The Multiversity

Ce qui allait suivre était évident. La prêtresse allait être offerte à ces cinq mâles exceptionnels et ils allaient profiter de son corps. Le brun puissant se glissa sous elle et Sally gémit de plaisir quand il s'enfonça dans son vagin dégoulinant. L'accès y était facile tant elle était trempée. La prêtresse aimait les hommes beaux et celui-ci avait une constitution parfaite. Aphrodite ne donnait pas naissance à des laiderons, non. Sally s'appuya sur des pectoraux massifs, griffa de larges épaules et s'abaissa pour dévorer des lèvres pleines. Elle n'avait pas envie de lutter contre ses faiblesses car elle baignait dedans. Il était si facile de se laisser faire. Sur Terra, elle dirigeait son Ordre d'une main de fer et même ses ébats sexuels entrainaient un jeu de domination dont elle était toujours la maitresse. Là-bas, tous la craignait et personne ne prenait le risque de la brusquer. Ici, à Lust'ghaa, elle pouvait assouvir ses envies et ... se laisser baisser comme une chienne!

C'est pour ça qu'elle hurla de bonheur quand celui qui avait l'air d'être le leader vint lui perforer le cul.

"OH OUI PLUS FORT!!!!"

Deux queues énormes la remplissaient et elle donna des hanches pour inciter les hommes à la prendre comme elle le méritait. Sa chatte et son anus se dilataient pour laisser l'accès libre aux hommes qui la bourrait et Sally râlait de plaisir, son corps ferme prit en étau entre deux montagnes de muscles. Sa peau sentait le foutre, son haleine aussi. Elle en avait tellement avalé depuis son arrivée ... Son estomac était gonflé à ne plus pouvoir rien accepter mais elle en voulait toujours plus. Cette spirale sexuelle ne semblait pas devoir s'arrêter. Son inmon marquait son ventre, sa lueur première indiquait l'acquisition de la marque de Lust mais il devait vibrer et irradier pour qu'elle accède au contrôle suprême.

Une apparition marqua un court temps de pause. Aphrodite revenait, plus belle que jamais sous cette nouvelle apparence. Elle n'était pas la déesse du plaisir pour rien et son entrée amena une nouvelle ère de volonté et de désir. L'atmosphère baignait de magie rose, couleur dont les prunelles de Sally la Salope s'étaient imprégnées. La voix rauque, l'inquisitrice tendit la main pour toucher sa nouvelle divinité.

"Déesse, tu es ... la plus belle des femmes."

Ses fils ne pouvaient pas la contredire et s'appliquèrent à la posséder eux aussi. Tous étaient sublimes et même Gareth, sous le corps sculptural de sa mère, avait un charme fou. Sally adorerait avoir une session privée avec lui pour le sucer jusqu'à la moelle et se régaler de ses giclées prometteuses.

Le dernier, Servaney, l'attirait aussi. Sally Whitemane avait toujours eu une attirance salace pour les jeunes garçons. Le beau blond leur passa un collier qui les lia dans la perversion. Il leur offrit ensuite sa queue et les deux beautés firent glisser leurs lèvres tout le long du membre chaud. Sally le voulait et le goba la première après avoir lâcher:

"Défonces moi la gorge! prends moi sans retenue, même quand je ne pourrais plus, ne t'arrête pas!"

Et elle ruait des fesses pour se faire exploser le cul. Elle voulait du physique, de la violence sexuelle, de la contrainte et des marques. C'est ainsi que son inmon atteindrait son potentiel ultime.

Sally Whitemane mêla ses doigts à ceux de sa maitresse et pendant qu'elle se faisait pilonner la gorge, elle ne la lâcha pas du regard.

Petit à petit, Sally perdait toute retenue, tout contrôle. En voyant Aphrodite, elle avait vu l’incarnation même de la Beauté, du Désir. La puissance de la Déesse s’exprimait ici pleinement. Elle libérait son entier potentiel, faisant frémir quiconque se trouvait là. Ses enfants y étaient habitués, et, même ainsi, ils étaient encore plus excités. Aphrodite se retrouva donc à quatre pattes, et embrassa Sally, également à quatre pattes face à elle. Elle sentait le désir de sa partenaire, une soif sexuelle bestiale et sauvage. Elle avait envie de se faire prendre, de se faire même ravager !

Dans son dos, Le Maître martelait son cul, et tirait sur ses cheveux ou sur sa laisse, étranglant la Prêtresse. Elle maintenait la pression, bien décidée à exciter autant que possible sa partenaire, réduite à ce stade au rôle de proie. Carlnes soupirait également, déplaçant ses mains sur les fesses de Sally. Il les palpait avec force, les malaxant furieusement, grognant et soupirant. Sally avait deux puissantes verges en elle, qui remuaient avec force. C’était toutefois surtout Le Maître qui agissait, vu sa position. Et, quand il tirait sur les cheveux ou sur la laisse de Sally, tout en lui frappant le cul avec son autre main, la tête d’Aphrodite se penchait également en avant. La Déesse gémissait lentement en se tortillant sur place, sentant toute l’énergie de ses fils.

Entre elles, Servaney se positionna, et Aphrodite lécha sa queue, tout comme Sally.

« Tu es assoiffée, ma belle… Tu es magnifique à voir, tu sais ! »

Tout ce désir sur elle, toute cette passion… Oh, oui, c’était formidable ! Voir ce visage irradier de passion et de désir, c’était très agréable. Sally décida toutefois de s’accaparer ce sexe, et Aphrodite la regarda faire, en souriant doucement. Sally pompa le dard de Sarveney, et son jeune fils se mit à gémir, serrant sa main sur les cheveux de la Prêtresse. Aphrodite remonta l’une de ses mains, et glissa un doigt dans le fondement de son fils.

« Haaa… Ma-Maman ! »

Sourire malicieux de la Déesse, qui savait naturellement ce que ses enfants aimaient. Elle n’aurait pas été leur Déesse et leur mère, sinon ! Le corps de Saverney se crispa donc. De ses cinq fils, Saverney était celui qui aimait le plus se faire dominer et sodomiser. Il était le plus soumis des cinq, ce qui en faisait aussi le plus apprécié. Pour autant, il n’en restait pas moins un ride amant.

Sally eut droit à sentir son sperme dans sa bouche. Aphrodite l’embrassa ensuite, fourrant avec appétit sa langue dans sa bouche, afin de pouvoir goûter à cette précieuse semence, au nectar divin de son enfant.

« Hmmm… »

Aphrodite se faisait plaisir, naturellement. Elle rompit ensuite le baiser, et sentit ses fils jouir en elle. Saverney, de son côté, orienta encore son sexe vers sa partenaire, secouant sa queue de haut en bas :

« Je vais te marquer, petite chienne… Ouvre bien ta petite bouche de salope ! »

Un sourire moqueur aux lèvres et une lueur perverse dans les yeux, il libéra une autre forme de liquide : son urine. Saverney se mit à pisser entre ses lèvres, se soulageant avec passion…

La langue de Sally s’agitait follement autour du pieu qui lui remplissait la bouche. Elle était experte en fellation et Servaney méritait toute son attention. Il avait un goût délicieux et elle se délectait des saveurs de sa chair chaude. Pourtant, il la maltraitait sans considération. Le garçon lui baisait la gueule comme un acharné et le visage de la belle prêtresse s’écrasait contre le bas-ventre recouvert d’un fin duvet sans modération. Elle le gobait aussi fort qu’il lui investissait la bouche. Sa queue était compressée entre des lèvres avides qui refusaient de le laisser sortir. La gorge même de l’inquisitrice était un puit sans fond que Servaney n’arrivait pas à dominer. Il avait beau être dur, il manquait encore de virilité pour pouvoir consumer totalement la perversité de Sally Whitemane. Elle le voulait tout pour elle et bien qu’elle en partage une partie avec Aphrodite, elle n’attendait qu’une chose. Aussi elle le pompa comme une folle et quand elle le sentit trembler, aider par l’assistance de sa mère qui lui possédait les fesses, Sally s’acharna dans un ultime acte d’une sauvagerie totale. Elle gargouillait autant qu’elle bavait, torturant cette queue juvénile dans les profondeurs de son corps. Servaney jouit en criant, loin dans la gorge de Sally. Ses fluides inondèrent l’œsophage de la suceuse et envahirent son estomac. La salope le garda en bouche un moment avant de le relâcher. Et quand elle le fit, ce fut pour hurler. Le maitre et Carlnes avaient préparé un nouveau supplice et forçaient à deux l’anus de Sally. Ils étaient longs et massifs et durent s’y reprendre à plusieurs fois avant d’écarteler l’anus de la femme et de s’y enfoncer sans avertissement. Sally hurla et laboura le torse de Carlnes de ses ongles.

Son cri fut étouffé par un baiser d’Aphrodite qui diffusa une onde de douceur délicieuse dans son corps de Sally.

"De … ?"

Elle n’entendit pas vraiment ce que Servaney lui disait mais c’est bien à elle qu’il s’adressait. Et puis ce fut la douche, la grosse surprise pour Sally, elle ne s’y attendait pas. Le liquide chaud lui remplit aussitôt la bouche et elle eut le réflexe de ne pas le recracher. Elle avala quand ça déborda et tira ensuite la langue pour en demander plus. Servaney lui pissa sur le visage et elle éclata de rire en se le frottant des deux mains. Son cou, sa poitrine, son ventre, furent un parfait réceptacle et quand le flux se tarit, elle riait encore.

"Petit pervers ! Tu caches bien ton jeu !"

Elle se lécha les doigts un à un avant de se pencher pour embrasser Aphrodite.

"J’adore tes enfants déesse."

Le maitre ne lui donna pas l’occasion de dire un mot de plus. Il passa son avant-bras devant le cou de Sally et la ramena brutalement contre lui. Les yeux de la prêtresse s’écarquillèrent et son visage se colora de rouge alors que l’air lui manquait. Les deux brutes l’enculaient et faisaient subir à son corps les pires outrages. Elle subissait un carnage anal et ses bras battirent dans le vide à la recherche d’un point d’appui. Ils ne lui laissèrent aucune chance et la violentèrent sans se soucier de savoir si elle pouvait endurer cela. Servaney revint à la charge et alors qu’elle était tordue en arrière, les yeux révulsés, il se branla entre ses grosses mamelles.

C’est là que l’inmon s’illumina intensément car c’était bien sous la contrainte que Sally accédait à son vrai plaisir. Cela, le maitre l’avait compris et il serra encore plus le cou de sa proie de ses gros bras veinés. Le plus jeune des fils gicla très vite, tapissant les seins de Sally de sperme, et fit le tour du trio pour s’accroupir derrière. Avec le même sourire vicieux qu’il avait affiché quand il lui avait pissé dessus, il regroupa ses doigts et pénétra la chatte brûlante de sa main avant de la refermer en un poing incassable. Il la fista comme une brute, tout en sentant ses deux frères exploser l’orifice anale de la Belle qui ne pouvait toujours pas crier. Carlnes lui gifla la poitrine, le maitre la poussa à la limite de la conscience et ils jouirent tous, elle explosant littéralement de plaisir, et les hommes lui remplissant le cul. La pression se fit moindre et Sally, qui était forte, parvint à s’arracher à l’étreinte, laissant des flots de foutre s’écouler de ses fesses. A quatre pattes, elle fonça sur Aphrodite et la percuta, la renversant, elle et les garçons qui la bourrait. Ils s’emmêlèrent les membres et Sally délivra le baiser le plus érotique qu’elle eut jamais donné, tenant le visage de la divinité entre ses mains. Elle sentait le sperme et la pisse et se débattit quand les hommes l’arrachèrent à son étreinte. Ils la poussèrent et elle s’étala sur le dos. Servaney vint s’accroupir au-dessus de son visage et lui donna son cul à bouffer. Elle y plongea sa langue et le récura frénétiquement. Le maitre vint s’agenouiller encore pour ramoner entre ses gros seins et Carlnes lui leva les jambes pour l’enculer encore et toujours.

L’inmon brillait à son paroxysme …

Aphrodite était admirative.

Sally était encore consciente. Son inmon avait atteint le paroxysme de son « stade 1 ». L’inmon avait plusieurs niveaux, jusqu’à trois. Pour atteindre le niveau 2, il fallait toutefois plus qu’une simple nuit de débauche. Même au sein du culte et de Lusst’ghaa, peu de gens parvenaient à atteindre le stade 2. Quant au stade 3… Et bien, une personne de stade 3 devenait Princesse ou Prince de Luxure. Il était couramment admis que ce troisième niveau n’était offert qu’aux personnes ayant le sang de Lust. Le Maître, par exemple, était un Prince de Luxure, mais les quatre autres membres de la Main n’en étaient « qu’au » stade 2. Au stade 2, on pouvait prétendre à être une Prêtresse ou un Prêtre de Luxure. Aphrodite restait donc admirative, car, pour parvenir à maîtriser le niveau 1 si rapidement, sans tomber dans le coma, il fallait avoir un haut niveau de luxure. Dit autrement, Sally était assurément une perverse hors concours, et la voir ainsi était un vrai régal pour Aphrodite.

Servaney, le plus « doux » des cinq, avait rapidement montré à Sally qu’il ne fallait pas le sous-estimer. Le Maître, lui, commençait à utiliser la strangulation sexuelle, et ce n’était là qu’un début. Peu à peu, Aphrodite laissait ses enfants jouer avec Sally, elle-même n’intervenant que quand l’un de ses enfants le voulait. Le temps, à Lusst’ghaa, défilait différemment que dans une réalité normale. Autour de cette pièce, le temps allait plus vite, ils étaient comme enfermés dans une bulle de luxure.

« Hmmm… Foutue salope, tu ne veux pas te rendre, hein ?
- Elle aime se faire baiser comme ça… »

Le Maître enchaîna sur une autre position. Il attrapa les hanches de Sally, et la releva. La jeune femme sentit les bras du Maître passer sous ses chevilles, puis il la releva, la coinçant devant lui. Les jambes de Sally se relevèrent à la parallèle par rapport à son torse, et elle sentit les deux mains du Maître s’appuyer sur sa nuque. L’homme venait d’opter pour un redoutable « full nelson », et grogna contre l’oreille trempée de Sally. Sa queue retourna s’enfoncer dans son cul déjà bien ouvert, et il se délecta des hurlements de Sally. Servaney se rapprocha en tenant deux pinces dorées dans ses mains, de petites pinces reliées entre elles par une chaîne élégante en or. Il serra les pinces sur ses tétons, souriant malicieusement, puis Carlnes se rapprocha, et s’enfonça dans la chatte de la femme en grognant, posant ses deux énormes mains sur son cul.

« Ça doit bien faire une bonne heure qu’on te baise sans relâche… Mère nous en offre rarement d’aussi salopes que toi… »

Carlnes l’embrassa alors, tandis que le Maître mordilla le creux du cou de la jeune femme.

« Ici, à Lusst’ghaa, on peut plus facilement tomber enceinte que dans ton univers… Vu comment nous avons joui en toi, tu portes notre enfant, Sally… »

Difficile de dire si elle l’avait réalisé, mais, au cas où, le Maître venait de le préciser…

Sally n'était qu'une humaine, une simple et toute petite humaine. Jusqu'à tout récemment, ses aventures sexuelles ne se limitaient qu'à des ébats d'où elle ne ressortait jamais épuisée. Son changement de divinité lui ouvrait les yeux à présent. Elle découvrait réellement ce que signifiait la passion mais aussi qu'elle avait des capacités qu'elle ne soupçonnait même pas. Son endurance la surprenait et sa voracité sexuelle se libérait totalement maintenant qu'elle était libre de vivre ce pourquoi elle avait toujours été faite. Chacun naissait avec un destin déterminé et le sien lui apparaissait clairement à présent. Mais encore une fois, elle n'était qu'une simple humaine et son immersion à Lust'ghaa l'avait éreinté. Elle avait fait ses preuves, et bien plus encore, et son corps et son esprit commençaient à lâcher prise. Aussi quand le Maitre la souleva et la verrouilla contre lui, l'empêchant de bouger avec ses bras puissants, elle se sentit dériver.

Le visage de l'inquisitrice s'affaissa, ses yeux se révulsèrent et elle perdit le contrôle de sa langue qui glissa de sa bouche ouverte. Sally bavait de bonheur. Elle se faisait ramoner le cul et ne pouvait rien faire d'autre qu'en profiter. L'énorme pieu du Maitre la labourait et elle n'arrivait ni à demander plus ni à remercier pour un tel cadeau. Ses gros seins compressés ballotaient, perlant encore d'urine et de sperme. Elle produisait des sons inintelligibles, à mi chemin entre l'extase et la folie, et quand Carlnes vint à son tour l'embrocher, elle bava sans pouvoir se retenir. Ses tétons la faisait souffrir, pincés à l'extrême par les pincettes de la chaine dorée et pour rien au monde elle n'aurait voulu qu'on les ôte.

Les deux hommes qui la prenait étaient des bêtes. Ils la pilonnaient sans merci, et elle encaissait comme une poupée désarticulée. Ses fesses, son rectum étaient incroyablement dilatés, son vagin était bondé de semence et il était évident, comme le disait le Maitre, elle porterait les enfants conçus ce jour exceptionnel, elle n'y échapperait pas et les élèverait comme Aphrodite l'avait fait des siens.

A un moment, elle perdit toutes notions d'existence. Elle servait sa déesse en offrant son corps et son esprit à l'accomplissement d'une volonté qui la dépassait. Sally Whitemane l'intraitable sentit qu'on jouit en elle, que les hommes changèrent à tour de rôle et elle fut baisée comme une chienne jusqu'à en perdre conscience. Ses orifices furent remplis maintes fois et bien malgré elle, elle rendit le trop plein de sperme qui lui gonflait l'estomac. Pour terminer, on la relâcha et elle s'affala dans une flaque de foutre dans laquelle elle se recroquevilla en position fœtale. Servaney avait été le premier à se relâcher sur elle un peu plus tôt et ses frères l'imitèrent. En cercle autour d'elle, il urinèrent sur l'objet de leur déchainement, longuement. Mais juste avant, comme attirée par son énergie divine, Sally avait trouvé en tâtonnant du bout des doigts la cheville d'Aphrodite et l'avait tirée contre elle, comme pour rechercher la présence d'un être protecteur, juste avant qu'elle ne s'endorme, épuisée, repue et convertie.

En elle, un miracle était déjà à l'œuvre. Ses entrailles abritaient un bonheur qu'elle ne connaissait pas. Les choses allaient vite, très vite. Sa condition d'humaine réagissait déjà à son immersion mystique dans le domaine d'Aphrodite et la quantité abondante de sperme fertile qu'elle avait reçu en elle entrainait l'accomplissement d'une nouvelle étape de sa destinée. Loin, dans son subconscient, elle savait déjà que son enfant serait une fille, et qu'elle serait sa plus belle réussite.

Quand Sally émergea, elle était nettoyée, lavée, et parfumée. Elle était dans une chambre, et presque totalement nue, à l’exception d’un bikini rouge avec une armature dorée. Elle était dans une grande chambre plongée dans la pénombre. Une grande porte-fenêtre était ouverte, et le vent de la nuit venait, remuant les grands rideaux. Le temps pour les yeux de Sally de s’habituer à l’obscurité, et elle put constater que la chambre était assez élégante. Une tapisserie de luxe, un coin salon avec un grand canapé, deux fauteuils… Une lueur violette s’échappait depuis la porte-fenêtre. Si Sally s’en approchait, elle verrait un ciel étoilé… Violet. Un ciel violet avec de multiples étoiles qui brillaient au loin, et où on pouvait voir d’énormes planètes. Ce n’était pas le ciel de Terra. En contrebas, une ville semblait s’étirer à l’infini, avec une architecture très spéciale. Toitures médiévales, minarets… Ou des buildings en acier qui semblaient tout droit sortir d’une ville terrienne, et que Sally n’avait jamais vu à Mijak. Une lueur rose s’échappait des toits, ainsi que les sons endiablés d’une ville qui semblait très animée. Sally était de toute évidence à l’intérieur d’un palais.

Elle put entendre de la musique suinter de multiples haut-parleurs installés dans les rues. Une musique terrienne, et même française :

Tous les garçons et les filles de mon âgeSe promènent dans les rues deux par deuxTous les garçons et les filles de mon âgeSavent bien ce que c'est qu'être heureux

Françoise Hardy chantait son classique « Tous les garçons et les filles ». Sally n’avait plus qu’à aller explorer. Quand elle retourna dans la chambre, des bougies s’allumèrent comme par magie, ainsi qu’un feu qui se mit à crépiter dans l’âtre de la cheminée. La porte s’ouvrit alors, et une délicieuse odeur sensuelle accompagna une femme nue, portant d’interminables cheveux rouges tombant jusqu’au sol. Elle s’appelait Erotica, et elle était l’une des filles de la Déesse de Lust.

« Bonsoir, Sally, je suis heureuse que tu sois réveillée, les garçons n’y ont pas été de main morte avec toi… »

Elle se rapprocha lentement, et caressa sa joue, avant de l’embrasser sur les lèvres.

« Comment tu te sens ? Tu ne l’as peut-être pas encore senti, mais tu es enceinte, ma belle… Sache que Mère désapprouve fortement l’avortement ou la contraception. Elle est une Déesse de maternité, après tout. En revanche, il va être difficile de dire lequel de mes cinq frères t’a fécondé… Ils sont tous passés sur toi, après tout. Je te félicite d’avoir tenu suffisamment pour qu’ils puissent te féconder, cela n’avait pas dû arriver depuis un bon siècle… »

Sa voix était de velours. Elle se déplaça lentement, ses longs cheveux semblant onduler sur place.

Sally ouvrit les yeux lentement. Elle était consciente depuis un moment mais tout son être réclamait un répit bien mérité. Ses partenaires avaient tous disparu, Aphrodite aussi, et ses suivantes également. L’énorme orgie qui avait transporté Sally dans les castes supérieures du plaisir s’était terminée dans un océan de sperme qui une fois de plus, avait bénéficié à la Grande Inquisitrice de l’Ordre Ecarlate. Les cinq hommes qui l’avait baisé pendant des heures s’étaient vidés successivement en elle, que ce soit dans sa bouche, son vagin ou son rectum. Ils avaient pratiqué sur elle toutes sortes de pratiques allant des plus aimantes aux plus extrêmes. Elle avait crié de plaisir, hurlé de joie, imploré et supplié pour qu’ils continuent sans la laisser se reprendre ne serait-ce qu’une seconde.

Sally avait eu la chance de partager cette euphorie sexuelle avec la Grande Aphrodite elle-même. La déesse lui avait fait l’honneur de sa présence et sa participation et chaque caresse, chaque toucher avait emmené Sally au nirvana. La prêtresse avait été mise à l’épreuve, son endurance et sa volonté avait été éprouvé, sa libido et son degré de perversion aussi. Elle n’avait pas démérité, loin de là et bien au contraire, elle s’était surpassée. Son corps aurait dû porter les stigmates de ce traitement mais non, elle se sentait bien, complète.

Elle s’était éveillée tout en douceur et avait testé tous ses membres, du bout des orteils au bout des doigts, imperceptiblement. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas dormi ainsi et elle baignait dans une sorte de béatitude agréable. Elle se remémorait des images salaces, des membres masculins dressés devant son visage, des mains fortes qui l’avaient maintenu et … les lèvres d’Aphrodite collées aux siennes.

Sally Whitemane se redressa enfin et mit quelques longues minutes à s’habituer à l’obscurité ambiante. La pièce où elle se trouvait lui était inconnue mais dégageait une atmosphère paisible. La prêtresse se leva pour aller s’accouder à la fenêtre. Quel … étrange lieu s’offrait à ses yeux. Elle n’avait jamais rien vu de tel. Le ciel aux douces teintes violettes inspirait la sérénité tandis qu’en bas, loin en dessous d’elle, une ville éclectique s’animait d’une activité nocturne joyeuse. L’architecture était curieuse, totalement nouvelle pour Sally. Les bâtisses étaient hautes et brillantes pour certaines tandis que d’autres rappelaient des thèmes orientaux. Les couleurs chatoyantes foisonnaient et Sally eut l’envie de rejoindre cet univers animé par une chanson aux sonorités étrangères mais que curieusement, elle comprit.

Sally ne sursauta pas quand la femme aux cheveux rouges lui parla. Elle répondit en continuant à regarder la ville en contrebas.

"Bonsoir. Merci, j’ai dormi comme s’il s’agissait de mon premier vrai sommeil."

Elle se tourna enfin pour dévisager l’inconnue et apprécia sa plastique immédiatement.

"J’ai adoré ce que j’ai vécu et ils auraient pu être cinq de plus que je ne changerais pas d’avis. J’ai … trouvé ma voie."

Sally s’approcha d’elle en se tenant le ventre des deux mains, peut-être par réflexe ou déjà par instinct maternel. Même si physiquement, elle était toujours celle qui paraissait être une guerrière, en elle, un processus inéluctable menant à la naissance d’une petite vie était en route.

"Je me sens bien. J’ai senti un infime changement en moi et je sais ce qu’il signifie. Je vais porter et chérir cette enfant qui sera une magnifique petite fille et je l’élèverai selon les préceptes d’Aphrodite."

Elle ajouta en souriant, mi-figue, mi-raisin :

"Je pense que c’est le résultat de l’union des cinq frères. Ils ont tous œuvré à ma fécondation. L’enfant aura donc un trait de chacun d’entre eux."

Sally prit les mains de la beauté, Erotica, et l’embrassa tendrement.

"J’ai très envie de visiter cette ville. Est-ce la capitale de Lust’ghaa ?"

Elle pressa sa grosse poitrine contre celle plus menue de la servante de Lust.

"En vérité, maintenant que je suis reposée, j’ai VRAIMENT très envie d’aller à la rencontre des habitants de cette ville et de les goûter un à un … avec toi."

Erotica sentait chez Sally un apaisement profond, et elle en sourit doucement. Il était difficile, si ce n’est impossible, d’établir avec précision la filiation d’Aphrodite. Elle avait plusieurs avatars, des fragments d’elle-même dont elle n’avait pas forcément conscience. C’était à ce titre que le culte avait récemment découvert que la Princesse Alice Korvander, désormais Reine, était une fille de Lust. Erotica, elle, était une fille reconnue, qui avait été portée par l’enveloppe principale de la Déesse. Elle était donc elle aussi une Déesse, qui avait établi sa résidence ici, au Royaume de Lust. Sally avait été prise par ses cinq frères, la « Main de Lust ». Erotica les connaissait, bien sûr, et elle était surprise qu’une simple humaine ait pu coucher avec les cinq. Sally savait qu’elle était enceinte, elle caressa son ventre. Cela aussi était surprenant. Tomber enceinte dès la première séance avec la Main… Les humains ayant réussi un tel exploit étaient très rares ! Sally était la première qu’Erotica voyait.

Elle lui sourit doucement quand Sally embrassa sa main, et Erotica caressa sa joue, puis l’embrassa sur les lèvres. Elle se pressa contre elle. À ce stade, il ne faisait plus aucun doute que Sally ferait d’Aphrodite la Déesse de son ordre. Néanmoins, elle avait de légitimes questions sur cette ville. Elle lui attrapa chaudement la main, et regarda la ville par la fenêtre.

« On pourrait l’appeler Aphrodisias. C’était une ville antique dédiée à la Déesse, qui a disparu suite à un tremblement de terre. Mais ce n’est pas la capitale de Lusst’ghaa, non. »

Erotica regarda Sally, et reprit ses explications :

« Certains affirment que Lusst’ghaa n’est qu’un Dieu Extérieur, et que, si on s’enfonçait profondément dans ce monde, on atteindrait le cœur de cette entité… Shub-Niggurath. Personnellement, je n’y crois pas, mais cette ville est davantage un oasis qu’autre chose. Si Aphrodisias est une capitale, c’est celle du culte de Mère, un culte qui se répand sur plusieurs dimensions. C’est pour ça qu’Aphrodisias a une architecture particulière. Cette ville est vivante, elle se nourrit de la luxure de ses habitants. Ses bâtiments changent, ses rues se modifient… Seul le Palais est en soi figé, même si les pièces du Palais changent également. Tu dois comprendre qu’ici, les règles classiques de la physique ne s’appliquent pas. »

Erotica lui sourit donc.

« On fait un tour ? »

Elles sortirent. La porte s’ouvrit sur un grand couloir élégant et haut de plafond. Les deux femmes descendirent les marches, puis rejoignirent une grande porte. Erotica sortait nue, et Sally en bikini. Elles arrivèrent à un croisement, dans des rues de style victorien, avec des pavés et des lampadaires.

« Tu dois savoir qu’à Aphrodisias, le viol n’existe pas. Dès qu’une personne veut te faire l’amour, tu ne peux pas refuser… Réciproquement, tu peux faire la même chose à qui tu veux. Sur ce, où souhaites-tu aller ? Le parc botanique, le casino ? Autre chose ? Il y a aussi un parc d’attractions… »

Autant dire qu’on avait rarement l’occasion de s’ennuyer ici !

Aphrodisias ... l'histoire de cette ville était difficile à assimiler mais Sally décida que cela ferait l'objet de recherches ultérieures. Elle sourit à Erotica qui était différente des personnes qu'elle avait rencontré jusqu'à présent. Bien sûr, elle respirait l'environnement d'Aphrodite et nul doute qu'elle était surement capable de prouesses sexuelles mais elle avait un petit côté mignon et amical qui inspirait confiance. Sally lui prit la main.

"Oui! Allons visiter la ville! Je ne sais pas trop de quoi tu parles mais on verra bien."

Elles quittèrent la pièce et sortirent du château pour s'aventurer dans les rues de la ville. Sally était aux anges et se revoyait lors de son noviciat, faire le mur du couvent pour aller flâner dans les quartiers chauds de la ville voisine. Ici, c'était bien différent de tous ce qu'elle connaissait des cultures terranes. Elle n'avait pas de points de repères, tout aussi bien architecturaux que technologiques. Les lumières des lampadaires victoriens l'émerveillèrent et elle passa cinq minutes à observer le premier qu'elles croisèrent.

"Quelle merveille! Regarde ça! Et là aussi! Viens voir vite! ..."

Il y avait tellement de choses à voir et à toucher qu'elle courait partout. Une vraie enfant ...

La population aussi était tout aussi surprenante que la ville. Il y avait des humanoïdes lui ressemblant, humains ou autres, des créatures de toutes sortes, du centaure à des bêtes vraiment étranges, de toutes les tailles et toutes les formes, mais toutes unies par la magie rose présente partout. On les héla, on les complimenta, certaines remarques les firent rirent et l'atmosphère était agréable. Partout, des couples ou des groupes plus nombreux forniquaient allégrement. Là encore, les cultures et les genres se mélangeaient sans animosité et Sally se prit à penser qu'une telle harmonie sur les terres de Mijak serait un vrai bonheur.

Sur une place de petite taille, bordée d'habitations curieusement basses, la prêtresse aperçut la carriole d'un marchand ambulant. Il s'en dégageait une odeur délicieuse et elle s'en approcha. Deux nains y vendaient des beignets qui avaient l'air savoureux. L'un les faisait frire, l'autre les paraient de friandises sucrées et les vendaient.

"Oh! J'en veux!! Mais ... je n'ai pas d'argent ..."

"Ici, on ne paye pas avec de la monnaie belle dame, il y a d'autres méthodes plus ..."

Le nain qui avait pris la parole aperçut alors Erotica. Il s'inclina bien bas.

"Dame Erotica. Votre présence nous honore. Vous voulez aussi un beignet?"

Le marchand se tourna vers Sally et défit sa braguette. Il en sortit un sexe épais et noueux et le présenta fièrement devant la prêtresse.

"Ici c'est ainsi que l'on partage, Dame ...?"

"Je suis Sally Whitemane, une ... invitée de notre déesse Aphrodite. Je découvre votre monde."

"Oh? Une personnalité de marque alors! Je suis chanceux! Ne perdons pas de temps si vous avez faim!"

Sally s'agenouilla devant le petit être et se pencha pour le prendre en bouche. Il avait l'odeur du beignet mais pas la consistance. Son sexe était dur et elle le suça avec avidité avant de s'interrompre et de se tourner vers Erotica.

"Tu n'as pas faim?"

Sally s’émerveillait devant les merveilles d’Aphrodisias. Elle se déplaçait rapidement, et Erotica la suivait. Ici, chaque rue était spéciale, et, comme pour le reste, les rues changeaient. Si les deux femmes rebroussaient chemin, elles arriveraient dans un autre quartier. La ville était loin d’être vide. Le culte de Lust existait à travers le Multivers, et Lusst’ghaa était une dimension unique. Il y avait donc du monde. Des couples s’adonnaient presque sur chaque banc, et toutes les maisons étaient accessibles. Les tenues oscillaient entre les personnes en combinaison moulante, celles qui étaient nues, ou dans des tenues affriolantes. Erotica se développait joyeusement, accompagnant Sally, tout en s’efforçant de ne pas la perdre de vue. Elles arrivèrent devant un bâtiment futuriste, proposant du sexe avec les machines. Un club futuriste et branché où une Gynoïde à l’entrée enlaça Sally, avant de l’embrasser. La jeune femme serait bien restée, mais elle rejoignit finalement une roulotte qui lui était plus familière, avec deux nains. Les nains étaient moins fréquents à Lusst’ghaa, mais Lust acceptait toutes les créatures.

En l’occurrence, Imir et Arman étaient deux frères, des nains assez joyeux venant de Terra. Le culte de Lust n’était pas forcément très répandu chez les nains (cela restait après tout un culte humain), mais ils appartenaient à un cercle religieux voué à Lust, au sein de Namdur, la plus grande cité naine de Terra. Ils étaient également de fervents pâtissiers, et mélangeaient sexe et nourriture sans hésitation. Lusst’ghaa leur offrait la possibilité de fabriquer quantité de mets succulents à base de gras, et de calories qu’il fallait vite éliminer. Sally se retrouva donc à sucer Imir, et Erotica se rapprocha lentement. Elle était naturellement nue, et sourit à l’attention des deux nains.

« C’est une invitée très spéciale, vous devez veiller à bien la nourrir, car elle porte l’enfant de la Main de Lust…
- Et beh ! C’est pas mal, ça, pour une simple invitée !
- C’est une de ces suceuses, putain… Elle pompe ma queue comme une affamée ! »

Souriant lentement, Erotica se rapprocha d’Arman, et elle posa ses mains sur ses épaules, puis le poussa contre le chariot. Surpris, celui-ci vit alors les cheveux d’Erotica se déplacer d’eux-mêmes, le déshabillant rapidement, tandis que plusieurs mèches s’étaient enroulées autour de sa verge. Si les nains étaient petits, ils étaient généralement bien équipés, leur petite taille renforçant au contraire la taille de leurs mandrins. Elle comprima la verge d’Arman contre ses cheveux, puis s’agenouilla à son tour, et vint le prendre en bouche, à côté de Sally, arrachant à Arman de délicieux et rauques soupirs de plaisir, tandis qu’il se mit à serrer ses deux mains sur sa tête…

L'expérience avec un nain était une première pour Sally. D'ordinaire, elle fricotait avec des humains ou des humanoïdes de plus grande taille. La nouveauté l'incitait à être très entreprenante et elle bouffa littéralement la queue du petit chanceux qui s'agrippa furieusement à sa tête. Petit, il l'était assurément, mais à contrario, la taille de son sexe valait vraiment le détour et Sally décida qu'elle allait devoir le teste sous toutes les coutures. Elle eut du mal à l'avaler complètement mais y parvint et sentit l'engin coulisser dans sa gorge en s'y frayant un passage. La Main de Lust y étant déjà passée, tout comme d'autres d'ailleurs, elle fit honneur à son nouveau statut et le nain put rapidement l'utiliser comme un fourre-bite incroyablement profond. L'inmon de Sally s'anima presque aussitôt et diffusa une chaleur lourde dans son bas ventre. Il allait falloir qu'elle apprenne à le contrôler, ou en tout cas, qu'elle en comprenne l'origine et l'utilité pour offrir un service optimal et digne de sa déesse. La prêtresse suçait passionnément et l'afflux de salive utilisée dégoulinait sur sa grosse poitrine indécente qui ballotait au rythme des mouvements du nain.

A leurs côtés, Erotica offrait à son partenaire une variante plus spécialisée de fellation et le nain affichait un sourire extatique, adossé à la carriole. Sally chercha les doigts de sa guide pour y mêler et les siens et s'assurer qu'elles vivent toutes les deux la même passion. L'intensité de sa prestation emmena Imir au bord de la rupture et le nain cracha une lourde charge de foutre dans la bouche de l'inquisitrice avant de se retirer et terminer de se vider sur son visage. L'éjaculation fut à la hauteur de l'attente et Sally fut inondée de sperme qui macula son expression ravie d'épaisses couches à la forte odeur. Par instinct, ou par réflexe, ou par envie aussi, ou tout simplement guidée par cette magie rose omniprésente et sa nouvelle obédience, Sally s'arracha au petit pâtissier et se rua sur Erotica, lui arrachant de la bouche le sexe qu'elle suçait. L'athlétique mijakienne fit basculer Erotica sur le dos et se lova sur elle comme une anguille pour l'embrasser follement et partager son butin crémeux. Sally était forte et joueuse et elle s'amusa à immobiliser les mains de sa compagne au dessus de sa tête pour lui titiller les lèvres de sa langue avant de l'embrasser à nouveau. Sauvage, passionnelle, intense, elle voulait tout essayer mais Arman reprit les rênes et l'interrompit en venant s'agenouiller à côté de la tête d'Erotica.

"Dame Sally! Vous avez failli m' faire crever! J'allais gicler! Maintenant, il faut m' finir!"

"Oups ... désolée ... Je ... J'apprends encore."

La prêtresse était contrite mais lui choppa la queue pour le masturber au dessus du visage d'Erotica. Lui aussi vint en quantités impressionnantes et la jolie créature de Lust fut un parfait réceptacle pour autant de semence. Sally pressa le sexe jusqu'à ce que la dernière goutte en sorte puis lécha le nez d'Erotica, puis ses joues et ses jolies lèvres. Délicieuse!! Elle allait rire de son intrépidité mais se crispa, interloquée. Alors qu'elle était agenouillée au dessus du corps de son amie, quelque chose d'énorme, d'une taille vraiment inhumaine, venait de lui perforer l'anus pour s'enfoncer loin dans ses entrailles. Elle battit des mains dans le vide, ouvrit la bouche sur "OOOHH" qui ne sortit jamais, puis s'effondra sur Erotica tandis que quelqu'un ou quelque chose se mit à pistonner son fessier. Emmanchée ainsi, elle ne parvint pas à se retourner pour voir qui lui écartelait l'anus et elle s'accrocha de toutes ses forces à Erotica en tentant de lui dire que ... que quoi? C'était trop bon.

Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Ces deux vers du célèbre poème de Baudelaire trouvaient dans le Royaume de Lust une connotation particulière. On avait toutefois tendance à y penser tandis que cette ville indescriptible baignait dans une sorte de félicité éternelle. Si tout l’extérieur du Royaume ressemblait à un rêve maudit, à un cauchemar de sexe débridé, ici, au milieu de ce chaos ambiant, il régnait un certain ordre, une joie débridée. Sous bien des aspects, le Royaume de Lust était ce qui, pour bien des mortels, s’apparentait le plus au paradis. À chaque instant qui passe, Sally le découvrait, et ce n’était là qu’un début. Imir et Arman étaient tous les deux ravis. Les deux nains appartenaient à une compagnie, et, tandis que Sally pompait Imir, celui-ci se fit la réflexion qu’il pourrait sans doute l’emmener dans l’auberge. Les nains disposaient de leur propre « quartier général », une élégante auberge hédoniste où bière et sexe coulaient à flots. Autant dire qu’à l’intérieur, le conte de Blanche-Neige et des Sept Nains prenait une tournure tout à fait différente… Imir balança dans la bouche de Sally une épaisse purée de foutre, jouissant généreusement, et celle-ci interrompit alors Erotica, la couchant sur le sol. Les deux femmes s’embrassèrent avec appétit, et Sally put sentir tout l’appétit d’Erotica. En tant que digne Déesse de Lust, Erotica aimait naturellement le goût du foutre, et, quand Sally fit jouir Arman sur son visage, Erotica soupira doucement, appréciant ça.

« Oh putain, c’est si bon, de baiser de telles salopes ! Déesse Erotica, est-ce que vous allez retourner dans notre auberge ? »

Lust avait eu bien des enfants, mais tous ne remplissaient pas la même fonction au sein du culte. Erotica, elle, appartenait à une sorte de sainte trinité sexuelle avec ses deux sœurs, Weldenela et Sluty. Il était d’ailleurs probable que Sally finisse par les rencontrer tôt ou tard. Pour l’heure, elle léchait le visage d’Erotica, qui n’eut pas le temps de leur répondre. Une créature massive se rapprocha en effet, humant l’odeur sexuelle de ce couple de belles jeunes femmes. Chiron était un puissant centaure, un mâle-Alpha qui faisait partie des défenseurs du Royaume. Il se rapprocha donc. Sally était tellement absorbée à lécher Erotica qu’elle ne le vit pas, et ne le sentit finalement que quand Chiron enfonça sa verge équine monstrueuse dans son cul. Erotica sourit. Ce n’était pas la Cavalerie de Lust, mais Chiron n’en restait pas moins un puissant amant. Un héros de la mythologie grecque, réputé pour sa très grande sagesse, qui avait formé de nombreux héros… Et déboîté de nombreux culs, à commencer par celui de la Déesse Aphrodite, et un grand nombre de nymphes et humaines.

« Hum, il me semblait que ma chère Aphrodite avait une nouvelle conquête… Laisse-moi te souhaiter la bienvenue, ma chère Sally… »

Chiron soupira en s’enfonçant dans son fondement, coulissant de plus en plus profondément en elle. Sa verge monstrueuse ne cessait de s’enfoncer, et sa main attrapa les cheveux de Sally, relevant celle-ci. Elle disparaissait entre les pattes du centaure, annonçant une nouvelle séance de sexe torride et démesurée…

Une ombre énorme s’était abattue sur elles, les enveloppant totalement. La créature qui pesait dans les reins de la prêtresse devait être absolument massive. En tout cas, la taille de ce qui lui explosait le cul le prouvait. Une voix grave et profonde indiqua à Sally que la Chose était intelligente et le premier degré de surprise passé, l’inquisitrice parvint à répondre.

"OH ! AH AH AHAAAAAHHH ! Je … te … remercie mais … Plus doucement … s’il te plait !"

"Hors de question ! Ta formation passe par l’acceptation !"

Nul doute qu’il s’agissait encore de l’une des créatures d’Aphrodite et qu’elle venait se servir du corps de Sally comme d’un épanchoir mais aussi l’initier à toutes les formes de luxure. Une main puissante la contraignit à se redresser, la forçant à abandonner le divin visage d’Erotica. Sally hoqueta, impuissante et complètement dominée. C’est là qu’elle les vit, deux pattes massives encadrant ses épaules. Elle se faisait sauter par un … animal ? Non … Pas un animal, un centaure ! Elle le comprit enfin les deux nains s’inclinèrent.

"Seigneur Chiron."

Chiron, le guerrier légendaire, brave et fidèle parmi les puissants. Ainsi donc, il servait Aphrodite ? En soi, ce ne devait pas être surprenant car la déesse attirait à elle les créatures du Bien et Chiron avait la réputation d’être juste et bon. Et là, il lui faisait l’honneur de venir s’occuper de ses fesses. C’était sans commune mesure avec ce qu’elle avait vécu jusqu’à présent. Le présent donna un coup de rein monstrueux et Sally crut que son corps allait se déchirer ! Elle hurla … de plaisir, et s’accrocha de toutes ses forces aux pattes avant du centaure. L’énorme queue équine du protecteur l’écartelait au-delà du possible. Le sphincter de la prêtresse était prêt à se rompre, à craquer, à se déchirer et son conduit rectal s’étirait dangereusement. La Bête la défonçait violemment. On atteignait les limites extrêmes de l’acceptable et c’est bien ce qu’il avait annoncé. Sally hurlait à s’arracher les poumons, elle avait l’impression d’avoir la queue de Chiron qui venait lui taper derrière la gorge, ce qui était bien le cas d’ailleurs. Le gros gland raclait sa colonne vertébrale et ce fut peut-être la première fois que l’élue d’Aphrodite pensa mourir depuis qu’elle était arrivée à Lust’ghaa. Son corps était prêt à rompre et elle ne pouvait rien y faire.

Le centaure fit quelques pas en arrière, l’emmenant avec lui, empalée sur sa queue. Sally touchait à peine le sol, de la pointe des pieds et tentait désespérément de ne pas exploser sous la pression. Ses cris alertèrent un grand nombre de citoyens qui accoururent pour assister à ce dangereux épisode de formation. Servir Aphrodite et recevoir sa bénédiction se méritait et tous savaient que Chiron était un obstacle particulièrement difficile à passer. Seuls les plus croyants et destinés à atteindre les strates supérieures du culte de Lust passaient par Chiron et malheureusement, les échecs se soldaient par le renvoi des candidats, généralement irrécupérables. Aussi, c’est avec intérêt que tous s’agglutinèrent autour des participants et des paris furent lancés.

Cependant, d’autres en profitèrent. En l’état les comparses de nos deux nains, attirés eux aussi par les cris, étaient sortis de leur auberge et les avaient rejoints. Au nombre de huit, ils vinrent se frotter, nus, à Erotica, et très vite, l’un d’eux lui baisait la bouche avec ardeur. Les nains étant des travailleurs assidus et performants, ils trouvèrent la meilleure des positions pour combler la demie-déesse par tous ses orifices, et même doublement car alors qu’elle recevait une double pénétration dynamique, l’un des petits êtres parvint à se glisser lui aussi dans sa chatte trempée, cumulant au nombre de trois les queues emplissant sa chatte et ses fesses. On lui gicla dans la bouche et un autre nain prit la place du premier, pompant dans un mélange de sperme et de salive. Ses seins furent sollicités aussi, englobant le membre dur de celui qui s’était assis sur son ventre. Elle en branlait encore et dès qu’elle recevait une éjaculation, quelqu’un prenait aussitôt la relève.

Chiron était en rut. Il claquait des sabots, exprimant ainsi toute son excitation. Broyer une femelle pareille était un plaisir rare. Aphrodite avait fait le bon choix. Sally cessa de crier petit à petit, avant que sa tête ne s’affaisse. S’il elle n’était pas morte, alors elle était évanouie. Mais non, il n’en était rien, elle se concentrait. Elle avait trouvé la force d’accepter cette contrainte terrible et déchirante et son esprit cherchait dans l’adoration de Lust la force de continuer. L’inmon de son ventre parut exploser. Une lumière rose aveuglante inonda l’espace d’une puissante magie rose. Le rire de Sally l’accompagna, franc et éclatant. Elle riait tant qu’elle pouvait, martelée, sodomisée comme jamais. Son corps s’adapta à l’immense appendice la perforant et elle en demanda plus, plus encore. Chiron rua et se déchaina, détruisant l’humaine jusqu’à ce qu’il gicle. Le ventre de la prêtresse se gonfla et quand elle ne put physiquement plus accepter ce qu’il déversait en elle, la pression la projeta à terre. Elle avait l’anus béant, grand ouvert, démesurément dilaté et remplit de foutre. Le grand centaure continuait à jouir et elle se retourna sur le dos pour lui offrir son visage et sa poitrine qu’il inonda.

La population applaudit, préférant cette issue là à l’autre et les parieurs échangèrent leurs gages. Maintenant c’était au tour d’Erotica de s’amuser plus encore et certains spectateurs se dévêtirent pour rejoindre l’orgie de la demie déesse.

La puissante verge de Chiron avait effectivement quelque chose de monstrueux. S’en prendre une dans le cul avait de quoi vous sonner pour le compte, et l’estomac de Sally ne tarda pas à se déformer, comme si tout son corps était tiraillé par l’épaisseur surréaliste de ce membre. La verge de Chiron continuait à glisser, à s’enfoncer, millimètre par millimètre, déformant à chaque coup les fesses de Sally, écartelant son cul sans ménagement. Chiron grognait et soufflait, tout en se déplaçant, soulevant ses pattes avant pour frapper le sol avec, afin de se motiver. S’il ne pouvait voir Sally, sa main se déplaça, et attrapa les cheveux de la femme. Il tirait dessus en se déplaçant, soulevant ainsi son corps, l’empêchant de frotter sur le sol. Chiron rejoignit ainsi une agréable place avec une fontaine. Au milieu de la fontaine, une statue de la Déesse Aphrodite, nue, libérait depuis son sexe une eau pure et très agréable, d’où des volutes roses s’en échappaient. La fontaine était déjà remplie d’amants qui se faisaient l’amour, de femmes chevauchant leurs partenaires, ou se faisant besogner. L’auberge des nains était proche, et on pouvait entendre des chansons médiévales s’échapper des fenêtres. Les hurlements de Sally ne tardèrent pas à attirer des badauds, ainsi que le public de la « Fontaine de Jouissance ».

« Hey ! Regardez ! Chiron en baise une autre !
- Il va l’emmener… À l’écurie, hum ? »

Chiron était assez connu ici. Comme quand la Cavalerie de Lust venait, il était un centaure puissant et apprécié, connu pour sa vigueur et son endurance. S’il n’appartenait pas à proprement parler au culte de Lust, Chiron aimait souvent s’y rendre. Sa propre femme, Chariclo, était une nymphe, et toutes les nymphes aimaient la compagnie d’Aphrodite. Chiron soupirait en continuant à besogner furieusement Sally. Rien n’était épargné à la jeune femme, et il la besogna ainsi pendant une demi-heure, avant de finalement jouir puissamment en elle. Un orgasme surréaliste et intense. Sa queue monstrueuse cracha d’épais filaments de sperme, remplissant le ventre de Sally au point de donner l’impression qu’elle était sur le point d’accoucher, puis en jouissant encore sur elle. Chiron cracha plusieurs litres de foutre, formant une épaisse flaque blanche d’où Sally peinait à émerger.

Ainsi soulagé, le centaure s’écarta lentement, et sourit à Sally.

« Pas mal, ma jolie. »

Il s’écarta ensuite. Sally gisait sur le sol, et elle resta ici pendant un certain temps avant que ses sens ne reviennent.

« Hey ! Toi ! Viens par ici, allez ! »

La femme qui l’appelait était dans la Fontaine, et elle se faisait prendre par l’arrière. Celle qui l’appelait s’appelait Emily, et elle était très belle. Elle se faisait prendre par un homme musclé et nu, et était en compagnie de son amie, Violette. Les deux filles appelaient Sally en lui jetant sur la figure l’eau aphrodisiaque de la Fontaine…

Cette fois, l'épreuve, bien qu'elle soit un succès, fut difficile à gérer. L'instant d'extase passé et le corps encore secoué de spasmes et de frissons, Sally peina à reprendre ses esprits. Elle ressentait encore en elle les mouvements de la queue monstrueuse et son anus restait grand ouvert, béant à la vue de tous les spectateurs. Une épaisse masse blanchâtre s'en écoulait lentement et complétait la mare de foutre dans laquelle la prêtresse baignait. Malgré toute sa volonté et ses capacités à se dépasser et à vouloir bien faire, Sally avait sévèrement morflé. Le centaure aurait pu la tuer, la transpercer, la déchirer de l'intérieur mais elle avait tenu, au prix d'efforts surhumains.

L’ascension de Sally dans la hiérarchie du culte d'Aphrodite demandait une implication totale. Jamais la prêtresse ne s'était autant donnée en une telle succession de dépravations. D'habitude, c'est elle qui épuisait ses partenaires et qui les poussaient au delà de leur limites. Là, c'est elle qui était mise à l'épreuve et le test d'Aphrodite relevait de l'abnégation. Du plaisir, Sally Whitemane en avait consommé à en mourir. Mais là, cela avait été extrêmement dur, et un peu vexant car elle pensait pouvoir tout affronter, et toujours se relever.

Sally s'assit, son corps tout endolori malgré la présence de magie rose dans son organisme. Sa peau dégoulinait de sperme, elle en était recouverte. Même ses beaux cheveux en étaient imprégnés. La femme se moucha entre ses doigts, dégageant de ses narines la semence chevaline de Chiron.

"Tu m'as éprouvé beau mâle, bien plus que ce à quoi je pensais pouvoir résister. Nous nous reverrons une fois que je serais plus … formée."

Sous des applaudissements des spectateurs, Sally se releva et chercha des yeux Erotica. La jolie créature de Lust vivait une joyeuse orgie. Les nains qui la baisaient prouvaient que leur légendaire endurance était avérée. L'un après l'autre, ils la prenaient par tous ses orifices, y entrant à plusieurs et s'esclaffant quand ils se retrouvaient à trois dans ses fesses. Tous avaient déjà joui, en elle, sur sa peau, couvrant son fin visage. L'un des nains n’arrivait pas à se sortir de sa bouche et lui baisait le visage comme un lapin.

Sally rit.

"Allez ! Laissez là un peu ! Vous ne la laissez même pas parler !"

Gentiment elle les écarta pour s'agenouiller au dessus d'Erotica et lui lécha le visage.

"Et bien, on dirait que c'est toi qui est testée !"

A ce moment-là, on l'interpella. Sally remarqua deux très jolies humaines en compagnie d'un bel homme. Ils batifolaient dans une fontaine et l'une des filles se faisait lourdement pénétrée en levrette, l'homme verrouillé à ses hanches.

"L'eau est bonne ?"

"Elle est à température idéale, et bénie par la déesse elle-même."

Sally prit Erotica par la main et l'y tira, enjambant la margelle pour s'immerger à demi. Aussitôt une impression de chaleur bienfaisante l'envahit et tous ses petits tiraillements disparurent. Elle se sentit infiniment reposée et caressa son corps pour en retirer l’épaisse couche de semence qui se dilua dans l'eau.

"Bienvenue à Aphrodisias. Je m'appelle Violette, et voici Emily et Abel. J'ai beaucoup aimé ta prestation avec Chiron. Moi il me fait trop peur pour m'y essayer mais un jour, j'en serai capable !"

"Oui … ça demande beaucoup d'efforts en effet."

L'anus de Sally palpitait alors qu'il retrouvait son élasticité initiale sous l'effet de la magie de Lust. La lueur de l''inmon de la prêtresse s'était atténuée mais le glyphe restait imprimé sur la peau du ventre de Sally. Autour d'eux, la foule se dispersait tranquillement même si quelques couples restaient enlacés à gauche à droite.

"Je peux m'occuper de toi ?"

"Bien sûr !"

Sally posa ses fesses sur la margelle de la fontaine et écarta les cuisses face à Violette. Avec un doux sourire, l'humaine aux cheveux roses s'agenouilla et vint poser un baiser sur la vulve offerte. Deux coups de langues après, elle pinçait le clitoris entre ses lèvres, le tirait et le triturait avant de le dorloter à nouveau. Sally avait fermé les yeux et profitait. Après ces derniers déchaînements sexuels, il était bon de se faire cajoler ainsi.

"Mmmmmmh ! Oui comme ça, encore !"

Mais à Aphrodisias, la douceur cédait souvent à la lubricité et avant même que Sally ne le réalise, Violette insérait sa main menue dans son vagin.

"OOOOOOHHHH !"

La prêtresse hoqueta en ouvrant les yeux. Violette arborait toujours le même sourire ravissant mais avait poussé son avant-bras jusqu'au coude dans le vagin de sa nouvelle conquête.

"AAAaahhh !"

Emily et Violette étaient deux humaines ordinaires, originaires de la Terre. Elles se faisaient prendre en compagnie d’un bel homme à la peau d’ébène, Abel, qui s’enfonçait avec appétit dans le cul d’Emily. Des deux femmes, Emily était celle qui avait initié Violette à Lusst’ghaa. Elles étaient originaires d’une université privée ultracatholique des États-Unis, où Emily officiait à la tête d’une sororité dédiée au culte de Lust. Emily était la fille d’un sénateur américain, un homme qui faisait partie d’une ligne rigoriste du parti républicain, proche des mouvements catholiques. Une habile couverture qui lui permettait de corrompre de jeunes vierges et quantité de nonnes. Emily était l’une de ses filles, et elle avait naturellement été éduquée à bonne école. Violette faisait partie de ses amies privilégiées, quelqu’un qu’elle initiait au sexe depuis des années. À l’occasion de vacances, la sororité d’Emily avait utilisé un rituel pour générer un Portail vers Lusst’ghaa. Ici, où le temps était différent, se dilatant comme le corps se dilatait sous l’effet du sexe, elles passaient un moment incroyable ici.

Violette se jeta naturellement sur Sally, qui eut droit à un premier fist. Néanmoins, la main de Violette ne s’enfonçait pas assez profondément, alors elle retourna rapidement Sally.

« Je me demande qui tu es dehors… Si tu savais le nombre de saintes-nitouches qu’il y a ici… Comme moi, hihi ♥ Mes parents pensent que moi et ma sororité, on est à un séjour de méditation dans les Rocheuses. Moi, il y a un truc que j’adore, c’est m’enfoncer dans des jolis culs de salope comme le tien ♥ ! »

Tout en parlant, Violette gifla encore les fesses de Sally. Néanmoins, avant de passer au fisting, un autre homme les rejoignit, et s’allongea contre Sally, afin qu’elle s’empale sur sa verge. Beau comme un jeune Apollon, Micha embrassa Sally, et s’enfonça dans sa chatte.

« Magnifique… »

Micha, lui, était le fils d’un oligarque russe, qui était, lui aussi, voué à Lusst’ghaa. L’oligarque avait quitté la Russie depuis le conflit russo-ukrainien, et avait rejoint sa villa à Nice, le long de la Côte d’Azur, en compagnie de nombreuses amantes qui étaient autant de fidèles pour aller à Lusst’ghaa. Micha était son légitime héritier, et accomplissait ici le stage qui devait le confirmer comme héritier. Il devait juste s’épanouir ici, et embrassa Sally, tandis que, dans son dos, Violette commença à enfoncer sa main dans son cul. Elle serra le poing, et commença ainsi à s’enfoncer. Le corps de Sally se crispa, elle s’écrasa contre le torse de Micha, avant de sentir la main s’enfoncer, puis tout l’avant-bras. Gloussant joyeusement, Micha s’enfonçait sur plus de quarante centimètres.

« Han, un vrai cul de traînée ! »

Violette était particulièrement volubile et très joyeuse. Elle parlait vite sans prendre le temps de respirer et son babillage était délicieux.

"Sainte Nitouche? Je ne sais pas ce que cela signifie. Je suis une prêtresse et Première Inquisitrice de mon Ordre, et l'appel de Lust est celui auquel je réponds maintenant. Les conséquences de la guerre m'ont amené ici et je me forme pour devenir plus puissante, pour la plus grande gloire d'Aphrodite."

Les propos de l'une et de l'autre étaient décalés mais dans ce monde étrange, qu'est-ce qui ne l'était pas? Elle venaient d'environnements et de cultures différentes mais se retrouvaient à Lust'ghaa pour les mêmes raisons qui unissaient tous les disciples de la déesse de la luxure. Violette aurait pu être un parfait petit ange mais sous ses airs adorables se cachait une salope redoutable. C'est le sourire aux lèvres qu'elle avait pris possession de la chatte de la prêtresse et qu'elle y avait enfoncer son avant-bras. Mais comme elle l'avait dit, cela ne suffisait pas, il lui en fallait plus. Elle fut brièvement interrompue par un beau jeune homme qui les rejoignit. Ooohh ! Typiquement le genre d'homme que Sally adorait croquer. Il avait tout pour lui et resplendissait par sa beauté parfaite. Son sexe était un aimant à femmes et Sally ne prit que quelques secondes pour enfourcher le garçon et s'empaler sur lui. Elle se cambra aussitôt, les yeux écarquillés. Elle l'avait sous-estimé et le gros membre qui l'envahissait tapait loin, très loin en elle.

"Tu ... tu es beau comme un dieu!"

Elle écrasa ses lèvres contre les siennes pour un baiser fougueux et leurs dents s'entrechoquèrent. Sally gémit et fourra ensuite le visage du garçon entre ses grosses mamelles. Elle le baisait dans un rodéo endiablé, son bassin prit d'une houle irrésistible. Lui, elle voulait qu'il gicle en elle. Elle avait besoin de sentir son sperme chaud lui remplir le ventre! Sally était forte. Outre ses qualités cléricales, elle était aussi une guerrière redoutable sur les champs de bataille et brandir un bouclier et lever une masse l'avait taillé pour le combat. Elle saisit le beau Micha par les épaules et le plaqua pour pouvoir en profiter comme elle le voulait.

"Quand j'en aurais fini avec toi. Tu pourras me faire ce que tu veux."

Sally Whitemane frémit alors qu'elle terminait sa phrase. Cette petite salope de Violette venait de lui prendre le cul. Sans ménagement, la gamine la fista jusqu'à trouver son propre bonheur et poussa même le vice à saisir la queue de Misha pour la branler à travers les fines muqueuses de Sally. Elle rit de son petit tour de force.

"J'adore cet endroit!!!!! Il n'y a pas de limites ici!!"

"Non en effet il n'y en a pas!"

Chiron les dominaient de sa masse et attrapa la gamine par les cheveux pour la tirer à quatre pattes sous lui.

"Tu as l'air portée sur l'anal alors laisse moi te montrer ce que ça signifie vraiment."

Et tout comme elle l'avait fait avec Sally, Violette subit un ouragan sexuel qui la fit hurler jusqu'à l'extinction de voix. Le centaure fut dur dans l'apprentissage qu'il donna à la petite et lui explosa l'anus. Emily se garda bien de tout commentaires pour éviter une telle destruction. Elle n'était pas prête pour ça aussi elle attira Erotica à elle pour l'embrasser tandis qu'Abel lui ramonait toujours le fion. Elle chuchota:

"Viens par là, il me fait un peu peur."

De son côté, Sally fut un peu frustrée d'avoir son rectum libéré aussi vite mais la queue de Micha était une véritable merveille et elle la molesta dans son ventre en espérant qu'il y giclerait en quantité.

Sally était bien occupée avec Micha, qui la prenait désormais en étant seul avec elle. La fontaine de luxure se remplissait bien, l’eau se mélangeant aux fluides sexuels. Le liquide qui sortait de la fontaine était ainsi une eau spéciale, prenant une teinte rose… Une eau aphrodisiaque qui stimulait les émotions, le désir, et renforçait l’excitation sexuelle. Sally était en train de succomber à tout cela, et Misha était effectivement un bon amant. De manière générale, ceux qui rejoignaient Lusst’ghaa, et qui parvenaient à survivre à l’environnement ambiant, n’avait pas à avoir honte de leurs performances. Il embrassait donc Sally, tout en souriant quand elle indiqua vouloir être une Prêtresse d’Aphrodite. Il posa ses mains sur ses fesses, la soulevant. Les jambes de Sally s’enroulèrent autour de sa taille, et il la plaqua contre la fontaine, retournant l’embrasser.

« Tu es vraiment… Très bonne ! »

La poésie n’était plus vraiment à l’ordre du jour, Micha poursuivait son office. Il malmenait les fesses de Sally, mais sans pouvoir la sodomiser. Fort heureusement, on pouvait compter sur Erotica. Tout le monde savait qu’elle était l’une des filles de Lust, alors, tandis que Chiron avait rejoint la fontaine, et s’enfonçait dans le cul de Violette en la faisant hurler à s’en casser la voix, Erotica alla aider celle-ci. Après un baiser, elle l’amena surtout à lécher sa chatte. Sa cyprine divine était un aphrodisiaque très puissant, alors, après quelques coups de langue, Erotica déploya sa verge, l’enfonçant dans la bouche de sa partenaire. Elle se mit à remuer en elle.

« Fais-moi jouir, petite salope, mon nectar t’aidera à supporter la verge de Chiron…

Ainsi relevée, Erotica pouvait embrasser Chiron, caressant ses solides pectoraux. Même au sein des centaures, Chiron était une force de la nature, un véritable général qui maniait sa verge pour le sexe, mais qui se battait aussi pour la défense de Lusst’ghaa. Erotica se retourna alors, et donna ses ordres. Abel, qui était occupé à sodomiser Emily, relâcha finalement celle-ci, et se rapprocha de Sally. Le grand homme baraqué à la peau d’ébène se glissa derrière elle, et s’enfonça dans son cul. Le hurlement de joie et de douleur que Sally se mit à pousser régala Erotica, mais frustra Emily. Il n’y avait plus personne pour s’occuper de ses fesses ! Erotica la laissa donc se rapprocher d’elle, et elle partagea un baiser avec elle, tout en pressant son cul.

« Maîtresse, ce n’est pas gentil de me laisser démunie…
- Va au NeonSex, la Main de la Déesse s’y trouve… Dis que tu viens de ma part, Le Maître s’occupera de toi en personne. »

Cette phrase faillit bien déclencher un orgasme chez Emily. Violette la rejoindrait ensuite… Mais, pour l’heure, Chiron était longuement perdu en elle. Plus de quarante centimètres de sa verge s’enfonçaient dans son cul étroit, la plaçant dans un état second.

Du stupre à volonté, voilà le programme ici !

Sally poussa un râle de bonheur quand le grand mâle sombre vint s'engouffrer en elle. Il le fit d'un bref coup sec alors que les reins de la prêtresse étaient totalement disponibles. Les multiples pénétrations anales qu'elle avait subie depuis son arrivée à Lust'ghaa l'avait complètement initiées à cette pratique qu'elle adorait déjà bien avant. Sentir un homme jouir dans ses fesses était un plaisir qu'elle appréciait particulièrement quand elle organisait ses petits ébats intimes au sein de la résidence de l'Ordre à Terra. Mais ici, dans le domaine très spécial d'Aphrodite, le sens de la sodomie prenait une toute nouvelle dimension que Sally n'aurait jamais cru possible. La taille de ce qu'elle avait déjà accepté en elle dépassait les limites du possible.

Du coin de l’œil, elle observa Chiron exploser Violette. Le grand centaure sentit le regard de la femme posé sur lui et en retour, la fixa intensément. Sally lui sourit de toutes ses dents, coincées entre les deux hommes qui la bourraient sans ménagement. Nul doute que le centaure aurait rapidement de ses nouvelles. Des queues pareilles n'existaient pas à Terra, du moins chez les partenaires de la prêtresse, aussi il fallait qu'elle en profite un maximum tant qu'elle le pouvait.

Cependant, Abel et Micha ne déméritaient pas. Leur soif de sexe et de luxure, décuplée par les eaux magiques de la fontaine, les rendaient aussi fougueux que des bêtes. Abel, particulièrement, avait capté le regard de Sally vers le centaure et voulait montrer que lui aussi pouvait la combler. Il la saisit par les cheveux, affermit sa prise, lui tira la tête en arrière et se lança dans une furieuse défonce du rectum de l'humaine. Cambrée, Sally cria de surprise et Micha en profita pour lui claquer ses gros seins qui ballotaient devant son nez. Il pressa la poitrine massive entre ses mains et cracha dans le sillon créé. Abel rit de cette petite crasse ; à eux deux ils allaient être suffisamment pervers pour rappeler à Sally que les humains pouvaient valoir n'importe quelle créature. La longue verge de l'homme pilonnait le fessier de la représentante de l'Ordre Écarlate et bâti comme il l'était, il n'avait aucune peine à la maitriser.

Sally n'avait d'ailleurs aucune envie de se débattre ni d'échapper à sa condition. L’accession au statut de prêtresse de Lust nécessitait une formation qu'elle prenait à coeur et à cul. De plus, la salope qu'elle avait toujours été trouvait dans cette ville le nirvana de sa sexualité dépravée. Réussissant dans un sursaut à s'extraire de ces deux queues poisseuses elle réussit à se surélever légèrement pour guider le sexe de Micha aux côtés de celui d'Abel. Son anus s'écarta pour laisser passer la double anale voulue et elle afficha un visage de chienne comblée.

"HAAaaannn ... Que j'adore ça! Plus fort les garçons! Baisez moi comme une trainée!"

Ils ne se firent pas prier et redoublèrent d'efforts. Sally planta ses ongles dans le torse de Micha qui cria, surpris. Le garçon hésita un instant mais devant l'expression de Sally, compris ce qu'elle voulait. Il lui colla une gifle retentissante et elle eut aussitôt un orgasme explosif. Elle trembla violemment, sécrétant des nectars des plaisirs qui vinrent s'ajouter à ceux du bassin. Adepte de certaines douleurs, elle aimait être utilisée et excitée par des jeux sadiques. Quand Abel se pencha sur elle, outre le fait de s'enfoncer au plus profond de son cul, il passa l'avant bras autour du cou de la femme et le serra dans le creux de son coude. Les yeux de Sally se révulsèrent de bonheur et un second orgasme la dévasta, provoquant aussi ceux des garçons qui lui remplirent le cul. Encore une fois, autour d'eux, une foule de curieux les applaudit. Certains, emballés, baisaient au bord de la fontaine, en couple ou à plusieurs, et Sally eut juste le temps de voir Emily entrainée par un garçon au delà de la place. Erotica avait prononcé le nom de NeonSex et Sally ignorait totalement de quoi il s'agissait. En tout cas, Emily semblait aux anges.

Abel et Micha la repoussèrent pour se relever et Sally bascula dans l'eau rosâtre. Un flot de sperme se déversa de son anus béant, flottant en petits paquets compacts à la surface du bassin. Mais encore une fois, l'effet de la magie rose agit vite et Sally (et son corps) se régénérèrent très vite. A ses côtés, Chiron terminait de se vider dans Violette qui se faisait aussi prendre la bouche par Erotica. Sally sortit de la fontaine en faisant un coucou à son amie et regarda autour d'elle. Elle capta des regards envieux, son corps était un appel à la baise; mais il lui fallait continuer sa formation. Elle passa derrière le centaure et glissa un bras entre ses énorme cuissots pour caresser ses bourses massives. Il eut un sursaut et lui caressa la tête.

"Je ne peux pas te sauter encore une fois Sally Whitemane. Mes devoirs envers ma déesse m’appellent mais je te retrouverai. En attendant, suis Erotica, elle est la guide parfaite pour ce que tu recherches."

Sans aucune forme de considération, il recula et son membre géant sortit des fesses de Violette avec un bruit étrange et il s'en alla, remercié par beaucoup pour sa démonstration. Violette allait devoir se ressourcer et une fois qu'Erotica lui eut gicler dans le gosier, quelqu'un la tira dans la fontaine où elle s'endormit presque aussitôt dans les bras de Micha.

Sally s'étira.

"Mmmmhh, j'adore cet endroit! Où allons nous maintenant?"

Après cette intense séance avec Chiron, les nains, et les amantes, Sally était prête à reprendre la suite de sa marche. Erotica attrapa sa main, et lui sourit. Elle observa son pubis, et vit un délicieux inmon qui brillait sur place. Elle le caressa du bout des doigts.

« Ton inmon est réveillé, Sally. Je peux te guider à l’Acropole et au Parthénon. »

La tenant par la main, Erotica la conduisit donc vers ce qui était, non pas le Palais de Lust, mais son plus grand sanctuaire. Le Parthénon était le nom donné au temple principal de Lust ici. C’était le siège de son culte, un temple antique massif qui se dressait sur une acropole surplombant la ville. Erotica et Sally s’y rendirent, et, en voyant l’immense temple, Sally put voir des statues massives qui l’entouraient, représentant des femmes nues, ou des hommes virils.

« C’est le temple des Prêtresses d’Aphrodite. La Déesse y a sa place, bien sûr. Chaque fois qu’un novice devient un Prêtre, c’est ici qu’il est intronisé. »

L’aura qui se dégageait du Parthénon était assez étouffante. L’inmon de Sally brillait, et, sans ce dernier, elle aurait surement dû s’arrêter sur les marches pour se masturber, comme d’autres le faisaient. Chacune des statues entourant le temple était un autel de luxure. D’une manière ou d’une autre, quand Lust avait fondé le Royaume ici, elle avait fait du Parthénon l’un des piliers centraux. En ce sens, ce sanctuaire était bien plus important que le Palais. Erotica franchit la barrière, et le duo rentra dans un grand hall. Une verrière magique s’illuminait au plafond. De l’encens flottait dans l’air, et le sexe était naturellement omniprésent. Sally put voir des Anges qui faisaient l’amour. Sally put ainsi voir Isidora, une Ange de la Luxure, qui chevauchait une femme, tandis qu’une autre la sodomisait avec passion, deux femmes très musclées, deux belles Orcs assoiffées de sexe. Ailleurs, Valentine, une Ange, faisait l’amour à une femme en la prenant en levrette. Une autre femme, belle et aristocrate, Livie, se faisait prendre par un solide chien, qui la besognait avec fureur.

Une jeune femme se rapprocha alors de Sally, et l’embrassa chaudement sur les lèvres.

« Bienvenue, Sally. J’avais hâte de te voir… »

C’était une magnifique blonde, qui s’écarta un peu. Répondant au doux nom de Daphnée, elle était l’une des Prêtresses de Lust, et lui sourit donc délicieusement, avant de l’inviter à s’allonger sur des couches rouges au sol. Il y avait un vase argenté au sol, d’où Daphnée attrapa une grappe de raisins, et en mangea un. Elle sourit encore à sa partenaire, allongée face à elle.

« Es-tu heureuse de ton séjour au Royaume de Lust, dis-moi ? »

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La Cathédrale de L'Aurore [Pv. Aphrodite]

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