Mais là, ça l'excitait... Sa joue caressait son sexe un peu mollasson, mais pas trop, Tessou voulait bien jouer le jeu, mais elle ne sera pas docile comme chienne.

« Ton membre ? Mais dis-le, bordel, ta grosse bite ! Si tu veux me dresser, commence par me pisser dessus si tu en as le courage. Car sans ça, je serais difficile à maintenir en place. T'auras pas les couilles de le faire. »

Enfin, elle avait les couilles, physiquement, mais le courage était-il là ? La super femme, oserait-elle se dévergonder à ce point ? Tessou amenait sa main vers ses deux petites boules qu'elle caressait doucement avec ses doigts pendant que ses lèvres longeaient sa bite, sur le côté, sans la prendre entièrement en bouche et sans tenter de gorge profonde. Elle ne savait pas si elle pourrait réussir cela. Mais en attendant de commencer son dressage, elle continuait de lécher sa queue, caressant ses couilles tout en se doigtant avec sa main de libre. Calmer Tessou et ses pulsions ne sera pas une chose facile, même pour Super Girl ! Kara avait intérêt à mettre son expérience et sa super forme à profil !

« Hum, ça t'excite... de me voir comme ça, hein ? Je sais que ha, t'imagine déjà tout un tas de chose pour après... Tu es loin de m'avoir rempli entièrement, ma petite salope... Tu as beau pouvoir plier un tank facilement... ce sera pas facile de me vaincre.... »

Loin d'avoir gagné un super pouvoir en venant sur ce monde, Tessou n'avait pourtant pas l'air de mentir. Il ne faut pas sous-estimer une femme en manque de sexe. Sa bouche descendait vers ses testicules, qu'elle léchait et en aspirait même une, pendant que sa main venait aussi la doigter doucement. Elle avait gagné un service trois pièces, mais elle restait avant tout une femme. Il ne faut pas l'oublier. Relâchant sa couille, elle reprenait, en suçant Kara plus normalement sans pour autant amener sa bouche le plus loin possible, elle ne voulait pas pousser ses limites trop loin.

« Ha ! Alors vas-y... dresse ta petite chienne en chaleur si tu l'oses... Ta peur que je te morde ? »

Elle n'allait pas mordre ce qui se trouvait sous son nez, mais elle serait sûrement capable de mordre autre chose pour jouer le jeu.

Harmony, Ai, Karistal

Maintenant que la petite sauterie toutes ensemble était fini – ou reviendra – il était temps de faire des groupes de deux. Mélinda était un peu le chef d'orchestre et avait décidé pour tout le monde, sans que les autres soient en désacord avec elle cela dit. Ai se retrouva donc avec Luna qui trouvait cette idée parfaite ! En même temps, avec n'importe qui, elle aurait été heureuse. Mais Luna, c'était différent. Non pas qu'elle avait un faible pour les nekos comme les Karistal, mais elle avait choisie comment la neko allait être habillée et par chance, elle avait toujours cette délicieuse lingerie qui cachait les zones sensibles sur son corps. Une peau douce, un visage adorable, une douceur sur son corps, Ai allait se faire plaisir avec elle, sa queue prouvait qu'elle ne mentait pas, elle était si dure et orientée vers la petite chatte. Sa lance était prête à perforer son corps. La petite futanari lui laissait cependant un choix, simple normalement, qui allait décider de comment la petite chatte allait être rempli ? Devant ou derrière ?

Luna n'avait pas hésité très longtemps avant de se retourner avant de la flatter avec sa queue velue pendant que sa queue heurtait son petit cul, avant d'être ceinturé par Luna. Ai sentait l'excitation de la petite chatte, elle tremblait d'impatience, à quatre pattes devant elle. Elle savait bien qu'elle pouvait y aller doucement ou fort avec elle, mais la voir habillée comme ça, Ai n'avait pas envie de brûler les étapes, doucement et tendrement pour commencer. Elle voulait tâter de son corps enveloppé ainsi. Cela devait être tellement doux.

« D'accord, Luna-chan, Ai-chan va prendre ton joli petit cul. »

Délicatement, elle écartait sa culotte afin de libérer son entrée avant de cracher sur sa main pour lubrifier sa queue et caresser sa croupe. Une main sur sa hanche, elle forçait doucement l'entrée qui, une fois bien installée, allait doucement se diriger vers le fond. Lentement, la progression se faisiat, les mains qui saisissaient la neko par les hanches et hop, elle y était !

« Ha, Luna-chan ! Hum, ton petit cul.... ouh. »

Et ainsi commençait ce petit tour de manège, Ai entamait la danse en douceur, ignorant ce qui se passait devant elle, pour le moment, c'était de voir le corps de Luna moulée dans sa petite tenue qui l'exciterait. Ce petit cul tendre qui s'écrasait contre elle, ses couinement, oh oui. L'une de ses mains ne tardait pas à caresser la neko, du moins les parties où sa peau n'était pas à l'air libre. Sentir le tissu et dessous la chair, ça, c'était quelque chose de si grandiose, de parfait ! C'était une chose qui allait de pair ensemble. Séparer, c'était bon, mais ensemble... aucun scientifique ne pourrait améliorer cette perfection. Parfois son dos, parfois ses côtes, sa main descendait doucement jusqu'à se trouver entre ses jambes, avec toujours le même objectif. Sentir ce qui se trouvait sous le tissu. Elle ne pinçait pas, elle ne griffait pas, elle tâtait. Elle sentir sa culotte humide, elle sentait cette minuscule bosse sous son index, ce petit bouton qu'Ai titillait en appuyant dessus. Légerment penchée sur elle, Ai savourait chaque chose dans leur petit cocon intime, du moindre souffle à la moindre vibration. Elle ne faisait qu'un avec la neko.

« Hhhhum, comme tu es douce, Luna-chan... Après... Ai-chan te remplira ton petit minou, hum, d'accord ? »

Il serait étonnant d'avoir un « non » de sa part, mais de toute façon, Ai n'était pas méchante, elle ne proposait jamais rien de dégouttant ou de douloureux. Elle était certes très perverse, mais jamais elle n'avait subit ou fait de golden shower, ni même toucher au BDSM, pour elle, c'était douceur et amour. Un amour très salissant vu sa quantité d'amour à donner, mais un amour quand même.

Côté Harmony, son prénom reflétait bien l'ambiance pour elle, une véritable harmonie. Elle et juste Alice. Techniquement, aucune autre fille autour d'elles ne viendrait les déranger et ça, c'est top. Embrassant la princesse blonde, ses lèvres se pressait contre les siennes, leur langue aussi, son corps se blottissait contre l'autre. Elle savourait chaque instant, espérant transformer les secondes en heures tant elle était sur son petit nuage. Fermant les yeux, elle profitait de ce baiser, de sentir son odeur si près de la sienne, de sa chaleur sur son corps, bref, elle aimait tant Alice autant que ce moment. Oui, Harmony était amoureuse de la princesse, mais elle était hélas arrivée trop tard comme la princesse était déjà fiancée. Elle garderais donc ses sentiments pour elle, ce soir sera uniquement fait pour se faire de délicieux souvenir. Harmony n'était pas du genre à se contenter d'être une amante, non, si elle aimait une personne, sincèrement en amour, elle voulait devenir sa femme, pas amante, pas esclave ou un autre terme, sa moitiée, son égal, voilà ce qu'elle voulait.

« Huuum, Majesté... »

La seule chose qu'elle n'aimait pas, en cet instant, c'était sa tenue... Mélinda avait choisi pour elle cette tenue faite de sangle en cuir, elle trouvait ça... pas vulgaire mais ce n'était pas quelque chose adapté à son style. Elle faisait tâche dedans. Sur une personne qui aurait plus de forme ou un visage plus dur, peut-être que ça irait, mais là, ça ne collait pas à sa personnalité. Enfin, si Alice ne disait rien, elle n'allait pas s'en plaindre non plus. La princesse lui réserva toutefois une surprise. Pendant que son nez se frottait doucement au sien, elle sentait une bosse frotter contre ses cuisses. Évidemment que cela la taraudait, qu'est-ce que c'était ? Elle n'avait jamais entendu dire que la princesse Alice était capable de cet exploit ? Elle fit rapidement la chose dont elle s'était bien douté, mais, elle avait confiance, et même, elle le voulait, vraiment.

« Oui, M-Majesté... je vous fait confiance... »

Sentant sa queue la pénétrer doucement, elle sentait un plaisir immenses se propager dans tout son corps, un plaisir qu'elle connaissait bien, mais cette fois, il y avait un petit plus non-négligeable qui rendait cela de suite, sur le haut du podium. C'était si bon, si délicieux. Le petit baiser mordant d'Alice était tout aussi exquis, bien que la semi-ange ne courait pas derrière ce genre de pratique où douleur s'associait à plaisir. Elle préférait les choses exclusivement douce. Elle ne taisait pas le fait qu'y aller plus rapidement ou une fesser pouvait faire un bien fou parfois, mais elle ne courrait pas derrière cela à chaque occasion. Mais là, pour Alice... elle voulait bien la laisser faire. Ses mains se joignaient aux siennes, serrant les mains de la princesse, elle partageait son plaisir en serrant, pas de façon à lui faire mal, à lui exprimer combien elle aimait ça.

« Mmmmh, aaaaaah.... En-encore, Majesté. »

Harmony aimait sentir son corps contre le sien, trouvant juste dommage la présence de sa tenue de sangle, elle aurait préféré sentir la peau d'Alice directement sur la sienne, se frottant, partageant leur chaleur corporelle, mais elle n'allait pas se mettre à nue et couper court à ce qui se passait. Non. Elle voulait profiter entièrement de ce moment. Elle retira sa tenue que lorsqu'il y aura un minimum de pause. Cependant, durant l'acte d'amour, elle avait toujours la même crainte qu'avec toute personne membrée... et si elle tombe enceinte de cette personne ? L'idée d'avoir un bébé de la femme qu'elle aime était tentante, mais ça ferait de ce bébé un bâtard et elle ne pourrait pas vivre avec elle comme un vrai couple... ce serait dommage. Elle savait que le risque d'avoir un bébé avec une femme était très rare, mais il n'était pas impossible. Elle avait cette crainte au début aussi avec Mélinda, mais en apprenant son handicap si triste, elle en était désolée pour elle...

Pour en revenir à leur ébat, Harmony venait entourer ses jambes autour de la princesse, qu'elle continue, qu'elle y aille plus fort, qu'elle soit vulgaire... Que la princesse fasse tout ce que bon lui semble, amoureuse comme elle était, Harmony lui dira oui à tout tant elle était omnibulé par elle. Elle se laissait prendre par Alice avec amour, sans la moindre craindre, juste de l'amour dans le regard, un sourire impossible à effacer et son souffle toujours plus fort et plus chaud.

Yuka s'était rapproché de Vanilla, ne tardant pas à se mettre à quatre pattes avant de frotter ses fesses sur sa queue. une sorte de hotdog naturelle. Elle la laissait se frotter entre ses fesses, cherchant parfois à serrer ses fesses pour l'attraper, mais ce n'était pas chose aisée. Vanilla ne tardait pas à se redresser pour venir tenir sa promesse et commencer à la prendre par-derrière, maintenant Yuka par les hanches afin de s'enfoncer en elle. Yuka gémissait doucement à la pénétration, avant de lâcher un petit couinement quand elle reçut la gifle sur sa fesse. Une petite douleur très agréable, surtout pour Yuka qui aimait souffrir.

« Han hum, Maîtresse... Déchainez-vous, han... sur moi. »

Que ce soi un rythme infernal, une tempête de fesser ou des coups de reins à l'expulser du lit, elle était prête à sentir tout ce que sa maîtresse était prête à lui offrir pour son propre plaisir et pour le sien. Côté Yuko, elle laissait Mélinda décidée, bien que la vampire raffolait elle aussi de la sodomie, elle ne voudrait peut-être ne pas jouer au jeu du miroir avec sa femme. Avec douceur, elle l'embrassait avant de l'installer, de façon à avoir le visage de sa jumelle juste au-dessus du sien. La vampire venait à la pénétrer sans trop se presser, préférant lui laisser l'occasion de faire preuve d'un peu d'inceste avec sa sœur. Bien que d'abord concentrée sur l'amour de Vanilla, Yuka fit tout de même attention à ce qui se passait et elle se penchait en avant, embrassant Yuko, toutes les deux remuaient quelque peu, toutes les deux unissaient leur gémissement en une délicieuse mélodie si agréable à entendre.

Mélinda avait envie d'inceste, mais pour la suite, Yuko ne manquait pas d'idée comme rapprocher l'autre couple comme ça, le couple Warren s'occupe de Yuka et une fois fini, Yuko aura droit de nettoyer la queue de Vanilla et/ou de nettoyer le cul de sa sœur, couvert de la semence de Vanilla ? Il était trop tôt pour jouir. Mais pas pour jouer. Vu la position de Yuko, il était simple pour elle de lever ses mains et aller trouver les tétons de sa sœur pour les pincer et les tirer. Yuka couinait plus fort de plaisir, parfois si intenses que Yuko devait se redresser un peu pour venir chercher avec sa langue celle de sa sœur, devant parfois se contenter que de sa salive qui coulait le long de son menton. Elles ne sont pas jumelles pour rien.

Kiriko

La sorcière ne se souvenait pas de ce rêve qu'elle venait de faire à l'instant, juste une vague sensation. Elle ignorait pourquoi, mais là, le sexe n'était pas sa priorité. Si elle aurait pu choisir un vœu, elle aurait voulu déjà porter Arya entre ses bras, Abbigail aussi mais au moins sa petite Arya... Là, ce n'était pas une envie de luxure qui parlait, mais un besoin maternel. Cela ne voulait pas dire qu'elle allait refuser les avances de Sha, bien au contraire, mais en ouvrant les yeux, c'était ce besoin de s'occuper de son futur bébé qui parlait, pas son corps en manque de celui de sa déesse. Justement, la déesse ne tardait pas à faire d'elle sa chose, la retenant sur le lit avec moult baisers et caresses sur son corps, elle se laissait porter par les envies divines, savourant chaque petite attention de Sha. L'Ombre avait beau être plus intimidante que sa version humaine, Kiriko l'aimait tout autant. Ce n'est pas pour rien que lors de leur nuit de noces, elle a demandé à ce que Sha soit sous sa forme naturelle. Surtout pour la féconder.

« Hmmmm, Shaaaaaa... »

Sans que Kiriko n'en ai conscience, le passé de Soriel s'ouvrait dans son esprit, des souvenirs qui pourrait resurgir n'importe quand mais pour le moment, elle ne faisait pas attention à cela, Soriel s'ouvrait à elle, montrant des visions belles et attendrissante pour cette future maman. Quand il était question de Nanamo, Soriel était une femme très attentionné, ayant même réussi à obtenir de Sha qu'elle cache au moins sa nudité face à leur fille. Elle était assise dans une grande pièce, sa fille sur les genoux qui dessinait des choses. Peu importe quoi, avec ses yeux de maman, c'était forcément beau. Bien qu'elle agissait comme une petite fille ayant à peine cinq ou six ans, Nanamo était une jeune adulte. Difficile à voir comme ça, mais il est vrai que ce peuple ne vieillissait pas comme tout le monde. Hormis quelques petites rides près des yeux et leur couleur de cheveux/poils virant au blanc, difficile de définir un âge chez ce peuple. Mais pour le bien de leur déesse et de cette femme, Nanamo acceptait de jouer les petites filles. Si cela pouvait apaisé la tristesse de Soriel, c'était la moindre des choses.

« Tu aimes, Maman ? »
« Oui, ma chérie, c'est très beau. »
« Hihihi ! Je t'en ferais plein plein ! »

Se retournant vers sa mère, elle la serrait contre elle, frottant sa joue contre la sienne en continuant de parler avec sa voix fluette si adorable.

« Je t'aimerais toujours, Maman. Je resterais toujours avec toi ! »
« Moi aussi, mon trésor... Moi aussi. »

Soriel la serrait contre elle, noyer sous ce bonheur. Pour Kiriko, rien ne changeait, Sha s'occupait toujours d'elle pendant qu'elle ne prenait pas conscience que Soriel partageait avec elle ses plus beaux souvenirs. Sha ne tardait d'ailleurs pas à se multiplier, une, puis deux, et enfin quatre Sha rien que pour elle. C'était une sacrée occasion. Tout son corps était occupé avec elle, partageant tant d'amour avec elles. Mais ce n'était qu'une partie de son fantasme ultime. Kiriko n'avait pas honte de dire que Sha était la plus belle femme du monde. Même si elle ne crachait pas sur le fait de coucher avec d'autres femmes, Sha était de loin la plus belle ! Alors forcément, un harem de Sha, c'était son meilleur fantasme. Mais pas que Sha... Sha sous sa forme astrale, sa forme humaine, une version petite fille pour la câliner avec amour entre deux orgasmes, une version jeune demoiselle à éduquer comme elle avait déjà eut droit, une version timide de Sha, dominante, nympho, assoupi, bref, Sha sous bien des formes et situation, voilà ce qui plairait à Kiriko ! Mélinda Warren pourrait lui proposer son harem, si elle pouvait avoir son harem de Sha, elle se ficherait de celui de cette vampire ! Sha, uniquement Sha.

« Haaaaa... Tu vas me traiter d'impatiente... Mais je veux vous sentir en moi... Toutes les quatre... »

Kiriko n'hésitait pas à sauter les étapes, mais ce n'était pas sa faute si sa déesse sortait son plus bel atout de sa manche. Se faire prendre par quatre Sha, qu'importe si c'est en douceur ou avec violence, quatre Sha... Quand bien même la déesse pouvait recommencer ce petit tour de passe-passe n'importe quand, c'était là et maintenant que Sha était au pluriel alors c'est maintenant que son corps la brûlait, la démangeait !

Harley Quinn

Pour l'arlequin, c'était un moment fort. Pamela était très emballée par tous les projets qui se faisaient petit à petit autour d'elle, mariage, enfants/s, alors forcément, elle aussi en était heureuse. Mais quand bien même par le plus grand des hasards elle serait enceinte ce soir – ou peut-être même déjà – eh bien bébé n'arrivera pas avant presque une année. À moins que le fait que ce soit le bébé de Pamela avec ses plantes et tout le tralala ne fasse que ce soit plus rapide ? Non, elle l'aurait averti sinon ? Non pas que cela dérangeait Harley, au contraire même, car autant, elle peut se montrer calme et patiente autant sur la fin de sa future grossesse, Harley va se ronger les ongles de ne pas pouvoir se balader et casser quelques mâchoires par-ci par-là. Bah quoi ? Même si elle est plus sage, il n'empêche que ses méthodes sont parfois discutables !

Toujours les jambes serrées autour de ses hanches, elle ne la lâchait pas et Pamela en faisait autant. La besognant sans honte, sans délicatesse, elle faisait tout son possible pour l'avoir et la faire jouir le plus possible. C'était tellement bon, tout ce qui la traversait sur le moment. La joie de ce couple, le plaisir de sentir son gros membre en elle, le futur qu'elle s'imaginait en étant toutes les deux mamans de ce futur bébé. Avec Kyli comme grande sœur, oh oui, elle rêvait de tout cela et elle en était si heureuse. Malgré ce beau rêve bien brodé, elle savait que la vie ne sera pas rose tout les jours avec des hauts et des bas, mais vu le bonheur que cela promettait, ça en valait la peine après tout.

« Oooooh oui, je suis ta chooooooooose, huuum aaaah ! »

Tout cela continuait encore et encore. Bien des baisers, bien des insultes, tant d'amour à partager jusqu'à ce que la belle rouquine dominatrice venait à jouir en elle. Remplissant son petit organe qui pourrait, avec de la chance, commencer à faire grandir un bébé dedans dés ce soir ? C'était déjà le cas ? Harley n'avait pas de pouvoir et encore moins celui-là. Puis un pouvoir pareil, mis à part faire de l'ombre aux fabricants de test de grossesse, il était assez inutile. Quand bien même Harley avait un grand sourire en savourant cet orgasme, cette chaleur entre ses cuisses, c'était loin de suffire à Poison Ivy qui se redressa, tirant sur sa laisse végétal pour qu'Harley en fasse de même et se retrouver ainsi au sol. Après une démonstration de cette drôle de division, Pamela n'avait en rien perdu de sa libido et voulait continuer tout cela ! Amusant.

« Ohohoh ! On sort l'artillerie lourde pour me maîtriser, heiiiiin ? »

San trop e bavardage, Pamela venait à de suites s'enfoncer en elle, par deux fois en même temps tandis qu'elle serrait les dents. Ça avait beau être bon, ce n'était pas rien à subir une telle chose. Tirant sur sa laisse, Ivy ne se sentait plus, prouvant que ce rôle de dominatrice lui allait comme un gant, voulant faire d'Harley sa petite chienne. Une idée qui lui plaisait, Harley était une grande protectrice des animaux après tout donc ce rôle, pourquoi pas !

« Huuuum ooooh booooordel ! Haaaaaaaa ! N-non ! »

Bah oui, si elle disait amen à tout, ce ne serait pas si drôle que ça, il fallait bien qu'elle aussi surprenne Pamela. Avce Harley de toute façon, on n'était jamais sûre de rien, elle pouvait totalement changer d'avis en un claquement de doigt. Poussant sur ses bras pour se redresser, elle sentait la poitrine de Pamela se blottir dans son dos. Ses mains venant se poser derrière la tête de sa partenaire, même de sa fiancée maintenant, cela l'aidait à se maintenir à genoux et puis fallait bien avouer que pour une plante, ses cheveux étaient d'une sacrée douceur.

« Si tu veux me dresser... haaaaa, hhhhhuuuuuuuum... Va falloir plus que des mots ! »

Remuant sa tête, assez pour partager un baiser ensemble, pas le meilleur de leur vie, mais vu leur position, plutôt pas mal pour l'occasion. Douleur, caresse, elle ne précisait pas comment la dresser, mais Pamela devait passer par-là pour faire du pit-bull Harley une shiba Harley. En caressant avec douceur et amour son corps ou en la plaquant au sol comme Batman le ferait pour lui passer les menottes, sauf qu'en plus, Harley lui prendrait son cul et sa petite chatte en même temps. Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ai l'ivresse, non ?! Déjà, la méchante chienne commençait à prouver qu'il faut agir. Après avoir refusé son ordre, la voilà qu'elle mordait en douceur la lèvre inférieure de sa maîtresse. Ce ne sera pas de tout repos, ce dressage.

Aoki

Évidemment que la jeune Japonaise était épuisée, après une telle journée de sexe, surtout dans la soirée, comment ne pas sentir tout ses efforts refaire surface ? Ce n'était pas la petite sieste qu'elles avaient faite qui allait changer quoi que ce soit. À la limite, cette sieste leur permettait de faire ce qui était actuellement en train de se faire plutôt que dormir dans leur sueur et leur semence. Cela leur était déjà arrivée mais ce n'est pas un souci. Toujours plus amoureuse de Félicia, elle lui proposait un petit massage, elle savait bien comment réagissait la voleuse après tout. Leur lien n'était pas que sexuel, elles savaient des choses sur l'autre, de leur crainte comme de leur péché mignon et pas forcément liée au sexe bien que ce soit tout de même un pillier de leur relation.

« Mmmh, peut-être oui, mais je te laisserais me masser après. Et dans un lit. »

Elle la laissait se placer comme elle le voulait avant qu'elle ne se pose doucement sur elle et passe ses mains sur ses épaules. Massant la jeune femme délicatement. Aoki n'était pas une professionnelle du massage, mais elle se débrouillait assez pour que cela fasse effet et c'est ce que Félicia attendait. Les épaules, sa nuque, le haut de son dos, elle faisait son possible pour dénouer tous ses petits nœuds qu'elle avait accumulé, espérant bientôt l'entendre ronronner. La voleuse venait doucement à ouvrir son cœur, en partie. Une chose rare, car si Aoki avait remarqué une chose, c'est que sa partenaire n'était pas du genre à sortir des mots d'amour à tout-va. Cela ne la dérangeait pas, autant elle aimait entendre ce genre de chose parfois, autant à outrance, ça pouvait devenir lassant. Du moment que Félicia l'aimait, c'est ce qui comptait. Depuis cet épisode encore récent où, à partir du meurtre de Kanzaki, elles avaient tant vécu ensemble au point de se rapprocher et finir ensemble.

Se penchant sur elle, ses lèvres baisaient son cou, pendant qu'elle lui répondait à voix basse, près de son oreille.

« Et moi donc. Pouvoir te caresser, te sentir près de moi, me réveiller dans ton lit, entre tes bras... Je ne demande pas la lune, juste être à tes côtés. »

Aoki n'était pas le genre de fille amoureuse au point de contrôler la vie de l'autre et vouloir être à ses côtés non-stop. Non, Aoki avait son travail, ses activités, Félicia aussi. Toutes les deux couchaient avec d'autres personnes, pas forcément en étant ensemble lorsque ça arrivait puis voilà. En ce moment, Aoki était le plus souvent chez Felicia que chez elle et quand ce n'était pas le cas, c'est que c'était Félicia qui s'invitait chez elle, à l'improviste. Qui sait, après ce voyage, peut-être pourront elles envisage d'habiter ensemble ? Sûrement chez Félicia ? Non pas qu'Aoki profiterait de sa situation, mais vu le nombre de chats chez elles, ce serait plus pratique d'y ajouter un seul chat dans ce grand appartement que rapporter toute sa meute chez Aoki. Et puis sans compter tout ce que Félicia possédait, au final, bien que confortable, son appartement risque de devenir très petit. Elle baisa à nouveau son cou, continuant de parler doucement.

« Peu importe que nous soyons ici ou chez toi ou ailleurs... Du moment que je suis avec toi, le reste est magnifique. »

C'était une façon de dire car il est vrai que son aventure avec elle contre ce Mister Scratch... On ne pouvait pas dire que cet épisode soit magnifique, mis à part le fait qu'Aoki ai avouer ses sentiments au détour d'un jeu de rôle quand l'armée les hébergeaient. Sinon... pas top. Puis Félicia n'avait pas besoin de dire qu'elle aimait la jeune femme, elle l'avait prouvé en allant faire cette opération qui lui permettait d'avoir cette grande queue à volonté ! Le gode ceinture lui ayant tellement plus que la cambrioleuse avait passer le cap au-dessus juste pour faire plaisir à Aoki et dépenser une bonne partie de son argent. Même si ce genre de chose ne se faisait pas sur Terre, ça devait coûter cher ce genre de chose.

« Pour le moment, mon entraînement au SHIELD ne me permet pas de te suivre le soir pour t'aider et je doute avoir des talents pour voler les malfrats, mais, pour ce qui sera de corriger les voyous du soir, je pense que je pourrais réussir à te donner un coup de main dans quelque temps. Le tandem Black & White Cat. »

Petit bémol, c'était que sa tenue était blanche, et le blanc, la nuit, ça se voit bien. Cela dit, il existe bien des héros qui sont habillée en blanc comme Moon Knight, mais de plus, Aoki avait fait faire cette tenue uniquement à but sexuel d'abord, mais si l'occasion de l'épauler peut se présenter, pourquoi pas ? Ce ne sera pas demain la veille qu'elle arrivera à tenir tête plus de dix secondes à la Blackwidow mais peu à peu, elle doit progresser même si évidemment, l'espionne russe n'était pas à cent pour-cent pour entraîner Aoki.

« En attendant, je serais juste cette jolie fille qui t'attendra dans ton lit, dans tout un tas de tenue différente quand tu aura fini ta petite balade nocturne. »

Tant de choses à porter pour plaire à son minou, tant de rôle à jouer pour la faire ronronner, oui, Aoki ne manquait pas d'idée de ce côté-là.

Sya

Bien qu'elle était enceinte de sa mère démoniaque, cette dernière n'était pas tentée de laisser sa fille faire le plein de force pour qu'au petit matin, leur fille puisse venir au monde. Quoi qu'il arrive, elle viendra au monde, même si Sya annule le sort, il suffisait de l'activer à nouveau pour que le temps dans son utérus passe plus vite. Mais pour le moment, Samara était plus tentée par prendre Sya que simplement la garder contre elle en dormant.Bien qu'elle était enceinte de sa mère démoniaque, cette dernière n'était pas tentée de laisser sa fille faire le plein de force pour qu'au petit matin, leur fille puisse venir au monde. Une femme qui tombe enceinte n'a pas un beau bébé bien formé dans le ventre au bout de cinq minutes.

« Haaaan mmmmh, Maman... Haaaaan... »

Respect et irrespect, amour et haine, tant de choses séparait l'ange de la démone, mais aussi contraires soient ses choses, c'était aussi ça qui rapprochaient les deux femmes ensemble. Heureuse d'être autant sa fille adorée que son vulgaire sac à foutre à peine bonne à se faire prendre. Respect et irrespect, amour et haine, tant de choses séparait l'ange de la démone, mais aussi contraires soient ses choses, c'était aussi ça qui rapprochaient les deux femmes ensemble. Elle le sentait la prendre avec amour et passion, elle lisait dans son regard tout son amour de maman – qu'importe que le sang dans leurs veines soient différent – autant que cette rivalité ancré en elles, des anges et des démons. On pouvait sortir tous les arguments du monde, rien ne changeras l'avis de Sya, elle connaissait Samara et à présent, elle était sa maman, que cela soit officiel ou non, la beauté rouge à corne était sa maman, grand-mère de ses filles et bientôt aussi mère de leur fille.Voir Samara la prendre avec force, domination, sur elle avec tout son poids, son aura, la démone la dominait sur tous les domaines, l'ange était sa chose et elle en était fière. Sa mère, sa famille, ses enfants, le sexe, sa déesse, bref, tant de choses qui font illuminer le visage de l'ange d'un grand sourire.

Lorsque la démone venait aborder un sujet tabou pour Sya, elle ne sentait pas le coup arrivée et Samara qui veut l'aider à se perfectionner ? Pourquoi pas, bien qu'elle ignorait le domaine elle savait que ça ne pouvait pas être la luxure. Elle a suivi la formation au temple de Lust, servant les plus grandes prêtresses, et même la déesse en personne, qui pourrait se vanter de lui apprendre des choses qu'elle ne connaissait pas ? Sya a déjà tout essayer, du plus soft au plus hard, du plus doux au plus dégouttant, des plus agréable au plus douloureux. Alors quoi ? Sur la magie peut-être ? Outre la magie rose qu'elle maîtrisait, le reste n'était que des bases et sauf en cas de danger, elle ne savait pas se défendre autrement qu'avec de la magie rose. Mais lorsque la démone abordait le sujet des hommes, le grand sourire de Sya se crispait pour de suites paniquer.

« Non maman ! Non, je veux pas, je veux pas ! Demande-moi tout, mais pas ça ! »

Ce sujet était le point faible de Sya, la seule chose capable de la faire paniquer. Voir un homme s'approcher d'elle était déjà synonime de colère et de haine. Samara avait peut-être vécu des choses horrible elle aussi, qu'elle a surmonter plus ou moins, mais pour Sya, y parvenir serait une épreuve au-delà de prendre sur soi. Il faudrait bien du courage et de la motivation pour y parvenir. Si le simple fait d'en parler la fait paniquer au point de trembler et d'en oublier le plaisir de l'acte, qu'est-ce que ce serait si Samara avait prévu de lui faire combattre ce traumatisme sans l'avertir. Fini les grands sourires et le visage radieux, Sya avait peur, tremblait et n'était pas en confiance. Samara aimait décidément lui faire faire de sacrer montagnes russes à ses émotions, après le savon qu'elle lui a passé, maintenant ça ? Ce sujet n'était peut-être pas volontaire et Samara voulait peut-être vraiment l'aider, mais là, elle avait échouer.

Qui aurait cru que Shunya puisse avoir de tels fantasmes ? Plus elle se rapprochait d’Hinata, et plus Shunya s’émancipait, se libérait. Le sexe avait ce pouvoir formidable de vous libérer, de permettre de délivrer tous vos fantasmes. Et, même si Edoras avait la réputation d’être un pays erroné, Shunya avait accès à la télévision, ainsi qu’au réseau Internet de Uatis. Même avant de connaître Hinata, elle se masturbait, et, timide comme elle était, elle ne montrait ses fantasmes à personne. Oh, bien sûr, Shunya ne rêvait généralement que d’amour. Une romance à l’eau-de-rose avec la personne qu’elle aimerait de toutes ses forces… Mais, parfois, il lui arrivait d’avoir des fantasmes plus pernicieux, notamment en voyant les films pornographiques de la star de Uatis, la belle Poison… Celle-ci faisait de tout, mais avait aussi fait des films où elle jouait une dominatrice perverse punissant une bande d’adolescentes rebelles en les fouettant et en les dominant, leur inculquant le respect par la domination sexuelle. Et elle avait vu les combinaisons en latex ou en cuir, cette texture moulante et crissante… Shunya n’avait jamais été une grande fétichiste, mais… Disons que c’était un péché mignon. Pour autant qu’elle sache, Tsukasa était la seule à être au courant, car Tsukasa semblait tout savoir des fantasmes et des pulsions secrètes du couple royal.

*Du moins, jusqu’à présent…*

Shunya se transformant en Maîtresse… Dans sa tête, elle s’inspirait de Poison, mais c’était surtout le caractère exceptionnel de cette soirée au Paradisio Hotel qui permettait cela. Dès le lendemain, Shunya redeviendrait la Shunya timide et nerveuse qu’Hinata connaissait. Même sa domination restait très légère. Elle avait beau penser à Poison, elle n’utilisait pas les grosses claques de Poison, les lacets que celle-ci mettait sur ses proies, et les humiliations qu’elle infligeait à ses « victimes ». Shunya savourait néanmoins la situation actuelle, son corps frissonnant sur place, et elle pénétra donc sa femme.

Elle la prenait en levrette, et gémit lentement, excitée en entendant Hinata l’appeler « Maîtresse ». Elle crispa ses mains sur les fesses de sa femme, essayant ainsi de retenir les tremblements nerveux d’excitation qui parcouraient son corps en ce moment. Se pinçant les lèvres, elle remuait en elle, ondulant d’avant en arrière, sa queue s’enfonçant graduellement dans la chatte d’Hinata, jusqu’à la garde. Encore et encore, il n’y avait pas d’autres recettes pour que ça marche ! Les ovules d’Hinata devaient accepter les spermatozoïdes de Shunya, mais, ce soir, Shunya avait acquis l’intime conviction qu’Hinata allait enfin tomber enceinte. Oui, sa femme porterait leur bébé, elle s’en était fait la promesse ! Elle avait prié les kamis pour obtenir leur bénédiction, et se surpassait pour s’assurer que la fécondation d’un ovule se fasse.

« Hi-Hinata, hmmm… Tu es si belle, ma chérie, si bonne… »

Shunya soupirait longuement, poursuivant son office. Sa belle queue remuait encore dans le corps de sa chérie, la pénétrant avec appétit. Hinata soupirait encore, et Shunya continuait à remuer. La levrette était une position classique, mais délicieuse. Généralement, c’était Shunya qui se faisait prendre ainsi, et elle pouvait sentir l’intensité des coups de reins d’Hinata dans cette position. Une intensité inversée. Sa queue s’enfonçait jusqu’à la garde, tapant contre le col de l’utérus de sa partenaire, continuant à la prendre longuement.

La levrette se poursuivait avec appétit, et Shunya retourna gifler le fessier d’Hinata, couinant encore, admirant le corps de sa partenaire, ses longs cheveux glissant sur son dos. Son membre devenait de plus en plus lourd, et les minutes défilèrent, sous ce rythme et sous ce traitement nourri. Shunya la pénétrait avec amour, la « Maîtresse » s’avérant particulièrement douce. L’orgasme vint donc presque naturellement, dans un dernier soupir. Les joues rouges, Shunya s’abandonna dans la chatte d’Hinata, venant la remplir de son juteux sperme, de son liquide d’amour. Elle s’abandonna en elle, la remplissant volontiers, et se calma ensuite progressivement, après plusieurs giclées de sperme.

« Haaaa… »

Reprenant ensuite ses esprits, Shunya s’écarta doucement, et récupéra un collier avec une laisse. Elle se pinça les lèvres en observant ces objets, hésitant un peu… Puis se rapprocha d’Hinata.

« J’ai envie d’essayer de nouveaux jeux avec toi, mon amour. Tu sais, je… Je ne te l’ai jamais dit, mais, avant qu’on se connaisse, j’aimais beaucoup regarder… Euh… Les vidéos de Poison. Tu sais, la star de Uatis… Et… J’ignore comment Tsukasa l’a su, mais, il y a quelques mois, elle m’a offert de nombreux films de Poison, en me disant que cela m’encouragerait à diversifier nos expériences sexuelles, et qu’assouvir mes fantasmes me permettrait de prendre confiance en moi… »

Plus précisément, de jouer un rôle de dominatrice, ce qui était d’autant plus amusant quand on connaissait le caractère très soumis et introverti de la petite Shunya ! Elle tenait donc le collier, visiblement dans le but de le mettre autour du cou d’Hinata, mais sans oser le faire, les joues rouges.

« Je ne veux pas t’imposer ça, mon amour, alors je comprendrais tout à fait que tu refuses… »

Est-ce qu’Hinata accepterait d’avoir le collier autour du cou ? Ce ne serait bien sûr qu’entre elles, mais Shunya ne voulait pas non plus lui imposer ça sans avoir son accord préalablement… C’était tout de même sa femme, et sa Reine !
Tessou ne cessait de se surpasser, dépassant toutes les espérances de Kara, et ce de très loin. Après cet orgasme, après cette solide sodomie, Tessou était tout, sauf calmée. Voir sa « Maîtresse » dans cette combinaison noire sembla l’achever, et elle frotta doucement son visage contre sa queue. Kara venait de jouir, de sorte que sa verge avait légèrement dégonflé, tout en restant raide et tendue. Une queue relativement belle, que Tessou s’amusa à titiller, la léchant lentement, déposant plusieurs baisers dessus, que ce soit sur sa verge ou ses testicules. Chacun de ses baisers excitait chaudement Kara, tout comme les propos orduriers et indéniablement pervers que Tessou posa.

Manifestement, toute la frustration de la policière avait explosé, et le trop-plein se déversait en elle. Il y aurait sûrement un « avant » et un « après » leur soirée au Paradisio. Kara avait menacé d’uriner sur elle pour la narguer, mais Tessou continua à la narguer, semblant visiblement la provoquer à cette idée.

« Hmmm… »

Les doigts de la policière titillèrent ses testicules, les soupesant, tandis qu’elle continuait à lécher sa queue sur le côté. Sa verge se redressait lentement, et Kara perçut un frisson la traverser. Sa verge frissonna sur place, frémissant en se relevant. Un contact très agréable, tandis que les doigts de Tessou filèrent sous sa verge, caressant ses lèvres intimes. Kara sursauta doucement quand les doigts s’y engouffrèrent, et, à ce contact, la main de Kara se crispa sur ses cheveux. Les doigts se serrèrent sur ses cheveux, et Kara continua à gémir, voyant Tessou commencer à sucer sa queue.

Un sourire perla alors sur les autoritaires lèvres de Kara, qui soupira à nouveau, lentement. Sa queue pulsait chaudement, et se redressa encore.

« Oh, puisque tu me provoques… Mais ce ne sera pas aussi simple que ça, Tessou ! Je vais te défoncer la chatte, ma salope… Je vais te ravager ton con de petite pute en te défonçant en levrette… Mais tu vas boire ma pisse, oui… Et tu vas en conserver une dans ta bouche. Si tu bois ou recrache mon urine avant que je ne jouisse en toi… Je te punirai publiquement dans certains salons du Paradisio, ma salope ! Car je crois qu’une nymphomane pute comme toi mérite vraiment que je la dégrade profondément… ! »

Kara savait qu’il existait des clubs sexuels au Paradisio Hotel. Elle s’était renseignée, et peu de choses lui échappaient vraiment. Elle n’aurait jamais cru pouvoir un jour y conduire Tessou, mais, aux grands maux les grands remèdes… Tessou méritait que Kara envisage les choses les plus perverses possibles ! Ses deux mains se serrèrent sur la tête de Tessou, glissant sur ses cheveux, et elle commença à remuer, lui baisant sa petite bouche. Elle accélérait lentement, veillant surtout à bien enfoncer sa trique. Son membre turgescent se plantait en elle, marquant Tessou de son territoire.

La Kryptonienne gémit une nouvelle fois, et se pinça les lèvres. Elle ferma les yeux pendant quelques secondes… Et le jet doré fusa. Sa queue tressauta sur place, et son corps se cambra en avant.

« Haaaa… » soupira-t-elle.

Tout son corps sembla se relâcher quand l’urine jaillit. Un léger jet au début, puis elle se concentra, et un jet plus intense jaillit de sa queue. Sa queue tremblait sur place, urinant ainsi dans la bouche de Tessou. Impossible pour la policière de se défaire, de se retirer, sa dégradation atteignit des summums ! Kara s’abandonnait avec un grand plaisir, poussant un long soupir, et sa queue se retira progressivement. Elle continua à uriner, prit une pause, retira sa verge de la bouche remplie de Tessou, et termina en pissant directement sur son visage.

D’une main, elle maintint sa queue, et, de l’autre, elle agrippa sa tête, l’empêchant ainsi de se reculer, de s’éloigner. La pisse éclata sur son visage, la marquant comme une chienne, et Kara se calma lentement. Sa queue remua doucement, se redressant… Et elle renversa alors Tessous, la couchant sur le dos, l’étalant sur un tapis rembourré situé sur le sol. Sa bouche pleine sentait la pisse, et elle s’allongea sur elle, venant la pénétrer. Une position du missionnaire redoutable et savoureuse, tandis que sa queue s’enfonça en elle, dans un grand soupir.

« Haannn bordel, t’es si bonne, ma salope, si bonne… ! »

Tout ce que Kara espérait était évidemment de la pousser à la faute, de la pousser à avaler ou à recracher ce liquide doré qui remuait contre ses lèvres. Elle pinça ainsi son sein, tirant sur le téton, et lécha ses lèvres, l’embrassant dans le creux du cou, mordillant sa chair, tout en s’étalant sur elle, remuant son corps de bas en haut, l’aplatissant sur son corps. Sa queue s’enfonçait goulûment, jusqu’à la garde, tandis que Kara remuait en elle.

« Là, là, ma salope, ma délicieuse petite pute… C’est bon, hein ? Tu es une vraie chienne, alors c’est normal… Hmmm… Que ta Maîtresse te pisse dessus ! Quoi, tu croyais que j’allais t’épargner ? Mais tu n’es pas mon égale, Tessou, tu es ma salope, ma petite pute… Alors, je te baise comme tel ! »

Et elle accéléra encore, amplifiant l’intensité et la dureté de ses coups de reins…
Il avait été presque naturel que Mélinda répartisse ainsi les rôles. Qui aurait osé la contester ? Ce n’était sûrement pas Luna ! La belle petite neko portait de la fine soierie, des vêtements délicats et doux qui ne pouvaient que plaire à Ai-chan. Bien sûr, Luna se souvenait parfaitement de la belle Ai. Elle était toujours aussi énergique, et crut bon de préparer un peu le petit postérieur de Luna, qui gloussa doucement.

« Ai-chan a oublié que Luna-chan a été préparée par ses Maîtresses, et entraînée à recevoir du plaisir par sa petite porte arrière ! »

Sa queue caudale se serra autour de la taille d’Ai, surtout quand elle approcha sa verge. Elle sentit les mains d’Ai glisser sur ses hanches, remontant sur son dos. Luna portait un délicieux corset blanc, fin et doux. Elle pouvait aussi porter du latex ou du cuir, mais, à l’instar d’Harmony ou d’Ai, Luna était une petite poupée qui préférait porter des vêtements soyeux, réservant le cuir ou le latex à ses Maîtresses. Elle ronronnait donc en sentant les mains d’Ai la palper longuement, jouant avec son corps. Oh, comme c’était agréable ! Luna aimait beaucoup qu’on la traite comme une peluche, qu’on la câline longuement, qu’on la savoure, qu’on la palpe ! Elle n’était rien d’autre qu’une petite chose, une toute petite neko ronronnante qui se dandinait sur place, crispant sa queue poilue autour de la taille de Luna-chan.

Un délicat soupir s’échappa de ses lèvres quand Ai s’enfonça en elle.

« Nyaaaaawww… »

Les Maîtresses Karistal avaient déjà pu constater combien Luna était une femme gourmande, et aimant le sexe sous toutes ses formes. Ai pouvait donc se montrer aussi violente et douce qu’elle le souhaitait, mais Ai opta rapidement pour la douceur. Ai aimait beaucoup le sexe, mais elle n’avait jamais été très dominante. Oh, elle pouvait parfois se montrer très insistante, mais, que ce soit avec Luna-chan, ou avec Shii-chan, Luna n’avait jamais eu le souvenir d’une femme autoritaire, violente, qui giflait ses partenaires ou qui prenait plaisir à les humilier… Non pas que cela aurait pu déplaire à Luna ! Qu’on la traite comme une petite peluche fragile ou comme une esclave masochiste, cela ne changeait fondamentalement rien pour Luna.

La délicieuse neko se mettait à ronronner encore, crispant sa queue, la faisant vibrer contre la taille d’Ai-chan, tout en sentant ses mains gratter ses hanches, glissant le long de son corset. C’était terriblement agréable, et les joues de Luna rougissaient de plaisir, son corps continuant à émettre d’intenses ronronnements au fur et à mesure que sa partenaire la pénétrait langoureusement. C’était une sodomie merveilleuse, et, yeux clos, Luna se laissait aller, couinant et miaulant pour exprimer son plaisir…

« Rrrrrr… Nyyyuuu… Rrrrrr… »

Près du couple, un autre couple venait de se former. Alice pénétrait Harmony, et s’allongeait au-dessus d’elle. C’était la classique position du missionnaire, un indémodable, mais que la jeune femme appréciait tout particulièrement. Ce n’était pas la première fois qu’elle couchait avec Harmony. Chaque fois qu’elle se rendait au harem de Mélinda, Harmony faisait office d’assistante, préparant personnellement son lit, ses repas, l’aidant à se coiffer, à se laver… Elle faisait preuve d’une dévotion sans faille, et Alice sourit doucement devant elle.

La belle Harmony gémissait lentement, et Alice l’embrassa encore, frottant son ventre contre elle, sentant les lanières se frotter sur sa peau. Harmony répondait avec envie à ses baisers, et, même si Alice jouait le rôle de « dominatrice », à l’instar d’Ai, elle se montrait très douce, ne cherchant pas inutilement à forcer sa partenaire.

« Hmmm… Tu peux m’appeler Alice, tu sais… Harmony… »

Elle l’embrassa à nouveau, mordillant sa lèvre inférieure, rompit le baiser, puis recommença, fourrant sa langue dans la bouche de sa partenaire. Ce fut un baiser un peu plus long que le précédent, où elle joua avec la langue d’Harmony, se pressant contre elle, puis serra l’une des lanières en cuir entre ses doigts. Harmony releva alors ses jambes, les enroulant autour de son bassin. Son membre s’enfonça plus profondément en elle, et Alice rompit le baiser. Harmony aimait beaucoup les baisers, ce qui était une bonne chose, car Alice aussi. Souvent, au harem, quand Harmony venait nettoyer son lit, Alice lui offrait un long baiser, qu’on aurait pu presque qualifier de baiser d’amoureuses… De quoi se demander si, instinctivement, Alice ne se doutait pas des sentiments d’Harmony. Mélinda n’avait évidemment rien dit, même si la vampire le savait pleinement.

Alice rompit encore le baiser, continuant à onduler sur le corps d’Harmony, de haut en bas. Sensuellement, lentement, accélérant progressivement…

« Désolée, mais… Tes lanières me gênent… »

Elle trouva les boucles dans le dos d’Harmony, et tira dessus, défaisant les lanières. Honnêtement, Alice ignorait comment cet assemblage fonctionnait, mais elle tâtonna un peu, tirant et défaisant, jusqu’à pouvoir jeter le harnais au sol. Alice portait certes un sling bikini, mais il libérait aisément l’accès à son corps. Leurs peaux se frottèrent ainsi l’une à l’autre, et Alice se pencha sur le cou d’Harmony, l’embrassant et la mordillant dans le creux du cou.

« Là, voilà… C’est bien mieux comme ça, non ? Ta douce peau, hmmm… Contre la mienne… Ma belle Harmony… »

De quoi, sans aucun doute, ravir encore sa jeune partenaire ! Alice la prenait donc, accélérant encore, caressant le corps de sa partenaire avec ses mains, voyant son regard transi de désir. Elle en gloussa même, et pinça ses tétons, lui arrachant de petits cris.

« Hmmm… Je… Haaaa… Tu es si bonne, Ha-Harmony, hmmm… »

Très clairement, Alice comptait aussi prendre son temps !

Et, près de là, un quatuor s’amusait. Plutôt que de mettre Yuko & Yuka à quatre pattes l’une face à l’autre, Mélinda avait opté pour un petit changement. Tandis que Vanillia prenait Yuka en levrette, Yuko, elle, était couchée sur le dos, son visage sous celui de Yuka. Elle admirait le spectacle, et vit les deux sœurs jumelles s’embrasser encore. Yuko & Yuka savaient que Mélinda aimait les relations incestueuses, ce qui était sans doute une déformation de sa nature vampirique… Ou l’expression pointue de sa forte perversité. Mais elle ne se lassait pas de ce spectacle, de ces deux jumelles jouant ensemble.

« Là, oui, c’est parfait, mes chéries… »

Vanillia soupira de son côté, quand Yuka lui avait proposé de se « déchaîner » sur elle. Une invitation qui donna lieu à une réponse immédiate, à savoir une belle gifle qui résonna sur le petit cul de Yuka.

« Ma foi, puisque c’est… Si gentiment proposé, hmmmm… »

La femme de Mélinda se concentra un peu, et puisa dans sa magie. Sa verge se gonfla alors, et Yuka en eut sûrement provisoirement le souffle coupé. La vampire se recula alors, et posa ses deux mains sur le bassin de sa partenaire, griffant parfois son cul, et partit en arrière, puis donna un grand coup de reins. La peau claqua contre la peau, et Vanillia poursuivit encore, se reculant, et repartant en avant, faisant hurler Yuka. Mélinda souriait doucement, et opta, de son côté, pour un rythme similaire et puissant.

« Hmmm… Tu es si bonne, ma chère Yuko… Je me demande bien… Laquelle de vous deux va jouir la première… Hmmm… »

Des idées, Mélinda en avait aussi, mais, pour l’heure, elle se contentait de pénétrer Yuko. À chaque fois qu’elle avait l’occasion de coucher avec les Karistal, elle les faisait toujours jouer ensemble, à sa manière. Contrairement à Alice ou à Ai, Mélinda pouvait se montrer bien plus autoritaire, et, dans un sens, bien plus perverse.

Elle en faisait encore la démonstration en ce moment !
Sha pouvait se démultiplier à l’infini, pour ainsi dire. Et Kiriko avait bien mérité cela. Elles revenaient de la terrible épreuve de Wallündrill, une épreuve qui avait complètement dégénéré, et où Sha et Kiriko avaient affronté leur passé, le vil et terrible Blaine. Sha avait bien failli être à nouveau absorbée par Tzeentch, et Kiriko avait découvert qu’elle était la plus puissante de ses sorcières, une Source. Elle était capable de puiser à travers les forces de ses ancêtres, et Sha la destinait à un entraînement intensif en vue de perfectionner ses talents, en vue de lui apprendre à faire mieux, en vue de lui enseigner à se connecter également à ses autres doubles dimensionnels, à ses Convergents. Mais, pour l’heure, seule la détente était au rendez-vous.

En constatant la présence de quatre Sha autour d’elle, Kiriko demanda à ce qu’elles s’occupent d’elle. Les murs et le plafond étaient recouverts par une fumée noire. L’endroit aurait pu sembler inquiétant, mais des espèces d’étoiles illuminaient la fumée, comme un ciel spectral et étoilé. Une Sha embrassa Kiriko sur les lèvres, tandis qu’une autre déposa encore un baiser sur sa chatte, à travers sa combinaison. Les autres Sha se redressèrent. Quatre Ombres autour d’elle, et Kiriko sentit leurs mains la saisir.

« Bien sûr, Kiriko…
- Je t’aime, ma chérie, mon amour…
- Ta gourmandise sera honorée. »

Une main tira sur ses cheveux, et elle se retrouva à quatre pattes. Toute sa force semblait l’abandonner entre les mains griffues des Sha, qui l’amenèrent en position. Devant elle, des genoux s’enfoncèrent dans le lit, une main tira sur ses cheveux, l’autre sur son menton, relevant son visage. Elle ne put ensuite qu’ouvrir la bouche, accueillant une belle verge noire, un joli phallus qui s’enfonça tendrement et goulûment en elle.

« Là, ma beauté… »

Les trois autres Sha se déplacèrent, et ouvrirent sa combinaison. Une paire de mains se posa sur les fesses de Kiriko, les pinça, et elle sentit une Sha se glisser sous elle. Sa verge s’enfonça dans l’intimité de Kiriko, lui arrachant un nouveau couinement. La main sur ses cheveux serra encore plus fort. Même sous sa forme éthérée, Sha pouvait prendre une consistance physique, et semblait très soucieuse d’imposer à Kiriko un rythme intense et soutenu.

Dans son dos, enfin, les deux dernières Sha préparaient une double sodomie. Elles se faisaient face, l’une à côté de l’autre… Puis se sourirent mutuellement. L’une se redressa alors, et se mit presque à califourchon sur le dos de Kiriko. Sa main alla tirer sur les cheveux de Kiriko, et elle orienta sa verge, venant l’enfoncer progressivement dans son cul. Kiriko hoqueta doucement, les yeux au bord des larmes… Puis la dernière Sha trouva le passage pour se glisser dans son cul, posant ses mains sur ses hanches, étirant sa verge pour pouvoir rejoindre celle de l’autre Sha sodomite.

« Là…
- Oui, làààà, comme ça, hmmm…
- Si bonne, ma Kiriko, ohhh, si bonne… »

Les quatre Sha commencèrent à remuer harmonieusement, balayant les rêves, balayant tout, ne laissant plus qu’une orgie, une ode au stupre et au sexe sauvage et débridé. La belle Kiriko était bel et bien prise intensivement par sa Déesse, et Sha avait bien décidé de ne rien lui épargner. Son corps remuait encore, les mains caressant son corps un peu partout. La Sha sur son dos caressait et griffait justement son dos, la Sha sous elle pinçant ses seins, et la Sha derrière elle caressait ses hanches, les griffait.

Jaillissant du plafond, des tentacules virent régulièrement fouetter le dos et les jambes de Kiriko, provoquant d’onctueux bruits de claquements qui se mélangeaient au soupir des Sha, et au bruit de la combinaison de Kiriko qui crissait au fur et à mesure qu’elle se faisait prendre avec une intensité croissante et renouvelée…
Dresser Harley était un effort de toute une vie. La soumettre et la rendre docile relevait en soi de l’impossible. Sa petite folle était extravagante, et elle le serait sans doute jusqu’à sa mort. Quand Ivy l’avait connu, lorsqu’elle était encore Harleen Quinzel, les deux femmes s’étaient rapprochées. Harleen était alors une jeune femme soucieuse d’aider ses patients, qui avait réussi à obtenir une nouvelle cellule pour Ivy, avec une vue sur le dehors. Mais c’était indéniablement le Joker qui avait aidé Harleen à se dévoiler, le Joker qui l’avait séduit. Harleen était devenue sa psychiatre attitrée, à tel point qu’elle avait reçu exceptionnellement l’autorisation de mener ses thérapies sans la caméra, pour faciliter l’immersion. Ils en profitaient alors pour faire l’amour. Le Joker l’avait manipulé, piégé en jouant sur les carences affectives de la jeune femme, mais cela avait fini par marcher. Harleen Quinzel était devenue Harley Quinn, et elle avait gagné en indépendance, mais aussi en folie. C’était finalement Ivy qui l’avait récupéré, et elles avaient fini par tomber amoureuses l’une de l’autre. Avec le recul, il était acquis qu’Ivy était tombée amoureuse la première de sa petite Harley. Celle-ci avait toujours hésité entre Le Joker et elle, avant d’opter pour Ivy, sans aucun doute possible, en la rejoignant au Japon.

Maintenant, Ivy caressait l’espoir de fonder avec elle une famille, de se marier (symboliquement), et de vivre ensemble. De fait, elles vivaient déjà ensemble, et le mariage était en cours. Il ne restait désormais plus qu’à défier l’infécondité d’Ivy en enfantant Harley. Chaque orgasme en elle les rapprochait de ce but, et Ivy était prête à tout pour mettre les chances de son côté. La belle plante venait donc pénétrer lourdement Harley, optant pour une redoutable double verge. Son corps en tremblait nerveusement, tandis qu’elle s’enfonçait simultanément dans le délicieux cul et dans la merveilleuse chatte de sa future femme.

« Là, voilà, haaaaa… »

Mais, en ce qui concernait le fait d’aboyer, Harley était encore bien décidée à faire preuve de rébellion. Elle posa sa main sur la nuque d’Ivy, et se redressa. Les deux verges d’Ivy coulissaient en elle, et ses mains se posèrent sur ses hanches, s’appuyant ensuite sur ses cuisses, et elles partagèrent un baiser, Harley venant la provoquer, terminant ce baiser par mordiller ses lèvres.

« Oh… Ma Harley se révolte ? Hmmm… Je t’ai… Trop bien baisé, haaaa… Ton corps s’est habitué à cela, hmmm… Mais tu sais combien je n’aime pas qu’on me contredise, mon petit clown… »

Des tentacules se rapprochèrent, et deux tentacules avec des bouches à l’extrémité se posèrent sur les seins d’Harley, venant les palper doucement. Des langues s’enroulèrent autour de ses tétons, et tirèrent dessus. Ivy répondit au baiser de sa femme en la mordillant à son tour, crispant ses muscles sur son corps, s’enfonçant plus lourdement en elle. D’autres tentacules s’approchèrent, et vinrent fouetter le ventre d’Harley, tandis que le tentacule sur son cou se serra alors, venant étrangler la jeune femme.

« Tu es sûre de vouloir rester comme ça, hum ? Les coups de fouet sont plus agréables dans le dos… Tu es bien placée pour le savoir, non ? glissait Ivy dans le creux de son oreille. Combien de fois t’ai-je déjà fouetté pour ton impertinence, hein, ma chérie ? »

On avait sans doute perdu le compte ! Mais, entre les deux femmes, le sexe avait toujours été passionné, et, même avant de faire véritablement l’amour, Harley était la spécialiste des catastrophes ambulantes, ce qui amenait déjà Ivy à devoir la fouetter. Dès le début, elles avaient toujours eu leurs fonctions respectives. Harley était l’élément perturbateur de la vie trop bien rangée d’Ivy, qui la protégeait et qui la punissait quand elle faisait des bêtises, mais qui n’hésitait pas à la secourir, et qui avait grandement besoin d’elle. C’était aussi pour ça qu’Harley avait toujours su qu’elle pourrait trouver chez Ivy un refuge idéal, un endroit où se ressourcer quand elle rompait avec Le Joker. Leur amour avait mis du temps à s’affirmer.

Ivy étrangla donc Harley, avant de relâcher légèrement la pression. Deux tentacules continuaient à pomper ses seins, et elle se faisait encore fouetter.

« Et puis, je dois bien endurcir ton petit ventre, non, hmmm ? Haaa… Ma belle, petite salope, fais donc ta rebelle, cela me donne encore plus envie de te défoncer… »

Poison Ivy glissait sa langue contre son oreille, jouant tendrement et malicieusement avec elle…
Elles faisaient l’amour sans presque aucun répit depuis plusieurs heures, maintenant. Elles s’étaient isolées sur une île vierge pour faire l’amour tout l’après-midi. Une brève pause avait eu lieu quand elles étaient retournées sur l’île principale, mais, dès le retour dans la chambre d’hôtel, Aoki lui avait sauté dessus dès la porte fermée, et elles avaient continué à faire l’amour. Impossible d’aller au restaurant de l’hôtel, et elles avaient commandé de la nourriture à distance, une ou deux pizzas qu’elles avaient mangées en se faisant l’amour, Félicia donnant des parts à manger à Aoki tout en la pénétrant lentement dans le salon. Les deux femmes étaient des nymphomanes convaincues, et elles avaient ensuite digéré en forniquant encore.

Autant dire qu’elles ne se refusaient aucun plaisir ! Et, maintenant, elles prenaient une belle pause dans l’eau chaude de la grande baignoire de la salle de bains. Les magnifiques mains d’Aoki pétrissaient le corps de Félicia, tandis que la Chatte Noire s’était couchée dans l’eau, étalant son magnifique dos à la jeune femme. Comme les chats adorant qu’on les câline le long de la colonne vertébrale, Félicia éprouvait un vif plaisir. Aoki en profitait pour lui parler, lui exposant doucement, tendrement, qu’elle tenait à elle. Félicia sourit brièvement en tournant la tête.

« Est-ce que cela signifie que tu comptes t’installer chez moi, Aoki ? »

La proposition pouvait sembler indécente, ou être une erreur d’appréciation… Mais Félicia se retourna à nouveau, et fit face à Aoki. Elle attrapa doucement ses mains, serrant ses doigts sur ses poignets, et la regarda encore, l’eau arrivant à hauteur de ses épaules, filant au-dessus de ses seins. Ses longs cheveux blancs commençaient à doucement flotter dans l’eau, tandis que sa partenaire était encore assise à califourchon sur elle.

« Tu le sais, Aoki… J’ai été violée quand j’étais étudiante. C’est suite à ça que j’ai commencé à devenir kleptomane, et à devenir la Chatte Noire. »

Sous sa désinvolture et ses poses sensuelles, Félicia était avant tout une victime. Son violeur n’avait jamais été condamné, et elle avait dissimulé ça à presque tout le monde sur Terre… Sauf à Peter, et à Aoki. Peter lui avait appris à de nouveau aimer, mais, à l’époque, elle n’était pas encore prête, et elle l’avait perdu. Maintenant, Félicia commençait à oublier cette déception de sa vie, même si elle ne serait jamais contre l’idée de jouer à nouveau avec son Tisseur adoré. Mais là, face à Aoki, sa main remonta pour caresser ses hanches, glissant sur elle.

« Je souhaite que tu viennes vivre chez moi, Aoki. Je n’aurai jamais cru retomber amoureuse un jour, mais… Je ne peux pas mentir. Je veux que nous vivions ensemble, que nous partagions nos vies… Et mon appartement me semble plus adapté que le tien. Déjà, parce que j’aime le luxe, et, ensuite, parce que j’ai trop de chats pour les mener chez toi. »

Elle lui sourit encore, le cœur battant la chamade, tout en restant malgré tout relativement calme. Félicia resta silencieuse pendant quelques secondes, et lui sourit à nouveau.

« Mais j’en suis sûre, maintenant… Je veux tout partager avec toi, Aoki. Au début, je t’ai rencontré parce que je ne connais pas grand-monde au Japon, et parce que tu m’avais plu. Alors, je ne sais pas si je t’aimais déjà dès le début… Mais je sais maintenant que, à chaque fois que je rentre chez moi, je m’attends à ce que tu sois là. Je m’ennuie quand je sais que tu n’es pas là, et ta seule présence suffit à me motiver pour faire n’importe quoi. Alors… Je ne suis pas spécialiste, loin s’en faut, mais je crois bien que ce sont les symptômes de quelque chose qu’on pourrait appeler l’amour, non ? »
C’était la soirée de l’ascenseur émotionnel pour Sya ! Après la dispute sur le fait de lui faire un enfant dans le dos, Samara sautait les pieds dans le plat en abordant LE sujet épineux par excellence…

Les hommes.

Dès qu’elle évoqua cela, Sya changea du tout au tout. Son ton guilleret se transforma en un éclair de panique totale, et Samara la sentit s’enflammer sur place, ses yeux s’écarquillant sous la hantise. Elle se crispa alors sur place, ce qui ne fit que confirmer à Samara qu’elle devait agir. Samara ignorait ses ascendances démoniaques, mais elle avait toujours soupçonné venir probablement du Cercle de l’Orgueil. Affronter sa peur des hommes était devenu vital pour elle, pour sa fierté et pour son amour-propre. Sa fille se devait donc d’être à la hauteur.

Samara la regarda silencieusement, sans rien dire pendant quelques instants. Elle reprenait son calme, sa forme normale, et se déplaça doucement, faisant claquer ses talons.

« Ton dégoût des hommes ne fait que confirmer ce que je sais déjà, Sya… Tu as peur des hommes. Une peur qui te paralyse, et qui t’empêche de progresser. »

De progresser dans quel domaine ? Samara pouvait deviner les questions qui agitaient Sya.

« Je sais que tu as vécu un traumatisme, Sya… Mais tu n’as jamais rien fait d’autre que le refouler. Et, puisque je suis ta mère, il est de mon devoir de t’aider. Et ce d’autant plus que je sais ce que tu ressens. Pendant des siècles, je refusais qu’un simple homme me touche, je m’énervais à chaque contact, et je frappais même quand un homme essayait de m’embrasser. Et tout ça à cause de quoi ? D’un vieux pervers de mage qui m’a violé et torturé en m’enfermant dans sa cage ! »

Samara se déplaça encore, et retourna s’asseoir sur le fauteuil.

« Je pensais que j’étais comme ça, Sya… Que je détestais juste les hommes. Mais, ce faisant, je ne faisais que continuer à perdre, et à continuer à perdre. J’étais encore la prisonnière de mon geôlier, de mon bourreau. Et toi, ma chère Ange, tu es encore la victime de ces individus qui t’ont fait du mal. »

Samara soupira encore. Elle aurait pu hurler après Sya, lui dire d’arrêter ses caprices… Mais elle savait très bien quand il fallait être diplomate.

« Rassure-toi, je ne vais pas te jeter dans la fosse aux lions, ma belle, je parle juste d’essayer de te soigner, de t’améliorer… C’est aussi ce que souhaite Lust, tu sais. »

C’était peut-être l’argument qui pourrait faire hésiter Sya.

« Je suis en contact avec elle. Elle est très heureuse que je sois ta mère adoptive. Et, comme tu le sais, son culte accueille aussi bien les hommes que les femmes. Bien sûr, elle ne te le dira jamais de face, mais elle souhaite que tu sois enfin épanouie… Tout comme je le souhaite aussi. Tu m’es très précieuse, Sya, mes invités t’aiment beaucoup, mais je ne peux les restreindre qu’au cercle féminin. En invitant aussi des hommes à mes soirées… Mais ne te méprends pas, Sya, je ne ferai jamais rien qui te fera du mal. Mélinda a été très patiente avec moi, tu sais… La première fois que je l’ai vraiment fait avec un homme, elle a dû embaucher un incube, car j’aurai tué un humain en le griffant. Mais, tu sais quoi ? Il m’a fait avoir un orgasme… Et c’est là que j’ai compris que j’étais gouvernée par la peur depuis des années. Crois-moi, il n’y a rien de plus libératoire et de plus jouissif que d’affronter ses vieux cauchemars dans les yeux, et de les faire disparaître. C’est un bonheur que je souhaite naturellement partager avec ma fille. »

Hinata

La reine était à quatre pattes, se faisant prendre par sa femme qui enfonçait son sexe en elle, dans le but – après le plaisir ou peut-être avant même – de planter en elle la petite graine qui donnera un frère ou une sœur à ce bébé qui était déjà en train de doucement pousser dans le ventre de Shunya. Hinata se laissait faire, sa femme avait des envies de domination, alors soit, elle la laissait faire, car peu importe ses envies, elle était là pour les partager ensemble. Qu'elle frappe son cul, qu'elle veuille se faire appeler Maîtresse ou qu'elle toise Hinata de haut, peu importe, c'était dans un lit, un simple jeu ensemble pour s'amuser un peu plus. Hinata restait la reine d'Edoras, bien que sa femme avait un statut équivalent au sien, les lois, tout devait être approuvé par la reine. Loin donc des formalités, ici, ça pouvait bien être sa femme qui porte la culotte, ça ne changeait rien à ce plaisir partager ensemble dans l'amour et le respect. Même si des insultes pourraient être lâchées, l'amour sera toujours là, entre elles.

« Haaaannn, encore, Maîtresse ! »

Si tout cela pouvait plaire à sa femme, si d'une façon ou d'une autre, ça faciliterait Hinata à tomber enceinte, alors elle irait le crier sur tous les toits s'il le faut. Mais après bien des efforts et du plaisir, Shunya venait jouir entre les jambes de sa femme qui elle aussi, venait jouir de plaisir. Gémissant en relâchant la pression, elle s'écroula sur le lit, ou même dans l'euphorie, elle se demandait si dans son ventre, le travail était en train de commencer ? Hinata pourrait demander à Nora de vérifier même si cela ne se fait pas dans la seconde qui suit, mais elle n'allait pas la déranger toutes les cinq minutes. Au pire, elle pourrait vérifier demain matin ? La reine se reposait sur le lit, se doutant bien que le sommeil ne viendrait pas tout de suite, mais sa femme s'écartait, elle s'attendait à la sentir près d'elle pour l'embrasser, mais elle allait chercher quelque chose avant de revenir vers elle. Hinata s'était assise sur le lit, en voyant sa femme tenir quelque chose entre les mains.

Sa timide partenaire venait partager cette envie de domination, un peu plus poussée. Suite – peut-être – au cadeau de Tsukasa, elle avait regardé quelques films venant d'Uatis. Hinata ne connaissait pas cette Poison, peut-être avait-elle entendu ce pseudo un jour, mais elle ne l'avait pas retenue. La télé, internet, ça existait à Edoras, mais la reine n'avait jamais été très friande de cela. Oui, elle n'avait jamais regardé le moindre film porno, ni même de magazine. Elle savait que ça existait, mais elle ne s'y était jamais intéresser. Pourquoi le ferait-elle après tout ? Elle a découvert le sexe et tout ce qui allait avec en partie grâce à Nora qui lui a doucement fait son éducation sexuelle, pourquoi irait-elle voir des inconnues sur le net faire ça ? Par la suite, elle a découvert d'autres choses avec d'autres partenaires, que ce soit des femmes au sein du palais ou même des membres de sa famille, Elena comme Rhian. Shunya se confondait déjà en excuse, au cas où sa femme refuserait de porter ça.

Hinata posa ses mains sur les siennes, se rapprochant d'elle en posant son front sur le sien, les yeux dans les yeux.

« Pourquoi je refuserais ça, Shunya ? Tu es ma femme à présent, ma moitié. Tu as accepté de devenir une jolie kitsune toute douce la nuit de notre mariage, j'ai aussi accepté de devenir une belle neko toute noire pour toi, cette même nuit-là. Je partage tes fantasmes, tu partages les miens. Si devoir porter un collier et une laisse en t'appelant Maîtresse t'excite, je le ferais aussi souvent que tu le souhaites. Nous vivons ensemble à présent et je ne peux rien te refuser, surtout si c'est pour faire en sorte d'avoir un joli bébé, là, je suis toute à toi. »

La reine remuait doucement sa tête, le bout de son nez se frottait à celui de sa femme, qui lui souriait avec un regard plein d'amour. Elle n'avait cependant pas fini.

« Mais j'ignorais que Tsukasa t'avait fait un tel cadeau. Tu sais, j'ignore qui es cette Poison, ni même à quoi elle ressemble. Si tu veux, tu pourras m'apprendre des choses sur elle en revenant chez nous, d'accord ? »

Pour une fois qu'Hinata ignorait une chose liée au sexe que Shunya connaissait, c'était rare ! Pour Hinata, connaissant vaguement la chose, un film de ce genre n'était que des personnes qui se filmaient en train de copuler de bien des façons. Un scénario, une mise en scène ? Elle n'était pas très film, même si là aussi, elle connaissait ce qu'était un film, alors une telle mise en place pour ce genre de film, elle va être surprise ! Sans parler de ce qu'elle pourrait voir avec cette Poison en action, la vie de la reine et sa femme allait bien changer ! Qui sait, ça pourrait leur donner des idées pour après, quand elles seront à nouveau dans leur chambre ou dans leur harem ? Hinata gardait les mains sur celle de sa femme, les remontant pour poser le collier près de son cou en continuant de la regarder dans les yeux.

« Vas-y, mets-moi ce collier. Et dis-moi ce que je dois faire à présent pour te rendre heureuse ? »

Continuer de l’appeler Maîtresse ? Dire certaines choses ? Ne pas faire certaines choses ? Subir certaines choses ? Hinata était un tableau blanc, Shunya n'avait plus qu'à y marquer dessus ce qu'elle voulait voir.

Tessou

Avoir le feu en elle serait un euphémisme, Tessou n'avait pas le feu, c'était un véritable volcan en éruption et rien ne pouvait contenir son envie de luxure. Actuellement, une Succube n'aurait sûrement rien à redire à son comportement qui était un bon exemple à suivre. Face aux provocations de la jeune femme, Kara répondait présente et chaque menace qu'elle citait ne faisait qu'étirer son sourire et faire flamber son regard d'envie, semblant lui hurler « Fait le !!!! » mais elle restait à genoux, continuant de sucer doucement sa délicieuse queue qui était loin de se reposer ce soir, oh non. À vrai dire, dans les menaces, il n'y avait qu'une chose que Tessou refusait, celle de quitter cette chambre pour être amené ailleurs. D'une, elle n'avait pas spécialement envie de s'exhiber comme ça devant d'autres personnes et de deux, même assoiffée de luxure, elle restait une maman et pour ça, pas question de quitter leur chambre. Même si depuis un moment, elle ne maîtrisait pas le volume de sa voix, pas question de laisser Kyoko ici. Même avec un talkie-walkie ou même une personne pour la surveiller, non. Kara avait beau avoir une super force, si elle commençait à l'ammener ailleurs, elle dirait non et se débattra. Sans ça, elle était partante pour le reste, même boire son urine alors qu'elle était surtout partante pour être arrosée.

« Mmmmh, alors vas-y, ma petite salope... »

Provocation, cette Tessou était un total opposé de cette gentille maman qui prenait soin de sa fille en s'endormant dans les bras de son héroïne parfois le soir. Kara ouvrait donc le bal, se servant de sa bouche pour faire des vas et viens avec sa queue, l'enfonçant doucement au fond, sans aller trop vite et Tessou gémissait en laissant ses mains caresser le cul de Kara. Ses doigts passaient doucement dessus, savourant cette peau douce venue d'ailleurs. Mais quand elle commençait à pisser en elle, elle était bien obligée de se défendre. Griffant ce cul, le giflant, des pichenette pour la super-femme qui pouvait se mettre en travers d'une voiture de course et remuer autant que quelqu'un qui viendrait se prendre une boulette de papier. Kara ne terminait pas là, elle fit en sorte que Tessou puisse en garder une partie dans la bouche, puis finissait le reste sur son visage. Elle ne saurait pas dire pourquoi... mais sentir sa pisse sur son visage, coulant sur elle, sur ses lunettes, ça l'excitait. Elle gardait du coup un peu de son urine dans sa bouche, mais pour sur, ce ne sera pas indéfiniment. Avaler ou le lui cracher au visage, elle ne savait pas encore, mais elle ne comptait pas jouer le jeu de Kara docilement. D'ordinaire, oui, mais pas ce soir...

« Hmmmmm... »

Kara était loin d'en avoir fini, car elle l'allongeait pour la prendre de façon classique, mais loin d'être ennuyant. Elle la regardait avec un grand sourire, toujours la pisse dans sa bouche pendant que la super femme venait la titiller, léchant ses lèvres, pinçant ses tétons, embrassant son cou. Le tout, en la traitant de salope, de chienne, bref, de biens jolis noms à entendre. Finalement, elle avala. Lâchant un gémissement assez long avant de le faire, venant ensuite sourire à pleine dent, un sourire assez mauvais cela dit. Mais la gentille Tessou n'était pas là pour le moment, c'était la démone qui était présente. Une de ses mains venait s'abattre sur son cul, un doux bruit en naissant alors que ses doigts venaient doucement se rapprocher d'un certain petit trou dans cette zone.

« Ooooh ma belle salope... Tu penses... haaa... me contrôler ? Huuum, tu vas voir.... c'est moi... haaaan... Qui te contrôle... Alors soit une gentille fifille... Et remplit moi la chatte ! Elle est loin, rhaaaa... d'être remplis. »

Sa main cherchait la zone, la trouvant sans mal, se glissant dans la fente et laissait son majeur s'y enfoncer dans réelles difficultés pour lui titiller l'anus. Sa main venait saisir ses cheveux pour l'amener à elle, dans un baiser des plus torride et sauvage. Tessou était prise par Kara, mais laquelle des deux était la vraie maîtresse ? Super force mis à part, on était en droit de se poser la question. Elle semblait autant apprécier la dominer que se faire dominer. Après tout, si elle aurait voulu le rôle dominant, c'était elle qui aurait avaler la pilule, mais non, là, elle l'avait forcer à la prendre. Le baiser se rompait, ses dents tiraient doucement sur sa lèvre inférieure, alors qu'elle affrontait son regard avec plus de détermination que jamais.

« Haaaaaa.... putain... Pas question... de se barrer d'ici, compris ? Haaaaan... je t'ai dis.... je veux me réveiller ici demain... en exploser ce putain de lit ! »

Pour le moment, elles étaient au sol, mais oui, quand Morphée viendra à elles, elle espérait que ce sera dans ce lit, qui aura rendue l'âme. Mais pour le moment, le baiser reprenait, sa main fermement refermée sur ses cheveux blonds, l'embrassant avec passion, en se frottant à son corps pendant que sa grosse queue la fourrait bien comme il faut. Si elle ne serait pas en train de fourrer son doigt dans le cul, elle aurait assurément entouré ses jambes autour de son corps. Mais pour le moment, elle la maintenait à la seule force de ses bras. La démone était loin d'être au bout de ses forces, elle ne s'arrêtera pas avant d'être entièrement satisfaite, de bien des façons, de ses trois principaux orifices. Une très longue soirée en perspective pour la super femme qui avait un ennemi de taille ce soir.

Harmony, Ai & les Karistal

Dans cette grande chambre, tout le monde y trouvait son compte, à commencer par la petite futa de Mélinda, son petit volcan qui passait un agréable moment avec Luna. En même temps, elle n'était pas difficile pour choisir sa partenaire. De jolis dessous, ça suffisait amplement à lui provoquer moult émotions. Qu'elle soit grande, petite, planche à pain ou énorme poitrine, Ai observait avant tout ce qui cachait sa nudité. Et la petite chatte était très bien lotie de base, si en plus elle était ravissante dans cette petite tenue choisie avec soin par Ai, pourquoi elle irait cracher sur la marchandise ? Et la petite chatte était très bien lotie de base, si en plus elle était ravissante dans cette petite tenue choisie avec soin par Ai, pourquoi elle irait cracher sur la marchandise ? Elle pourrait la caresser des heures entière en cherchant à libérer son esprit de cette grosse envie entre les jambes qui cherchait à être expulsée.

« Mmmmmh, oulala, le gentil, ha, petit chat. »

La futa ne perdait pas l'occasion de lui faire l'amour, sa queue s'enfonçant en elle avec douceur, mais aussi avec fermeté. Ai aimait se sentir dominante, mais cela ne voulait pas dire qu'elle était comme les Karistal ou Mélinda, à fesser tout ce qui bouge en insultant et en portant du cuir, non, elle aimait avoir le dessus sans pour autant être comme ça. Ses mains sur les hanches de Luna reontaient, caressant sa belle poitrine, moelleuse et bien enveloppée, ses doigts pressaient doucement cette zone, arrâchant de petits gémissement tout mignon qui la faisait fondre. Ai était une perverse qui aimait faire l'amour, se montrer parfois vulgaire dans son comportement ou ses actions, mais elle était gentille, attentionnée et délicate, pas le genre de partenaire à laisser des marques après son passage. La queue de la neko enroulé autour de sa taille était un petit plus très agréable même si pour la futa, elle juge avant tout sur la tenue de sa partenaire.

« Mmmmmh, après... han, je remplirais ha... ton petit minou... mon minou. »

S'occuper de son entrejambe, la remplir et voir son ventre déformé sa tenue, plus encore que ça ne le sera dans quelques instants ? Elle en rêvait, elle aimait ça, passer d'une partenaire svelte et bien proportionné à une carrure de femme enceinte, c'était idéal pour lui donner de suite envie de passer au round deux. Bien qu'elle caressait avant tout le tissu présent sur le corps de la neko, elle ne délaissait pas sa peau pour autant, la caressant doucement de temps à autre pour profiter là aussi d'une douceur, plus naturelle.

Près du duo futa et neko, Harmony vivait quelque chose qui sera à jamais gravée dans sa mémoire. Elle faisait l'amour avec Alice. Une Alice toujours aussi belle et douce et cette fois, membrée. L'idée de porter son bébé avait frôlé un instant ses pensées, voyant autant le bien que le mal dans cette idée, elle l'oubliait bien vite en sachant que ce genre de magie ou potion permettant de devenir futa, laissait aucune chance de pouvoir donnée la vie. Ça existait ce genre de choses, Sya lui avait raconter qu'avec sa magie, elle était devenue maman et Sya n'était en rien une déesse. Même si une de ses filles venait directement d'une déesse, là, ça n'avait rien de très surprenant. Mais face à Alice, elle se contentait de profiter de cette occasion, de la sentir remuer doucement en elle, un vrai plaisir, un vrai régal.

Harmony restait dans le respect de sa partenaire, l'appelant toujours Majesté, tout comme Mélinda était toujours appellé Maîtresse. Rares étaient les occasions où la semi-ange appelait sa maîtresse par son prénom. Ferait-elle cet effort pour la princesse ? Nous verrons bien. Mais pour le moment, elle restait allongée, partageant ce baiser avec elle en laissant leurs mains se serrer mutuellement. Oui, ceci était un semblant de romance. Si un jour elle aime quelqu'un, elle veut que ce soit aussi doux et agréable. Pas de violence, pas de fessée ou d'insulte, juste, la douceur. Quand leurs lèvres ne se scellèrent pas ensemble, elle gémissait doucement, si d'ordinaire, Harmony était du genre à fermer les yeux dans ce genre de moment, là, elle faisait l'effort de tenter de garder les yeux ouverts. Alice ralentit un moment, le temps de lui ôter sa tenue, un geste qui était le bienvenu, car Harmony n'était pas à son aise. Cette tenue avait été choisie par ses maîtresses, pour jouer ensemble, mais maintenant que ce n'est plus le cas, pour le moment, elle préférait s'en débarrasser. Cela lui permettra de sentir son corps contre le sien.

« Attendez, je vais t'aider. »

Ai l'avait aider à la mettre, elle savait plus où moins où étaient les encoches à retirer, les lanières à dresser pour se libérer de cela et après quelques efforts, la voilà nue, seulement habillée de son cache-oeil. Nue, offerte et légèrement souriante face à Alice.

« Oui... j-je préfère ça aussi, Maj... Alice... »

La suite reprenait là où cela s'était terminé, Harmony passait ses jambes autour de la taille de la princesse en posant ses mains sur les épaules de la belle blonde. Caressant doucement cette zone, glissant un peu sur ses bras pour remonter, elle préférait laisser à Alice toujours le loisir de bouger comme bon lui semble. De temps à autre, sa main remontait, caressant ses magnifiques cheveux d'ors qui tombaient près de son visage. Toujours souriante, même avec ce petit rose aux joues, la semi-ange était ravie, si heureuse.

« Hmmmm, haaaaaa... A-alice.... En... Encore... »

Même si cette dernière la pinçait un peu au niveau des tétons, elle voulait encore la sentir en elle, lui procurer un tel plaisir immenses. Oh oui, elle voulait sentir Alice lui faire tant de bien, la sentir jouir en elle et sentir son poids l'écraser après l'orgasme, reprendre son souffle, uni par ce qui viendrait de se passer.

Quant aux jumelles, elles étaient entre de très bonnes mains. Le couple Warren se faisait un plaisir de bien s'occuper d'elles. Vanilla avait le plaisir d'avoir la plus soumise du duo, invitant sa maîtresse à laisser parler son envie et à la prendre comme bon lui semble, avec toute son énergie, sa passion et sa luxure. En un instant, Yuka sentait le sexe de la vampire grossir, la surprenant un peu, bien qu'elle s'était douté de la suite, avant de la sentir la prendre avec énergie faisant naître en elle, une agréable douleur. Son cul était rempli par sa grosse queue, qui sortait et rentrait à volonté, bien agrippée par la vampire qui continua son petit jeu, encore et encore en donnant quelques gifles par la même occasion sur son cul ? Yuko observait cela avec amusement, le fait de pincer les tétons de sa sœur semblait être du pipi de chat à présent que Yuka avait quelque chose de bien plus intenses.

« Haaaaaaaaaaaa haaaaaaaaaaaaaaaaan maîtreeeeeeeeesse !!!!! Haaaaa ouiiii ! Encore... Encore ! Hooooouuu.... Dé-défoncer-moi le cul ! »

Yuka savait y mettre du sien pour faire plaisir à ses partenaires et nul doute que cela sera une douce mélodie pour inviter Vanilla à jouer le jeu. Une invitation pareille ne pouvait se refuser après tout, c'était si tentant, si appétissant. Ses doigts venaient planter ses griffes dans le lit, la petite neko ne pouvait contenir un tel plaisir pendant que sa queue caudale remuer de gauche à droite, caressant en quelque sorte la poitrine de sa maîtresse alors qu'elle criait son plaisir, bavant un peu sur le visage de sa sœur en dessous. Oui, pour le coup, elle oubliait un peu qu'elle n'était pas la seule dans ce lit. Yuko avait abandonné l'idée de jouer avec la poitrine de sa sœur, mais de toute façon, Mélinda avait prévue d'en faire autant que sa femme, sans pour autant changer de position, ainsi, elle gonfla sa queue et mis un peu plus d'entrain dans leur jeu en se demandant qui des deux allaient jouir en premier ?

« Hmmm, oh... pour ça, Maîtresse... faut me faire, hmmm.... l'amour mieux que, ha, votre femme... »

Une sorte de petite provocation ? De défi ? Peut-être bien, mais pour le moment, la Karistal se laissait prendre, gardant ses jambes enroulées autour de la taille de Mélinda. Elle gémissait moins que Yuka – pour le moment – mais en profitait pour se montrer un peu plus perverse avec elle. Son corps ronronnait, sa langue pendait en dehors de sa bouche en tendant ses bras, ses petites mains aux doigts griffues caressaient – et griffaient légèrement – le ventre de Mélinda, un petit peu sa poitrine. Les Karistal étaient deux petites chattes aussi dociles que sauvage, il fallait savoir dompter ses deux petites chattes bien comme il faut.

« Mmmmrrrrrr, allez Maîtresse... huuum, donnez-tout... Venez me baiser bien comme il faut. »

Que Mélinda se lâche, si elle voulait faire jouir Yuko en premier, elle devait tout donner. Bien que ce ne soit pas vraiment une compétition...

Kiriko

La Celkhane avait des étoiles dans les yeux, quatre Sha. Et sous sa forme de déesse. Sha était très belle sous forme humaine, mais Kiriko l'aimait aussi au naturel. C'est comme ça qu'elle était venue la sauver la première fois, comme ça qu'elle était tombé amoureuse de la sombre déesse. Ce n'est pas pour rien que lors de sa nuit de noces, elle a tenue à ce que Sha la mette enceinte sous cette forme. Peu importe qu'elle soit plus violente ou qu'elle montre moins ses émotions, Kiriko l'aimait. Alors, quatre Sha rien que pour elle, hm, elle avait tant d'envie et ne tardait pas à demander à ce qu'elles s'occupent d'elle. La demande fut gentiment acceptée même si après, elle se mettait en place avec moins de douceur. Mais elle s'en fichait d'être tiré par les cheveux, c'était amusant dans cette situation. À quatre pattes sur le lit, l'une d'elles – qui était autant la vraie Sha qu'un double – lui fit ouvrir la bouche et hébergea sa grosse queue. Elle la faisait glisser dans sa bouche et elle gémissait en levant les yeux vers elle. Elle était toujours aussi bonne et elle en était ravie de pouvoir chercher à la faire jouir sous cette forme. En déesse, la faire jouir était plus compliqué, mais la Celkhane connaissait assez sa femme pour savoir comment la caresser dans le sens du poil.

« Mmmmmmmmhhhh... »

Le seul inconvénient à tout cela, c'était de ne pas pouvoir parler, mais bon, ses gémissements parlaient pour elle, tout comme son corps. Une des autres déesses se glissa entre ses jambes pour se placer sous son corps. Sa magie ouvrait sa tenue comme par magie, justement et libéra l'accès à sa fente déjà humide. Sa femme savait la faire mouiller donc ce n'était pas surprenant de la voir si humide. Ce fut la même chose que la première et il en sera de même pour les deux autres. Sa queue se glissa en elle, sans difficulté. Sa femme la prenait sans arrêt, pour y être à l'étroit, il faudrait faire grossir sa queue ou faire en sorte que son intimité retrouve son innocence ou au moins, soit comme avant qu'elle ne rejoigne Sha, plus vierge, mais loin d'être aussi dilaté par leurs multiples rapports. Kiriko lâchait un nouveau gémissement de plaisir, son cerveau avait tout de même une question en suspend... les deux dernières allaient la prendre par le même trou ou bien l'une d'elles allaient être plus original ? Frotter sa queue contre sa peau, la masturber avec ses cheveux ? Juste se branler en les regardant ? Non, la dernière option était la moins logique pour Sha... La réponse arriva assez rapidement.

L'une des Sha venait entamer sa pénétration, étant dedans sans y être totalement, c'était déjà le pied, mais assez rapidement, elle sentait la seconde Sha se glisser avec son double. Deux grosses bites dans son cul avaient de quoi couper ses gémissements et la faire grimacer. Aussi endurante et aussi plaisant soit-il, ça restait tout de même une sacrée épreuve !!! Mais une fois en elle, ce fut un véritable gang-bang pour Kiriko qui se faisait prendre de tous les côtés en même temps, sans se consulter l'une de l'autre. Elle sentait des coups de fouets sur son dos, ses cuisses, pendant que la première lui violait la bouche en tirant sur ses cheveux, la seconde cherchait prendre le dessus sur les autres malgré sa position, sentant son gland cogner tout au fond de son utérus, quant aux deux autres, le rythme était plus lent étant donné l'étroitesse de l'endroit, mais elles y allaient quand même avec force. La sorcière gémissait à s'en briser la voix – du moins presque – et sans la bite de sa femme qui lui ramonait la gorge, elle aurait plus de volume qu'une alarme retentissant dans l’hôtel. Elle était sexuellement maltraitée, mais bon sang ce qu'elle adorait ça ! Juste parce qu'il s'agissait de Sha. Avec une autre, ce ne serait absolument pas la même chanson.

« Mmmmmhhh!!! Mmmmmmmmhhhhh ! »

Impossible de parler, son corps parlait en même temps qu'elle, parfois ses gémissements se transformait en bruit de gorge quand ses lèvre sse détachaient de sa queue, le bruit de chair qui claque venait autant de son dos que de sa chatte, les gémissements des déesses se mêlaient à tout cela, bref, la chambre de Sha n'abritait que deux femmes en théorie, et là, il y avait tout un groupe se réunissant que pour Kiriko. Ce petit gang-bang était si merveilleux...

Harley Quinn

L'arlequin n'allait pas se laisser faire, c'était mal la connaître que de croire qu'elle obéirait. Non. Finalement, c'était cinquante/cinquante avec Harley ? Elle aurait très bien pu jouer le jeu de Pamela, mais elle avait eut envie cette fois d'aller dans le sens inverse en venant titiller sa petite jardinière du fait qu'elle n'était pas une docile petite chose. Il y avait bien des exemples qui disait le contraire, mais Harley était la pièce de Double-Face. Elle pouvait autant dire oui que non à une même question. Tout dépend de son humeur, du temps, de la vie, de ce qu'elle a pris au petit déjeuné, de l'alignement des planètes par rapport au soleil, bref, la moindre petite chose pouvait faire basculer Harley dans le sens contraire de ses habitudes. Ivy ne tardait pas à rappeler que c'était elle la maîtresse, faisant d'abord apparaître deux tentacules venue faire mumuse avec sa poitrine en léchant et tirant sur ses tétons, dont Harley lâchait un léger gémissement. Elle pouvait mieux faire, elle le savait.

« Ce serait pas drôle... que je sois toujours... hum, douce et gentille... »

Harley perdait de son éclat à jouer les parfaite petite chose bien obéissante. Pamela baisa et mordillait son cou, faisant lâcher un nouveau gémissement, mais plus aiguë, voilà qui devenait un petit peu mieux. Juste un tout petit peu. Continuant sur sa lancée, de nouveaux invités venaient se joindre à elle, pour doucement fouetter son petit ventre. Rien encore ne poussait en elle – jusqu'à preuve du contraire – mais elle voulait voir si elle arrivera à faire changer d'avis sa Pamela chérie en utilisant cette excuse ? Non pas qu'elle s'en servira de menace, mais elle voulait voir...

« Haaaa.... Arrête ça.... et si notre bébé... poussait déjà ? »

Peu de chance. Pas impossible, mais actuellement, ça devait être comme de gagner au loto, c'était possible, mais il fallait une putain de chance pas possible ! Pamela fit en sorte de serrer doucement son cou avec l'aide d'un nouveau tentacule pendant qu'elle cherchait littéralement à la faire plier pour qu'elle cesse de se rebeller. Elle voulait lui répondre, mais son cou était serré. Pas assez pour suffoquer, mais assez pour que répondre soit difficile et compliqué. Quand son cou était de nouveau libre, elle retrouva l'usage de la parole car Dieu sait qu'Harley muette, ça ne peux pas exister.

« Mmmmmh hahaha ! Trop docile, tu te, han, lasserais de moi... Alors... mmmh... Continue de me défoncer le cul, humph, et la chatte... T'en meurs d'envie, heiiiiiiin ? Mmmmh, alors avant... de me traiter de salope... Regarde-toi dans un miroir... han, et vois laquelle de nous deux... est la pire ? »

Faut bien la provoquer un peu pour qu'elle se donne vraiment à fond. Toujours coller dans son dos, sa main posée sur sa nuque, elle gémissait toujours en remuant son bassin. On pourrait presque croire qu'il s'agissait là d'une danse très sensuelle, très près du corps, mais il manquait la musique pour ça, et Harley n'était pas sûre d'aimer la musique qui collerait à la situation. Autant juste profiter de tout cela, de laisser Pamela savourer cette belle petite chose pendant que ses deux queues remuaient en elles et que ses autres artifices venaient jouer et se servir de son corps pour s'amuser.

« Et surtout... huuuum... Fait-moi mal... bien mal... Qu'après... tu t'occupes de moi gentiment car, haaaan, tu n'as pas ré... réussi à te contrôler... »

Oui tout cela était un double jeu, généralement, après une séance un peu musclée, même pas besoin de faire semblant d'avoir mal, Pamela venait se montrer plus docile et plus gentille pour « se faire pardonner » et ça, ça plaisait à Harley. Donc, pas grave si elle souffre un peu par son traitement.

Aoki

La jeune femme massait doucement le dos de la voleuse, à califourchon sur elle, Aoki y allait doucement en la massant. Sans être une véritable pro des massages, elle se défendait bien et tant que sa Felicia ronronnait de plaisir, c'est qu'elle avait gagné. La voleuse venait sous-entendre à ses paroles qu'Aoki voudrait habiter avec elle ? Hm, qui sait ? Elle y a déjà réfléchi et sincèrement, elle n'avait pas de raison de rester chez elle. Oui, il y a son chat et son chien, mais ils peuvent bien rejoindre l'appartement de Felicia, même si pour le chien, ce sera plus délicat vu le nombre de chat chez elle... Enfin, Rex s'entend bien avec Kumaneko, alors pourquoi ça n'irait pas avec ceux de Felicia ? En tout cas, elle pouvait bien y habiter, ce n'est pas comme si elle déménagerait plusieurs villes plus loin, là, c'était toujours la même ville.

L'héroïne se retournait dans la baignoire pour lui faire face, évoquant à nouveau une page triste de son passé, mais Aoki posa doucement son index sur ses lèvres en la regardant avec douceur.

« Chuuuuuuut... Tu n'es pas obligé de parler de ça, Felicia... Tu es en vacances, pour oublier tout ce qui peut être négatif... là... tu n'es là que pour être avec moi... »

Oui, à l'origine, elles étaient venues avec Pamela et Harleen, mais comme souvent, chacun allait de son côté pour y trouve un peu plus d'intimité. Felicia continuait ensuite, venant lui ouvrir son cœur, avouant la vouloir à ses côtés, chez elle, faisant ainsi, plus ou moins une déclaration d'amour ? Aoki la regardait avec un léger sourire, sans la couper, ne faisant que doucement étirer son sourire. Elle se pencha doucement sur elle, son front contre le sien, le bout de leur nez se frôlant avant que leurs lèvres ne se collent pour un court baiser, mais cela ne l'empêchait pas d'être bon.

« Ce que tu es adorable quand tu m'ouvres ton cœur. »

Aoki n'avait rien contre ça, malgré ses airs, elle était aussi très fleur bleue. Oui, la vie de couple avec Felicia l'intéressait beaucoup, vivre à ses côtés et faire tous ses trucs que l'on voit dans les films. Les dîner romantique, les petit déjeuné au lit, les pique-niques, les balade le long de la mer avec le soleil qui se couche, quelle fille n'en a pas rêver une fois ? Même si réellement, la vie de couple avec elle posait quelque souci d'ordre privée... Jamais elle ne pourrait annoncer à ses parents être amoureuse et vivre avec une femme, américaine en plus. Et vivre avec une femme, c'était faire une croix sur porter un bébé. Elle était encore jeune pour ça, mais dans quelques années, l'idée ne lui aurait pas déplu. Mais bon, elle évitait ce sujet de bases, sachant que la jeune femme était déjà privée de voir ses enfants, elle ne voulait pas remuer le couteau dans la plaie...

« Je suis bien obligée de te dire oui. Quand tu es venue t'introduire chez moi après notre dîner, tu as volé mon cœur. »

Un bijou en forme de cœur qui servait de défis pour Felicia. Un cadeau de son premier petit ami, juste symbolique, elle n'y était pas aussi attaché qu'à sa relation avec elle, mais voilà, depuis le premier soir, Aoki se disait bien qu'elle tombait amoureuse. Même si elle refusait le premier pas, car sa seule et unique relation avec une femme qu'elle a aimée à mal finie, elle pensait que c'était à cause d'elle, de vouloir aller trop vite... Mais au fil du temps, elle en était convaincue. Elle aimait Felicia. Aoki se privait même de coucher avec d'autres personnes au début. Ni ses élèves, ni même son amie du club de théâtre qui, en un sens, l'avait convaincu de coucher avec Doutzen la première fois... Il faudrait qu'elle l'amène chez elle, enfin, chez elles bientôt... Il fallait déjà retourner sur Terre et déménager avant de retrouver Doutzen, elle ne l'avait pas vu depuis... bah depuis l'incident avec Kanzaki et tout ce qui s'est passé ensuite... Passons.

« Bientôt, je pourrais être ta raison qui te poussera à rentrer plus vite du travail ou tes nuits de chapardeuses... Qui sait, si je me libère assez tôt, je pourrais réaliser quelques-uns de tes fantasmes ? Hm ? Nue sous un tablier ? Ou un décor tamisé avec des pétales de roses partout, et je t'attendrais dans Notre lit ? »

Elle l'embrassait à nouveau, plus longuement et plus tendrement, se blottissait de plus en plus contre son corps.

« Dés qu'on rentre, j'entame mes cartons et les papiers pour déménager. Et après, je serais toujours là pour t'accueillir le soir. »

Même si dans son job, Aoki risquait de finir plus tard qu'elle, c'était une façon de parler. Elles seront comme un couple marié, sans le mariage et les alliances.

Sya

Les petites vacances que Sya avait imaginées en accompagnant sa mère ici était tellement éprouvant. Jusqu'ici, ça se passait plutôt bien. Certes, il y a eu la petite leçon que Samara lui avait donné sur le fait de ne pas faire des bébés sur un coup de tête, mais c'était réglé à présent comme problème. Mais là, c'était une chose à laquelle l'ange ne pouvait pas affronter et qu'un câlin maternel n'allait pas régler aussi facilement. Pourquoi parler de ça ? Pourquoi maintenant ? Pour Sya, c'était comme placer un couteau sous sa gorge, elle ne voulait pas, elle ne voulait pas que ça arrive, elle ne voulait pas y penser, elle veut oublier cela et juste vivre heureuse ! Samara a déjà eu des problèmes similaires, elle les a affronter, elle a vaincu cela, très bien pour elle, elle ne peut que la féliciter. Mais pourquoi en parler à elle ? Pour combler ses invités masculins ? Pour découvrir le Vrai plaisir ? Elle s'en fichait ! Elle, elle voulait juste faire du bien à ses maîtresses, à sa déesse, à ses amies, pas à eux !

C'était astucieux d'employer Lust dans la conversation pour la laisser un minimum concentré et ne pas se boucher les oreilles, mais quand bien même, ça reste une des choses qu'elle ne peut accepter. Pas d'homme, pas de jeux pouvant causer sa mort et ne pas la garder trop longtemps, surtout maintenant qu'elle avait des femmes et des enfants. Elle devait aussi assurer son rôle de conjointe et de mère. Samara disait cela calmement avec l'intention d'aider Sya. C'était noble de sa part, vraiment. Mais ce sujet était tabou, c'était une des rares choses que l'on ne pouvait lui faire changer – pour le moment en tous cas. Oui, elle pouvait dire qu'elle aimait ça alors qu'elle avait très mal, oui, elle pouvait aborder un visage si joyeux en faisant des choses qu'elle n'aimait pas, en plus d'être dégradant, mais ça, c'était les rares moments de panique et de colère de l'ange. Elle pouvait fuir. Rien que d'aborder le sujet, elle pouvait s'enfuir de cette chambre, fuir vers Mélinda, vers Sha qu'elle avait aperçu, vers une inconnue ou simplement un endroit isolé de tout cela pour ne pas y penser et se calmer.

Oubliez le sexe, oubliez son sourire, oubliez sa joie, l'ange n'était plus cette demoiselle au sourire éternelle, elle était recroquevillée sur elle-même, roulé en boule en plus d'avoir une armure faite avec les couvertures du lit. Sya n'était plus une femme, elle était une enfant qui avait vu et entendu le monstre caché sous son lit. Si elle sortait de sa couette, elle allait se faire manger, elle le savait. Elle ne voulait pas en sortir, elle voulait rester là, en sécurité. Là, à se répéter mentalement que tout allait bien, alors que sa bouche murmurait un interminable « non » qui se répétait encore et encore. Ce n'était pas le but de Samara, mais là, Sya ne pouvait rien faire, pas de joie, pas de rire, pas de sexe, elle était bloquée et paniquée.

Shunya devait se former au sexe, ce qui était indéniablement pour elle une grande première. Confuse, elle tenait ce collier entre ses deux mains, consciente que tout cela pouvait sembler… Grotesque. Elle, voulant imposer un collier et une laisse à la jeune femme ! Qui aurait cru cela possible ? Qui aurait cru que Kara irait jusque-là ? C’était pourtant bien ce qu’elle envisageait, et ce très sérieusement ! Se penchant doucement, elle soupira quand Hinata indiqua être d’accord avec ça, tout en lui demandant ce qu’elle envisageait ensuite. Là… Là, ça devenait compliqué !

Honnêtement, Shunya fonctionnait un peu en pilote automatique, sans trop réfléchir à la suite, agissant simplement en fonction de ses humeurs. Elle tenait donc le collier, et le mit autour du cou d’Hinata, avant de l’attacher à la laisse, et observa sa femme en se pinçant les lèvres.

« Je… Je te montrerai ses vidéos… Et peut-être même que tu l’inviteras ensuite. Elle est vraiment très populaire, tu sais ! »

Enfin, à Uatis, c’était particulier, car le pays, et surtout sa capitale, avait la réputation d’être un pays complètement déluré… Une réputation qui n’était pas totalement infondée, selon Shunya ! Mais celle-ci devait revenir au moment présent, et elle devait se concentrer sur sa belle ! Hinata attendait ses instructions, après tout ! Et là, face à elle, Shunya réfléchissait. Elle avait toujours sa verge, une queue qui avait perdu de sa superbe, se rabougrissant sur place après son joyeux orgasme.

Laissant parler son inspiration, Shunya alla chercher des accessoires supplémentaires, et posa sur la tête d’Hinata un serre-tête avec de fausses oreilles de chat, et un plug tail avec une queue poilue qu’elle enfonça dans son fondement, non sans avoir préalablement déshabillé Hinata. Toutefois, son kimono transparent ne disparut pas, car Shunya l’enfila. Les deux femmes avaient un gabarit similaire, et Shunya frissonna au contact du tissu sur son corps.

« Ce kimono est vraiment très agréable… Il sied plus à une humaine qu’à une petite chatte comme toi, hein, ma Hinata-nya ? »

Ce n’était plus « Shunya-nya », comme Hinata avait l’habitude de le dire ! Shunya inversait doucement les rôles, et donna une secousse sur la laisse, comme pour inciter Hinata à relever la tête. Avec son autre main, elle commença à se masturber, et la queue vibrante dans le fondement d’Hinata s’enclencha alors, résonnant doucement dans la pièce. Se pinçant les lèvres, Shunya frémit sur place, laissant le plaisir croître progressivement en elle.

Shunya regarda ensuite à nouveau la jeune femme.

« Sois une belle petite chatte, et viens lécher ma queue, Hinata-chan… Miaule bien fort pour moi ! »

En se déplaçant, Hinata pourrait aussi constater que Shunya avait accroché au collier… Une petite clochette ronde ! Du genre à carillonner quand Hinata se redresserait !

Comme quoi, même en dominatrice, Shunya restait toujours aussi doucereuse dans son approche !
Docteur Tsuzuri était partie, et Madame Tessou prenait le relais ! Une femme terriblement énergique, incroyablement perverse, qui n’avait plus aucune retenue, qui ne se contrôlait plus du tout. Tessou Tsuzuri était en train de perdre le contrôle, et Kara n’avait rien en stock pour la calmer. Impossible de refréner ce feu bouillonnant, alors, à défaut, il fallait le laisser se consumer, en évitant de se brûler les ailes également. De toute façon, Kara estimait pouvoir toujours reprendre les choses en main si jamais la situation venait à trop dégénérer.

Mais, pour l’heure, après avoir uriné dans la bouche de Tessou, elle continuait à la baiser, énergiquement, puissamment. Kara soupirait longuement, et se pinçait les lèvres. Les joues de Tessou se gonflaient devant elle, signe qu’elle n’avait pas encore avalé son urine, une urine jaunâtre qu’elle semblait s’amuser à faire tournoyer dans sa bouche. Qui aurait cru qu’elle se trouverait là ? Supergirl soupira lentement, redressa son corps, et l’enfonça encore, sa trique se glissant dans le vagin de Tessou.

« Haaaa… »

Toute contre elle, Tessou se tortillait sur place, et ses mains se crispèrent sur elle. Plutôt que d’enrouler ses jambes, Tessou vint gifler le cul de Kara. Elle savait qu’elle pouvait y aller franchement, et, de fait, la claque résonna dans la chambre. Kara soupira encore, et l’entendit déglutir, avalant son urine. Elle sourit alors, et partagea avec elle un long et langoureux baiser. Si Tessou avait envie que cela dure jusqu’au petit-matin, ça ne dérangeait nullement Kara !

Elle partagea donc son intense baiser, sa langue jouant avec celle de Tessou, sa salive venant progressivement remplacer le goût de l’urine. Et, tandis que les deux femmes s’embrassaient, Kara put sentir un doigt se faufiler dans son fondement. Elle se pinça encore les lèvres, et ferma encore les yeux, avant de rompre le baiser, soupirant longuement.

« Oui, Tessou, hmmm… Te baiser toute la nuit, hein ? Est-ce que tu pourras y survivre, c’est ça la question… Car, même si tu t’endors… Hmmm… Même si je te fous dans le coma, haaannn… »

Kara se tut brièvement, et se redressa, puis s’enfonça encore. Elle optait pour de longues pénétrations, donnant de grands coups de reins, et faisait hurler à chaque fois Tessou. C’était évidemment particulièrement jouissif, et Kara soupira à nouveau. Elle rougissait furieusement sur place, des gouttes de sueur glissant sur tout son corps. Elle enchaîna à nouveau, après un nouveau soupir :

« …Je continuerai à te b-baiser, hmmm… Encore ! »

Supergirl était pleinement consacrée à son œuvre, et elle n’irait sans doute pas jusque-là avec Tessou, si jamais celle-ci venait véritablement à s’effondrer… Mais, dans l’absolu, autant le lui faire croire, non ? En tout cas, la présence de ce doigt dans son cul ne la dérangeait nullement ! Kara délaissa les lèvres de sa chérie, et vint pétrir ses seins entre chaque main, les titillant, les pinçant, les malaxant, jouant avec les tétons.

Par la suite, sa bouche fila à l’assaut, et elle laissa Tessou se redresser, pour pouvoir y accéder plus facilement, et mordilla ses tétons, avant de se mettre à souffler doucement dessus. Son souffle hivernal jaillit, non pas pour geler Tessou, mais pour hypersensibiliser encore davantage la pointe de ses tétons, qu’elle se mit à lécher et à mordiller de nouveau, sans relâche.

« Han, Te-Tessou, hmmm… »

Kara continuait encore à la prendre, jusqu’à jouir en elle une première fois.

Ensuite… Ensuite, elles continueraient à agir, mais Kara souhaitait avant tout que Tessou exprime ses fantasmes. Somme toute, elle avait tout fait pour que Tessou se libère, sorte de sa chrysalide. Alors, dans le fond, ce qu’elle voyait ici, c’était ce qu’elle avait toujours voulu. Kara n’avait juste pas anticipé à quel point la situation évoluerait.

Comme le disait le vieux proverbe, qui sème le vent récolte la tempête !
Luna était très heureuse, indéniablement. Elle se rappelait encore du moment où, très triste, elle avait quitté Maîtresse Mélinda. Elle avait alors peur des Maîtresses Karistal, et craignait fortement d’avoir déçu sa Maîtresse. Finalement, Luna avait compris que ce transfert était un immense honneur, d’autant qu’elle revoyait encore très souvent Maîtresse Mélinda, qui prenait toujours autant plaisir à la mordre. Luna avait beau avoir connu plusieurs Maîtresses, elle n’en restait pas moins une neko très soumise, extrêmement docile, et terriblement perverse. Une perversion qui se mélangeait à son innocence et à sa douceur, pour un résultat unique.

S’enfonçant dans son fondement, Ai était en train de prendre son pied. La jeune femme aux cheveux verts faisait preuve d’un magnifique engouement, et le lit grinçait doucement sous leurs ébats. Sa belle verge la pilonnait de l’intérieur, remontant en elle, tandis qu’Ai promettait ensuite de s’attaquer au minou du minou.

« Nyaaaaww… O-Ouiii, Dame Ai, meeeeaaawww… »

Elle ronronnait sur place, et bascula alors en avant. Ai s’allongea dans son dos, contre elle, la petite Futanari venant bander ses muscles. Sa main se posa sur ses cheveux, et Luna sentit Ai l’embrasser dans le creux du cou, mordillant même sa chair. Luna ronronna plus furieusement encore, sa queue caudale se redressant pour caresser les fesses d’Ai-chan. Dame Ai continuait à la labourer, et, avec cette position, elle pouvait s’enfoncer très profondément dans le cul de Luna, jusqu’à la garde.

« Nyyyyyuuuu… !! »

Luna se mit à jouir contre le lit, et sentit la queue d’Ai se relâcher puissamment dans son fondement. Luna se tortilla sur place, et laissa Ai se relâcher longuement. Un magnifique orgasme. Cependant, même malgré la puissance de cet orgasme, et ce corps en sueur que Luna sentait contre elle, avec de nombreuses projections de sueur, Ai était encore pleine d’énergie. Elle retourna Ai, et les deux femmes s’embrassèrent, le sperme d’Ai commençant lentement à fuser hors des fesses de Luna.

Fort heureusement, Luna avait déjà eu l’occasion de goûter aux vives projections de sperme de Dame Ai, ce qui faisait qu’elle avait réussi à supporter cela.

« Dame Ai peut revenir en Luna, nyaaa… Luna n’attend que ça… »

De son côté, Alice était désormais nue, tout comme Harmony. Elle lui sourit doucement, voyant le regard ravi d’Harmony, transi de désir. À ce moment précis, il semblait difficile, pour Alice, de ne pas se douter des véritables sentiments d’Harmony. D’ailleurs, le simple fait d’enlever leurs vêtements était un signe, un signe qu’Alice souhaitait donner à cette scène quelque chose de plus intime. Et, mine de rien, bien que la Princesse puisse parfois être naïve, elle n’en était pas moins lucide, et pouvait se montrer très attentive.

Maintenant que leurs corps étaient nus, Alice frotta son nez contre celui d’Harmony, et lui sourit doucement, avant de l’embrasser. Elle la pénétra de nouveau, et, après avoir joué avec ses seins, glissa sa main sur les cheveux d’Harmony, puis son autre main contre celle d’Harmony.

« Hmmm… »

Et, tout en faisant cela, Alice continuait naturellement à l’embrasser. La perversion disparaissait au profit d’une langoureuse scène de sexe, calme mais non moins passionnée. Alice l’embrassa longuement, tout en remuant son bassin de haut en bas. Son corps heurtait régulièrement le sien, provoquant de longues séances de frisson.

« Mmmhmm… »

Alice continuait à la prendre, et rompit le baiser, puis sourit brièvement.

« Tu es vraiment magnifique, Harmony… »

Les longs cheveux blonds d’Alice filaient de part et d’autre de son dos, glissant sur ses épaules, et elle continua encore, gémissant doucement, et posa un doigt sur les lèvres d’Harmony quand celle-ci ferma les yeux.

« Garde tes yeux ouverts aussi longtemps que possible, Harmony… Hmmm… Je veux que tu me regardes… Et je veux voir ton orgasme… Je vais jouir en toi, ma belle… »

Elle saisit la seconde main d’Harmony avec la sienne, leurs doigts s’entremêlant les uns aux autres, leurs paumes légèrement moites se heurtant. Puis Alice continua à remuer, de haut en bas, s’efforçant de planter ses yeux bleus dans ceux d’Harmony, gémissant et soupirant régulièrement, tout en accélérant.

Peu à peu, elle se rapprochait de son orgasme, sentant sa queue se durcir, et la vague la remplir…

…Une vague qui, à proximité, submergeait un quatuor. Mélinda et Vanillia labourait les deux jumelles, et, si Yuko et Yuka partageaient un lien intime en raison de leur nature de sœur jumelle, Mélinda et Vanillia, elles, étaient mariées… Des vampires unies par les liens du sang. Ce que Vanillia ressentait, Mélinda le percevait également, et ce lien unique en son genre faisait leur force. Elles étaient impossibles à délier pour cela, et ce n’était donc pas un hasard si les deux vampires faisaient gonfler leurs verges ensemble.

Mélinda, qui n’avait jamais caché son attrait pour l’inceste, savourait le spectacle magnifique formé par les deux jumelles, qui s’embrassaient mutuellement. Et, tout autour d’elles, c’était le sexe, le sexe à profusion. Mélinda voyait Alice transformer cette nuit en un rêve inoubliable pour Harmony, ce qui relançait dans un coin de la tête de la vampire son envie de la rapprocher d’Alice. Et, de l’autre côté, Luna était en train de forniquer joyeusement avec Ai, qui semblait ravie de pouvoir baiser la petite neko.

*Oui, tout cela est absolument parfait…*

Mélinda gifla alors le cul de Yuko, par simple plaisir, sans rien attendre de particulier en retour. Elle se rappelait à elle, tout simplement, et sa verge continuait à se glisser, mouvant dans le corps de sa partenaire. Les deux vampires laissaient filer les minutes, besognant les deux femmes, accélérant encore, griffant volontiers leurs corps, répondant ainsi aux attentes de Yuko.

« Petite pute… Hmmm ! Mais j’aime tellement ton cul, ma salope ! Ah, ma belle petite chatte ! »

C’est dans ces circonstances que les deux vampires finirent par jouir, presque simultanément. Les mains de Mélinda se saisirent des poignets de Yuko, et elle souleva la femme, la tirant en arrière. Vanillia fit exactement de même, ce qui fit que le visage de Yuko ne se retrouva plus au-dessus de celui de sa sœur, mais face à ce dernier. Les deux jumelles purent ainsi se regarder, l’une et l’autre, pendant que les vampires jouissaient, et qu’elles-mêmes contractaient un orgasme.

« Hmmmmmm… !!
- Haaaaaaaaannn… !! »

Le sperme fusa, affluant dans leurs fesses, et elles les relâchèrent ensuite, les vampires reprenant leurs forces.

« A-Alors… Comment doit-on continuer à vous baiser, mes belles ?
- Auriez-vous une quelconque préférence ? »
Entourées par les Sha, Kiriko était en train d’être noyée dans le bonheur. Les quatre itérations de Sha la pénétraient vigoureusement, par tous les orifices. Kiriko n’arrivait plus à suivre, et ce tableau était magnifique, opalescent, onirique. Entourées par des voiles noirs qui dansaient autour d’elle, Kiriko n’était plus qu’un atome de sexe se faisant prendre frénétiquement. La sorcière, dans sa combinaison rose, remuait dans tous les sens. Ses jambes filaient d’avant en arrière, entourées par des tentacules qui jaillissaient des cheveux des Sha, tout comme ses bras. Ces mêmes tentacules s’enroulaient sur ses seins, filant sur la combinaison, comme si le corps de Kiriko n’était plus appelé qu’à faire un avec cette fameuse combinaison. À l’origine une simple combinaison de combat permettant d’absorber la sueur, Sha en avait fait un véritable totem sexuel, un fantasme fétichiste qui l’excitait toujours. Elle pouvait passer des heures à juste lécher cette combinaison, se délectant des soupirs progressifs de Kiriko, puis de ses supplications pour se faire prendre. Sha avait conçu de nombreuses combinaisons de rechange, car il était fréquent qu’elle les déchire. D’aucuns auraient pu s’interroger pendant des jours sur cette passion de Sha, sur ce goût prononcé pour la tenue de Kiriko… Mais, si les fantasmes des humains ne s’expliquaient pas, c’était encore moins le cas pour les fantasmes des Dieux.

Toujours est-il que Kiriko se faisait prendre. À peine avait-elle le temps de reprendre ses esprits que les puissantes verges des Sha revenaient la prendre. Elle se dandinait sur place, tout en pouvant se délecter des soupirs des Sha, qui soupiraient tendrement son nom, leurs verges continuant à la pilonner.

« Kiriko…
- Oh, Kirikoooo…
- Haaaaaannnnn… »

Kiriko était une véritable poupée. Elle n’avait plus qu’à savourer, incapable de bouger, son corps intégralement offert à sa Déesse multiple, qui continuait à la prendre. Les verges s’enfonçaient profondément dans son cul, et ses yeux s’écarquillaient parfois quand des pointes de douleur se déversaient en elle. Mais, l’un dans l’autre, seul devait subsister un sentiment de béatitude, de complétude… Un pied total et absolu, tandis que, inlassablement, les Sha la pénétraient, la défonçaient, s’enfonçant vigoureusement dans son corps.

Ce traitement se poursuivit encore pendant de longues minutes, jusqu’à ce que Kiriko connaisse une première vague d’orgasmes. Elle eut droit à un moment de soulagement, avant que la configuration ne change. La fumée fila tout autour d’elle, et Kiriko se retrouva alors à genoux sur le lit, le corps redressé. Une Sha était debout devant elle, lui présentant son sexe, une autre était allongée devant, son pénis érigé vers le ciel.

« Empale-toi sur moi, Kiriko…
- Et viens me sucer, mon amour… »

Pendant ce temps, une autre Sha se glissait dans le dos de Kiriko, la caressant, palpant ses seins et grattant son corps, visiblement prête à la pénétrer par l’arrière. Quant à la quatrième… Sans doute que les mains de Kiriko allaient devoir jouer, et peut-être alternerait-elle avec les différentes verges qui se proposaient à elle.

L’un dans l’autre, le gang bang ne faisait que se poursuivre !

Parmi les nombreux projets de Pamela, mettre enceinte Harley était devenue sa principale priorité. C’était une tâche de longue haleine à laquelle elle consacrait tous ses efforts. Elle récupérait de nombreux prélèvements de son sperme et de la mouille d’Harley, les étudiant en laboratoire, s’injectant ensuite des mutagènes pour modifier la composition de son sperme. C’était une tâche délicate, car elle voulait un sperme de bonne qualité, afin d’éviter que le bébé qui grandisse ne soit un monstre. Pour Ivy, il ne faisait désormais plus aucun doute qu’Harley pouvait être considérée comme étant sa femme. Elle n’avait aucun autre statut, et elle n’avait pas besoin d’en avoir d’autre.

Face à elle, Harley proposa à Ivy d’y aller plus fort, de la torturer vraiment. Parfois, Harley pouvait se montrer folle… Mais Ivy hocha la tête. Elle posa sa main sur le menton de sa femme, et l’embrassa chaudement sur les lèvres.

« Okay… Alors, on va se livrer à une petite expérience, toi et moi… »

Pamela déplaça Harley au centre de la pièce, et l’attacha par des tentacules qui circulaient sur le plafond. De fait, pendant toute leur séance de sexe, une espèce d’épaisse jungle luxuriante foisonnait contre un mur. Depuis de multiples plantes vertes, des mutations avaient poussé. Ivy se pencha vers ses plantes, et utilisa ses mutagènes sur l’une d’entre elles.

« Nous allons donc passer aux choses sérieuses, ma chérie, puisque tel est ton souhait… »

Ivy se retourna alors vers Harley, tenant entre ses mains un fouet végétal. Elle claqua des talons sur le sol. Harley lui tournait le dos, et n’avait donc pas vu la mutation de la plante, mais pouvait entendre sa croissance. Il suffisait ensuite de lever la tête pour voir les tentacules sur le plafond croître encore, signe que quelque chose d’important et de puissant était en train de se passer.

Le fouet claqua alors sur le cul d’Harley. Un *TCHAAAC* traversa l’air avant que le fouet ne claque contre les fesses d’Harley.

« Le temps que ma surprise soit prête, je vais te fouetter ! Car je crois que c’est tout ce qu’une salope comme toi mérite, non ? Vas-y, vas-y… Couine, HURLE !! »

Le fouet frappa encore, cisaillant le dos d’Harley, et la pièce se remplit des hurlements de douleur, délectables et jouissifs, de la jeune femme. Le fouet végétal remontait, et claqua également sur la nuque d’Harley.

« Tu aimes ça, hein, petite traînée ? Ce sentiment exquis le long de ton corps ? Cette douleur qui titille ton échine ? Tu es vraiment incorrigible ! »

Ivy la laissa frissonner doucement, et se rapprocha encore. Les coups de fouet avaient, de fait, très sensibilisé le corps d’Harley, et, quand Ivy passa sa main sur son dos, le long de ses omoplates, elle sentit le corps de sa partenaire frémir sur place. Se pinçant lentement les lèvres, Ivy esquissa ensuite un léger sourire, et embrassa sa femme dans le creux du cou.

Elle était encore loin d’en avoir fini avec elle, et, dans son dos, sa plante était désormais prête. Les liens retenant Harley se retirèrent, et celle-ci put voir une solide plante verte émerger, avec de grosses lèvres rouges pulpeuses. La plante grossit encore, ressemblant à une sorte de long et touffu serpent, ses dents se remplaçant par des langues qui jaillirent vers Harley.

« Puisque tu veux de l’extrême… Il est temps pour toi de découvrir les joies du vore, ma belle ! »

De la bave s’écoulait des lèvres de l’énorme plante, qui avait envie d’avaler Harley. Bien sûr, elle ne serait pas dévorée, loin de là, mais serait baisée à l’intérieur de la plante par de multiples tentacules.

Les langues se rapprochaient lentement, prêtes à la saisir… Sauf si Harley choisissait la voie de la prudence, et décidait de renoncer à cette nouvelle expérience !
En soi, Félicia y songeait déjà avant… Peut-être depuis le fameux épisode où elles avaient affronté ensemble Mr. Scratch ? Mais tout cela avait surtout été progressif. Elle s’était juste menti à elle-même, voulant se convaincrez qu’Aoki n’était rien de plus qu’une sex friend… Mais, finalement, leur relation avait évolué. Là, dans l’eau du bain, Aoki venait se lover contre elle, couchant sa tête sur ses seins, se pinçant doucement les lèvres, avant de lui dire qu’elle était d’accord… D’accord pour vivre chez elle, d’accord pour former une vie de couple, et lui rappela le pendentif en forme de cœur.

« Hmmm… C’est vrai, ça… »

Félicia avait rencontré Aoki lors d’une journée au parc, et, suite à un défi, avait réussi à s’infiltrer chez elle. Elles avaient fait l’amour pour la première fois, et la Chatte Noire avait récupéré un pendentif en forme de cœur. Il était toujours dans sa chambre, posé sur un guéridon, et elle s’amusait parfois à le mettre sur le cou d’Aoki. Le fait est qu’elle n’avait jamais été aussi loin dans une relation, tant d’un point de vue sexuel que sur la durée. Même sa romance avec Peter n’avait pas tenu aussi longtemps, et, tôt ou tard, il fallait bien admettre l’essentiel.

La Chatte Noire hocha donc la tête, et déposa un baiser sur la tête d’Aoki.

« C’est donc admis, n’est-ce pas ? Je t’aime, Aoki… Mais ne va pas croire que cela changera quoi que ce soit à nos autres projets. »

Les deux femmes s’embrassèrent à nouveau. Un long baiser, sur les lèvres, comme pour s’avouer à nouveau leur amour. Mais ce baiser avait cette fois une saveur particulière, un arome différent… Comme une sorte de goût supplémentaire, d’arrière-goût sucré très agréable qui fondait dans la bouche. Oui, Félicia l’apprécia beaucoup, ce baiser.

Quand il se termina, elle soupira encore.

« Il va falloir que nous organisions un mariage, non ? Une belle cérémonie… Avec des invités triés sur le volet. »

Les connaissant, ce mariage n’aurait rien de chaste.

« Qu’en penses-tu ? Une belle cérémonie… Toi, tu seras en robe blanche, mais moi ? Tu me préféreras comment, Aoki ? »
Samara avait frappé dans le mille, et Sya était désormais en situation de blocage, de confinement. Elle ne résonnait plus, totalement paniquée. La démone, constatant que ses mots étaient inutiles, décida donc de passer… À une méthode beaucoup plus offensive.

Sya et Samara partageaient un lien très particulier, et elles venaient encore de faire copieusement l’amour. Les rapprochements corporels intensifs rapprochaient toujours les esprits, et Sya aimait beaucoup sa mère, au point de porter son bébé… Un autre vecteur potentiel. Elle se rapprocha donc, et attrapa d’une main les couvertures derrière lesquelles Sya s’était réfugiée, puis tira dessus. Elle les jeta au loin, et la magie se mit à résonner autour d’elle. Les élégantes runes tatouées sur son corps s’illuminèrent, et un pentacle se forma autour de Sya.

« Tu ne me laisses pas le choix, ma fille… »

Les yeux de Samara s’illuminèrent encore, une lueur orange étincelante, tout comme les runes. Des chaînes magiques jaillirent du pentacle, s’enroulant autour des membres de Sya, et Samara attrapa sa tête, la tirant en arrière, afin que son regard croise le sien. Elle se pencha vers elle, et, depuis ses lèvres, une espèce de fumée orange s’échappait. Samara l’embrassa ensuite… Et, à travers la fumée et son lien, envoya son âme, ou, tout du moins un fragment, dans l’âme de Sya…

- - - - - - -

Le transfert l’emmena… Dans une cité angélique. Elle sortit d’une alcôve, avisant une grande-place dorée avec une fontaine, et une série d’Anges qui étaient sur le point de partir se battre. Samara reconnut rapidement Sya, la plus petite Ange. Une autre Ange aux cheveux mauves caressa affectueusement ses cheveux.

« Allez, Nymph ! Il faut sauver ces gens des démons ! »

Et les Anges s’envolèrent.

Le décor changea encore, et Samara se retrouva à flanc de montagne, dans une sorte de grande forteresse humaine et elfique assiégée par les démons. Une bataille terrible faisait rage, et les Anges venaient secourir les humains contre les démons. Samara regarda autour d’elle. Elle était sur la place centrale du fort. Samara vit une espèce de boule de feu jaillir du ciel, et, quelques instants plus tard, la masse énorme d’un démon rouge s’écrasa violemment sur le sol, transpercée par une lance magique tenue par… Nymph ! La petite Ange semblait minuscule, et eut un large sourire, rayonnant de vie, avant de sauter au sol, et ordonna aux humains de se réfugier.

Samara la vit partir encore, mais perçut alors une autre aura, sur sa gauche.

« Sya ?! »

Elle se déplaça rapidement, et rejoignit un sentier longeant un rempart extérieur. À gauche, il y avait un précipice, un vide abyssal. À droite, les remparts du fort, avec des espèces de gros piliers transversaux se plantant dans le sol. Samara sentait des flocons de neige tout autour d’elle, et vit que les Anges et les Démons continuaient à se battre dans le ciel. Toutefois, ce qui intéressait Sya était devant elle.

En marchant, elle avisa une petite plume sur le sol, et l’attrapa.

Tournant alors la tête vers la droite, Samara fronça les sourcils. Il ne semblait y avoir rien d’autre que le mur, mais, peu à peu, le décor évolua, se transforma… Et une Sya enfantine apparut alors. Elle portait une longue robe blanche, claire, presque défraîchie, ainsi qu’un collier d’esclave autour du cou.

« N’aie pas peur, petite… Tu me reconnais, non ? J’ai beau être une démone, je ne te ferai jamais de mal… »

C’était ici… Ici que le traumatisme de Sya avait commencé, quand elle s’appelait encore Nymph, et qu’elle était visiblement une jeune Séraphine pleine d’énergie…

Et Samara devait comprendre ce qui s’était passé.

Hinata

Sa femme avait eut la chance – et elle aussi en un sens – de tomber enceinte à peine quelques heures après être devenue officiellement Shunya Kaguya. Maintenant qu'Hinata était au courant de cela, il était évident que lui faire l'amour en étant membrée ne se ferait que par plaisir, plus par nescessité. Cependant, elles pouvaient aussi inverser leur rôle afin de songer déjà à agrandir la famille. Dans neuf mois, si tout va bien, elles seront trois, peut-être quatre ? La reine allait donc laisser carte blanche à sa femme du moment que cela la stimule assez pour réussir à la mettre enceinte. Certes, elles n'avaient pas de vidéo de Poison sous la main pour voir une de ses performances, mais Tsukasa, qui était originaire d'Uatis, était bien la preuve que les gens de là-bas étaient vraiment très à l'aise à l'idée de tout mêlée de près ou de loin au sexe. Peut-être elle l'inviterais, au moins pour faire plaisir à sa femme, mais elle y songeras une fois rentrée et qu'elle ai vu une de ses fameuses vidéos. Mais pour le moment, si Shunya voulait qu'elle porte une laisse et un collier, soit, cela ne la dérangeait en aucun cas.

Shunya rapporta deux ou trois petites choses avec elle, installant sur sa tête un serre-tête avec des oreilles de chat ainsi qu'une fausse queue à enfoncer dans son fondement. Elle retira son kimono pour le lui laisser et ainsi pouvait commencer leur petit jeu. En clair, Shunya voulait avoir une petite neko en guise de partenaire ce soir, d'accord.

« Mmmh, je dois aussi ronronner pour toi, pardon, pour vous, maîtresse ? »

Évidemment, cela rendrait la chose meilleure. Voir sa belle et tendre Shunya avec ce qu'elle portait il y a encore dix secondes la rendait toute chose. De même la façon dont elle détournais le surnom qu'elle lui avait donné, Shunya-nya. Oui, un surnom mignon que, anciennement la princesse, lui avait donné. C'était mignon et puis elle avait eut cette idée en voyant que sa petite amie avait un joli minou entre les jambes. Velue mais doux. Hinata n'avait rien contre des poils à cet endroit-là, c'était même assez courant à Edoras en vérité, non pas que tout le monde aborde cela, mais bon nombre de femmes – et d'homme, sûrement – ne se sentait pas obligé de se raser cet endroit. Mais soit, Hinata en revanche avait rasé ce qui se trouvait là, elle aimait sentir le minou de Shunya se frotter contre le sien, elle trouvait le contacte très doux. Hinata-nya s'avançait donc à quatre pattes sur le lit, laissant la clochette tinter doucement avant de pencher sa tête vers sa queue, remuant doucement ses petites pèches ainsi que sa queue vibrante.

« Nyyaaaaaaan.... ça sent très bon et... mmmh, ça à l'air très bon, maîtresse. »

Penchant sa tête entre ses jambes, elle laissait sa langue venir caresser son sexe doucement, du gland à sa peau, non sans arrivée jusqu'à la base, elle progressait le long de l'unique chemin en léchant son pénis, laissant un peu de sa salive dessus. Elle le faisait doucement, miaulant pour exciter sa femme, mimant aussi quelques ronrons pour la rendre heureuse et rendre cela plus vrai. Cela n'avait pas pris longtemps pour que sa queue se redresse pour pointer vers son visage, comme si le message n'était pas assez clair. Mais Hinata devait être une gentille chatte qui obéissait à sa maîtresse alors elle ne doit pas agir seule. Elle relevait son visage, le rapprochant du sien sans pour autant l'embrasser, elle pencha sa tête sur le côté en la regardant tendrement.

« Nyaaaan, Maîtresse... Hinata-nya veut sucer votre belle queue.... Nyaaaaa.... S'il vous plaît, Maîtresse... »

Son collier tintait, Hinata laissant sa bouche entrouverte, son souffle chaud passant sur les lèvres de sa femme, le bout de sa langue pendait sur sa lèvre inférieure en la regardant dans les yeux. Shunya voulait s'amuser, certes, mais Hinata prenait son rôle très au sérieux pour exciter sa femme au plus haut point. Elle devait tomber au plus vite enceinte de sa moitié et si cela ne fonctionne pas, eh bien elles iront directement prier les kamis au temple. Cela fait des années qu'Hinata n'y avait pas mis les pieds, généralement, c'était une de ses conseillères qui s'en chargeait, mais là, elle aura une bonne raison d'y aller. Morphée n'était pas prête de leur rendre une petite visite...

Tessou

Une véritable bête était libérée ce soir, ce n'était plus Tessou, plus cette femme douce et souriante qui rougissait au moindre baiser de Kara, ce soir, c'était Doomsday. Doomsday du sexe. Elle était là pour baiser encore et encore jusqu'à ce que son corps agite le drapeau blanc. Seule la fatigue pourra mettre fin à cette tempête. Ça ou Kyoko, mais son bébé dormais tellement bien après s'être beaucoup dépensé pour ses premières vacances à la plage. Kara la prenait avec force et autorité, ce qui lui plaisait beaucoup. Elle s'était débarrassé de la pisse dans sa bouche, elle n'aurait jamais cru aimé ça d'ailleurs. Non pas que cela allait devenir une habitude pour elle, mais elle s'était attendue à bien pire. Kara était une super femme qui pouvait porter un tank comme un rien donc devoir affronter cette Tessou, ça sera du gâteau en théorie. Oui, mais attention, elle était tellement déchaînée qu'elle pourrait bien devenir son plus redoutable adversaire... dans un lit du moins, sinon, elle n'était rien du tout face aux personnes que Kara ait pu affronter dans le passé.

Mélangeant des caresses et de jolies claques sur son précieux super cul, Tessou ne pouvait même pas tenir dix secondes dans un langoureux baiser. Elle se tortillait, voulant toujours plus avec sa Kara, elle voulait tant découvrir, tant ressentir.

« Haaan oui, baise-moi quand je dors... hou, je suis sûre, tu me la déjà fait... sinon pourquoi... parfois, ma culotte est mouillée au petit matin ? Hmm ? »

Kara n'était pas forcément coupable, ça pouvait juste être un rêve très chaud que Tessou aurait de suite oublier en ouvrant les yeux, mais elle avait quand même droit au bénéfice du doute. Elle était du genre à s'endormir en s'accrochant à elle, Kara pouvait bien profiter un peu de la situation. Pas forcément en lui faisant l'amour comme ici, mais un petit doigt par ici ou quelques caresses par-là, pourquoi pas ? Elle n'avait pas peur de sombrer dans le coma après ce soir, c'était l'euphorie qui parlais, car quand bien même elle se sentait pousser des ailes, ce n'était qu'une image, humaine, Kryptonienne, elle avait une résistance bien au-delà de tout ça. Les caresses de Kara, ses baisers sur les lèvres ou sur ses seins, oui, même son petit souffle frais la faisait gémir et trembler de désir. Elle aimait se sentir entre ses bras, sans être une montagne de muscle, elle était pourtant la personne la plus forte qu'elle connaissait et elle s'y sentait bien, en sécurité.

« Haaaa, vas-y, Kara... Oh oui, vas-yyyyyy !!!! »

Tessou se cambrait en arrière en sentant son orgasme se mêler à celui de Kara, une joie multipliée par deux qui traversait tout son corps, venant couper sa respiration pendant quelques instants. Quand ses poumons reprenaient du service, son souffle était lourd et rapide, son corps tremblait face à ce plaisir, mais ce n'était pas assez... Pas assez pour la calmer. Même si elle se tenait tranquille sur le lit, face à Kara qui semblait jauger la situation et voir si ça suffirait pour éteindre son feu, elle se redressa pour se presser à nouveau contre elle, partageant un nouveau baiser tout aussi vorace que les précédents.

« Mmmmmmh.... Kara... »

Même si son petit cœur jouait un solo de batterie, elle était loin de se calmer. Sa main venait d'ailleurs caresser sa belle bite, la branlant doucement pendant qu'elle l'embrassait, cherchant à battre le fer quand il était chaud.

« Ma petite chatte à encore taaaant de place... je pourrais y stocker de litres de sperme... Mais là... ce que je veux... c'est voir combien tu es forte, ma Kara. Je veux m'empaler sur ta bite, que tu me maintiennes juste avec elle pendant que tu caresses mon corps. »

Dire cela, avec son collier et sa laisse qui pendait encore à son cou, c'était très sexy, non. Mais pour en revenir à ses envies, ce n'était pas vraiment le fait de se sentir accrocher à son crochet que Tessou voulait vraiment, même si ça faisait un peu partie de ce qu'elle avait en tête. Quittant le lit en la tirant par la main, elle collait son dos contre elle, laissant sa jolie queue tendue frotter son entrejambe, Tessou n'en voyait qu'un petit bout entre ses jambes. Elle tendait ses bras en haut pour les rabattre en arrière et caresser ses cheveux. Qu'elle caresse sa poitrine, son corps ou la maintienne, pas grave, elle était offerte à sa Kryptonienne d'amour.

« Prends-moi, Kara... et lévite au-dessus du sol, un peu... je veux voir combien ta bite est forte pour le soulever. »

Tessou se teindrait quand même à elle, mais sentir sa queue la pénétrer pendant qu'elle ne touche plus le sol sera quelque chose d'unique. Surtout que son poids sur sa queue allait jouer dans ce sens, ça promettait de belles choses aux yeux de Tessou qui était loin d'avoir apaisé sa faim.

Harmony, Ai & les Karistal

Dans cette délicieuse petite sauterie, Ai était bien heureuses. Avec tout ce qui s'était passé depuis le début de la soirée – même de la journée en voyant plus large – elle avait bien pris son pied et là, elle comptait en faire tout autant. Coucher avec la petite Luna était un régal, une partenaire qui aimait la soumission, c'était toujours un plaisir pour elle qui aimait avoir le dessus sur les autres. Mais bon, avec sa carrure et sa petite taille, on la prenait rarement au sérieux. Et pourtant, elle voulait tant être une belle dominatrice. Sauf avec Mélinda, elle, c'était sa maîtresse qu'elle respectait du fond du cœur alors elle n'irait pas lui causer du tort. Même si ça ne dérangerait pas la vampire de voir sa petite futa dominante, elle respectait trop Mélinda pour ça. Demander une faveur, ça, elle pouvait, mais pas vouloir jouer les dominantes, non, vu tout ce qu'elle lui offrait, il n'y avait que pour la vampire qu'elle tendait naturellement son petit cul en guise de salutation.

Mais revenons à Luna. La petite chatte était si adorable et le mieux dans tout cela, c'était sa tenue. Voir la petite chatte si bien habillée, pour sûr, Ai était aux anges. Sa tenue avait beau être surtout faite de cuir, elle restait mignonne comme tout. Mais c'était l'idée d'avoir Luna rien que pour elle jusqu'à nouvel ordre, elle pourrait habiller la poupée comme bon lui semble. Lui faire porter des choses très douces et très sexy, elle sentait déjà sa prochaine érection se dresser rien qu'à cette idée. Pour le moment, elle continuait de la prendre, sa queue venait s'enfoncer dans son délicieux petit cul, elle se faisait une joie que d'y aller toujours plus loin, oh que oui. Ses coups de bassin rebondissaient sur son petit cul rebondi et encore, ce n'était que la partie visible de l'iceberg. Ses coups de bassin rebondissaient sur son petit cul rebondi et encore, ce n'était que la partie visible de l'iceberg. Sous le coup de la passion, Ai venait parfois pincer son téton, mais sans jamais songer à être vraiment dans la douleur. Malgré l'envie de dominer, Ai ne faisait pas dans le SM, une bonne fessée, ça faisait circuler le sang mais de la à les enchaîner ou les attacher pour en faire un vrai sac de nœuds, ça ne l'intéressait pas vraiment...

« Oh ma petite Lunana ! Oh oui, ça viens, ça viennns !!!! »

Venant se blottir contre elle, elle ceinturait la neko pour vider toute son énergie en elle. Sa queue balançait le foutre en grosse quantité dans son petit cul. Par chance, elle avait déjà eu l'occasion de se vider depuis le début de la journée donc ce n'était pas la même quantité que les premières fois, bien que cela restait quand même énorme ! Reprenant son souffle en sentant les cheveux de la petite chatte, elle finie par la lâcher pendant que Luna venait à demander la suite. Ai gloussait face à tant d’engouement.

« Juste une minute, petit chat. Je vais te rendre encore plus belle. »

La petite futa quitta le lit pour fouiller dans les affaires de Mélinda. Elle savait ce qu'elle cherchait et la petite tornade verte était de retour avec quelque chose de spécial.

« On va oublier un peu le cuir, ma belle petite chatte. Je vais t'habiller, ne bouge pas. »

Se mettant au travail, elle débarrassai Luna de cette petite tenue faite de cuir pour ensuite mettre sur son corps quelque chose de sexy qui allait la rendre encore plus désirable. Installant ses collants d'abord, elle venait mettre ensuite la guêpière sur son corps, ayant même deux petites lanière pour lui attacher les mains près des hanches et en prime, cela mettait bien en valeur son petit cul. Fini, Ai se redressait, admirant le travail.

« Oh... je suis sûr que si tes maîtresses ne seraient pas si occupées, elles voudraient me voler la place. Mais tu es à moi. »

Elle s'allongeait sur elle, profitant de sentir le tissu de frotter contre son corps, sa poitrine s'écrasant contre la sienne. Même sa queue se frottait déjà à sa petite porte d'entrée, mais Ai n'allait pas tout de suite lui donner ce plaisir. Elle se pressait contre son corps si doux, partageant ce langoureux baiser en la caressant de partout. Bien que sa queue pulsait déjà entre ses jambes, elle savourait chaque instant contre cette petite chatte ô combien si sexy et raffinée...

« Tu veux que je te détache tes petites pattes ? Ou tu veux que je te baise comme ça ? »

Difficile comme question... les deux étaient si tentant...
Pour Harmony, les choses n'étaient en rien synonyme de vulgarité ou d'entrave, elle faisait l'amour avec Alice et ça, rien que ça, ça faisait de cette soirée quelque chose qu'elle ne pourrait pas oublier. Ses caresses, ses baisers, tout semblait parfait dans cette relation. La seule tâche – pour le moment disparu – c'est qu'elle ne pouvait pas partager sa vie et devenir sa femme, devenir Harmony Korvander. Oh, même sans mariage, elle aurait été heureuse d'être sa concubine, une place importante, similaire à celui d'une épouse. Mais laissant cela derrière elle, elle profitait juste de ça, elle n'oublierait pas de remercier sa maîtresse pour toute cette soirée, rien que ce moment intime avec Alice la comblait de joie.

Pourtant, récemment, elle a eut peur de Mélinda, en ayant vu Ai viré du manoir, elle n'avait pas compris ce qui s'était passé et avait trop peur de demander, mais tout était revenue dans l'ordre. Ai était revenue quelques jours plus tard et maintenant, tout semblait se passer bien entre elles, comme avant. Mais revenons en à Alice, Harmony se laissait faire par la princesse, partageant le délicieux goût de sa salive avec elle en espérant que cette nuit puisse durer le plus longtemps possible. Sa main se mêlait à la sienne, sa seconde main venait caresser le dos d'Alice. Si doux et chaud, même si ce dos était le même que n'importe qui, la flamme qui brûlait en elle la rendait bien plus doux que n'importe quelle autre personne.

« Mmh, toi aussi... tu es magnifique, Alice. »

Harmony avait beau toujours rougir, elle semblait avoir l’œil pétillant en disant cela. Non pas qu'elle allait pleurer pour si peu, mais c'était si beau, comme un rêve éveillé. Fermant les yeux pour sentir à nouveau les lèvres d'Alice sur les siennes, ce fut son doigt qui arrivait dessus, la princesse voulait qu'elle garde les yeux ouverts. Soit, elle fera cet effort pour elle. La semi-ange avait toujours son cache-cache, mais si Alice voulait le lui retirer, elle lui faisait confiance. Elle savait qu'elle n'aurait pas peur de son œil rouge. Ayant grandi sur les routes face à des petits villages très croyant, voir Harmony avec son œil rouge aurait pu causer bien du tort et des soucis, Hardos préférait que sa sœur n'ayant pas de soucis de ce genre, elle avait pris l'habitude de cacher son œil, notamment avec son cadeau. Même maintenant, elle continuait de le porter, c'était un cadeau de son frère après tout.

« D'accord, Alice... han... je te regarderais... jusqu'à la fin... je me han... noierait dans ton regard... jusqu'à, mmh, jouir... »

Ce ne sera pas facile, mais contempler le doux regard de la fille qu'elle aimait l'aiderait à tenir jusqu'à l'orgasme. Sa main continua de caresser son dos, touchant parfois ses cheveux d'or aussi doux que de la soie, la semi-ange respirait par à-coups, le plaisir étant de plus en plus fort entre ses jambes, elle parvenait tout de même à dire quelque chose avant qu'il ne soit trop tard, espérant qu'Alice pourra prendre un peu plus de plaisir.

« Prends-moi... haaaa... comme tu mmh, l'entend... Je te fais... confiance... »

Si jamais elle voulait finir en étant plus rapide, vulgaire ou brusque, elle saurait s'en contenter. Faire l'amour avec Alice était déjà une grande-chose, un souvenir qu'elle va chérir longtemps alors si Alice voulait finir autrement, ça lui convenait. Mais si elle aimait cette douceur, elle pouvait continuer aussi ainsi, ça lui convenait après tout. Elle avait juste peur que la toute gentille Harmony finisse par l'ennuyer, elle savait le genre de choses qui se passait entre elle et sa maîtresse et ce n'était pas une partie de cartes.
Parlant de Mélinda, justement, elle était toujours si bien occupée avec Yuko pendant que sa femme en était tout autant occupé avec Yuka. Les deux jumelles étaient aux anges à se faire prendre par leur maîtresse ainsi. Yuka était traitée comme une petite pute par Vanilla, satisfaisait ses instincts de soumise et Yuko était quelque peu soumise, mais ça allait. Face à Mélinda, ça va. Puis de temps en temps, il était agréable de se faire dominer même si la Karistal ne cracherait pas à ce que ça soit une neko qui la soumette. Pour les jumelles, rien n'égalait les nekos, elles donnerait leur vie pour eux. Mais pour le moment, c'était leur cul et leur chatte qu'elles donnaient pour les vampire, le tout en partageant un baiser baveux entre elles, pour le plus grand plaisir de Mélinda et de sa femme.

« Hmmmmm nyaaaaaaaaa ! »
« Mmmmmmh, ny-nyaaaaaaaaaaaaaan ! »

Ce petit show continua jusqu'à ce qu'elles soient, pour Yuko, tirée en avant pour la redresser et retourné, Yuka fut juste redressée pour être dans une situation similaire à sa sœur. Mélinda en profita pour changer de trou et rattrapait son retard en bourrant son petit cul avec un énorme plaisir qui remontait tout le long de son corps. Les vampires laissaient assez de liberté aux jumelles pour qu'elles se penchent, juste assez pour se lécher mutuellement sans parvenir à sceller leurs lèvres entre elles. Mais bientôt, les jumelles venaient à miauler ensemble, de la même tonalité quand leurs maîtresses venaient à jouir en elle, remplissant leur petit cul de la précieuse semence. La chambre s'égayait de leur douce voix pleine d'amour et de joie. Leur forfait accomplit, elles demandaient aux jumelles ce qu'elles voudraient à présent ? Les jumelles échangèrent un regard avant de regarder à nouveau les vampires.

« Mmmh, pourquoi pas... »
« Quelque chose de similaire ? »
« Sauf que cette fois... on reste allongée, côte à côte... »
« Et vous remplissez nos petites chattes de neko avec vos grosses bites ? »
« Nyaaaaaa... oui, on vous regardera vous embrasser parfois... »
« Et vous nous regardez en faire autant. »

Il ne fallait pas oublier leur amour à elles aussi, c'était important après tout. Les jumelles étaient prêtes à recevoir une nouvelle dose de leur sperme en elles. Ça oui, elles étaient toujours prête à miauler pour leurs maîtresses. Elles se tenaient déjà la main, se regardant avec complicité et amour, est-ce que leurs maîtresses seront sous leur charme ?

Kiriko

C'était un vrai rêve que Kiriko vivait. Quatre Sha à combler de bonheur. C'était beau. Quitte à n'être qu'une poupée servant à se faire remplir par elles, Kiriko était prête à ça, pour le bonheur de Sha. Sous sa forme spectrale, elle pouvait en impressionner plus d'un mais le fait est que Kiriko aimait Sha. Ainsi, en humaine, en slime, elle aimait Sha, mais cette forme-là, c'était celle qu'elle avait vu quand elle était venue la sauver. Elle aimait Sha sous cette forme qui comptait beaucoup. Ce n'est pas pour rien qu'elle avait tenue lors de leur nuit de noces à être fécondé sous cette forme. Qui sait, cela ferait d'Arya une jolie sorcière à la peau couleur caramel comme dans ses rêves ? Il est vrai qu'elle devait aussi parler de ça avec Sha, mais elle attendait un peu, elle n'allait pas interrompre une telle chose pour ça, elle voulait pleinement profiter de Sha, qu'elle la prenne par tous les trous, que les tentacules de la déesse sombre trouve son plaisir en parcourant son corps.

« Mmmmmmmmmh !!!!! »

Elle était délicieusement torturée, étouffée par ses bites noires qui venaient de partout, s'enfonçant dans sa bouche en plus de celle qu'elle s'occupait déjà, caressant juste son corps. Kiriko pouvait être aussi rabaissé qu'une pute en ce moment, elle aimait assez Sha pour aimer ça, n'être qu'un jouet entre ses mains, baiser par plusieurs de ses femmes ou juste une, avec une queue énorme, elle lui faisait confiance et n'avait pas peur, quitte à souffrir un peu, si ça pouvait aider sa femme à se sentir bien. Kiriko était leur prisonnière, mais quel plaisir, Sha pouvait profiter d'elle ainsi jusqu'à la fin de ses jours, elle en serait pleinement heureuse. Quand la déesse accéda enfin à ce quadruple orgasme, Kiriko en fit tout autant en se tortillant de plaisir. Sha avait sûrement calqué son plaisir sur celui de sa femme, la Celkhane n'avait pas la résistance d'une déesse après tout. En un instant, Kiriko avait à peine le temps de reprendre ses esprits que les Sha étaient prête à reprendre dans une position différente.

« Oh, mon amour... »

Bien qu'elle parlait d'une Sha, ce message valait aussi pour les trois autres, sa Sha était partout. En dessous, elle caressait sa poitrine de sa main, avec délicatesse, levant le nez vers Sha, elle eut un petit sourire alors que le goût de sa semence était encore dans sa bouche et elle tournait son visage par-dessus son épaule en sentant sa femme se blottir dans son dos, sa virilité déjà aux portes de son cul. Quant à la dernière, elle l'observait sur le côté, lâchant un petit gloussement en l'observant, la bite à la main.

« Venez baiser votre petite pute de femme, mes amours... Remplissez-moi de votre amour... Arrosez-moi avec si vous voulez. »

Peut-être après, recouverte de la semence de Sha, c'était agréable, elle n'avait rien contre les faciales, il en allait de même pour son corps, surtout quand elle était si bien entourée. Bien qu'elle lui donnait l'autorisation de commencer, ce fut elle, qui commençait, s’empalant d'abord sur la première, sa queue venait pénétrer son vagin, la route étant déjà bien humide pour y arrivée facilement, elle se penchait d'ailleurs sur elle pour l'embrasser tendrement. Ainsi, son petit cul était bien offert et bien dilatée pour laisser son autre femme la pénétrer avant qu'elle ne l'aide à se redresser. Kiriko tendait la main vers sa femme, sa main caressant sa main, descendant doucement plus bas jusqu'à voir cette Sha se montrer avec une paire noire sous sa queue. Kiriko avait un faible pour les bourses bien pleine après tout. Sa main entamait doucement le travail, d'abord en douceur en caressant ses couilles et enfin, sa bouche venait s'ouvrir en grand, englobant son pénis sans hésitation, venant déjà la loger au fond de sa gorge en laissant de délicieux bruit de gorge et de bouche se faire entendre, pour le plaisir des oreilles de sa déesse. Si sa seconde main n'aurait rien à branler, elle risquait d'aller la passer sur le délicieux cul de sa femme qui lui faisait face, peut-être qu'elle irait lui titiller l'anus ? Ou juste caresser son délicieux cul ?

Harley Quinn

Oh oui, maintenir Harley dans une cage dorée plein de douceur, ça pouvait fonctionner, mais généralement pas longtemps. Comme pour la plupart des choses, Harley pouvait se lasser vite et passer à autre chose plus amusant ou motivant pour elle. Et c'est ce que Pamela prit très au sérieux, car sa future femme fut de suite redressée et attachée par ses plantes pendant que sa Pamy-chérie venait à se montrer sous les traits d'une dominante SM. Cela ne la dérangeait pas, sauf peut-être de ne pas la voir, mais ça restait qu'un petit détail dans tout ça. Bien vite, son fouet venait claquer sur son cul principalement même si parfois Pamela visait le dos, pour laisser son cul le temps de moins chauffer.

« Haaan ! Oh oui, fouette-moi le cul, Haaa ! Ouh, je suis sûre que t'aime ça... me voir, Haaaa ! Voir mon cul marqué par ton fouet, hmm ? Profite Pam, Haaa ! Quand je serais enceinte, j'aurais droit à l'immunité. »

Harley était d'accord pour s'amuser en portant la vie en elle, mais le SM de ce genre sera interdit peu importe l'appât qu'elle pourra agiter, elle ne mordra pas à l'hameçon. On disait que les bébés ressentaient les choses de leur mère, elle ne voudrait pas que son bébé prenne goût aux fessés, quel genre de parents elles seraient sinon ? En tout cas, le petit jeu du fouet continua et quand elle sentait Ivy lui caresser le dos, entre autres, les liens venaient doucement la libérer, sa belle plante lui baisant le cou. C'est ça qu'elle aimait chez elle, même la plus piquante des roses savait faire preuve de douceur. Harley gémissait doucement, ne réagissant pas à cette grosse plante que sa partenaire avait fait pousser. Mais quand elle lui proposa de se faire manger par cette dernière, elle arqua un sourcil en observant cette plante plus en détail.

« Mmmmh, non, elle est loin d'être aussi sexy que toi, ça ne sera pas possible. »

Ce n'est pas qu'Harley ne voulait pas essayer ce genre de chose, elle ne peut pas aimer sans avoir goûté après tout. Mais seule, engloutti par cette plante, ça ne semblait pas super fun comme programme. Pas très vendeur en tout cas. Reposant son regard sur Pamela, son index venait caresser ses joues, passant le long de sa lèvre inférieure alors qu'elle gloussait en se blottissait contre elle comme elle savait si bien le faire.

« Mais peut-être que si tu m'accompagnes, je changerais d'avis ? Après tout, ce bébé, c'est avec toi que je le veux, pas avec lui. Le prend pas mal, Franck, tu ne fais pas le poids face à mon amour. »

Oui, nommer les choses, c'était sa spécialité, que ce soit une plante ou un castor empaillée, c'était une chose très naturelle pour Harley.

« En étant serrée l'une contre l'autre là-dedans, ça fera peut-être augmenter nos chances ? On sera comme des bébés là-dedans... des bébés incestueux... Ouais, l'image est pas top, désolée, mais... Mais, qu'est-ce qu'on fera si on a des jumeaux ou jumelles et qu'ils s'aiment ? »

Harley allait un peu vite en besogne, mais là ou certaines personnes prévoit deux ou trois coups d'avance, partie comme elle était, elle avait plus de deux cents coups d'avance si elle s'inquiétait de ça ! Faudrait-il déjà avoir un bébé, ce sera déjà bien, deux, ce serait merveilleux ! Mais un, pour commencer. Et savoir si ce bébé sera plus tard incestueux avec l'autre, ce n'est pas pour demain ! Rangeant ce problème dans son tiroir de problème à régler plus tard, comme celui d'une solution à adopter si jamais il y aurait une pluie de hamburgers, Harley venait presser ses lèvres contre celles de Pamela, avant de reculer doucement sa tête, toujours les bras enroulés autour de son cou.

« Du coup, on fonctionne comment ? Tu veux encore me fouetter le cul pour que je te fasses bander ou on file faire des cochonneries à l'intérieur de Franck ? Regarde-le, je suis sûre que ça lui déplairait pas de nous avoir en lui, vilain cochon ! »

Dit-elle pour taquiner Franck. Ha bah oui, il était baptisé, trop tard pour lui c'est inscrit hein.

Aoki

Toujours pressée contre Félicia, Aoki était heureuse de voir leur relation évoluée, c'est ce qu'elle voulait depuis longtemps sans pour autant lancer le sujet sur le tapis. C'est idiot, mais quand un homme l'avait courtisé, ça avait mal fini, quand elle en avait fait de même avec une femme, ça avait aussi mal fini alors si elle aimerait à nouveau une femme, ça serait à elle d'annoncer les faits. C'est débile mais c'était une chose qu'elle avait peur de voir se réaliser a nouveau alors voilà... Enfin, une fois rentrer à Yoake, il n'y aura plus qu'à organiser son déménagement et à prévoir bien des façons de séduire Félicia quand elle rentrera du travail. Ce n'étaient pas les idées qui pouvaient manquer avec elle, surtout si elles y réfléchissaient à deux. Partageant un nouveau baiser avec elle, elle savourait ce baiser comme étant la cerise sur le gâteau... Sur le premier gâteau car Félicia annonçait par la suite une nouvelle chose à laquelle elle ne s'était pas entendu évoquer, surtout si rapidement.

« Un... un mariage ? Tu... tu es sérieuse ? ... »

Aoki était surprise, agréablement, certes, mais elle ne pensait pas voir le sujet tombé si vite. Pourquoi pas un jour quand elles auront bien réduit leur liste de fantasmes à réalisé ou en voyant des connaissances à elles se marier, plantant ainsi la graine de l'idée, mais là... ça allait vite. Non pas que ça lui déplaise, mais elle pensait le sujet sensible, c'est tout. Prise d'une crise euphorique, elle lui sautait au visage, presque en lui donnant un coup de tête pour l'embrasser, ses gloussements étaient étouffé par leur baiser et quand elle terminait le baiser, elle était presque euphorique au point de rire toute seule.

« Haha ! Oh oui, je veux t'épouser, je le veux, Vraiment ! Oh, Félicia... »

Avec une bague sous la main, ça aurait rendue la chose plus romantique, mais nue dans une grande baignoire, ça lui allait aussi. Imaginant la scène avec leurs amis donc ? Harley et Pamela, évidemment, seront de la partie ? Peut-être Doutzen, ça faisait un moment qu'elle ne l'avait pas vue, mais avec la mort de Kanzaki – et donc son arrêt de travail – et ses vacances pour se changer les idées, ça faisait un moment que les projets de faire d'elle une étoile montante était mise sur pause mais de retour à Yoake, elle va mettre les bouchées double pour ce diamant brute qu'elle devait tailler. L'occasion pourquoi pas de lui montrer tout ce qu'elle avait appris depuis ? L'hermaphrodisme ? Et pourquoi pas l'invité chez elle en lui faisant la surprise de lui présenter sa future femme ? Mais qui pourrait venir à ce mariage ? Enfin, mariage dans le sens d'avoir une belle cérémonie... Quoique, elle avait vue que la préfecture d'Ibaraki venait d'être le premier endroit au Japon ou les mariage gay et lesbienne était autorisée. Elles pourront avoir ça en vraie alors ? Si c'est le cas, elle pourra inviter certains de ses amis du travail, certains de ses élèves aussi. Et ses parents... ce sera plus délicat mais... ne sait-on jamais, avec de la chance...

« Je te veux aussi dans une belle robe blanche, le classique à du bon, tu sais. En tout cas, je serais intransigeante sur un sujet ! Nous porterons de somptueux porte-jarretelles en dessous de nos robes... Je suis prête à négocier ce que tu veux dans ce mariage, mais pas ce point-là. »

C'était le genre de détail qu'elle voyait souvent dans les mariages plus occidentaux que ceux au Japon, mais autant la belle robe était un rêve de petite fille, comme n'importe quelle gamine. Autant le porte-jarretelles, c'était un fantasme de femme, ça. Ce mariage pouvait être vrai ou juste pour le plaisir de se balader en robe, ça convenait à Aoki, mais c'était le détail qui ne pourrait pas changer, peu importe ce qui change dans les termes du contrat. Cette clause était en or, interdiction de changer ça. Mais si ça se fait vraiment... Aoki Hardy alors ? Ce serait... nouveau... un peu bizarre au début... Mais elle sera heureuse de former un Vrai couple avec Félicia... Blottissant sa tête dans le cou de la Black Cat, elle ne savait pas si c'était une éclaboussure au coin de ses yeux ou des larmes, mais Félicia venait de lui offrir les meilleures vacances de sa vie en une seule fois. Un nouveau couple, un mariage de prévus ? Il ne manquait plus qu'Aoki apprenne dans les jours qui suivent qu'elle soit enceinte et elle aurait eut les trois Sept sur le bandit manchot du casino. Elle aurait tout gagner ! Mais elle ne serait pas trop gourmande, elle se serait contenté juste de former un couple avec Félicia, mais si elle-même propose le mariage... elle n'allait pas dire non.

Sya

Samara avait été trop loin... C'était toujours un sujet sensible pour Sya, c'était l'un des rares sujets ou elle restait fermé sur le refus et où à trop insister ou en parler, elle paniquait et faisait remonter en elle bien des choses qu'elle préférait enterrer très profondément et ne plus voir remonter en elle. Quand sa mère arrivait pour tirer les couvertures, elle se repliait un peu plus, couinant, en la voyant approcher, avec un ton qui semblait loin de demander pardon. La magie s'activait autour d'elle et quand les chaînes venait l'attacher pour ne plus rester dans cette position, elle eut un peu peur. La magie s'activait autour d'elle et quand les chaînes venaient l'attacher pour ne plus rester dans cette position, elle eut un peu peur. Sya se débattait un peu, mais réellement. Ce n'était plus le jeu de la petite ange violé par la grande méchante démone, là, elle se débattait vraiment dans l'espoir de se libérer. Elle vit son regard brillé, apercevant rapidement la fumée dans sa bouche et puis...

Depuis qu'elle était Sya, elle avait oublié qui elle était avant. Elle avait jadis fait de brève recherche en sachant qu'elle s’appelait Nymph, mais en vérité, plus elle explorait son passé, plus elle avait peur. Car le peu qu'elle a vu... ce n'était pas Sya. Certes, l'idée de vivre avec les anges ne la dérangeait pas, c'était une belle perspective, mais une chose avait peur quand elle y repensait. Ou était Lust dans ses souvenirs ? Ou était ses amies ? Ses femmes ? Ses enfants ? Il n'y avait rien de tout cela. Car tout cela, elle la eut en étant Sya, pas Nymph... Alors ne voulait pas se souvenir de sa vie d'avant, elle n'était pas drôle. Samara était plongée dans des souvenirs d'une ange qui avait deux côtés, un côté où l'ange combattait et sauvait des vies, un autre où elle portait un collier autour du cou, mais où elle était tout aussi heureuse et entouré d'amour venant de plusieurs femmes différentes. Samara explorait ses contrées étranges des souvenirs jusqu'à trouvé une Sya, attachée et apeurée en voyant la démone approchée. Elle se repliait sur elle-même, passant ses bras autour de sa tête comme pour éviter un coup qui pourrait surgir, elle ne savait pas qui était cette femme, ni même ce qu'elle faisait ici. Dans la réalité, tout ce qui allait se produire ne faisait que quelques secondes et ici, ici, qui sait combien de temps allait se passer ? De même que... qui était-ce vraiment ? Nymph ? Sya ? Le collier pourrait indiquer Sya, mais sa tenue n'était pas sa tenue d'ange très courte que l'ange de la luxure portait, c'était plutôt le genre de chose que Nymph porterait. Tremblant sur place, elle ne bougeait pas, elle ne pouvait pas fuir de toute façon, mais elle pouvait se protéger au moins...

« Non... non... »

C'était le seul mot qui sortait de sa bouche pour le moment alors que Samara ne semblait pas se montrer méchante pour le moment.

Qui aurait pu imaginer ça un jour ? Shunya jouant la Maîtresse ! Shunya dans une tenue en cuir et en latex, tenant Hinata par la laisse, lui ordonnant de faire la chatte, d’être sa « Hinata-nya » ! Même elle n’y aurait jamais cru, et pourtant… Couchée sur le lit, Shunya avait indéniablement pris de l’assurance, et était désormais prête à tout pour que, au matin, lors de leur départ du Paradisio Hotel, le petit ventre d’Hinata ait en elle une graine, une agréable semence qui ne demandera qu’à former un magnifique bébé ! C’était urgent, car Shunya voulait être enceinte en même temps que sa femme ! C’était donc ce soir ou jamais ! Hinata était fertile, la Reine était prête à héberger la vie, il fallait juste insister ! Shunya était prête à le faire, et, ce soir, elle allait déployer tout ce dont elle était capable ! Même si Nora devait venir à les rejoindre, elle seule serait autorisée à jouir dans la chatte d’Hinata ! Tout son sperme n’irait que là, et dans aucun autre trou !

Tandis qu’Hinata la rejoignait, jouant à merveille son rôle de chatte, Shunya se pinça les lèvres. Ses doigts gantés se crispèrent sur le lit, tandis qu’elle écarta les jambes, sentant la bouche d’Hinata appuyer sur sa queue, donnant une série de baisers dessus. Sa clochette carillonnait à chaque fois, et elle pencha même la tête sur le côté, tout en demandant à sa Maîtresse de pouvoir la sucer. Shunya se pinça les lèvres, et se racla la gorge.

« Bien sûr, Hinata-nya… Mais, désormais, tant que tu ne seras pas enceinte, sache que je ne gaspillerai pas la moindre goutte de sperme. Je ne jouirai plus que dans ta chatte, encore et encore, jusqu’à ce que ton ventre soit mien ! Rassure-toi, il y aura quelqu’un d’autre pour jouir dans ton petit cul ! »

De sa main, Shunya attrapa le collier d’Hinata, et la plaqua contre son sexe, l’incitant ainsi à la sucer, tandis que les rideaux s’ouvrirent. Des talons claquèrent sur le sol, tandis que Nora faisait son entrée.. Dans une tenue également très adaptée. Elle portait de longs collants noirs avec une veste en cuir très particulière, reliée à son corps par des lacets tout le long de son torse, laissant apparaître sa volumineuse poitrine, tandis qu’une culotte noire libérait une bonne partie de sa verge, frottant contre les cordes.

L’Ange se rapprocha alors, tenant une cravache à la main, et l’abattit sur le cul d’Hinata.

« Il est temps pour vous d’être enceinte, Majesté, et je compte utiliser toute ma magie pour m’en assurer.
- Tu vois ? Tu n’es pas la seule à avoir préparé une surprise, Hinata-nya ! »

Shunya rougissait de plaisir. Mine de rien, la vue de Nora l’excitait aussi furieusement. Les belles ailes de Nora se déployaient dans son dos, ce qui signifiait que, comme elle venait de le dire, elle allait user de sa magie. Il n’y avait plus aucune échappatoire, ce soir, pour Hinata ! Elle serait enceinte !

Nora la fouetta encore sur les fesses.

« Allez, Majesté, soyez plus vive ! Préparez bien ce sexe, je veux qu’il vous pénètre encore ! »

Pour Nora, il était encore impossible d’appeler Hinata autrement que « Majesté », mais la voir se plier aux yeux était un véritable régal pour Shunya… Qui ne tarda pas à gémir quand Hinata commença à pomper son dard. Un long frisson la traversa, et elle serra sa main sur les cheveux d’Hinata, entre ses deux fausses oreilles, la forçant à avaler ce membre aussi loin que possible.

« Oh, Hinata-nya, tu es si douée, hmmm… !! »

Mais Nora ne la ferait pas jouir trop vite non plus. Elle voulait que les deux jouissent dans des intervalles de temps très réduits, pour améliorer les chances de rendre sa Reine enceinte. Autant dire que la nuit ne faisait que commencer !
Kara sourit doucement après avoir joui dans le corps de Tessou. Incroyablement énergique, la policière était aussi totalement déchaînée. Elle voulait encore faire l’amour, assurément. Sa soif ne pouvait se calmer en un seul orgasme ! Tessou avait condensé en elle énormément de frustration, énormément de souffrance. Depuis la mort de son défunt mari, elle ne faisait plus l’amour, et Kara imaginait volontiers que, même avant ça, elle devait être très gourmande. Kara sourit alors quand Tessou, commençant un peu à reprendre ses esprits, proposa alors quelque chose.

Elle se releva, et souleva Kara en la tirant par la main. Celle-ci souhaitait savoir de quoi Kara était capable avec sa verge, et si elle pouvait la soulever avec… Sa seule verge. L’idée amena Kara à hausser les sourcils. Tessou se glissa devant elle, lui montrant son dos, et Kara caressa ses épaules, avant de sourire doucement. Son membre remuait contre les fesses de la jeune femme, glissant sur sa peau. Elles venaient bien sûr de faire l’amour, et Kara l’embrassa dans le creux du cou.

« Tu sais, un pénis, ce n’est pas un muscle. Ma super-force, elle est située dans mes muscles, Tessou… »

Kara ne pouvait pas soulever de poids avec sa verge ! Elle avait néanmoins une idée à faire. Elle retourna alors Tessou, afin qu’elles se fassent face. Kara attrapa ses cheveux, et elle l’embrassa alors. Un long baiser, et son autre main attrapa Tessou sur les hanches, puis l’aida à se relever. Lentement, doucement, Kara s’éleva dans les airs. Ses pieds ne touchèrent plus sol, et elle se laissa basculer vers l’arrière, jusqu’à faire ce que Tessou souhaitait… En se retrouvant couchée sur le dos.

Flottant dans les airs, elles se trouvaient désormais au-dessus du lit, et Tessou était couchée sur elle.

« Là… Je préfère ça comme ça, Tessou, pas toi ? Prends ton temps, redresse-toi, appuie-moi sur mon corps… Et empale-toi sur ma queue ! »

Ce n’était pas vraiment ce que Tessou lui avait dit à la fin, mais, après tout, elle avait confié à Kara qu’elle voulait « s’empaler » sur elle. Sur ce point, Kara n’avait rien à craindre. Elle n’allait pas tomber, et Tessou allait donc pouvoir la chevaucher… Si elle ne glissait pas sur le corps de Kara !

« Vas-y, n’aie pas peur, ma chérie… »

La petite Luna était ravie, joyeusement comblée. Dame Ai venait de jouir en elle copieusement. Un magnifique orgasme, largement à la hauteur de ce qu’elle était capable de faire. La délicieuse neko était donc comblée, et reprenait progressivement ses esprits. Dame Ai venait de jouir, mais Luna la connaissait assez, et suffisamment pour savoir qu’elle était capable de tout. Avant que Luna n’aille chez les Maîtresses Karistal, elle avait déjà eu l’occasion de rencontrer Dame Ai, soit lorsqu’elle se rendait sur Terre, soit lorsque Dame Ai venait sur Terra. La femme était une rare perle, qui n’aimait pas trop le latex ou le cuir, et portait toujours une fine dentelle. Avec Luna, et comme avec tous les autres, Dame Ai adorait les habiller dans tous les sens, leur mettre de belles robes, des ensembles magnifiques, soyeux, élégants et raffinés. Autant dire que Luna adorait ça, elle avait adoré être la petite poupée de Dame Ai, qui la préparait soigneusement avant de la présenter à sa Maîtresse.

Alors, quand Dame Ai indiqua à Luna qu’elle allait l’habiller convenablement, la neko acquiesça, et se redressa un peu. Son ventre s’était bien arrondi sous l’effet du sperme, sous cette vague diffuse qui avait jailli en elle. Dame Ai bondit sur le sol, toujours aussi énergique, et Luna en profita pour regarder les gens autour d’elle.

« Nyyyuu… »

C’était si beau ! Luna voyait Princesse Alice et Dame Harmony. Elles se faisaient langoureusement l’amour, tandis que, de leur côté, les quatre Maîtresses venaient également de jouir. Luna baignait dans cette saine ambiance, elle flottait doucement dans ce mélange de sexe et de désir. Luna ronronnait doucement sur place, se mordillant les lèvres. Sa queue caudale remuait de gauche à droite, et elle avait l’intime conviction qu’elle aurait pu les observer encore comme ça pendant des heures. Maîtresse Mélinda lui avait appris le plaisir du voyeurisme, la satisfaction d’observer des corps en mouvement, de les voir faire longuement l’amour.

Dame Ai revint finalement, arrachant Luna de sa contemplation. Elle rougit lentement, tandis que son ventre avait commencé à diminuer, salissant le lit. Autant dire que les femmes de ménage allaient avoir du boulot à faire ! Dame Ai l’aida alors à s’habiller, et Luna ronronna doucement, frottant son visage contre elle.

« Nyyyuu… Dame Ai va rhabiller sa poupée de Luna ? »

Sa voix était doucereuse, mielleuse. Dame Ai l’habilla donc, enfilant sur son corps une nuisette très élégante, faite d’un velours évoquant tout de même le cuir, mettant en valeur ses seins, tout en les protégeant par deux bandes. Des attaches sur le bas de la guêpière permettaient également d’immobiliser les bras de Luna, de les attacher à des rubans. Dame Ai enfila également les collants sur le corps de Luna, qui couina encore, se tortillant sur place, accompagnant les mouvements de sa partenaire. Si Dame Ai n’était évidemment pas sa Maîtresse, Luna aimait qu’elle l’habille comme ça.

Une fois ainsi habillée, Luna se coucha sur le dos, et Dame Ai s’allongea contre elle, venant se frotter doucement. Elle caressait son corps, glissant sur ses hanches, pressant sa nuisette. Luna soupira doucement, et partagea avec elle un baiser, tout en remuant ses poignets, ses bras étant retenus par les rubans. Elle écarta doucement les jambes, sentant la verge de Dame Ai contre elle. En soi, elle aurait pu détacher ses pattes avant en tirant fort, car les rubans n’avaient pas l’air très bien attachés, mais… Qui l’aurait fait ? Luna frotta son nez contre celui de Dame Ai, qui proposa alors de savoir ce qu’elle voulait faire pour la suite. Que Luna retrouve sa liberté ?

La neko se pinça doucement les lèvres, et hocha la tête.

« Lu… Luna veut se faire baiser comme ça, Dame Ai… Luna aime être retenue par des liens… »

Et qui irait contre la volonté de Luna ?

À côté, Alice sourit doucement, et embrassa à nouveau Harmony. Elle lui avait proposé quelque chose, que les deux femmes se regardent tandis qu’Alice lui faisait l’amour. La tête blonde avait un magnifique sourire, doucereux, qui allait à merveille avec ses longs cheveux blonds tombant en cascade, et ses rougeurs sur les joues. Elle se pinça encore les lèvres, son membre endolori remuant fermement et puissamment dans la chatte de sa partenaire.

Ce n’était pas la première fois qu’elles s’envoyaient en l’air, loin s’en faut, mais c’était sans doute la plus romantique. Au harem de Mélinda, Alice avait de plus en plus l’habitude de dominer Harmony. Elle revêtait sa combinaison spéciale en latex, et, si Harmony avait été envoyée près d’Alice, c’était aussi pour ça, qu’elle dispose d’une sorte d’esclave sexuelle personnalisée sur place. Mais Alice n’était pas que cruelle envers Harmony, elle se montrait aussi très douce, très gentille. Ensemble, elles pouvaient discuter des heures, parlant de chose et d’autre. Harmony était une partenaire très agréable. Qui sait comment, à terme, leur relation pourrait continuer à évoluer ?

« Hmmm… »

Alice l’embrassa à nouveau, se pressant longuement. Harmony lui répondit avec envie, leurs langues se mélangeant ensemble. Personne ne parlait alors, et le baiser dura bien plusieurs minutes, le corps d’Alice remuant moins rapidement, comme pour en profiter davantage. Rien ne pressait, après tout, et Alice était bien décidée à faire durer ce moment longuement.

« Qu’est-ce que j’aime ça, Harmony… Te faire l’amour, encore et encore… »

La Princesse se pinça doucement les lèvres en observant Harmony. Oh, qu’elle était belle ! Si belle, même ! Alice ne pouvait que se régaler, adorant ça. Le corps d’Harmony remuait admirablement sous le sien.

« Pince mon cul, Harmony, hmmm… Tu aimes quand on te fait l’amour ? Haaaa… Est-ce que… Hmmmm… Tu préfères coucher avec moi ou… Haaaa… A-Avec Mélinda ? »

C’était ce qu’on appelle une question-piège ! Mais il fallait bien perturber la jeune femme un peu !

De leur côté, Mélinda et Vanillia proposaient aux Karistal de continuer, après leurs derniers ébats. Au vu de la perversité des quatre femmes, il fallait bien s’attendre à ce qu’elles continuent comme ça. Mélinda et Vanillia les observaient, et les jumelles Karistal réfléchirent un peu. Que faire, maintenant ? Les deux vampires avaient joui joyeusement en elles, mais les Karistal n’étaient jamais contre un peu de rab’. Très joueuses, elles proposèrent donc de continuer à faire l’amour… Différemment.

Une position de missionnaire classique, ce qui serait l’occasion pour les quatre de s’embrasser. Mélinda et Vanillia sourirent brièvement, avant de se regarder l’une et l’autre, et serrèrent leurs mains ensemble.

« Qu’est-ce que tu en penses ?
- J’ai envie de dire que… Ça me plaît beaucoup. »

Leurs verges s’étaient relâchées, elles avaient joyeusement joui, mais elles n’étaient évidemment pas contre continuer à leur faire l’amour sporadiquement. Les deux Karistal se couchèrent donc l’une à côté de l’autre, chacune venant serrer la main de l’autre. Mélinda et Vanillia, debout devant elles, sourirent doucement, leurs verges se relevant lentement, impatientes, assoiffées. Mélinda se pinça ensuite les lèvres.

« Je vais m’occuper de la douce Yuka, maintenant…
- C’est justement ce que j’allais te proposer, j’ai hâte de voir laquelle des deux jouit la plus vite. »

Avant cela, les deux vampires s’embrassèrent tendrement. Un baiser long et délicieux, très agréable, où leurs bouches se collèrent l’une à l’autre pendant de longues secondes. Elles le rompirent ensuite en souriant encore mutuellement, puis se rapprochèrent des deux femmes. Mélinda vit le tendre corps de Yuka, si similaire à celui de sa sœur, mais constata vite, en l’embrassant, que, si Yuka était très perverse, elle cherchait moins à impressionner Mélinda que sa sœur.

La nuit était en tout cas loin de se terminer.

Kiriko était aux anges, littéralement. Sha s’était quadruplée pour elle ! Quatre clones astraux s’occupaient du corps de la jeune femme, une véritable poupée humaine qui ne pouvait plus désormais que subir. Mais qui aurait été s’en plaindre ? Qui, en ce moment, n’aurait pas envie d’être à la place de Kiriko ? Son endurance allait être mise à rude épreuve, car les quatre Sha comptaient bien ne rien lui épargner !

« Tu me mettras enceinte ce soir, Kiriko…
- Mais, avant ça, sache que nous allons te baiser avec force…
- Tu es à moi, Kiriko, tu l’as toujours été…
- Je t’ai déjà baisé des milliers de fois, et, pourtant, je n’arrive pas à me lasser de ton corps. »

Les quatre Sha parlaient d’une même voix, et se déplacèrent encore. Kiriko s’empala donc sur une verge, et gémit fortement, sentant ce membre s’enfoncer en elle. Elle se pencha vers la première Sha, et l’embrassa tendrement sur les lèvres, tandis qu’une autre s’enfonçait dans son cul en se glissant derrière elle. La deuxième Sha releva également Kiriko en tirant sur ses cheveux, l’arrachant à ce baiser, et la maintint ainsi avec le dos droit, déplaçant son autre main pour pincer l’un de ses seins. Elle se lova dans son dos, tendrement, ses propres seins se heurtant à ceux de la Celkhane.

Les deux autres Sha se rapprochèrent de sa gauche et de sa droite, et Kiriko se retrouva à devoir les masturber. Les doigts de Kiriko glissèrent sur les testicules, et elle se pencha ensuite, venant avaler une verge, déplaçant sa main pour palper les fesses de l’autre Sha. Une main serra ses cheveux, et la poussa d’un coup sec sur sa verge, la forçant ainsi à opter pour une redoutable gorge profonde.

« Là, là, suce-moi bien fort, petite Kiriko… J’ai beau t’aimer de tout mon cœur, tu ne pensais pas que ce serait si facile, non ?
- Tu vas encore devoir nous faire l’amour très longtemps, ma chérie, je ne veux pas que tu reposes sur tes lauriers… »

Cette belle queue s’enfonçait jusqu’à taper contre le fond de sa gorge, avant que l’autre Sha n’intervienne à son tour, la forçant à tourner la tête pour avaler la quatrième verge se présentant à elle. Kiriko était encerclée par le noir, par la douce odeur magique de Sha, par ses frissons sur son corps. Sha palpait ses seins, les pinçant lourdement, tandis que celle située sous elle griffait ses hanches, caressant son corps parfait, ou venait palper son cul, pressant ses fesses.

Sha ne se lassait pas du corps de Kiriko, jamais ! Elle avait déjà embrassé chaque centimètre carré de son corps, joui et palpé chaque parcelle de ce corps parfait, mais elle y revenait toujours avec joie ! Et là, en ce moment, Kiriko ne pouvait qu’être comblée, en sentant ainsi les verges remuer en elle. Sha allait jouir en elle, encore et encore.

« Si tu savais comme je t’aime, Kiriko… Une Déesse ne devrait pas aimer une humaine ainsi…
- Je vais tellement de remplir de mon foutre, ma chérie, je vais en inonder ton beau petit ventre…
- Te rendre accroc à ma verge, à cette bite qui te ramone dans tous les sens… »

Chacun de ses trous était savamment remplie par les Sha. Et l’Ombre adorait vraiment ça. Elle se tortillait avec plaisir, manipulant chacun de ses clones, ressentant un plaisir immense, inouï, quadruplé.

C’était tout simplement indescriptible.
« Franck ? »

Il n’y avait que sa Harley pour réagir ainsi ! Ivy regarda encore sa grosse plante. Franck… Elle haussa alors les épaules, tout en étant consciente de ce qu’elle avait proposé à sa Harley. Le vore était une pratique sexuelle assez extrême qu’elles n’avaient encore jamais pratiqué ensemble. Pourtant, ses plantes avaient déjà avalé bien des gens. À Gotham, c’était pour les tuer en les dissolvant dans de l’acide, mais, depuis son arrivée au Japon, ils subissaient un traitement bien différent. Elle les reformatait tandis que, à l’intérieur de la plante, ils barbotaient dans un liquide amniotique, régulièrement pénétrés dans tous les sens par des tentacules. Ivy n’avait en fait jamais essayé de mettre deux personnes en même temps dans une plante, car ce n’était pas leur fonction première. Elle utilisait ce mécanisme pour modeler les pensées de ses proies, les rendre plus écologiques, et elle les utilisait ensuite pour ses rituels floraux, notamment.

Alors, être à deux dans Franck ? Ivy considéra silencieusement l’option, tandis qu’Harley la pressait de savoir quoi faire : la fouetter encore, ou jouer dans Franck… Mais, maintenant qu’Ivy avait proposé la chose, elle ne pouvait pas se dédire !

« Tu sais que Chloé adore dormir dans… Euh.. Dans des Franck ? Je ne trouve pas bien courageuse, sur le coup, ma chérie… »

C’était une simple provocation, l’une de ces petites piques qu’on pouvait se balancer entre amantes. Mais Ivy attrapa la main d’Harley, et lui sourit, tandis que Franck se déplaçait, s’étalant sur le sol comme une espèce de long serpent.

« Je n’ai pas assez d’eau ici pour faire grossir suffisamment Franck dans cet appartement… Mais je sais où aller. Habille-toi un peu, mon cœur, nous allons sortir. »

Pamela l’embrassa alors, et le baiser dura un peu. Elle n’était pas avare de tendresse, ni de la magnifique bouche de sa Harley, qu’elle pressa en se lovant longuement contre elle. Le contact était délicieux, et le baiser dura donc une bonne minute. Ivy le rompit ensuite, et sourit à nouveau à Harley, avant de donner une petite tape sur ses fesses.

« Allez, prépare-toi ! »

Ivy remit son corset végétal avec ses longues bottes. Et, alors qu’Harley entreprenait de récupérer ses affaires, Poison Ivy l’interrompit brusquement, avec une dernière directive :

« Mais… Habille-toi quand même de manière sexy. »

Comme quoi, l’Empoisonneuse ne perdait pas le nord ! Une fois les deux femmes prêtes, elles sortirent donc, main dans la main. Dehors, il faisait nuit, les restaurants étaient désormais fermés, et le Paradisio Hotel était plongé dans un relatif silence. En chemin, elles croisèrent quelques personnes, mais, avec ses aphrodisiaques, Ivy mettait fin à toute question mal placée. Elle tenait encore Harley par la main, ne répondant à aucune de ses questions, tandis que Franck les suivait, rampant sur la moquette en émettant régulièrement des bruits spongieux.

Le trio arriva ainsi jusqu’à un ascenseur. Un steward se tenait là, et fronça lentement les sourcils en les voyant.

« Où… Euh.. Où désirez-vous aller, Mesdames ?
- À la piscine.
- Oh, je regrette, mais le toit est fermé la nuit… »

Refuser quelque chose à une Poison Ivy en chaleur ? Cet homme était fou ! Ivy fronça les sourcils, et souffla sur son visage, répandant son aphrodisiaque. L’homme éternua, tout en ayant une solide érection.

« Vous allez nous conduire sur le toit.
- Je… Bien, Maîtresse. »

Il dit cela spontanément, ses pupilles ayant pris provisoirement une teinte rosâtre. L’homme ouvrit ensuite l’ascenseur, et les deux entrèrent, avec Franck, qui dut s’enrouler le long de l’ascenseur. La cabine s’éleva ensuite, et rejoignit le centre aquatique du Paradisio Hotel. Celui-ci était fermé la nuit, et comprenait plusieurs bassins, comme un bassin olympique, un jacuzzi, un sauna, un hammam. Le centre aquatique pouvait ouvrir la nuit pour certaines activités spéciales, mais, ce soir, il était résolument fourni. Leur hôte déverrouilla l’accès, et elles rejoignirent un petit bassin. Les autres grands bassins étaient inaccessibles, car ils étaient en train d’être purifiés, mais le petit bassin était propre.

Pamela, satisfaite, souffla encore sur le steward, qui s’effondra alors, inerte.

« En d’autres occasions, il aurait pu faire un bon Kite-Man pour s’occuper de toi, mais… Je te veux exclusivement pour moi. Allez, Franck, nourris-toi ! »

La plante bondit dans le petit bassin, et, même si l’eau était pleine de chlore, la plante ne tarda pas à grossir encore. Plusieurs pétales jaillirent au milieu, soutenant un énorme nénuphar qui se forma au centre du bassin. Des tentacules jaillirent également, ressortant du bassin. Évidemment, il n’y avait pas de terre là-dedans, mais Franck n’avait besoin que d’eau pour croître encore. Un magnifique nénuphar émergea donc, et Pamela sourit à Harley.

Elle l’embrassa une nouvelle fois, tandis que le centre du nénuphar s’ouvrait pour les accueillir.

« Maintenant, je vais te déshabiller, ma belle, et tu vas en faire de même, puis nous irons nous jeter là-dedans, et je te baiserai comme une furie pendant les prochaines heures à venir, toi et cet insolent corps que tu dandines à chaque fois sous mon nez ! »

Oh, ça oui, Ivy était décidément en chaleur, pour parler de manière aussi crue !
Se marier, donc… L’idée avait germé dans l’esprit de Félicia aussi vite qu’elle était apparue ! Du moins, en apparence… Car Félicia y songeait en fait depuis un certain temps. Ensemble, les deux femmes menaient une vie de couple délirante, un couple hors norme, mais c’était à cela qu’il fallait s’attendre avec une partenaire comme Félicia Hardy, après tout ! La jeune femme n’était de base pas faite pour une vie de famille bien rangée, elle était une éternelle jeune femme désirant cambrioler les autres, et, avec Aoki, elle avait exploré tout un pan de sa personnalité qui avait effrayé Peter à l’époque. Mais, avec Aoki, elle avait pu l’exprimer, et celle-ci s’était développée, prenant son envol. Le résultat final était là, incroyable, renversant. Félicia et Aoki avaient formé un couple sexuel qui avait progressivement évolué, et, maintenant, même elle ne pouvait nier qu’elle aimait Aoki.

Le mariage homosexuel était encore difficilement reconnu au Japon. La préfecture d’Iabaraki avait récemment fait grand bruit en reconnaissant un mariage homosexuel, rejoignant le mouvement de quelques communes japonaises ayant reconnu le mariage homosexuel par le biais d’un « partenariat enregistré », un document officiel permettant aux couples homosexuels de bénéficier des mêmes droits que les couples hétérosexuels.

La commune de Yoake autorisait aussi la délivrance de ces documents. Il y aurait donc un beau mariage, suivi d’une séance en mairie pour obtenir ce précieux papier. Félicia sourit doucement, tandis qu’Aoki, toute lovée contre elle, indiqua qu’elle souhaitait un mariage classique, avec une robe blanche.

« La Chatte Noire en robe blanche… C’est plutôt original, tu ne trouves pas ? »

Elle plaisantait, mais elle accepterait ça, bien sûr. Elle vit ensuite Aoki se lover contre elle, dissimulant ses larmes dans le creux de son cou. Félicia la caressait doucement, et décala doucement le visage d’Aoki, venant l’embrasser.

« Je veux bien mettre des jarretelles, si on porte des gants… Et des guêpières sous nos robes. »

Félicia lui sourit encore, et l’embrassa à nouveau.

« Avec de belles culottes blanches soyeuses… Je te ferai l’amour dans ta belle robe, ma Aoki… »

La Chatte Noire sourit une nouvelle fois. Elle adorait sa Aoki, mais le sexe finissait toujours par revenir. Et, là, c’était sans aucun doute ce qui allait se passer.

« Je crois qu’il faut aussi que je te remette une bague, non ? »

La bague de fiançailles s’imposait, en effet ! Félicia sourit alors, et l’embrassa une énième fois, avant de tendre son bras, et de récupérer une petite boîte. Elle en sortit une pilule rose.

« Mais, avant ça, je veux que tu me montres à quel point cette idée te fait plaisir, mon amour. Avale cette pilule, et baise-moi fort. Dis que tu m’aimes en me faisant l’amour, et, ensuite, je te mettrai la bague au doigt… »

Tout ça n’était pas très orthodoxe, puisqu’elle aurait normalement dû commencer par lui donner la bague avant de proposer le mariage, mais… Et bien, avec Félicia, on suivait rarement les règles, après tout ! Même ici, en ce moment, Aoki en avait une très belle illustration !
Le décor évoluait encore. Samara s’était renseignée sur le passé de Sya. Elle avait demandé des informations à Mélinda, qui lui avait dit que c’était un sujet glissant. Car Mélinda avait aussi essayé de soigner Sya de sa phobie des hommes. Le résultat avait été catastrophique, car Sya s’était refermée comme une huître, et il avait fallu de nombreux jours avant que Sya ne commence à sortir de son traumatisme. Mais la vampire était curieuse, et elle savait donc que, jadis, Sya était une Ange, une jeune Ange prénommée Nymph. Le reste, Samara l’avait appris en se rapprochant des cultistes de Lust. Lust avait recueilli Nymph, une Ange traumatisée suite à une bataille qui avait mal tourné, et qui avait perdu de sa noblesse en étant souillée par des hommes. Mais ce n’était pas ce passage qui avait transformé « Nymph » en « Sya ». Sa déchéance avait commencé ici.

Nymph était tombée, et Samara vit une fosse de cadavres. Des démons, des humains, des elfes, des nains.

« Où est Nymph ?
- Vous avez vu Nymph ?
- NYMPH ! NYMPH ! NYMPH ! »

Des corps s’étaient écrasés sous elle, après une violente explosion qui avait heurté Nymph. Elle avait ensuite été recueillie, après un séjour dans un village, par les cultistes de Lust, et était devenue Sya, un acronyme pour « Slave Yuri Angel ».

Mais là, elles étaient ailleurs, dans une pièce sombre, une sorte de crypte éclairée par des chandelles. Fatiguée, faible, amaigrie, Sya était retenue au mur par une chaîne magique, et, en voyant Samara se rapprocher, soupira faiblement. En regardant autour d’elle, elle voyait, à travers les barreaux de cellules, des flashs violents.

« Salope d’Ange !
- Hihihi ! Tu aimes bouffer des queues, hein ? Bouffe ça ! »

Des tisonniers brûlants s’enfoncèrent dans sa chatte, on la fouettait au sang, on la violait sans pitié.

Samara vit également une autre femme, une neko. Yuri ? Sya lui en avait souvent parlé. Elle était également torturée, et, pour abréger son calvaire, Sya devait coucher avec leurs geôliers, sucer leurs queues… Si elle refusait, alors il la fouettait, il la battait, et il l’humiliait. Elle y était donc. C’était le cœur de la névrose de Sya, de sa psychose qui la rongeait insidieusement.

La démone la rejoignit dans la lumière. Sya était paniquée, crasseuse, souillée. Quand elle tendit sa main, elle vit un geste de réflexe de Sya, un mouvement vers l’arrière, comme pour se protéger d’une gifle.

« Je ne vais pas te gifler, Sya… »

Elle caressa son visage, et s’agenouilla alors. Sa main se déplaça encore, et elle vit la chaîne, longue, solide, impossible à briser. Elle l’observa silencieusement.

« Sya… »

Samara tenta de la prendre dans ses bras, mais Sya protesta.

« Tu sais qui je suis, Sya ? Tu le sais, n’est-ce pas ? Je suis Samara. Je suis une Archimage démoniaque. Pendant des années, j’ai vécu dans la peur, avant de comprendre que c’était à moi de faire peur aux autres, pas l’inverse. Toi, Sya, tu n’es pas faite pour avoir peur, tu ne vis que d’amour. Un amour inconditionnel envers tout le monde. »

Samara resta encore à côté d’elle, agenouillée.

« Est-ce que tu crois en moi pour te protéger, Sya ? Est-ce que tu sais que je serai toujours là pour toi ? Car tu sais qui je suis, Sya. Dis-moi qui je suis… »

Il fallait qu’elle le dise, il le fallait !

Sa mère !

Hinata & Nora

Si sa femme voulait qu'elle agisse de la sorte, Hinata n'avait rien contre. Elle n'a jamais été très tentée par ce genre de jeu de rôle où il y avait des maîtresses, de même que le cuir, le latex, elle n'avait rien contre, mais elle n'en raffolait pas pour autant. Elle était plus fidèle à ses racines, préférant les kimonos, les belles tenues, et les dessous assez raffinés. Sans partir dans l'excès, elle aimait ce genre de petite culotte. Mais si sa chère et tendre avaient besoin de ça pour vouloir la mettre enceinte, alors Shunya sera sa « Maîtresse ». Jouant la petite neko, la reine était doucement en train de baiser la queue de Shunya en ponctuant ses phrases par divers miaulements pendant qu'elle se mettait au travail, tout ça pour lui faire plaisir et chercher à obtenir son bébé elle aussi qui grandira en elle pendant neuf mois.

« Mais j'aime aussi quand ma maîtresse jouit dans ma bouche... nyaaa, sa semence est si délicieuse. »

Hinata était d'accord avec son plan et oui, le bébé avant tout ! Elle qui voulait une grande famille, elle était plus que d'accord, mais voilà, elle avait aussi ses petits plaisirs et savoir que Shunya, sa Shunya, ne jouira pas dans sa bouche ou son petit cul, c'était un peu dommage. Mais bon, ce ne sera que temporaire. Tandis que sa maîtresse faisait preuve d'un peu plus d'autorité en tirant sur sa laisse pour qu'elle soit proche de sa queue, la reine neko entamait sa fellation en se délectant de son délicieux goût alors que Nora arrivait, dans une tenue en cuir pour venir cravacher son cul. L'ange n'avait que rarement fait preuve de violence en ce qui concerne le sexe. Pour lui faire essayer, mais à l'époque, ce n'était pas vraiment sa tasse de thé, avec Shunya, cela avait peut-être changé. De même que Nora n'avait jamais à chercher compliqué pour Hinata, elle était toujours nue pour lui faire l'amour, elle n'était pas de celle qui s’embêtait à mettre des petites tenues. Elle veillait sur elle, elle n'était pas là pour la séduire. Et ce « Majesté »était un étrange contraste entre sa politesse et la situation. Nora avait toujours tutoyé Hinata, entre elles, leur relation était presque comme deux sœurs, elle faisait preuve de ce genre de politesse en réunion avec d'autres invités de divers pays, pas en intimités. Mais bon, une initiative à elle ou de sa femme ?

« Mmmh, je vois que ma maîtresse aime me cacher des choses, nyaaaa... »

Ceci, le fiat qu'elle était enceinte, que va-t-elle encore lui avouer après tout ça ? Nora venait donc titiller son cul à coup de cravache pour lui demander d'agir plus vite, s'efforçant donc avec plaisir d'engloutir la queue de sa femme, lui pompant son sexe bien comme il faut, elle le faisait avec plaisir et délicatesse, non sans une pointe de perversion quand même, à gémir un peu plus que nécessaire et plus fort. La main de Shunya sur ses cheveux restait agréable et Hinata agitait exprès son petit cul autant pour que Shunya se régale – elle connaissait les points faibles de sa femme après tout – et que Nora se plaise à lui marquer le cul, cela plaira sans doute à sa maîtresse.

« Mmmmmmh mmmmmh ! Maîtreeeeeeeeeesse, nyaaaaaa ! »

Il fallait bien ça de temps en temps pour raviver la femme et rendre sa maîtresse heureuse. Neko, esclave ou autre, elle se faisait une joie de la sucer et s’impatientait de la voir prendre les choses en mains et venir lui faire l'amour. Hinata était comme elle, impatiente de voir sa femme la mettre enceinte, de grossir ensemble et qui sait, accoucher ensemble ? Ce serait vraiment très chouette. Actuellement, outre le fait de recevoir la semence de sa femme, son but était de l'exciter assez pour que Shunya vienne plutôt l'embrasser éventuellement, mais surtout vienne se servir de son sexe autrement. Reste à voir si sa femme va tenir parole et jouir entre ses jambes ou bine si elle va s'accorder une petite dernière fois dans sa bouche ?

Tessou

La jeune femme était toujours plus chaude qu'à son habitude. Avec Kara, elle voulait briser autant de barrière que possible, dire qu'elle se lâchait, c'était vraiment être gentil. Ce soir, Tessou ferait rougir des succubes. Et elle était bien déterminée à aller au plus loin, jusqu'à ce que son corps lâche et qu'elle s'endorme toute seule. Avec son héroïne, elle imaginait des choses qu'aucune personne ne pouvait faire. Elle s'imaginait accrochée à sa queue, juste retenue dessus pendant que Kara gardait ses mains dans le dos. Mais selon elle, ce n'était pas possible. Mais, le pénis n'est pas un muscle justement ? Qu'elle ne puisse pas détruire un tank en le biflant, oui, elle veut bien le croire, mais soulever une personne comme elle ? Pas possible ? Mais Tessou n'allait pas se laisser abattre si facilement, quitte à la titiller un peu...

« Oh, tu aurais peur ? »

Peut-être que ça fonctionnerait, ou pas. Elle ne verra pas qui aura raison, mais tant pis. Kara avait autre chose de prévus pour elle. Retournant l'embraser en la gardant contre elle, Kara s'envolait doucement, se retrouvant au-dessus du lit, faisant l'amour en l'air... s'envoyer en l'air, oui, c'est ça. C'était... spécial de voir le lit plus bas mais pourquoi pas, c'était une grande première pour elle ! Tessou se recula, sentant la queue de Kara le long de ses fesses alors qu'elle abordait un certain sourire facile à retranscrire...

« Oooh, tu veux me baiser dans les airs ? Mmmh, c'est pas pour me déplaire. Tiens moi bien alors, je ne voudrais pas tomber. »

Venant s'empaler sur sa belle et dure queue, Tessou profitait d'un léger baiser avec Kara avant de se redresser doucement. Le plafond était à porter de main et justement, elle allait s'aider de ce détail. Bien qu'elle commençait doucement en observant Kara au-dessus du lit, elle remuait doucement, augmentant doucement le rythme de plus en plus jusqu'à user de ses bras pour mieux remuer sur Kara. Ses mains au plafond, elle poussait avec pour mieux sentir sa queue se loger au plus profond de son être, gémissant toujours de plus en plus, sans aucune retenue.

« Haaaan ! Ma Kara ! Haaaan, ce que tu me baises biiien ! Remplis-moiiiii haaan ! Avec ta grosse biiite, ha encooooore ma chériiiie ! »

C'est sûr comparé à d'habitude où Tessou était plus subtil, plus douce, rendant leurs ébats quotidiens très doux, presque romantique, là, c'était une belle différence ! Son corps remuait sur le sien, les seins de Tessou bougeaient légèrement en rythme, mais son regard restait planté dans celui de son héroïne alors qu'elle se faisait prendre sur elle. A califourchon sur elle, ses jambes étaient dans le vide mais elle tenait bien sur Kara, dans le pire des cas, le lit était plus bas mais elle voulait détruire ce lit d'une autre façon que de tomber comme ça.

« Caresse-moi Kara... han vas-y, touche moiii... Ha, fesse moi comme une salope si tu veux, mais remplis moi la chatte ! Fait bouger tes couilles et baise-moi ! »

Relâchant le mur, elle s'allongeait sur elle à nouveau, l'embrassant en lui dévorant les lèvres, ses mains venait s'entourer dans son dos, lacérant son dos avec ses ongles même si pour Kara, l'idée d'avoir des marques de griffes était impossible, pas avec sa peau. La jeune femme était toujours de plus en plus sauvage et ça devait plaire à Kara. Qui n'aimerait pas après tout ?

« Retourne-moi... Je veux que tu me baises dans le vide... »

Pas de lit, de mur, de sol contre elle, juste elles, dans les airs... pourquoi pas !

Ai, Hamony & les Karistal

Pour Ai, bien habillée Luna – ou une autre – c'était rendre la soirée meilleure encore. Bon nombre de personne aime peut-être faire l'amour nu, tout simple en se fichant de ce qui couvrait leur corps, mais pas elle. La petite futa pensait avant tout à ça, à se demander comment sera sa partenaire, offerte à elle sur le lit ? Ou face à elle, prête à lui faire l'amour ? Elle avait bien des idées, des envies, mais elle ne pouvait pas se permettre de trop faire attendre, surtout une pareille neko qui adorait qu'on s'occupe d'elle. Ai en avait profiter pour rendre Luna encore plus belle ! Oui, c'est fou comme un peu de tissu pouvait faire des miracles ! Bine préparer, elle avait ses petites pattes avants prise dans sa guêpière, prisonnière de ce sublime piège.

« D'accord, Luna-chan. Mais appelle moi pas Dame Ai, je suis comme toi, je suis une esclave pour Maîtresse, je suis comme toi. »

Dit-elle en s'allongeant sur elle, ses mains caressant son visage si près du sien. Son corps écrasait son corps avec douceur, sa queue était tendue, écraser entre leurs deux corps. Ai l'embrassait doucement, laissant juste leur corps se frotter l'un contre l'autre pendant que leur langue se frottait l'une contre l'autre. Un peu de douceur dans ce monde ne pouvait pas faire de mal. Elle n'avait rien contre le sexe sauvage et vulgaire, elle aimait même plutôt bien, mais parfois, il fallait savoir varier les plaisirs et face à cette petite chatte si gentille, pourquoi choisirait-elle la manière forte ?

« Mmmh, la jolie petite Luna-chan à perdu de son mignon petit ventre ? Je vais être forcé de la remplir à nouveau alors. »

La petite futa se redressa, caressant son ventre qui gardait encore une légère forme ronde, Ai faisait preuve là d'autant de douceur que si ça aurait été Mélinda ou une des Karistal à ses côtés. Dans cette petite tenue, elle était très mignonne et toujours aussi sexy. Ai venait pointer le bout de sa queue face à l'entrée de sa petite chatte encore bien humide. Entre son excitation et sa semence qui coulait de sa petite entrée, pas besoin de lubrifiant. Elle s'y enfonçait sans mal, soupirant de plaisir en voyant Luna être sa propre prisonnière alors qu'Ai remuait doucement en elle.

« Mmmh, que tu es han, adorable, Luna-chan.... Tes maîtresses haaan, doivent être... si heureuse... »

Vu comment les Karistal choyaient leurs nekos, c'est sûr que Luna devait être traitée comme une princesse entre leurs pattes. Ai ne comptait pas se montrer fougueuse pour le moment, elle savourait la vue, ses petits miaulements, l'ambiance autour d'elles. Pourquoi aller si vite après tout ? Ai préférait prendre son temps et profiter de chaque instant en sa compagnie. Il n'y a que comme ça qu'elle profitait pleinement de ses ébats. Même si elle en profitait aussi quand c'était plus rapide, mais étant donné que là, le rythme était lent et doux, alors elle gardait ce rythme. Aucune raison de se presser. Les mains de la petite futa se baladait sur son corps, venant masser ses seins, alternant entre peau et tissu, une belle poitrine qui devait souvent être mise en valeur. Bien douce et tendre, Ai saurait quoi en faire si elle aurait Luna pour elle seule !

« Mmmmh, dis-moi, Luna-chan... Qu'est-ce que humm, tu préfères chez moi ? »

Son sexe ? Son attitude ? Son odeur ? Sa façon de parler ? Sa douceur ? Ses idées ? Elle pouvait dire tout et n'importe quoi.

Non loin d'elles, un autre couple faisait aussi dans la douceur, il faut dire que la semi-ange vivait là un doux rêve en faisant l'amour seule et tendrement avec la princesse de Sylvandell. Son amour secret. Son seul regret était de l'avoir rencontré trop tard, mais même si ça n'aurait pas été le cas, il aurait fallu vaincre sa timidité et ça, ce n'était pas une mince affaire. Se faisant prendre par la belle blonde, elle se laissait bercer par ses envies et ce petit confort rien qu'à elles. Peu importe ce qui se passait autour d'elles, elles n'avaient d'yeux que pour leur partenaire, c'est tout. Leur baiser était si agréable, il pouvait durer des heures, sans rien d'autre que leurs lèvres qui se pressaient mutuellement, elle adorait quand même. Bien évidemment, comme tout le monde, Harmony avait des envies à satisfaire, mais face à Alice, elle pouvait juste profiter de sa compagnie, sans forcément devoir agir pour la guider vers un acte sexuel.

« Mmmhhh aaaaah, Aliiice... »

La princesse se laissait aller, venant demander tant de choses d'un coup à sa partenaire alors qu'elle flottait sur son petit nuage. Oui, évidemment qu'elle aimait ça, bien qu'elle fut un tantinet étonnée de l'entendre lui demander de lui pincer le cul, mais soit, pour elle, ça aurait un peu été hors propos de ce qui se passait, mais si elle aimait ça, pour elle, ça collait ensemble. Cependant, quand elle posa la question piège, son regard se fit un peu plus grand, surprise par une telle question ! Elle ne pouvait pas réfléchir à une telle question maintenant ! Même hors sexe, la question aurait été difficile à répondre. Pouvait-elle dire la vérité alors que ses sentiments envers Alice venaient peut-être dérégler la balance entre elle et Mélinda ? Dans l’immédiat, elle dirait bien Alice, aussi douée et douce que pouvait être sa maîtresse, Harmony éprouvait des choses pour la princesse qu'elle ne ressentait pas pour Mélinda, pas à ce point-là. Et en retirant l'amour pour Alice dans tout ça ? Ça restait tout de même une question piège...

« Hmmmm haaaaa j-je... je ne sais paaaaaas.... »

C'était un coup bas de lui demander ça, surtout maintenant. Mais même si Harmony continuait de gémir sous les mouvements de la princesse, elle tentait de ne pas oublier ce qu'Alice voulait et tentait de pincer ses douces fesses de temps à autre même si avec tout ce plaisir, parfois ses pincements étaient plus de légères griffes raclant sa délicate peau royale. Continuant de se noyer dans le plaisir qui la noyait encore et toujours, elle continuait malgré tout d'essayer de peser le pour et le contre pour différencier Alice et Mélinda mais ce n'était pas une question facile. Venant attraper son visage pour l'embrasser fougueusement, elle rompait ce dernier pour lui donner une réponse discrète, mais présente, en espérant que sa maîtresse ne l'entendrait pas. Elle ne voudrait pas créer de jalousie pour avoir été « sincère ». Là encore, elle ignorait si ce qu'elle allait répondre était sincère ou non ?

« Mmmh, toi, Alice... C'est toi... »

Ce qui était en quelque sorte une mini-déclaration, car elle la mettait plus haute que Mélinda. Rougissant à cette déclaration – même si cela ne se voyait pas tant elle rougissait déjà tant – elle reprenait son baiser, ses mains ayant cessé de la pincer, elle ne faisait que presser ses fesses pour mieux la maintenir contre elle, pour mieux la sentir en elle. Harmony était si heureuse de partager ce moment plein d'amour avec l'élue de son cœur, bien qu'elle savait que cela était à sens unique. Elle s'en contenterait. Elle ne pouvait pas la forcer à l'aimer, ni à oublier son fiancée pour elle, jamais elle ne voudrait une telle chose, ainsi est la vie, elle a rencontré Alice trop tard, elle finira tôt ou tard par tourner la page des sentiments d'Alice et trouver un jour ou l'autre une autre personne pour y trouver là tout son amour...

Quant aux Karistal, elles étaient les principales invitées de Mélinda, elles jouaient avec le couple Warren et cela plaisaient aux unes comme aux autres.Après avoir passé un moment pratiquement coller à leur sœur avec une des Warren dans leur dos, il était temps de varier un peu. Elles proposèrent donc de juste rester côte à côte et faire l'amour ensemble. Comme ça si une des vampires voulait se pencher sur l'autre Karistal pour l'embrasser ou jouer un peu avec, pas de problème ! Et puis les jumelles pourront aussi voir comme ça les Warren se prouver aussi leur amour. Mais cette fois, les vampires aussi variaient leur partenaire, Mélinda allait prendre soin de Yuka et Yuko sera avec Vanilla. Pourquoi pas après tout ! Les jumelles voyaient le couple s'embrasser avec passion et tendresse, elles, elles étaient restées sages à juste profiter du spectacle. Mélinda se pencha sur Yuka pour l'embrasser et cette dernière l’accueillait à bras ouvert, lui offrant un tendre et délicat baiser, tout en ronronnant contre elle. Yuko aussi acceptait le baiser de Vanilla, mais elle était plus joueuse que sa sœur. Attrapant la vampire, elle l'embrassait de façon plus fougueuse en laissant ses petites griffes passer dans le dos de la belle vampire.

« Nyaaaan, Maîtresse... vous aimez, nyan, ma petite chatte ? »
« Owi Maîtresse, prenez-moi, s'il vous plait... »

Deux nekos, deux ambiances, mais un seul vrai plaisir pour autant. Malgré leurs similitudes physiques, elles étaient bien différentes et dans un sens, tant mieux, elles avaient tant à offrir aux Warren.

Kiriko

Tout cela n'était même plus faire l'amour, ça devenait rapidement un véritable gang-bang, on aurait même pu dire un viol, mais pour ça, il faudrait que la Celkhane ne soit pas consentante et au contraire, elle adorait tout ça. Assise sur sa queue, une seconde Sha ne tardait pas à combler son trou arrière avec plaisir. Sa puissante verge glissait en elle pendant que sa propriétaire se collait à Kiriko, la caressant en l'embrassant. Quant aux deux autres, elles avaient apparemment le rôle le moins drôles car juste les mains de la Celkhane glissaient dessus, passant sur leurs longues verges, leurs délicieuses burnes bien remplit mais qui à dit que seulement ses mains allaient servir ? Sans demander, sans douceur, la tête de Kiriko était happé vers une des verges, la forçant à avaler cette longue et grosse queue jusqu'à la gorge, subissant leur amour à la façon de Sha. Elle ne pouvait leur refuser une telle demande, elle avait beau être sa femme, elle restait aussi sa chose, que Sha la prenne pour un sac à foutre où un urinoir, elle subissait et avec joie. Elle aimait Sha et rien ne lui fera dire le contraire.

« Mmmgggggrrrrrr !! »

Tirée par les cheveux, elle reprenait son souffle entre deux gorges parfondes avec deux queues différentes, laissant sa salive couler le long de son menton pendant que la déesse se plaisait à aimer sa femme avec tant d'amour et de violence. Car les deux premières Sha n’étaient pas inactif, elle sentait bien leur plaisir pilonner ses orifices, l'une la prenait presque normalement, laissant ses doigts marqués ses hanches tandis que la Sha dans son dos jouer avec sa poitrine en tirant ses tétons, les pinçant avec un certain plaisir. La Celkhane n'avait même pas l'occasion de dire quoi que ce soit, elle était leur chose. Et pourtant, dans sa grande bonté, Sha lui laissait le temps de reprendre son souffle, à la seule condition que ses mains remplacent sa bouche. Quelque peu essouflé, mais loin d'être vaincu, elle levait le menton vers une des Sha, la regardant avec un large sourire...

« Mais je l'aime déjà, haaaan... Ta belle grosse bite... »

Attrapant Sha par la queue, elle la tirait vers elle pour l'avaler sans son aide, venant lui faire cogner au fond de sa gorge pendant qu'elle branlait plus activement l'autre Sha qui ne devait pas être délaissé pour autant. De doux bruits étranges sortaient de sa bouche avec cette queue au fond de sa bouche, sa salive coulait parfois jusqu'à tomber sur la Sha sous elle alors qu'elle reprenait son souffle avant d'en faire de même avec l'autre Sha, inversant ainsi les rôles. Mais Kiriko n'allait pas oublier ses deux autres femmes qui occupaient déjà les orifices les plus importants. Bien qu'elle relâchait les queues, elle se couchait sur Sha, l'embrassant tendrement en laissant celle dans son dos en profiter un peu de cette position pendant que ses mains caressaient le visage de sa déesse.

« Vas-y, chérie... Remplis moi la chatte... Bourre-moi de toute ta puissance... Et fait-de moi une femme cascade ! »

La femme fontaine, ce serait bien trop doux, Kiriko comptait jouir comme jamais avec son amour multiplié par quatre ! Se redressant, elle se lovait contre sa femme, leur baiser était plus similaires à des coups de langue, mais le plaisir était là alors qu'elle se faisait pétrir la poitrine par elle.

« Encule-moi de toute tes forces... Défonce-moi le cul, haaan... Je veux que ce soit ta plus belle, haan, huuummm... et la meilleure sodomie que tu puisses me donner... »

Ce n'était pas un ordre, mais une demande de sa plus fidèle disciple, prêtresse, femme, peu importe. Maintenant que chacune avait eut son petit mot, sa petite attention, elle reprenait son travail manuel, faisant approcher les deux Sha debout, de façon à avoir ses deux queues justes sous son nez, elles se touchaient même tant elles étaient proche. Demander une double fellation n'était pas idéal, les deux ne pouvaient pas rentrer en même temps, ce ne serait pas un plaisir optimal, mais elle pouvait ainsi changer plus rapidement. Et pendant qu'une visiter sa bouche, l'autre pouvait la bifler pour réclamer un peu plus d'attention. Kiriko était au paradis. Son paradis.

Harley

Il n'y avait qu'elle pour nommer les choses qui, logiquement n'avaient pas besoin de nom... Après tout, dans son quotidien, il y avait Bernie. Ce sympathique Castor empaillé qui en a vu de toutes les couleurs alors que bon, c'est un castor empaillé... Mais elle, elle bavardait avec lui et ce discours n'était pas à sens unique, il lui répondait ! Mais personne d'autre n'entendait leur dialogue. Enfin bref, Pamela ne cherchait pas plus loin et accepta donc le nom officiel de Frank. Parce que c'était plus simple d'accepter ce genre de choses de la part de l’arlequin que de la raisonner. Cependant, Pamela venait la piquer légèrement en disant que Chloé aimait dormir dans Franck, toute seule, elle. Face à cela, Harley gonflait ses joues comme un écureuil voulant faire ses réserves en venant donner des coups-de-poing aussi puissant que ceux d'un nouveau-né sur l'épaule de sa jardinière.

« Bouuuuh ! Moi, je dis ça pour passer du temps avec toi ! »

Oui... et non. L'idée de faire ça avec Pamela était tout de même bien plus intéressante que faire ça toute seule, Harley n'était à vrai dire pas très chaude à l'idée de rester seule dans Franck pendant que Pamela restait dehors. Ça lui faisait penser à ce genre de parents qui joue à cache-cache avec leurs enfants, mais font semblant de les chercher pour avoir la paix quelques minutes. Mais soit, Pamela accepta l'idée, mais il fallait juste changer d'endroit pour ça. Donc, Harley devait bien s'habiller pour ça, évidemment, de façon sexy voulait dire Pamela. De manière sexy donc ? Harley allait fouiller dans ses valises pour trouver quelque chose qu'elle avait prévue pour plus tard mais pas le temps de bien choisir, c'était suffisament sexy. Elle prit la peine de se changer dans la salle de bain pour garder un minimum la surprise et elle en ressortait en... Bunny girl sexy !

« Ta-daaaaaaaa ! Assez sexy pour toi, ma jolie plante ? Prends garde à ce que je vienne pas grignoter ton petit buisson. »

Aucun risque, Pamela était très épilé de ce côté-là, mais bon, fallait bien une image amusante et sexy. Puis avec sa rouquinitude, ça aurait pu ressembler à des carottes rapé, et même le dernier des imbéciles sait que les lapins raffolent des carottes. Prenant sa main, elles allaient ensemble en dehors de leur chambre pour commencer leur petit voyage vers... Bah ça, seule Pamela savait où elles allaient ? En chemin, un idiot avait tenter de leur bloquer le passage mais à moins d'être un robot, pas de chance à ne pas succomber aux charmes de la jardinière qui en fit son petit toutou qui les menaient directement vers une grande piscine. Une fois sa tâche accomplit, il finissait en serpillière sur le sol, et Pamela la taquinait de nouveau en suggérant qu'il ferait un bon Kyte-man ? Ce type était une blague ambulante ! Harley voulait bien croire qu'à Gotham, certains parrains ou criminels avaient des noms qui ne faisaient pas spécialement peur... Le Pingouin ? Un pingouin, c'est mignon et gentil, pas effrayant. Alors un cerf-volant... Puis bon, holala, attention, c'est le terrible Kyte-man, protéger votre argent, vos enfants, vos femmes ! Est-ce que ce type avait réussi un seul mauvais coup ? En entendant ça, Harley levait les yeux au ciel en soupirant.

« Vraiment ? Je vais croire que tu cherches à m'éviter, Pamy-chérie... Chloé va toute seule dans Franck, Kyte-man aurait pu s'occuper de toi... Mon petit cul n'est plus aussi tentant que ça ? »

Non, Harley ne faisait pas une scène, elle cherchait à refaire pousser les épines de sa petite rose. Harley aimait sa belle rose sans épine, belle et douce, mais parfois, se pique dessus était aussi amusant. Mais Pamela comptait la baiser au centre de ce Franck nénuphar, mais avant, elle voulait la déshabiller pour ça. Pourquoi pas. Mais Harley venait l'embraser de force avant ça avant de relâcher son emprise.

« D'accord, ma jolie rose... Mais je te déshabille d'abord. Le lapin contre la salade, c'est le lapin qui gagne après tout. »

Venant caresser son corps caché par toute cette verdure, elle passait plus de temps à caresser son corps qu'à en retirer ses diverses couches vertes dessus, mais doucement, Pamela se retrouvait nue comme au premier jour, ce qui excitait le joli lapin devant elle. Après tout, les lapins sont connus aussi pour avoir beaucoup d'enfants, est-ce que ça suffira à faire de Pamela une vraie mitraillette à bébé ? Est-ce que ce costume magique typique d'une White Rabbit allait faire qu'elles allaient faire d'une pierre neuf coups, comme ça Harley aurait battue le record de l'accouchement avec le plus d'enfant ? Quoique neuf d'un coup, ça serait vraiment éprouvant pour une première fois ! Tant à l'accouchement que pour les faire grandir... Alors, est-ce que Pamela va réussir cet exploit et avoir son nom avec celui d'Harley dans les records mondiaux ? Caressant son corps, elle avait titillé ses tétons avec ses doigts, ses petites dents avant de descendre plus bas pour ne rien trouver entre ses jambes. Pamela était élégante, son gazon était toujours propre et lisse, mais pour le coup, Harley aurait aimé y voir son petit plan de carotte râpé.

« Bouuuuh... Comment tu vas satisfaire ta jolie lapine s'il n'y a pas de carotte râpé à brouté par ici, hein ? »

Oh, il y avait une réponse simple à ça, faire pousser une belle carotte ! Bien mieux que des carottes rapé, mais Harley voulait voir si son joli potager allait y penser toute seule ? Après tout, le sourire qu'avait Bunny Harley prouvait qu'elle avait déjà prévu la suite. N'étaient-elles pas ici pour ça ? Continuer de voir si Harley aurait un joli ventre rond pour leur mariage ?

Aoki

Felicia était vraiment pleine de surprise. Aoki ne s'était pas attendue à ce qu'elle parle de couple, pour elle, ça tombait sous le sens même si là, ça faisait plus officiel au moins. Mais le pire étant que sa partenaire parle de mariage. Ça, elle ne l'avait pas vue venir ! Les seules fois où elles ont parlé mariage, c'était pour se faire l'amour dans de belles robes de marier, mais ça ne comptait pas vraiment, car il y avait aussi les fois où Aoki avait parler d'avoir un costume de policier pour mettre les menottes à sa voleuse ou une tenue d'infirmière pour prendre soin d'elle. Bref, un fantasme costumé parmi tant d'autres. Mais vu qu'elle était sérieuse, Aoki n'allait pas se faire attendre et acceptait avec une grande joie ! Même si cela finira dans une nuit de noce pleine de débauche, elle voulait une cérémonie magnifique, de belles robes blanches, de belles fleurs, bref, que tout soit parfait, comme n'importe qui voulant se marier. Bien entendu, il y aurait de belles surprises sous les robes, mais c'est le genre de chose que seules les mariées sauront.

Embrassant Aoki, Felicia rajoutait toujours de petites choses supplémentaire à la liste, des idées intéressantes cependant donc ce n'était pas plus mal dit comme ça. La voleuse venait cependant parler de bague, ce qui, oui, était logique, et même conventionnel de faire même si la bague venait logiquement avant la demande. Mais en la voyant tendre le bras vers une petite boite, Aoki s'attendait à voir la bague, preuve que sa partenaire y pensait déjà depuis un moment et avait profité de ses vacances et ce décor de rêve pour faire sa demande ? Mais non, pas de bague, juste une petite pilule qu'Aoki avait déjà vu de nombreuses fois. Même si Felicia n'avait plus besoin de ça depuis son opération, ça lui arrivait d'en donner à Aoki, même si c'était très souvent la Balck Cat qui gardait la laisse en main. En gros, elle voulait qu'Aoki la prenne et après, elle aura sa bague... donc, Felicia avait quand même prévue le coup depuis un moment, ce n'était pas une simple idée en l'air ?

« D'accord, mais on fait ça au lit. Promis, je t'en mettrais pas partout. »

Sinon, c'était repartie pour un bain et une nouvelle séance et, bref, c'était un cercle vicieux. La pilule rangée dans sa boite, Aoki sortait de l'eau, suivi de sa future fiancée qu'elle embrassait à nouveau, collée à elle pendant que sa serviette lui passait rapidement dans le dos. Au moins se sécher, quitte à avoir les cheveux humides, ce n'était pas très grave, au moins le corps, que le lit ne soit pas une piscine en s'écroulant dedans. Une fois prête, Aoki allait piocher quelque chose dans sa valise, voulant quand même se faire belle pour ça, pas uniquement nue, même si ça aurait pu convenir. Elle confisqua par ailleurs sa pilule, afin d'être prête à ce niveau une fois qu'elle aura enfiler cela. De cachant derrière une porte de placard, elle ne savait pas si sa chérie allait se préparer aussi ou juste l'attendre. Car quand Aoki annonçait son arrivée, elle était dans une belle lingerie mauve, en plus d'avoir entre ses jambes une belle bosse qui criait pour vouloir la liberté ! Mais Aoki se faisait souffrance quelques instants car la suite sera merveilleuse. Allant voir son amour, elle se mit à quatre pattes au-dessus d'elle, lui volant un baiser, tendre et savoureux...

« Tu es sûre de vouloir ça ? Je sais combien tu aimes me soumettre après tout. »

C'était déjà arrivée qu'Aoki prenne le contrôle, mais c'est sûr que si on fait le compte, il était loin d'être égal. Puis Aoki n'était pas dérangé à ça, elle aimait sentir cette main de fer dissimulé dans ce gant de velours. Retournant l'embrasser, elle ne la pénétrait pas tout de suite, mais elle ne se privait pas de déjà lui exprimer son amour même si elle sera loin de tout lui avoir dit ce soir. Elle avait tant à lui dire pour lui exprimer tout son amour.

« Si tu savais combien tu me rends heureuse, Feli-nyan... Je n'aurais pas cru ça possible... »

Elle en était encore un peu retournée par son annonce, les larmes revenaient, et sa gorge se nouait. Mais elle n'allait pas échouer, elle lui ferait l'amour jusqu'à ce que sa queue soit vidée de son énergie ! Et encore, elle pourrait continuer plus simplement par la suite.

« Je t'aime, ma Felicia chérie et je te rendrais heureuse, à jamais. »

Sya

Tout le monde à sa part d'ombre. Une ombre qui reflète ce qu'on est et qu'on cache, car nous avons peur du regard des autres. Mais parfois, cette part d'ombre n'était pas de nous, c'était une faute, un traumatisme, quelque chose que l'on avait vécu et qu'on enterrait si profondément, qu'on recouvrait avec tant de terre que ça en devenait une montagne. Le genre de chose qu'il ne fallait pas déterrer, car ce n'était que souffrance à vrai dire. C'était le cas de Sya. L'ange la plus joyeuse du monde, vivant dans la luxure totale mais toujours heureuse de se sentir enchaîner à une nouvelle maîtresse, de lui faire plaisir en étant une vulgaire poupée sexuelle, un sac à foutre à peine bon à recevoir leur semence. Mais toujours dans la joie, même quand elle devait jouer l'innocente ange encore pure violé par une méchante vampire ou une puissante démone, elle pleurait et criait, mais ce n'était qu'un rôle, car Lust et ses prêtresses ont bien élevé Sya et elle était très douée pour ça, elle n'était pas l'ange de Lust pour rien. Mais voilà, aussi joyeuse et débordante d'énergie, aborder le sujet des hommes, c'était couper court à tout cela. Cela faisait partie de ses trois règles de bases. Pas de blessures pouvant entraîner la mort ou un coma, pas d'homme et pas de bébé sans son autorisation. Oui, à l'origine, ce n'était pas de bébé, mais depuis qu'elle est maman, elle voulait presque un bébé avec chacune de ses partenaires.

Mais revenons-en aux hommes. C'était son seul interdit en sexe. On pouvait l'humilier, lui faire bouffer de la merde, lui vomir dessus, même si elle n'aimait pas ça, elle pouvait sourire pour le plaisir de ses maîtresses, mais jamais on ne lui fera coucher avec un homme. Samara tentait de corriger ça chez Sya, mais y arrivera-t-elle ? Le simple fait d'aborder le sujet privait Sya de ses envies de luxure et elle disparaissait parfois pendant quelques jours avant de revenir finir son contrat qui la liait à sa maîtresse. Mais ça, non, pas question. Samara plongeait de plus en plus, grattant la surface de tout cela, le moins dangereux à découvrir, Nymph cette ange qui ressemblait en tout point à Sya, la luxure en moins, sa disparition, sa petite taille n'ayant pas aidé à la retrouvé. Assommé et bloqué sous une pile de cadavres, c'est presque une chance que personne n'ai brûlé cette pile de cadavres directement. Mais elle eut la chance d'en être sortie, d'avoir trouvé des gens pour l'aider, elle et son amnésie et être formé par de bonnes personnes. Hélas, il y eut un couac dans leur formation et elle avait attérit au mauvais endroit, où le plaisir laissait place à la douleur et au malheur. Comment pouvait-elle trouver du bonheur dans tout cela ? C'était impossible.

Mais elle subissait tout cela pour aider une neko qui était à ses côtés. C'était peut-être aussi pour ça qu'elle aimait tant Iinari et Saikai ? Elles lui rappelaient cette pauvre neko que Sya a tenter d'aider comme elle pouvait ? Quoiqu'il en soit, ici, ce fut Samara qui venait à elle et forcément, elle se reculait comme elle pouvait pour ne pas l'approcher, se protégeant avec ses petits bras comme elle pouvait. Elle avait peur. Qui elle était ? Pourquoi elle venait la voir ? La démone tentait de lui parler, de lui dire quelque chose, mais elle avait si peur. Quelque part, son visage ne lui était pas si inconnue, mais sa peur lui dictait de ne pas approcher, de ne pas parler et pourtant, elle l'observait en attendant quelque chose, mais elle ne savait pas quoi ? Cette démone lui demanda au final, si elle savait qui elle était ? Elle avait dit Samara, une archimage non ? Elle devait le dire ? Ou c'était autre chose à dire ? Elle ne savait pas quoi répondre...

Son regard effrayé était posé sur elle. Cette démone avec ses longues cornes. Sa peau-rouge. Sa tenue essentiellement faite de cuir. Sa voix quelque part, douce et chaleureuse. Ses ongles pointus. Ses yeux jaunes. Ses tatouages. Ses cheveux noirs. Sa queue caudale. Elle ne saurait dire pourquoi mais un vague sentiment de bien-être émanait d'elle. Au cours de sa formation – et de son amnésie – elle ne voyait pas les démons comme le mal absolue, du moins, pas les démones. Elle... elle n'avait rien contre les femmes, elles étaient toujours pleines de douceur et de gentillesse avec elle. Les prêtresses poneys la chouchoutait gentiment quand elle jouait avec elles. La grande déesse Lust était douce avec elle et pouvait souvent dormir avec elle – non pas s'en lui faire l'amour – et même les autres prêtresses ou élèves comme elle, toutes les femmes étaient gentille avec Sya. Et ici, ici, les hommes étaient méchants et pas qu'avec elle, Yuri aussi était malheureuse à cause d'eux. Elle ne voulait pas voir des hommes se rapprocher des femmes, ils faisaient du mal aux femmes, et même entre eux. Les hommes n'étaient bons qu'à ça, faire souffrir tout ce qui pouvait vivre. Ils ne méritaient aucun bonheur... Mais elle s'éloignait de ce que voulait cette Samara.

Cette Samara se proposait de la protéger car elle était... elle était... une démone ? Une archimage ? C'était vai, mais elle savait que ce n'était pas le mot à dire, la réponse était ailleurs... Mais où ? Pourquoi la démone voulait la protéger, elle la frêle ange malheureuse ? À voir son regard et sa main tendue, on aurait sa...

« Ma... M-maman ? »

Toujours apeuré, ce mot semblait alléger ses souffrances face à elle, ce mot semblait être une nouvelle route qui se dessinait devant elle, jusque-là invisible... Elle voulait la sentir contre elle, dans ses bras.

« Maman. Maman ! Maman ! Maman, aide-moi !!!!! Maman !!!! Maman !!!!! »

Malgré son peu de force, elle se débattait, tirait sur cette chaîne pour tenter de se rapprocher de Samara, qu'elle espérait ne pas être une illusion. Elle voulait quitter ce cauchemar !

Honnêtement, il semblait peu probable que ce jeu de rôles dure même toute la nuit ! Shunya était un peu comme Hinata là-dessus, et avait bien du mal à s’imaginer en autre chose qu’une femme aimant faire l’amour dans de beaux vêtements… Mais elle avait sans doute un petit fantasme inavoué sur le bondage et les tenues moulantes. Et puis, cette soirée était une soirée spéciale, après tout ! C’était l’occasion d’expérimenter des choses qu’elles ne feraient jamais, comme voir sa Hinata se faire passer pour une petite chatte ! Elle pompait son dard, tandis que Nora venait de les rejoindre, et fessait le petit postérieur rebondi d’Hinata.

Shunya se pinça les lèvres, serrant sa main sur la tête d’Hinata, soupirant longuement. Sa tête se redressa vers l’avant, et elle remua doucement, venant claquer sa queue contre la bouche d’Hinata. Shunya soupira encore, et sentit soudain la main de Nora caresser ses cheveux. L’Ange se pencha vers elle, et l’embrassa alors.

« Hmmm… »

La guérisseuse et jeune Reine gémit longuement, se dandinant sur place, sentant le baiser appuyé de Nora, qui posa sa main sur la tête d’Hinata, et la força à une longue gorge profonde. Et, quand Nora rompit le baiser, après plusieurs longues secondes, Hinata put sentir la verge de Nora contre son visage.

« Non, non, Hinata, Shunya ne jouira pas dans ta bouche… Si je suis venue ici, c’est aussi pour m’assurer que tu sois enceinte ce soir…
- Oui, hhhmmm… »

Nora utilisait en réalité sa magie pour que Shunya se tienne, car, dans le cas contraire, elle se serait assurément déjà relâchée depuis longtemps ! Shunya finit par retirer sa queue, un peu tremblotante, puis se pinça les lèvres.

« Allez… Nora, aide-moi… »

La suite semblait évidente. Hinata dut s’occuper de la verge de Nora ensuite, pendant que Shunya s’amusait à frotter sa queue pleine de la salive d’Hinata sur son visage. La Reine alternait entre les deux femmes, jusqu’à ce que les verges soient bien épaisses, et prêtes à s’enfoncer en elle. Les deux femmes s’écartèrent ensuite, se mettant l’une devant Hinata, et l’autre derrière… Avec, bien évidemment, Shunya sur le devant, sa verge face au visage de la Reine !

Nora aida ensuite Hinata à se relever, et Shunya alla embrasser sa femme, l’enlaçant ensuite. Ce fut un baiser plein d’amour, langoureux, où sa langue se mélangea à la sienne.

« Hmmm… Je t’aime, ma Hinata… Mais il est l’heure de te baiser très fort, et Nora va te prendre par l’arrière… »

Shunya reprit ensuite le baiser pendant quelques instants, et se mordilla les lèvres, visiblement très impatiente à l’idée de pouvoir la pénétrer plus énergiquement, et, avec l’aide de Nora en prime !
Cette Tessou complètement déchaînée plaisait effectivement à Kara… Autant qu’elle l’inquiétait ! Une telle envolée, c’était réellement inattendu, surprenant fortement la jeune femme ! Elle s’éleva donc, jusqu’à se rapprocher du plafond. Le démon continuait à posséder Tessou, qui posa alors ses mains sur le plafond. Elle gémit alors, se pinçant les lèvres, et se servit du plafond comme soutien, avant de se laisser aller, filant de haut en bas. En soi, Kara doutait d’avoir une super-verge, car, si tel était le cas, elle aurait déjà pu craindre de briser les reins ou l’utérus de Tessou en lui faisant l’amour ! En tout cas, sa queue était bien dure, un bâton dressé, vit turgescent et assoiffé qui croissait au fur et à mesure que la policière dansait dessus.

« Han, Te-Tessou, hmmm… »

Elle ne pouvait pas lutter, c’était impossible ! Tessou était bien trop belle, bien trop magnifique ! Et si vulgaire ! Rien ne semblait devoir l’arrêter, tandis qu’elle continuait à danser, ordonnant à sa chérie d ejouir en elle. Kara crispa ses mains sur son cul, se pinçant encore les lèvres.

« Putain, tu es si belle, Tessou, merde ! »

Kara la gifla doucement… Ce qui, venant d’elle, était beaucoup dire ! Sa force était là, après tout, et Tessou remua d’avant en arrière, crachant sa salive, gémissant encore fortement. Tessou gémissait encore, et Kara se pinça encore les lèvres. Tessou était si énergique, sa policière remuait si fortement que… Kara se relâcha dans un soupir. Sa queue tressauta sur place, et elle se mit alors à jouir, relâchant sa chaude semence dans le corps de Tessou.

Cet orgasme la laissa fébrile, mais la policière était encore loin d’en avoir fini avec elle ! Elle s’allongea soudain contre Kara, lovant son corps au sien. La main de Kara glissa sur les cheveux trempés de sa femme. Les deux étaient en sueur, et s’embrassèrent encore, tandis que la Kryptonienne maintenait la pression, flottant encore en l’air. Tessou, après ce baiser, demanda alors à Kara de la retourner, et de la prendre en l’air, encore.

« Hmmm… Tu aimes vraiment varier les plaisirs, toi… Enroule tes jambes autour de ma taille, alors ! »

Quitte à s’envoler en l’air, Kara la laissa faire, et, quand Tessou se fut bien enroulée, la Kryptonienne enfonça sa trique dans sa chatte à nouveau, et se crispa contre elle. Une main sur sa nuque, l’autre en soutien sur ses fesses, elle s’en servit, bandant ses muscles pour la faire remuer d’avant en arrière. La Kryptonienne sortit ensuite par la fenêtre, et s’envola alors, souriant doucement.

« Toi qui voulais baiser en plein air… Te voilà servie, toute la région va entendre tes hurlements, hmmm… »

Kara la maintenait encore contre elle, tout en s’envolant encore, surplombant la mer cristalline entourant Uatis. Ainsi positionnée, elle posa sa main sur le fessier de Tessou, et continua à remuer en elle. Les mouvements étaient longs et profonds, car, somme toute, Kara disposait d’une amplitude assez faible pour pouvoir pénétrer Tessou aussi bien que celle-ci le méritait. Soupirant encore longuement, elle apposa son front contre le sien, et continua à danser sur elle, sous les étoiles nocturnes.

La Kryptonienne gémit une nouvelle fois.

« Oh, Tessou, je… Je t’aime, ma belle ! »

Ai invita Luna à ne pas l’appeler « Dame Ai », car elle était, comme elle, une esclave. Sage et obéissante, la neko hocha la tête, les joues doucement rouges. Elle se pinça ses petites lèvres avec ses dents, remuant doucement sur le lit. Luna aimait beaucoup le sexe. Pour elle, c’était comme lui faire un câlin, et la petite chatte raffolait des câlins ! Luna ronronnait furieusement, et hocha la tête en sentant la verge d’Ai contre ses cuisses.

« O-Oui, Esclave Ai, nyyuu… Luna essaie d’être la neko la plus adorable possible pour ses Maîtresses… »

Pendant beaucoup de temps, Luna avait été la neko de Maîtresse Mélinda, avant que celle-ci ne consente, non sans regrets, à la donner aux Maîtresses Karistal. Se débarrasser de Luna était toujours une épreuve, tant la neko était adorable ! Belle et mignonne, elle avait tout de la délicieuse poupée sexuelle qu’on aimait autant grattouiller et câliner que de lui faire l’amour. Le fait est que cela avait été un déchirement aussi pour Luna, avant qu’elle réalise progressivement que ses Maîtresses étaient formidables. Depuis, Luna était l’esclave la plus heureuse du monde ! Même avec Dame Only, une neko qui ne l’aimait pas initialement, elle était en train de se réconcilier. On ne pouvait tout simplement pas résister éternellement aux charmes et aux avances de Luna !

Face à elle, Ai la pénétra alors, tout en s’allongeant lentement contre elle. Elles faisaient l’amour sur le lit, et Luna crispa ses mains le long de ses hanches. Les nœuds retenaient ses poignets, et elle releva sa queue caudale, l’enroulant autour de la taille d’Ai, avant de gémir doucement quand elle sentit son membre s’enfoncer en elle.

« Nyyyuuu… Mraaaww… »

Oh, que c’était bon ! Elle sentait ce membre venir la remplir à nouveau. Et c’était ça qu’elle adorait, ce sentiment de remplissage, de complétude, une union totale. Elle rougit encore, et ronronna furieusement, sentant ses tétons se durcir, tandis qu’Ai accélérait rapidement. Elle posa ses mains sur ses épaules, et la neko gémit doucement. Elle ferma les yeux pendant quelques secondes, frustrée de ne pas pouvoir serrer avec ses mains le corps d’Ai.

Celle-ci lui demanda alors ce qu’elle aimait avec elle. Luna rouvrit les yeux en souriant lentement, et hocha la tête.

« Nyuu… Luna… Luna aime beaucoup de choses sur toi, Madame Ai… Ta douce odeur, ton énergie bondissante, cet entrain dont Madame Ai fait toujours preuve, mrraaaww… Mais… Nyyyuuu… Luna n’a jamais été très portée sur les vêtements… »

Elle était originaire d’un clan où personne ne s’habillait, une naturiste qui avait peu à peu appris la civilisation, et notamment le fait de se vêtir. Mais ce n’était finalement qu’avec Ai que Luna avait appris à aimer le fait de porter des vêtements, à trouver cela sexy, et non étouffant et collant. Rougissant encore, c’est ce qu’elle rajouta finalement, de sa petite voix fluette :

« Luna doit à Madame Ai le goût de porter des vêtements, de doux vêtements soyeux et fins, finement brodés, si doux et agréables… C’est… C’est ça que Luna aime le plus chez Madame Ai, niiiaaaa… »

Une véritable déclaration d’amour, qui devait faire écho avec ce qu’Harmony venait d’avouer en rougissant furieusement face à Alice. Elle venait en effet de lui admettre qu’elle préférait coucher avec elle plutôt qu’avec Mélinda. Alice frissonnait doucement, sentant aussi la main d’Harmony palper ses fesses, mais pensait surtout à ce qu’elle venait de dire. Harmony venait de se trahir, et il semblait alors vraiment difficile, pour Alice, de ne pas douter de l’amour qu’elle lui portait.

Elle sourit alors, et alla l’embrasser chaudement sur les lèvres. Ce fut un baiser long et soutenu, qui dura une bonne minute, et où elle cessa de trop remuer. Elle s’étalait contre le corps d’Harmony, et serra l’une de ses mains dans le creux de la sienne.

« Je sais pourquoi Mélinda t’affecte à chaque fois à mon service, Harmony… Je sais aussi pourquoi elle avait envisagé de te confier à moi, de faire de toi ma secrétaire… »

Sa voix était douce, fluette. Elle parlait juste devant Harmony, sa queue tendue se logeant profondément en elle. Harmony n’osait plus parler, et Alice sourit doucement.

« Et je respecte ce sentiment, Harmony… »

Alice n’allait pas le dire clairement, mais avait bien fait comprendre à Harmony qu’elle savait… Et qu’elle savait aussi qu’un amour réel et sincère serait impossible, ce que Mélinda lui avait déjà dit. Alice l’embrassa à nouveau.

« Tu es magnifique, Harmony… Mon cœur a beau être pris, sache qu’il y a quand même de la place pour toi dedans… »

La Princesse remua encore, reprenant ses mouvements. Elle accéléra donc, de haut en bas, enfonçant sa solide dans le corps d’Harmony, et gémit lentement, se redressant un peu, bandant ses muscles.

« Est-ce que tu aimes quand on fait l’amour, Harmony ? Je… Je ne veux pas te faire de mal, tu sais, tu es… Hmmm… Tellement gentille, haaaa… Je… Je ne pourrais accepter de te faire souffrir ! »

C’était une conversation assez étonnante, mais, vu que les deux femmes étaient en train de faire l’amour au milieu d’une orgie, tout cela pouvait se comprendre, et il fallait bien crever l’abcès. Là, au milieu de cette débauche sexuelle, Alice et Harmony partageaient un moment d’intimité. Alice ne cherchait pas à la baiser, mais à lui faire tendrement et passionnément l’amour, comme une personne aimée aurait pu le faire envers une autre.

Face à tout cela, Mélinda était très excitée. De base, elle aimait beaucoup les Karistal. Il lui était souvent arrivé de regarder simplement les deux femmes se faire l’amour dans le lit. Tous les gens connaissant un peu Mélinda savaient combien celle-ci aimait le sexe incestueux, a fortiori entre deux jumelles ! Et Yuko et Yuka étaient tout simplement admirables, adorables ! Mélinda avait donc proposé à sa femme d’échanger, et Yuko et Yuka se relevèrent alors.

Souriant doucement, la vampire caressa la joue de Yuka, puis alla l’embrasser. Elle savait que, par rapport à Yuko, Yuka était la sœur soumise, moins véhémente que sa sœur, ce qui se ressentait dans leurs baisers. Là où Yuko faisait souvent des baisers appuyés, en se frottant excessivement, en n’hésitant pas à aventurer sa langue ou à planter ses dents, Yuka offrait des baisers bien plus modérés, bien plus calmes, mais non moins empreints de la passion commune à celle de sa sœur. Serrant d’une main ses cheveux, Mélinda l’embrassa donc assez longuement, savourant son corps chaud et doux.

« Hmmm… »

Elle se lova donc contre elle, soupirant une nouvelle fois, et fourra sa langue dans sa bouche, descendant l’une de ses mains pour palper les fesses de Yuka, tandis que Vanillia faisait rapidement face à une femme endiablée. La femme de Mélinda sourit doucement en crispant ses doigts dans les cheveux de Yuko, et donna une claque sur son cul.

« Oui, autant que j’aime ton petit cul… » avoua Vanillia en souriant.

Mélinda se pinça doucement les lèvres après ce baiser, tandis que Yuka demandait à sa Maîtresse de venir la prendre. La verge trempée de la vampire s’était joyeusement relevée, témoignant ainsi de la farouche excitation qu’elle ressentait en ce moment. Elle hocha la tête, et posa sa main sur l’épaule de Yuka… Puis la poussa alors sur le lit. Yuka tomba sur le dos, tout comme Yuko, et les deux jumelles se retrouvèrent l’une à côté de l’autre. Ai et Luna étaient à proximité, et on pouvait sentir les vibrations du lit. Mélinda attarda même un regard amusé sur les deux femmes, avant de se rapprocher. Vanillia se pencha vers Yuko, et l’amena à se retourner, la couchant sur le ventre, bien décidée à la prendre par l’arrière. Mélinda, de son côté, déplaça un peu Yuka. Elle comptait la prendre sur le devant, mais voulait la positionner de manière à ce que son visage soit sous celui de Yuko.

« Comme ça, vous pourrez vous embrasser pendant que nous vous prenons mutuellement… »

Mélinda s’enfonça ensuite dans le vagin de Yuka, pendant que Yuko se mettait un peu à quatre pattes, de manière à avoir son visage au-dessus de celui de sa sœur… Avant de sentir la verge de Vanillia s’enfoncer dans son fondement !
Un paradis de Sha, tout simplement. L’Ombre avait généré quatre versions d’elle-même. Quatre clones, en tout, car aucune Sha n’était plus fausse ou plus vraie qu’une autre. Elles partageaient ensemble le même esprit. Ce que l’une pensait était la pensée des trois autres, et réciproquement. Il fallait avoir un esprit divin pour pouvoir comprendre le fonctionnement de ce quadruple corps. Mais ce n’était pas ça qui était demandé à Kiriko. La Celkhane sentait les quatre Sha en elle, et demandait de se faire baiser. Une Sha couchée sous elle, une autre dans son dos, et deux devant, qui s’enfonçaient dans sa bouche. En sueur, la belle Celkhane remuait d’avant en arrière, de haut en bas, sentant les deux verges dans son fondement et dans sa chatte remuer en profondeur dans sa chair.

« Hmmm… Si bonne, si bonne… ! »

La Sha dans le dos de Kiriko pinçait ses seins. Elle mordilla le creux de son cou, soupirant contre elle, remuant encore, son corps d’ombre tournoyant lentement, se serrant à son corps. C’était vraiment très agréable, et Sha faisait lentement gonfler sa queue, tandis que, devant elles, les deux Sha jouaient alternativement. L’une se positionnait devant Kiriko, et, serrant ses mains sur ses cheveux, elle enfonçait sa queue d’un coup sec en elle. De son côté, l’autre Sha approchait sa verge, et caressait le visage de Kiriko avec, la biflant doucement, son membre remuant pour laisser des traînées sur son visage.

Les Sha s’amusaient avec elle, prenant tout leur temps. Rien ne pressait, après tout, et, peu à peu, les tentacules s’enroulaient autour du corps de Kiriko, sans la restreindre, mais en l’imprégnant de la présence des Sha. Les tentacules s’enroulaient autour de son ventre, entre ses seins, vibrant ensuite doucement, chaudement. Tout était pensé pour exciter Kiriko, pour la combler de bonheur, car c’était là tout ce que Sha souhaitait offrir à sa femme.

Une main se posa ensuite sur le ventre de Kiriko.

« Ton ventre est si parfait… Conçu pour accueillir nos bébés, Kiriko…
- Comme tout le reste de ton corps, hmmm… »

Elles allaient jouir en elle. Kiriko allait sentir son ventre se remplir progressivement de partout, à tel point qu’elle risquait peut-être même de partir, ou de s’effondrer sous la vague de plaisir intense qui allait jaillir ! Car les Sha continuaient à la pénétrer, en rythme, les trois verges s’enfonçant simultanément en elle. Autant dire que c’était une chose lourde et puissante, l’Ombre témoignant ainsi de sa profonde affection pour Kiriko, de son immense amour pour elle.

Oh oui, comme elle était amoureuse de sa Kiriko !
Finalement, à voir sa Harley ainsi habillée en bunny girl, Pamela n’allait peut-être pas la déshabiller si vite. Harley s’était découverte une passion pour les lapins, et, surtout, pour les bunnies girls, depuis que sa route avait croisé celle de White Rabbit. Cette femme était une magicienne sulfureuse, qui avait croisé la route de Batman à Gotham City, et qui avait aidé Harley à s’échapper de l’asile d’Arkham. Et c’était à Yoake que White Rabbit avait retrouvé Harley Quinn, où elles avaient fait ensemble une aventure fantastique et psychédélique. C’était en tout cas un autre niveau que Kite-Man, l’homme cerf-volant de Gotham City ! Pamela aimait donc se dire que, si Harley Quinn avait ramené White Rabbit dans le giron de leur couple, elle, elle avait ramené Chloé, son aimante esclave. Même Harley, qui pouvait pourtant se montrer très jalouse, appréciait aussi la belle lycéenne.

Partant de là, Pamela sourit doucement à la remarque d’Harley sur le fait qu’elle ne serait plus attirante que ça. C’était peut-être de l’humour, mais, avec Harley, l’humour n’était jamais très loin d’autres sentiments, et Pamela était bien placée que, à la base, Harleen était une jeune femme talentueuse, mais manquant fortement de confiance en elle. Autant dire qu’il pouvait parfois y avoir du bon à replacer les évidences :

« Ne raconte pas n’importe quoi, Harley, tu sais bien que je t’aime, ma petite folle… »

Visiblement rassurée, Harley suggéra d’abord de la déshabiller. Sur le rebord du bassin, Pamela frémit en sentant les mains d’Harley glisser sur elle. Petit à petit, elle la délesta de tous ses vêtements, tout en l’embrassant, et en frottant ses seins contre elle. Ivy soupira lentement, se tortillant sur place, sentant sa belle Harley se presser. Elle frotta ses seins contre son dos, avant de terminer en s’agenouillant pour ôter les bottes d’Ivy, qui finit ainsi toute nue, avec sa peau verte. Ivy pouvait aussi blanchir sa peau, mais, souvent, elle aimait bien conserver sa peau verte. Aussi humaine que plante, elle était une magnifique mutante, et le visage d’Harley termina enfin sa course devant son sexe.

Ivy sourit alors quand Harley réclama sa « carotte ». La main de Pamela caressa ses cheveux, doucement, faisant remuer ses fausses oreilles de lapins. Franck, de son côté, continuait à croître sur l’eau, tirant des tentacules qui se collaient sur les rebords de la piscine, remontant ensuite doucement sur le carrelage environnant. Elles étaient après tout sur le toit du Paradisio Hotel, et, de là, on pouvait voir la Novac Tower au loin. Le Paradisio disposait aussi de sa propre piscine de toit, et il semblait bien naturel que les deux clientes viennent en profiter.

« Hum, quelle gourmande, ma petite lapine… Tu n’as qu’à fertiliser mon champ avec ta langue pour que je fasse pousser ton engrais… »

Aussitôt dit, aussitôt fait, et Ivy frémit en sentant la langue d’Harley se glisser entre ses lèvres intimes. Pamela soupira faiblement, et posa son autre main sur la tête d’Harley, serrant ainsi ses cheveux, et se cambra lentement vers l’avant, afin de mieux sentir l’organe buccal d’Harley s’exciter sur sa vulve. Ce fut un contact exquis, qui la fit encore doucement gémir. Sa mouille s’échappait délicatement de son antre intime, et Harley put la boire. Une fleur aphrodisiaque, une douce semence sucrée, sa cyprine magnifique… Et, après une bonne minute, Ivy ne put plus se retenir.

Ses deux mains se serrèrent fortement sur les cheveux d’Harley, et elle poussa un dernier soupir en se cambrant et en se braquant encore :

« Ah ! »

Sa verge florale jaillit de son intimité, et tapa en plein sur le visage d’Harley, remontant entre ses yeux. Pamela reprit ensuite doucement ses esprits, et abaissa sa tête vers son amante. Sa verge verte et veineuse, prenant la même couleur que le reste de son corps, se dressait devant elle. Le vit tendu et durci témoignait de l’excitation furieuse d’Ivy. Et ça, il y avait peu de personnes au monde capables de l’exciter ainsi et si vite, et Harley en faisait clairement partie !

Pamela gémit doucement devant sa partenaire, son membre remuant doucement sur son visage, Ivy filant lentement d’avant en arrière, comme pour frotter sa queue sur elle :

« Vas-y, Harley, viens brouter ta carotte, hmmm… Ma belle carotte qui t’attend… Ensuite, je te baiserai sur Franck, haaaa… Ma délicieuse petite folle… ! »
Le mariage… Le pire est que Félicia semblait être très sérieuse en proposant à Aoki de l’épouser ! La surprise était de taille pour sa partenaire… Mais l’était-elle autant que ça ? Elles se connaissaient maintenant depuis plusieurs mois, suffisamment pour se dire que les choses devenaient sérieuses entre elles. N’avaient-elles pas affronté ensemble Mr. Scratch ? Violé la loi ensemble ? Elles n’étaient assurément pas un couple idyllique, elles ne faisaient pas partie de ces gens qu’on aimerait mettre en avant pour vanter les mérites de l’amour parfait, noble et vertueux. Mais elles s’aimaient, et ce simple amour justifiait tout le reste. Félicia avait donc proposé à Aoki que celle-ci lui fasse l’amour, ce qui surprit un peu la belle Japonaise, davantage habituée à se soumettre qu’à obéir… Sans se douter une seule seconde que ce n’était pas parce qu’elle allait porter la culotte qu’elle allait nécessairement pouvoir dominer Félicia !

Félicia et Aoki quittèrent donc la salle de bains et rejoignirent la chambre à coucher. La ventilation interne du Paradisio faisait des merveilles, parvenant à recycler l’air. Même si la pièce sentait encore la sueur et le renfermé, c’était tout de même beaucoup moins perceptible, et Félicia rejoignit le lit. Toute nue, elle vit Aoki s’abriter pour se changer, et attendit donc, en s’allongeant au milieu du lit, et en observant le plafond. Elle tremblait doucement d’excitation, sachant déjà ce qu’elle avait proposé à Aoki, et ce qui allait ensuite se passer. Le mariage… Une idée folle, une lubie passagère, mais qui était progressivement en train de s’enraciner !

Aoki se retourna alors vers elle, dans de courts sous-vêtements mauves. Des collants, un soutien-gorge, et une petite culotte déformée par son mandrin. Félicia sourit doucement en écartant les jambes, la laissant doucement se rapprocher. D’une démarche sensuelle, Aoki fut sur elle, et s’allongea doucement contre le corps de sa belle, avant de partager avec elle un baiser, sa queue frottant le corps de Félicia.

« Hmmm… Si je ne le voulais pas, je ne te l’aurai pas proposé… Mais penses-tu pouvoir me satisfaire comme je le mérite ? Je suis plus difficile à satisfaire que de simples lycéennes, tu sais… »

La Chatte Noire s’amusait doucement, sachant très bien que, des deux, c’était plutôt elle qui avait l’habitude de dominer. Mais il fallait bien bouleverser leurs habitudes, surtout si un mariage était à la clef. Félicia frissonnait doucement en voyant Aoki se rapprocher, sa queue venant caresser sa chatte, glissant sur sa peau, menaçant à chaque instant de s’y enfoncer.

« Oh… Vas-y, Aoki, enfonce-toi… Mais ne te fais pas l’illusion de croire que c’est toi qui vas pouvoir me dominer… »

Joueuse, Félicia contrôlait la situation, et sourit malicieusement. Sa main se posa sur les cheveux d’Aoki, et elle partagea avec elle un long baiser, sensuel et assoiffé, destiné à marquer son amour indéfectible envers elle.
Samara ne se faisait aucune illusion. Cette séance ne permettrait nullement de guérir Sya de son traumatisme, ce serait un travail de longue haleine, mais c’était désormais le nouvel objectif de Samara. Elle ferait tout pour que Sya sorte de cette peur, de cette chaîne qui la retenait à ses souvenirs. Au moins, ce souvenir lui avait permis de comprendre un peu mieux les raisons du traumatisme, ce sentiment d’impuissance et d’abandon face à la folie gratuite des hommes.

Autour d’elles, Samara sentait d’ailleurs l’ombre grimaçante des hommes ayant maltraité Sya, les ricanements et les grincements de chaînes.

« Petite Ange qui a perdu ses ailes…
- Petite Ange qui ne volera plus jamais…
- Viens par ici, tu dois encore avaler ta pâté ! »

Samara s’agenouilla devant Sya, et caressa son visage.

« Je suis là, Sya… Je serai toujours là pour toi… »

Elle la prit alors dans ses bras, et, autour des deux femmes, une vive lueur vint. Une chaleur forte les entoura toutes les deux, aveuglante, lumineuse, mais agréable, saine, belle, si chaude, si tendre… C’était une lueur magnifique, pleine de bonté, pleine d’énergie. Samara flottait au milieu de cette énergie, de cette lueur chaude qui balaya les souvenirs de Sya.

« Tu dois me faire confiance, Sya… Tu dois comprendre que je serai toujours là pour toi, et que je te protègerai toujours. »

La démone l’embrassa ensuite. Une sensation kaléidoscopique de couleurs lumineuses qui éclataient partout, une sensation exquise, une forte chaleur qui s’insinua dans le corps de Sya, tandis que le bonheur se dilua tout autour d’elle. Petit à petit, Sya sentit une force nouvelle venir en elle, tandis que Samara se releva, la tenant dans ses bras, comme une sorte d’énorme bébé qui aurait besoin de la protection de sa mère.

Le décor changea, et les deux femmes revinrent finalement dans leur chambre du Paradisio Hotel. Samara serrait toujours Sya dans ses bras, et lui sourit doucement. Elle caressa ses cheveux doucement, et l’embrassa sur le front.

« Tu dois me faire confiance, Sya, répéta-t-elle alors. Tout ce que je veux, c’est te rendre heureuse, ma fille… Que tu te débarrasses de toutes tes peurs pour sourire tout le temps… »

La démone lui sourit à nouveau, doucement, comme pour savoir si Sya était remise de cette petite expérience, ou voir comment elle allait réagir…

Hinata & Nora

Hinata ne pouvait guère, mieux vivre plus heureuse. Sa femme était la perfection même, qu'est-ce qu'elle pourrait lui reprocher ? La seule chose qui aurait rendu leur amour plus fort, plus grand et plus beau, ce soit que Shunya soit une kitsune, mais ça, ce n'était ni sa faute à elle, ni à ses parents. Mais soyons clair, même sans avoir une épaisse queue touffue au-dessus des fesses, un pelage plus doux que la douceur même, elle était parfaite. Même si elle voulait jouer un peu les dominantes, Hinata allait s’exécuter, pour le bien de leur avenir, pour espérer que ce soir soit le grand soir où Hinata tomberait enceinte de sa femme. Après tout, Shunya avait déjà un bébé qui grandissait doucement en elle donc autant rattraper ce petit retard et, qui sait, accoucher en même temps ? Ce serait amusant, car leurs enfants seront nées le même jour sans pour autant être des jumeaux !

Hinata jouait donc son rôle de neko si c'est ce que sa femme voulait, mais en revanche, bien que Nora la forçait à sucer un peu plus profondément, Shunya ne devait pas jouir dans sa bouche et, même si la reine voulait absolument obtenir un bébé de sa femme, rien ne l'empêchait de goûté à sa savoureuse semence. Se retirant de sa verge, Nora lui montra aussi la sienne afin de varier les plaisirs et Hianta devait donc alterner un peu, sa femme, Nora et ainsi de suite. Bien qu'elle aimait Nora comme une grande sœur et qu'elle l’avait déjà sucer un bon paquet de fois, c'était à présent sa femme qui avait le titre de la queue la plus délicieuse. La reine faisait de son mieux, gémissant en les suçant avec passion et amour, voir sa femme se tordre de « douleur » par envie de jouir, ça restait sublime. Mais c'était aussi la fin des préliminaire, Hinata se redressait, venant retrouver les lèvres de sa sublime femme en se blottissait contre elle. Malheureusement, sa peau n'était pas nue contre la sienne, plutôt couverte de latex, mais ce n'était pas grave, ça changeait un peu.

« Mmmmmh, Shunyanya, je t'aime si fort... Hmmmm, fait moi l'amour aussi fort que tu m'aimes alors. »

Reprenant le baiser, elle la serrait contre elle, la faisant doucement tomber en arrière, sur le lit, lui laissant tout le temps pour s'installer et venir la pénétrer avec amour et tendresse, ou domination ? Du moment qu'elle faisait son travail et qu'Hinata obtenait son bébé, elle était prête à avoir les fesses rouges pour ça ! Car après tout, elle ne fut pas seule, Nora aida Shunya à bien se placer pour sentir sa queue s'enfoncer dans l'antre chaud de sa femme, sa queue arrivant au tapoter l'entrer de sa chambre à bébé.

« Bien, il est temps de se mettre au travail. »

Nora posa ses mains sur les hanches de l'ancienne princesse, sa queue bien lubrifiée par Hinata s'enfonça doucement en elle, ses gémissements se perdaient dans la bouche de Shunya. Elle se pressait contre son corps si parfait pendant que Nora venait elle aussi s'écraser sur Hinata et Shunya, sa queue se logeant ainsi un peu plus loin...

« Haaaaaan... »
« Huuuum, Shunya... Je crois que tôt ou tard... hmmm... tu vas devoir toi aussi... la prendre de ce coter... Hinata a beau adorer qu'on jouisse entre ses cuisses... Elle aime aussi qu'on la remplisse de ce côté... »
« Huuuuum, Noraaaa, arrête... »
« Quoi, c'est faux ? »

Elle ne pouvait nier le contraire, mais bon, sa femme devait déjà le savoir même si des deux, c'était plus Hinata qui s'amusait avec sa queue. Cependant, maintenant qu'elle avait remplit son rôle, Shunya allait avoir ce rôle plus souvent en main, au moins jusqu'à ce qu'elle plante sa petite graine en elle. Après un nouveau baiser avec sa femme, Hinata n'oubliait cependant pas son petit rôle de neko.

« Nyaaaaa... Maî-maîtresse... Remplissez haaaa... Ma chambre à bébé... Hinata huuum... veux vous offrir... Haaaan, plein, plein de chatooons ! »

Bien que ce soit son rôle « d'esclave neko » le thème restait le même que celui que Shunya cherchait à accomplir.

Tessou

Être déchaînée, c'était encore être gentil vu l'état de Tessou. Effet vacance, l'alcool des fruits de mer ou les fruits de mer en eux-mêmes, Tessou avait carrément laissé sortir la succube qui était en elle. Chevauchant Kara, les mains au plafond pour mieux se déhancher sur elle, gémissant autant que si elle courait un marathon, sa salive avait tendance parfois à couler hors de ses lèvres, coulant sur la super femme. Amoureuse, libérée, heureuse, difficile de définir son regard, mais voilà, elle faisait l'amour avec Kara, au point que s'en était presque un viol tant elle le voulait. Même soumise, même en ayant bu de l'urine, en étant bifler, elle revenait plus chaude que jamais, toujours plus en demande de sexe, mais surtout de Kara. Qui sait si l'idée d'avoir plus d'une partenaire la tenterait, là en tout cas, elle ne voulait que Kara. Elle allait se donner, entièrement à elle !

« Haaaaaaaaaaa Karaaaaaaaaaaaaa !!!! Encore ! ENCORE !!! »

Et après un nouvel orgasme, en l'air, Tessou se calma, juste le temps pour que son cœur se calme légèrement avant de vouloirs reprendre de plus belle, mais cette fois, elle voulait inverser les rôles. Elle avec le lit dans son dos, maintenue par Kara qui cette fois, aura tout le plaisir de la prendre à son rythme. C'était une si belle idée. La super femme accepta, lui demandant juste de bien s'agripper. Sauf que là où Tessou voulait rester dans leur chambre, Kara voyait ça de façon un plus risqué, mais romantique en voulant faire ça dehors, près de la mer. En temps normal, ça aurait été un non, totalitaire ! Tessou avait déjà volé avec Kara, mais qu'en urgence, elle avait plutôt peur de voler, même si elle se savait en sécurité. Alors là, nue en plus, pour faire l'amour là-bas, où l'on pourrait les surprendre ? Certainement pas ! Et laissé Kyoko seule ? Encore moins ! Mais n'étant pas dans son état habituel, elle laissait ça de côté, laissant l'ouïe très fine de Kara servir de baby-phone.

Il fallait bien avouer que tout cela était trsè romantique, faire l'amour entre les étoiles et la mer, sans être sur un bateau, littéralement entre les deux. C'était un souvenir que Tessou risquait de garder longuement et de chérir... si on oublie que penser à ce qu'elles faisaient ainsi risquait de la gêner malgré tout... Et en plus, en plus du sexe, évidemment, Kara lui disait « je t'aime », des mots qui en temps normal serait loin de la laisser de marbre, là, elle y repensera demain, prenant ça pour le moment comme des mots lancé sur le coup, comme quand elle se faisait insulter par Kara pour rendre cela plus sexy. Là, elle y répondait de suite, dans le feu de l'action, sans pour autant y perdre le nord.

« Haaan, je t'aime aussi, ma Karaaaa.... Haa, baise-moi encore, remplis-moiiiiii... »

Prisonnière de ses bras, elle caressait son dos et sa tête en remuant légèrement, laissant sa chérie faire le plus gros du travail. Sa poitrine pressée contre la sienne, son corps était humide, mais doux et chaud, ce qui était agréable sous cette légère brise naturelle au-dessus de l'eau. Elle stoppa le baiser, lui demandant quand même un service.

« Avant de jouir... Hmmm, retourne-moi bien... que je vois les étoiles en fond huuum... »

Sa chérie qui la remplissait, les étoiles et peut-être la lune selon le bon angle... une nouvelle image qui restera gravée en elle. Mais bien que grande amoureuse du romantisme, là, elle laissait ça de côté, venant lui mordiller la lèvre inférieure, rallumant la mèche de plus belle.

« Profite de ma position han... pour me remplir... Je veux sentir ton foutre chaud, haaam... couler le long de mes cuisses... »

Pour le moment, le romantisme pouvait aller se faire foutre !

Ai, Harmony & les Karistal

Faisant l'amour à la douce neko, Ai n'était pas exigeante, sa douceur et son envie de sexe lui suffisait amplement même si elle en avait profité pour l’habiller à sa façon. Autant, elle n'était pas exigeante sur le type de partenaire qu'elle devait s'occuper, autant elle voulait faire ça en beauté. N'était-elle pas bien plus ravissante dans cette petite tenue ? Pour la petite futa, cela ne faisait aucun doute ! Même sans y poser les yeux dessus, elle savait que Luna s'en mordait sûrement les lèvres de ne pas laisser ses petites pattes se balader sur son corps, c'était cruel, mais elle allait la libérer bientôt. Ai n'avait rien contre quelques caresses de Luna après tout. Continuant de la prendre, à enfoncer sa queue en elle, elle savait que bientôt son petit ventre allait gonfler en un instant tant Ai était un vrai petit raz-de-marée de foutre à elle seule.

« Mmmhhhhh et Luna a réussi... mmmmh, elle est si adoraaaaaaable ! »

Elle se faisait tant plaisir à lui faire l'amour et la petite tornade verte de Mélinda n'avait pas encore joui, mais ça n'allait pas tarder non plus. Elle venait l'embrasser, partageant sa salive avec elle, sentant toute sa frustration passer à travers elle. Oui, même si ce n'était que des caresses, elle savait que ça pourrait soulager la petite neko. Mais avant ça, elle voulait la faire parler et en répondant à sa question, elle ne pouvait pas mieux la rendre heureuse... Luna aimait, grâce à elle, porter des choses élégantes... Si ça, ce n'était pas magique et beau ! Les gens ont tendance à associer sexe et nudité, mais c'était bien mieux quand la beauté était mise en valeur par le biais de certaines choses à faire porter à sa partenaire. Là, on atteignait des sommets !

« Ouuuuh, Luna-chan... Mmmmh, je suis si heureuse, haaaan.... Je vais donc, hum, te libérer... »

Délicatement, elle tirait sur le petit ruban, libérant une de ses pattes, puis la seconde, maintenant qu'elle pouvait de nouveau bouger, il était temps d'en finir ! Pour cette fois, la suite allait bien vite reprendre. Ai se pencha plus sur elle, ses coudes posés près de la neko, elle l'embrassait, laissant ses hanches se déchaîner et butiner la petite chatte, et ce, jusqu'à l'orgasme où comme prévue, Ai venait faire grossir le petit ventre de cette adorable neko.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan Lunaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa-chaaaaaaaaaaaaaaaan !!!!! »

Elle le sentait contre elle, ce délicieux ventre qui prenait forme. Ai se sentait si légère ! Bon, elle avait de la chance, Ai avait quand même bien jouit depuis ce matin, donc la quantité descendait doucement à chaque orgasme. La petite futa se posa à côté d'elle, pour ne pas l'écraser, baisant sa joue en jouant avec une main sur ses petites mèches blondes.

« Luna-chan est très jolie avec un petit ventre comme ça. On dirait qu'elle va avoir beaucoup de chatons, hein ? »

Sa main glissa plus bas, caressant son petit ventre. Il fallait bien la laisser souffler après une telle chose !

Concernant Alice et Harmony, l'ambiance était bien plus douce et fidèle à elle-même, Harmony ne pouvait mentir quand elle lui demanda qui entre elle et Mélinda lui faisait le mieux l'amour ? Dans un sens, elle s'était trahie, mais il était difficile de dire si c'était vraiment le cas ou bien s'il n'y avait pas les sentiments qui rentrait en compte et la mettait donc sur un pied d'estale ? Difficile à dire. En tout cas, à demi-caché, elle lui avait avoué ses sentiments par cette simple petite réponse et la princesse l'avait bien comprit cette fois. Harmony se fichait d'être une esclave de Mélinda, mais il y avait une chose sur laquelle elle ne voulait pas changer d'avis, même deux. C'est qu'elle souhaite se marier ou former un couple avec une personne qui l'aime vraiment. Être la numéro une. Avec Mélinda, ça ne pourrait pas fonctionner par exemple, elle était marié, idem avec Alice, qui le sera bientôt. Donc devenir sa secrétaire, non, ça la ferait souffrir de la voir et chaque jour se dire, j'aurais aimé être sa femme... Et la seconde chose était dans le même ton car elle voulait un enfant fait par amour, pas sortie de nulle part avec une partenaire du hasard.

« Majesté... »

Face à sa douceur, Harmony fondait doucement, elle était si belle quand elle était douce comme ça, mais malgré ses petits mots doux, jamais elle ne pourrait être sa femme... Si elles se seraient rencontré avant qu'elle ne rencontre son futur époux, peut-être les choses auraient été un peu différente mais la demi-ange n'était pas du genre à souhaiter le malheur d'un couple pour tenter de coller les morceaux à son avantage à elle. Non, au contraire, elle lui souhaitait beaucoup de bonheur et un jour, demain, dans un mois, une année... elle rencontrera une personne qu'elle aimera autant qu'elle. C'est juste qu'elle ignorait encore de qui il pourrait bien s'agir, si ce n'est qu'il y a une forte probabilité que cette personne soit proche de Mélinda ou un/e client/e régulier/e. Après tout, Harmony était sa domestique personnelle donc c'est avec Mélinda qu'elle passe le plus clair de son temps. Embrasant avec autant de douceur la princesse, Harmony se laissait transporter dans ce monde merveilleux et doux.

Doucement, elle secoua la tête face à la demande de la princesse, son léger sourire toujours sur le visage, elle répondait doucement, malgré les gémissements et couinement autour d'elles.

« Non, Majesté... J'aime comment, hum... vous me faites l'amour... Huuum, c'est... parfait. »

De toute façon, Harmony se cale sur son rythme, elle devait bien se douter qu'avec Mélinda comme Maîtresse, une telle douceur n'était pas toujours au rendez-vous, parfois elle était bien plus sauvage, plus vive ! Et n'en parlons pas quand elle se retrouve au milieu du lit conjugal. De douceur, il n'y avait que lorsqu'elles étaient toutes épuisées et sombraient dans le sommeil. Harmony venait doucement l'embrasser à son tour, un rapide baiser, sur le bout des lèvres.

« Je ferais ham... comme vous aimer... Majesté... »

Peu importe son envie, elle lui fera plaisir, c'est aussi ce qu'Harmony voulait. Elle pensait d'abord aux autres avant de penser à elle.

Concernant les jumelles et les vampires, elles avaient inversé leurs partenaires et la docile Yuka venait de faire face à Mélinda là où la terrible Yuko allait s'amuser avec Vanillia. Tout en douceur, Yuka se montrait toute sage en venant embrasser la vampire, laissant sa maîtresse profiter de la situation comme elle le voulait, sans refuser quoi que ce soit. Et Yuko embrassait elle aussi sa partenaire, mais elle était déjà moins docile, sans refuser Vanillia, elle en profitait cependant pour passer ses bras autour d'elle pour s'y blottir avec un baiser plus appuyé, laissant ses petites griffes doucement marquées sa peau. Mais Vanillia n'était pas docile, bien au contraire et elle avait faim d'autre chose, laissant les baisers de côté. Ainsi, Yuko allait se placer à quatre pattes, là où Mélinda repoussait doucement Yuka pour qu'elle s'allonge. Son visage sous celui de sa jumelle.

« Kuhuhu, Maîtresse, vous voulez encore nous voire ensemble, nyaaaa ? »
« Mmmmhhh, moi je veux surtout sentir Maîtresse en moi... nyuuu... »

Yuko était à quatre pattes, prête à attendre Vanillia se mettre au travail, mais le couple Warren s'approchait doucement. Sentant son épaisse verge, elle miaula de plaisir quand elle s'enfonçait dans son cul, alors que Yuka avait droit à un peu plus de douceur de la part de leur maîtresse qui se mit à la pénétrer par-devant. Ça ronronnait et ça miaulait de plaisir, sentant les verges du couple en elle, Yuko se faisait une joie de miauler de vivre voix, voyant sa petite Luna et son ventre bien rond. Elle miaulait la bouche grande ouverte, la langue pendue pour que Yuka puisse sentir sa salive lui couler dessus et la récolter avant qu'elle n'atteigne son visage. Du moins, elle essayait. Ça variait les plaisirs, pas toujours un baiser, là, ça pourrait bien exciter Mélinda autant qu'un baiser langoureux.

« Nyyyyaaaa Maîtresseeeeee ! Nyaaaaaaa, plus loin !!! Je veux sentir votre NYAAAA !!! Votre queue au fooooond !!! »
« Maîtresse, haaaaa nyuuuuu... C'est si boooon ! »

Là encore, les jumelles jouaient sur leur opposé, Yuko la dominante et provocatrice qui poussait sa partenaire plus loin, là où la douce Yuka adorait simplement ce qu'elle vivait. Avec ou sans indication, elles savaient qu'elles allaient subir les envies du couple, peu importe la façon...

Kiriko

La Celkhane était on ne peux plus ravie, prise entre quatre de ses femmes, c'était un vrai luxe qu'elle vivait ! Une, sous elle, l'autre derrière, les deux autres devant, se disputant sa délicieuse bouche de suceuse. La sorcière faisait tout pour combler ses femmes, elle, la redoutable Celkhane n'avait aucune gêne à devenir la dernière des catins si c'était pour faire plaisir à sa femme. C'était leur voyage de noce après tout donc il fallait bien la combler un petit peu. Elle se laissait donc prendre pour leur faire plaisir, remuant son bassin autant pour celle sous celle que pour celle qui lui prenait le cul tout en caressant sa poitrine, et celles en face d'elle venaient parfois s'enfoncer en même temps, laissant Kiriko gérer comme elle pouvait ses deux belles longues queues rien que pour elle.

« Mmmmhhh aaaaahhhh, Shaaaaaaaa ! »

Parfois, elle ne s'occupait que d'une queue pendant que la seconde lui caressait le visage avec sa queue, allant parfois lui caresser les cheveux avec, elle n'avait rien, ça l'incitait juste à vouloir s'en occuper aussi pour ne pas que son autre Sha s'ennuie. Bien que ce ne soit pas le cas, mais bon, la Celkhane pensait à sa divine femme, ne voulant pas en délaisser une. Elle avait bien une idée ensuite pour exciter Sha, mais elle préférait déjà la laisser finir, surtout qu'elle était occupée après tout. Les Sha, les tentacules, elle s'occupait si bien d'elle que ça en était siii bon ! Jamais Kiriko ne pourrait se lasser de sa sublime femme. La déesse lui disait des mots doux, la main sur son ventre, pour sûr que maintenant que la vie lui souriait, elle allait donner naissance à Arya pour commencer, et tant d'autres bébés par la suite... Tout ça pour le bonheur de sa femme et du sien.

Et après bien du plaisir, ses femmes venaient à jouir, trois d'entre elles venaient jouir en elle, dans ses orifices, sa divine semence se rependant en elle sans le moindre souci, la comblant de bonheur. Juste une des Sha se libérait sur elle, sa semence aspergeant son corps, coulant doucement dessus pendant que Kiriko s'envolait au paradis. Elle était si heureuse !

« Mmmmmmmmmmmmmmmmmmhhhhhh!!! »

Quand elle fut libérée – au moins pour la bouche – elle reprenait son souffle, caressant doucement la Sha la plus proche en la regardant avec plein d'amour. Mais la déesse savait que sa femme avait un sacré appétit, surtout depuis qu'elle avait cet anneau autour de son doigt.

« Oh, chérie... j'en veux encore... J'en veux deux... mmmh, oui, deux belles queues dans mon cul, comme dans ma chatte ! »

Deux en pleine bouche aussi sera compliquées. Après, ça voudrait dire au moins quatre Sha sous la ceinture et ça, ce serait compliqué à mettre en place, mais si une des Sha voulait avoir une queue aussi épaisse que s'il en y en avait deux, pourquoi pas. Elle voulait sentir ses membres la remplir encore, que sa femme soit ravie de l'avoir épousé, qu'elle comble ainsi toutes ses envies les plus lointaines.

« Tu ferais ça, pour moi ? Mon amour. »

Quatre Sha étaient peut-être de trop, sauf si elles voulaient être aux premières loges ou s'occuper autrement ? Seule elle pouvait le décider.

Harley Quinn

Harley était venu en bunny girl pour jouer avec Pamela, même si en choisissant son costume, elle ignorait qu'elles auraient été sur le toit pour ça. Quoi qu'il en soit, maintenant elle était prête et ne regrettait en rien. Mais, étant donné qu'elle était lapine, elle se devait de réclamer des carottes ! Car les câlins et les baisers de sa jolie fleur, c'est bien gentil, mais ce n'était pas ça – pas uniquement du moins – qui allait la nourrir. Alors la voilà à chercher une belle carotte à grignoter ou un gazon de carotte rapée, mais sa Pam-chérie n'avait ni l'un, ni l'autre à lui proposer, mais par chance, avec une femme comme Pamela, c'était un souci régler en une fraction de seconde, même si elle se montrait joueuse !

« Hou, alors tu veux que je creuse mon terrier ? Moi, ça me va ! »

Le nez déjà entre ses jambes, elle était en train de la lécher, le bout de son petit nez venait parfois titiller son petit bourgeon, elle continuait de laisser sa langue explorer son petit terrier, mordillant parfois son clitoris. Bah quoi, une lapine, ça mord, non ? À défaut d'avoir une belle carotte, elle cherchait autre chose pour se nourrir. Puis faut dire la vérité, c'était aussi amusant que délicieux de grignoter son petit bourgeon ! Pamela venait même à lui maintenir la tête avant qu'elle ne jaillisse à vitesse grand V, bien tendue et veineuse ! Maintenant sortie de sa cachette, sa belle carotte n'attendait qu'une chose ! Harley observait Pamela, retroussant légèrement sa lèvre supérieure pour y montrer ses dents de devant. Bah quoi enfin ! C'était une lapine oui ou merde ?!

« Oooooooh, la belle carotte rien qu'à moi ! Elle a intérêt à être délicieuse vu comment elle était bien cachée ! »

Cette dernière se frottait à son visage, mais Harley la guida, la prenant à la base pour la maintenir devant sa bouche. Elle venait en sucer que le gland, le baisant, le suçant à fond, elle jouait avec avant qu'elle ne puisse mieux explorer sa petite bouche, ce qui soulageait bien vite sa Pamela chérie. Retirant sa main, elle avalait avec plaisir sa longue carotte, l'enfonçant sans mal jusqu'au bout de sa gorge, allant même risquer de cogner sa petite truffe contre son bassin tant elle était rapide à la sucer. Un lapin, c'est rapide pendant l'acte après tout, non ?! Harley continuait joyeusement en se tenant au petit cul de sa belle rouquine, elle gémissait de plaisir en continuant encore et encore avec un réel plaisir !

Quand elle la retira de sa bouche, sa queue couverte de bave, elle la tenait, la tapotant contre sa joue en observant sa fiancée avec un grand sourire.

« Hahaha ! Quand est-ce que j’aurais droit à mon jus de carotte, hein ? Faut que j'aspire fort fort fort pour ça ? »

Jouant avec son sexe, elle le posait sur sa tête, venant lécher ses lèvres intimes bien cachée sous sa belle carotte avant de retourner dessus, elle la branlait doucement à deux mains en se redressant un peu plus, venant ensuite se presser contre elle, sa poitrine venant étouffer sa belle carotte.

« Je suis idiote, je bien nettoyer ta carotte, mais j'ai oublié de la nettoyer correctement. »

Sa tenue de bunny girl cachait bien ce qu'il fallait, laissant une bonne partie de son corps nue, ainsi, elle pouvait la glisser sans crainte entre ses seins, sa queue étant « prisonnière » car un peu de tissu reliait sa tenue au niveau de la poitrine. Harley pressait en plus sa poitrine pour bien comprimer sa queue dedans. Le regard braqué vers Pam, elle était douée quand elle le voulait bien.

« Hahaha ! Je me demande maintenant si tu préfères quand je la nettoie ou quand je la grignote ? Huuuuum ? »

Pamela avait droit à un sacré traitement de sa part, pour sûr !

Aoki

Elle n'aurait jamais cru un jour entendre Felicia lui parler mariage, en dehors d'un fantasme évidemment. Aoki était amoureuse de cette femme, c'était une évidence, mais ce rôle de sex-friend lui allait parfaitement, au début. Plus le temps passait, plus elle voulait repousser leurs limites comme si tôt ou tard, le fait qu'elles forment un couple soit naturel et évident, sans avoir besoin de se poser la moindre question. Mais là, c'était venue de Felicia, mais pour valider cette demande en mariage, elle avait besoin de quelque chose... Qu'Aoki la prenne en tant que futa. C'était déjà arrivée quelques fois donc ce n'était pas une première fois et cela n'allait pas la gêner, mais voilà, Aoki était surtout une soumise quand il s'agissait de coucher avec Felicia. Les autres, le plus souvent ses élevés, elle était une maîtresse, mais face à la voleuse, elle agitait sa queue de chienne docile en obéissant à chacune de ses demandes. Les autres, le plus souvent ses élevés, elle était une maîtresse, mais face à la voleuse, elle agitait sa queue de chienne docile en obéissant à chacune de ses demandes.

« Si je dois devenir ta femme, je dois savoir comment te baiser, non ? »

Aussi dominante sois Felicia, surtout dans sa tenue de Black Cat, des fois, ce sera à Aoki de l'attacher au lit et de la prendre, car elle en aura envie ou pour changer les bonnes vielles habitudes. Tout bon dominant vous le dira, il faut savoir échanger les rôles parfois pour mieux reprendre du poil de la bête ! Sa queue passait près de son intimité et entama de la pénétrer doucement, se frottant contre elle alors que la Black Cat redoublait d'envie de ne pas se laisser faire.

« Huuum, pourtant... tu seras à moi, hmmm ! »

Même si Aoki n'avait qu'une envie, c'était de se faire dominer par Felicia, elle lui avait demandé de la baiser alors tant que sa belle Américaine n'utilisait pas la force contre elle, Aoki allait la prendre et la baiser selon son envie. Elle remuait doucement en elle, son corps, encore caché en partie par quelques sous-vêtements, se frottait contre elle en allant chercher ses douces lèvres qu'elle baisait avec tendresse pour le moment. Leur corps se frottaient mutuellement avec douceur, savourant la tendresse de sa poitrine contre la sienne, de son corps propre et encore un peu humide qui se frottait contre elle. Aoki aimait chaque chose qui se passait et cherchait une de ses mains pour l'enlacer dans la sienne, tandis que sa seconde main caressait son visage et ses cheveux.

« Mmmmmh, ma Feli-nyan... J'adore quand tu me baises... Ouuuh, autant que j'en oublie... combien tu as une petite chaaaaaatte huuum... si parfaite à baiser.... »

Elle sentait son corps souple sous le sien, elle avait beau être soumise, si Felicia voulait dominer, elle le fera sans grande difficulté, mais pour le moment, elle profitait juste de cette inversion de rôle. Sa queue s'enfonçait en elle, sentant ses parois vaginales se frotter contre sa queue, ça la rendait si folle, mais elle savait faire sa part des choses. Elle finissait par la lâcher, se redressant pour surplomber son corps, posant cette fois ses mains sur ses hanches pour la tenir et commencer à s'y mettre sérieusement. Elle commença à donner des coups de reins bien plus fort, pour mieux lui faire ressentir un grand plaisir, celui que Felicia attendait. Ce n'était que le début, mais elle comptait bien lui prouver qu'elle était capable de la faire jouir comme elle savait si bien le faire avec elle. Aoki gémissait aussi, de plus en plus fort, sans pour autant perdre de vue sa voleuse, sa poitrine remuait à ses coups de reins, bien que ce soit encore caché, Felicia devait apprécier la vue, non ?

« Huuuum, je vais te remplir, ma belle chatte... Huuum ouiiii... Je vais te remplir ta petite chatte et, haaa, tu miauleras pour moiiii ! »

Le train était bien lancé !

Sya

Perdue dans ses effroyables souvenirs qu'elle détestait revoir quand elle dormais ou quand le destin semblait s'amuser à vouloir mettre des hommes sur son chemin. Mais elle avait sa maman avec elle, sa mère était là, à ses côtés pour la protéger et entre ses bras, elle se sentait bien. Samara avait beau ne pas être celle qui a porter Sya dans son ventre, elle sentait entre ses bras la protection que seule une mère pour lui fournir. Oui, c'était Samara qui lui venait à l'esprit si elle faisait un horrible cauchemar la nuit, c'était Samara qu'elle voyait quand elle était malade et qu'on lui épongeait doucement le front, c'est ces mêmes bras et ce corps chaud et agréable qu'elle voulait quand elle était triste et avait besoin d'un câlin maternelle. Sinon, elle avait ses deux femmes pour un câlin d'amour aussi.

Entre ses bras, doucement, les mauvais souvenirs s'envolaient alors qu'elle se sentait en sécurité entre les bras puissants de l'archimage, porté entre ses bras comme une princesse en danger, elle se tenait à son cou, sa tête posée sur son épaule, à y sécher ses larmes dessus en voulant oublier tous ces mauvais souvenirs. Après cette vague de chaleur et cette grande lumière blanche, elle était toujours dans les bras de Samara, de retour dans la chambre, sur le lit, comme avant de replonger dans tout cela. Face à ses mots, elle avait toujours les yeux brillants, même si les larmes ne coulaient plus, sa bouche continuait de trembler doucement en se serrant plus encore contre elle.

« Maman... Ma maman... à moi... »

Sya était telle une enfant ayant fait un vilain cauchemar et reprenait doucement conscience que le monstre de son cauchemar avait pris la fuite, qu'elle ne craignait rien ici, dans la chambre, auprès d'elle. Elle pouvait accepter la main tendue de la part de la démone, mais pour le moment, pour le moment, elle voulait juste rester avec elle, ne pas la quitter d'une semelle, alors que doucement, la magie rose faisait son office et lui offrait un petit ventre qui commençait à s'arrondir, laissant dedans la future fille de Samara grandir.

« Tu restes... avec moi, Maman, hein ? »

Là, le sexe pouvait reprendre, pas immédiatement, mais surtout, Samara ne pourrait pas quitter Sya sans qu'elle ne s'agrippe à elle. Même contre elle, elle observait la chambre, comme si quelque chose de dangereux allait sortir du placard, derrière un tableau ou autre. Elle n'était pas à son aise, mais ce ne serait que temporaire, après avoir revu ces hantises... Logique qu'elle ne soit pas encore toute pimpante et souriante qu'à son habitude.

Shunya était bien décidée à accomplir sa destinée ce soir, son sacro-saint objectif : engrosser Hinata ! Elles avaient beau être jeunes toutes les deux, il n’y avait plus aucun temps à perdre ! Mine de rien, un bébé, cela prenait quand même neuf mois de gestation, sans compter le temps de repos derrière. Et le Temple de la Lune était grand, et se languissait du cri des bébés. Il appartenait à Shunya d’aider sa femme à reconstituer toute une dynastie ! Jamais les Kaguya n’avaient été aussi faibles, ne survivant que grâce au soutien indéfectible de la population, mais même ce soutien s’étiolerait avec le temps. Alors, Shunya comptait réagir en circonstance ! Elle s’enfonça dans le corps d’Hinata, et gémit doucement à ce contact.

« Gnnn… »

Il y avait tant d’autres parties du corps d’Hinata qu’elle voulait explorer ! Mais elle voulait se concentrer sur sa chatte, sur ses lèvres intimes, tant elle était soucieuse de l’enfanter. C’était sa priorité, et elle l’embrassa encore, s’unissant à elle en grognant. Nora finit alors par les rejoindre, et Shunya frémit en sentant ses mains sur son corps. L’Ange la pénétra alors, venant la prendre par l’arrière, tout en avouant à Shunya que sa femme avait une attirance profonde pour… L’anal.

Surprise, Hinata protesta, et Shunya sourit, tout en fermant les yeux. Elle gémit encore, et l’embrassa sur la joue.

« Je… Oui, je le sais, bien sûr, mais… Hmmm… Ce soir… Haaaa… Je ne jouirai que dans sa chatte, jusqu’à ce qu’elle soit enceinte ! »

Quelle force ! Nora était une femme redoutable, sexuellement très endurante, qui prenait la femme avec appétit. Elle s’allongeait avec elles, venant remuer en harmonie avec les deux femmes. Sa verge s’enfonçait dans le fondement de Shunya, qui gémit une nouvelle fois. En sentant cette verge remuer dans ses fesses, elle s’interrompit pendant quelques secondes, avant de bander ses muscles, et recommença. Sa verge grossissait, enflant dans la chatte d’Hinata, et poursuivit donc, tout en soupirant encore, sa sueur se mélangeant à celle de sa femme.

Hinata se laissait aller, jouant à fond le rôle de la neko, et Shunya sourit.

« C’est… C’est bien mon intention, ma petite chatte. Tu… Tu auras droit à une sodomie quand tu seras enfin enceinte, ma petite perverse ! »
Kara flottait dans les airs avec Tessou. Cette soirée avait pris un tournant inenvisageable, complètement fou ! Voilà qu’elles flottaient désormais toutes les deux dans les airs ! Kara disposait de sa superforce, qu’elle maintenait dans ses mains, pour pouvoir maintenir Tessou contre elle. Ses mains faisaient office de contrepoids, de support, pour lui permettre de remuer. Sa queue s’enfonçait ainsi dans la chatte de Tessou, qui gémissait encore. La policière était complètement transformée, et il ne faisait aucun doute que, quand la passion redescendrait, elle rougirait comme une folle !

« Hmmm… Ma Tessou, haaaa… »

Tessou lui avoua son amour, mais souhaitait surtout se faire baiser. Kara posa sa main sur les fesses de Tessou, l’encourageant à enrouler ses jambes autour de sa taille. Ainsi, elle pouvait mieux la pénétrer, et continua à remuer. Sous elles, il n’y avait plus rien, rien d’autre que la mer, et les étoiles au-dessus. Le Paradisio Hotel s’éloignait progressivement de leur vue au fur et à mesure que Kara se laissait dériver. Évidemment, ses mouvements étaient plus lents que si elle se trouvait dans un lit, mais ça ne lui déplaisait pas. Comme ça, elle pouvait profiter plus longuement de la chatte de sa belle policière.

Kara l’embrassa encore, longuement, rougissant sur place. De la sueur commençait à couler sur son corps, et celui de Tessou était devenu très humide, tandis qu’elle lui demanda la possibilité de voir les étoiles. Kara hocha la tête, et poussa en avant. Elle se retrouva à flotter dans le vide, maintenant Tessou sous elle, la retenant avec ses bras. Elles étaient toutes les deux en position couchée, et Kara put alors accélérer, amplifiant ses coups de reins. Par-dessus son épaule, elle pouvait voir les étoiles, un magnifique champ étoilé. La région autour du Paradisio Hotel n’étant pas trop polluée, rien ne masquait cette vue somptueuse, tandis que Kara, elle, embrassait Tessou dans le creux du cou. Elle mordilla même sa peau, soupirant longuement, et continua son office.

« Haaann… Oui, ma chérie, tu… Tu la s-sens, hein ? Ma queue… En toi… ! »

La Kryptonienne devait reprendre son souffle, tout en continuant avec appétit son office. Le corps de Kara était si accueillant, si chaleureux ! La pénétrer ainsi, c’était un véritable régal ! Elle comptait bien jouir en elle, et continua donc son office. Sa queue se durcissait et enflait, s’enfonçant avec appétit dans le corps de la jeune femme, jusqu’à aboutir à un furieux orgasme. Après plusieurs minutes de ce traitement, Kara ferma les yeux en grognant, et sentit tout son corps s’électriser.

« Te-TESSOU… !! »

Le sperme afflua ensuite, libérateur, intense, magnifique. Elle s’y abandonna avec délice, et balança son épaisse crème savoureuse dans le corps de sa partenaire. Un plaisir inouï, salvateur, l’inonda totalement, et elle sourit à sa belle ensuite, ralentissant progressivement le rythme, tout en maintenant son membre enfoncé en elle.

« Quel appétit, Tessou… Es-tu rassasiée, ma chérie ? »

Ou allait-il falloir encore s’occuper du démon de luxure qui sommeillait en elle ?
Dame Ai détacha un peu Luna, redonnant à la jeune neko un peu plus de mouvements. Maintenant que Luna était chez les Maîtresses Karistal, elle revoyait moins souvent Dame Ai, mais chaque rencontre avec elle était toujours un plaisir. Elle avait appris que Dame Ai allait évoluer au sein du domaine de Maîtresse Mélinda, ne serait-ce que parce qu’elle était la spécialiste en habillage ! Elle préparait, disait-on, quantité de tenues particulières pour Maîtresse Mélinda et pour sa femme, Maîtresse Vanillia. Luna avait eu la chance de connaître Maîtresse Vanillia, et, si elle ne regrettait absolument aucun des moments passés avec Maîtresse Mélinda, elle devait bien admettre qu’elle était toujours très heureuse avec les Maîtresses Karistal. Partant de là, Luna était tout simplement ravie de voir que ses Maîtresses, nouvelles comme anciennes, s’entendaient si bien ! Et l’idée d’avoir, d’une certaine manière, contribué à ce rapprochement, ne pouvait que combler Luna de bonheur !

Le fait est que la neko n’avait pas de grandes aspirations, ni une folle ambition. Elle se savait inculte. Maîtresse Mélinda lui avait appris à lire et à compter, mais Luna n’avait jamais montré le moindre engouement pour la culture, mais beaucoup plus pour la servitude. Elle avait appris parce que Maîtresse Mélinda le lui avait ordonné, mais elle ne vivait que pour servir ses maîtres. De fait, Luna ne s’était jamais imaginée comme une neko libre, et cette simple perspective l’effrayait et la terrorisait, comme un enfant qu’on voudrait privé de ses parents. Il n’y avait tout simplement rien de plus terrible pour elle ! Alors, voir toutes ses Maîtresses ensemble, c’était pour elle un pur bonheur !

Dame Ai détacha donc les rubans, et pénétra encore Luna. Elle la prit en missionnaire, lui faisant face, visiblement heureuse des remarques de Luna. Celle-ci n’avait fait que dire la vérité, et, tandis qu’un orgasme les saisissait, une nouvelle idée s’insinua dans son esprit ! Luna ne s’émancipait qu’à travers la soumission, il était frappant de voir combien elle aimait le sentiment d’être une esclave, qu’on lui donne des ordres, qu’on la fasse obéir. Elle ne vivait que pour ça !

L’orgasme de Dame Ai fut intense, et remplit à ras bord le ventre de Luna, qui jouit en retour. Sa partenaire sembla ensuite se calmer, reprenant peu à peu son souffle, et resta lovée contre elle. Quand Dame Ai évoqua l’idée qu’elle ressemblait à une femme enceinte, Luna sourit doucement. Sa main caressa son gros ventre arrondi.

« Nyu… Luna a hâte de ressentir ça, Dame Ai… »

Ses Maîtresses avaient promis de lui donner un bébé après leur séjour au Paradisio Hotel de Novac. Luna était donc impatiente ! Elle regarda ensuite Dame Ai, et lui sourit alors, tout en rougissant légèrement.

« Luna se demandait… Est-ce que Dame Ai pourrait confectionner de beaux vêtements pour les Maîtresses Karistal aussi ? Elles méritent d’avoir une garde-robes aussi bien fournie que celle de Maîtresse Mélinda ! »

Mine de rien, Luna employait des mots un peu compliqués, ce qui était sûrement le signe que sa culture ne cessait de croître. Les Maîtresses Karistal exigeaient aussi que Luna aille à l’école. Se prélasser comme une neko, c’était bien, mais il fallait tout de même travailler un peu ! Luna se devait d’être à la hauteur, elle devait être digne d’être l’esclave des Maîtresses Karistal !

De son côté, Alice sourit doucement. Elle savait qu’Harmony l’aimait. À ce stade, il aurait fallu être aveugle pour ne rien voir, mais elle ne savait vraiment pas comment réguler ça. L’amour était un sentiment compliqué, ambivalent, qui pouvait vous amener à commettre les choses les plus belles au monde… Comme les plus effroyables également. Elle ne savait pas comment Harmony réagirait face à un amour courroucé, et Alice ne savait pas non plus quoi faire. Devait-elle la traiter comme n’importe qui d’autre ? Ou cesser de la voir afin de taire ses passions blessées ? Mais elle ne voulait pas faire de mal à Harmony, et Mélinda lui avait dit que, quand Alice décommandait des voyages au harem, cela chagrinait toujours Harmony. Pourtant, la jeune Ange savait qu’elle désirait une chose inaccessible, qu’elle ne pourrait pas se marier avec Alice. La Princesse ne voyait pas quoi lui proposer, à part de devenir sa concubine, ce qui était une pratique en vogue à Mijak. Mais Harmony se refusait à cela, voulant d’un amour total ou non.

Finalement, Alice lui avait fait sa proposition, mais Harmony la rejeta. Elle ne répondit d’ailleurs pas vraiment, mais la Princesse n’avait pas besoin d’une longue explication pour comprendre ce qu’elle voulait dire. Elle était suffisamment intelligente pour comprendre ça, et sourit brièvement.

« Comme tu le souhaites, Harmony… »

Elle l’embrassa alors, et sentit Harmony répondre à ce baiser avec envie. Le corps de la Princesse remuait en elle, et elle continuait à la prendre en missionnaire. Elle aurait sans doute pu varier la position, mais elle se disait aussi que voir son visage devait plaire à Harmony, voir le visage de la Princesse se tordre petit à petit sous le plaisir inouï et primitif du sexe. La jeune tête blonde sourit en se pinçant les lèvres ensuite, et reprit ses coups de reins.

« Tu… Tu es si gentille, Harmony… Hmmm… C’est si bon, haaaa… »

Alice n’allait toutefois pas insister sur le retour à Sylvandell. Si Harmony ne voulait pas s’y risquer, elle n’insisterait pas davantage. Elle voulait toutefois la sortir de sa coquille, et l’embrassa encore, avant de mordiller sa lèvre inférieure. La jeune femme tira doucement dessus, comme pour sortir la jeune femme de ses songes.

« Allez, hmmm… Je suis sûre que tu as un fantasme particulier avec moi, Harmony ! Dis-le-moi… Dis-moi comment tu veux que je te fasse l’amour, hnnn… »

La jeune Ange se repliait sur elle-même, afin de se soucier du bonheur des êtres avant le sien… Mais cela ne prendrait pas avec Alice, qui voulait précisément la faire sortir de sa coquille !

Mélinda, quant à elle, se posait beaucoup moins de questions qu’Alice. Elle pouvait voir que ses convives étaient comblées. Alice était en train de se rapprocher d’Harmony, et, si la vampire doutait que ce soit suffisant pour régler les problèmes sentimentaux d’Harmony, elle espérait que cela lui ferait du bien. Quant à Ai, elle semblait comblée avec Luna, cette petite peluche pleine d’amour qui avait longtemps été la cobaye vestimentaire d’Ai, qui se plaisait à l’habiller comme une belle poupée sexy avant ses soirées avec Mélinda. Et Mélinda connaissait suffisamment Luna pour savoir que la jeune neko appréciait également fortement ses retrouvailles avec son amante.

Ceci étant dit, Mélinda s’intéressait surtout aux trois femmes devant elle. Comme Yuko et Yuka le remarquèrent vite, Mélinda avait un penchant pour l’inceste, a fortiori entre deux jumelles qui se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Elle sourit doucement, et, devant la réflexion de Yuko, caressa son visage, serrant ses cheveux.

« Je te trouve un tantinet insolente pour une esclave, ma petite Yuko… »

Vanillia la gifla au même moment, faisant claquer sa main sur les fesses de Yuko.

« J’en assume l’entière responsabilité, ma chérie, c’est moi qui devrais la dresser mieux que ça… »

Les Karistal étaient des femmes autoritaires, mais qui, à la manière d’Alice, avaient aussi un goût pour la soumission. Et, quand Mélinda venait les voir, la vampire se retrouvait souvent à jouer le rôle de Maîtresse pour elles. Évidemment, ceci ne déplaisait nullement à Mélinda, qui appréciait beaucoup les Karistal, autant sur un plan personnel qu’intéressé. Mine de rien, les deux jumelles étaient les héritières d’un clan influent de Mijak, et avaient même leurs entrées auprès de la famille impériale, en étant amies avec l’une des Princesses Impériales, Amy.

Les deux jumelles s’embrassèrent donc, et Mélinda s’enfonça ensuite dans la chatte de Yuka, qui frémit sur place, tandis que Vanillia opta pour le fessier de Yuko. Elle crispa ses doigts sur ses hanches en s’enfonçant en elle, et grogna sur place. Vanillia aimait beaucoup tout ce qui avait trait à l’anal, et il n’était donc pas surprenant de la voir agir de cette façon, venant sodomiser Yuko. Les deux blondes se tortillaient sur place, venant s’embrasser longuement et sensuellement. Mélinda remuait de son côté dans la délicieuse chatte de Yuka, venant la prendre avec appétit.

« Haaaa… »

Devant elle, Mélinda voyait les deux têtes blondes, et se pencha vers elles. Elle releva la tête de Yuko, et l’embrassa alors. Le quatuor se dandinait sur place, et Vanillia se pencha à son tour. Sa queue s’enfonçait dans le cul de sa partenaire, et elle embrassa à son tour Yuko.

« Hmmm… Vilaine esclave ! »

Elle la fessa à nouveau, et reprit alors sa sodomie, plus brutalement. Le visage de Yuka étant sous celui de Yuko, il était plus difficile de l’embrasser, mais, bien évidemment, Mélinda ne l’oubliait pas, et continua son jeu de rôle :

« Tu… Tu devrais t’inspirer de Yuka, Yuko… Hmmm… Regarde Luna, quel exemple es-tu en train de lui donner, haaa… ? »

Mélinda souriait doucement devant ce spectacle savoureux.
Sha sourit doucement quand Kiriko lui fit une proposition très particulière. Elle voulait sentir deux verges dans son cul et deux verges dans sa chatte, soit quatre Sha sous elle ! Matériellement, cela allait être compliqué ! L’Ombre admirait toutefois la perversité naturelle de Kiriko avec elle. Les deux femmes s’étaient bel et bien enfoncées mutuellement dans une très grande perversité, mais il fallait encore voir comment tout cela allait évoluer ! Sha dut un peu réfléchir, mais arriva vite à la conclusion que ça n’allait pas être possible.

« Je peux faire ça, oui… »

L’Ombre se concentra alors, et changea à nouveau de forme. Elle opta pour sa forme slimesque. Peu à peu, son corps évolua, et elle adopta cette forme plus massive, très érotique, avec six tentacules qui jaillirent de son dos. Elle sourit malicieusement en se rapprochant de Kiriko, et généra d’autres tentacules. Puisque Kiriko voulait passer aux choses sérieuses, Sha allait la satisfaire ! Tandis qu’elle se rapprochait d’elle, sa verge noirâtre se dressant fièrement.

Les tentacules jaillirent alors, de nouveaux, qui s’enroulèrent autour des bras de Kiriko et de ses chevilles. Elle la souleva dans les airs, et rapprocha son corps du sien. Sha sourit doucement, et caressa les jambes de la femme avec ses mains. Plutôt que de multiplier inutilement les clones pour satisfaire sa promise, elle fit appel à une recette aussi vieille que le monde, et qui n’avait jamais cessé de prouver son efficacité : ses tentacules.

Elle enfonça sa verge dans la chatte de Kiriko, et grogna sur place. Elle avait pour le coup développé une verge très grosse, et sentit Kiriko se crisper sur place, son esprit semblant se fracturer sous ce coup solide. Deux autres tentacules allèrent s’apposer sur les seins de Kiriko, et se mirent à les palper, tout en enfonçant rapidement une seringue en elles. Ceci permit de gonfler les seins de Kiriko, les remplissant de lait, que les tentacules se mirent à pomper.

« Lààà, hmmm… Ma belle, hnnn… »

Deux tentacules s’enfoncèrent alors dans le fondement de Kiriko. Certes, Sha n’enfonçait pas une deuxième verge dans sa chatte, mais il n’y avait tout simplement plus de place ! Sa verge slimesque s’y enfonça profondément, et elle grogna sur place. C’était si bon ! Ah, quelle intensité, quel plaisir ! Elle continua à la prendre avec appétit, gémissant fortement. Hum, mais que c’était bon ! Sous cette forme, le plaisir qu’elle ressentait, le désir, tout cela était totalement décuplé !

L’Ombre soupira une nouvelle fois, laissant le corps de Kiriko se tendre et se crisper sur place. C’était magnifique !

« Tu aimes ça, h-hein ? Hmmm… Que je te prenne… Que je te prenne comme si tu étais ma pute ! »

Sha ne pouvait qu’aimer ça, elle ! C’était si bon, si délicieux ! Elle la prenait avec force et puissance, mais elle était uniquement motivée, dans le fond, par l’amour furieux qu’elle ressentait pour Kiriko !
Avec sa belle tenue de bunny girl, Harley était, pour être honnête, assez irrésistible. Poison Ivy commençait à fondre sous le traitement succulent et savoureux de sa langue. Cet appendice appétissant glissait sur sa verge, tandis que les deux femmes flottaient sur le toit du Paradisio Hotel. Sa verge florale se dressait fièrement, et les coups de langue d’Harley ne tardèrent pas à la durcir encore. Sa queue se mit à s’élancer fièrement, devenant plus douloureuse, amenant Pamela à se mordre les lèvres, crispant son corps sur place, tandis qu’elle sentait avec insistance et passion Harley jouer sur son membre.

Son beau petit clown continuait à la titiller, glissant sur sa hampe de chair. Le contact était magique, électrisant, et, quand elle prit sa verge en bouche, Pamela soupira longuement. Elle posa sa main sur la tête de sa partenaire, et la sienne bascula brièvement en arrière sous l’effet d’une secousse importante de plaisir. Une puissante vague remonta en elle, la traversant de part en part, et la fit trembler comme une feuille.

« Hmmm… ! »

Tout en soupirant, Pamela eut l’impression curieuse de voir deux corps flotter dans les airs, à proximité, dérivant lentement dans les cieux… Son esprit devait sans doute lui jouer des tours ! Elle soupira à nouveau, et sentit Harley continuer à la sucer. Baissant la tête, elle la regarda faire, caressant ses cheveux. C’était un spectacle hypnotique, magnifique et sensuel… Voir cette bouche filer d’avant en arrière, voir Harley se livrer à sa passion, c’était exquis, tout simplement indescriptible ! L’amour la dominait totalement, la remplissait de part en part, mais elle n’eut pas le temps de jouir qu’Harley se releva alors, et joua avec ses seins.

Ivy ferma les yeux pendant quelques secondes lorsqu’elle sentit les seins de sa femme comprimer sa queue. Très habile de son corps, et toujours aussi souple, Harley opta pour une branlette espagnole, une cravate de notaire très agréable. La verge florale d’Ivy remua contre les seins de la belle blondinette, sa queue remuant d’avant en arrière, heurtant un océan de tendresse, de chair, de douceur et de chaleur.

« Haaa… Harley, hmmm… »

Harley lui demanda ce qu’elle préférait, et Ivy sourit doucement. Il était assez difficile de lui répondre clairement, tant son esprit s’enflammait sur place.

« Oh, Harley, je… J’aime t-tout, hmmm… Tout de… De t-toi ! »

Et elle relâcha alors sa semence. Sa queue tressauta sur place, et éclata sur le torse d’Harley, remontant jusqu’à éclabousser son visage. Les belles joues verdâtres d’Ivy avaient mué au rouge, et elle s’abandonna avec appétit, relâchant sa chaude semence végétale. C’était délicieux, tout simplement, un sentiment de libération totale, de jouissance absolue. Elle jouit donc, et sourit ensuite, avant d’amener Harley à se relever… Puis la poussa alors.

Sa belle Harley s’allongea au centre du bassin, sur l’énorme plante qu’Ivy avait fait pousser. Ivy était après tout la spécialiste des grosses plantes qu’elle utilisait comme trône ou comme lit. Elle rejoignit ensuite celle qui était destinée à devenir sa femme, et l’embrassa brièvement sur la bouche, tout en venant la masturber pendant la durée de ce baiser.

« C’est à mon tour de te nettoyer, ma belle, regarde comme je t’ai salie… »

Ivy glissa ça avec un semblant de culpabilité dans la voix, un trémolo qui n’en était toutefois pas un. Sa langue se promena alors, et, à son tour, elle se mit à lécher Harley, glissant sa langue sur son sperme, qu’elle alla ensuite partager avec sa femme, multipliant les baisers, prenant avec Harley tout le temps requis pour honorer son corps comme il le méritait…
Un sourire amusé éclaira les lèvres de Félicia devant cette inversion des rôles. Aoki saurait-elle se montrer à la hauteur ? Félicia n’en savait rien, mais elle savait que sa compagne pouvait se montrer très dominante. Elle formait après tout plusieurs élèves, comme Doutzen, qui n’hésitaient pas à lui donner du « Maîtresse ». Et Félicia était effectivement sérieuse. Il lui avait fallu du temps pour oublier le visage de Peter Parker, et, même si elle ne pouvait pas nier toujours ressentir quelque chose pour Spider-Man, force était d’admettre qu’Aoki emplissait désormais ses songes et ses pensées. Sa proposition de mariage était incongrue, mais réelle. Certes, les deux femmes faisaient copieusement l’amour ensemble, mais il aurait fallu être aveugle pour limiter leurs relations au simple apport sexuel. Ensemble, elles avaient défié Mr. Scratch, et menaient une véritable vie de couple. C’était là l’étape supplémentaire, ce dont Félicia avait pris conscience depuis plusieurs semaines. Cette séance au Paradisio Hotel n’était que l’étape ultime, le dernier passage avant la consécration d’un nouveau chapitre dans leur relation.

Elle frémit donc en sentant la verge d’Aoki caresser ses lèvres intimes. Son regard croisa le sien, et Félicia frissonna encore. Elle commençait à ronronner sur place, son corps venant subtilement la trahir pour exprimer tout son désir.

« Oh, Aoki… Venez remplir votre belle chatte, Maîtresse Aoki ! »

Sa partenaire la pénétra alors, et commença à remuer. Félicia se pinça les lèvres. Pour Aoki, elle avait été à Uatis, elle avait subi une opération génétique lui permettant de devenir hermaphrodite, un traitement qu’Aoki avait également suivi. Et… C’était bon, tout simplement. Délicieux et savoureux ! Sa partenaire remuait encore, venant la prendre en missionnaire. Le temps défilait rapidement, au fur et à mesure qu’Aoki multipliait les coups de reins. Elle gémissait lentement, tout en sentant l’étroitesse de son con. Félicia sourit doucement, gloussant légèrement, et posa sa main sur les cheveux d’Aoki.

Elle s’appuya dessus et déplaça son autre main pour palper les belles fesses de sa partenaire. Félicia avait bien écarté les jambes, de manière à faciliter les pénétrations de son amante. Ses coups de reins se multipliaient, et la Chatte Noire gémit une nouvelle fois, sentant ses yeux se voiler pendant quelques instants. Aoki était, comme à son habitude, très gourmande, et la prenait de manière passionnelle, accélérant progressivement le rythme.

« Ohhh… »

Félicia avait écarté ses jambes, facilitant ainsi l’accès d’Aoki, mais, après plusieurs minutes, elle se décida à l’embêter. Ses jambes s’enroulèrent autour des siennes, venant restreindre les mouvements de sa partenaire, et elle enfonça ensuite un doigt dans son fondement. Elle sentit cette paroi ferme, et les parois anales se dilatèrent rapidement, ce qui lui permit de glisser ensuite un second doigt en elle.

« Toi, en revanche, ça se dilate très facilement, hmmm… Tu es vraiment une grosse cochonne, Aoki ! »

Il ne fallait pas non plus s’attendre à ce que la Chatte Noire se montre docile et sagement obéissante envers elle ! Un peu de provocation, cela faisait toujours du bien !
La vision était terminée. On aurait pu dire, en faisant du mauvais esprit, que tout cela n’avait servi à rien. Mais qui aurait cru que Samara aurait pu faire disparaître en un claquement de doigts une telle phobie ? Cette phobie n’était pas irrationnelle, elle avait pour origine un traumatisme profond, lié à la naissance de Sya. La jeune et frivole Ange qu’elle avait jadis été était tombée, visiblement lors du Grand Conflit, et, après avoir été victime de la cruauté des hommes, avait été traumatisée par eux. Lust l’avait aidé à se reconstruire, mais même la Déesse de la Luxure n’avait pu la soigner de ce traumatisme. Alors, Samara aurait peut-être dû abandonner, mais elle n’interprétait pas les choses de cette manière. Au contraire, elle allait se battre, elle allait redoubler d’efforts ! Elle ferait tout son possible pour la guérir, car c’était son rôle.

Toute cette vision n’avait eu qu’un seul objectif : les rapprocher. Que Sya sache qu’elle pouvait lui faire confiance, autant qu’elle faisait confiance à sa propre Déesse ! Samara était là pour elle, et Sya se lova d’ailleurs contre le corps de sa démone, séchant ses larmes. La démone lui faisait un long et tendre câlin, l’embrassant affectueusement sur le front. Samara était bien décidée à lui montrer qu’elle pouvait avoir confiance en elle, qu’elle ne ferait jamais rien contre elle.

« Bien sûr, Sya. Je ne t’abandonnerai jamais, tu le sais, maintenant, non ? Tout ce que je veux, c’est ton bonheur, Sya… Tu n’en doutes pas, j’espère ? »

Samara l’embrassa tendrement sur les lèvres. Sya commençait à aller mieux, à sortir de ses peurs, mais la démone ne pouvait pas non plus faire comme si de rien n’était.

« Je vais t’aider à guérir, Sya… C’est la promesse que je te fais. Nous prendrons notre temps, rien ne presse. »

La démone avait déjà quelques idées. Elle hésitait à en parler à Ishtar Naviento. C’était une femme puissante, une bonne amie, mais son côté brutal et imprévisible risquait de ne pas coller avec quelqu’un comme Sya. Il y avait aussi Mélinda, mais, inversement, Samara craignait que Mélinda n’ose pas brusquer les choses avec Sya. La vampire pouvait facilement être impressionnée devant les signes d’autorité. Samara songea alors que le meilleur moyen serait sans doute d’en référer à Lust directement. La Déesse avait déjà manifesté un vif intérêt pour Sya, ainsi que pour Mélinda. Samara devrait donc réussir à la contacter.

Samara sourit à nouveau, et déposa un baiser sur ses lèvres. Un baiser appuyé et tendre, qu’elle rompit ensuite, en caressant à nouveau le visage de Sya, remettant des mèches de cheveux rebelles derrière son oreille.

« Tu me fais confiance, Sya ? »

Hinata & Nora

Hinata était en train de mettre son rêve en place, avec Shunya, elles voulaient fonder une grande et belle famille. Cela se fera, évidemment, une pierre à la fois. Quand bien même le destin pourrait donner un petit coup de pouce, Shunya n'allait pas porter en elle une vingtaine de bébés en une seule fois ! Elle était humaine, ce n'était pas une bête ! Et puis quel était le record d'une femme enceinte ? Sept ou huit ? Et c'est très rare alors dépassé les dix en une fois, bonjour l'épuisement ! Enfin bon, pour le moment, la nouvelle reine se faisait prendre par sa femme mais Nora ne tardait pas à la rejoindre, venant prendre Shunya par-derrière. Elle y allait doucement, elle ne voulait pas bousculer leur rythme après tout, mais voilà, l'anus de la jeune seconde reine était des plus plaisant. Cela lui changeait même si coucher avec Hinata, ça remontait un peu depuis que l'ancienne princesse était amoureuse et maintenant, marier. Elle ne se sentait pas délaissée, il était normal qu'Hinata ai plus d'yeux pour son épouse que pour Nora, l'ange fut un bon soutient et continuerait de veiller sur elle et maintenant, sa famille qui grandissait petit à petit. Mais voilà, comme ce soir, elle voudrait de temps à autre regouter à ce plaisir. Avec Hinata ou Shunya, elle faisait partie de la famille maintenant et Nora, c'était un peu la grande sœur qu'Hinata aurait aimé avoir.

« Haaaaan, ouiiiii, Shunyanyaaaaaaaaaa... Rempliiiiis moiiiiiiiii, nyaaaaaaaaaaa ! »

Hinata était plus dominante que dominer, bien qu'elle ne montrait pas vraiment, mais dans la perspective d'avoir à son tour un bébé de sa femme qui grandirait en elle, elle se laissait volontiers mettre en laisse si cela pouvait motiver la libido de sa femme et permettre à sa semence de se montrer plus productive aussi. La reine se laissait prendre, les cuisses bien écartées pour que sa moitié ai toute la place d'y loger son épaisse queue qui lui semblait plus grosse encore qu'à son entrée. Hinata miaulait de plaisir en se laissant prendre, heureuse de voir sa femme participer à ce doux rêve qu'elles partageaient. Oui, Hinata a toujours voulu avoir une grande famille, très nombreuse. Dans ses fantasmes, elle y voyait que de belles princesse mélangeant leurs deux beautés pour former tout un groupe de petites poupées plus adorables unes que les autres. Mais Nora n'était pas en reste, ses mains doucement posé sur les hanches de la demoiselle, elle murmurait à son oreille, telle la voix de la raison, ou de la tentation, qui sait ?

« Profites-en, ma choupette... Elle t'est tout offerte et la seule chose qu'elle attend, hummm, de toi... c'est que ta queue comble toute sa petite chatte... Remplis-là, comble le vide en elle... plante-y hmmm... ta petite graine. »

Shunya avait le droit de se lâcher, surtout que là, sa femme lui était offerte sur un plateau d'argent, libre à elle de combler toutes ses envies, du moment qu'elle remplissait son rôle et que bientôt, Hinata apprendra que dans son ventre aussi, la vie y grandit.

« Nyyyyya, Maîtreeeeeeesse ! »

Dit-elle en tendant ses bras vers sa femme.

Tessou

C'était divin ! Tessou couchait avec Kara comme jamais jusqu'ici, même si leur première fois fut des plus mouvementés, là, elle se surpassait ! Une véritable succube avait pris possession de son corps et elle couchait avec la Kryptonienne, s'envoyant littéralement en l'air, passant près de la mer, les étoiles en guise de couverture. Tout était beau, magique, elle était dans un rêve éveillée, tout simplement. Accrochée à Kara, elle savourait tout ce plaisir qui déferlait en elle, oubliant tout le reste, ne gardant qu'une seule chose en tête, le sexe et rien d'autres ! Même si vu la condition particulière de leur union dans les airs, c'était la super femme qui faisait pratiquement tout, Tessou tentait d'y mettre du sien, son corps se frottant au sien, cherchant à avoir ses lèvres pour l'embrasser plus fort encore, sentant sa bite en elle. Son magnifique et puissant membre qui lui rentrait entre les cuisses, lui donnant ce plaisir si particulier, si grand !

« Haaaaan ouiiiii Ka-RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! »

Tessou hurlait son plaisir sous les étoiles, s'accrochant à elle, son utérus bien remplit de sa semence, en temps normal, cela aurait pu lui suffire, elle aurait pu se contenter d'un baiser et s'endormir entre ses bras si Kara ne voulait pas y ajouter un deuxième round. Mais pas ce soir. Elle l'embrassait rapidement, ses dents venant doucement mordiller sa lèvre inférieure sans insister plus que ça.

« Oh non, mon amour... Tu m'as pas rempli à fond là. Ne serait-ce que mon cul... D'habitude, tu adores me le caresser et le complimenter... Alors défonce-moi le cul, après, on verra. »

Véritable diablesse, on était loin de la douce Tessou qui rougissait face aux mots doux de Kara ou qui avait honte d'aimer voir sa belle blonde plus dominatrice ou bien encore quand c'était elle qui succombait à cette débauche. Là, elle laissait cela de côté, elle faisait confiance à ses instincts primale. Reste à voir si Kara voulait retourner dans leur chambre pour faire ça sur le lit ou bien si Tessou devait encore se faire prendre face aux étoiles ? Cela ne la dérangeait pas, ça avait un côté romantique dans toute cette luxure après tout. Ses lèvres continuaient d'embrasser Kara, que ce soient ses lèvres, son cou, son visage, elle restait assez sage malgré ses mots pour le moment.

« Vas-y... fait de moi ta chose... enfin, si tu y arrives. »

Le sourire tendu presque comme un rire malsain, Tessou lui mordillait le cou, cherchant à voir jusqu'où Kara irait ? Dans son lit, même si Kara se lâchait, elle se demandait si parfois elle ne se retenait pas pour elle ? Elle se faisait peut-être juste des films, mais Tessou lui imposait parfois tellement de chose qu'elle avait l'impression de fixer des barrières avant même que Kara ne tente quoi que ce soit. Mais ce soir, elle était déchaînée, libérée de ses propres barrières. S'était-elle rendue compte elle-même qu'elle avait appelé Kara « mon amour » ? Même un « chérie » parfois la faisait rougir en s'excusant de ce terme. Elle ne savait pas si elle aimait Kara ou si elle était trop directe, sa pudeur japonaise, mais ce soir, cette même pudeur était rester coincé ailleurs, là, elle se libérait.

Ai, Harmony & les Karistal

Dans la chambre de Mélinda et Vanillia, bien du monde se retrouvaient à partager leur amour et leurs envies. Aucune trace d'amour pur dans ce petit couple, juste deux esclaves voulant satisfaire leurs plus bas instinct ensemble, Luna se laissait prendre par Ai qui adorait baiser tout ce qui avait un vagin, mais surtout une tenue des plus attirantes ! Mention spéciale aux sous-vêtements. Étant donné qu'elle avait elle-même choisie de quoi rendre la petite neko encore plus belle, il était évident qu'elle allait la remplir comme il se doit ! La petite tornade verte de Mélinda venait à jouir, remplissant l'utérus de la neko de façon colossale, ayant déjà un ventre bien rond après un tel orgasme. Bien rond, on la confondrait avec un vrai bébé alors que tout cela n'était que du foutre qui allait doucement s'écouler d'elle pour retrouver sa taille fine dans quelque temps. Toujours ravie de jouir autant, Ai aurait pu se régaler de juste cela, observer Luna avec son ventre rond, elle n'était pas cruche et vu ses mots, elle se doutait bien que devenir maman l'intéressait. Ai ignorait si elle pouvait lui rendre ce service, jusqu'ici, jamais aucune femme ne lui avait annoncé une telle nouvelle et c'était tant mieux ! Elle n'avait rien contre les enfants et devenir maman, mais elle était bien trop jeune pour assumer un tel rôle, elle voulait juste s'amuser sexuellement en profiter à fond avant d'avoir ce genre de chose à gérer !

Malgré tout, la petite neko avait un service à lui demander, pas vraiment un service sexuel – quoique ? – étant donné qu'il s'agissait d'une chose qui passionnait Ai autant que le sexe, et qui pourtant, était totalement légal. Elle l'écoutait attentivement en caressant son petit ventre bien remplit, avant de lever les yeux vers elle.

« Ne m'appelle pas Dame Ai, Luna, je suis une esclave, comme toi. » dit-elle gentiment. La petite futa aimait se sentir dominante, mais elle ne demandait pas à ce qu'on la nomme maîtresse ou autre. Puis c'est vrai, même si Luna était maintenant chez les Karistal, elles restaient toutes les deux des esclaves. « Si Maîtresse me laisse du temps libre pour ça, je me ferai une joie de leur faire de jolies robes ou de ravissantes petites culottes ! Mais quelque chose me fait dire qu'elles apprécieront encore plus de voir une gentille Luna dans de nouveaux vêtements et sous-vêtement plutôt que de porter, elles, de nouvelles choses, tu ne crois pas ? »

Bien sûr, elles seraient ravies d'avoir de nouveaux vêtements, mais voir leur petite Luna bien habillée et encore plus sexy dans quelque chose qu'elle n'avait encore jamais mis, pour elles, le choix était simple !

« Je pourrais même confectionner quelque chose, une sorte d'ensemble similaire pour que vous ayez toutes les trois la même chose, à quelques détails près. »

Question de couleur, de détail de tissu, de motif, froufrou ou dentelle, Ai ne pouvait pas deviner comme ça d'un coup de baguette magique ce qui serait le mieux. Sur ça, elle se tuait à la tâche quand il s'agissait de trouver de nouvelles idées. Un des rares moments où elle ne pense pas avec sa queue même si tôt ou tard elle avait besoin de faire une pause pour se soulager un peu afin d'avoir les idées claires. Surtout quand il s'agit de sous-vêtement, imaginer ses modèles dedans, ça lui donnait bien des idées, très loin d'être chaste en plus.

« Est-ce que Luna aurait des idées ? Ou un détail précis à me donner ? »

Une ligne directrice à tenir ? Ai voulait bien y aller selon son inspiration, mais si sa cliente avait une idée précise, même floue, il était préférable de lui en faire part afin que cela puisse au mieux coller à ce qu'elle pourrait avoir en tête. Ai restait douce et intéressée, continuant juste de caresser son joli ventre tout rond !

Concernant la princesse et Harmony, c'était sûrement l'ambiance la plus romantique des trois, même si cette romance était à sens unique. Alice avait bien laissé un espoir, mais si Harmony devait aimer quelqu'un, ce serait véritable et entier. Elle ne voulait pas être la femme de rechange, la concubine, la maîtresse. Non. Elle voulait être une épouse, un amour sincère, véritable, partager une chose qui conduirait tôt ou tard à avoir des enfants avec cette personne. Elle avait rencontré Alice que trop tard, la princesse avait un homme dans sa vie avec qui se marier bientôt, elle n'était pas une femme égoïste et cruelle qui ferait tout pour gâcher cette union et obtenir Alice à la place de son futur époux. Non. Le seul cas de figure où elle pourrait agir de la sorte et encore, elle aurait quelques remords, c'est que son fiancée soit violent et la traite comme une merde, mais ça n'avait pas l'air d'être le cas alors elle devra apprendre à tourner doucement la page et un jour, rencontre cette femme ou cet homme dont elle tombera à nouveau amoureuse. Mais avant que ce jour n'arrive et qu'elle ne tourne doucement la page, ce soir, elle fixait cette page où elle y écrivait ses fantasmes, les choses qu'elle aurait pu vivre aux côtés d'Alice, un avenir doux et beau, juste le temps de cette soirée. Une fois le soleil levé, ce sera de l'histoire ancienne, mais pour le moment, c'est la lune qui trônait dans le ciel.

Alice continuait de lui faire l'amour, de façon classique, certes, mais la demoiselle n'avait rien contre. Elle n'était pas comme la majorité des gens, elle avait même du mal à adopter les goûts de sa maîtresse. Elle n'avait rien contre le latex sur les autres, mais sur elle, elle n'y arrivait pas, ça collait, elle se sentait étoffée. Un jour viendra où elle y arrivera sûrement, mais pour le moment, non. Là où la plupart des gens avaient donc des fantasmes ou des préférences, Harmony n'en avait pas. Elle partageait les goûts de sa partenaire, faisant comme elle le souhaitait, faisant de son mieux de son côté pour réussir à être au top, mais c'est tout. Elle, ce qui la faisait fantasmer, c'était l'histoire d'amour avec un grand A et non un petit Q. Elle voulait trouver une personne à aimer, qui l'aimerais en retour et avoir une vie de famille idyllique. Banale pour certains, mais elle, elle aspirait à cela. Ses parents étaient des gens heureux avec des goûts simple. Oh certes, elle ne savait pas ce qui aurait pu se passer dans leur chambre une fois le soir venue, mais en tout cas, ils étaient si heureux, avec si peu de chose, juste à vivre ensemble, comme une vraie famille. C'est ça qu'elle voulait.

La princesse cherchait à trouver le point faible d'Harmony, la petite chose qui la fera craquer et la libérer, mais c'était déjà le cas. Il y avait peut-être des gens autour d'elles, mais faire l'amour à Alice, seule à seule, c'était déjà parfait pour elle. Certes, rendre la chose plus parfaite serait impossible. Alice n'allait pas abandonner son mariage pour elle, que ce soit naturel ou magique, elle s'en voudrait pour son fiancée avec qui elle avait dû prévoir déjà bien des choses ensemble, mais oui, dans un monde parallèle, elle aurait aimé être sa femme, porter ses enfants, avoir la bague au doigt. Elle n'aimait pas Alice pour le prestige ou pour avoir un mariage de princesse, elle a juste eu le coup de foudre la première fois qu'elle a vue cette jolie blonde venir voir sa maîtresse. Elle en avait perdu ses mots en la voyant. Harmony lui caressait le visage à son tour, l'embrassant délicatement, car de toute façon, elle n'était que douceur.

« Hmm, mon fantasme... c'est de faire l'amour hum, avec toi... »

Il n'y avait rien de plus simple. Pas de tenue de latex, pas de costume, pas de comportement, de mot grossier, non, le plus simple était ce qu'il y avait de mieux pour Harmony. Quitte à ne pas avoir sa vie tant fantasmé auprès d'Alice, autant avoir une douce nuit où elle lui faisait l'amour. Évidemment, elles pourront varier les plaisirs et les positions, mais la semi-ange pensait avant tout à sa partenaire donc elle la suivait, tout simplement.

Concernant les jumelles, elles continuaient de prendre leur pied auprès du couple de vampire, Yuko était prise par Vanillia et Yuka par Mélinda donc. Yuko avait le cul bien remplit et pour sa jumelle, c'était sa petite chatte, tandis que les vampires se faisaient une joie de montrer leur dominance à Yuko qui se plaisait à les provoquer. Il fallait bien ça pour pimenter un peu les choses, car être docile était amusant, mais l'être moins était encore mieux ! Vanillia la fessa pour lui apprendre le respect, reprenant un second souffle dans leurs ébats, Yuko étant bien vite prise pour cible pour se faire embrasser ici et là, idem pour Yuka. Mélinda tentait même de lui demander de donner l'exemple pour Luna, ce qui fit rire Yuko intérieurement. Cette petite chatte était toute gentille et docile et pour la punir, elles devaient inventer des prétextes bidons. Ce n'est pas comme si Luna craignait cela, elle adorait voir ses maîtresses martyrisées ses petites fesses toutes douces !

« Luna adoooore, haaaaa... qu'on s'occupe d'elle, mmmhhh... comme ça... »

Luna n'était pas si impertinente, même si ça pouvait arriver, mais pour sûr, elle le faisait exprès, pour son propre plaisir à elle, comme pour celui de ses maîtresses. Parlant de faire plaisir à autrui, elle avait bien une petite idée qui pourrait bien plaire au couple de vampire. Entre deux gémissements, elle tourna son visage vers Vanillia, remuant ses petites fesses par la même occasion pour mieux satisfaire la vampire.

« Maîtreeeeesse ? Huuuum.... Et si je haaaam... j'allais m'allonger sur Yuka, huum ! Je lui boufferais son bonbon, haaa... et maîtresse pourra hou, changer de trou, si elle le veut ? »

Une idée loin d'être mauvaise, Vanillia pourrait en faire de même, mais surtout, le couple de vampire pourra se rapprocher pour mieux s'embrasser tout en baisant leurs esclaves. Yuko pourra comme elle l'avait dit, lui bouffer le clitoris ou sucer Mélinda, et Yuka pourra forcément lécher la chatte de sa sœur et parfois la queue de Vanillia si cette dernière le voulait bien. Ça pouvait être un programme bien alléchant tout ça, mine de rien, non ? De quoi leur plaire à toutes les deux !

Kiriko

La sorcière était forcément heureuse de pouvoir partager cela avec sa femme, mais elle en voulait plus. Plus pour toujours plaire à sa déesse, qu'elle aussi ne se limite pas, qu'elle lui fasse subir ses envies, son corps pourra subir ses assauts si cela peut plaire à la divinité. Et puis, c'était aussi un côté qu'elle aimait chez sa femme, non ? De la voir en vraie salope qui en demandait toujours plus ? À croire que même une déesse ne pourrait pas en venir à bout, pas aussi facilement en tout cas. Face à sa demande bien courageuse, elle n'était pas effrayée, elle ne demandait pas forcément quatre clones, ça serait compliqué à mettre en place, mais au moins deux qui auraient des verges équivalentes à deux juxtaposé, non ? Mais Sha saura trouver un moyen plus simple pour satisfaire son épouse et y prendre son pied à la fois. Prenant sa forme slimesque, Kiriko savait que depuis qu'elle avait retrouvé l'accès à cette forme, elle adorait l'utiliser. Très vite, elle fut attrapée par les tentacules alors qu'entre ses jambes, se dressait une belle verge, aussi grande que grosse ! De quoi la satisfaire ! Tout en veillant à ne pas « blesser » Arya même si actuellement, même un petit pois serait plus gros qu'elle.

« Ouh... ça se voit que tu me connais bien... »

Sha s'approchait d'elle, s'enfonçant aussi doucement que possible en elle, mais vu le monstre entre ses jambes, elle le sentait passer, mais quel plaisir ! Elle se tortillait sur place alors que les tentacules en faisaient autant avec son corps, sa poitrine surtout. Elle était sûre que si elle parvenait à baisser la tête vers son entrejambe, elle verrait la forme de sa bite déformer son ventre. Mais Sha ne s'arrêtait pas là, elle venait injecter quelque chose dans sa poitrine, lui faisant déjà cracher du lait par ses mamelons, de quoi remplir la pense des tentacules et indirectement, de la déesse. Elle n'oubliait pas de laisser quelques tentacules venir se faire un chemin entre ses fesses pour rendre heureuse la Celkhane qui faisait face à une Sha au sourire bien large et sadique, mais heureuse alors qu'elle couinait de douleur comme de plaisir.

« Haaaaa hhhuuuuuuummmm chiiiiiier ! Ouiiiiiiiii putttaiiiin !!! J'adore çaaaaaaaa ! Mais tu sais, ooooouf ! Je préférais... te voir toi... huuuuu... me bouffer le sein, hein ? »

Plutôt que deux tentacules, elle préférait voir une Sha assoiffée venir boire cela à la source et y prendre un plus grand plaisir encore. Ligotée et « torturée » par sa femme, elle se faisait baiser et elle adorait ça, comme le prouvaient ses cris, ses gémissements, et même la mouille qui s'échappait, coulant le long de ses cuisses ou se mêlant directement au corps slimesque de sa femme. Même sa salive avait du mal à rester en bouche, elle bavait face à sa divine femme qui savait être plus douce qu'un petit chaton, et aussi royale que la grande déesse qu'elle était.

« Houuuuuuu ouaaaaais ! Baise-moi !!! Remplis-moi encore la chaaaaaaatte ! »

Le sexe à l'état pur était aussi une bonne chose, leur amour à traverser tant d'âges, de la forme la plus primitif à aujourd'hui, elle restait toujours aussi intacte, tel un diamant brute, incassable et toujours aussi rayonnant ! Quand elle en avait l'occasion, elle se jetait sur ses lèvres, faisant tout pour l'embrasser même si en étant ainsi retenue, elle ressemblait plus à une sauvage qui chercherait à lui mordre le visage, mais non, l'amour, encore et toujours. Le plaisir venait de partout pour elle, surtout entre ses cuisses, mais sans oublier son cul où elle les sentait remuer en elle, d'avant en arrière. Kiriko était une femme comblé, mais tout cela n'était que la première page de leur longue, très longue vie ensemble. Il s'en passera bien des choses dans leur couple, mais cet amour sera le même, même après plusieurs années, plusieurs grossesses, pas besoin de divination pour ça, elle le savait, c'est tout.

Harley

L'arlequin continuait de se faire plaisir tout en prenant soin de la sublime rouquine qui était en érection pour elle. Harley y mettait tout son amour pour tenter de la faire jouir, y allant avec sa bouche puis sa poitrine, on pouvait dire que Pamela était très bien entouré et soigneusement choyé par son amoureuse. Mais le petit clown avait fini par réussir son coup, faisant jouir la jolie plante qui aspergea son visage, mais aussi sa poitrine. C'était plus son visage qui avait pris, mais ça coulait un peu donc oui, elle en avait un peu partout ! Mais ce n'était en rien un problème pour elle qui gloussait en voyant Pamela se soulager et se sentir soudainement plus légère grâce à elle.

]« Hahaha ! Regarde ça, tu en mets partout. »

On ne pouvait pas dire que ça la dérangeait, au contraire, avec Pam, c'était toujours comme ça quand elle ne la remplissait pas un de ses trous. Mais la jolie plante la relevait pour mieux la repousser et se blottir contre elle. Son corps parfait se frottait contre le sien alors qu'elle usait de sa langue pour commencer à la nettoyer, sans oublier de partager avec elle cette semence si savoureuse dont elle raffolait tant.

« Mmmmh oui... Ce serait dommage de gâcher tant de délicieux foutre... Et comme ça, je peux t'embrasser encore... et encore... Ma Pamy-chérie. »

Elle la laissait faire, savourant le contacte de sa langue sur sa peau, puis contre la sienne, et ce, jusqu'à ce qu'elle termine de la nettoyer où là, elles pourraient repasser à l'étape suivante, mais pas avant de profiter encore un peu de son corps parfait contre le sien. Harley ne manquait pas de l'embrasser avec autant de passion que de douceur, son corps se blottissait parfaitement contre le sien, ses mains la caressait, parcourant son dos, soulignant les formes parfaites de son divin petit cul ! Il serait difficile pour Harley de décider ce qui était le mieux chez Pamela ? Tout était tellement bien ! Sur le toit, au milieux de cette piscine, sous ce ciel étoilé, c'était parfait, absolument parfaitement romantique ! Elle termina de l'embrasser en frottant son nez contre le sien, toujours en gloussant comme une ado amoureuse.

« Pamy-chérie, tu rends ma vie tellement belle... C'est absolument sûre, je veux passer ma vie avec toi, avoir un bébé qui sera toi et moi à la fois, on l'élèvera ensemble et on sera heureuse, loin de Gotham et de sa pollution ! Tu imagines une petite Pamerley ? Ou une Harlea ? En tout cas, un bébé qui nous ressemblerait ? Ce serait trop trop mignon ! On sera de bonnes mamans pour ce bébé, c'est sûr ! Alors vas-y, ma jolie jardinière... plante ta petite graine dans mon jardin. »

Peu importe combien de fois elles devront essayer, ce qu'Harley devrait boire ou s'injecter pour y arriver, elles auront un bébé ensemble ! Même si cette petite discutions avait un semblant de Déjà-vu pour elle ? Pourtant, jamais elle n'avait été enceinte de Pamela, ni de quiconque ? Une drôle d'impression, mais bon, souvent les sensations de Déjà-vu était dû à des rêves donc elle avait sûrement rêver d'une chose similaire un jour. Harley relevait ses mains, caressant une mèche tombante de Pamela, se demandant si leur enfant sera roux ? Ou blond ? Ou même brun ? Ou encore avec des cheveux noirs ? La couleur des cheveux n'était en rien héréditaire après tout.

« Même si pour y arriver, je dois coucher avec toi toute la nuit, je le ferais... je ferais de nous des mamans... Rien que pour que je puisse faire des caprices de futur maman et réclamer des fraises à pas d'heure ! Et t'avoir près de moi... Toute câline envers moi... moi et mon gros ventre rond que tu caresseras doucement... Si ça se trouve, je serais enceinte au moment où tu me passeras la bague au doigt ? Ce ne serait pas juste, je serais toute boudiné dans ma robe de marier et pas toi ! »

Une fausse colère d'Harley, si cela arrivait lors de leur mariage, ça ne gâcherais en rien la chose, ça pourrait la rendre plus belle même. Mais bon, reste à savoir ce qui arrivera avant ? Le bébé ou devenir Madame Harleen Isley ? Tout dépendra de Dame Nature même si Harley avait la chance de coucher avec une de ses représentantes !

Aoki

Elle ne pouvait rien refuser à sa fiancée, si cette dernière voulait pour cette fois inverser les rôles, alors elle allait lui dire oui. D'ordinaire, Aoki est une femme très dominante, Doutzen l'avait bien comprit et bien des filles avant elle. Mais face à Felicia, elle n'était qu'une gentille petite chatte en manque de câlin. Mais si elle voulait varier les plaisirs, soit, elle aimait aussi cela même si, évidemment, en présence de la voleuse, elle préférait être sa chose, mais c'était là l'occasion pour Aoki de laisser parler son côté dominant avec sa douce voleuse. Elle se blottissait contre elle, son doux corps se frottant au sien pendant que sa queue s'enfonçait doucement en elle. Une délicieuse sensation de plaisir inversé. D'ordinaire, c'était le contraire, mais vue que c'était elle qui l'avait proposé, ça devait faire plaisir à Felicia aussi de voir sa chérie un peu plus dominante.

« Hoouuuuu ouiiiii... je vais baiser la belle chatte... je vais remplir ta petite chatte. »

Elle embrassait ses lèvres tendrement en se sentant si bien en elle, le plaisir recommençait à danser en elles, après cette petite pause très courte, le temps de s'essuyer et récupérer de leurs émotions. Felicia l'avait quand même demander en mariage, ce n'était pas rien. Doucement, leurs ébats commençaient, comme toujours, rares étaient les fois ou de suite, ça démarrait au quart de tour ! Ça commençait doucement et petit à petit, ça allait loin, parfois très loin !

« Mmmmh... ce que tu est... étroite ! Haaan... C'est délicieux. »

Aoki ne pouvait pas en dire autant, Felicia partait tellement loin dans les envies d'Aoki, et entre le fisting et les nombreuses pénétrations plus classique, Felicia ne pouvait pas dire de son aimé qu'elle était étroite ! Elle accélérait doucement pendant que la voleuse s'ouvrait à elle, caressant son corps, surtout au niveau de ses fesses. Leurs corps si propres se frottaient mutuellement, leur poitrine s'écrasait, la sueur perlait doucement sur leurs corps si parfait, Felicia était aux anges, tout était donc parfait pour elles ! Après un léger moment de calme, la chatte noire montrait son caractère snobe, venant chercher à inverser la situation ou juste la provoquer ? Ses jambes se refermaient sur elle, elle mit un doigt en elle, puis deux, venant la taquiner doucement.

« Ham ! C'est pas ma faute... je dois gérer une chatte en chaleur, amf... à longueur de temps ! »

Avaient-elles passé une nuit chaste toutes les deux ? Jamais. Des journées, des soirées même tranquille, sans sexe, classique, oui, selon certaines conditions, mais toutes leurs nuits furent un minimum sexuel. Non pas que chaque nuit, Aoki avait de nouvelles marques de griffes sur son corps, mais il leur fallait au moins un bel orgasme chacune pour daigner vouloir se coucher et se reposer la nuit. Aoki la regardait dans les yeux, la regardant non pas comme la douce petite chatte qu'elle était d'ordinaire, là, elle devait se montrer plus autoritaire alors, elle retourna l'embrasser, de façon plus intenses en dévorant ses lèvres, y allant même un peu avec les dents. Chaque coup de reins qu'Aoki donnait était un coup de bélier face à une porte blindée, elle devait se montrer ferme, forte, montrer qu'elle était la maîtresse ici ! Pas Felicia, elle ! Felicia pouvait s'accrocher à elle si elle le voulait, Aoki n'allait pas la lâcher, oh ça non !

« Han ! Pour calmer une chatte en chaleur... Rhaaa ! Faut la baiser ! Bien fort ! Huuum ! La remplir à fond ! »

Il n'y avait que comme ça que la chatte se calmera et daignera ronronner de plaisir et se calmer, pas autrement. Autant qu'Aoki y aille à fond, mais vu le gros chat qu'elle avait sous les yeux, il faudra plus d'un orgasme pour la calmer réellement... Cela ne lui faisait pas peur, elle était prête à assumer la suite !

Sya

Après ce qu'elle venait de vivre – même de revivre dans un certain sens – l'ange de la luxure était de nouveau dans la chambre, auprès de sa mère, mais contrairement à son habitude, pas de ton guilleret et de proposition salace. L'ange était tout blottie contre sa mère, comme si elle se réveillait d'un affreux cauchemar. Elle aurait pu proposer une quelconque relation sexuelle, mais, même si ce ne serait pas de refus, ce ne serait pas dans l'immédiat. Sya avait les yeux grands ouvert, ne regardant rien de précis, car elle observait la peau bien rouge du corps de la démone actuellement. Elle se rassurait juste à être entre ses bras, le seul endroit où elle se sentait en sécurité pour le moment. Son traumatisme n'allait pas se guérir d'un coup de baguette magique, mais Samara y avait posé les premières briques. Elle allait devoir y aller doucement, mais après tout, Lumen ne s'était pas fait en un jour. Sa mère l'embrassait tendrement en lui promettant de rester à ses côtés, de veiller sur elle. Autant ses baisers que ses mots la rassurait, mais elle restait toujours quelque peu sur ses gardes.

Elle agitait la tête de façon positive pour lui répondre, tout en restant le plus collé à elle possible. D'habitude, c'était dans le seul but de profiter de sa chaleur, de propager sa magie rose et prolonger le sexe, là, c'était pour se sentir rassurée auprès de sa mère. La tête blottie dans son cou, elle n'était vraiment pas à son aise, mais doucement, Sya redevenait elle, la vraie Sya qui avait su charmer Samara et faire d'elle une maman en l'adoptant. Après tout, en l'adoptant, elle devait bien parfois jouer vraiment à la maman, pas juste dans le seul but de la voir lui téter le sein ou recevoir la fessée. Elle délogeait doucement sa tête, la levant vers elle, elle avait toujours ce regard qui était loin d'être celui qu'elle abordait d'habitude, mais elle était en bonne voie au moins.

« Maman... Tu veux bien me faire l'amour ? »

Il allait de soi, que vu son état, elle n'était pas en train de lui demander de le faire comme Samara le faisait si souvent, de façon déchaînée en laissant parler son côté démon, non, là, elle allait devoir laisser parler son côté maman. Car Sya avait vraiment besoin de douceur actuellement, même dans le sexe.

Cette fois, Shunya avait l'intime conviction qu’elle allait y arriver. Elle était persuadée qu'Hinata allait tomber enceinte. Les gynécologues d'Edoras leur avaient assuré que la Reine était fertile. Il n'y avait donc aucune raison pour que ça ne marche pas ! L’hermaphrodisme uatéen permettait désormais à deux femmes d'avoir des enfants, mais c'était plus compliqué que dans une relation hétérosexuelle. Shunya savait qu'il y avait un taux de fécondité insuffisamment élevé à Uatis pour ça, mais elle, elle avait cette aura magique en elle, cette force mystique qui bouillonnait dans son corps. Elle grognait donc, motivée par les propos de Nora, par la verge épaisse de l'Ange venant la pilonner par l'arrière. Shunya se retrouvait dans une position qu'elle n'aurait jamais imaginé jadis, prenant la Reine d'Edoras tout en se faisant sodomiser ! C'était si pervers, après tout, mais cela l'excitait furieusement. Elle haletait, soupirait, se rappelant de ces fois à l'académie où elle avait entendu ses collègues de travail parler du sexe, du fait de se doter d'une verge lors de leurs sorties dans l'État uatéen. Shunya avait toujours trouvé ça bizarre, et c'était finalement elle qui se retrouvait à agir ainsi !

« Haaann... Haaann... »

Haletant sur place, Shunya continuait son office avec appétit, prenant énergiquement sa partenaire. Elle grognait sur place, sentant encore Nora en elle. L'Ange se faisait plaisir avec son corps, cherchant surtout à ce que les deux femmes s'accouplent enfin, et que la Reine puisse avoir son premier enfant. Hinata tendit les bras vers Shunya, qui continuait à la prendre debout. Se pinçant les lèvres, concentrée, Shunya avait du mal à réfléchir, à penser à autre chose qu'à ses coups de reins s'accentuant dans le corps de sa partenaire. Elle releva les yeux vers Hinata, et croisa le regard de sa femme, de sa Reine, de la femme qu'elle aimait plus que tout au monde.

Shunya continuait à la prendre, faisant passer les minutes. Elle couina ensuite et attrapa l'une des mains d'Hinata pendant quelques secondes, avant de reprendre appui sur ses hanches, et laissa l'orgasme la traverser. Elle gémit sur place le nom de sa femme tout en s'abandonnant au plaisir suprême :

« Hi-HINATA ! »

Sa verge cracha sa chaude semence, et elle jouit pendant de longues secondes dans le corps de sa partenaire, s'unissant profondément à elle. Elle ferma les yeux en crachant sa semence, jouissant en elle avec énergie et appétit. Shunya ferma les yeux pendant le cœur de l'acte, et sentit également Nora cracher sa semence en elle. L'Ange était sans aucun doute heureuse de voir sa Reine si heureuse, si épanouie. Shunya jouit donc, et se laissa ensuite basculer en avant.

Elle tomba sur le corps de sa femme, et se lova contre elle, son corps en sueur se mélangeant au sien. Un tendre baiser se déposa sur les lèvres d'Hinata, et Shunya se pinça ensuite doucement les lèvres, frottant son nez contre son visage. Sa main caressa alors distraitement le ventre de la jeune Reine, autour de son nombril.

« Je vais devoir encore continuer, ma chérie... Je veux être sûre que, demain matin, quand tu passeras le test, tu auras, toi aussi, un bébé... »
Le Paradisio Hotel n'était pas qu'un superbe hôtel, il était aussi situé dans un endroit atypique et charmant, paradisiaque, avec de multiples petites îles sauvages au milieu de l'océan. Kara n'eut qu'à faire un balayage pour savoir où se poser, et elle atterrit ensuite sur une île au beau milieu de l'océan, avec Tessou sous elle. Mine de rien, si Kara pouvait lui faire l'amour dans l'air, c'était tout de même plus simple en ayant un support ! Une vague s'était réveillée chez Tessou, et, si Kara savait que la policière retrouverait son calme demain, elle voulait en profiter. Les aphrodisiaques servis au restaurant avaient visiblement contribué à libérer Tessou, à faire sortir ce carcan de frustration qui sommeillait en elle depuis des mois, et que Kara n'avait fait qu'aborder, que titiller.

« Là, comme ça, ce sera mieux pour te baiser, ma petite Tessou... »

Tessou semblait encore impatiente, et les deux femmes étaient désormais toutes nues. Kara l'embrassa à nouveau, allongée contre elle. L'eau arrivait à hauteur de leurs jambes, et elle posa sa main sur les fesses de Tessou, serrant son postérieur. Tessou avait insisté sur son postérieur, alors Kara comptait bien jouer avec ça. Elle sourit donc après ce baiser, et se redressa un peu. Sa verge s'était joyeusement redressée.

« Mets-toi à quatre pattes. Tu veux que je te baise comme une chienne ? Car c'est précisément ce qui va se passer ! »

Elles pouvaient voir au loin le Paradisio Hotel, qui s'illuminait dans l'obscurité. Kara s'était relevée, et attendit donc que Tessou se mette en position.

« Allez, plus vite, ma belle chienne, que je t'encule comme la salope que tu es ! »
L'heureuse Luna était soulagée. Dame Ai venait de jouir énergiquement en elle, et, comme à chaque fois, les orgasmes de Ai étaient magnifiques. Elle venait de jouir avec force en elle, se relâchant dans son corps, et Luna en avait le ventre arrondi. Elle n'était pas encore totalement rassasiée, et profita surtout de ce moment de pais pour observer ses Maîtresses. Elles étaient belles, si belles, et, quand Dame Ai lui indiqua de ne pas l'appeler « Dame Ai », Luna haussa les épaules, penchant la tête sur le côté. Bien sûr qu'elle n'était pas sa Maîtresse ! Sinon, Luna l'appellerait « Maîtresse Ai », c'était logique !

L'intéressée lui demanda ensuite ce qu'elle envisageait comme tenue pour Maîtresses Karistal. Luna hésita un peu, se mordillant les lèvres en réfléchissant à cette idée.

« Luna ne sait pas trop... Maîtresses Karistal portent beaucoup de tenues différentes ! »

Elles appréciaient autant le latex que la haute couture, la fine dentelle, mais, avec Ai, le choix était-il vraiment permis ? L'aversion de la jeune femme pour le latex ou le cuir était connue. Dame Ai préférait la fine lingerie.

« Il faudrait... Des guêpières très réussies, avec trois couleurs différentes... Le rouge pour Maîtresse Yuko, le rose pastel pour Maîtresse Yuka, et le blanc pour Luna ! »

À la base, Luna n'aimait pas le textile, ni les vêtements. Elle préférait rester nue, car elle avait grandi dans un clan de nekos, où le naturisme était admis, et où personne ne songeait à s'habiller. Elle avait appris cela au contact de Maîtresse Mélinda, le goût pour le textile, pour les beaux vêtements et les belles parures. Elle savait qu'Ai pouvait offrir ça à ses Maîtresses, et Luna devait bien admettre qu'elle était assez curieuse de voir le résultat final sur elles !

De son côté, Alice soupirait doucement contre le corps d'Harmony. La jeune femme était nerveuse, et lui avoua que son seul fantasme était de faire l'amour avec elle. La Princesse resta silencieuse en la regardant, ne voyant pas trop quoi répondre à ça. Elle savait qu'Harmony était amoureuse d'elle. À ce stade, nier l'évidence aurait été absurde ! La jeune tête blonde aimait aussi Harmony, mais pas au point de se marier avec elle. Et, malheureusement, Harmony ne voulait pas se contenter d'être uniquement sa concubine. Alors, que faire ? Entretenir un espoir vain semblait aussi cruel que de l'abandonner tout simplement. Mélinda avait déjà essayé, elle avait déjà suggéré à Harmony de ne plus s'occuper d'Alice, mais cela était insupportable pour Harmony, qui avait besoin du contact de la tête blonde. Et là, avec elle, Alice sentait bien qu'Harmony était heureuse, alors...

« D'accord, Harmony. Alors... Continuons à faire l'amour, ma chérie. »

Elles venaient de tendrement s'embrasser, et Alice devait désormais réfléchir à la suite avec elle, à ce qu'elles allaient pouvoir faire.

« Peut-être pourrions-nous aller dans ma chambre ? Rien que toi et moi... »

Cependant, elles allaient sans doute devoir se rhabiller pour ça ! Alice se redressa alors, et, tenant Harmony par la main, l'embrassa une nouvelle fois.

« Mais il va peut-être falloir qu'on se rhabille pour ça... »

Elles n'allaient tout de même pas se promener nues, après tout !

Mélinda, quant à elle, continuait à prendre son pied. Elle avait toujours apprécié les Karistal, et c'était d'ailleurs pour ça qu'elle continuait à les voir, et à forniquer avec elles. Les deux Karistal en avaient encore l'illustration, et, tout en indiquant à Mélinda que Luna était une bonne esclave (ce dont la vampire n'avait bien évidemment jamais douté), Yuko eut une nouvelle suggestion à faire : continuer à se faire baiser, mais en ayant sa sœur contre elle. Une sorte de 69 entre les Karistal où les deux vampires continueraient à les besogner. Mélinda réfléchit un peu, et se pinça doucement les lèvres, avant de sourire doucement.

« Soit... Mais il faut vous mettre à hauteur de nos verges. »

La vampire se retira du corps de la jeune Yuko, et l'incita à rejoindre un élégant fauteuil. Yuka s'allongea dessus, puis Yuko la rejoignit ensuite. Les deux vampires, elles, reprenaient leurs esprits en soupirant longuement, chacune se tenant la main.

« Elles sont vraiment irrésistibles, ces deux-là... Je comprends mieux pourquoi tu leur as confié Luna.
- Oui... Même s'il m'arrive encore de regretter ma belle petite poupée. »

Ceci étant dit, Mélinda continuait à la revoir souvent, comme en ce moment. Comme quoi, quand on était l'esclave de Mélinda, on le restait toujours. Les deux Karistal se mirent donc en position, chacune venant se lécher intimement, puis les deux vampires se rapprochèrent. Elles savaient combien Mélinda aimait coucher avec des jumelles, et la vampire se glissa dans le dos de Yuko, puis retourna la sodomiser, tandis que Vanillia approcha sa verge de la chatte de Yuka.

Elle posa sa main sur les cheveux de Yuko, et tira dessus.

« Lèche ma queue, Yuko, donne-moi envie de baiser ta sœur, tu seras aux premières loges pour voir ça, en plus ! »

De quoi ravir les vampires, assurément !
Rares étaient les femmes capables d'endurer une Sha slimesque qui vous baisait dans tous les sens ! Mais Kiriko faisait indéniablement partie de cette petite élite. L'endurance de la Celkhane était phénoménale, et était aussi la résultant de nombreuses années de sexe intensif avec Sha et les sorcières, ou même avec le culte de Lust. Kiriko se devait d'être une sorcière accomplie dans tout ce que cela impliquait, c'est-à-dire la magie, mais aussi le sexe ! L'Ombre la besognait donc avec énergie, la prenant devant elle, et sourit doucement quand Kiriko indiqua qu'elle préférait le visage de Sha sur ses seins plutôt que ses tentacules. C'était un choix compréhensible, mais Sha se contenta de relever Kiriko. Elle posa sa main sur ses cheveux, la prenant donc debout.

« Certes... Mais comment pourrais-je t'embrasser alors, hmmm... ? »

Joignant le geste à l'agréable, Sha posa ses lèvres sur celles de Kiriko, et embrassa se belle Celkhane. Ses tentacules remuaient sur le corps de la jeune femme, transformant Kiriko en une magnifique poupée. Sha continuait à la prendre, et posa sa main sur son cul, griffant son postérieur, tandis que deux tentacules s'enfonçaient dans son fondement, déformant ce dernier. Mais c'était surtout son chibre qui était en train de faire perdre la raison à Kiriko. Les yeux de la Celkhane se révulsaient dans ses orbites, tandis qu'elle en crachait parfois de la salive. Sha, elle, profitait de leurs baisers pour jouer avec la langue de Kiriko, enfonçant dans sa bouche sa longue langue slimesque.

Frémissant sur place, gémissant de plaisir, Sha continuait à se faire plaisir, baisant Kiriko sans relâche. Un tentacule se serrait autour de son cou, et elle se déplaça un peu, venant rejoindre un mur. Elle s'en servit comme support, et remua dessus, faisant trembler le mur. Plusieurs tableaux tombèrent au sol, tandis que Sha grognait sur place. De véritables coups de butoir déformaient la chatte de Kiriko, et l'Ombre continuait à apprécier ce spectacle.

« Putain, ce que j'aime te baiser, hmmm... Ma... Ma salope ! »

L'heure n'était plus aux tendres mots d'amour creux, aux paroles vaines. Sha l'embrassa dans le creux du cou, savourant son odeur, et se régala de ses hurlements, puis approcha finalement son visage de l'un des seins de Kiriko. Satisfaisant ainsi sa sorcière adorée, elle pompa directement le lait à sa source, venant avaler son lait avec appétit, grognant, gémissant de plaisir sous ce contact.

Kiriko était délicieuse, elle n'était pas sa femme pour rien !
Voir Pamela si expressive était assez rare, elle qui avait plutôt pour habitude de renfermer ses sentiments et la moindre de ses émotions. Se laisser à une déclaration d'amour si spontanée, venant de sa part, c'était tout simplement inattendu, et assez saugrenu. Comme quoi, il fallait croire qu'Harley finissait par la contaminer ! Elle soupira doucement, et observa encore les étoiles, s'accordant un petit moment de repos. Ivy reprenait ses esprits. Ce séjour ne l'avait pas spécialement emballé au début, mais, avec le recul, elle se devait d'admettre que le Paradisio Hotel était un endroit magnifique, bien différent de Gotham ! Sa vie dans cette ville lui semblait si éloignée, maintenant... Et Gotham avait désormais du mal à lui manquer. Elle avait fui cette ville pour un nouvel air, pour y vivre une vie plus heureuse, plus épanouie. Le résultat final avait été acquis, et elle pouvait désormais songer à mener une vie plus épanouie avec Harley...

...À tel point qu'Harley suggéra que Pamela la mette enceinte. L'Empoisonneuse la regarda alors, et son humeur sembla légèrement se rembrunir. Harley lui dit qu'en insistant, cela finirait par passer.

« Harley... Aurais-tu oublié ? »

Ivy était belle, elle était forte, puissante, elle commandait à la flore et elle était d'une incroyable beauté, mais... Sa transformation en semie-Alraune l'avait aussi rendu inféconde, stérile. Elle avait dû cracher des litres de foutre dans le corps d'Harley sans jamais réussir à l'engrosser, et elle avait parallèlement recueilli des litres de sperme en elle sans que jamais ses ovules ne se fertilisent. Le processus était bloqué, et aucun scientifique au monde ne pouvait l'aider, puisque sa transformation défiait les règles de la logique. Les seuls « enfants » qu'Ivy avait créé étaient des plantes, des mutants transformés en humains qui s'étaient desséchés avec le temps.

Pamela poursuivit :

« C'est pour ça que je me renseigne sur Terra, sur les Alraunes qui y habitent... Je cherche à me perfectionner, pour te donner un enfant. Car je veux fonder une famille avec toi, Harley. Il m'a fallu du temps pour le réaliser, mais, quand tu es revenue me voir à Yoake, j'ai compris que... Que c'était avec toi que je voulais vivre. »

Ivy se pinça doucement les lèvres, et reprit ensuite, peu habituée à se confier autant :

« Je ferai tout ce que je peux... J'ai déjà rencontré une Alraune, et j'espère pouvoir corriger ce problème. Comme ça, outre nous marier, nous pourrions... Enfin fonder une belle et heureuse famille. »

L'espoir... Voilà ce que Poison Ivy pouvait offrir à Harley, celui de parvenir enfin à accomplir leur objectif, leur plus sincère rêve... La fondation d'une noble et heureuse famille. À défaut de pouvoir sauver le monde, Ivy pourrait déjà réussir à avoir une famille.

Et c'était bien là tout ce qu'elles souhaitaient, non ?

Pour calmer une chatte en chaleur, il n'y avait effectivement pas cinquante solutions... Il fallait la baiser énergiquement. La prendre avec force et passion, sans relâche, encore et encore. Félicia et Aoki avaient développé ensemble une relation sexuelle particulièrement intense, qui laissait peu de place au calme. Elles avaient effectivement consacré toutes leurs nuits ensemble à faire l'amour, chacune disposant d'une libido disproportionnée pour l'autre. Félicia assumait désormais pleinement ce penchant de sa personnalité, et l'exprimait en ce moment avec envie à sa partenaire. Elle avait joyeusement baisé Aoki pendant tout leur séjour au Paradisio Hotel, et, désormais, les rôles étaient en train de s'inverser. Aoki voulait porter la culotte, et embrassa énergiquement, Félicia, mordillant sa lèvre inférieure, marquant son emprise.

Ronronnant et vibrant de plaisir, Félicia la laissait venir en elle, serrant d'une main les cheveux d'Aoki, partageant avec elle ce baiser fiévreux, tandis que, de l'autre, elle continuait à la doigter, jouant avec son cul, ce délicieux cul qu'elle avait si souvent pénétré, que ce soit avec ses doigts, sa langue, sa verge, ou même sa main.

« Hmmm... »

Leur amour était sincère, aussi fort que leur désir sexuel. En proposant ce mariage, Félicia était bien évidemment sérieuse, et sentit la verge d'Aoki se durcir en elle. La belle Japonaise accélérait encore, amplifiant les mouvements, et, quand elle s'enfonça d'un coup jusqu'à la garde, et qu'elle tapa son col de l'utérus, Félicia soupira en écarquillant les yeux.

« Gnnn... Maî-Maîtresse, haaaa... »

Il était rare qu'Aoki joue le rôle de la dominatrice entre elles, mais Félicia n'était jamais contre lui laisser davantage de liberté. Après tout, quand il s'agissait d'agir ainsi, Aoki s'en portait plutôt bien, non ? En tout cas, Félicia était sous le charme, et sentait la jeune femme la prendre avec force Quel pied ! Aoki accélérait encore, grognant sur place. L'engouement de sa partenaire faisait plaisir à voir ! Félicia se laissait prendre par elle avec force, et gémissait fortement, se tortillant sur place, accompagnant ses mouvements.

Si Félicia la provoquait, c'était uniquement pour qu'Aoki la punisse davantage. Félicia jouait ainsi avec elle, offrant à Aoki des excuses pour pouvoir la punir ensuite.

« Quelle énergie, Aoki... Mais je te sens un peu fatiguée... Maîtresse aurait-elle envie de se reposer un peu, hmmm... ? »

Elle lui sourit encore, une lueur amusée dans les yeux.

Ce voyage n'avait pas permis de soigner Sya, Samara s'en était doutée dès le début. Mais il fournissait un début d'explications, et le début d'un semblant de thérapie. Elle allait y veiller. Elle devrait sûrement se rapprocher de la Déesse Lust. Samara réfléchissait silencieusement à la meilleure manière de guérir Sya, et de la rendre... Encore plus parfaite qu'elle ne l'était actuellement ! Samara était après tout sa mère adoptive, alors elle devait veiller à ce genre de choses. Elle sourit doucement en câlinant Sya, qui reprenait peu à peu ses esprits. La jeune Ange finit par relever la tête, croisant le regard de sa mère, et implora qu'elle lui fasse l'amour.

Samara sourit à celle-ci, et l'embrassa sur les lèvres, caressant sa joue avant de serrer son menton entre ses doigts.

« Moi aussi, j'ai été torturée par les hommes, tu sais... J'ai été invoquée par un mage noir qui m'a exploité, qui voulait m'utiliser pour ses propres fins. Il m'a gardé séquestré pendant des années avant que je n'arrive à le tuer, et j'ai grandi avec une phobie des hommes, comme toi... Te soigner, c'est donc aussi me soigner, Sya. »

La démone et l'ange avaient finalement beaucoup de points en commun, y compris dans leurs faiblesses. Samara l'embrassa à nouveau, et se déplaça doucement, venant emmener Sya sur le lit. La jeune ange se coucha sur le dos, et Samara s'allongea sur elle, reprenant son baiser. Elle fourra sa langue dans sa bouche, et fit durer le plaisir, sentant peu à peu Sya émerger. Cette séance au Paradisio Hotel avait décidément été très riche en émotions pour les deux, et, maintenant qu'un semblant de normalité commençait à revenir, Samara comptait bien en profiter.

Embrassant donc Sya, elle caressa son épaule, puis ses hanches, et termina sa main contre sa cuisse, serrant sa belle peau de bébé. Sya était toujours aussi belle, toujours aussi... Angélique. Goûter à son corps, c'était du bonheur à l'état pur, quelque chose que l'Archimage appréciait fortement.

« Hmmm... »

Oh, comme elle aimait ça ! Cette peau douce, fine, agréable, soyeuse... Sya se laissait petit à petit aller. La démone continua son office, et, avec son autre main, malaxa l'un des seins de Sya. Elle pinça le téton entre ses doigts, tirant lentement dessus, et continua à se régaler avec elle, soupirant et frémissant doucement à son contact... Avec douceur et doigté, comme Sya le souhaitait !

Hinata

Unie à la femme qu'elle aimait, Hinata sentait tout son amour dans son regard mais aussi dans sa vigoureuse queue qui était planté entre ses cuisses. Si bien logée en elle, elle n'attendait que ça, qu'elle remplisse son utérus et lui donne ce bébé qu'elles méritaient tant. Cette petite princesse qui grandira avec sa sœur en même temps. On ne sait pas ce que l'avenir leur réservait, prince ou princesse, elle sera heureuse dans les deux cas, mais ce serait mentir de dire que, sur le coup, elle voulait un prince... Elle voulait de jolies princesses à elever et voir grandir ensemble, si adorables, chacune à leurs façons, elles rendront les mamans si heureuse. Mais pour l'avoir, faudrait-il déjà tomber enceinte. Mais après une telle journée, apprendre que son épouse attendait déjà un bébé de sa part, elle ne pouvait qu'être aux anges. Même si de son côté, elle pourrait ne pas tomber enceinte tout de suite – c'était plus compliqué entre femmes – au moins déjà, si tout va bien, les Kaguya allaient agrandir leur famille dans neuf mois. Elle était si impatiente d'y être déjà mais elle voulait vivre chaque jours de la grossesse de Shunya à ses côtés, l'aider dans les coups de mou, sentir son ventre grossir, les petits coups du bébé... Elle était si impatiente.

« Haaaaaaaaaaa ! Chérie ! Mon amour ! »

Elle lui tenait la main, l'observant elle, sa douce femme, si timide et chaste lors de leurs rencontre, les choses changeaient doucement, heureusement dans un sens, vus qu'elles vivent ensemble mais il faut reconnaître que son côté timide lui donnait un charme fou. Nora s'occupait tendrement de son fondement, prenant son plaisir, sans forcément les gêner, tout en étant quand même aux premières loges de ce sympathique spectacle. Même si ce n'était là que des gémissements qu'elles lâchaient entre elles, c'était malgré tout de l'amour qu'elles se partageaient entre elles, elles n'avaient besoin que de se voir que pour communiquer leur amour. Car quand Shunya vint enfin à jouir, Hinata en fit de même, aspergeant sa femme de sa cyprine alors que cette dernière s'écroulait sur elle, caressant son ventre délicatement. Nora aussi avait fait sa petite affaire, caressant délicatement le dos de Shunya, ses doigts passant le long de son tatouage magique.

« De toute façon... tu me remplira autant de fois qu'il le faudra... pour que nous puissions devenir maman, ensemble. »

Même si juste l'une d'elle mettait au monde, elles seront mamans, mais ainsi, les deux partageront les joies et les peines de devenir maman, unie pour le meilleur et pour le pire. Mais avant que sa dulcinée ne recommence, elle profita de cette étreinte, son cœur se calmant doucement contre le corps chaud de sa femme, leur séance d'amour allait reprendre mais l'une comme l'autre avait bien droit à deux minutes pour souffler quand même.

« Je t'aime, ma Shunya d'amour. »

Tessou

Faire l'amour dans le ciel, sous les étoiles, sous la lune, ça semblait presque être les mots d'une adolescente qui s'imagine sa première fois en compagnie de l'être aimé. Et pourtant, c'était littéralement ce que venait de vivre Tessou en compagnie de Kara. La belle Kryptonienne l'avait honoré en lui offrant un orgasme, sans qu'aucune des deux ne touche le sol, sous les étoiles. C'était beau, un tantinet romantique même. Maintenant redescendu, l'ambiance était moins romantique – bien que depuis le retour dans la chambre, le romantisme, Tessou s'était torché avec pour être une véritable succube – et une belle sodomie se préparait, ce qui était loin de déplaire à la jolie héroïne. Oui, la jeune maman était infatigable ce soir, si d'ordinaire, elle ne rechignait pas sur le sexe, elle était assez classique et timide, se contentant de peu, même si pour Kara, elle voulait bien prolonger à chaque fois leur petite séance. Mais ce soir, elle comptait inverser la tendance et faire que en sorte que ce soit Kara qui souhaite abandonner mais se forcer à continuer.

« Mmmmh, ouais, prend-moi le cul et vite ! Je suis impatiente de jouir encore. »

Véritable monstre de luxure, Kara ne risquait pas d'oublier une telle soirée, même si Kyoko était au final la seule chose pouvait faire revenir la vraie Tessou mais loin de l'hôtel, c'était à Kara de veiller là-dessus. Leur soirée allait être encore longue, il faut espérer que Kyoko ait une grosse nuit devant elle mais après avoir batifoler dans l'eau cette après-midi, peu de chance qu'elle se réveille de si tôt. Oui, Kara va avoir une sacrée soirée en compagnie de cette jeune femme à qui elle s'était attachée, voir même, tombé amoureuse ?

Ai, Harmony & les Karistal

La petite futa profitait de la jolie neko, de son sublime corps modifier suite à son orgasme, sur ça au moins, Ai était magique. On lui donnait un orgasme, et sa partenaire ressemblait à une femme enceinte ! Au moins pour quelques minutes, le temps que le corps expulse tout cela, idéal pour se voir enceinte ou savourer cette vision. Les femmes enceintes étaient très jolies après tout, mais Ai était encore un peu jeune pour penser à ça. Avoir une petite amie, pourquoi pas, mais déjà devenir maman, non, elle voulait d'abord s'amuser et profiter de la vie ! Puis, quitte à avoir un bébé, autant que ce soit avec une personne qu'elle aime vraiment, pas juste avoir un gosse avec la première venue, ça n'a pas de sens. Puisque Luna lui avait demander un service, elle voulait bien le lui rendre mais elle avait besoin de plus de détails pour cela. On pouvait laisser son talent imaginer le tout, de A à Z, même si elle était encore loin d'être une bonne couturière ou de savoir dicter des ordres. Entre sa vision et le final, par elle ou fait une autre, c'était pas encore ça... Mais si on lui donne une base, des détails, elle pouvait déjà mieux voir la chose.

Le choix des couleurs, okay, ça, c'était pas forcément le plus simple mais c'était une bonne base. Car même si on lui dit rouge... y a pas que un rouge de disponible... Au moins, pour la neko, c'était blanc, c'était le plus simple, il suffisait pour elle et son teint de peau de voir le plus clair possible. Car Luna parlait de guêpières, mais ça lui donnait juste une idée de la forme et la couleur, reste encore tout à faire. La quantité de tissu, son design, tout était à faire ! Ce n'était pas un reproche qu'elle lui faisait mentalement, c'était un défi qu'elle acceptait. Car une fois rentrée, elle va avoir du pain sur la planche. Au moins quand elle se concentre sur ça, elle pense moins au sexe. Moins, cela ne veut pas dire que c'est effacée, dieu sait que quand une domestique ou une des couturières passe la voir, elles ne se mettent pas au travail de suite. À imaginer un corps enfilé ce qu'elle imaginait, pour sûr que la fétichiste de la lingerie était chaude comme la braise !

« Ne t'inquiète pas, Lunana, je te trouverais ce qu'il faut pour habillée toi et tes maîtresses... Toutes les trois, vous serez parfaites ! Parfaitement bandante même ! »

Même si Luna avait encore son joli ventre, les quelques images qui filait dans son esprit la motivait à vouloir la remplir de nouveau et sur ça, la neko ne risquait pas de dire non...

Harmony aussi était dans son petit cocon de douceur, en compagnie d'Alice, cette jeune femme dont elle était amoureuse mais un amour à sens unique, hélas. Mélinda l'aurait surement laisser la servir si elle l'aimait vraiment mais Harmony ne voulait pas être le second rôle, celle de l'esclave ou l'amante en amour, si elle devait être en couple, elle voulait que ce soit officiel. Elle ne demandait pas forcément le mariage, mais au moins d'être la numéro un dans le cœur de cette personne. Il lui sera difficile de tourner la page après ce soir, mais c'était une étape à passer, elle y arrivera tôt ou tard... il faudrait juste qu'elle trouve une nouvelle personne à aimer. Mais pour le moment, elle touchait cette illusion d'une vie de rêve. Pas besoin de grande prouesse sexuelle, de position étonnante, l'amour et la simplicité lui suffisait en compagnie d'Alice mais si cette dernière voulait pimenter leur soirée, elle lui dirait oui aveuglément. Sans aller trop loin, elle pouvait faire des efforts pour les gens qu'elle aimait, Mélinda la poussait doucement mais surement à aller un peu plus loin à chaque fois après tout.

Alice proposa même un peu plus d'intimité entre elles, en allant dans sa chambre, ce à quoi elle répondis en hochant juste la tête et en se rhabillant un peu afin de ne pas sortir nue dans le couloir. Elle était envoûté par cette soirée, pas non plus somnambule pour sortir ainsi dans le couloir. Toutes les deux vivront une nuit plus tranquille ensemble. Un échantillions de ce qu'aurait pu être la vie aux côtés de la princesse Korvander qui s'offrait à elle, d'une Harmony qui obéirais simplement à ses envies et à celle de cette belle blonde.

Quant aux Karistal, elles étaient toujours aussi tentante, séduisant sans vergogne le couple de vampire, que ce soit avec leur façon d'être, leur beauté issu d'un métissage entre Mijak et Edoras, ou encore les délicieuses paroles qui pouvaient sortir de leur petite bouche, les jumelles se plaisaient à s'unir ensemble, pour le plaisir des deux vampires qui leur servait de maîtresse ce soir. Puisque Mélinda raffolait non seulement des jumelles mais aussi et surtout de l'inceste, c'était leur devoir que de jouer sur cette corde sensible, proposant de lécher le délicieux minou de leur sœur, pendant que les vampires pourront en profiter tout autant. Yuko venait donc lécher le minou de sa sœur jumelle, et inversement, avant que le couple Warren ne se rapproche d'elles, Mélinda reprenait sans mal la sodomie avec Yuko tandis que Vanillia n'allait pas lui laisser une seconde de repos non plus car elle voulait que cette dernière la suce, avant qu'elle ne s'occupe de sa sœur jumelle.

« Haaaa, d'accord, Maîtresse... »

Yuko lui obéissait donc en la suçant, sans la quitter du regard mais Yuka trépignait sur place, remuant son bassin, ayant sous les yeux Mélinda qui s'occupait du fondement de sa sœur, elle, s'ennuyait un peu sous la ceinture. Les jumelles étaient très gourmande après tout, ça, elles le savaient bien, de toute façon, elles auront la soirée pour bien l'imprégner en elles.

Kiriko

Faire l'amour à Sha était toujours éprouvant tant son appétit était sans limite ! Mais cela faisait partie des bonnes chose à partager avec elle et, pour une humaine, Kiriko parvenait à l'approcher de ses limites. Elle n'irait pas se vanter et exagérer en disant qu'elle fatiguait même une divinité au lit, mais elle la comblait, c'était l'évidence même ! La Celkhane était sa délicieuse prisonnière, obéissait à la moindre de ses envies, malgré ses souhaits, Sha était libre de les lui accorder, ou non. Elle la baisait avec toujours plus d'intensité contre le mur, ses tentacules venant la prendre par bien des orifices, s'agitant surtout dans son dos, tandis que devant, Sha n'y allait pas par quatre chemins. Kiriko couinait de plaisir, du moins, quand elle le pouvait. Les délicieuses lèvres de sa femme et déesse, l'empêchait parfois de crier son amour et sa joie. Ses mains, ce qui émanait de son corps de façon tentaculaire, tout était fait pour la rendre si heureuse et pleine de joie ! Sa langue aussi jouait en étant slime, grossissant à volonté et s'enfonçant sans mal en elle, elle adorait sentir Sha faire d'elle sa chose. C'était bien la seule femme qu'elle laissait volontiers la traitée comme une chienne. Personne d'autre au monde ne pourrait agir ainsi et garder Kiriko si docile. Peu importe que ce soit Lust ou la femme de l'Empereur, Kiriko avait sa fierté.

« Haaaaaaaaaaan ouiiiiiiiii~ Oh, Shaaaaaa, mon amour, baisez-moi à foooooooond ! »

Insatiable femme qu'elle était, Sha venait tout de même lui faire plaisir en s'occupant de sa poitrine avec sa bouche, une occasion en or pour Kiriko qui pouvait hurler à toutes les personnes séjournant ici combien Sha était une amante et une femme au-dessus des autres. La nuit s'annonçait longue pour elles, comme pour les autres personnes dans les chambres mais heureusement, elles étaient loin d'être les seules à s'amuser de la sorte dans cet hotel. À croire que ce soir, c'était la nuit des orgasmes !

Harley Quinn

L'Arlequin n'avait pas oublier, elle gardait juste son âme de petite fille et croyais aux miracles quand on est une bonne personne. On ne peux pas dire que Poison Ivy au Pays du Soleil Levant soit la même Poison Ivy made in Gotham. C'était en quelque sorte une seconde chance et, si elle n'est pas tout à fait dans la légalité – peu de chance que coucher avec des mineures soit toléré ici – elle était loin d'être cette éco-terroriste qui ne voyait les humains comme terreau pour ses plantes. Alors oui, aussi infime soit cette petite lueur d'espoir, Harley pensait qu'elles pouvaient réussir ensemble à fonder une famille. Pas besoin de combattre des dieux, trouver une source mystique perdue dans une cité légendaire ou autre, l'amour était le terreau qu'avait besoin cette petite étincelle pour grandir, un point c'est tout.

« C'est bien gentil d'avoir le nez dans tes recherches et tes expériences, mais moi je suis sûr qu'il suffit juste qu'on s'amuse et qu'on essaie, encore, encore et encore... et encore ! Je dis pas qu'une bonne fée viendra réalisé notre souhait d'un claquement de doigts mais on y arrivera ensemble. Crois-moi ! »

Dit-elle, convaincu par ses propos. Elle avait beau être une femme de science quelque part, ses diplômes n'ont pas été trouvé dans des pochettes surprises, mais voilà, Harley gardait ce côté un peu fofolle qui faisait son charme. Elle disait ça avec la même candeur qu'une petite fille qui a préparer sa liste pour le père noël. Allez dans un sens contraire, ce serait vraiment lui briser le cœur, ce serait même presque criminel quelque part. Si Harley disait que ça suffisait, alors soit. Elle en profita pour câliner à nouveau Pamela, plus convaincu que comme dans le monde merveilleux de Disney, l'amour était la clé de tout les problèmes et, si elles s'aiment vraiment, alors le monde déroulera son plus beau tapis rouge rien que pour elles.

« Et de toute façon, même si avoir un bébé de toi serait le plus beau cadeau que tu puisse me faire, cela ne nous empêchera pas de nous marier et de fonder une vraie famille. Je serais ta femme, quoi qu'il puisse arrivée, Pamy-chérie. »

Un amour à toute épreuve.

Aoki

C'est sûr que dans leur couple, Aoki avait plus l'habitude d'être tenue en laisse qu'inversement mais de temps à autre, c'était bien d'inverser les rôles. Puis après la proposition de Felicia, comment pourrait-elle refuser ? Elle voulait l'épouser, elle qui avait juste fantasmer cela de son côté, la voilà prête à franchir ce cap. Jamais elles n'avaient vraiment parler mariage, c'était déjà arrivée face à un film ou un documentaire dans les rares fois où elles regardaient la télévision mais il y a une différence entre en parler et passer à l'acte. Enfin, même si Aoki devra bien en parler à ses parents et donc, avouer son homosexualité, elle était prête à devenir une Hardy. Aoki redoublait d'amour et d'effort pour toujours allez plus loin et repousser les limites de Felicia, si sa future épouse voulait être prise, alors elle devait lui prouver qu'elle était apte à lui faire l'amour !

« Haaaaaan ! Haaaaaan Félicia ! »

Elle continuait sans relâche, tapant aussi loin que possible alors que sa belle américaine était face à elle, Aoki faisait tout ce qui lui était possible pour être à la hauteur. Pour une simple femme, elle tenait bien la cadence mais elle était moins habituée à ce rôle, cela ne veux pas dire qu'elle était nulle, juste que ce n'était pas pareille. Elle serrait ses mains dans les siennes alors que la belle se faisait provocatrice, Aoki souriait en se collant plus encore contre elle.

« Je fatigue paaaas... juste que je me dis, huum... combien de fois je vais devoir te remplir, hum.... pour te calmer... ça m'épuise d'avance ! »

Elle retourna l'embrasser avec passion après cela. Leur nuit allait être très longue mais leurs rêves allaient être mielleux et le futur tout autant, espérons le...

Sya

Toujours appeuré par ce qu'elle venait de revivre, Sya voulait oublier cela et vivre une belle nuit en compagnie de sa maman. Certes, elle aurait pu juste se contenter de dormir dans ses bras car après tout, cette nuit, bébé va grandir en elle et faire de Samara une maman demain mais elle avait besoin encore un peu d'amour de sa part. Elle se laissait porter par la belle démone qui la déposait sur le lit, évoquant son passé douloureux. Une chose que Sya comprenait mais qu'elle n'aimait pas entendre, la plaie était encore trop récente ce soir mais pour sa mère, elle fera des efforts, oui. Samara la caressait doucement, sa main passant sur diverses formes de son corps délicats, de sa peau si douce. Elle comptait sur elle pour lui faire oublier cela, lui redonner le sourire et une nuit agréable contre elle et demain, donner la vie. Donner une nouvelle petite sœur à Emika, Shinobu, Lusya. Il y avait juste une chose dans ce petit bonheur que Sya n'avait pas prévue, c'est que le hasard avait fait que Samara l'avait fécondé une seconde fois dans la nuit. Sya donnera naissance demain matin à deux jolies petites filles, qui étaient bien sœur, bien jumelle mais en rien identique physiquement. Cela fera une belle surprise pour les mamans.