The Multiversity

Kon vivait sa première fois, avec sa petite amie, c'était intense et délicieux. Elle la laissait faire, préférant qu'on lui tienne la main et qu'on la guide. La neko avait plus l'habitude qu'elle dans ce rôle donc elle ne pouvait que bien la guider. Elle la suivait, partageant la même envie tandis que la neko ronronnait fort en la chevauchant fort. Il est vrai que si ça n'aurait pas été un cadeau de ses parents, le risque qu'Alicia reparte chez ses parents avec un petit cadeau à déballer dans neuf mois n'était pas impossible. Les Kaguya semblaient très féconds et Alicia était en chaleur, les conditions étaient bonnes. Mais toute heureuse et envieuse d’agrandir sa famille, elle n'allait pas laisser ça entre les mains de sa fille, même pas encore majeur. Non, le sexe n'était que plaisir. Elles pouvaient coucher toute la journée ensemble, aucune ne tomberait enceinte.

Une prochaine fois, le risque zéro ne serait pas forcément là, mais aujourd'hui, aucun risque. Sa belle petite amie remuait sur elle, son magnifique visage, sa petite poitrine semblait briller sous l'effort et la sueur qui lui coulait dessus tandis que sa voix était plus sublime que d'habitude. Couchant avec elle, Kon la voyait sous un jour meilleur encore, bien qu'elle pensait cela impossible. L'excitation poussant plus encore, elle jouis avec Alicia ensemble, sa petite chatte devint le récipient de sa semence, une première, pour aujourd'hui.

« HAAAAAAAAAAAN ! »

Jouir en elle... c'était incroyablement bon. Jouir avec une queue, ce fut bon, mais là. C'était un stade au-dessus. Mais sa neko en chaleur avait soif et faim, elle en voulait, toujours plus ! Elle sentait ses mains sur les hanches d'Alicia qui lui donnait un nouveau cours. Sa queue, reprenait déjà du service en se tendant doucement, mais rapidement, en elle tandis que le corps sa chérie remuait sur sa verge.

« Oh, Alicia... »

Elle la suivait, comme demandé en observant son magnifique corps sous tous les angles, elle était tellement magnifique. Leurs enfants le seront tout autant. D'adorables chatons aux yeux bridés... Alicia les avait déjà un tout petit peu, l'une de ses mères était une métisse edorasienne donc, forcément, mais là, ce sera les plus beaux chatons au monde. Mais elle pensait un peu vite, ce n'est pas aujourd'hui que cela pourrait commencer à prendre forme. Une de ses mains se détachait, caressant son ventre, entre son clitoris et son nombril, sa queue était là, quelque part derrière. Elle avait beau déjà être remplis, elle en voulait encore plus. Ce sera ainsi à chacune de ses chaleurs ? Si dans quelques années, elles vivent ensemble, Kon aura cette lourde tâche de la satisfaire autant.

Mais Kon repensaient aux paroles de Miyako, se montrer plus autoritaire, vulgaire et violente. Voilà bien trois choses qui la définissaient mal, mais par amour, elle devait essayer.

« Hum, Alicia, ma... chatte en chaleur... Hum... Tu.. je vais t-tellement, hum... remplir ta chatte... Et... han... ta maîtresse... te baiseras b-bien hum... bien fort... »

Une chance qu'elles aient vue ce film il y a deux jours, ça lui donnait quelques arguments à copier, même si elle était loin d'avoir l'aura et la confiance de Poison, mais elle s'inspirait d'une des meilleures au moins. Même si elle était loin d'être une championne et de bien maîtriser la chose, elle savait bien suivre le mouvement et elle bougeait bien. Nul doute qu'à Papua, faire une danse du ventre pour sa bien-aimée, ça pourrait être assez simple pour elle. À suivre...

Et elles continuaient, Alicia était toujours autant affamée et Kon se devait de satisfaire sa chérie alors elle faisait l'effort d'être plus dominatrice, de diriger la danse. Ce n'était pas dans ses habitudes, surtout qu'Alicia était un peu plus âgée qu'elle, même si en termes de rang, elle était plus qu'une simple noble, elle était une princesse. Mais cela importait peu ici. La demoiselle s'agitait un peu pour mener à bien son action, loin d'en avoir fini, la neko dirigeait aussi ses mains plus à l'arrière vers ses fesses en lui laissant carte blanche. Que ce soit avec la voix ou les gestes, Kon n'était pas dans son élément, mais elle ferait l'effort, au moins pour Alicia.

Elle donna une petite tape, rien de bien méchant, comme lui avait dit Miyako, comme pour taper un petit insecte qui se trouvait là. Assez pour tuer cette petite vermine, pas assez pour faire vraiment mal à quelqu'un. Elle observait sa petite amie, consciente qu'elle attendait quelque chose d'elle, un mot, un geste, quelque chose, mais quoi ?

« Espèce... espèce de, hum, sale petite... effrontée ! »

Il ne fallait pas lui demander la lune, mais elle faisait des efforts, il fallait le souligner au moins. Heureusement qu'elles ont vu ce film ensemble, ça lui faisait de la matière pour s'en inspirer un peu, sans ça, Kon aurait été désarmé, en tout cas dans ce domaine pour plaire à sa neko. Les petites claques étaient plus fréquentes et rapides, pas beaucoup plus fort, elle avait peur de ne pas savoir où était la limite entre trop et acceptable ? En-tout-cas, c'était lentement, mais la princesse changeait pour mieux correspondre à ce que son amour attendait d'elle.

« Mmmh, Alicia... Je... Haaa, après... Je... je t'en... je... je t'enculerais ! »

Ce n'était pas une envie qui était en priorité sur sa liste, mais si elle devait s'inspirer du film avec Poison, elle devait piocher dans ce qu'elle avait vu avec ses yeux innocents. Toujours en s'inspirant de l'actrice, elle donna un bon coup de reins qui fit basculer la neko en avant, Kon pu ainsi la saisir par le bas du dos, l'ayant si près de son visage. Elle devait maintenant ce côté sérieux et maîtresse, mais elle voyait sa chérie si proche, si belle... C'était dur de maintenir un seul visage et rôle...

« Je veux te faire jouir, Alicia... Tu jouirais sur mon oreiller... Comme ça, j'aurais ton odeur près de moi, pour dormir... »

Sans elle, bien entendu, car elle devait bien rentrer chez elle tôt ou tard. Ce petit message était à la fois salace et mignon, c'est vrai, même si son oreiller sera lavé tôt ou tard, c'était mieux que rien. Puis elle reprenait doucement ses coups de reins pour mieux lui faire l'amour, toujours un peu mieux que ce que la neko attendait d'elle, du moins, la princesse l'espérait, car doucement, elle approchait de sa limite. Un brin d'attente suffira pour recommencer ensuite, mais là encore, elle n'était pas Poison qui reprenait aussitôt qu'elle avait joui. Magie du cinéma – et donc d'une pause entre deux scènes – ou vrai talent, une chose est sûr, Kon sera incapable de jouir et de recommencer juste en ayant repris son souffle pendant dix secondes.