Re: Un client insolite [PV Maurice Malné]
Posté : 15 déc. 2024 09:44
Qu’elles étaient bandantes toutes les deux ! Maurice Malné en oublia les soucis au-delà des murs effondrés. Ses deux petites chiennes en rut lui faisaient beaucoup d’effet. Difficile de leur en cacher la raideur, de toute façon. L’ancienne prêtresse souillée possédait toujours ce quelque chose de l’innocence. Une notion dont sa succube s’amusait à piétiner pour son premier amusement. Avant même celui de son précieux Maître. Mais il en fit peu de cas de conscience. Qu’elle s’amuse aussi !
« Il va falloir que je prenne garde à ne pas trop magouiller toutes les deux ensemble. Cette succube pourrait bien réussir à me piéger pour être son centième. N’arrête pas de sucer pour m’écouter, petite traînée ! Pompe-moi ! »
Le langage fleuri était pour les gens à amadouer. Ici, avec ce qui ressemblait à un début d’harem, il allait parler crument et librement. De toutes les manières, le démoniste avait depuis longtemps compris qu’un homme déshabillé perdait de son aura. Ses Petits Pêchés avaient beau être sous l’influence de sa magie, il savait qu’un corps d’homme, pour peu qu’il ait un peu de ventre et de poils (ce qui était son cas) n’aurait jamais la grâce du charme féminin.
« Putain, oui ! Il n’y a pas à tortiller du cul. J’ai toujours un grand plaisir à souiller des saintes et des innocentes. Mais ne t’inquiète pas, Rëko, toi aussi tu m’es agréable à l’œil. Toi et tes yeux de sang. Allez, viens par là. »
Sa langue obscène requérait un baiser. En rien il ne voulait que ce soit romantique. Les langues resteraient sorties. Ça baverait. La salive coulerait sur leur menton. Et pendant cet échange de baiser passionné, sa main s’aventurait sur le petit cul rouge. Le malaxer sans douceur. Refermer sa poigne pour imaginer à quel point son anus s’ouvrirait aux regards. Ce qui lui donna une nouvelle idée.
« Chevauche-moi ou utilises tes ailes de succube. Je m’en fous. Mais obéis. »
Il n’en avait pas fini avec sa langue démoniaque. Il en voulait davantage. Mais l’idée de tripoter ce petit cul et de le présenter au premier plan de cette prêtresse en apprentissage l’excitait. Il lança rapidement une remarque comme quoi elle avait eu bon professeure et qu’elle pourrait se débrouiller toute seule. Il lui autorisa même à faire une pause. Ce qui n’était pas un conseil mais bel et bien un ordre. Maurice Malné voulait que sa pondeuse découvre à quel point elle avait lustré son sexe. Il voulait qu’elle voit avec quelle pulsion animale il étirait les fesses de Rëko pour qu’elle voie l’anus et le sexe de sa Sœur de Pêché.
« Ca te plaît ce que tu mates ? Regarde comme je lui écarte les trous. Ecoute à quel point cette traînée gémit quand je tire fort. Oh, mais tu sais quoi ? La baise se doit d’être une expérience de tous les sens. Ta bouche et tes doigts resteront attitrés à mon sexe jusqu’à ce que tu m’aies fait cracher. Par contre, ton petit nez, tu vas me le carrer dans ses orifices. Respire à plein poumons. Découvres les fragrances de la lubricité. Et si ta Sœur de Pêché le veut, tu fourreras ton nez là où elle te le dira pour la pénétrer. »
Il sourit. Cette expression du Mal. Aucun homme bien élevé ne devrait utiliser les femmes comme des ressources et objets. Lui s’en foutait. Même sa parole devait être source de doutes et de questionnements. Car il avait soudainement très envie de les attacher l’une à l’autre par une chaîne. Peut-être qu’il le ferait. Les chaînes avaient toujours eu un effet sur lui. Mais il tiendrait probablement parole. Pour cette fois… car son Petit Pêché Rouge devrait prendre la voie des airs tôt ou tard. Quant à son Petit Pêché Vert, elle aurait son empire gobelin à orchestrer. Il lui fallait plus d’engeances vertes. Plus de prisonnières. Il lui fallait plus de tout !
Mais pour l’instant, il lui fallait sa jouissance.
« Il va falloir que je prenne garde à ne pas trop magouiller toutes les deux ensemble. Cette succube pourrait bien réussir à me piéger pour être son centième. N’arrête pas de sucer pour m’écouter, petite traînée ! Pompe-moi ! »
Le langage fleuri était pour les gens à amadouer. Ici, avec ce qui ressemblait à un début d’harem, il allait parler crument et librement. De toutes les manières, le démoniste avait depuis longtemps compris qu’un homme déshabillé perdait de son aura. Ses Petits Pêchés avaient beau être sous l’influence de sa magie, il savait qu’un corps d’homme, pour peu qu’il ait un peu de ventre et de poils (ce qui était son cas) n’aurait jamais la grâce du charme féminin.
« Putain, oui ! Il n’y a pas à tortiller du cul. J’ai toujours un grand plaisir à souiller des saintes et des innocentes. Mais ne t’inquiète pas, Rëko, toi aussi tu m’es agréable à l’œil. Toi et tes yeux de sang. Allez, viens par là. »
Sa langue obscène requérait un baiser. En rien il ne voulait que ce soit romantique. Les langues resteraient sorties. Ça baverait. La salive coulerait sur leur menton. Et pendant cet échange de baiser passionné, sa main s’aventurait sur le petit cul rouge. Le malaxer sans douceur. Refermer sa poigne pour imaginer à quel point son anus s’ouvrirait aux regards. Ce qui lui donna une nouvelle idée.
« Chevauche-moi ou utilises tes ailes de succube. Je m’en fous. Mais obéis. »
Il n’en avait pas fini avec sa langue démoniaque. Il en voulait davantage. Mais l’idée de tripoter ce petit cul et de le présenter au premier plan de cette prêtresse en apprentissage l’excitait. Il lança rapidement une remarque comme quoi elle avait eu bon professeure et qu’elle pourrait se débrouiller toute seule. Il lui autorisa même à faire une pause. Ce qui n’était pas un conseil mais bel et bien un ordre. Maurice Malné voulait que sa pondeuse découvre à quel point elle avait lustré son sexe. Il voulait qu’elle voit avec quelle pulsion animale il étirait les fesses de Rëko pour qu’elle voie l’anus et le sexe de sa Sœur de Pêché.
« Ca te plaît ce que tu mates ? Regarde comme je lui écarte les trous. Ecoute à quel point cette traînée gémit quand je tire fort. Oh, mais tu sais quoi ? La baise se doit d’être une expérience de tous les sens. Ta bouche et tes doigts resteront attitrés à mon sexe jusqu’à ce que tu m’aies fait cracher. Par contre, ton petit nez, tu vas me le carrer dans ses orifices. Respire à plein poumons. Découvres les fragrances de la lubricité. Et si ta Sœur de Pêché le veut, tu fourreras ton nez là où elle te le dira pour la pénétrer. »
Il sourit. Cette expression du Mal. Aucun homme bien élevé ne devrait utiliser les femmes comme des ressources et objets. Lui s’en foutait. Même sa parole devait être source de doutes et de questionnements. Car il avait soudainement très envie de les attacher l’une à l’autre par une chaîne. Peut-être qu’il le ferait. Les chaînes avaient toujours eu un effet sur lui. Mais il tiendrait probablement parole. Pour cette fois… car son Petit Pêché Rouge devrait prendre la voie des airs tôt ou tard. Quant à son Petit Pêché Vert, elle aurait son empire gobelin à orchestrer. Il lui fallait plus d’engeances vertes. Plus de prisonnières. Il lui fallait plus de tout !
Mais pour l’instant, il lui fallait sa jouissance.