The Multiversity

Thibault prêta à peine attention au carillon tant il se démenait avec Adamante. Sa furie sexuelle n'avait d'égale que sa passion pour la magicienne et il prenait dans cette saillie furieuse le droit de s'épancher pleinement de tout ce désir qui lui submergeait le coeur. Oh qu'il l'aimait passionnément et oh, qu'il lui montrait de manière si physique. Leurs bassins se heurtaient et Thibault plongeait aussi loin que possible dans sa Belle. Son gland pressait au fond contre le col serré de l'utérus et s'il forçait un peu plus, il pourrait envahir cette cavité intime, propice à l'enfantement mais aussi à des plaisirs fous.

Le garçon sentit à peine les lèvres de la reine quitter les siennes et quand Elena s'éloigna, il martela de plus belle Adamante, la tassant dans le fond du sofa. Les jambes de la mélisi se relevaient et s'abaissaient au rythme des coups de reins de Thibault et l'impression générale donnait sur la sauvagerie plutôt que sur la passion retenue. Le nobliau lui pétrissait les seins et maintenant qu'Elena n'était plus là, il fit usage des lèvres d'Adamante comme étant siennes. Il était plié sur elle et ne faiblissait pas, voulant absolument jouir en elle tout en lui arrachant un orgasme qui ferait sa fierté.

OoOoOoOoO

Le Grand-Duc Arnaud de Maizière ne s'attendait pas à ce que la reine de Lumen lui ouvre elle-même.

"Ma..."

Ses salutations s'éteignirent avant même de sortir de sa gorge et il dut s'y reprendre à deux fois avant d'annoncer l'objet de sa visite. Elena était une femme d'une grande beauté. Elle avait hérité de la légendaire lignée des Ivory et ne présentait aucun défaut physique. Elle ne jouait jamais de ses charmes à la Cour ni lors des réceptions diplomatiques. Elle était la reine d'une puissante contrée et se comportait comme telle. Pourtant, beaucoup fantasmait en secret sur son corps et dans les coulisses de la Cour, il se disait des choses assez peu reluisantes à son sujet. Arnaud prenait bien soin de faire taire les indiscrets et ne commentait jamais ces commérages mais à cet instant, alors qu'Elena se produisait dans cette tenue si suggestive, toute une flopée de rappels graveleux lui revint en mémoire. Certains nobles hostiles à la reine l'appelait "la pute de Lumen", d'autres la parait de qualificatifs de catins de bas étage, et quelques rares se targuaient même de l'avoir baisé sur le trône de son père.

Le sourire d'Elena valait tous les accueils du monde et il ne put que la suivre quand elle l'invita à le faire. Il posa son regard sur ses courbes fabuleuses et fut tenté de penser qu'au lit, elle devait être délicieuse à entreprendre. Son cœur palpitait plus fort que la normale quand ils débouchèrent sur une pièce secrète. Deux orifices dans le mur lui permirent de voir ce qui se passait de l'autre côté. Arnaud ne produisit pas un son quand il vit la scène pornographique intégrant son fils et la magicienne. Il aurait dû entrer dans une colère noire mais au contraire, ressentit une certaine fierté de découvrir son rejeton si entreprenant. Adamante semblait prendre une sacrée tronchée et même s'il appréciait moyennement la mélisi, il devait bien avouer qu'elle égalait sa reine sur tous les points.

Voici donc la raison pour laquelle Thibault s'agaçait quand il parlait de mariage ... Le garçon avait déjà choisi sa muse et fait l'effort de se faire connaitre à elle. Apparemment c'était réussit et de Maizière accepta que son fils ait pu prendre une initiative aussi majeure. Certes, cela n'allait pas dans le sens des plans du paternel car une alliance maritale avec la famille des Boisdargent rapporterait plus grande fortune encore mais considérer l'une des plus grande magicienne terrane comme sa belle-fille avait aussi des avantages, même si encore une fois, il s'en méfiait un peu.

"Je comprends à présent ... Ce petit vaurien m'a doublé au jeu du père et du fils ... C'est un vrai de Maizière!"

Le Grand-Duc posa son regard sur Elena.

"Et vous avez encouragé cela sans m'en parlé. Vous êtes ... une vilaine fille ..."

Il hésita un court instant mais se décida quand Thibault arracha un cri à Adamante.

"Je crois qu'il va me falloir punir cet écart Majesté."

Le Grand-Duc bandait sous ses atours. Si ce qu'on disait sur Elena était donc vrai, alors il allait l'enculer à sec et se vider dans sa gorge en la tenant par les cheveux.

Face à la question du Grand-Duc, Elena fit quelques précisions :

« Je l’ai découvert aujourd’hui, Grand-Duc. Adamante avait des soupçons, qu’elle a confirmés aujourd’hui en confrontant votre fils, qui passait du temps à la suivre. C’est comme ça qu’elle a compris, puis qu’elle m’en a parlé. J’avais prévu de vous en parler lors de notre prochaine entrevue. Adamante est une magicienne, elle ne souhaite pas se marier, et elle sait aussi que les Mélisains sont déjà mal vus. »

Les autres familles nobles de Lumen n’avaient pas pardonné à Mélisi d’avoir conservé pendant des années sur leur territoire la jeune Reine Elena Ivory. Beaucoup avaient considéré que les Mélisains cherchaient à étendre leur influence et à s’emparer de la Couronne. Gortash avait sans aucun doute escompté jouer là-dessus pour que les De Maizière renoncent à leur soutien envers Elena. Ce plan était bon, mais c’était mal connaître Elena ou Adamante. La jeune Reine s’agenouilla devant Arnaud, et commença à déboutonner son pantalon. Il pouvait voir le spectacle de son fils en train de besogner Adamante, un spectacle qui ne manquait pas d’exciter son père.

Elena s’agenouilla devant lui, et lécha son sexe. Elle vit sa queue durcir. C’était la première fois qu’elle couchait avec le Grand-Duc. Elle le connaissait depuis toujours, car il faisait partie des personnes qui venaient la voir quand elle séjournait au monastère de Saint-Antoine. Il s’enquérait de son état, lui donnait des livres, s’assurait qu’elle retenait ses leçons.

« Vous savez, Grand-Duc, vous êtes ce qui se rapproche le plus d’un père pour moi. Je me souviens de vos leçons, de vos enseignements, vous avez toujours pris soin de moi. Alors, sans doute suis-je une vilaine fille… Qui a besoin que son père la corrige, la punisse… »

La petite Elena avait assurément bien grandi. Elle faisait preuve d’une maîtrise de soi en matière sexuelle qui avait de quoi détoner. Tout en parlant, elle léchait et embrassait la queue d’Arnaud.

« Mais laissez-moi vous montrer que je sais être une bonne fille, et que je peux vous faire du bien… Voyez cela comme un avant-goût avant de les rejoindre. »

Elena sourit encore, et prit alors le membre d’Arnaud de Maizière en bouche, et commença une exquise fellation…

Le Grand-Duc n'avait à ce moment là pas l'assurance qu'il pouvait déployer quand il s'adressait aux nobles de la Cour lors des conseils royaux. Sa verve, son charisme et sa prestance impressionnaient beaucoup et peu s'opposaient à lui, surtout lors de séances publiques. Arnaud de Maizière avait pour lui une expérience oratoire inégalable. Et quand son regard froid se posait sur l'assistance, on pouvait entendre les mouches voler. Il avait toujours été un soutien fidèle de la reine et partageait avec elle une histoire fondée sur la confiance et sur la loyauté. Car Arnaud était fidèle à la couronne de Lumen. La perte de Liam avait été pur lui une tragédie et il s'était juré de protéger la fille de son roi et ami. Cela étant, tout n'avait pas été simple et il n'approuvait pas certains choix de la reine, et il se méfiait lui aussi des Mélisi même si il fallait le reconnaitre, eux, avaient protégé Elena comme peu d'autres ne l'auraient fait.

Il avait suivi l'évolution de la reine, il l'avait vu grandir, s'affirmer comme souveraine et comme femme. Il avait aussi écouté les ragots à son sujet mais les avait balayé, ne s'intéressant pas à ses commérages médiocres. Cependant, il s'était toujours assuré que les rumeurs s'oublie et que leurs auteurs soient punis. En cela, il était intransigeant. Personne ne tâchait la réputation d'Elena et de sa couronne.

La petite fille n'était plus ...

L'homme respira lourdement quand sa pupille s'agenouilla devant lui. Il la regarda faire, elle ne tremblait pas, et souriait même, de ce sourire pétillant qui réjouissait les assemblées. Il se crispa au premier coup de langue, exhala au second, puis se crispa à nouveau quand un baiser fut déposé sur sa hampe.

"Ma...majesté ..."

Une goutte sous pression jaillit de son gland et fut aussitôt happée par une bouche gourmande. Arnaud se retint et faillit libérer un jet d'urine, rapidement renvoyé à ses origines. Le noble chercha quelque chose pour s'agripper et ne trouva que la tête de la reine. Il s'y accrocha et donna des hanches, incapable de résister à une fellation aussi passionnée.

"Pas ... si fort ..."

C'était presque une supplique. Il n'était plus tout jeune et voulait tenir encore un peu. Si la surprise était de taille, elle serait peut être unique alors comme elle et lui y prenaient du plaisir, autant essayer de le faire durer un peu. Le Grand-Duc gardait de sa fougueuse jeunesse un attribut assez volumineux. Elena devait travailler l'élasticité de ses lèvres si elle voulait s'assurer du contrôle complet de la chose. A ce stade, elle pouvait gober le gland plus une partie du sexe érigé mais pas la totalité. Arnaud mit quelques courtes minutes à se reprendre et surtout, à se reconditionner. Quand il y parvint, il retira son sexe de la bouche de la reine et guida le joli visage à ses couilles, pour l'y enfouir. Sa queue reposait en travers, suintant dans les cheveux d'Elena. D'une main à présent ferme, il la guidait pour qu'elle se régale de ses grosses rondeurs, pouvant même, du bout de la langue, titiller un accès réservé.

OoOoOoOoO

Dans l'autre pièce, c'était une toute autre histoire. Thibault était jeune, en pleine forme, et entrainé par la magie rose qui lui permettait une endurance increvable. Il avait fait du corps d'Adamante son terrain de jeu, la baisant comme une chienne et ne lui laissant pas le temps d'en placer une. Plusieurs fois, au moment où elle allait dire quelque chose, il l'avait devancé en l'embrassant goulument , ou il l'avait martelé plus durement pour ne lui arracher que des gémissements.

Il changea de position aussi, la basculant sur le côté pour la baiser sans perdre de vue son beau visage, puis la positionna à quatre pattes sur le sofa. Il grimpa dessus et l'embrocha à nouveau pour sortir brièvement puis replonger dans son petit cul. Cela grippa un peu sur les bords mais son poids fit le reste et il se perdit dans une sodomie d'anthologie. Son bassin claquait contre les fesses d'Adamante et le garçon se déchaina, porté par cette magie si particulière.

"Han! Han! Han! Vos ... vos fesses ... trop bonnes!"

Il se pencha sur elle et l’enveloppa de ses bras pour prendre ses seins qu'il serra. Il l'embrassa dans le cou, mordilla aussi, mais toujours, ramonait comme un malade, trop avide de la faire jouir, trop avide de se perdre dans ces plaisirs coupables.

Oui, Elena avait grandi… Et il fallait que le Grand-Duc le réalise. Et qu’il réalise aussi que son fils aussi ! Elena sentait sa verge durcir, et Arnaud soupira, réclamant qu’elle y aille plus doucement. Elle sourit doucement, et déposa un nouveau baiser sur sa queue.

« Pardon, la fougue de la jeunesse… »

Elle reprit ensuite son office. Arnaud de Maizières ne pouvait pas lutter, c’était la Reine, c’était sa raison d’être, et il ne pouvait pas nier que cela faisait du bien. En aucune manière, Elena ne souhaitait créer une crise diplomatique, elle désirait au contraire apaiser les choses, et empêcher une dispute familiale entre Arnaud et son fils. Le Grand-Duc devait comprendre que Thibault avait sa fougue, sa hargne, et qu’il était désormais un jeune homme capable de s’intéresser au sexe.

Elena le suçait donc, et ralentit le rythme, ne voulant pas perturber son amant. Arnaud était un homme expérimenté, certes, mais il fallait le manier. Elle s’appliquait donc, et le sentit se redresser. Quand il empoigna ses cheveux, et plaqua son visage contre la base de son sexe, Elena frissonna.

« Ah, cher duc, vous voilà… Bien pervers, hihi ♥ ! » gloussa Elena.

La jeune Reine avait bien grandi, le sexe ne l’effrayait plus, bien au contraire. Elle avait accepté et endossé sa féminité, et, ce faisant, Elena avait gagné une confiance en soi phénoménale. Sans cela, jamais l’ancienne Elena n’aurait osé se montrer aussi tactile envers le Duc ! Et elle s’amusait, elle le provoquait, elle le titillait, léchant ses testicules, les embrassant, sa langue glissant sur ses poils pubiens. Elena reniflait l’odeur de ce sexe, cette odeur forte et enivrante. Ses mains se posèrent alors sur les fesses du duc, et, prenant son risque, Elena malaxa le cul du duc, puis glissa un doigt dans son fondement, curieuse de voir comment cela allait le faire réagir.

En relevant la tête, Arnaud pourrait voir toute la fougue de son fils, son endurance incroyable. La fougue de la jeunesse, tout simplement !

Le Grand-Duc frissonna sous les attentions de sa reine. Il se contracta même un peu quand elle s'aventura dans une zone réservée, du bout de la langue d'abord, puis ensuite avec les doigts. Sa propre épouse ne faisait jamais cela, leur relation étant plutôt stricte d'un point de vue sexuel. Une fois par mois, si il en avait le temps, Arnaud s'acquittait du devoir conjugal et une fois ce point fait, il l'oubliait pour se concentrer sur ses activités en tant que personnage de premier plan de Lumen.
Là, il venait de franchir un pas dans l'obligation de ses devoirs envers la Couronne. Cette situation risquait de lui compliquer la tâche pour les temps à venir mais la contrepartie était édifiante. Abandonnant la scène de son fils sodomisant la magicienne, il baissa le regard sur Elena. Elle savourait ses couilles pleines et rebondies et semblait s'enivrer de son odeur virile. Il la prit fermement par les cheveux et replongea dans sa bouche alors qu'elle l'enveloppait de ses bras, titillant son anus. L'homme grogna quand son gland pressa contre la luette d'Elena, obstruant l'accès à sa gorge. Elle était joueuse aussi lui aussi suivit son humeur. Il lui pinça légèrement les narines et resta ainsi, provoquant non pas un étouffement mais une contrainte respiratoire. Il ne relâchait la pression que de quelques millimètres quand les joues d'Elena rosissaient pour qu'un filet d'air l'alimente en oxygène. C'était un jeu d'adulte mais c'est elle qui avait initié ce qui ce déroulait.

Arnaud de Maizière était un homme fort et son caractère repris vite le dessus. Apparemment, cette pièce avait déjà vu passer du monde et devait servir régulièrement de point d'observation car certains objets dédiés aux plaisirs étaient posés sur le plateau d'une commode. L'homme sourit en constatant que l'exposition de cet étalage de "jouets" n'était surement pas anodine. Il tendit la main pour saisir une cordelette solide, mais fine et douce au toucher. Ne laissant d'autre choix à Elena que de le suivre dans son idée, il ramena les bras de la reine dans son dos et lui lia les poignets. Se penchant sur elle pour cela, le mouvement ne fit qu'enfoncer sa queue dans la gorge accueillante et il s'y ficha le temps qu'il ajuste le nœud. Les lèvres verrouillées à la base de son sexe lui faisait l'impression d'être pompé par une sangsue. Pour la forme, quand il eut fini, il lui baisa la bouche assez rudement avant de s'en retirer.

"Elena ... vous ... tu ... es une petite cochonne, et je vais te traiter comme telle."

Il la releva et l'installa sur un canapé, couchée sur le dos, la tête pendant dans le vide, rejetée en arrière. L'homme fléchit des jambes et écrasa ses couilles sur son visage et s'y frotta, juste avant de la bifler sur les joues. Quelle adorable vision que cette jeune reine attachée et disponible!

La position était contraignante pour elle, c'était certain, mais Arnaud se pencha pour crocheter ses doigts dans son vagin en même temps qu'il lui prenait à nouveau la bouche. Les premières minutes de surprise étant passées, il ne fit pas de manières ni ne perdit de temps en précautions. Ses coups de reins s'écrasaient contre le visage royal et son gland pointait, bien visible, sous la peau fine de la gorge d'Elena.

Il lui baisait la bouche, la doigtait furieusement et quand elle se contorsionna, cela ne fit que l'exciter plus encore. Il redoubla d'ardeur et quand il ne put plus tenir, il gicla furieusement et en grandes quantités directement dans le ventre de la reine. L'homme se retira et essuya sa queue contre le visage d'Elena qui était aussi mignon souillé que propre et présentable.

A cet instant, il aurait pu présenté des excuses pour son audace mais il ne le fit pas. Il n'avait pas fini. Revenant à son envie première, il la retourna de manière à ce qu'elle lui présente son cul. Il s'allongea sur elle et guida sa queue jusqu'à ses fesses pour s'y introduire sans réelle douceur. Il lui avait écarté les cuisses, posé une jambe sur son épaule, fermement maintenu l'autre sur le canapé, et toujours la maintenait les poignets liés. C'était un fantasme que de la contrôler, un simple jeu, une idée de l'esprit, car personne ne contrôlait Elena de Lumen. Elle proposait un moment de détente et il y répondait tout simplement. Ainsi donc, Arnaud de Maizière sodomisait la souveraine de son royaume.

OoOoOoOoO

Le fils du Grand-Duc était dans le même état d'esprit mais lui, totalement dominé par le pouvoir de la magie rose. Il enculait Adamante sans coups férir, son bassin rebondissant sur les fesses de la magicienne à chaque coup de reins. Le garçon avait perdu en raison rationnelle et ne vivait l'instant présent que pour posséder la femme de son cœur. Il était encore maladroit dans cette pratique particulière qu'était la sodomie mais la magie rose comblait ses défauts. Plusieurs fois de suite, il se vida dans les boyaux de la belle mélisi, l'emplissant d'une épaisse semence riche en capacité de reproduction. Ce n'était pas le bon orifice pour cela mais Thibault s'en moquait, l'objectif étant de la baiser le plus longtemps et le plus possible.

Elena ne s’était pas vraiment attendue à ce que le Grand-Duc vienne en personne. Elle avait toutefois su bien réagir. La magie rose était puissante ce soir, Adamante l’avait utilisé pour rendre Thibault beaucoup plus efficace. Arnaud n’y fut pas insensible, et confirma que, au fond, il désirait lui aussi la jeune Reine. Elle aurait pu s’en formaliser, mais cela aurait été très hypocrite de sa part. Elle l’avait fait basculer, et elle savait que, plus le temps passerait, et plus il allait se laisser aller. Arnaud était un ami de son père, quelqu’un qui était là le jour où la reine Nöly avait accouché d’Elena. La situation était donc curieuse, mais non moins excitante. Et, plus le temps passait, plus elle léchait son sexe, et plus Arnaud laissa ses émotions parler. Comme il le constata, cette pièce était aménagée en baisodrome. Adamante s’amusait initialement à y attacher Elena, et à la regarder faire l’amour avec ses invités. Elena finissait en sueur, et, quand Adamante revenait la voir, elle la baisait très fort, car Elena était alors très frustrée. La pièce comprenait donc les jouets qu’Adamante utilisait parfois sur Elena avant de la laisser, stimulant ses pulsions voyeuristes et fétichistes.

Arnaud attrapa rapidement une corde, puis se pencha vers Elena. Elle gémit tout en se laissant faire, et le sentit lier ses mains dans son dos, tandis que sa queue durcissait encore en tapant dans le fond de sa bouche, s’enfonçant dans sa gorge. Elena poussa des couinements étouffés, avant qu’il ne se retire. Il la déplaça ensuite, et la coucha sur le canapé, tout en commentant sa perversion. Cela ne put que faire sourire Elena, qui s’étala sur le dos.

« Et moi, je vois d’où vient la perversion de Thibault, hihi… Ne ressentez-vous aucune honte à baiser ainsi votre Reine, Messire ? »

Le Grand-Duc répondit en enfonçant de nouveau sa queue dans la bouche d’Elena. Il se pencha ensuite vers elle, et la masturba. Elena gémit encore en se tortillant sur place. Elle le laissa faire, mouillant contre ses doigts. Elle soupirait, et le sentit alors jouir en elle. D’épaisses quantités crémeuses fusèrent dans sa gorge, et Elena frémit, tremblant d’excitation. Arnaud se retira d’elle, et finit en giclant sur son visage. Il aurait pu s’arrêter là, effectivement, mais la magie rose était toujours là, et Elena vit ses prunelles prendre provisoirement une lueur rosâtre. Sa verge, ramollie, se durcit à nouveau, et il la retourna alors.

« Me-Messire, haaaaa… »

Elle le sentit lui écarter les cuisses, puis il enfonça sans ménagement sa verge dans son cul. Elena hurla, et cela, Adamante put l’entendre. La magicienne en sourit, et attendit que Thibault éjacule encore dans son fondement pour inverser les rôles. Elle le coucha au sol, lui sourit, et s’empala sur lui. Elle se mit à remuer, de haut en bas, soupirant doucement, tout en regardant l’ouverture par laquelle Elena et Arnaud auraient pu les observer. Impossible d’y voir quoi que ce soit en temps normal, mais Adamante utilisa un sort pour amplifier sa vision, et put ainsi voir le canapé. Elle sourit alors en voyant Arnaud besogner furieusement le cul d’Elena, puis regarda Thibault, dont les mains pétrissaient ses fesses.

*Ils doivent vraiment aimer ça, dans cette famille…*

Adamante remuait sur place, attendant avec impatience le moment où père et fils allaient pouvoir se réconcilier… Elle eut alors une idée, et se pencha vers Thibault.

« Tu-Tu veux savoir un truc, Thibault ? Si Elena ne revient pas… »

Elle se pencha encore, et murmura dans le creux de son oreille.

« Ton père est en train de lui défoncer le cul dans la pièce à côté… »

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