Re: Le premier amour
Posté : 26 juin 2025 21:09
Alicia venait de jouir mais sa soif semblait impossible à étancher. Juste après que la bouche de Kon l’ait emmenée jusqu’aux étoiles elle avait inversé leurs positions pour pouvoir lui faire l’amour en collant sa chatte contre la sienne tout en tenant sa cuisse contre elle. Sa chérie lui assura qu’elle pouvait continuer de fantasmer et que ses fantasmes prendraient bientôt forme dans cette chambre, de quoi la faire saliver.
« Nnnyyyaaa… tant mieux… j’ai hâte. »
Pour la neko se faire pénétrer n’était pas juste un fantasme, c’était un besoin. Un besoin dicté par ses chaleurs et par le désir le plus primitif de toute espèce vivante : s’accoupler et se reproduire pour continuer d’exister. Elle était sûre que la princesse tiendrait parole et qu’elle finirait par lui donner cette baise dont elle avait tant besoin pour calmer le feu qui brûlait en elle, elle espérait juste qu’elle n’aurait pas à attendre trop longtemps.
Pour l’instant Alicia se régalait du contact de son minou humide contre celui de Kon, ces caresses intimes envoyaient dans tout son corps des vagues de plaisir qui la faisaient frémir des pieds à la tête et ses oreilles et sa queue caudale s’agitaient. Elle aurait déjà trouvé ça délicieux en temps normal mais ses chaleurs amplifiaient encore son plaisir, lui donnant un boost d’énergie pour tenir la cadence. De temps en temps elle donnait des baisers et des léchouilles sur la jambe de son amante ou appuyait ses ongles dessus pour voir la princesse frémir, la griffant presque quand elle sursautait de plaisir.
« Ooohhh… quelle bonne fille tu es Kon… avec ta chatte trempée… »
Au milieu de leurs ébats passionnés la Kaguya complimenta la Karistal sur le plaisir qu’elle lui donnait et lui demanda de lui répéter qu’elle l’aimait tandis qu’elle la faisait jouir.
« Nnnyyyaaa… évidemment que je t’aime Kon. Ooouuuhhh… j’aime te voir le matin au réveil… j’aime te tenir la main en me promenant avec toi… aaahhh… j’aime t’écouter parler de notre future vie à deux… j’aime quand on se lave mutuellement le dos quand on prend notre bain… haaannn… et qu’on se tient la main sous l’eau… j’aime qu’on se donne mutuellement à manger pendant les repas… j’aime te voir t’occuper de tes petites sœurs… »
La neko avait encore du mal à croire à quel point leur relation s’était vite développée. Bien sûr elle éprouvait des sentiments pour la princesse depuis longtemps, des sentiments qu’elle avait longtemps hésité à exprimer, mais elle n’avait vraiment ouvert son cœur qu’il y a deux jours. Tout était parti de là et maintenant elle avait une merveilleuse petite amie avec laquelle elle partageait des moments délicieux, des moments intimes mais aussi des moments de tendresse. En tout cas il était certain qu’il y avait beaucoup d’amour entre elles.
« Nnnyyyaaa… et j’aime… te faire l’amour… en frottant ma chatte contre la tienne… ooouuuhhh… j’aime t’écouter gémir… j’aime voir le plaisir illuminer ton visage… et j’aime… aaahhh… te voir joouuiir… Mmmyyyuuu ! »
Toutes ces caresses intimes amenèrent Alicia jusqu’à l’orgasme, tout son corps se tendit et elle miaula de bonheur tandis que sa mouille giclait entre ses cuisses, se mêlant à celle de Kon. L’éjaculation la maintint au sommet du plaisir pendant plusieurs secondes, tout son corps étant inondé par le tsunami intérieur du plaisir, jusqu’à ce qu’elle ne retombe et ne doive reprendre son souffle. Elle regarda sa princesse, elle aussi en sueur et le souffle lourd, et vint lécher sa cuisse en gardant ses yeux plantés dans les siens.
« Mmmrrraaawww… moi aussi… je veux t’entendre dire… que tu m’aimes. »
« Nnnyyyaaa… tant mieux… j’ai hâte. »
Pour la neko se faire pénétrer n’était pas juste un fantasme, c’était un besoin. Un besoin dicté par ses chaleurs et par le désir le plus primitif de toute espèce vivante : s’accoupler et se reproduire pour continuer d’exister. Elle était sûre que la princesse tiendrait parole et qu’elle finirait par lui donner cette baise dont elle avait tant besoin pour calmer le feu qui brûlait en elle, elle espérait juste qu’elle n’aurait pas à attendre trop longtemps.
Pour l’instant Alicia se régalait du contact de son minou humide contre celui de Kon, ces caresses intimes envoyaient dans tout son corps des vagues de plaisir qui la faisaient frémir des pieds à la tête et ses oreilles et sa queue caudale s’agitaient. Elle aurait déjà trouvé ça délicieux en temps normal mais ses chaleurs amplifiaient encore son plaisir, lui donnant un boost d’énergie pour tenir la cadence. De temps en temps elle donnait des baisers et des léchouilles sur la jambe de son amante ou appuyait ses ongles dessus pour voir la princesse frémir, la griffant presque quand elle sursautait de plaisir.
« Ooohhh… quelle bonne fille tu es Kon… avec ta chatte trempée… »
Au milieu de leurs ébats passionnés la Kaguya complimenta la Karistal sur le plaisir qu’elle lui donnait et lui demanda de lui répéter qu’elle l’aimait tandis qu’elle la faisait jouir.
« Nnnyyyaaa… évidemment que je t’aime Kon. Ooouuuhhh… j’aime te voir le matin au réveil… j’aime te tenir la main en me promenant avec toi… aaahhh… j’aime t’écouter parler de notre future vie à deux… j’aime quand on se lave mutuellement le dos quand on prend notre bain… haaannn… et qu’on se tient la main sous l’eau… j’aime qu’on se donne mutuellement à manger pendant les repas… j’aime te voir t’occuper de tes petites sœurs… »
La neko avait encore du mal à croire à quel point leur relation s’était vite développée. Bien sûr elle éprouvait des sentiments pour la princesse depuis longtemps, des sentiments qu’elle avait longtemps hésité à exprimer, mais elle n’avait vraiment ouvert son cœur qu’il y a deux jours. Tout était parti de là et maintenant elle avait une merveilleuse petite amie avec laquelle elle partageait des moments délicieux, des moments intimes mais aussi des moments de tendresse. En tout cas il était certain qu’il y avait beaucoup d’amour entre elles.
« Nnnyyyaaa… et j’aime… te faire l’amour… en frottant ma chatte contre la tienne… ooouuuhhh… j’aime t’écouter gémir… j’aime voir le plaisir illuminer ton visage… et j’aime… aaahhh… te voir joouuiir… Mmmyyyuuu ! »
Toutes ces caresses intimes amenèrent Alicia jusqu’à l’orgasme, tout son corps se tendit et elle miaula de bonheur tandis que sa mouille giclait entre ses cuisses, se mêlant à celle de Kon. L’éjaculation la maintint au sommet du plaisir pendant plusieurs secondes, tout son corps étant inondé par le tsunami intérieur du plaisir, jusqu’à ce qu’elle ne retombe et ne doive reprendre son souffle. Elle regarda sa princesse, elle aussi en sueur et le souffle lourd, et vint lécher sa cuisse en gardant ses yeux plantés dans les siens.
« Mmmrrraaawww… moi aussi… je veux t’entendre dire… que tu m’aimes. »