Re: Première destruction pour le Clan Vrisk'Skar [avec Sélipa]
Posté : 29 août 2025 12:34
Orgueil tique. Cette façon qu’a soudainement la Première Esclave de s’exprimer à voix haute lui permet de tirer quelques conclusions. En combinant les faits et son instinct, il suppose que le Gardien n’est pas le récipiendaire. Il y a donc une nouvelle inconnue dans l’équation. Quelque chose en lien avec le Gardien et maintenant Sélipa.
Il y a davantage. La Première Esclave a évoqué le fait que plusieurs personnes soient « bouffées ». Qui ? Elle s’exclue de la phrase donc ce n’est pas elle. Il faut encore au moins deux noms. Le sien ? Son égo le lui confirme. Celle de sa Reine ? Il met cela en doute. La petite ? Tout le reste des esclaves qui pourraient servir de garde-manger ou de combustible à un rituel ? Potentiellement. Il écoute donc le reste avec vive attention.
Reine : « Qu’est-ce qu’elle fout enc-… »
Orgueil : « Chht ! »
La Reine enflammée déteste quand elle se fait mettre au silence. Sa valeur est plus haute qu’un péquenaud ! Et pourtant, pourtant elle regarde son époux avec ces yeux d’adolescente. Elle se trémousse même un instant d’excitation. Son côté « soumise » titillé.
Sélipa confirme qu’il y a eu un dialogue avec quelque chose. Une entité. Une force. Quelque chose. Et cette chose, ou personne, souhaite passer un marché. C’est intéressant. Cela signifie qu’elle a besoin de quelque chose. Ou qu’elle veut, désire quelque chose. Ce qui permet à Orgueil d’avoir déjà un levier sur lequel appuyé.
Orgueil : « Première Esclave ! »
Les deux mots claquent dans l’air. Dans cet environnement au milieu de rien dans lequel les sons sont réverbérer telle une église extérieure. Le Roi ordonne le silence à cette provocation inutile. Il y a trop en jeu pour risquer de tout perdre dans une guerre inutile. S’il est bien entendu prêt à épurer toute vie et tout obstacle, il préfère davantage soustraire et utiliser qu’éradiquer.
Orgueil décide donc de rejoindre Sélipa.
Ce qui signifie aussi que la petite Reinette se retrouve seule avec la Reine Nnezz…
Orgueil : « … »
La petite Reinette lève la tête vers la grande reine toute de feu et de fer.
Reinette : « Il a trop peur de rien, le Roi Orgueil. Trop fort. »
Reine : « Saleté de- !! … Oui. Oui, mon époux est exceptionnel. »
Orgueil finit par rejoindre Sélipa sous le regard imperturbable du Gardien qui ne bouge pas un muscle.
Orgueil : « … »
La bouche du Roi s’est ouverte puis s’est refermé sans un bruit. Seuls ses sourcils ont bougé. Il tourne sa tête vers Sélipa. Une question silencieuse de savoir s’il a entendu/vu en flash la même chose. A savoir que « la Violette » était avachie sur un tas de trésor. Les jambes repliées sur elles-mêmes. Les cuisses également ouverte et présentant sa queue caudale. Une vision d’assurance d’une personne qui pourrait être une Reine. Une vision qui évoque le sexe et la violence. Beaucoup de faits qui touche en son être Orgueil. Sélipa a elle aussi eu ce flash de la Violette qui s’est imposé pour montrer son statut. Mais elle a clairement ressenti qu’elle n’était plus la récipiendaire principale de la vision. Elle est devenue spectatrice.
Orgueil : « Allons-y. »
Le Gardien observa alors Orgueil marcher en sa direction. Derrière, la Reine se mit elle aussi en marche pour rejoindre son époux. C’est alors que la lourde et puissante patte du gardien avança d’un pas. Un mouvement additionné d’un autre qui vit sa gueule se baisser. Une posture qui présageait une charge.
Orgueil : « Ma Reine ! »
Reine : « Quoi ?! Ne t’avise surtout pas de me dire en retrait. Je te préviens, mon époux ! »
Orgueil : « On ne veut pas que tu entres. »
Il n’y eut pas d’excuse.
Reine : « Peu importe ce qu’il y a dans ce château, je peux le tuer pour toi ! Tu ne vas quand même pas préférer la compagnie de cette pute à celle de ton épouse ?! »
Orgueil : « … »
Reine : « Non ! Je- ! Je te préviens, si tu t’en vas maintenant, je ne garantis aucune vie des esclaves. Pas même celle de cette petite que- Quoi ?! »
La main d’Orgueil se tendit en direction de la petite Reinette. Une invitation silencieuse à venir suite à un nouveau flash de la Violette.
Des flammes jaillirent déjà de sa main. Des éruptions solaires tout autour de son corps. La Reine était en furie et se contenait à grand peine pour ne pas être une déception aux yeux du seul qui comptait. Il était son Unique. Son Précieux. Il n’y avait que lui. Elle n’avait jamais trouvé un autre parti que lui. Tous les autres avaient eu leur sexe brûlé irrémédiablement. Personne n’avait pu la soumettre par la violence. Il n’y avait eu qu’Orgueil. Ce même Orgueil qui lui tournait le dos et qui avançait vers la cour du château en compagnie de Sélipa et de la petite Reinette.
Il y a davantage. La Première Esclave a évoqué le fait que plusieurs personnes soient « bouffées ». Qui ? Elle s’exclue de la phrase donc ce n’est pas elle. Il faut encore au moins deux noms. Le sien ? Son égo le lui confirme. Celle de sa Reine ? Il met cela en doute. La petite ? Tout le reste des esclaves qui pourraient servir de garde-manger ou de combustible à un rituel ? Potentiellement. Il écoute donc le reste avec vive attention.
Reine : « Qu’est-ce qu’elle fout enc-… »
Orgueil : « Chht ! »
La Reine enflammée déteste quand elle se fait mettre au silence. Sa valeur est plus haute qu’un péquenaud ! Et pourtant, pourtant elle regarde son époux avec ces yeux d’adolescente. Elle se trémousse même un instant d’excitation. Son côté « soumise » titillé.
Sélipa confirme qu’il y a eu un dialogue avec quelque chose. Une entité. Une force. Quelque chose. Et cette chose, ou personne, souhaite passer un marché. C’est intéressant. Cela signifie qu’elle a besoin de quelque chose. Ou qu’elle veut, désire quelque chose. Ce qui permet à Orgueil d’avoir déjà un levier sur lequel appuyé.
Orgueil : « Première Esclave ! »
Les deux mots claquent dans l’air. Dans cet environnement au milieu de rien dans lequel les sons sont réverbérer telle une église extérieure. Le Roi ordonne le silence à cette provocation inutile. Il y a trop en jeu pour risquer de tout perdre dans une guerre inutile. S’il est bien entendu prêt à épurer toute vie et tout obstacle, il préfère davantage soustraire et utiliser qu’éradiquer.
Orgueil décide donc de rejoindre Sélipa.
Ce qui signifie aussi que la petite Reinette se retrouve seule avec la Reine Nnezz…
Orgueil : « … »
La petite Reinette lève la tête vers la grande reine toute de feu et de fer.
Reinette : « Il a trop peur de rien, le Roi Orgueil. Trop fort. »
Reine : « Saleté de- !! … Oui. Oui, mon époux est exceptionnel. »
Orgueil finit par rejoindre Sélipa sous le regard imperturbable du Gardien qui ne bouge pas un muscle.
Orgueil : « … »
La bouche du Roi s’est ouverte puis s’est refermé sans un bruit. Seuls ses sourcils ont bougé. Il tourne sa tête vers Sélipa. Une question silencieuse de savoir s’il a entendu/vu en flash la même chose. A savoir que « la Violette » était avachie sur un tas de trésor. Les jambes repliées sur elles-mêmes. Les cuisses également ouverte et présentant sa queue caudale. Une vision d’assurance d’une personne qui pourrait être une Reine. Une vision qui évoque le sexe et la violence. Beaucoup de faits qui touche en son être Orgueil. Sélipa a elle aussi eu ce flash de la Violette qui s’est imposé pour montrer son statut. Mais elle a clairement ressenti qu’elle n’était plus la récipiendaire principale de la vision. Elle est devenue spectatrice.
Orgueil : « Allons-y. »
Le Gardien observa alors Orgueil marcher en sa direction. Derrière, la Reine se mit elle aussi en marche pour rejoindre son époux. C’est alors que la lourde et puissante patte du gardien avança d’un pas. Un mouvement additionné d’un autre qui vit sa gueule se baisser. Une posture qui présageait une charge.
Orgueil : « Ma Reine ! »
Reine : « Quoi ?! Ne t’avise surtout pas de me dire en retrait. Je te préviens, mon époux ! »
Orgueil : « On ne veut pas que tu entres. »
Il n’y eut pas d’excuse.
Reine : « Peu importe ce qu’il y a dans ce château, je peux le tuer pour toi ! Tu ne vas quand même pas préférer la compagnie de cette pute à celle de ton épouse ?! »
Orgueil : « … »
Reine : « Non ! Je- ! Je te préviens, si tu t’en vas maintenant, je ne garantis aucune vie des esclaves. Pas même celle de cette petite que- Quoi ?! »
La main d’Orgueil se tendit en direction de la petite Reinette. Une invitation silencieuse à venir suite à un nouveau flash de la Violette.
Des flammes jaillirent déjà de sa main. Des éruptions solaires tout autour de son corps. La Reine était en furie et se contenait à grand peine pour ne pas être une déception aux yeux du seul qui comptait. Il était son Unique. Son Précieux. Il n’y avait que lui. Elle n’avait jamais trouvé un autre parti que lui. Tous les autres avaient eu leur sexe brûlé irrémédiablement. Personne n’avait pu la soumettre par la violence. Il n’y avait eu qu’Orgueil. Ce même Orgueil qui lui tournait le dos et qui avançait vers la cour du château en compagnie de Sélipa et de la petite Reinette.