The Multiversity

La luxure continuait de plus belle, Ai était en train de faire l'amour à Valeria, la pilule était un peu mieux digérer, même si ce n'était pas encore ça. Mais au moins, le sexe reprenait de meilleur ! Elle continuait, se vidant en elle-même si cela n'effrayait en rien la succube qui continuait, qui en voulait même plus encore ! Elle était gourmande, enfin, au-delà de la gourmandise, fallait une sacrée dose de courage même si pour elle, cela ne semblait pas lui faire peur. Grand bien lui fasse enfin. Si c'est ce qu'elle voulait, la petite tornade verte n'avait qu'à tenter de réussir cela pour lui plaire. En-tout-cas, elle se donnait, même si elle était légèrement essoufflée mais bon, après un orgasme, quoi de plus normal après tout ? Sans être à bout de souffle, une pause ne serait pas de trop, même une minute pour juste reprendre avant le prochain coup. Mais pas pour Valeria, pas encore.

Ai devait continuer de la branler un peu plus fort, plus vite. Elle sentait bien sous sa main, c'était plus lubrifier, sûrement qu'elle avait eu le pré-sperme de sortie, elle n'avait pas fait gaffe, elle observait plus sa poitrine et son visage dans le feu de l'action. Elle l'embrassait avec envie, répondant tout autant pendant qu'elle remuait les hanches, si Valeria attendait le foutre, elle y aura droit, tôt ou tard, mais... tard, ce ne serait pas si simple. Ai n'était peut-être pas la plus grande résistante en terme de durée, mais elle rechargeait vite et toujours son plaisir était du genre à déborder !

« Haaaaaaan~ Ouiiiiiii... Je veux te remplir ! Encore ! Et encore ! »

Sur ça, elle ne pouvait pas mentir, elle était née ainsi, avec une queue et depuis l'adolescence et la découverte de la masturbation, elle raffolait de ce genre de choses, pouvoir remplir ses amies, c'était un luxe qu'elle adorait, surtout qu'Ai était connue pour ça. Une grande perverse fétichiste de lingerie fine. Oh oui, sur ça, elle en raffolait ! Mais autant elle remuait ses hanches pour lui faire l'amour, autant son bras s'agitait, d'une poigne ferme, mais pas trop, elle la masturbait en attendant le moment où elle aussi jouira. Laquelle des deux en premier d'ailleurs ? Ai ? Valeria ? Ou bien attendait-elle qu'Ai ai son orgasme pour l'avoir à la suite ? Elle sentait sous sa main, sa queue vibrante, elle pulsait doucement, mais elle montrait des signes de faiblesse, elle aussi va jouir, sauf qu'elle ignorait quand.

« Et toi, Maîtresse... Haaaan... Tu veux aussi me jouir dessus, hein ? Huuuum... Me couvrir de foutre... Haaaaaaaan... »

Son orgasme approchait, ce n'était qu'une question de seconde pour elle. Bientôt, très bientôt, elle va jouir ! Et ce sera comme toujours phénoménal !

Valeria ondulait sur la queue d’Ai à un rythme hypnotique, toujours plus rapide. La petite futa aurait peut-être espéré une pause après son orgasme, mais il n’en était déjà pas question à ce moment-là, alors maintenant que celui de Valeria était imminent, c’était totalement exclu.

Les baisers s’enchaînaient, toujours plus intenses et passionnés, conditionnés par la montée des sens et du plaisir chez les amantes. Val comprit en voyant le regard éperdu d’Ai qu’elle avait perdu le cheminement de l’évolution de son plaisir, tout absorbée qu’elle était par ses seins et son visage. Sa main sur sa queue avait imprimé une masturbation intense sans s’en rendre vraiment compte.

« Haaaaaaan~ Ouiiiiiii... Je veux te remplir ! Encore ! Et encore ! »

Val était au bord et là où Ai ne contrôlait plus rien, elle si. Elle parvint à amener la jeune futa à son niveau de plaisir en quelques coups de reins diaboliquement efficaces. Elle allait jouir, c’était imminent, torridement délicieux. Ces quelques fragments d’instants précédent la libération, juste quand le plaisir atteignait son paroxysme, étaient excessivement précieux. Pour elle, cet instant suspendu aurait dû durer éternellement.

« Et toi, Maîtresse... Haaaan... Tu veux aussi me jouir dessus, hein ? Huuuum... Me couvrir de foutre... Haaaaaaaan... »

Elle sentait Ai sur la même brèche, au même instant. Les doigts de la jeune femme achevèrent leur ultime descente jusqu’à la base de sa queue tandis qu’elle ondulait une dernière fois. Ses mots conclurent le final.

« Ah ! Merde oui !!! »

Son sperme jaillit. Un véritable torrent, des giclées d’une abondance rare s’écrasèrent avec violence sur le menton et la gorge de la jeune femme. Ses cheveux et son visage furent éclaboussés tandis qu’un long râle de plaisir s’échappait de la gorge de Valeria.

« Aaaaarghhhh ! Hhhh… Hhhh… Gggghhh… »

Aucun mot, juste des râles et des borborygmes s’échappèrent de sa gorge alors que son orgasme ravageait l’apparence de son amante à coups de longs traits brûlants.

Parallèlement, la petite futa avait elle aussi succombé et, cambrée sous Valeria pour se ficher au plus profond possible de son ventre, elle giclait avec une joyeuse profusion une semence épaisse et gluante. Déjà malmené par le premier arrivage, le corps du succube protesta sous la quantité phénoménale qui l’envahit. Il commença à chercher la place disponible tandis que Valeria, la langue sortie et une expression extatique sur le visage, encaissait en gémissant son approbation totale.

« Oui ! Oui ! Ouiiiiii… Emplis-moiiiii… »

Son orgasme s’emballa, comme si elle en avait un second alors que le premier n’en était qu’à la moitié, et le sperme se mit à littéralement bondir de sa queue pour s’écraser sur le visage d’AI et le noyer totalement.

Plus son corps se distendait, plus celui d’Ai disparaissait sous des quantités invraisemblables de foutre épais et opaque.

Enfin, Ai finit de jouir et l’orgasme de Valeria s’acheva peu après. Mais pas son orgasme vaginal qui lui continua encore quelques longs moments durant lesquels elle trembla violemment, étendue sans force sur le corps de son amante.

Enfin, elle redescendit et releva les yeux sur elle.

« Pfiou ! Il a fait un bien fou celui-là… »

Ai ne semblait pas en bien meilleur état qu’elle. Mais elle n’était pas un succube. Valeria se redressa puis se leva, libérant sa chatte de la queue qui la bouchait avec un POP ! sonore.

Immédiatement, le sperme se mit à affluer puis s’écouler, son corps évacuant avidement le trop plein qui le martyrisait. Val dominait Ai et avança d’un pas, appuyant sur son ventre pour s’aider à dégorger, s’appliquant à tout lâcher sur les seins et le visage de son amante. Tout ce qui n’avait pas déjà disparu sous les abondantes giclées de Valeria était à présent noyé par l’épanchement du plaisir qu’Ai avait déversé en elle.

En un très court instant visage et cheveux avaient disparu, laissant un spectacle d’une obscénité sans nom.

Le plaisir continuait de diriger la danse, Ai n'était pas très loin de l'orgasme et peu à peu, elle s'en approchait. Peut-être Valeria se chargeait qu'elle y arrive ou s'arrête de force avant, Ai détestait quand on lui faisait subir une telle chose ! Vouloir jouir et en être bloqué, c'était atroce ! Surement une des rares vraies punitions qu'on pouvait lui faire subir. Mais par chance, il n'était en rien bloquer, quand elle explosa, elle put remplir la chatte de la succube, en abondance ! Même si de son côté, sa maîtresse venait elle aussi lui jouir au visage, la petite futanari se sentait forcément plus légère en sentant sa queue cracher des litres de foutre pour elle. Mais sa partenaire n'avait pas à en rougir, elle copiait son orgasme, bien copieux, qui venait lui arriver en plein visage, mais ce ne fut pas tout car elle continua encore, pendant qu'elle la branlait, si bien que bientôt, ce fut son tour d'être recouverte de foutre. C'était dommage, ça allait gâcher la belle petite tenue qu'elle portait. C'était un peu l'hôpital qui se fout de la charité, venant d'elle, mais autant elle remplissait ses partenaires, autant elle tâchait de laisser la lingerie tranquille. Quelques petites gouttes de foutre ici ou là, ce n'était pas grave, mais trop... non, ce n'était pas juste.

Ai se sentait soulagé malgré tout, mais quand Valeria se redressa, se vidant de ce trop-plein sur elle, sa belle petite nuisette était recouverte de son propre foutre, noyant le tissu, rendant tout cela... inutile. Vraiment, quel gâchis, pour elle qui mettait un point d'honneur sur la lingerie, c'était vraiment dommage, mais elle n'y pouvait rien alors que la petite tornade verte n'était plus qu'une masse blanche de foutre. Elle attendait un peu, immobile pour voir si elle allait l'aider, avant de retirer ce trop-plein sur le visage, si elle n'agissait pas. Remplir un utérus, un anus ou un estomac, c'est une chose, mais autant verser de foutre sur les gens, ça perdait un peu de la beauté du geste. Un peu de foutre sur le visage, sur le corps, c'était beau ! C'est pour ça, elle se connaissait bien, elle préférait jouir dans des filles, plutôt que se vider dehors. Après, par contre, pour remplir une baignoire, ça allait. On pouvait compter sur elle. Chez Mélinda, il y avait tant de filles, un bain de sperme, il y en a qui en raffolait !

« Maîtresse... On ne voit plus ma belle petite nuisette... »

C'était une plainte et c'était logique venant d'elle. Allait-elle retrouver en un instant, sa propreté et sa belle nuisette ou serait-ce une excuse pour changer encore de dessous ? L'un comme l'autre, elle n'était pas contre, mais dans son état actuel, elle ne pouvait pas faire grand-chose, peut-être Valéria raffolait des relations collante, mais sans en être sûre, elle ne voulait pas risquer de la froisser et faire une erreur. Là, elle faisait attention à tous les détails.

Tandis que les deux orgasmes s’écrasaient  en abondance sur leurs cibles, Ai en Val et Val sur Ai, le succube sentait une certaine frustration naître chez son amante. Rien de dramatique, d’autant plus que son plaisir surpassait tout autre sentiment, mais néanmoins bien présente.

Elle encaissa longuement, se vida aussi longuement, puis encaissa encore l’orgasme vaginal qui la terrassait, plus long qu’un orgasme pénien, même dans ces cas-ci.

Quand elle se leva et vida son ventre sur Ai, la frustration prit plus d’ampleur chez elle, bien qu’elle subît le tout sans broncher, comme une bonne petite élève esclave. Elle disparaissait complètement sous le foutre, c’était tellement érotique que Val en aurait presque joui une nouvelle fois.

Ai essuya ses yeux afin de pouvoir voir sa Maîtresse, spectacle ô suprêmement érotique que ce succube la dominant ainsi, la fente dégoulinante de semence et de cyprine, son énorme mandrin toujours prêt à l’action lui aussi dégoulinant de foutre, ses testicules maculées à outrance de fluides.

« Maîtresse... On ne voit plus ma belle petite nuisette... »

C’était donc ça !

Val sourit tendrement à la jeune futa qui payait le prix de ses paroles en avalant l’amas de semence qui maculait ses lèvres avant qu’elle n’ouvre la bouche.

« En effet… Mais il n’y a pas que ta nuisette qu’on ne voit plus… J’adore le spectacle pour ma part ! Tu es diablement excitante ainsi ! Pour peu, je me masturberais juste pour te recouvrir encore une fois. Et puis, le but d’une lingerie, c’est érotiser le truc, faire monter la température par le biais d’un spectacle affriolant. Tu as rempli ton objectif ma beauté. Mais tu as raison, maintenant elle ne sert plus à rien. »

Val se dégagea d’au-dessus d’Ai et la contempla en se masturbant distraitement. Le foutre de la petite futa dégoulinait encore le long de ses jambes pour finir en petites flaques sous ses pieds aux ongles vernis.

« D’accord. On va faire comme ça : à chaque position, une nouvelle tenue. On va baiser jusqu’à ce que tu tombes ko ou que tu n’aies plus de tenues. Je suis curieuse de voir qui de toi ou ta garde-robe va gagner ce challenge… Lève-toi, va te doucher et te changer. »

Elle la laissa aller, la contemplant s’extirper péniblement de cet amas de foutre pour s’éloigner en laissant une piste de fluides derrière elle. Elle la regarda se dévêtir, entrer dans la douche. Toujours en se masturbant distraitement. Cette fille avait un sacré potentiel ! Et elle était vraiment canon. Cette erreur d’invocation était vraiment une véritable aubaine !

Tout cela était fort amusant et bien sexy, mais Ai ressentait toujours une certaine frustration à se voir ainsi couverte de foutre. Ce n'était pas tant l'acte, car sans être forcément agréable, elle a connu pire, non, c'était surtout de ne plus voir ce qu'elle portait. Sur ça, elle préférait quand c'étaient les autres qui avaient un orgasme plus classique. Quelques traces de foutre ici et là, ça passe, ainsi recouverte, on ne voyait plus rien. C'est pour cela que, bien que fan de bukkake, elle préférait jouir dans ses partenaires plutôt que se déverser sur elles, ainsi, elle pouvait toujours voir leur beauté intacte. Au pire, elles avaient ce petit côté femme enceinte qui pouvait sublimer la chose. Valeria observa et acquiesça, étant d'accord avec elle sur ce détail, c'était dommage que sa lingerie soit si vite perdue sous tous ses litres de foutre, quand bien même cela ne gênait pas la succube qui aimait voir les gens ainsi recouverts. Après, tout n'était qu'une question de goût et de préférence dans le sexe, comme pour beaucoup de choses. Le but du jeu sera une position, une tenue. Si elle jouit autant, celles en charge de la lessive vont encore avoir une dent contre elle. Ai tâchait au moins de leur éviter ce genre de choses, elles avaient déjà assez de travail avec elle, quand il s'agissait des draps ou nettoyer une chambre. Une chance que la magie pouvait aider dans ce cas-là.

Ai se redressa, transformer en bonhomme de foutre, la succube l'observa regagner la salle de bain ou elle allait déjà pouvoir se sentir plus légère, une fois ce foutre, dégager de sa peau. Sa maîtresse reprenait place en se masturbant, l'observant sous la douche, l'eau venant retirer doucement le liquide blanc et crémeux qui recouvrait sa peau, dévoilant une beauté naturelle. Les gens faisaient comme bon leur semble, mais rien n'était retouché chez elle, même le maquillage, c'était à peine si elle en mettait pour les grandes occasions. Elle n'avait pas une poitrine opulente ? Et alors, elle était très bien comme ça. Une fois de plus, elle ne fit que se laver, quand bien même son érection était bien visible, elle ne donnait pas encore ce plaisir à Valeria. Le siphon avait déjà du mal à absorber autant de foutre, pas la peine d'en rajouter une couche. Quittant la douche, le corps humide, elle se sécha, se peigna même si sa crinière verte restait humide. Elle faisait face à Valéria, la queue tendue dans sa direction.

« Attendez-moi à côté, je vais chercher de quoi rendre la suite plus excitante encore. »

Quittant la salle de bain, nue comme au premier jour, elle allait vers son dressing qui était sûrement un des plus fournis du manoir de Mélinda. Derrière son paravent, elle hésita, chacune de ses petites tenues avaient des plus et des moins, forcément. Elle opta pour une variante de sa tenue habituelle, laissant quelques cœurs apparents dessus, retirant un peu de tissu, elle portait aussi des collants en bas résille. La subtilité de cela, c'est qu'il y avait une ouverture avant comme arrière pour éviter de la déchirer. Elle conservait le côté sexy en l'alliant au côté pratique. Une fois prête, elle retournait voir la succube, avançant lentement en se dandinant sans trop montrer les spécificités de sa tenue, ce sera à sa maîtresse de le découvrir par elle-même. C'était plus une robe qu'une nuisette, mais elle va vite comprendre que sortir comme ça risquerait de lui poser quelques soucis avec la police. Elle en profitait pour se donner en spectacle, sachant que son charme pouvait être redoutable !

« Alors ? Vous aimez ? »

Elle prenait des poses de pin-up, devant comme derrière, sans en dévoiler le principal, faire monter le désir, ça, elle maîtrisait ! Reste à voir si la succube allait lui bondir dessus ou demander quelques faveurs ? Ça, c'était encore à décider.

Suite au dégagement du succube, la jeune futa put se redresser. Le foutre se mit immédiatement à dégouliner sur son petit corps parfait, même si Valeria aurait aimé qu’elle ait plus de poitrine. Mais elle n’allait pas faire la fine bouche, Ai avait plus que largement de quoi compenser !

Voir les semences prendre d’assaut toutes les parties non couvertes était terriblement excitant, aussi la regarda-t-elle en se masturbant plus activement, la détaillant avec un plaisir évident. La jeune femme, elle, était plus embêtée que ravie, puisque ses sous-vêtements adorés étaient à nouveau plus que souillés. Du coup, les termes de l’accord étaient maintenant clairs. Un orgasme d’Ai, une tenue. Point barre.

Elle alla donc directement à la douche, laissant de grosses traces au sol sur son chemin. Val s’assit et continua à se caresser tout en la regardant se débarrasser de sa tenue et de la semence, admirant le passage progressif de l’état « complètement recouvert » à celui de « parfaitement propre » de son corps magnifique, notant au passage que l’érection intense de la petite futa ne faiblissait pas. Pas plus d’ailleurs quand elle sortit de la douche, se sécha et se peigna avec ses doigts.

« Attendez-moi à côté, je vais chercher de quoi rendre la suite plus excitante encore. »

Val sourit et obéit, laissant l’intimité requise à son amante pour qu’elle puisse se vêtir en paix et lui faire la surprise de sa nouvelle tenue. Enfin, elle revint, précédée par le bruit de talons frappant le dallage de la salle d’invocation. Valeria découvrit alors cette tenue qui en jetait à mort ! Une tenue de sorcière sexy agrémentée d’ouvertures en forme de cœur, des bas résilles et de chaussures à talons. C’était parfait, même si lesdits talons auraient pu, voire dû être plus hauts. Les chaussures, ce n’était pas le truc d’Ai, mais elle avait du temps, elle la formerait pour ça aussi.

Ai profita du manque de la contemplation de Valeria pour prendre diverses poses, toutes plus efficaces et affriolantes l’une que l’autre, excitant visiblement le succube dont la masturbation s’accéléra visiblement, surtout quand, au détour d’une pirouette, il put discerner d’autres ouvertures nettement moins sages !

« Alors ? Vous aimez ? »

Ai continuait à enchaîner les poses et attitudes, manifestement très à l’aise dans ce domaine et prenant un grand plaisir à faire monter la température.

« J’adore ! » grogna Val alors que son présperme, maculant déjà sa main, filait vers le sol en longs filaments gluants.

« Continue encore quelques minutes et mon orgasme te le prouvera plus sûrement que nulle autre preuve ! Par contre, je te conseille de trouver un moyen de le recevoir comme il se doit si tu veux continuer à porter cette tenue pour la suite des ébats… »

Elle sourit en la regardant, se malaxa un sein sans beaucoup de délicatesse et passa le bout de sa longue langue sur le pourtour des lèvres sans cesser sa masturbation.

« Tu as trouvé un moyen de m’exciter vraiment intensément. Je te conseille de garder cette tenue un bon moment si tu veux me vider un tant soit peu suffisamment – il faudra plusieurs orgasmes, sois-en consciente – pour que je te laisse l’occasion de me fesser et profiter de mon cul comme tu le veux depuis que nous nous sommes rencontrées… »

Eh oui, je sais…

Ai savait bien attirer toute l'attention sur elle, même si ce n'était pas bien compliqué comme elles étaient seules, mais voilà, Valeria n'avait d'yeux que pour elle. Observant bien ses formes comme sa tenue qui semblait l’envoûter. La petite futanari n'avait rien contre le fait de faire l'amour nu, mais pour elle, c'était comme manger un plat nature... sans sel, sans poivre, sauce ou autre, c'était bon, mais ça pouvait être encore mieux. La lingerie, c'était ce petit plus qui rendait n'importe quelle partie de jambes en l'air bien plus mémorable ! Certes, même en étant plus habillée, c'était bien aussi, mais après, c'était une question de goût et de couleur. Face à ce petit show, la succube se touchait sans honte, voulant qu'Ai conserve cette tenue le plus longtemps possible, mais ça, ce n'était pas à elle de le décider. Déjà, si elle est recouverte, elle en changera, après, si on prend au pied de la lettre son envie, à chacun de ses orgasmes, elles doit en changer, mais cela vaut pour laquelle des deux ? Pour Ai, tant que sa tenue n'est pas inondée, bah ça va. À voir donc comment la suite allait se dérouler.

« Oh pour une telle récompense, ça vaut bien quelques efforts en plus. »

Dit-elle en se rapprochant, pour s’asseoir sur ses cuisses, prenant bien attention à ce que le pan de sa robe vienne couvrir son intimité. Ses collants en résilles laissaient une ouverture que la succube avait très certainement vue. Rien ne l'empêchera d'y accéder, mais il fallait faire durer sur le plaisir, la petite sorcière faisait attention aux détails. Elle se collait doucement, son bas-ventre venait se coller aussi à sa queue tendue, doucement, mais sûrement, elle se rapprochait d'elle...

« Inutile de vous branler si rapidement... je suis là, maintenant. »

Du bout des lèvres, elle l'embrassait, tandis que le bout de ses doigts glissait le long de sa verge légèrement humide. Excitée, elle l'était. Mais elle le sera bien plus à présent. Ai avait-elle trouvé une arme capable de mettre la succube dans un certain état ? Possible, mais dans ce cas, Ai ne manquait pas d'arme pour l'affronter. Là où la plupart des esclaves de Mélinda exigeaient un certain confort dans leur chambre, Ai avait surtout une sacré garde robe, rien que pour sa lingerie alors oui... Valeria n'était pas au bout de ses surprises avec elle. Tout son corps venait se blottir à présent contre elle, sa queue était presque prise en sandwich entre leurs deux corps, la verge d'Ai la caressant aussi derrière sa robe. Une sensation des plus exquise, ça aussi.

Les propos de Valeria concernant plusieurs jouissances pour accéder à son cul eurent un impact direct sur son amante.

« Oh pour une telle récompense, ça vaut bien quelques efforts en plus. »

Elle voyait bien qu’Ai se posait des questions, son regard se posant sur sa tenue avant de revenir à Valeria.

« Oui, oui, un orgasme, une tenue. Mais dans ce cas précis, la donne change, puisque je viens de te dire qu’elle m’excitait beaucoup. Donc, comme je l’ai dit, essaie de maintenir ta tenue suffisamment propre pendant que tu essaieras de me faire jouir plusieurs fois. Donc, ton défi est double sur ce coup : me vider assez, mais ne pas trop te faire salir pour pouvoir continuer. »

Les moyens d’y arriver étaient nombreux et plutôt aisés à appliquer, comme recevoir la jouissance en elle ou dégager la queue suffisamment de côté pour que la semence se répande sur le sol. Le plus délicat était certainement de contrôler l’abondance. Mais Val ne se faisait aucun souci sur la capacité de la petite futa à y parvenir. Et quand elle commencerait à l’instruire, elle lui apprendrait ce tour si simple consistant à nettoyer et faire disparaître les traces magiquement.

Ai s’approcha tandis qu’elle parlait et s’assit sur ses genoux. Sa queue entre elles laissait sourdre le présperme par intermittence et la main du succube l’étalait sans peine, signe évident de son excitation. Les bruits humides de la masturbation à laquelle elle se soumettait étaient obscènes, parfaitement évocateurs. Ce présperme était gluant à souhait, un lubrifiant parfait.

Ai glissa lentement sur ses cuisses, se rapprochant doucement, lentement, faisant durer le plaisir et l’attente autant que possible. Val avait bien remarqué l’ouverture dans sa tenue qui lui permettrait de l’envahir sans attendre, mais justement, l’attente était le moteur actuellement, donc elle se retint.

Enfin, Ai arriva suffisamment contre elle pour que sa main ne puisse plus vraiment masturber sa queue comme elle l’entendait. Elle pouvait sentir contre le dos de celle-ci l’érection puissante de la petite futa quand elle arrivait aux environs de son nombril et plus bas. Cela ajoutait à son excitation. Son bas-ventre en frémissait de désir, sa mouille glissant sans obstacle le long de ses lèvres pour maculer la chaise sous elle.

« Inutile de vous branler si rapidement... je suis là, maintenant. »

Les lèvres d’Ai se posèrent sur elle, sa bouche, son visage, ses épaules. Ses doigts effleurèrent délicatement son gland avant de glisser doucement le long de la hampe que Val lâcha pour laisser faire son amante. Quelques spasmes de plaisir secouèrent celle-ci quand Ai arriva vers la base et une nouvelle montée de présperme se mit à couler lentement sur le gland gonflé à stock.

Oh oui, Ai avait trouvé un bon moyen de chauffer le succube. Un excellent même. Et le succube ne le lui cachait absolument pas. Val était sensible à toute forme d’érotisme et de pornographie, surtout quand elle était savamment distillée et jusqu’à présent Ai y parvenait parfaitement. Le succube se soumit de bonne grâce, volant de nombreux baisers de plus en plus enflammés à la jeune femme, mais sans jamais envahir sa zone de contrôle.

Elle posa ses mains sur les cuisses d’Ai, les caressa longuement, la chaleur et l’essence de sa peau transmettant à l’humaine une petite dose supplémentaire de désir intense.

« Haaaannn… J’adore… » souffla-t-elle à son oreille tandis que les doigts de la jeune femme se couvraient d’un peu de ses fluides.

Elles allaient continuer de s'amuser, c'était une évidence, mais là, il allait falloir ne pas aller trop vite, comme la tenue qu'elle portait semblait plaire à Valeria, autant faire en sorte que cela dure encore un bon moment. Sur les cuisses de la succube, Ai se rapprochait de plus en plus, le pan de sa robe masquait autant son érection que l'entrée non dissimulée sur sa tenue. De sa petite main, glissant sur leur queue, elle la branlait doucement en venant l'embrasser le plus doucement possible, parfois, y aller lentement était le meilleur moyen pour qu'un feu prenne comme il faut. Sa tenue laissait quelques ouvertures, plus pour la beauté de la chose que pour rendre tout cela érotique – hormis cette ouverture entre ses cuisses – après tout pour Ai, une lingerie n'avait pas besoin d'être couvert de tissu ou d'ouverture, il fallait un bon équilibre quoi, comme beaucoup de choses.

Ses doigts glissaient sur sa queue humide, sur la sienne, encore cachée, mais légèrement moulé sous sa robe, l'excitation grimpait plus vite que ça avançait entre elles pour le moment. Tout n'était que subtilité, de ses doigts glissant entre elles, de son corps qui frôlait plus ou moins Valéria, sa petite poitrine heurtant la sienne, un baiser par-ci, un frôlement de leurs lèvres par-là. Ai pouvait être douée aussi, elle savait bien jauger les choses. Parfois, c'étaient ses hanches qui s'avançaient un peu, faisant que leur bite se frottait encore plus, elle pouvait se montrer dangereuse aussi.

« Mais c'est tout ce que vous voulez ? Hm ? Que je vous branle ? Vous n'avez pas envie de... bien plus ? »

La tentation. La petite tornade verte de Mélinda pouvait être très tentante quand elle avait les bonnes armes en mains. Alors quand elle avait de la lingerie à portée de main ou de quoi s'habiller convenablement, ça pouvait devenir une vraie arme vivante ! Elle se blottissait, sans se retenir cette fois. Sa bite s'écrasant contre la sienne, comme sa poitrine et leurs lèvres. Un long et savoureux baiser vorace, elle jetait de l'huile sur le feu, Valéria n'allait pas résister longtemps, c'était ce que pensait la petite futanari.

Valeria avait lâché sa queue et laissé la direction des opérations à son élève. Soupirant, ahanant, un râle rauque s’échappant même parfois de sa gorge, tout ce qu’elle faisait était caresser ses cuisses et lui voler des baisers, parfois doux, parfois enfiévrés.

Sa queue était tendue comme jamais, la main de la petit futa ne parvenant pas à en faire le tour. Le présperme s’écoulait régulièrement, maculait le sexe et la main, s’accumulait dans le prépuce en phase montante pour déborder au sommet et couler sur le pouce jusqu’à le déborder lui aussi.

La vue du corps magnifique de la jeune femme moulé dans cette tenue ô combien parfaite excitait terriblement Valeria. Voir la bosse provoquée par la queue d’Ai y ajoutait une dimension supplémentaire. Deviner que peut-être celle-ci maculait un peu l’intérieur de la tenue de sa propre production de présperme la mettait au supplice. Elle guetta un moment l’arrivée d’une tache humide mais les attentions de la petite aux cheveux verts la convainquirent qu’il y avait mieux à faire ailleurs.

Ai était contre elle désormais. Ses tétons frottaient ceux de Valeria, sa main qui la masturbait branlait sans discontinuer sa propre queue, quand elle ne la lâchait pas pour les mettre l’une contre l’autre à travers le fin tissu et les caresser ensemble.

Elle distillait parfaitement l’érotisme et le désir, faisait monter la température et la pression avec expertise et Valeria se soumettait avec délices à cette savante démonstration. Elle pouvait sentir la chaleur moite qui se dégageait de son entrejambe à chaque fois qu’elle ondulait du bassin pour la torturer encore un peu plus.

« Mais c'est tout ce que vous voulez ? Hm ? Que je vous branle ? Vous n'avez pas envie de... bien plus ?
- A… Ai… Je t’ai donné… carte blanche. »

Valeria posa sur elle un regard où brillaient désir et plaisir, mais ils s’éloignèrent quand elle continua, tout en restant présents.

« Tu sais ce que je veux. Tu sais déjà aussi plusieurs choses que j’aime, certaines vraiment beaucoup. Et je t’ai dit que si tu voulais prendre mon cul comme tu en as envie, tu devrais me vider quelques bonnes fois. Tu sais que ta tenue me plaît énormément. A ta place, je ne me priverais pas de cet atout. Maintenant, à toi de gérer mon plaisir, mes éjaculations, pour me vider sans te salir et obtenir ce que tu désires. »

Sa « présence » se retira de son regard pour laisser à nouveau place au désir et au plaisir, comme si cet interlude n’avait pas eu lieu.

« Oh ? Et n’oublie pas que je n’ai pas qu’une queue. Ma chatte a faim d’attentions elle aussi… »

Ai se blottit cette fois contre elle, continuant sa masturbation dans l’écrin de leurs ventres acollés. Aucune retenue cette fois. Leurs bites se comprimèrent tout comme leurs lèvres et leurs poitrines. La langue de Valeria s’enfonça profondément dans la bouche de la petite futa pour y danser une longue sarabande, intense, passionnée, affamée même. Ai passait la vitesse supérieure et peu de personnes auraient pu résister. Valeria par exemple. Mais elle ne le voulait pas : elle avait laissé carte blanche à son élève.

«  Hmmmmnnnggghhhh… »

Entre elles, sa queue se mit à pulser. Ai avait entre trois et quatre secondes pour réagir avant que le sperme ne gicle sur sa tenue…

Ai avait peut-être carte blanche, mais elle préférait jouer un peu de cette situation et de ce qu'il pourrait en découler de tout cela. Puisque la succube semblait sous son charme, elle comptait bien en profiter un peu, sa verge se pressait contre la sienne, idem avec leur poitrine, pas besoin de magie rose ou autre quand le charme suffisait. Elle remuait sur ses cuisses pendant que sa main agissait elle aussi dans l'unique but de l'amener de plus en plus vers le plaisir, vers l'orgasme. Certes, parfois, elle l'embrassait aussi afin qu'il y ait un peu plus de plaisir dans tout cela afin de varier un minimum, mais elle comptait en faire le moins possible pour l'amener vers la fin, voir où étaient ses limites ? Comment elle gérait tout cela ? Doucement, mais sûrement, elle sentait la fin de Valéria approcher, dans son regard, dans ses mimiques et avant qu'il ne soit trop tard, elle se redressa, soulevant le pan de sa robe arrière pour que la succube voir par elle-même que là aussi, un petit cœur était formé en guise d'ouverture. Sans mal, elle gardait sa verge dans sa main, la faisant doucement disparaître dans son cul, où n'eut besoin que légèrement s'en extirper, pour s'enfoncer de nouveau dessus pour que l'orgasme de Valéria ait lieu, laissant sa robe intacte ! Oh certes, il y avait une légère tâche sur sa robe, à force de se caresser mutuellement leurs verges, mais rien de bien grave contrairement à ce qui aurait pu arriver.

« Hyyyyyyaaaaaan~ »

Un délice, et sa robe étaient toujours aussi belle, quasiment propres ! La petite futa continua de plus belle de remuer doucement, attendant la fin de son orgasme avant de se relever doucement, c'est qu'elle était plutôt bien remplit maintenant, mais, puisque Valeria lui avait donné une indication possible à suivre, elle n'allait pas se priver ! Elle lui faisait face, sa queue déformait toujours sa robe sans se montrer au grand jour, elle savait ce qu'elle voulait faire à présent.

« Puisque tu voulais tant que je prends soin de ta petite chatte... Eh bien, allons-y. »

Déplaçant le pan de sa robe sur le côté, elle montrait enfin sa verge – non pas qu'elle ai changé depuis sa petite douche – mais l’érection était toujours aussi belle, le frottage contre sa queue l'ayant aussi aidé à avoir subit une petite avance sur l'échelle du plaisir à présent. Elle laissait la Succube prendre place sur le lit, la suite, c'était son travail. Elle la laissait décider si elle restait allongée ou si elle lui tendait sa croupe au passage, la ligne directrice n'allait pas changer pour la petite futa, elle voulait remplir sa petite chatte, un point c'est tout.

« Si ta petite chatte à si faim, je vais lui donner de quoi la gaver pendant un moment, huhu~ »

Elle s'enfonçait en elle, de nouveau, sa queue glissait facilement, se prenant au jeu, profitant doucement, mais elle augmentait bien vite les vitesses, sans pour autant être devenue une vraie lapine, l'excitation jouait forcément sur son envie aussi.

« Haaaaa, que j'adore... fourrer des chattes~ »

Mélinda, sa maîtresse, préférait plutôt les culs en général, même si pour la petite futa, le principal, c'était ce que ses partenaires pouvaient porter, à choisir entre les trois orifices, c'était bien entre les cuisses de ses partenaires qu'elle aimait se vider, remplir leur petit utérus de tout ce foutre, c'était sa passion ! Même si Valeria y a eut déjà droit, ça allait revenir une nouvelle fois !

Valeria avait décidé de se soumettre, de ressentir. Elle laissait Ai mener la danse, se repaissant de ses attentions, de ses artifices, de ses compétences. Le moins qu’elle pût en dire était que l’arsenal de la petite futa était déjà pas mal fourni. Non seulement naturellement, mais aussi par l’expérience. Son élève n’avait pas caché son désir de la sodomiser comme elle en avait envie et se donnait les moyens pour y parvenir.

Ses attentions érotiques se couplaient avec d’autres, nettement plus décidées et ciblées, sans parler de ses attouchements délicats, de ses baisers doux et sensuels, de ses soupirs lascifs.

Valeria était sur le point de jouir, sentait son orgasme se déclencher quand Ai se dégagea juste ce qu’il fallait, presque paresseusement, avec un savoir-faire qui forçait le respect. Elle glissa la queue du succube dans son cul que les rapports précédents avaient déjà parfaitement lubrifié. L’entrée fut aisée mais peu profonde, Ai se retira un peu, s’empala nettement mieux. Une seule fois. Ce fut suffisant. Le sperme explosa dans ses entrailles sur un cri profond de jouissance diabolique alors que sa main n’avait même pas lâché la base de la queue.

« Hyyyyyyaaaaaan~ »

Il était temps ! A deux secondes près, c’était sa robe qui aurait pris et adieu la sodomie tant espérée… Chance ou maîtrise ? Valeria penchait pour la seconde, au vu de la douceur maîtrisée qui avait été proposée.

Valeria adorait ce genre de gémissement que poussait la petite futa quand elle recevait un orgasme. Cela augmenta son plaisir. Le succube ahana encore un court instant, profitant de l’étreinte de son amante pour respirer l’odeur de son cou, puis la laissa se retirer, inspecter sa tenue avec une intense satisfaction.

« Puisque tu voulais tant que je prends soin de ta petite chatte... Eh bien, allons-y. »

Elle déplaça un pan de sa robe, dégagea son sexe en érection et fit signe à Valeria de prendre place sur le lit. Le succube ne se fit pas prier et s’y installa à quatre pattes, présentant sa croupe à Ai, comme un avant-goût de la sodomie à venir. De sa queue tendue dégoulinaient de longs filaments de foutre sur l’édredon mordoré.

Ai l’enfila sans attendre, ce qui arracha un long feulement à la démone. C’était si bon !

« Si ta petite chatte à si faim, je vais lui donner de quoi la gaver pendant un moment, huhu~
- Ma chatte a faim de plaisir. Du tien, du mien… de ton foutre aussi, oui. Baise-moi comme il se doit. Vide-moi, trais-moi. Mérite ce que tu désires. »

La voix du succube était rauque de plaisir

« Haaaaa, que j'adore... fourrer des chattes~
- Ca tombe… tellement… bien ! »

La cadence imprimée par la petite futa était rythmée, de plus en plus et ce dès le début. Elle avait du mal à cacher son désir pour le succube, quoi de plus normal somme toute ? La mouille démoniaque giclait sur ses couilles, détrempait sa queue et leurs bas-ventres.

Clap ! Clap ! Clap !

Les peaux se frappaient l’une l’autre avec intensité et rapidité. Le visage de Valeria s’écrasa dans l’édredon alors qu’elle tendait ses deux mains sous elle pour se masturber les deux sexes.

« Haaannnn !!! Continue !!! »

Le sexe continuait de plus belle avec Valéria et cette fois, la petite tornade verte avait une cible de choix à fourrer, la chatte de la succube ! Tout le monde avait ses préférences et en soi, ce n'était pas important de savoir ce que l'autre préférait fourrer, mais Ai jugeait que le vagin restait la meilleure option. Pourquoi ? Car c'était ce que l'on disait « le beau sexe », cette zone, avec une culotte, c'était tellement beau ! Sous l'excitation, l'entrée se lubrifiait, le goût était d'ailleurs très bon, bref, que du bon ! Ai se jetait donc sur elle, venant la pénétrer pour mieux la fourrer et y jouir dedans, quand elle le pourra. Rien que la pénétrer, c'était déjà l'extase, sous l'effet de l'excitation, sa main venait même claquer sa croupe, rien qu'une petite fois.

« Mmmmmh~ »

Et elle commençait à la besogner, s'accrochant à son cul pour mieux la pénétrer, Valéria pouvait faire ce que bon lui semble de son côté, tant qu'on laissait la petite futanari la baiser comme ça. Le bruit de la chair qui claque, de leur zone humide qui rendait ce bruit de plus en plus délicieux à entendre, quel plaisir ! Ses mains se crispaient sur son cul, n'allant pas jusqu'à la griffer, mais elle sentait bien que sa partenaire plantait ses doigts dans sa chair. Elle avait chaud, si jamais elles se liaient ensemble, elle sentirait les quelques perles de sueurs se coller à sa peau, mais pour le moment, elle lui épargnait cela. Pour le moment, elle se donnait à fond, butinant sa croupe, elle avait beau ne pas être très grande, ni tout en muscles, elle se donnait à fond, le pan de sa robe sur le côté pour ne pas les gêner, elle soufflait fort pendant l'acte, elle comptait bien la remplir de son nectar de plaisir.

« Haaaaaaaaaa !!!! Haaaaaa ouaiiiis ! »

Elle venait même à doucement en baver, même si ce n'était en rien abondant et que Valeria était pour le moment épargner de sa salive qui pourrait lui tomber sur son cul rebondi. Même si en soi, cela ne devrait pas la déranger, aucunement ! Mais me foutre était plus proche de venir la remplir et quelque peu éclabousser la sortie que d’inonder son cul de salive.

Tandis qu’elle se masturbait, Ai la prenait avec un entrain digne d’éloges. Et plus le rapport durait, plus la petite futa prenait ses aises et son plaisir. Val pouvait l’entendre gémir et ahaner, sa queue coulissant en elle comme un piston bien huilé, son bassin frappant en rythme ses lèvres détrempées et son cul rebondi.

Plus les minutes passaient, plus le succube mouillait : comme pour les fellations, Ai faisait là aussi montre d’une maîtrise déjà efficace. Une petite claque s’abattit sur ses fesses, Val frémit et ondula des hanches, happant la queue d’un geste précis, comme un gobe un fruit bien mûr. Elle se pressa sur le bassin en imprimant un mouvement circulaire de ses hanches, massant la queue en elle pour lui offrir encore plus de sensations.

« Mmmmmh~ »

Ai se mit alors à la prendre vraiment, accrochée à elle comme un naufragé à une bouée, se repaissant de son corps parfait avec une frénésie que seul un succube pouvait provoquer. Val se mit à gémir sourdement, puis de plus en plus fort, alors que les sensations augmentaient pour elle aussi, stimulées autant par son amante que par sa double masturbation.

Elle pouvait sentir les efforts déployés par Ai, sa chaleur, sa sueur qui commençait à bien perler et qui faisait claquer encore plus leurs peaux, tout comme leurs sexes faisaient des bruits toujours plus humides et obscènes. Elle avait pleinement conscience de l’état de plaisir avancé de la petite futa, de son orgasme de plus en plus proche.

« Haaaaaaaaaa !!!! Haaaaaa ouaiiiis ! »

Elle tourna la tête, encore plus écrasée dans les draps, et se reput de l’expression de plaisir qu’elle vit, de ce visage légèrement bavant, rougissant terriblement. L’imminence du plaisir d’Ai faisait grimper les sensations de Valeria. Celle-ci fit muter son ventre afin de parsemer son vagin de petites excroissances massantes pour optimiser les sensations d’Ai.

Si avec ça tu ne succombes pas…

Elle sentait le drapé de la tenue frotter contre sa hanche, le spectacle d’Ai dans cette tenue et avec cette expression, plus sa queue vigoureuse qui lui pistonnait l’entrecuisse, c’était un vrai spectacle. Val gémit plus fort…

« Haaaannnn !! »

Elle en était pour l’instant réduite à recevoir, mais comptait bien qu’Ai lui offre du plaisir ensuite, car si celle-ci voulait son cul, comme il le semblait encore plus désormais, elle avait encore du travail pour la vider comme il se devait.

Le sexe continuait de plus bel, Ai ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin, il était même trop tard pour s'arrêter maintenant. Le plaisir était là, à portée de main donc, à moins qu'un événement extérieur l'oblige à quitter cette pièce et surtout cette position, pas question de changer de plan ! La petite futanari continuait de baiser Valeria, baisant la succube avec désir et envie, les soucis de leur rencontre semblaient presque être laissé de côté pour le moment. Seul le désir, le plaisir, guidait ses pas et ses envies. Pour rien, Ai ne voulait changer de position, sa queue était trop bien installée en Valeria qui, elle aussi en rajoutait pour la retenir, car quand elle sentait ses lèvres intimes qui la massaient, elle ne se demandait pas comment ni pourquoi. Elle en voulait juste plus. Elle s'en mordait la lèvre inférieure en continuant de la baiser, essayant quand même d'aller un peu plus vite, encore quelques efforts avant la libération tant attendue ! La demoiselle sentait qu'elle allait jouir, elle ne s'attendait pas à battre un record d'endurance, ça n'a jamais été son point fort. Par contre, la quantité... Il y avait de la magie derrière tout ça, mais elle a toujours jouis que dans un gangbang. Sur ça, elle a toujours été généreuse, même épuisée, après une fin de journée bien rodée à jouer, elle avait une belle quantité a cracher.

« Haaaaaa ! Maî... haaaaaaAAAAA TROP TAAAAAAAAAAAAARD !!!!! »

Accrochée à elle, elle donna l'ultime coup de reins avant que sa queue ne crache une sacrée quantité de foutre, une fois de plus entre les cuisses de la démone. Le raz-de-marée blanc avait encore frappé et envahissait l'utérus de la démone. Ce sentiment de béatitude, de repos qui la gagnait était toujours une petite libération pour elle. Oh oui, la demoiselle se sentait si détendue et si paisible à se vider en elle, elle ne comptait pas la lâcher avant que sa verge n'ai craché les dernière gouttes en elle. Une fois cette chose faite, elle restait attachée à elle, mais sa prise n'était plus aussi forte, Valeria aurait plus de mal à retirer la pression d'un bébé de son corps. Certes, elle voudra encore s'amuser, très certainement, mais la petite sorcière était calmé, pour l'instant et était sur son petit nuage, si paisible.

« Mmmmh, Maîtresse... »

La paix, tout simplement.

Val encaissait des coups de reins puissants, pleins d’entrain. Sa nouvelle protégée prenait sacrément son pied dans son ventre et ne contenait ^pas ses efforts pour parvenir à ses fins. Tandis que le succube se masturbait avec ardeur, faisant dégouliner sa mouille de son antre détrempée où plongeait encore et encore le vit ruisselant d’Ai.

Sa queue, elle, suintait de présperme dans un clapotis humide affolant. Ses seins frottaient encore et encore contre les draps soyeux, ses tétons stimulés à chaque coup de reins. Son visage, bien que tourné vers son amante, glissait en rythme tandis que ses cheveux suivaient les mouvements dans un effet mouvant rappelant une mer houleuse.

Le plaisir était intense, Valeria se sentait doucement dériver uand elle vit le regard d’Ai vriller. L’expression de son visage changea du tout au tout, se mua en un tableau d’émotions intenses, une rougeur soudaine aux joues et les yeux papillonnant avant de se révulser à demi.

« Haaaaaa ! Maî... haaaaaaAAAAA TROP TAAAAAAAAAAAAARD !!!!! »

Merde…

Ai succomba au plaisir, lâchant en Val un véritable torrent de foutre bien épais. Le succube le sentit affluer après quelques pulsations, alors que son vagin saturait déjà sous l’abondance des traits de la petite verte. Elle sentit quelque peu ses organes s’élargir, son utérus se faire totalement envahir alors que les mains d’Ai se crispaient sur ses hanches.

La fille tremblait, se vidant encore et encore, et Val admirait l’effet que le plaisir avait sur elle, si démonstrative, si belle. Enfin, elle acheva de jouir, presqu’anéantie pour quelques instants, inconsciente qu’elle bavait sans discontinuer sur la croupe du succube.

« Mmmmh, Maîtresse... »

La béatitude qui se lisait sur son doux visage d’ordinaire si mutin était une récompense en soi, mais il n’y avait en cette situation rien qui approchât Valeria de la réalisation de sa propre demande afin d’autoriser une sodomie. Et pourtant, les démonstrations successives de capacité sexuelle de sa jeune amante lui donnaient de plus en plus envie de découvrir ce dont elle était capable.

Val repoussa doucement Ai et se dégagea. La fille tomba sur le lit comme une mouche. Le succube roula sur le côté et la regarda tandis que son corps évacuait le trop plein de foutre sur sa cuisse et les draps. Elle lui laissa un peu de temps pour encaisser, puis lui caressa un sein à travers le fin tissu de sa robe.

« Bon, c’est pas tout ça, mais tu es encore loin du compte avant de pouvoir me ramoner le cul. Comment envisages-tu de t’approcher du but ? »

Quel plaisir, Ai venait de jouir une fois de plus dans Valéria et elle était encore loin du compte, mais pour le moment, elle était prise dans l'effet détente de l'orgasme, elle ne pensait plus à rien, si ce n'est le bonheur qui la consumait. La succube aussi en profitait, mais elle venait à reprendre les choses en mains. Au moins pour remettre tout cela sur les rails, car elle fit preuve de douceur, tout en se demandant comment la petite futanari allait toucher au but ? Au but ? Quel but ? Pour elle, elle avait presque oublié le pourquoi du comment dans tout cela, juste coucher avec elle, c'était ça sa ligne directrice. Son regard exprimait très bien cela, même si la succube pouvait se dire qu'elle était encore juste un peu euphorique, c'est vrai, mais pas seulement.

« Mmmmh, comment ? Bah... En vous baisant encoooooore et encore... Ou bien, juste parce que je suis une gentille petite futa ? »

Dit-elle en sortant la carte de l'amadouage. Un doux sourire avec une posture plutôt mignonne pendant qu'elle se dandinait doucement, sous les yeux de la succube, il ne restait qu'à savoir si elle allait se laisser charmer par la petite futa qui remuait avec sa petite érection qui se réveillait ou bien s'il en fallait plus pour charmer sa maîtresse ? Ça, elle ne pouvait pas vraiment le savoir après tout.

Val regardait Ai allongée à ses côtés en train d’encaisser ce nouvel orgasme. Sa queue était retombée, pour un petit moment devenue flasque, et il en sourdait quelques gouttes de semence qui maculaient les bords de sa si belle robe.

Le succube pouvait sentir s’écouler d’elle une quantité nettement plus impressionnante de semence, la petite futa n’y était une fois de plus pas allée de main morte ! Et tandis que ce liquide onctueux s’écoulait lentement d’elle et dégoulinait le long de sa cuisse, elle se masturbait paresseusement en regardant sa partenaire essoufflée.

Elle était au septième ciel, l’expression de son visage était sans équivoque. Mais avec une Maîtresse comme Val, elle apprendrait bien vite qu’il y avait bien des cieux au-delà du septième ! Et quand le succube lui posa la question de comment elle comptait gagner l’accès à son cul, la fille mit un petit instant à répondre, l’esprit encore embrumé de plaisir.

« Mmmmh, comment ? Bah... En vous baisant encoooooore et encore... Ou bien, juste parce que je suis une gentille petite futa ? »

Elle n’avait rien compris. Ou alors elle ne cherchait plus à réfléchir parce qu’elle était trop HS pour le moment. Val sourit avec indulgence et lui donna une pichenette sur le bout du nez.

« Bien essayé. Mais non. Je t’ai donné le prix de mon cul. Et c’est pas en me remplissant que tu le gagneras, mais en me vidant.. Je te rappelle donc les règles : Tu me vides, encore et encore, de la manière qui te semble appropriée, jusqu’à ce que j’estime que c’est suffisant. Si pendant ce laps de temps ta tenue est salie par nos fluides, tu dois en changer. A chaque fois. C’est clair ? »

Elle se redressa et admira encore Ai étendue sur le lit. Sa tenue était magnifique. Sauf ses chaussures. De gros talons de quelques centimètres à peine, ce n’était pas très sexy. Val aimait les vrais hauts talons aiguilles. Elle les retira des pieds de la petite futa puis la regarda en hochant la tête, visiblement satisfaite de cette tenue à peine modifiée mais bien plus à son goût.

Elle reprit sa queue en main et recommença à se masturber, se caressant un sein de sa main libre tandis que la semence d’Ai continuait de s’écouler d’elle en longs filaments baveux qui s’écrasaient au sol ou se déposaient sur ses cuisses au gré de ses mouvements.

La jeune femme était délicieusement belle, sa petite poitrine magnifiquement dessinée sous la robe qui marquait follement sous la pression de ses tétons durcis, son ventre plat aux abdos finement dessinés se laissait deviner dans le cœur sans tissu sous lequel le chibre se reposait. Ses jambes parfaitement galbés étaient un régal pour les yeux et ses petits pieds si mignons…

Valeria gémit sourdement, laissant son regard dériver sur le ventre d’Ai, là où désormais se développait déjà l’enfant qu’elle venait d’implanter en elle. Un filament de présperme macula sa main puis commença à dégouliner au sol.

Eh bien oui, elle était encore un peu dans les nuages après avoir pu se libérer de nouveau dans Valéria, mais comme le soulignait la succube, le but n'était pas qu'Ai se vide, mais plutôt de vider sa maîtresse avec pour seule restriction que, si sa tenue était tâchée, elle en changeait. Toujours allongée, la démone lui avait juste retiré ses chaussures pendant qu'elle observait la petite sorcière en se branlant un petit peu. Encore un peu sur son nuage, elle avait plus ou moins la flemme de se redresser ou s'offrir comme ça, même si ça promettait de belles choses, elle tentait plutôt une autre approche. Soit Valéria lui avait retirer ses chaussures, car elles étaient sales – elles n'avaient pas fait attention à ce détail – soit ça laissait deviner autre chose ? Maîtresse Mélinda aimait que l'on s'occupe de ses pieds et usait des siens, sur sa verge n'était pas pour lui déplaire non plus alors, peut-être que la succube avait plus ou moins trahie une de ses envies ? Si elle n'aimait pas, elle le lui ferait savoir bien vite, certainement. Levant mollement une de ses jambes, étirant son pied droit, ses orteils enveloppés dans son collant caresser sa verge, lentement, tout le long. Son petit pied la caressait et bientôt la seconde jambe aussi. Ai n'était pas la plus douée dans ce domaine et mine de rien, c'était fatigant de branler avec ses pieds ! Mais elle pouvait au moins explorer cette piste, une fois, pour voir ce que ça donne.

« Mhh, ça vous va, comme ça ? »

Elle n'était pas sûre de tenir jusqu'à l'orgasme, mais au moins, elle commençait comme ça, jusqu'à l'orgasme ou la fatigue, du moins. Elle n'allait pas faire que ça, la petite sorcière fit comme Valéria, se caressant, surtout le haut du corps, en faisant jouer sa petite langue sur le bord de ses lèvres. Elle verra bien si cela permet de la faire succomber ? Au pire, si elle réussit, elle devra changer de tenue, ce n'était pas un drame. Au contraire, la petite futa aimait changer de tenue, surtout de lingerie. Le tout, tandis que sa verge venait elle aussi doucement se redresser.

« C'est quoi qui te tente le plus, Maîtresse ? Que je te branle avec mes petits pieds ? Ou bien... Venir t'occuper encore de ma bite ? »

La vulgarité avait toujours son petit effet, en général.

Val admirait son esclave tout en se masturbant paresseusement. La magnifique jeune fille s’était un peu emballée et gisait à présent sur le lit à « cuver » son orgasme alors qu’elle aurait dû être à pied d’œuvre pour obtenir ce qu’elle désirait.

Le succube avait dégagé ses pieds des chaussures qui les enfermaient, juste parce qu’elle trouvait celles-ci moches. Elle avait été un peu déçue de voir qu’Ai portait des bas, mais agréablement surprise par la beauté de ses petits pieds.

Lascive, comme si elle était à moitié encore dans les vappes, la jeune futa semblait néanmoins réfléchir à ce que venait d’énoncer la démone et leva paresseusement une jambe ? Son pied vint glisser le long de la verge.

Enfin !

Valeria retira sa main poisseuse de présperme pour la laisser faire et celui-ci macula quelque peu le collant qui couvrait les orteils fureteurs. Bien vite, la seconde jambe se leva et le second pied vint se placer sous les testicules de Valeria.

« Mhh, ça vous va, comme ça ?
- Mmmmoui, c’est pas mal mais… »

D’une pensée, Valeria dissipa les collants, ne laissant plus que la peau contre la peau.

« Là, c’est parfait ! »

Si le ton du succube n’était pas différent, son attitude changea petit à petit tandis que les pieds d’Ai se mettaient plus assidûment à l’ouvrage. Valeria soupira de plaisir et regarda le spectacle avec une expression plus claire de plaisir sur le visage. Sa queue se mit à pulser sous les actions s’Ai et gagna en dureté et vigueur.

Tandis que les orteils s’écartaient doucement pour mieux prendre la verge entre eux, elle gémit. Ses couilles remontèrent d’un cran dans les bourses.

« C'est quoi qui te tente le plus, Maîtresse ? Que je te branle avec mes petits pieds ? Ou bien... Venir t'occuper encore de ma bite ? »

Ai se caressait le corps, minaudait du regard en employant des termes crus qui firent un effet certain à sa « Maîtresse ». le préseperme affluait abondamment, dégoulinait de l’urètre sur les orteils et les pieds, Valeria pouvait le voir se frayer un chemin jusqu’à la cheville.

« Petite pute… tu vas me faire jouir si tu continues… J’adore ce que tu me fais ! »

Valeria n’avait pas franchement prémédité cet aveu, mais depuis qu’elle avait compris comment obtenir une queue, les footjobs avaient toujours été son point faible. Les siècles n’y changeaient rien. Leplaisir qu’elle ressentait à cet instant était intense. Ai n’était pas la plus habile qui soit, mais elle s’appliquait, et voir l’effet sur Valeria la dopait assurément.

« Putain, c’est bon… Continue... »

Sous les orteils, la queue commençait déjà à subir des spasmes intermittents, signes évidents de plaisir intense.