The Multiversity

[Rouge]

La pauvre Rouge faisait comme elle pouvait pour tenter de se tirer de ce mauvais pas, si de base, la solution ne lui sautait pas aux yeux, il était évident que vu ce qu'il se passe, ça l'était encore moins. Camille redoublait d'efforts pour la prendre sans lui laisser le temps de vraiment se défendre, il faut dire que toutes ses tentatives s'étaient soldées par un échec. Soit la comtesse était vraiment obsédée, soit sa psychologie inversée avait fonctionné. En soit, Camille n'était pas moche, c'est plutôt sa réputation et ses choses si secrète qu'elle pratiquait qui faisait d'elle une salle personne. Si ça ne tenait qu'à la beauté, Uatis serait remplis d'ange prêtes à aider leur prochain ! Mais non, la voleuse le savait bien, si on la qualifiait de voleuse, justicière serait plus un titre qui lui conviendrait. Si quand elle s'occupait de voler et de piéger certaines proxénètes ou dealeuses, il y avait aussi des échos d'un Spider Women à l'époque, même si elle entendait moins parler d'elle, soit pour cause de cessation d'activité ou simplement, car maintenant, les autorités savaient faire la différence entre Rouge et cette araignée ? Peu importe, ce n'est pas comme si cette « consœur » allait débarquer là, pour la tirer de ce mauvais pas.

Camille se jouait d'elle, usant de ses ongles sur ses petits pieds, faisant ressentir bien des choses, certes, mais rien qui ne semblait la libérer de ce mauvais pas. Cependant, sa dernière question avait eu de quoi faire réagir la chauve-souris qui, espérait avoir mal compris...

« Qu-Quoi ?! Haaa, qu'est-ce... Que tu haaa, racontes ?! »

Elle, féconde ?! De base, ça la regardait pas, et de deux, elle voulait quoi, la mettre enceinte ? Elle ignorait si c'était vraiment possible avec une humaine, et de deux, quoi ? Elle voulait lui coller un gosse pour la prendre en pitié ? Jouer la fausse petite famille parfaite ou lui laisser ce mauvais souvenir entre les pattes et couper les ponts ensuite ? Haïssant et aimant la chair de sa chair ? Ce serait bien cruel. Le regard de Rouge se fit plus colérique à cette idée, cette saleté de tortionnaire en était sûrement capable ! Mais hélas, elle avait beau détester autant cette situation que cette nana, elle se sentait approchée de ses retranchements...

[Camille C. Lovegood]

Un sourire enjoué sur les lèvres, Camille s’amusait de l’émoi de Rouge. Elle avait visiblement touché quelque chose en lui demandant si elle était « féconde ». Rouge se mit à trembler sur place, et lui demanda ce qu’elle racontait. Camille gloussa en retour, notant qu’elle avait enfin tapé juste. Camille se pinça donc les lèvres, et embrassa encore Rouge en se pressant contre elle. Elle posa sa main sur le ventre de Rouge, tout en se reculant un peu, puis caressa sa belle peau velue.

« Quoi, tu ne l’envisages pas, hmmm… ? »

Elle gloussa encore, et continua à remuer en elle, sa verge s’enfonçant dans la chatte de Rouge. La Furry chauve-souris était en train de mouiller, ce qui était une réaction naturelle à ce qui se passait. Camille la pénétrait avec force, remuant profondément, de plus en plus vite. Sa verge s’enfonçait dans les parois intimes de Rouge, et ses jambes remuaient elles aussi d’avant en arrière. La main de Camille se déplaça ensuite pour malaxer l’un des seins de Rouge. Elle le pinça à hauteur du téton, appuyant dessus, faisant gémir Rouge. Oh, comme elle aimait ça ! Entendre sa petite voleuse se tortiller sous elle… La voir gémir et couiner, tout en la regardant avec incompréhension. Elle, enceinte ? Oh, maintenant que l’idée creusait son chemin… Rouge était venue ici comme voleuse, elle allait repartir en étant sa concubine, sa voleuse à elle ! Camille ignorait pour le compte de qui elle travaillait, et elle s’en moquait. Car, désormais, Rouge travaillera pour elles !

Soupirant encore, Camille reprit :

« Tu es si belle, et si forte, hmmm… Il me semble naturel… Que tu portes notre enfant, mon amour… Ou m-moi, si tu préfères… Je pourrais porter le tien. »

Camille poussa un nouveau soupir. Elle se retira du corps de Rouge, laissa ses jambes retomber sur le lit, puis suréleva l’une de ses jambes. Elle se coucha sur le flanc de Rouge, et retourna la pénétrer.

« Tu as beau feindre l’indifférence… Je sais qu’au fond, tu m’aimes… Ma petite voleuse à moi… » soupira Camille.

Comme quoi, elle ne semblait vraiment pas en vouloir à Rouge d’avoir tenté de la voler !

[Rouge]

Rouge était en mauvaise posture, voyant encore mal comment se tirer de ce mauvais pas ? Elle avait parfois frôlé les situations périlleuses, mais elle s'était toujours tiré d'affaire, là, elle n'a jamais connu de situation aussi critique. En-tout-cas, la petite chauve-souris se faisait baiser en cherchant malgré tout, avec du mal, un moyen de s'en tirer, sans ce collier autour du cou, elle aurait pu prévoir deux ou trois possibilités pas forcément pessimiste. Mais là, sans connaître vraiment tout de ce piège autour du cou, elle jouait à la roulette Uatienne, sauf qu'il y avait plus qu'une seule balle dans le barillet. S'échapper à une certaine distance l'immobilise, la tue ou c'est du pipeau ? C'était déjà une question qu'elle se posait, mais elle en avait d'autres en réserve, sans compter que Camille, volontairement ou non, la déstabilisait avec ses questions étranges. La féconder, en voilà une idée à la con ! Rouge n'avait pas envie d'être mère, elle n'en a jamais eu le besoin pour le moment, peut-être dans quelques années quand les choses seront plus posées et bien riche de ses « méfaits » qu'elle voyait comme une bonne action vu que la police d'Uatis laissait faire ou, n'arrivait pas à vraiment punir la vermine des rues. Dealeuses, proxénètes, tout n'était pas rose à Uatis, dans les beaux quartiers, ça va, mais moins on a d'argent, plus ça pue. Mais pour en revenir au sujet principal, quand bien même elle en a aurait envie, pas avec cette folle !

Pour le moment, Camille, c'était ça à ses yeux, une tarée qui faisait du mal aux siens et qui venait de se trouver un nouveau jouet. Elle. Elle gémissait tant bien que mal tandis que la comtesse continuait de la baiser, la caressant, sa fine fourrure passant sous ses doigts tandis qu'elle évoquait une situation qui ne lui plaisait pas... Porter l'enfant de cette taré ! Détester la chair de sa chair, car l'autre moitié était néfaste... Et même en inversant le problème, ce n'était pas aussi enviable... Un peu mieux, à condition qu'elle renverse ce qui se passe ici et que genre de personne devienne plus ou moins des esclaves. Camille aurait une place moins désastreuse en portant son enfant, mais ça resterait quand même sa chose. Et oui, ainsi, leur enfant sera par contre plus aimée par Rouge que dans le cas contraire, mais, actuellement, elle n'envisageait pas non plus cette possibilité ! Elle n'allait pas tomber enceinte pour tenter de fuir quand même ! Mais néanmoins, en envisageant un peu ce cas de figure... elle pourrait toujours trouver un meilleur plan d'attaque pour fuir après ?

Tandis que Camille se plaçait sur le côté, continuant de la pénétrer, elle lâchait un long gémissement, pour tenter de noyer le poisson. Elle n'allait pas faire le plan B comme Bébé, mais en feignant l'amour... elle pourrait réussir à fuir ? Si Camille ne la piégeait pas pour toujours avant... ou qu'elle n'éprouve pas une sorte de syndrome de Stockholm ? Pour le moment, ça restait le meilleur chemin, sauf si cette tarée se jouait d'elle et qu'elle et qu'elle n'éprouve rien pour elle.. C'était aussi possible, tout cela n'était qu'un manège pour se jouer d'elle et mieux écraser ses petits plans comme elle écraserait un mégot sous son talon...

« Haaaaaaaan, nooooooon... »

Elle faisait semblant de dire non mais oui, ce n'était pas juste pour son côté Furry et leur amitié que Poison avait voulu d'elle dans son équipe, elle la savait bonne actrice. Sur le coup, elle se disait qu'elle avait dû accepter cette vie de luxe qui lui était proposé... elle ne serait pas entre les mains de cette folle... Rouge étirait ses bras en arrière caressait la peau de la comtesse tandis qu'elle gémissait de plus en plus. Rouge savait être mignonne, sexy, envoûteuse, elle avait bien des qualités en dehors de son côté voleuse.

« S-Soit plus douuuuuuce... b-bordel ! »

Elle devait se montrer charmée, mais garder son côté agressif, ça serait bizarre de tomber dans ses bras en un claquement de doigts quand même...

[Camille C. Lovegood]

Se pouvait-il que Rouge bascule ? Se pouvait-il qu’elle comprenne enfin que Camille ne lui mentait pas, et qu’elle lui vouait tout son amour ? La Comtesse était sérieuse en tout point. Elle ne comptait pas asservir Rouge, mais bien en faire son amante, qu’elle porte son enfant. Elle allait réaliser que Camille-la-Cruelle ne l’était pas avec les Furrys ! Elle remuait en elle, et sourit quand Rouge demanda à ce qu’elle y aille plus doucement.

« T-Tu veux me faire croire que tu n’es pas capable d’endurer ça ? Tu viens d’Uatis, haaaa… Tu as déjà dû avoir des amantes bien plus intenses que moi, haaaa… Je suis sûre que tu as déjà dû te faire prendre par une F-Girl, toi ! »

Y aller plus doucement ! En entendant ça, Camille n’avait envie que d’une chose : y aller au contraire plus fort ! Et c’est d’ailleurs ce qu’elle fit. Souriant malicieusement, elle suréleva encore un peu la jambe de Rouge, et donna un coup de reins plus intense encore, faisant remuer le corps de sa chérie d’avant en arrière. Pour autant, Camille n’était pas cruelle… Ou, du moins, pas trop. Elle se pencha vers Rouge, et l’embrassa tendrement. Un premier baiser rapide, puis elle se retira de la chatte de Rouge, et la coucha encore sur le lit, avant de retourner à sa position favorite :le missionnaire ! Elle s’allongea donc à nouveau contre Rouge, l’écrasant totalement au vu de leur gabarit respectif.

Camille la pénétra à nouveau, et soupira en s’enfonçant en elle. Elle sentit les jambes de Rouge se serrer autour de sa taille. Camille gémit doucement, puis malaxa avec l’une de ses mains l’un des seins de Rouge. Elle sentit la Furry chauve-souris se tortiller sous elle, puis erlle l’embrassa dans le creux du cou, léchant sqa peau douce et finement poilue. C’était comme lécher une peau humaine, mais en un peu plus…

*Soyeuse ?*

La Comtesse ne savait pas vraiment comment résumer cela, mais c’était l’idée. Elle embrassa en tout cas à nouveau Rouge, et opta cette fois pour un baiser bien plus long, et bien plus sensuel.

« Il faut des preuves pour montrer qu’on est amoureuses, Rouge, alors… Embrasse-moi comme si j’étais ta femme. »

C’est ce que Camille lui glissa avant de l’embrasser langoureusement…

[Rouge]

Pour Rouge, c'était un piège. Cette femme ne pouvait pas lui vouloir du bien, pas avec la même vision en tout cas. Qu'elle ne soit pas comme elle se montrait en public, elle voulait bien le croire car parfois, les gens portaient des masques, pour mieux apparaître ou pour être craint. Mais elle, ce n'était pas son cas, elle en était sûre. Camille redoublait d'efforts pendant l'acte, même quand elle lui demanda d'y aller plus doucement, elle l'avait entendu pourtant ! Après, ce n'était pas si dérangeant, qu'elle y aille doucement ou non, elle la violait quand même donc, le geste restait le même. Rouge devait réussir à la tromper et à trouver ensuite une façon de s'en tirer, mais elle ne pouvait pas changer de comportement en un claquement de doigts, ce ne serait pas crédible. C'est pourquoi elle devait y aller doucement, à reculons pour montrer que les choses changeaient doucement. Allongée sur le lit, écrasée par la Comtesse, cette dernière la caressait, la léchait en voulant un baiser, digne de « sa femme ». Elle aurait grimacé, mais avec cette menace autour du cou, elle devait rester dans son rôle. Vu qu'elle jouait les pseudo-justicières à Uatis, elle savait comment réagir dans ce genre de cas de figure.

Pas le temps de répondre, elle venait l'embrasser, toujours baiser par la Comtesse, elle devait jouer le jeu, entrer dans son rôle dans trop céder facilement à sa demande. Rouge était embrassée de force, mais doucement, pendant le baiser, elle y mettait un peu du sien, ses mains venant se poser sur les épaules de Camille, sans la caresser ou autre, mais elle ne la repoussait pas. C'est ce qu'il fallait noter. Rompant le baiser, elle ne semblait pas soudainement tombée amoureuse d'elle, mais ce n'était plus du dégoût qui était affichée sur son visage, plus... de la confusion... La voleuse devait avoir l'air crédible, même dans les films de Poison, dans le cas où une fille était baisée de force par une autre fille qu'elle n'aime pas, elle ne tombait pas dans ses bras au moindre baiser, il y avait petit temps pour que la balance change ses poids. Même dans le SFC, quand les filles couchaient ensemble entre deux rounds, selon les votes du public, rares étaient celles qui se faisait l'amour passionnément, la lutte sur le terrain continuait même dans l'acte sexuel.

On sentait dans le regard de la voleuse, qu'elle pourrait dire quelque chose, mettant sûrement Camille en position de force, mais pour éviter toute question sur ce sujet – et continuera à jouer son rôle – elle venait plutôt se jeter sur l'un de ses seins, qu'elle venait téter, au moins là, elle ne pouvait pas parler, mais elle participait. Est-ce que Camille se doutait de quelque chose ou elle jouait bien son rôle ? Si Poison voulait faire d'elle une actrice, ce n'était pas juste pour tendre la main à une amie et tenter de faire changer la vision des choses à Uatis, c'est qu'elle savait que Rouge avait un minimum de talents dans l'acting.

[Camille C. Lovegood]

Quand Camille vous offrait tout son amour, il était très grossier de le refuser ! Mais elle ne s’en faisait pas, Rouge était juste une forte tête, une dure à cuire… Le style femme fatale à refuser d’avouer ses véritables sentiments. Pourquoi serait-elle partie de Uatis pour Herzeleid si ce n’est parce que, au fond, elle était amoureuse d’elle ? Tout cela faisait naturellement sens ! Alors, Camille l’embrassa. Elle sentit le petit corps replet et doucereux de Rouge se détendre progressivement, au fur et à mesure que le baiser se poursuivait, que Camille pressait longuement ses lèvres contre les siennes. Rouge y répondait, se débattait moins, et c’était naturellement très agréable pour Camille. La Comtesse faisait donc durer le plaisir, et laissa à Rouge l’usage de ses mains.

« Hmmm… »

Comme elle aimait ça ! Quand Rouge reprit les rênes, Camille la laissa faire. La petite Furry chauve-souris s’attaqua à ses seins, et Camille frémit. Elle posa sa main sur les cheveux de Rouge, et se décala, pour que Rouge se retrouve sur elle. On aurait presque pu croire une mère avec sa fille. Souriant tendrement, Camille caressait les cheveux de Rouge, et son autre main pelotait ses fesses.

« Tu es si jolie, ma petite Rouge… Tu veux le lait de Maman, hum ? Maman n’a que de l’amour à te donner ♥ ! »

La Comtesse ferma les yeux en se concentrant. Elle déposa un baiser sur le front de Rouge, qui put alors sentir le sein de Camille grossir légèrement, enflant. Le téton durcit. Camille utilisait sa maîtrise de la magie rose pour surprendre au mieux sa petite Furry, qui put alors sentir dans sa bouche le contact du lait maternel de Camille, un lait qui était aussi très aphrodisiaque. La main de Camille se crispa sur les cheveux de Rouge, l’empêchant de se retirer. Elle allait devoir boire ce lait, ce lait délicieux qui allait sûrement l’exciter fortement…

[Rouge]

Elle faisait ce qu'elle pouvait pour tenter de se sortir de là, de retrouver sa liberté, mais sauf en cas de Deux Ex Machina, elle était bien obligée de jouer le jeu de la Comtesse... un minimum. Car soudainement devenir folle amoureuse, à moins d'être très crédule, elle ne tombera pas dans le panneau, mais si elle y va doucement, tout en disant le contraire pour se donner un air Tsundere comme on disait à Edoras, ça pouvait fonctionner... Elle va devoir jouer son jeu, tout en désavouant les propos de Camille, en agissant pourtant comme elle l'entendait. Ce n'est pas le rôle le plus compliqué qu'elle ai eu pour se sortir d'un pareil merdier, mais ce n'était pas la joie pour autant, surtout qu'elle se faisait baiser en même temps. Au moins, Camille se laissait faire, faisant questionner la voleuse sur elle n'aurait pas vraiment des sentiments pour elle ? Cela n'allait pas la faire changer d'avis, c'était une tarée qui s'en prenait aux siens, pas de pitié ou d'état d'âme pour ces gens qui y voyaient là autant de mal que d'écraser des insectes.

Même en se « laissant faire », elle gardait son rôle de maîtresse en la forçant un peu. Titiller sa poitrine lui a fait penser qu'elle voulait la téter et la voilà partie pour. Si elle pouvait se doter de lait, c'est qu'il y a de fortes chances que ce soit aphrodisiaque. Aucun fichier n'indiquait que la Comtesse fut enceinte et avait un bébé dans les parages, justifiant qu'elle puisse donner le sein naturellement. Elle ne pouvait pas lutter, elle devait boire. Mais si elle buvait en sachant que c'était aphrodisiaque, et en se disant que ça allait atténuer les effets, ça pouvait fonctionner. C'est ce qu'elle se disait, mais elle devrait quand même jouer le jeu contraire, pour noyer le poisson. Si Camille la voyait toujours rebelle et pas envoûté, elle pourrait se poser des questions. Au moins, les premières tétées, elle pouvait continuer de froncer les sourcils en observant cette folle, ça ne devait pas faire effet immédiatement ? Et si oui, elle pouvait toujours parler de résistance naturelle à ce genre de choses. Les gens ne tombe pas tous si facilement malade, elle a grandis à Uatis, y a plus d'aphrodisiaque différent en circulation illégalement que de drogue. Elle ne pouvait pas connaître sa vie.

« Huuuuuum... »

Ses grands yeux l'observaient, ce même défis au fond des yeux, qui la définissait plutôt bien pour le moment, mais, vraiment sous l'effet de l'aphrodisiaque – oui, ça venait plus doucement, mais ça faisait effet... avec ou sans résistance de la part de son corps – elle devait jouer le jeu. Elle maintenait son regard, mais le bas de son corps était plus actif, s'empalant avec plus d'envie et de force sur sa queue. Sa petite queue à elle était tendue dans le bas de son dos, remuant doucement de plaisir tandis qu'elle tétait la Comtesse en essayant de la baiser. Elle n'avait pas de verge, mais ça ne voulait pas dire qu'elle ne pouvait pas inverser les rôles. Rouge se faisait avoir doucement, mais elle se persuadait qu'elle jouait juste le jeu. Reste à savoir qui sera duper au final, elle ou Camille ? Son corps à elle en tout cas, produisait un peu plus de mouille, la sensation et le bruit plus spongieux à chaque fois qu'elle s’empalait sur elle, c'était excitant...

[Camille C. Lovegood]

Face à Rouge, Camille avait fondu comme neige au soleil. Elle avait tout pardonné à Rouge, que ce soit l’intrusion, l’infiltration, le vol de ses données… Maintenant, il fallait juste calmer un peu cette Furry endiablée. Elle avait son petit caractère, mais c’était aussi pour ça qu’on l’aimait ! En tout cas, Camille aimait ça. Elle se positionna pour s’asseoir sur un fauteuil rembourré, sa verge nichée dans la chatte de Rouge, maintenant le petit corps doucereux et poilu de Rouge contre elle. Rouge n’ayant plus d’alternative, elle ouvrit la bouche, et goûta donc le lait que Camille produisit. Les pupilles de Camille prirent une teinte rose tandis que ses seins gonflaient un peu sous la production de lait que son organisme générait. Naturellement, il s’agissait d’un lait aphrodisiaque, car généré par l’effet de la magie rose, une magie que la Comtesse maîtrisait, un autre de ses (nombreux) secrets.

« Là, là, c’est bien, ma chérie, c’est bien… Vas-y, bois… »

Camille souriait en voyant les douces lèvres de Rouge titiller son sein, avant de se crisper dessus, et d’y revenir. Camille sourit, ravie.

« Oh oui, c’est bon, hein ? Je sens tes parois intimes qui se contractent autour de ma queue, haaaa… »

Une main sur les cheveux de Rouge, maintenant sa tête contre ses seins, l’autre palpait ses fesses. Rouge était assise sur les genoux, à gauche et à droite du bassin de Camille, ce qui lui permettait d’avoir une bonne assise, et de s’empaler sur sa queue. La main de Camille se crispait régulièrement sur l’une de ses fesses, l’empoignant fermement, arrachant de nouveaux soupirs à Rouge. Elle pouvait aussi sentir la queue caudale de la Furry chauve-souris qui se déplaçait, et qui durcissait. Joueuse, Camille n’hésitait pas à déplacer sa main pour la palper, la caressant, sentant alors tout le corps de Rouge frémir.

C’était bon, c’était délicieux ! Camille soupirait également, appréciant le fait de sentir Rouge avaler son lait, suçotant son sein avec énergie. Ah, quel pied ! Camille sentait la mouille de Rouge, et elle entendait ses soupirs, ses délicieux soupirs…

« Han, tu es tellement mignonne, Rouge… Tu me fais tellement craquer, ma chérie, haaaa… Vas-y, bois, bois le bon lait de Maman, suce fort !! »