The Multiversity

Le résultat final était incroyable ! Même Mélinda en était agréablement surprise. Elle ne s’était pas attendue à ce que le résultat soit aussi efficace. Mélissandre était toutefois absolument parfaite ! Aucune déformation, aucune malformation, elle avait une peau douce et tendre, comme celle de Mélona. Mélinda avait réussi à bien la modeler, et elle ne sentait plus la présence de Mélissandre en elle. Tandis que les autres personnes possédées par Mélissandre dormaient, Lissandre accueillit Mélissandre. Une fois la surprise passée, elle couvrit sa petite poupée de bisous plus ou moins innocents. Mélinda, elle, se déplaça à son tour près du duo. Lissandre était assise sur le rebord du lit, et tenait Mélissandre sur ses genoux. Mélissandre était visiblement aussi ravie que sa mère, si bien qu’elle avait oublié l’idée d’avoir des dents vampiriques. Elle possédait après tout un véritable corps de jeune adolescente, avec une poitrine volumineuse, une signature de Mélinda.

Ravie, Lissandre indiqua à Mélinda qu’elle ne savait pas comment la remercier. La vampire les rejoignit en souriant, et caressa les cheveux soyeux de Mélissandre, puis l’embrassa sur la bouche. Ce fut un baiser moins innocent que celui de Lissandre, un baiser plus soutenu et marqué. Mélissandre soupira doucement à ce contact.

« Oh, tu trouveras bien des moyens de me remercier, Lissandre… Je pense même que tu vas pouvoir m’offrir un petit acompte bientôt. Cependant, ne te méprends pas, Mélissandre a été conçue sur le modèle de Mélona. Elle aura donc besoin d’être nourrie de la même manière que Mélona pour conserver son corps. »

Autrement dit, du sucre et du sexe… Mais quand même surtout du sexe. Mélissandre avait été conçue à partir d’une formule utilisant la magie rose, après tout. Mélinda avait quand même été sur le point de créer une armée de clones de Mélissandre informes et voraces… Elle était passée à proximité de la catastrophe ! Mélinda alla embrasser à son tour Lissandre, caressant sa tenue en latex dans la foulée.

« Je dirais que sa première fois te revient de droit… »

« Sa première fois ? Oh ! Sa première fois. »

La joie de découvrir son « Bébé » Mélissandre assise sur ses genoux avait complètement mis de côté la nature particulière de la slime. Une créature qui se nourrissait de sucre et de sexe. Mélinda n’étant pas une patissière, elle évoquait donc le sexe.

« Moi je veux faire plaisir à ma maman. Comme avant. Mais maintenant avec ce corps. Viens par là, belle maman. »

Joueuse, ce fut Mélissandre qui prit l’initiative. Ses mains se posèrent de chaque côté du visage de Lissandre pour l’amener à rencontrer ses lèvres. Elle n’allait certainement pas donner un chaste bisou. Non, elle allait lui montrer ô combien ses lèvres étaient douces et sucrées. Ô combien sa langue était joueuse et experte. On parlait de la fille d’une slime du sexe et d’une femme qui avait voulu faire toute sa carrière dans le porno. Mélissandre était le condensé de tout cela.

« Waouh… »

« Maman n’a pas aimé ? »

« Non non ! Ne fais pas cette bouille triste, ma petite Mel’. Ce n’est pas ce que je voulais dire. »

« Quoi alors ? Parce que je peux aussi donner un gros baiser à Mélinda pour m’entraîner. Pour voir les différences entre vous. »

« Oh, je suis sure que notre hôte aimerait ça. Mais, ce que je voulais dire, c’est que tu embrasses d’une façon incroyable. Je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi délicieux. »

« Hi hi ! Maman me flatte. Je suis sensible aux flatteries. »

Ce petit rire. Lissandre le pratiquait beaucoup fut un temps. C’était un détail. Mais ça prouvait une nouvelle fois que Mélissandre était bel et bien la fille de Lissandre.

« Viens par là, jolie vampire. Donne-moi tes lèvres. Toi aussi je veux t’embrasser. Je n’ai pas oublié que tu as des dents spéciales. Je veux les sentir avec ma langue dans ta bouche à toi. »

Certes, Lissandre n’était plus que spectatrice de la libido de sa fille. Mais cela ne l’empêchait pas de mouiller. Il y avait une forme de fierté maternelle mêlée à de la perversité. Toujours assise sur ses cuisses, Lissandre avait donc accès au corps parfait de Mélissandre. Ses mains glissèrent sur ses cuisses nues à elle. Sur son petit ventre engoncée dans une combinaison semblable la sienne. Sur ses gros seins si moelleux. Héritage de Mélona.

« Tu es comme ta maman, ma peite Mel’. Ton sens du style est exquis. Je suis curieux de voir ce que cela fait si je baisse juste un tout petit peu cette fermeture éclaire en-dessous tes seins. Oh ! »

Lissandre y avait à peine touché que la masse des seins avait été libéré du latex rose.

« Magnifique. »

« Tête-les, maman. Pendant ce temps, moi j’embrasse notre nouvelle amie la vampire. »

Le résultat final était une vraie réussite. Mélissandre n’avait pas grandi dans le ventre de Lissandre, mais elle n’en restait pas moins sa fille. Elle avait été conçue avec son ADN, avec celui de Mélinda, et avec ce sentiment central de filiation qui faisait qu’elle la considérait comme sa mère. Avec une propre conscience et un corps, Mélissandre était limitée d’elle-même

*Comme aurait pu dire Montesquieu, pour éviter l’absolutisme, il faut que par la force des choses, le pouvoir arrête le pouvoir…*

Elle regarda Lissandre embrasser Mélissandre à plusieurs reprises, savourant ses délicieuses lèvres. Mélinda les laissa parler. Cette jeune femme était aussi sienne, mais elle se voyait davantage comme une auxiliaire de vie que comme une véritable mère. Et puis, cela aurait sûrement gêné le couple que Lissandre formait avec Fönn.

Lissandre avait rejoint le lit, et s’était assise sur les cuisses de sa fille. Les gros seins de Mélissandre jaillirent, et Lissandre se pencha dessus. Quand elle commença à les suçoter, du bon lait allait fuser entre ses lèvres.

« Vous êtes tellement jolies, toutes les deux… »

Mélinda posa sa main sur les cheveux de Lissandre, et caressa avec son autre main les cheveux de Mélissandre, puis elle se pencha vers elle, et l’embrassa tendrement.

« Hmmm… »

Elle fit durer le baiser, et descendit son autre main, le long du dos de Lissandre, jusqu’à pouvoir serrer dans sa main l’une de ses fesses gainées de latex. Elle crispa ses doigts dessus, provoquant de délicieux bruits de crissements.

Le baiser entre la vampire et la Slime durait depuis déjà une bonne minute quand la vampire soupira en sentant la délicieuse langue de Mélissandre heurter ses lèvres. Mélinda soupira à son tour, et entrouvrit ses lèvres, pour laisser la délicieuse Slime venir.

« Haaa… »

Elle sentit cette langue titiller ses canines, et se couper dessus. Mélinda frémit à son tour, sentant sa chatte s’humidifier et chauffer fortement à cette caresse buccale…

La surprise avait manqué faire s’étrangler Lissandre. Comme lorsqu’on avale de l’eau et que cela passe par le mauvais trou à la piscine, ou à la mer. Excepté que c’était du lait. Celui de sa nouvelle fille ! Enfin, son Bébé Mélissandre qui avait maintenant un tout nouveau et magnifique corps désirable.

Alors, bien sûr, elle but. Ce n’était pas du lait standard. C’était quelque chose de sucré. Une saveur unique qui évoquait pleinement le caractère enjoué de sa Mélissandre. Une sorte de smoothie parfumée au sexe ? Quelque chose dans le genre.

« Maman, je sens que la vampire mouille. »

La slime n’avait pas mis la main dans la culotte de la vampire. Quoique, elle devait être complètement nue Mélinda. Peu importait. Elle n’avait pas eu besoin de venir caresser les grandes lèvres pour savoir qu’elle était excitée. C’était… c’était comme voir avec les yeux. Sentir une odeur avec son nez. Mélissandre avait tout simplement ressentir l’humidité de Mélinda.

« Je crois que la nouvelle amie de maman a une sorte de fétichisme. Si moi j’aime beaucoup beaucoup le sucré, Mélinda doit aimer tout autant le sang. Parce que je me suis coupé sur ses dents trop géniales. Tu vois ? »

Mélissandre força sa maman à regarder sa langue sortie et ensanglantée. En tout cas, ça ressemblait à du sang. Mais sa nature étant celle d’une slime qui voulait ressembler à une humaine, ce devait probablement être quelque chose qui mêlait du sang à du sucré. De l’hémoglobine à la composition unique des descendantes de Shoggoth.

Lissandre acquiesca et donna un assentiment. C’était plutôt un bruitage. Et ça avait le ton de celle qui s’en fiche au moins de la moitié. Soudainement, Lissandre fit basculer Mélissandre pour qu’elle se retrouve sur le dos. Sans rien lui demander et avec une certaine impatience, elle lui releva les jambes pour accéder à sa nouvelle intimité.

« Maman doit faire une inspection de tout le corps de Mel’. C’est important pour moi de savoir si tu vas bien. Si tout fonctionne bien. Et puis, tu devrais vérifier ce que tu dis, mon bébé. Si tu demandes gentiment, Mélinda acceptera surement de s’asseoir sur ton joli visage. Pendant ce temps-là, maman plongera le sien entre tes cuisses. »

Mélissandre l’Humaine était en train de s’amuser… Une véritable Mélona-bis ! Elle avait ce tempérament enfantin qui lui rappelait Mélinda, avec ce mélange mâture et cette joie naturelle à faire l’amour. Lissandre était en tout cas sous le charme, encore émue par cette jeune femme, sa fille. Mélissandre lui tira la langue en montrant un liquide pourpre évoquant du sang. Rien de très douloureux pour Mélissandre, qui trouvait au contraire tout cela très rigolo.

De son côté, Mélinda, effectivement, mouillait. Cela, Mélissandre le ressentit instinctivement, ce qui confirmait ses capacités en la matière. D’une main, Mélinda caressa ses cheveux, et l’embrassa chaudement sur le front.

« Tout à fait, Mélissandre, je constate que tu te fais vite à tes nouvelles capacités, c’est très bien. »

Elle était nue, et heureuse. Lissandre était une nouvelle arrivée, Mélinda ne la connaissait à peine que depuis quelques heures, mais elle savait, à ce moment précis, que les deux femmes allaient se revoir beaucoup de fois.

Lissandre proposa alors un programme à sa fille, qui sourit en trépignant sur place.

« Oui, Maman ! »

Elle se laissa alors coucher sur le lit, toujours engoncée dans ses vêtements. Il suffisait juste de relever un peu sa jupe rose moulante pour accéder à son intimité, ce que Lissandre fit naturellement sans la moindre difficulté.

De son côté, Mélinda se positionna au-dessus de Mélissandre, écartant chacune de ses jambes. Son liquide intime ne tarda pas à s’égoutter sur le nez et sur les lèvres de sa partenaire.

« Ma petite chérie, tu es vraiment magnifique… Tu aimes ça, hein ? »

Sulfureuse, Mélinda se masturba au-dessus de Mélissandre, et l’arrosa gentiment de sa cyprine.

« Je ne suis pas surprise, Mélona aussi adore ça, hihi… ♥ »

Elle s’arrêta après quelques instants, puis plia les genoux, ce qui lui permit de s’asseoir sur le visage de Mélissandre, glissant son sexe contre sa langue.

« Vas-y, ma belle, promène ta langue… »

Mélinda avait devant elle une vue sur la belle Lissandre, et posa sa main sur ses cheveux, venant les caresser. Elle se pencha aussi vers elle, la forçant à relever son visage, et l’embrassa avec saveur.

À son aise, la vampire embrassait aussi les cuisses et le bassin de Mélissandre, tout en se rapprochant encore de Lissandre.

« Tu me laisses lécher ? Je suis curieuse de voir si elle a le même goût que Mélona… »

Entre les cuisses de Mélissandre, Lissandre était complètement hypnotisée par le spectacle devant elle. D’abord les petites gouttes qui ruisselèrent sur ce visage parfait si semblable au sien. Par transfert, Lissandre avait presque envie de passer les doigts sur son propre visage pour sécher ces gouttes de désir. Aux gouttes vinrent alors une petite fontaine. La propre intimité de Lissandre était si humide. Elle ne put s’empêcher de faire glisser une main sur son ventre, sur son bas-ventre jusqu’à venir titiller son clitoris.

« Vous êtes si belles, toutes les deux. Rien que de vous observer me procure beaucoup de plaisir. »

Elle eut à peine le temps de glisser sa langue entre le petit sexe nouveau de Mélissandre que Mélinda réclamait un baiser. Bien entendu, elle se laissa faire. Tout était si extraordinaire qu’elle plongeait peu à peu dans un état second. Ce corps de vampire si chétif et si innocent qui se rapprochait d’elle. C’était une véritable prédatrice aux allures d’ange. Lissandre n’eut même pas le temps de réellement réaliser l’avancée que la vampire était déjà toute proche d’elle.

« Oui… oui, tu peux. »

Lissandre embrassa Mélinda. Comme une junkie qui avait besoin d’avoir sa dose continuellement.

« Les fesses de l’amie de maman sont bien calées sur la grosse poitrine de Mélissandre. C’est obligé que ce soit agréable, de toute façon ! Hi hi ! »

Lissandre était fascinée par l’aura de Mélinda. Elle la regardait faire comme si c’était la chose la plus incroyable au monde. Toute la situation prenait des proportions incroyables grâce à la seconde naissance de Mélissandre.

« Mais elle est à moi. C’est ma Mélissandre. Tu peux goûter mais tu ne feras pas plus, on est d’accord ? »

C’était sa sucrerie vivante. Et Lissandre avait une toute petite peur que Mélinda séduise sa fille. Son bébé était à elle. Elle avait une maison. Une autre maman. Sa main reposa sur son propre ventre arrondi. Avec tout ce qui s’était passé sous le toit de ce manoir, elle en avait momentanément oublié sa grossesse avancée. Oui, la famille Verrières s’agrandissait très rapidement. Et ça la faisait nager dans le bonheur !

« Ne t’inquiète pas, maman. Je rentrerais à la maison. Je dois embêter ma grande sœur Mélona. Elle sera tellement surprise de me voir comme ça ! Avec toutes ces formes à toucher et à lécher. Et… hum, l’amie Mélinda est très douée avec sa langue. Et puis, et puis il y a Marmelade. Et il y a bébé Iris. Et il a les deux autres bébés qui seront bientôt avec nous. Mélissandre va prendre ses responsabilités. Maman peut y compter très très fort ! »

La situation était atypique, et Lissandre commençait même à tomber un peu sous le charme de la vampire. Ce n’était pas au point de vouloir l’épouser, mais au point de se dire, en tout cas, qu’elle restait la mère de Mélissandre, et qu’elle n’entendait pas lui confier la garde de la Slime ! Mélinda se contenta de sourire, tandis que Mélissandre, de son côté, rappela à Lissandre qu’elle n’entendait pas rester ici, mais bien retourner vivre avec sa mère.

Mélinda caressa la joue de Lissandre, et posa sa main sur son menton. Elle avait un visage d’ange, des grands yeux verts hypnotiques. On pouvait s’y plonger, comme Mowgli hypnotisé par les yeux du serpent Ka. Et il y avait chez elle ce mélange insolent de douceur, d’innocence, qui contrastait avec sa perversité hors concours. On pouvait aussi le sentir dans sa poigne. Elle était ferme et aussi solide que de l’acier. Mélinda sourit donc, et embrassa tendrement Lissandre.

« Tu n’as pas à t’en faire, ma chérie… Mélona n’est pas mon esclave, c’est une invitée qui est toujours la bienvenue… Comme toi, ou comme ta fille slime. Je ne suis pas assez folle pour séparer une Slime de sa mère. »

Une dernière phrase qui contenait un sous-entendu limpide : Mélinda connaissait la dangerosité des Slimes. Elle n’allait pas se risquer à transdformer la douce Mélissandre en un monstre cruel et impitoyable… Ce qui avait d’ailleurs failli être le cas.

Relâchant le menton de Lissandre, Mélinda posa ensuite sa main sur les cheveux de la femme, et abaissa d’autorité sa tête, la fourrant à nouveau contre les cuisses de Mélissandre. Elle se redressa ensuite, et retourna s’asseoir sur la tête de Mélissandre, remuant un peu sur place, de droite à gauche.

« Haaaa… Je pense d’ailleurs qu’il serait logique que je puisse passer des soirées dans ta maison, Lissandre. Toi et ta famille, vous serez toujours les bienvenues ici. Maintenant, lèche, ma petite, goûte à ma mouille, et jouis contre les lèvres de ta Maman… »

Elle était la seule dont la bouche soit libre, et, ce faisant, elle reprenait très naturellement son rôle de leader, comme elle l’avait fait en abaissant la tête de Lissandre… Mais qui voudrait la retirer de ce poste, après tout ? Cela lui allait si bien !

Comment une bouille si mignonne pouvait avoir un tel contrôle sur la situation ? Ca paraissait inimaginable dans les faits. Mais la réalité prouvait le contraire. Mélinda excellait, même ! Elle avait une aura unique. Probablement son côté vampire. Mais ça ne pouvait pas tout expliquer. Et, de toute façon, on ne demandait pas à Lissandre de réfléchir. Mais de lécher. Laper. Pénétrer de sa langue l’intimité de sa nouvelle fille. Ce jus sucré ! Dans ces conditions, elle pouvait tout à fait utiliser sa langue à autre chose qu’à blablater. Assurément.

Mélissandre mouillait davantage. Et Lissandre avait l’impression que le goût… changeait ! Ca la rendait folle. Elle hallucinait ou c’était un vrai phénomène ? Est-ce que son exceptionnelle fille expérimentait et diversifiait pour répondre aux attentes de son insatiable maman ? C’était peut-être aussi le fait d’avoir un corps. Elle se cherchait. Son corps se stabilisait. Ce… peu importait l’explication. C’était fou ! Et c’était le genre de folie que Lissandre voulait dans sa vie. Cette drogue si chère à son cœur qui était un vaccin contre une terrible maladie nommée : ennui.

Inévitablement, (et Lissandre s’attendait à avoir des lèvres colorées. Comme certains bonbons qui permettaient de colorer la langue) Lissandre releva la tête et récupéra sa langue pour parler.

« Ma chère Mélinda, tu seras également une invitée priviligiée pour moi et ma famille. Seulement, préviens-nous de ta visite, nous nous habillerons de façon plus adéquate. Je dis ça, mais je suis un rare type de femme à porter toujours la même garde-robe. Et Mélissandre étant une slime… Hum, disons que cette raison fonctionnera pour ma femme. »

Elle digressait. C’était une véritable invitation, en retour de la première. Il n’y avait pas de politesse feinte. Lissandre serait ravi d’accueillir Mélinda et- voilà ! Elle avait retrouvé le fil de ses pensées. Ce qu’elle voulait dire avant que cette machiavélique poupée use de son autorité pour lui faire goûter le nectar de sa fille.

« Il y a une piscine chez moi. En extérieur. Seulement… je ne suis pas certaine que ta peau de porcelaine puisse résister longtemps. Sans compter les gênes vampires. Ca me dérangerait beaucoup que tu finisses en petit tas de cendres et soit jeté au fond d’une poubelle. »

Etait-ce une forme de provocation ? Lissandre donnait-elle de la matière à Mélinda pour qu’elle use, non, pour qu’elle abuse de son autorité ? Peut-être. Lissandre pouvait prendre autant de plaisir à dominer qu’à se soumettre.

Mélissandre : « Maman parle trop ! Il faut toujours qu’elle pense à des trucs pour après. Mélissandre préfère le présent. Elle le goûte le présent : hi hi ! Et la mouille de l’amie de maman est délicieuse. Si elle plonge dans la piscine, peut-être que l’eau aura son goût ? Ou alors on en fait un parfum ? »

Comment disait-on déjà ? Ah oui, telle mère telle fille.

Lissandre commençait à réaliser que, malgré son doux minois, Mélinda pouvait être redoutable. Elle l’avait maintes fois démontré, et elle le lui avait clairement prouvé en parvenant à canaliser Mélissandre, et à la doter d’un corps. De quoi satisfaire autant Mélissandre que Lissandre. Assise sur la tête de Mélissandre, les jambes repliées, Mélinda dominait sereinement la situation, mouillant doucement. Elle tirait parfois sur les cheveux de la Française, relevant sa tête. Lissandre s’amusait de cette situation, du goût si original de sa mouille. Mélinda se contenta de sourire à nouveau. Lissandre, l’esprit embrumé, indiqua qu’elle serait ravie de l’accueillir, mais qu’il faudrait la prévenir en avance, afin qu’elle et sa famille se préparent… Ce qui, en réalité, se résumait seulement à sa femme, Fönn.

Mélinda sourit encore, tandis que Lissandre expliqua qu’elle disposait d’une piscine extérieure, mais qu’elle n’était peut-être pas très recommandée à une vampire. De son côté, Mélissandre fit observer que sa Maman parlait trop, tout en évoquant également le cas de la piscine.

La vampire se pencha à nouveau vers Lissandre, et approcha son visage du sien. Elle l’embrassa avec tendresse, puis fit quelques utiles précisions :

« Tous les vampires ne sont pas hypersensibles aux rayons ultraviolets… Le soleil ne me fait rien de particulier… Je te baiserai donc avec plaisir dans ta piscine, Lissandre… Mais sache que j’en ai une aussi. »

Mélinda lui sourit, puis se pencha encore, venant lécher à son tour l’intimité de Mélissandre sous les yeux de sa mère, optant ainsi pour un sensuel et irrésistible 69. Disposant très récemment de son corps, Mélissandre ne risquait pas d’offrir une bonne résistance sexuelle, ce qui était aussi un peu le but recherché.

« Hmmm… Oui, ma chérie, tu es délicieuse… »

Tout en la léchant intimement, Mélinda venait aussi la masturber, humidifiant ses doigts. Elle sentait que Mélissandre approchait de l’orgasme, ce qui l’amena donc à se redresser. Elle continuait malgré tout à la masturber, tout en posant son autre main sur la nuque de la Française, la guidant.

« Là… Que le premier orgasme de ta fille soit destiné à tes lèvres, ma belle ! Rien n’est plus précieux que les liens familiaux… »

La piscine des Verrières était spéciale. Elle avait quelque chose que celle de Mélinda ne pourrait jamais avoir. Et ce n’était pas une question de prix, de spécificités techniques ou de bulles venant stimuler certaines zones. La piscine évoquée par Lissandre était spéciale car c’était en cet endroit qu’elle rencontré Mélona pour la première. Lissandre se souvenait de la grande pièce qui avait présenté un très grand choix de pâtisseries pour la slime. Un brin de nostalgie tant cet épisode semblait remonter à loin.

Son amie la vampire était toute occupée à lécher qu’à se faire lécher. Une vue incroyable qui donnait « magiquement » vie à ses doigts. Comme prise d’un sortilège, elle ne pouvait faire autrement que de se masturber. Et elle le faisait avec un sourire ravi.

Mélissandre : « Oui, maman ! Ca monte fort dans Mélissandre ! Ca va jailLIIIiiir ! »

Certaines personnes sont appelées des femmes-fontaines pour leur capacité à avoir une éjaculation abondante. Mais le squirt de Mélissandre a quelque chose de spécial. Si le premier jet a été fort et incontrôlable, venant taper dans le fond de la gorge de la bouche ouverte de Lissandre. La suite est plus controlée. Un petit jet sucré s’accompagnant d’un petit rire de la slime incarnée en humaine.

Mélissandre : « Regarde maman. Je peux être une vraie femme-fontaine. »

Elle envoie ses jambes en l’air. Le mieux serait que Mélinda les attrape. Autrement, elle sera tout de même capable de contrôler les muscles de ses jambes. Bien que celles-ci soient tout de même victimes de tremblements.

Mélissandre : « C’était trop-trop bon. L’amie Mélinda pourra venir quand elle veut chez nous. Même si maman n’est pas là : hi hi ! »

« Oh la coquine ! Et tu oserais souiller les draps de tes mamans ? Tu sais que notre chambre filme tout, oui ? »

Mélissandre : « Oui ! Je sais. C’est pour ça que je ne contredit pas. Comme ça, tu pourras voir toutes les cochonneries qu’on aura fait avec l’amie Mélinda. Et tu pourras en faire d’autres en regardant, peut-être avec maman Fönn transformée en démon et te prenant violemment le cul ? »

Un langage si vulgaire, si rude avec un ton si mignon et presque innocent. Il n’y avait aucun doute à avoir. Mélissandre était bien la fille de Lissandre et Mélinda. Cette dernière reçu la visite de Lissandre qui ne pouvait plus parler, étant allé s’abreuver à la fontaine. Avec de grands yeux coquins, elle entrouvrit la bouche et fit couler le nectar entre ses deux petits seins. Puis sa langue vint lui lécher le menton avant d’arriver sur ses lèvres. Pour l’embrasser. Et ensuite retourner lécher ce corps « souillé ». Descendre. Et descendre encore. Lécher la zone autour du nombril de Mélinda pour s’attader ensuite sur son petit mont et arriver sur une association de lèvres. Celles de la bouche de sa fille et celles intimes de la propriétaire de cet étonnant manoir.

Mélinda dominait tranquillement, amoureusement, la situation. À ce stade, qui s’interférait avec elle ? Elle offrit à Mélissandre son premier véritable orgasme avec son nouveau corps, et Lissandre fut aux premières loges. Elle s’aspergea de la cyprine de sa fille, une mouille qui vint en belles quantités. Quand Mélissandre releva ses jambes, Mélinda les saisit à hauteur des chevilles. Mélissandre était, comme Mélona, très souple. Elle la fit donc jouir, et se redressa un peu, s’extirpant du corps savoureux de sa partenaire. Clignant lentement des yeux, Mélissandre flottait dans un océan de béatitude, heureuse et comblée. Elle promit à Mélinda que celle-ci sera toujours la bienvenue chez elles, et la vampire gloussa doucement. Mélinda s’allongea à son tour sur le lit, à côté de Mélissandre, et vit Lissandre se dresser au-dessus d’elle. Elle avait la bouche pleine de la mouille de sa fille, une mouille délicieuse. Elle la recracha entre les seins de Mélinda, qui soupira doucement à ce contact. Du doigt, elle attrapa un peu du liquide sucré contre son sein, et le fourra dans sa bouche.

« Hmmm… C’est bien sucré, comme celui de Mélona. Tu as le goût de la barbe-à-papa, ma belle… »

Elle sourit donc, encore, et Lissandre embrassa ensuite son menton, léchant jusqu’à ses lèvres. Les deux femmes s’embrassèrent, Mélinda soupirant doucement. Elle retourna ensuite descendre sur son corps, glissant sur ses seins, puis sur son estomac, et sur son nombril. Mélinda gémit à nouveau, clignant des yeux sous ce traitement exquis. Mélissandre avait rejoint sa mère, et les deux femmes vinrent la lécher intimement. Mélinda mouillait à son tour, et son inmon s’illumina sur son pubis. Elle soupira à nouveau, et Mélissandre remonta pour l’embrasser sur les lèvres.

« Hihi, Mélinda est toute rouge ! »

Mélissandre s’amusait, et Mélinda sentait le désir croître en elle. Inversant les rôles, Mélissandre s’assit alors sur le visage de la vampire, et sentit avec délice les mains de Mélinda se serrer sur ses cuisses. Entrouvrant les lèvres, Mélinda fourra ensuite sa langue dans la chatte intime de Mélissandre, qui gémit doucement. La combinaison de Lissandre commença à réagir, et une verge se forma alors, poussant Lissandre à aller pénétrer la vampire.

« Vas-y, Maman, hmmm… Il faut b-baiser cette belle pute, haaaa… »

Son cœur faillit manquer un bond puis rattrapa ce retard en donnant l’impression à Lissandre qu’il avait jaillir hors de sa poitrine. Un peu bêtement, ses mains tâtèrent sa petite poitrine pour s’assurer que… quoi ? Qu’il n’y avait pas de trou ? C’était ridicule et déjà oublié. Cette réaction avait été provoqué via Mélissandre. En mettant en évidence la bouille toute rouge de Mélinda.

Peu après, comme si son mouvement de cœur avait dû conduire cet excès de sang quelque part, une verge de latex rose poussa. Lissandre n’entendait plus Mélissandre dans sa tête. Mais elle ressentait toujours sa présence. Etait-ce elle qui voulait pénétrer la propriétaire de ce manoir ? Ou cette dernière qui parvenait à insuffler ses désirs via une magie ? Encore une fois, peu importait. La verge était présente. Et c’était comme si Mélissandre avait frotté la lampe du génie et que son vœu devait être exaucé.

Lissandre se rapprocha et glissa la pulpe de ses doigts sous les jambes de Mélinda. Elle avait une peau si douce. C’était un piège à caresses.

Mélissandre : « La langue de Mélinda fait des guiliguilis trop efficaces ! Ca me donne beaucoup de plaisir. Tout le visage de Mélinda va sentir la barbe-à-papa : hi hi ! »

Pour Lissandre, c’était très excitant de voir sa fille prendre autant de plaisir. Ce n’était pas elle qui se faisait lécher d’une façon experte la chatte. Mais savoir que sa fille jouissait lui apportait un plaisir qu’elle n’aurait jamais pu découvrir sans faire d’enfants. Ce qui la mettait en condition et ce qui faisait qu’après les caresses, elle releva les jambes de Mélinda pour exhiber complètement ses trous à foutre. Une vision si indécente était encore une source d’excitation.

Mélissandre : « C’est le gros ventre enceinte de maman qui la rend si lente ? Il faut que Mélissandre lui montre comment baiser la belle pute ? Mais- Aaah ! Mélissandre peut pas bouger. Mélinda lui fait sa magie. Maman doit se débrouiller toute seule ! Hi hi ! »

« Oh mais ne t’inquiète pas, ma barbe-à-papa. Maman sait très bien comment faire. Viens par là que je t’embrasse. »

La saisissant à la gorge, Lissandre obligea Mélissandre à se cabrer pour se faire embrasser. Une fois que cela fut fait, Lissandre reprit les jambes de Mélinda. La tension était telle que la pénétration allait arriver !

« Pour une belle pute comme elle, il ne peut y avoir qu’un trou à prendre. »

Comptant sur l’excitation naturelle de Mélinda et sur la lubrification de son sexe de latex rose, Lissandre s’enfonça dans le petit cul de la vampire jusqu’à venir taper son bas ventre dans ses fesses.

Ainsi allongée, Mélinda était désormais assaillie par les Verrières, Lissandre et Mélissandre. Elle soupirait doucement, remuant lentement ses jambes, sentant le corps de Lissandre près d’elle, frottant ses jambes sur sa combinaison en latex. Elle avait les mains serrées sur les cuisses de Mélissandre, s’en servant comme soutien pour pouvoir la lécher. Le fait est qu’elle se débrouillait plutôt bien, ce qui n’échappa pas à Mélissandre. En même temps, sa délicieuse chatte était très douce, et le goût si particulier de sa cyprine avait une envie d’y revenir sans cesse. Pour Mélinda, c’était comme quand elle faisait l’amour avec Mélona. Mélissandre avait tout de la Mélona-bis, ce qui était en soi assez logique, puisqu’elle avait été conçue avec l’aide de Mélona, et qu’elle devait voir Mélona comme la grande-sœur, le modèle à suivre et à ressembler. Dans l’absolu, mieux valait une inspiration mignonne et sensuelle que sa transformation en monstre dominateur avec sa flopée de clones sans visage.

« Hmmm… »

Elle les sentit s’embrasser. Le spectacle devait être mignon. Quand on connaissait Mélinda, on connaissait ses petits fantasmes, impliquant l’inceste. Lissandre allait toutefois en toucher un autre. Elle releva les jambes de Mélinda, et sa verge se rapprocha de son fondement. Elle trembla doucement, et gémit, puis soupira ensuite quand Lissandre s’enfonça en elle. Sa chatte libéra sa mouille, trahissant le plaisir profond que Mélinda ressentait à l’idée de se faire prendre par là.

« Haaa… »

Mélinda gémit encore, se tortillant sur place, sentant les coups de reins de Lissandre en elle. Elle continuait de son côté à lécher le sexe de Mélissandre, bien décidée à l’amener elle aussi à l’orgasme !

Oooh ! C’est que la petite traînée avait aimé se prendre par le cul ! Elle gémissait. Elle se tortillait. Mais à aucun moment elle n’avait demandé à arrêter, à y aller moins fort ou… Non, rien de rien. Mélinda était complètement assujettie au sexe de la femme enceinte. C’en était fini de son règne. Place à Lissandre I.

« Tu vois, mon bébé ? Maman sait très bien comment baiser la belle pute, selon ton joli élan poétique. »

Elle arrêta tout mouvement. Encore deux centimètres et elle était complètement sortie du fondement de Mélinda. Et juste au moment où la question pouvait être posée : elle retourna d’un seul coup au-dedans. Brusquement. Sans gentillesse. Elle n’était pas violente ou cruelle. Mais Lissandre s’imposait. Son rythme. Sa soumise. Les rôles étaient clairs.

« Ton rôle à toi, c’est de la rendre complètement dépendante. Tu sais que le sucre est une forme de sucre, ma barbe-à-papa ? Je veux que tu mouilles tellement qu’elle attrape le diabète. Tu peux faire ça pour moi ? »

Mélissandre : « Bah oui ! Et ça va être facile ! Parce que sa langue est trop trop efficace ! Je crois même qu’elle est meilleure que maman. Euh, oups ? »

Lissandre s’était de nouveau arrêtée. Mais pas pour imposer sa volonté sur Mélinda. Même son travail de réflexion fut ébranlée suite à l’impertinence de sa fille. A quoi pensait-elle ? Elle avait oublié. Mais elle attrapa la graisse sur les petites fesses de sa victime du moment. Certes, il n’y en avait pas beaucoup. Mais tout le monde pouvait se faire pincer par la peau.

Un instant de flottement.

Puis Lissandre se retira de Mélinda et retira sa fille de la bouche de la vampire. L’instant d’après, c’était Mélissandre qui était allongée sur le dos, les jambes en l’air. Ses chevilles prises dans l’étau des mains de sa maman.

Mélissandre : « Euh… Maman est fâchée ? Parce que je ne suis pas sur que ce soit très gentil de laisser comme ça notre amie ? »

« Mélissandre ? Tais-toi. »

Ce n’était pas méchant. Mais c’était le ton autoritaire d’une maman pour son enfant. Lissandre eut un bref regard désolé pour Mélinda puis il ne passe pas une poignée de secondes avant qu’elle commence à enculer la petite impertinente.

« C’est une question d’autorité parentale et de discipline. Je suppose que c’est largement compréhensible, n’est-ce pas, Mélinda ? Han ! »

Mélinda était en train de passer une soirée incroyable ! Celle-ci avait déjà commencé fort quand Shaïra était venue en compagnie de Camille, mais la venue de la famille Verrières apportait une touche supplémentaire ! De l’autre côté du manoir, Fönn était partie en compagnie de Kamiye, de Mélona, et de Camille, et Mélinda devait se douter que, là-bas, la soirée devait être également très sportive ! Elle, en tout cas, elle prenait clairement son pied ! Lissandre prenait ses aises, comme si le fait d’avoir modelé Mélissandre en humaine avait développé un instinct maternel fort chez elle. Elle voulait montrer qu’elle était la patronne, « l’adulte » qui dominait les autres. Les apparences physiques, comme toujours… Avec sa silhouette adolescente, Mélinda se plaisait volontiers à ce jeu, mais il ne fallait pas oublier qu’elle avait plusieurs siècles d’existence. Pour elle, Lissandre était toute jeune ! Cependant, quiconque connaissait bien Mélinda savait que son plus grand traumatisme était l’absence totale d’amour parental au cours de son enfance. Elle avait compensé cela en ayant un fort désir maternel, et jouait souvent avec ses esclaves adultes en jouant le rôle de leur fille. Alors, elle laissait Lissandre jouer.

La femme en rose la sodomisait donc, la prenant en levrette. Mélinda se faisait prendre avec force, tout en sentant sous elle le corps de Mélissandre, et la langue reptilienne de la petite Slime qui s’attaquait à son sexe. Mélinda pouvait sentir Lissandre s’enfoncer avec force, glissant ainsi plus d’une vingtaine de centimètres dans le fondement de Mélinda. Elle se reculait ensuite, lentement, jusqu’à pratiquement sortir, avant de s’enfoncer encore, brutalement, faisant basculer le corps de Mélinda en avant, se délectant des couinements et des gémissements de celle-ci. Tout aurait pu se dérouler ainsi, Mélinda aurait offert à Mélissandre plus que nécessaire en nectar, mais une remarque malheureuse de la belle petite refroidit subitement Lissandre. Elle s’arrêta brusquement, et se retira du fondement de Mélinda.

« Ha… ! »

Avec son fondement dilaté, Mélinda frémit en sentant les caresses de l’air glisser sur sa croupe, une délicieuse bise. Lissandre redressa Mélissandre, puis la coucha sur le dos, avant de relever ses jambes. Nonobstant les remarques de sa fille, elle opta pour une position de l’enclume intense, soulevant les jambes de sa fille pour s’enfoncer dans son fondement. Devenue seule, Mélinda se redressa un peu, et réfléchit.

« Je comprends… Mais j’ai une petite idée… »

Elle rejoignit alors Lissandre, en s’appuyant sur les meubles. Ses fesses lui faisaient tout de même un peu mal. Elle se lova dans le dos de Lissandre, et planta ses crocs dans son cou. Elle ne traversa pas le slime, ce qui n’était pas le but recherché. Son inmon s’illumina alors. Mélinda avait fusionné brièvement avec le symbiote de Lissandre, et elle comptait encore s’amuser. Tout en se concentrant, le symbiote en latex de Lissandre se mit à vibrer, et généra une grosse quantité de slime. Une flaque tomba sur le sol en se détachant progressivement du corps de Lissandre. Mélinda retira alors ses crocs. Elle s’écarta un peu, et la flaque se redressa alors, prenant des formes anguleuses. Mélinda venait de générer un nouveau clone de slime, similaire à ceux que Mélissandre avait généré tantôt. Ce clone obéissait toujours à Lissandre, mais avait aussi sa volonté propre.

Mélinda se mordilla les lèvres en le regardant. Une belle verge jaillit du bassin du clone, et Mélinda se déplaça ensuite. Elle se mit en face de Lissandre et de sa fille, à quatre pattes, son visage au-dessus de celui de Mélissandre. Le clone de slime se glissa dans son dos, et reprit la sodomie interrompue par Lissandre, faisant gémir la vampire, qui se pencha pour embrasser Mélissandre.

« Hum-hum… Ton symbiote m’apprécie, Li-Lissandre… »

La jeune Française allait aussi pouvoir ressentir le plaisir de son symbiote au fur et à mesure qu’il bourrait le petit cul de la vampire…

Mélissandre : « Oh ! Coucou, Mélinda. Hi hi ! »

Se faire « punir » ainsi par Maman Lissandre ne semblait pas déranger beaucoup Mélissandre sous sa nouvelle forme humaine. Elle aimait trop se faire ramoner son petit cul. Elle aimait trop voir la petite bouille de l’amie de sa maman. Tout comme elle ressentait le plaisir de la combinaison épousant les formes parfaites de Lissandre et les sensations de ce nouveau clone sans forme remarquable. Trois, quatre entités mais tout s’entremêlant comme s’il n’y a là qu’une personne. Une Lissandre à la psyché fragmentée, plus ou moins.

« Bien entendu qu’il t’apprécie. Ce n’est ni plus ni moins que moi, après tout. Je m’excuse une nouvelle fois de t’avoir délaissé. Il me faudra bien plus qu’une… « punition » avec ma fille adorée pour lui faire comprendre certaines réalités de la vie. Mais je ne pourrais jamais assez te remercier. En fait, même mon impertinence ne saurait avoir vraiment de limites. »

Mélissandre : « C’est maman qui parle trop maintenant ! Hi hi ! »

« Mélissandre ! On n’interrompt pas deux adultes qui parlent. »

Mélissandre : « Mais maman parle toute seule. Son amie est trop trop contente de se faire dilater son petit cul : hi hi ! Regarde. »

Le nouveau symbiote provenait de la combinaison-slime de Lissandre. Tout comme Mélissandre en était sorti. Et si cette dernière avait acquis une quasi autonomie, le lien persistait. Elle parvint à agir dessus et faire ralentir le nouveau symbiote. Jusqu’à lui commander de laisser seulement le gland entré entre les deux petites fesses de l’éternelle adolescente. Aucun mouvement. Et à peine une pénétration. De quoi la frustrer !

« Mélissandre ! Il semblerait que je ne sois pas la seule impertinente. En même temps, telle mère telle fille veut l’expression, n’est-ce pas ? Et moi qui allait faire remarquer que j’étais venu à la base pour obtenir une technologie de voyage pour ma villa. »

Mélissandre : « Tu as vu, maman ? L’expression de ton amie. Elle cherche à s’empaler toute seule. Mais elle n’y arrivera pas. L’espèce de ‘sandre sans identité recule en même temps. C’est… méchant ce que nous lui infligeons : hi hi ! »

« Nous ? Mais je ne suis pas responsable de la privation de son plaisir. »

Mélissandre : « Bah si ! Parce que tu pourrais reprendre le contrôle ! Tu es complice en ne faisant rien. »

« Petite coquine ! Aussi intelligente que sa mère. »

Comment allait se comporter la Maîtresse de maison ? Celle qui régnait sur son manoir, réduite à l’état d’un morceau de chairs qui ne pouvait éprouver le plaisir escompté. Manipuler par cette famille étrange et pleine de bonhommie. Mais… peut-être que cette frustration aidait à prendre son plaisir ? Qu’elle ne soit plus en contrôle de tout, ce devait être libérateur en quelque sorte, oui ? ET ! Voilà que Mélissandre, avec sa bouille adorable, se faisait pénétrer par Lissandre ! Elle y avait le droit. Elle ! Et pas Mélinda. Quelle injustice ! Quel machiavélisme de ces bonbons roses et tout sourire !

Cette séance avec Lissandre et sa fille slimesque se poursuivit donc. De toute évidence, Mélinda était effectivement victime d’un traitement injuste. C’était elle qui avait empêché Mélissandre de se transformer en une armée de clones sexuels monstrueux, c’était elle qui avait modelé Mélissandre pour qu’elle ait un corps humain, et sa seule récompense fut de sentir le clone de Mélissandre se retirer de son fondement ! Mélinda grogna, tout en entendant Lissandre et Mélissandre s’amuser. Ses griffes sortirent de ses ongles, et elle sentit les mains du clone caresser ses fesses, lui refusant néanmoins sa juste rétribution.

« Vous… Vous êtres bien cruelles, toutes les deux… Mmm… N’oublie pas que c’est moi qui t’ai donné ce corps, Mélissandre, ça fait un peu de moi… Ta seconde Maman. Et ce n’est pas une façon correcte de traiter sa maman ! »

Mélissandre s’amusait clairement, comme un enfant, tout en sentant derrière elle la verge de sa mère la besogner. Mélinda n’était pas liée par le clone, alors elle se releva alors, et se dirigea vers les deux femmes.

« Dans ce cas, je dois moi aussi te punir, Mélissandre ! »

Mélinda déploya à son tour sa verge, et se rapprocha du duo. Mélissandre se faisait toujours prendre par l’arrière, ce qui permit sans difficulté à Mélinda de guider son membre, et de l’enfoncer dans la bouche de Mélissandre. Elle posa ses deux mains sur ses longs cheveux blonds, et fila d’avant en arrière en elle, soupirant furieusement. Lissandre se trouvait face à elle. Mélinda l’observa brièvement, en se rappelant que, effectivement, à la base, Lissandre était venue ici uniquement pour avoir accès à des Portails, et pouvoir voyager dans le Multivers. Comme quoi, un séjour chez Mélinda était toujours une sacrée expérience !

« Non. Non, ça ne va pas. »

Lissandre prenait une fausse moue boudeuse. Elle fit semblant de réfléchir intensément.

« Je serai assez d’accord sur le fait que notre fille doive être puni. Mais je me demande si c’est vraiment la bonne punition. »

La main de Maman Lissandre vint caresser les cheveux blonds de sa fille. Cette couleur. Cette soyeuseté. C’était extraordinaire. De quoi nourrir un complexe de jalousie. Mais Lissandre était trop excitée. Et par la situation. Et par le fait de posséder une fille extraordinaire.

« Un manoir comme le tien, très chère Mélinda, ça doit dissimuler des pièces intéressantes. »

Question ? Affirmation ? Ça importait tellement peu. Tout ça n’était qu’une excuse pour poursuivre sur la voie de la luxure. Mais aussi sur celle de l’exploration de ce bâtiment incroyable. Lissandre vint alors se coller contre le dos de l’éternelle adolescente. Ses mains glissèrent sur ses flancs. Remontèrent pour venir caresser ses seins. Ses doigts hésitant à pincer ses tétons qu’elles effleuraient.

« Je suppose qu’il doit y avoir au moins un donjon ici, oui ? Pas celui des jeux de portes-monstres-trésors. Je parle d’un vrai donjon sexuel. Avec croix de Saint-André. Collection de jouets disposés comme si c’était des objets de bourgeois. Et… et qu’est-ce qu’une personne comme toi, si unique, pourrait bien posséder pour faire la différence ? »

Elle abandonna. Ses doigts pincèrent les tétons de Mélinda. Pas pour faire mal, mais pour jouer avec cette limite vicieuse entre douleur et plaisir. Ce geste lui donnant la sensation d’être la Maîtresse de toutes. D’être en contrôle. D’être la Dominatrice. Bien sur, Lissandre savait qu’elle n’était qu’une invitée. Mais elle avait la sensation que Mélinda aimait jouer à ce genre de jeu.

« Alors ? Est-ce que tu vas te satisfaire d’avoir rendu silencieuse notre fille ? Ou vas-tu pérorer ? Afficher ce sourire joueur. Mutin. Sure d’elle. Peut-être même prétentieuse ? Ebahis-moi, Mélinda. Fais-moi regretter ma villa. Donnes-moi envie de te jalouser. De te vouloir, toi. Ton manoir. De tout vouloir et de dilapider la fortune de ma famille pour tout racheter. Pousses-moi à commettre l’impensable. »

Sa main força le visage de Mélinda à se tourner vers celui de Lissandre dans son dos. Et elle l’embrassa.

Lissandre était décidément une personne à l’humeur très changeante ! Elle voulait en savoir plus sur le manoir, et elle voulait que Mélinda lui présente les donjons. Mélinda vit bien sûr immédiatement à quoi celle-ci faisait référence. Elle regarda Mélissandre, qui ne semblait pas rejeter l’idée. Elle tremblait même doucement d’excitation. Mélinda répondit donc au baiser de Lissandre avec envie, et l’enlaça ensuite, se retournant donc pour lui faire face. Leurs verges se caressèrent mutuellement, même si celle de Lissandre se recouvrit rapidement de son slime-latex, frottant et collant à celle de la vampire.

« Très bien, ma belle… J’ai des donjons, oui, ils sont au sous-sol, ce sont les geôles que nous avons réaménagé. Suivez-moi, et ne faites pas de bêtises ! »

Elle attrapa la main de Lissandre, puis laissa Mélissandre attraper celle de Lissandre. Le trio traversa le couloir, et Mélinda les guida vers un escalier. Elle s’y aventura la première, et elles rejoignirent le rez-de-chaussée, puis un autre escalier. Un escalier plus ancien, plus étroit, plus sombre, qui les conduisit vers le sous-sol.

« J’ai des cellules, ici, qui sont réservées à mes pensionnaires les plus dangereux. Il s’agit surtout de délinquants juvéniles, j’ai un contact au sein de la police qui me les amène pour que je leur offre l’éducation dont ils ont toujours été privés. »

Une simple information, anodine, mais qui permettrait aussi à Lissandre de savoir que Mélinda avait le bras long. Elles arrivèrent en bas de l’escalier. Souterrain oblige, l’éclairage venait de lampes. Il y avait surtout un éclairage avec des néons à hauteur des plinthes et des lampes violettes. L’idée était clairement d’avoir une sorte de souterrain sensuel, loin de l’image froide d’une cave médiévale ou d’un bunker aseptisé. On avait installé de la moquette et du parquet selon les différents sols. Les cellules évoquées par Mélinda se trouvaient le long des murs, et, au centre, il y avait plusieurs donjons. Elle ouvrit une porte, et alluma la lumière. Petit à petit, les éclairages dévoilèrent une grande pièce sans fenêtres, avec un lit, des meubles, des chevalets, des croix de Saint-André, une variante de la vierge de fer… Et quantité d’autres objets, y compris des artefacts magiques.

« Je vais mettre une tenue plus adaptée pendant que vous découvrez un peu les lieux, mes chéries… »

La vampire ouvrit une porte menant à une penderie, et en ressortit quelques minutes après avec une nouvelle tenue, curieuse de voir comment les deux allaient se comporter…

Pendant un temps, Lissandre crut qu’elle avait fait une bêtise. La mention de geôles. L’escalier et ses alentours qui semblaient les diriger davantage vers une ambiance torture que luxure. Même le point culture sur les activités de Mélinda. Tout devenait trop sérieux. Trop réaliste.

Heureusement, ses deux mains étaient prises par deux femmes incroyables. Dont une était si heureuse qu’elle éclaboussait les autres d’ondes positives. Lissandre ne pouvait s’empêcher de sourire quand elle découvrait, encore et encore !, son bébé sous forme humaine. Sa Mélissandre.

Mélissandre : « Oui oui, va te changer. On promet de pas mettre notre nez dans les trucs qu’il faut pas. Promis, croix de bois croix de fer je vais en Enfer ou un truc dans le même genre : hi hi ! »

Si les yeux de Lissandre allaient d’un endroit à un autre, très curieuse de tout ce que ce genre d’endroit pouvait cacher ou exhiber sans honte : Mélissandre y allait physiquement. Elle sauta sur le lit et rebondit deux fois avant que ses pieds ne touchent le sol. La voilà déjà qu’elle ouvrait les doubles portes de ce placard. Puis elle écarta les bras et les jambes en collant ses délicieuses fesses contre une des plusieurs croix de Saint-André. De petits commentaires étaient émis tout au long de sa course.

De son côté, Lissandre se rapprocha d’une armoire qui avait été ouverte. Cet anneau l’attirait terriblement. Elle n’était pas magicienne. Pas plus qu’elle n’était une manipuleuse d’objets investis de différents pouvoirs. Mais cette bague, qui était un artefact magique, finit bel et bien à son doigt.

Les quelques minutes passèrent ainsi très rapidement avant que Mélinda dans une nouvelle tenue ravisse leurs regards à toutes les deux.

Mélissandre : « Elle est jolie l’amie de maman ! »

Mélissandre était déjà accroupi à côté de Mélinda. Ses doigts jouèrent avec les froufrous du body moulant son corps d’éternelle adolescente.

« C’est vrai que c’est joli, ça. Ca fait très servante. C’est le message que tu essaies de nous faire passer ? »

Son sourire était toujours autant joueur. Et voilà que Mélissandre se tendait déjà pour se retrouver à nouveau en position debout.

Mélissandre : « Moi je ne sais pas si maman a raison. Je trouve que sa tenue noire, les petits gants, le petit collier aussi. Il y a quelque chose qui dit « vous allez m’obéir. Vous allez montrer vos fesses. Et elles vont claquer ! » Hi hi ! Ca ne déplairait pas à Mélissandre d’être punie de cette façon. Et toi, maman ? »

« Je ne sais pas. Je crois que je vais retenir ma réponse un petit peu. Parce que je ne pense pas que Mélinda se soit changée juste pour le plaisir de se refaire déshabiller dans peu de temps. »

Les mains maintenant sur les hanches, Lissandre s’était braqué sur le côté et donnait une agréable posture en forme de S pour les yeux. Ses doigts ainsi mis en évidence sur son latex rose permettait de montrer sa « nouvelle » bague. Mais son esprit hyperactif était pour le maintenant pleinement concentré sur ce petit bout de femme qui accaparait toutes ses pensées.