The Multiversity

La réunion entre Karen et Henri et Hartley avait clairement dégénéré, dérapé, et le reste de la journée irait dans ce sens. C’était indéniable, et, dans un certain sens, logique. Helena avait déjà démontré à maintes reprises à Karen qu’elle était capable de perturber profondément tous ses plans. Elle venait d’ailleurs encore de le démontrer, en souhaitant bel et bien changer Hartley aujourd’hui. Karen s’adapta donc, et embrassa Henri, lui promettant de passer du temps avec elle, car Helena n’avait désormais d’yeux que pour Hartley. Tout juste se contenta-elle de faire jouir le bel homme à la peau d’ébène, tandis que Karen se chargea du reste.

Karen n’avait pas de penderie dans son bureau, et le petit groupe allait donc se rendre dans sa villa, à proximité du bâtiment. Karen se rhabilla donc, et contacta Ruriko. Sa fidèle assistante allait les aider, et fut rapidement mise au courant de la situation. Elle acquiesça en écoutant les instructions de sa patronne et Maîtresse…
Une heure après…

Henri s’abandonna en elle, jouissant dans la chatte de Karen, qui se laissa aussi aller. Ils étaient nus l’un contre l’autre, à l’exception des gants et des collants noirs en latex que Karen portait. Elle serra ses cheveux en l’embrassant, le laissant encore jouir en elle. L’homme noir faisait désormais partie de ses concubins, de ses hommes qui venaient régulièrement lui faire l’amour à plusieurs, tant Karen était une femme gourmande et énergique.

« Là, Henri, ouiii… »

De son côté, Helena était à proximité. Ruriko les avait suivis afin d’aider Helena à préparer Hartley. Helena avait abandonné sa catsuit, et enfilé sa tenue d’Huntress. Partageant plusieurs baisers avec Ruriko, elle avait pu voir que celle-ci était vraiment polyvalente, et que Karen l’utilisait aussi bien pour les performances sexuelles que pour le travail. Hartley se retrouva dans une salle d’essayage, nu, et Ruriko commença par l’épiler, par le raser, tout en interdisant à Helena de venir. C’était la surprise de Ruriko. Elle mit ensuite du rouge à lèvres sur Hartley, continua à le coiffer, puis l’habilla ensuite, tout en le parfumant, et en le nettoyant bien proprement. Elle le fit jouir à plusieurs reprises, le masturbant tendrement, et nettoyait ensuite proprement son sperme.

Ruriko le prépara donc, et sortit ensuite de la cabine d’essayage. Huntress attendait, visiblement impatiente. Ruriko aurait pu la laisser faire, bien sûr, mais Hartley était un employé, et Ruriko était une fan d’Huntress. Ce qu’elle lui offrait était comme un magnifique cadeau. Elle l’embrassa sur les lèvres, un sourire sur ses lèvres.

« J’espère que son look va te plaire… »

Hartley arriva ensuite. Le jeune homme portait de longs gants roses pastels en dentelle, un bouquet de fleurs, des collants roses pastels, des bottes d’un rose plus marqué, et une belle robe rose fendue sur le côté. Hartley se rapprocha lentement, et s’agenouilla devant Helena, tendant le bouquet vers elle.

« Là, Maîtresse… C’est un cadeau pour vous… »

Helena avait décidé de consacrer la suite de sa journée à Hartley, pour voir s’il faisait un bon trap. Le groupe se rendit à la villa de Karen, là où se trouvaient les vêtements pour Hartley, et sur demande de la patronne, Ruriko était venue les rejoindre pour aider Hartley à se préparer pour sa nouvelle maîtresse. Cette dernière dut attendre dans une autre pièce le temps que la transformation se fasse, et en avait profité pour changer de tenue. Sa catsuit était là pour signifier sa soumission envers Karen, mais maintenant qu’elle devenait la maîtresse, elle alla enfiler son costume d’Huntress. Et pour passer le temps, elle alternait entre ses fantasmes de ce qu’elle allait pouvoir faire avec Hartley et la vue excitante de sa chérie en train de s’envoyer en l’air avec Henri. Apparemment, l’homme n’avait pas encore eu son compte, et sa patronne avait décidé de s’occuper de lui comme elle savait si bien le faire. Ils baisaient énergiquement, la kryptonienne accompagnaient les mouvements de l’homme tout en caressant son corps si bien bâti.

« Hhhmmm... »

Alors qu’Helena se léchait les babines devant cette jolie vue, Ruriko finit par revenir, en compagnie d’Hartley. L’homme était méconnaissable.

« Ooohhh ! »

La jeune femme ne pouvait contenir sa joie. Son joli trap portait une belle robe rose fendue au niveau de sa jambe gauche, de longs gants et des collants roses pastels. Il était rasé, coiffé, maquillé et parfumé, pour que l’illusion soit parfaite. Il s’agenouilla devant elle en lui tendant un bouquet de fleurs, qu’elle prit avec plaisir avant de renifler leur doux parfum.

« Oh, Hartley-chan... tu es splendide. Une vraie beauté. »

Helena le prit par les mains, le fit relever, et l’enlaça. Tout chez lui était adorable, elle était déjà sous le charme. Mais pas question de s’en tenir aux compliments, elle voulait aussi lui faire explorer sa sexualité de trap. Elle colla son front contre le sien et posa ses mains sur ses hanches.

« Je dois dire que c’est assez incroyable. Une fois bien préparé, personne ne soupçonnerait que tu es un homme. »

La jeune femme lui lécha le nez tandis que ses mains glissaient lentement de ses hanches pour aller peloter son cul.

« Hhhmmm... des petites fesses bien fermes. C’est comme ça que je les aime. »

Elle lui donna une fessée et il laissa échapper un couinement presque féminin. Excitée par ce couinement, elle lui mordilla une oreille avant d’y murmurer.

« Si en plus tu couines comme une femme... je ne vais pas pouvoir me retenir. »

Helena, émoustillée par l’allure d’Hartley, voulut voir jusqu’à quel point il était féminisé.

« A partir de maintenant, je vais te traiter comme une femme. Tu ne réponds plus qu’au nom de Hartley-chan, et tout le monde ici doit utiliser des pronoms féminins pour te parler. Même toi, tu dois parler de toi au féminin. C’est compris ?
Maintenant... enlève ta robe. Je veux voir quelle lingerie Ruriko a choisi pour toi. »

Le trap obéit à sa maîtresse, et cette dernière saliva encore plus en la voyant en sous-vêtements. Ruriko avait choisi un soutien-gorge et une petite culotte simples mais attirants, toujours en rose pour s’accorder avec le reste de sa tenue. La culotte était légèrement échancrée, laissant voir juste ce qu'il fallait les rondeurs des fesses du trap. La jeune femme lui tourna autour en l’observant sous toutes les coutures, lui palpa encore les fesses, puis se remit face à elle.

« Suis moi. »

Helena prit Hartley-chan par la main et alla s’asseoir dans un fauteuil avec la demoiselle sur ses genoux. Sa main se posa sur son entrejambe, qui formait déjà une bosses sous sa culotte, et elle la caressa doucement.

« Maintenant je veux que tu me parles un peu... de tes expériences. Quand as-tu commencé à vouloir t’habiller en femme ? Est-ce que tu as déjà fait l’amour comme ça ? Et si oui, avec des femmes seulement ou aussi des hommes ? »

Elle chuchota sa dernière question dans son oreille.

« Est-ce que tu aimes les grosses bites ? »

Karen savait très bien comment sa Helena fonctionnait. Très soumise, elle redevenait très dominante face à des hommes efféminés. Karen s’était souvent demandée si cela n’était pas lié à sa relation avec son père, Bruce Wayne, un homme fort et autoritaire… Ou lié à sa mère, Selina Kyle, une femme dominatrice qui aimait jouer avec les hommes. Mais le fait est que, face à des traps, Helena devenait dominatrice. Elle abandonna donc sa catsuit, et, quand Hartley la vit, il soupira doucement. Il n’était pas un fan de super-héros, et ne connaissait donc pas Huntress, mais trouvait cette tenue très réussie. La croix blanche l’interpellait, mais il ressentait déjà ses pulsions fétichistes le saisir. Pour lui, tout était encore un peu confus. Les spores aphrodisiaques de Karen continuaient encore à affluer dans son esprit, et il se redressa donc, laissant Helena l’inspecter. Ruriko l’avait très bien habillé, coiffée, et maquillé. Visiblement, elles étaient habituées à ce genre de choses. Confus, Hartley n’en était pas moins excité, et, quand Helena palpa son corps, il sentit son érection le saisir encore.

« Maî-Maîtresse, haaaa… » couina le jeune Hartley.

Il se déshabilla, ôtant sa robe. Le jeune homme, ou, plutôt, la jeune femme, avait des sous-vêtements roses assez amples. Sa culotte dissimulait encore sa verge, mais elle était déformée, une belle bosse apparaissant. Helena invita Hartley à s’asseoir sur ses genoux. Ils n’étaient pas dans la chambre de Karen, mais dans le grand salon de la villa de Karen. Hartley avait entendu des rumeurs sur cet endroit, mais elles étaient bien en-deçà de la vérité. La villa toute entière semblait n’être qu’un immense baisodrome où Karen couchait avec des employés triés et sélectionnés soigneusement !

Obtempérant silencieusement, Hartley regarda encore sa Maîtresse, avec une légère frange sur son visage. Quand les doigts d’Helena écartèrent ses cheveux, elle put constater l’absence totale de poils sur son visage, de délicieuses fossettes… Il déglutit doucement, sa verge gonflant sous les doigts d’Helena, et soupira donc, avant de lui répondre, rougissant légèrement :

« Je… J’ai été élevé dans une famille… Avec une mère et… Cinq sœurs. J’ai une sœur-jumelle, et je lui ressemblais beaucoup quand nous étions petits. J’avais pris l’habitude de m’habiller comme une fille, car on me donnait les vêtements de mes grandes-sœurs. Je… Haaa… J’ai dû m’habituer à porter un pantalon, à m’habiller comme un homme, mais… J’ai toujours aimé me rhabiller en fille, je le faisais les week-ends avec mes sœurs… »

D’heureux souvenirs d’enfance, visiblement. La queue d’Hartley continuait à gonfler à ce souvenir, et il se pinça les lèvres.

« Je… J’ai fait l’amour comme ça, oui… À quelques occasions. Je… Je suis bien plus heureuse comme ça, Maîtresse… Quand on me traite comme une fille, quand on me baise comme une fille… Si nous n’étions pas au Japon, j’aurai sans doute fait une opération pour… Pour devenir pleinement une fille. »

Mais, au Japon, le sexisme était encore très ancré dans les mentalités, et Hartley était intelligent. Suffisamment pour chercher à être muté dans des pays plus conciliants, comme les États-Unis. Mais, qui sait ?

« Je… Oui… J’ai déjà été sodomisée en… En tant que fille, haaaa… J’adore ça… Mais ça n’a jamais été plus qu’un jeu de rôle ponctuel… »

Hartley soupira une nouvelle fois. Sa queue était délicieusement prisonnière des doigts de sa Maîtresse, et ce contact était très agréable.

« Que… Que me réservez-vous, Maî-Maîtresse ? » soupira-t-il encore.

Sa curiosité semblait bien naturelle !

Pour Helena, dominer un trap n’était pas juste une question de force physique. Il fallait aussi en imposer par son caractère, et encourager son soumis à accepter sa polarité féminine. C’était ce qu’elle mettait en place avec Hartley-chan en lui demandant de lui parler de ses premières expériences de travesti. Il lui raconta qu’il était né dans une famille très féminine, avec une mère et cinq sœurs. L’une de ses sœurs était sa jumelle, et ils se ressemblaient tellement qu’il avait pris l’habitude de récupérer les vêtements de ses sœurs et de les mettre. Il lui parla aussi de ses rapports sexuels en tant que fille, comme quoi il aimait beaucoup se faire traiter et baiser comme une femme. Il envisageait même de subir une opération, mais craignait d’être rejeté par la société.

« Tu n’as pas tort. Ce pays est loin d’être très ouvert à la différence. »

Helena pensa tout de suite au programme de thérapie génique que menait Karen en secret dans les entrailles du bâtiment, mais si Hartley n’en parlait, c’était qu’il ne devait pas être au courant. La jeune femme décida de garder le silence pour l’instant, et se lécha les babines en l’écoutant parler de sodomie. Il avait déjà goûté à ce plaisir, donc le prendre à nouveau par le cul ne devrait pas le gêner plus que ça. Et justement, le petit trap s’interrogeait sur ce qui l’attendait maintenant qu’Huntress était aux commandes.

« Ce qui t’attend ? Oh ma belle... »

Helena serra son sexe masculin entre ses doigts.

« ... demande toi plutôt ce que je ne vais pas te faire. »

La maîtresse embrassa sa soumise, fourrant sa langue dans sa bouche. Sa main passa sous sa culotte, et elle attrapa sa verge si dure pour la branler vigoureusement. Son autre main se posa à l’arrière de son crâne pour qu’elle garde bien sa bouche collée contre la sienne et que sa langue aille aussi profondément que possible dans sa bouche.

« Hhhmmm... »

Elle continua jusqu’à ce qu’elle sente la crème du trap jaillir, éclaboussant ses doigts et sa culotte. Quand elle rompit le baiser, son amante haletait et ses joues étaient toutes rouges. Elle ôta sa main de sa culotte et porta ses doigts à sa bouche pour qu’elle les nettoie.

« Ça, c’était la mise en bouche. Maintenant, on passe aux choses sérieuses. »

Elle fit signe à Ruriko.

« Ruriko, va me chercher un gode-ceinture s’il-te-plaît. Je te laisse choisir la taille. »

Huntress caressa les cheveux et le visage d’Hartley-chan avec son autre main, glissant ses doigts le long de sa douce chevelure et de sa peau lisse.

« Je vais commencer par voir comment tu t’en sors quand tu dois flatter un sexe masculin. Et si tu te débrouilles bien avec le gode... peut-être que je te donnerai un vrai sexe après. »

La secrétaire revint rapidement avec le jouet que lui avait demandé Helena. Il s’agissait d’un gode-ceinture en plastique rose, d’une taille généreuse sans être aberrante, mais ce n’était pas un gode-ceinture ordinaire. Il s’agissait d’une des créations coquines de Karen, un sextoy bourré de technologie kryptonienne qui transmettait des sensations en direct à celle qui le portait. En clair, la jeune femme allait ressentir autant de plaisir avec ce jouet qu’avec un vrai pénis.

Helena enfila le gode-ceinture, régla les sangles et le présenta ensuite à Hartley-chan.

« Alors petite cochonne... par quel trou veux-tu être défoncée en premier ? »

Hartley tremblait nerveusement sur la place. Dans un coin de sa tête, il craignait encore que tout cela ne soit une caméra cachée, mais, fondamentalement… Rien n’était dû au hasard, et cela faisait plusieurs semaines, si ce n’est des mois, qu’Hartley travaillait d’arrache-pied, dans le but d’être muté ici. Outre les conditions de travail exceptionnels, un salaire très élevé, et la possibilité de vivre dans une maison où l’employeur prenait tout en charge, Hartley avait aussi entendu parler de toutes les rumeurs sur Starr Island. Comptable de son état, il avait mené des études comptabilité sur l’île, et avait constaté que plusieurs départements de l’île n’apparaissaient pas dans les registres de comptabilité où ils devaient normalement apparaître. Oh, il ne soupçonnait pas sa patronne de faire de la fraude fiscale, mais de développer plusieurs registres de comptabilité, et d’avoir une comptabilité classifiée, ne transmettant que les résultats, mais pas les comptes d’exploitation. Hartley savait que Starr-sama était une grande mécène, qu’elle dépendait une bonne partie de sa fortune personnelle, et entretenait notamment une fondation internationale. Mais il soupçonnait aussi les rumeurs d’être vraies… Les rumeurs sur la perversion de sa patronne, sur des programmes expérimentaux de thérapie génique visant à féminiser les hommes, ou à masculiniser les femmes. Des programmes confidentiels, bien sûr, mais l’idée le tentait… Celle de pouvoir enfin vivre une vie de femme. C’était effectivement très difficile au Japon, pays encore très conservateur, pays où l’homosexualité était encore très mal vu, car se heurtant au conservatisme nippon sur les valeurs maritales, le mariage hétérosexuel, et la fondation d’une famille.

Plutôt que d’aller aux États-Unis, Hartley avait plutôt envisagé l’Europe, la France, celle-ci étant réputée pour être bien plus libre sur cette question. Puis, quand il avait appris que Starr-sama affichait publiquement son homosexualité, il avait préféré envisager de se rapprocher d’elle. La puissante femme d’affaires n’était pas une figure médiatique, mais elle n’hésitait pas à dire ce qu’elle pensait. Hartley était donc devant la femme de sa patronne, et commençait déjà à fortement l’apprécier. Une belle érection traversa le corps d’Hartley quand Helena-sama indiqua qu’elle allait le prendre bien fort, et demanda à Ruriko un strap-on.

Ruriko sourit doucement, et acquiesça, puis se déplaça. Tandis qu’elle allait chercher quelque chose, Hartley sentait sa queue la démanger encore, et se pinça les lèvres. Hartley venait pourtant de jouir entre les doigts experts de sa Maîtresse, mais sentit sa queue se redresser. Sans hésitation, elle lécha les doigts de sa Maîtresse, mordillant ses gants violets, et nettoya proprement avec sa langue chaque doigt, déposant ensuite des baisers sur chacun de ses doigts.

« Oh, Maîtresse… » souffla Hartley.

Il avait envie de l’interroger sur les profondeurs de l’île, sur les laboratoires secrets, mais avait surtout autre chose à dire :

« Je… J’ai toujours eu envie de rencontrer quelqu’un comme vous, Maîtresse… Avec mes sœurs, je faisais tout ce qu’elles m’ordonnaient, elles aimaient bien m’embêter, m’humilier, mais moi… J’adorais ça, leur obéir, les nettoyer. C’est elles… Elles qui s’amusaient de me voir en érection, de titiller mon sexe… »

Hartley avait, semble-t-il, évolué dans un milieu vaguement incestueux, même si, à la maturité, la famille s’était progressivement écartée. Mais Hartley avait été éduqué pour obéir aux femmes, et tout cela restait profondément ancré en lui.

Elle déglutit encore, avant que Ruriko ne revienne, et ne tende à Helena un strap-on très spécial. Véritable keiretsu, l’entreprise de Karen s’était spécialisée dans plusieurs domaines très variés, y compris le domaine sexuel. Ce strap-on était l’un de ses outils expérimentaux de pointe, et, quand Helena l’enfila, elle allait vite comprendre pourquoi. La verge rose se mit alors à pulser doucement, sous les yeux surpris d’Hartley, qui était agenouillée devant sa Maîtresse.

Ruriko gloussa alors.

« Ce strap-on a été conçu avec une matière très particulière… C’est du slime. »

Le gode présentait une taille modulable, mais pouvait aussi avoir des excroissances. Tandis qu’Hartley approchait son visage, et déposait plusieurs baisers sur ce gode, il sentit la texture de cette dernière durcir un peu, gonfler légèrement… Et, sous l’excitation, Helena put sentir une excroissance pousser vers l’arrière, une seconde verge qui s’enfonçait en elle. Ce sex toy avait été conçu en laboratoire, quand Helena avait reçu la visite d’une Slime, Mélona, et avait recueilli un peu de sa matière pour la reproduire et la synthétiser. Elle était incapable de concevoir une véritable Slime, mais avait pu concevoir des jouets de ce genre.

Hartley lécha et embrassa cette verge artificielle, sentant le corps de sa Maîtresse se crisper sur place, et releva les yeux vers elle.

« Je… C’est à vous de décider par où me prendre, Maîtresse, mais… Recevoir cette verge dans mon cul, ce… Ce serait un grand ho-Honneur… »

Hartley bafouillait encore un peu, mais sentait en tout cas sa verge l’élancer à nouveau furieusement.

Helena avait bien compris qu’elle n’avait pas un gode-ceinture ordinaire autour de la taille, mais ce qu’elle prenait pour du plastique rose était en fait du slime. Quand Hartley commença à déposer des baisers dessus, elle le vit se durcir et gonfler, et elle sentit une excroissance pousser vers l’arrière pour aller s’enfoncer dans sa chatte.

« Hhhmmm... »

Helena avait demandé à Hartley de choisir par où il se ferait prendre en premier, mais quand elle sentit ses baisers et ses léchouilles sur son gode, elle changea d’avis.

« Oohh... Hartley-chan... tu l’auras dans le cul évidemment... mais pas tout de suite. D’abord... je veux goûter à ta bouche. »

Elle caressa les lèvres de son trap avec son jouet.

« Lèche mon sexe... rends-le bien dur... et ensuite... tu le suceras. »

Helena regarda avec plaisir la façon dont Hartley embrassa et lécha son sexe en slime, et elle le savoura encore plus quand ce dernier commença à grossir, tout comme l’excroissance qui grandissait dans sa chatte. En à peine quelques minutes, les caresses linguales de son amant érigèrent complètement la verge rose de la jeune femme, et elle pouvait sentir la verge intérieure lui écarter les parois vaginales.

« Ooouuuiii... maintenant suce... petite cochonne. »

Huntress posa ses deux mains sur la tête de son petit trap et le laissa commencer la fellation à son rythme. Elle sentit sa délicieuse bouche entourer son sexe en slime, qui lui transmettait fidèlement les sensations. Cette création de sa chérie était vraiment incroyable. Elle pourrait même la préférer à un sexe d’hermaphrodite grâce à l’excroissance qui lui remplissait le minou.

« Hhhmmm... oui mon beau. Attends... »

Helena interrompit le travail d’Hartley pour pouvoir changer de position. Elle alla s’installer dans un fauteuil pour que son soumis puisse la pomper tout en relevant son joli petit cul. La maîtresse fit ensuite signe à Ruriko.

« Ruriko... hhhmmm... prépare-moi le cul... de cette petite traînée. »

Elle posa une main sur la tête du trap pour lui caresser les cheveux.

« Une petite traînée... avec une jolie bouche... de suceuse. »

Hartley avait déjà sucé des verges. Quand il se travestissait en femme, il aimait faire l’amour comme une femme, et laissait sa polarité féminine s’exprimer. Ayant grandi dans une famille presque exclusivement féminine, Hartley en avait adopté les comportements et les réactions. Il avait déjà sucé des hommes agressifs, des amants brutaux et autoritaires, mais rien de comparable avec Helena-san. Il se pressait contre elle, et lécha sa verge artificielle. Il eut l’impression de lécher une espèce de glace caoutchouteuse qui se durcit rapidement, devenant plus étanche. Le contact était bien plus lisse qu’une verge humaine, très différent. Il avait entendu parler des produits sexuels expérimentaux développés par Starr Industries, et il était ravi de constater qu’ils étaient à la hauteur de leur réputation. La verge durcissait et gonflait doucement, puis, quand Helena-san demanda à Hartley de la sucer, le jeune trap’ obtempéra.

Ouvrant la bouche, il avala ce membre, et sentit les mains d’Hartley se crisper sur ses cheveux, son corps filant d’avant en arrière. Sa verge artificielle tapa contre sa bouche, et Helena continua à le laisser faire, caressant et tirant sur ses cheveux.

« Hmmm… ! »

Hartley couinait doucement, et papillonna des yeux. Helena finit par se déplacer, et s’assit sur un fauteuil, tandis que, dans son corps, les vibromasseurs internes poussaient, s’enfonçant simultanément dans sa chatte et dans son fondement. Hartley la rejoignit à quatre pattes, et retourna la sucer, pompant son dard. Il sentait la verge devenir plus épaisse, tout en restant très lisse. Il n’avait aucun problème à la sucer,  bien au contraire, et s’activait donc.

De son côté, Helena demanda à Ruriko d’agir, de préparer le fessier d’Hartley. Souriant lentement, la belle femme se rapprocha, et s’agenouilla derrière Hartley. Celui-ci était à quatre pattes sur le sol, bombant ainsi son petit cul vers l’arrière, recouvert par une culotte rose. Il ne manqua pas de soupirer quand Ruriko tira sur la culotte.

« Hmmm… Elle a un délicieux cul, Helena-san, vous allez adorer vous enfoncer dedans… »

Hartley continuait à gémir, excitée par les jurons que les deux femmes poussaient. Le rendez-vous d’affaires avait bien changé. C’était maintenant clairement une cérémonie très coquine, et, quand Hartley sentit les doigts de Ruriko jouer avec ses fesses, les écartant l’une de l’autre, il soupira doucement, et lécha la queue slimesque de sa Maîtresse, qui l’insulta encore, faisant rougir Hartley en la qualifiant de « petite traînée ». Hartley aurait bien voulu lui répondre qu’il serait la petite traînée de sa Maîtresse, mais il releva les yeux en observant les seins de sa Maîtresse, puis le visage d’Helena.

Le jeune trap continua ensuite, avant de gémir quand la langue de Ruriko titilla son fondement. Un délicieux anulingus qui le fit encore gémir, tandis que, lentement, ses parois anales se dilatèrent. Vu que la verge slimesque d’Helena-san ne cessait de grossir, il fallait sans aucun doute bien et longuement préparer le petit trap, afin que la future sodomie à venir soit la plus plaisante possible…

Helena vivait décidément une drôle de journée. Pour leur premier jour, la plupart des employés dans les autres entreprises font connaissance avec les autres employés, se familiarisent avec leur environnement de travail et revoient avec leur patron les missions qui vont leur être confiées. Mais Helena, elle, passait plus de temps à baiser qu’à travailler lors de ce premier jour. Après avoir fait l’amour avec Ruriko, sucé Karen pendant une réunion et donné son cul à Henri, elle savourait la découverte d’un nouveau trap qu’elle allait pouvoir soumettre. Hartley était très enthousiaste, et il suçait avec plaisir la verge en slime de sa maîtresse, qui ressentait cette fellation comme si elle avait un vrai sexe masculin entre les jambes. Et pendant qu’elle se régalait, elle regardait la secrétaire de sa chérie préparer les jolies petites fesses du trap pour la sodomie. Cette dernière complimenta le délicieux cul de la demoiselle, qui semblait parfait pour se prendre une belle bite.

« Hhhmmm... ooouuuiii... je sais que je vais adorer. »

Si elle était aussi bonne à prendre qu’elle était bonne pour sucer, alors Hartley-chan était vraiment un bon coup. Ruriko commença par lui peloter les deux bosses, puis elle les écarta pour pouvoir venir lécher son anus. Le plaisir sembla secouer le trap, puisqu’il se mit à intensifier ses succions sur la verge slimiesque d’Helena.

« Aaahhh ! Ooohhh... oui ma chérie... suce-moi encore comme ça. »

Elle caressa les cheveux de son amante.

« Tu es impatiente... de te la prendre dans le cul, hein ? »

Pas de doute, cette petite cochonne avait envie de se faire enculer. La jeune femme la regarda la pomper avec appétit, encore et encore, se délectant du vibromasseur internes qui poussait dans sa chatte, et elle fut surprise en sentant un autre vibro s’enfoncer dans son cul. Surprise, mais pas mécontente.

« Que... ooohhh ! »

Avec deux excroissances qui lui remplissaient l’intérieur, Helena était aux anges. Elle savourait la délicieuse fellation d’Hartley tout en regardant Ruriko lui préparer les fesses, jusqu’à ce qu’elle sente l’orgasme arriver. Elle pensait qu’elle allait juste jouir comme d’habitude, un orgasme féminin classique, mais elle sentit sa verge slimiesque réagir. Les godes internes s’agitaient, comme pour la faire venir plus vite, et quand l’orgasme la traversa, elle le sentit monter en elle comme lorsqu’elle avait un sexe de futa.

« Oui... ça vient... OOOUUUIII ! »

Le faux sexe de la femme envoya une giclée d’une substance visqueuse semblable à du sperme, qui remplit la bouche de son amante. Elle posa ses deux mains sur sa tête pour être sûre qu’elle avale bien tout. Une fois déchargée et l’orgasme passé, elle enleva ses mains pour que le trap puisse lever la tête.

« Aaahhh... y’a pas à dire, tu sais comment utiliser ta bouche. Maintenant... voyons si Ruriko a bien préparé tes petites fesses. »

Helena descendit de son fauteuil et prit la place de la secrétaire. Hartley avait un très joli petit cul, et elle s’amusa à le caresser avec ses mains pour en apprécier la douceur et la fermeté.

« Dis Hartley-chan... tu aimes les fessées ? »

Elle envoya sa main claquer la fesse droite de son amante, la faisant sursauter et couiner.

« Oui, tu as l’air d’aimer. Maintenant, voyons cette rondelle. »

La maîtresse rentra deux doigts dans le fondement du trap pour juger du travail de la secrétaire, et quand elle estima qu’elle avait assez de marge pour se lâcher, elle guida sa verge slimiesque vers cette petite entrée.

« Ooohhh... »

Elle s’enfonça peu à peu jusqu’à être totalement installée, sentant sa fausse bite comprimée dans son anus, tremblant sur place de tout le plaisir qu’elle recevait déjà.

« Tu vas crier pour moi... ma jolie petite salope. »

Elle serra fermement le petit cul de sa soumise et commença à la baiser.

Adapter Helena aux conditions du travail professionnel ne serait pas simple. En une matinée, elle avait déjà asservi Hartley ! Karen avait de quoi en être admirative, mais, après tout, Helena n’était pas destinée à être sa femme si elle n’avait pas des capacités exceptionnelles. Devant elle, Hartley se concentrait, multipliant les gestes. Il peinait encore à croire que tout cela était bien réel, qu’il était bien en train de pouvoir assumer ses fantasmes et ses pulsions transgenres. La verge remuait contre ses lèvres, et il frémissait aussi en sentant la langue de Ruriko. Entouré par deux femmes magnifiques et autoritaires, Hartley ne pouvait qu’être comblé, et couina faiblement quand les doigts d’Helena se crispèrent sur ses cheveux. Sa Maîtresse se crispa sur place, et se mit alors à jouir.

Son orgasme se manifesta par une projection dans sa bouche, comme si l’appareil spécial qu’elle portait permettait de pomper sa mouille pour la faire jaillir de son membre. Hartley ferma les yeux pendant quelques secondes, sentant une furieuse érection entre ses cuisses. Oh, ça, l’homme était effectivement très excité, et on ne pouvait que le comprendre. Comment ne pas l’être, face à une telle femme ? Autoritaire, belle, puissante… Helena représentait tout ce qu’Hartley aimait chez les femmes. S’il était toujours célibataire, c’était aussi pour ça. Alors qu’il avait socialement su réussir en ayant un emploi lui offrant un bon salaire, il souhaitait paradoxalement une femme dominatrice. Et c’était manifestement ce qu’Helena et sa femme étaient.

Hartley soupira donc, et libéra la verge artificielle d’Helena. Il avait entendu parler de ce produit, et constata que cette verge avait réagi aux pulsions sexuelles des deux amants. Elle restait encore assez grosse, presque veineuse, et Helena se releva. La présence des deux vibromasseurs en elle ne l’empêchait nullement d’agir, et elle commença par fesser le trap, qui se mit à soupirer, gémissant doucement. Ruriko, elle, s’était écartée pour filmer à nouveau, consciente que sa patronne souhaiterait regarder ça.

« Haaa… Maî-Maîtresse ! »

Hartley n’avoua pas clairement qu’il aimait les fessées, mais ses rougeurs et ses soupirs parlaient pour lui. Plus il s’était élevé dans la société, et plus il avait eu envie d’avoir une Maîtresse, une femme qui l’humilierait, qui le battrait, qui le punirait… Finalement, il n’était pas si surprenant que sa patronne ait trouvé ses penchants, et, si on pouvait légitimement s’insurger sur cette violation de ses droits privés, le fait est qu’Hartley n’en subissait aucun préjudice palpable. Il se dandinait sur place, et crispa ses mains sur la moquette quand Helena fourra deux doigts dans son fondement.

« Hoooo, Maîtrersse… Ru-Ruriko-san m’a… M’a longuement préparé… »

Sans glisser ses doigts, et en se servant donc uniquement de sa langue, Ruriko avait bel et bien préparé le fondement d’Hartley, humidifiant et dilatant ses parois anales. Helena se mit donc en position, et Harltey sentit sa verge titiller son fondement… Avant de brusquement s’y enfoncer. Il soupira alors, et cracha même un peu de salive sur le sol, tout en sentant la verge coulisser en lui.

« Hnnn… Maî-Maîtresse ! »

Elle le gifla à nouveau, et il gémit encore, avant de lui obéir, sentant sa verge rose s’enfoncer plus profondément en lui.

« Haaaa… O-Oui, hmmm… Maî-Maîtresse… ! Haaaa… J-Je suis vo-Votre… Hmmm… VOTRE PETITE PUTE, HAAA… !! UNE SALOPE QUI VEUT SE FAIRE DÉFONCER PAR VOUS !! »

Réussir à sortir toute cette phrase relevait de l’exploit. Ruriko nota en tout cas que, sous l’effet de l’excitation sexuelle, la voix d’Hartley partait dans les aigus, devenant… Plus féminine ! Et Ruriko, elle, se régalait en filmant ce spectacle magnifique…

Les traps étaient des fantasmes ambulants pour Helena. Elle avait commencé à développer cette attirance après son séjour à Infernis, en jouant avec Theorem, et en s’occupant de Kaori, son petit soumis offert par Ishtar. Depuis, elle avait découvert le programme de féminisation de la fondation Starr, et elle avait pris l’habitude depuis d’aller faire des visites ponctuelles chez les patients pour les guider sur le chemin de la féminité et les aider à satisfaire certains besoins. Et de temps en temps, elle restait un peu plus longtemps pour profiter des inventions du Dr Fuma.

Avec un tel goût pour les traps, Helena était évidemment ravie d’encourager Hartley dans ses fantasmes transgenres. Après avoir reçu une bonne fellation, la jeune femme félicitait son amante avec une bonne sodomie. Sa grosse queue slimiesque allait et venait dans sa rondelle, lui transmettant des sensations délicieuses grâce à aux deux vibromasseurs logés dans ses orifices. Elle lui mettait aussi de belles claques sur le cul, faisant rougir ses petites fesses au rythme de ses coups de butoir.

« Aaahhh... oui ma belle... continue comme ça. Ooohhh... j’aime les petites putes... qui couinent quand on les encule ! »

Helena était ravie de voir Hartley-chan s’insulter et la reconnaître en tant que maîtresse. Mais elle remarqua aussi que la voix de son amante semblait monter dans les aigus, devenant plus féminine. C’était sûrement inconscient, mais c’était un signe que sa polarité féminine ressortait. Un signe qui encourageait la maîtresse à poursuivre son petit jeu, et à enculer sa soumise de plus en plus profondément et intensément, afin de le pousser toujours plus loin dans sa féminité.

« Hhhmmm... souris pour la caméra... petite traînée. »

En effet, Helena pouvait voir Ruriko tourner autour d’elle et d’Hartley, une caméra à la main, immortalisant ce fabuleux moment. L’héroïne souriait et faisait des signes peace à la caméra tout en encourageant la secrétaire à prendre des gros plans du visage rayonnant de plaisir de son amante, ainsi que de son beau petit cul. D’ailleurs, elle n’oubliait pas d’y mettre des fessées entre deux coups de butoir.

« Aaahhh... ça vient... oui... ooouuuiii ! »

Après s’être bien amusée avec le fondement d’Hartley-chan, Helena atteignit l’orgasme, et sa verge slimiesque cracha sa semence dans le cul de son amante. Cette dernière jouit également, et sa queue juta des filaments de foutre chaud sur le sol. Ruriko ne manqua pas d’immortaliser la délicieuse expression de plaisir sur leurs deux visages. Une fois son éjaculation finie, Huntress se délogea de l’anus de sa soumise et l’aida à se redresse pour se mettre sur les genoux, face à elle.

« C’était plutôt agréable ma belle. Mais... ça ne fait que commencer. Il y aura beaucoup d’autres sodomies... et des tas d’orgasmes... pour moi comme pour toi. Du moins... si tu es prête à te féminiser... pour moi. »

La jeune femme se mit à caresser le corps de sa soumise, ses doigts glissant tout près de ses zones sensibles. Jusqu’à quel point Hartley-chan serait prête à laisser parler sa polarité féminine pour elle ? Pour l’instant, ce n’était que de la lingerie fine et une sodomie, mais si le petit trap était prêt à aller plus loin, à se sentir femme jusqu’au bout des ongles, alors sa maîtresse le ferait entrer dans un monde merveilleux où le plaisir serait le maître mot.

Un parfum irréel flottait autour de cette scène, un zeste d’exception. Hartley avait souvent fantasmé sur une telle situation. Il n’avait pas besoin d’une petite-amie, d’une épouse, ou d’un époux, mais de ça… D’une femme belle, forte, dominatrice, qui le sodomiserait, qui le rabaisserait. D’aucuns auraient pu trouver cela peu sain, mais Hartley faisait partie de ces gens qui assumaient leurs penchants sexuels, sans que cela ne fasse de lui un asocial. Il était un employé talentueux, qui touchait un salaire conséquent, et avait toute l’apparence d’un homme honorable et « normal », pour autant que la « normalité » ait un quelconque sens. Mais, là, en l’occurrence, il savourait avec plaisir la queue artificielle d’Helena, et releva la tête vers le corps de Ruriko, vers la caméra, déglutissant doucement.

« Han, Maî-Maîtresse… »

Il la sentait accélérer dans son dos, et c’était extrêmement plaisant ! Ruriko continuait à se dandiner sur place, sa queue tendue sautillant sur place, tapant régulièrement contre son corps. Helena redoublait d’effort, giflant le cul d’Hartley, ce qui le faisait couiner. Quand Ruriko se pencha devant lui pour filmer son visage, elle pouvait voir le visage d’Hartley se tordre en raison de multiples grimaces liées tant au plaisir qu’à la douleur, exquise et jouissive, qu’il ressentait en ce moment. Autant dire qu’il ne se plaignait nullement de sa situation, et continuait à accepter le membre massif d’Helena en elle.

Dans un grand soupir, Helena finit par jouir copieusement. Un très bel orgasme, et lui-même se mit à jouir, sa queue tressautant sur place. Les orgasmes anaux étaient quelque chose qu’il adorait. La queue slimiesque d’Helena venait titiller sa prostate, déclenchant chez lui des frissons incontrôlés, des vagues exquises qui l’achevèrent. Le sperme afflua, remonta sur son torse, et dégoulina également sur le sol.

« Hnnnnnnnnnnn… !! »

Il sentit également sa Maîtresse jouir, le corps d’Helena se crispant pendant ces ultimes moments.

Les deux amants se calmèrent ensuite lentement. Ruriko venait de refermer la caméra, et savait déjà qu’elle se chargerait du montage de la vidéo… À moins que Karen ne souhaite le faire elle-même. Le choix lui appartiendrait en définitive, car Ruriko savait combien sa patronne appréciait les crises de violence sexuelle d’Helena. Pendant ce temps, et tout en reprenant ses esprits, Helena invita Hartley à se prononcer sur ce qu’il voulait.

Reprenant progressivement ses forces, Hartley avait délicieusement mal au cul, des frissons traversant son fondement éclaté.

« Je… j’ai entendu parler de… De certains programmes développés ici. Enfin, je sais que Starr-sama soutient des campagnes d’aide pour les personnes transsexuelles, et… »

Hartley se pinça les lèvres, en rougissant légèrement.

« J’ai grandi dans une famille entourée de filles. Une famille nombreuse où j’étais le seul garçon. Cela aurait pu m’amener à développer une forte virilité, mais c’est tout l’inverse qui s’est passé. Mes sœurs… Elles adoraient me travestir, et… J’ai conservé cette habitude. Mais, au Japon… Ce n’est pas le genre de fantasme dont on peut être fier. Légalement, je devrais me faire stériliser, vous savez… »

C’était la fameuse « loi 111 », une loi dénoncée par bien des associations LGBT. Adoptée début 2019, il s’agissait d’une loi scélérate, pourtant validée par la Cour Suprême, qui obligeait les personnes transsexuelles à se stériliser.

« Starr-sama est consciente des difficultés législatives japonaises. Si une opération doit avoir lieu, elle a lieu ici, à Starr Island. Et je suppose que vous connaissez le statut de cette île, Hartley-chan ? »

Hartley était un homme d’affaires, mais aussi un juriste.

« J’ai cru comprendre que cette île était une concession… »

Ruriko acquiesça lentement.

« L’île était en frîche, et Starr-sama a signé un contrat avec le gouvernement japonais. De nombreuses lois japonaises continuent à s’appliquer sur cette île, mais il existe aussi des exceptions, notamment pour permettre le fonctionnement des installations figurant ici. »

Ruriko ne rentra pas dans les détails, notamment sur le fait que cette concession avait été permise avec l’intervention du SHIELD, et parce que Karen utilisait une technologie kryptonienne dont elle devait conserver l’exclusivité.

« Tu peux donc subir ici une opération chirurgicale liée à un changement de sexe, ainsi que le traitement que nous pratiquons, sans crainte d’être stérilisé. »

Hartley baissa la tête en se pinçant les lèvres, semblant réfléchir.

« Je… Si je le fais… Que ferons-nous ensuite, Wayne-sama ? Vous… Vous êtes le type de femme que j’ai toujours eu envie de rencontrer, mais… Me laisserez-vous, ou… Accepterez-vous que je devienne votre amant, votre… Votre esclave ? »

Il suffisait d’entendre le ton de sa voix pour comprendre que c’était la dernière option qui le tentait fortement.

Helena savait que les goûts d’Hartley-chan n’étaient pas faciles à assumer dans un pays aussi rigide que le Japon. Les lois très restrictives sur la vie des personnes LGBT, le jugement constant de la société moralisatrice, le refus des différences... ce n’était pas vraiment le genre d’environnement où on pouvait pleinement assumer sa sexualité. Heureusement, Starr Island profitait de nombreux avantages de part son statut juridique particulier, et Hartley semblait déjà au courant des programmes développés ici pour les hommes désireux de changer de sexe. Ruriko lui confirma que s’il était opéré ici, il n’aurait pas à se faire stériliser comme l’imposait la loi 111 au Japon. Mais la dernière chose qui restait à clarifier pour Hartley, c’était de savoir ce qu’Helena ferait de lui s’il décidait de se lancer. Est-ce qu’elle le laisserait de côté, est-ce qu’elle ferait de lui son amant, ou son esclave ? La jeune femme sourit en entendant le frisson dans la voix du petit trap quand il prononça le mot esclave. Elle passa une main dans ses cheveux et posa l’autre sur sa cuisse.

« Allons Hartley-chan... tu crois que je te demanderais de te féminiser et de subir une importante opération chirurgicale pour ensuite t’abandonner ? Je prends soin de mes esclaves... et tu pourrais devenir l’une d’elles. Bien sûr je ne serai pas toujours auprès de toi, mais je ne te laisserai jamais seule très longtemps. »

Si Helena était capable de jongler entre son quotidien et la surveillance de son petit Kaori, elle pourrait bien gérer quelques traps de plus. Peut-être même qu’elle allait fonder son propre harem pour tous les regrouper au même endroit.

« Mais avant que tu prennes une décision, je veux mettre certaines choses au clair. Je ne veux pas que tu subisses cette opération juste pour me faire plaisir. Si tu décides de le faire, je veux que ce soit pour toi, pour que tu te sentes mieux dans ton corps et que tu sois plus heureux. Si tu préfères rester comme tu es maintenant, et exprimer ta féminité avec de beaux vêtements et du maquillage, ça me va aussi. Je crois même... que ça me plairait encore plus. »

La main de la maîtresse commença à approcher de l’entrejambe de sa soumise.

« Ce que j’aime chez les petits traps comme toi, c’est ce contraste entre ta masculinité naturelle et l’envie de faire ressortir sa féminité. Bien sûr, l’opération ne te rendra pas femme à 100%, mais le contraste sera forcément moins visible. C’est pour ça que j’insiste encore une fois : ne fais cette opération que si tu le fais pour toi. »

Helena ne cherchait pas à dissuader Hartley ou à le faire douter, elle voulait seulement être certaine qu’il n’aurait pas de regret une fois le cap passé.

« Mais ne t’en fais pas, tu as largement le temps d’y penser. En attendant... »

Huntress retira sa main juste avant qu’elle commence à être agréable pour sa soumise, et elle la fit se mettre à genoux devant elle.

« ... je veux encore une fellation de ma belle soumise. Au travail. Et applique toi, nous sommes filmées. »

Elle fit un clin d’œil à Ruriko pour lui faire comprendre qu’elle voulait qu’elle enregistre ça.

Hartley était effectivement partagé. D’un côté, il ne connaissait Wayne-sama que depuis… Quelques heures. Il parlait osus l’effet de l’excitation, mais, avant de décider d’emménager avec elle, quand bien même cette idée le tentait instinctivement, il allait devoir réfléchir. De plus, Wayne-sama lui indiqua qu’elle ne souhaitait pas forcément qu’il se fasse opérer, préférant l’idée d’un trap’, afin de jouer entre sa virilité masculine et ses désirs profonds. Hartley déglutit toutefois en apprenant que Wayne-sama semblait avoir d’autres individus comme lui à son service. Il sentit bien malgré lui une nouvelle érection le saisir. Sous son corps, sa queue se redressa à nouveau, se durcissant, et tapa contre son ventre. Il savait que Starr-sama disposait de nombreux amants et de nombreuses amantes, qu’elle partageait avec sa femme, mais il avait toujours cru à des rumeurs, des rumeurs liés au sex appeal terrible de Starr-sama. Les rares fois où Hartley l’avait vu avant aujourd’hui, elle lui avait fait forte impression. Sa carrure musclée, son corps endurant et parfait… Elle était une femme forte, puissante, une femme qu’on aimait avoir comme Maîtresse. Wayne-sama n’avait pas sa carrure athlétique, mais restait malgré tout une femme forte, qui s’affirmait pleinement quand il s’agissait de dominer des hommes. D’aucuns auraient pu y voir une sorte de revanche enfantine sur son père, feu Bruce Wayne, un homme qui, par nature, aimait tout contrôler… Ainsi qu’une affirmation issue de sa mère, Selina Kyle, qui, elle, prenait plaisir à tâter du fouet et à envoûter les hommes.

En tout cas, Wayne-sama lui laissa le temps de la réflexion, et Hartley hocha la tête, acquiesçant doucement aux propos de la femme.

« Oui… Je… Je réfléchirai à tout ça, Wayne-sama… »

Elle aurait sans aucun doute une réponse rapidement, mais il se devait d’en parler à ses sœurs. Comme lui, celles-ci avaient plutôt bien réussi dans la vie, mais elles avaient conservé un lien étroit avec Hartley, et connaissaient ses penchants, son goût pour le transsexualisme. Wayne-sama revint ensuite à quelque chose de plus terre-à-terre, et Harltey sourit, avant de voir Wayne-sama écarter ses jambes. Sa verge slimesque était toujours là, et il se rapprocha alors.

« Oui, Maîtresse… »

Hartley n’avait pas l’intention de se défiler, et vint pomper ce dard. Ce n’était pas une vraie queue, mais, tandis qu’il la pompait, il la sentit se durcir, se redresser. Elle gonfla dans sa bouche, et la sensation était très particulière. Le contact évoquait un mélange indiscernable entre la peau humaine, la gelée, et le latex… C’était du slime, et le slime pouvait reproduire et synthétiser d’autres matériaux. Tout ça, Hartley le sentait tandis qu’il pompait cette belle queue, et l’enfonça rapidement dans sa bouche, optant pour une délicieuse gorge profonde.

C’était très agréable, et, pendant qu’il agissait ainsi, ses mains se posèrent sur la culotte de Wayne-sama. Ses doigts caressèrent cette culotte en latex, pinçant le strap-on. Il pouvait presque sentir le vibromasseur qui remuait dans le corps de sa Maîtresse, et déplaça ses doigts le long du strap-on, frémissant en sentant qu’il y avait un second vibromasseur, dans le dos de Wayne-sama, s’enfonçant dans son postérieur. Cette constatation l’excita encore plus, et il frémit encore, tandis que Ruriko, se déplaçant lentement, les filmait.

Comme d’habitude, elle optait pour des plans larges puis raccourcis, filmant le visage d’Helena, sachant combien sa patronne se régalait de ce genre de films. Aussi perverse soit-elle, et aussi nombreux soient ses amantes, Karen avait toujours préféré par-dessus tout sa relation avec Helena, ainsi que voir avec qui elle couchait. Ruriko, qui connaissait ses pouvoirs, se demandait même si Karen n’espionnait pas Helena à distance, avec ses super-pouvoirs, pour l’observer quand elle faisait l’amour.

En même temps… Il fallait bien admettre que c’était un fascinant spectacle. Installée dans son fauteuil, Helena trônait au sommet de son art et de sa redoutable beauté !

Helena sourit en regardant Hartley-chan se mettre à genoux devant elle pour revenir pomper son dard. Elle faisait encore une fois preuve de talent et d’entrain, avalant cette verge slimiesque qui enflait et se dressait entre ses lèvres à mesure que le plaisir de sa maîtresse montait. Cette dernière lui caressait les cheveux pour l’encourager à continuer dans cette voie, surtout quand elle la sentit entamer une gorge profonde.

« Aaahhh... oui ma belle... continue comme ça... gggnnn... »

Le petit plaisir supplémentaire qui venait pimenter le plaisir de la femme, c’était de voir Ruriko tourner autour d’elle et de la suceuse pour filmer leur baise. Elle savait que ce film allait finir dans la collection de Karen, et qu’elles le regarderaient ensemble ensuite, que ce soit pour passer le temps ou comme préliminaire avant une bonne baise. Chaque fois qu’elle se voyait dans un film érotique, Helena se sentait toute excitée. Sa chérie l’avait bien compris, et elle prenait plaisir à la sauter après lui avoir offert la joie d’une bonne vidéo de cul. Elles étaient même en train de travailler à la réalisation d’une série de films pornos avec Huntress en vedette, de quoi enrichir grandement leur collection privée.

« Ruriko... hhhmmm... assure-toi... de bien tout prendre. »

Il ne fallait pas seulement filmer Helena ou Hartley-chan, il fallait les prendre toutes les deux, car c’était l’ensemble formé par leurs deux corps qui donnaient son essence au porno. Même s’il restait important de faire des gros plans de temps en temps pour bien immortaliser les expressions de plaisir sur les visages des demoiselles.

« Aaahhh... oh ooouuuiii... ça c’est une bonne... suceuse de chibre. Hhhnnn... avale-le bien profond... petite cochonne. »

Les minutes s’écoulèrent, encore et encore, jusqu’à ce que la maîtresse sente les excroissances de slime dans ses orifices vibrer plus fort. Une grosse vague de plaisir la submergea, et elle eut un autre orgasme. Sa semence gluante se répandit dans la bouche de sa soumise, qui l’avala avec plaisir, bien que les derniers jets atterrirent sur son visage. En voyant ça, Huntress sentit un élan de chaleur la gagner, et elle approcha son visage de celui de son amante pour lécher le sperme sur sa peau. Ensuite, elle vint l’embrasser goulument, partageant sa récolte avec elle. La semence se mêla dans leurs bouches, remuant avec leurs langues avant de tomber dans la gorge du petit trap, qui avait les joues bien rouges quand le baiser se rompit.

« Aaahhh.. viens sur mes genoux. »

Helena prit Hartley-chan sur ses cuisses, soutenant son corps en passant un bras autour de ses hanches, caressant son entrejambe de l’autre main.

« Je veux que tu me parles... de tes plus belles expériences de femme.
Parle-moi... hhhmmm... de tes premières fois. Ton premier maquillage, ta première robe... aahh... ta première petite culotte... ta première fois avec un homme.
Parle-moi aussi... des plus beaux mandrins... que tu aies jamais eu... oohh... dans la bouche... ou dans les fesses. Raconte-moi comment ces hommes... t’ont fait monter au septième ciel.
Et enfin... parle-moi un peu plus de tes sœurs. Elles m’ont l’air d’être des femmes... hhmm... très intéressantes. »

Hartley se concentrait pleinement sur son office. Une fellation. Il était habitué à en faire, même s’il devait admettre que cette verge était très particulière, très spéciale. Se tortillant lentement sur place dans ses atours féminins, Hartley sentait son érection croître longuement, doucement. C’était très agréable, et il sentait la main d’Helena caresser ses cheveux, tirer dessus. Il soupirait encore, et remontait lentement son regard, pour voir le beau corps de sa Maîtresse. Il voyait sa belle poitrine arrondie, qui semblait se contorsionner dans son uniforme. Hartley continua ensuite, et sa langue glissait sur la verge. Plus il s’y attaquait, et plus la verge d’Helena se durcissait.

« Hmmmm… »

Comme toujours, Hartley était frappé par l’efficacité de la technologie de Karen, par sa puissance, et par son efficacité. Car sa Maîtresse était clairement sensible à tout ce qu’Hartley lui faisait. Il remontait sur sa verge, la pompant doucement, et couinait lentement, se retenant de se masturber, même si cela devenait de plus en plus tentant pour lui. Helena gémissait à nouveau, et finit alors, au bout de plusieurs minutes, à jouir en lui. Hartley sursauta doucement à ce contact, et sentit un sperme gluant jaillir dans sa bouche. Il accueillit pleinement le plaisir suprême de la jeune femme.

Helena se relâcha donc goulûment, puis, reprenant ses esprits, ordonna à Hartley de la rejoindre. Obéissant, celui-ci se redressa donc, après avoir avalé le sperme de sa Maîtresse, et s’assit sur ses cuisses. Il s’assit contre elle au début, puis sur ses genoux ensuite, presque dans la peau d’un enfant s’installant sur les genoux de sa mère… Si ce n’est qu’ils étaient tous les deux majeurs. Les joues rougies, Hartley soupira lentement quand la main d’Helena glissa sur sa verge. Il bandait à nouveau, et frémit donc en sentant la belle main gantée d’Helena sur son sexe, glissant dessus. Elle le masturbait doucement, et quelques agréables frissons le traversaient.

« Oh, Wayne-sama… »

Elle lui demanda des explications sur son passé, et notamment sur ses sœurs. Hartley soupira encore, et observa sa Maîtresse, apposant régulièrement sa tête contre ses seins. L’homme avait visiblement un fantasme sur les beaux seins, et le fait est qu’Helena avait une belle poitrine, ferme et épaisse, parfaitement moulée.

« Je… Je suis le seul garçon issu d’une famille nombreuse composée exclusivement de filles, Wayne-sama. Je n’ai jamais connu mon père, et ce sont mes sœurs qui m’ont éduqué, car j’étais le dernier de la fratrie. Ma famille était très pauvre, et, comme j’avais un look assez efféminé, elles m’ont très vite habillé et coiffé comme une fille… »

C’était sans doute une histoire qui devrait plaire à sa Maîtresse. Hartley se frottait doucement contre son sein, et embrassait aussi celui-ci, léchant sa tenue, confirmant ainsi sa passion pour le fétichisme.

« C’est elles… Elles qui m’ont tout appris. Le premier homme avec qui j’ai fait l’amour était l’un de leurs petits-amis. Elles n’ont jamais eu de relation sérieuse, car elles ont toujours été très proches, et se partageaient leurs copains. Je ne sais pas si celui qui m’a sodomisé savait que j’étais vraiment un homme. Mes sœurs me transmettaient leurs plugs, elles m’initiaient ainsi… Nous nous formions comme ça. Elles mettaient des bandeaux sur les yeux d’autres de mes sœurs, et celles-ci étaient punies quand elles ne repéraient pas le goût de mes lèvres… »

La perversion actuelle d’Hartley s’expliquait mieux à l’aune de ses déclarations. Sa queue gonflait doucement, tendue et assoiffée, souhaitant se pourlécher du corps parfait d’Helena.

« J’ai eu plusieurs amants, ensuite… Mes sœurs m’ont habitué au plaisir féminin, et ont refusé que je les pénètre. »

Se pouvait-il qu’il soit toujours vierge de ce côté-là ? Qu’il n’ait jamais goûté à des lèvres intimes de sa vie ? Hartley maintint le silence là-dessus, avant de poursuivre :

« Mes sœurs ont acquis un immeuble, et leurs époux sont comme leurs esclaves. Elles prennent des locataires et des voisins qui sont des personnes célibataires, afin qu’ils deviennent leurs amants. Je pense qu’elles vous apprécieraient beaucoup, Maîtresse… »

Beaucoup, oui !

Helena encouragea Hartley-chan à s’installer confortablement et à poser sa tête contre sa généreuse poitrine. La demoiselle commença à parler de ses sœurs : leur enfance dans une famille pauvre, pas de père... tout cela commençait comme un roman bien déprimant. Heureusement, Hartley semblait s’en être bien sorti. Le petit trap enchaîna ensuite sur des choses bien plus réjouissantes : ses sœurs qui le travestissaient en fille, qui demandaient à leurs petits-amis de coucher avec leur petite sœur, qui l’initiaient aux joies du sexe, qui lui prêtaient leurs plugs, qui jouaient à des jeux amusants où elles s’embrassaient les unes les autres... Tout cela la faisait sourire.

« Je m’en doutais... tes sœurs sont des femmes adorables. »

Et apparemment, elles ne s’étaient pas arrêtées là. Elles avaient habitué Hartley-chan au plaisir féminin et lui avaient refusé toute pénétration. Était-il encore vierge de ce côté-là ? Elle se garda la question dans un coin de sa tête et écouta sa soumise lui parler de l’immeuble que ses sœurs avaient acquis. Leurs époux étaient devenus leurs esclaves, et tous les locataires devenaient leurs amants.

« Des femmes comme je les aime. Un de ces jours, il faudra que je les rencontre. »

La jeune femme caressa les cuisses de son amante, son autre main était posée sur sa tête et la faisait s’appuyer sur ses seins rebondis. Plus ses doigts se rapprochaient de son entrejambe, plus elle sentait que la demoiselle était excitée.

« Oh oh... tu m’as l’air bien rouge ma petite chérie. Tout va bien ? »

Helena s’amusa un peu aux dépends d’Hartley-chan avant d’aller caresser sa queue. Et comme elle s’y attendait, parler de ses souvenirs de jeunesse avait réveillé son érection.

« A mon tour de te satisfaire. On va jouer à un petit jeu toi à moi. Je veux que tu fermes les yeux. »

L’héroïne fit signe à Ruriko d’approcher et de ne pas faire de bruit.

« Ruriko est avec moi. L’une de nous deux va t’embrasser. Si tu devines laquelle de nous t’a donné ce baiser, tu auras droit à une récompense spéciale. »

Elle s’approcha de son oreille pour lui donner les détails.

« Je te ferai une fellation. »

Elle s’éloigna de son oreille pour continuer.

« En revanche, si tu te trompes, je te prédis une sodomie dure et des tas de fessées pour ton petit cul de salope. »

Mais était-ce vraiment une punition ? Helena fit signe à Ruriko d’aller embrasser Hartley-chan, et de prendre son temps surtout. Le petit trap serait-il capable de faire la différence entre cette bouche et celle de sa maîtresse ?

Hartley avait confié ses secrets à sa Maîtresse. Avec aucun autre amant ou amante, il n’avait été aussi vite à révéler ses secrets de famille, notamment sur la maison de ses sœurs, et leur véritable utilité. Mais, face à elle, Hartley se sentait… Empreint d’une profonde confiance. Elle était la femme de sa patronne, et le fait qu’elle couche aussi rapidement avec lui signifiait clairement qu’elle avait l’habitude de ne pas respecter strictement les règles. Helena-sama l’amena à se reposer encore contre sa voluptueuse poitrine, et s’amusa en le voyant rougir. Le jeune homme se tortilla sur place, sa queue gonflant quand sa Maîtresse commença à le masturber.

Évidemment, évoquer ses souvenirs avec ses sœurs n’avait pas manqué de l’exciter, et il frotta encore son nez contre elle.

« Elles adoreront vous voir, Maîtresse… Elles… Elles m’ont dit que je devais trouver une Maîtresse… Que je n’étais pas fait pour avoir une amoureuse classique, haaaa… »

Le fait est qu’elles avaient eu raison, car elles l’avaient éduqué à leur manière. Helena proposa alors un petit jeu, après avoir senti la belle érection d’Hartley, qui déglutit, tout en devant réfléchir par la suite à ce qu’il allait faire. Jouer le jeu ? L’idée d’une sodomie violente l’excitait tout autant que la fellation, mais Helena était sa Maîtresse, après tout, et il savait que Starr-sama avait développé des pilules d’hermaphrodisme. Il n’avait encore jamais eu l’occasion de les voir en action, mais, s’il y avait quelqu’un qui devait faire une fellation, c’était lui.

Ruriko sourit doucement, et se rapprocha, venant caresser les cheveux d’Hartley doucement, puis tira dessus.

« Alors, préparons-le… Bien que Starr-sama m’ait longuement formé, vous voir toutes les deux comme ça, ça m’a bien excité, moi aussi ! »

Ruriko était la secrétaire personnelle de Karen, et elle avait appris, à son contact, à devenir une redoutable perverse. La jeune et belle femme était donc très perverse, elle aussi, et rapprocha Hartley d’une chambre. Elle lui ordonna de s’allonger sur un lit, et mit un épais bandeau noir autour de ses yeux, avant d’attacher ses poignets et ses chevilles avec des sangles. Ruriko agissait vite, comme si elle était habituée à dresser de jeunes hommes.

Elle laissa la verge de l’homme à l’air libre, une belle queue redressée. Ruriko intercepta ensuite Helena, et l’embrassa alors, se frottant longuement contre elle.

« Starr-sama m’avait bien dit que vous seriez à la hauteur, mais… J’admets que vous m’avez surpris… »

Elle ne s’était pas attendue à ce que, dès le premier jour, Helena prenne à ce point ses aises. Elle palpa sans vergogne le délicieux cul d’Helena, espérant maintenant pouvoir être invitée à l’une de leurs sessions nocturnes. Ruriko rompit ensuite ce câlin, et grimpa sur le lit. Hartley sentit alors une femme l’embrasser, et ce fut un baiser langoureux et long. Hartley soupira doucement, et crispa ses poings. Sa langue joua avec celle de sa partenaire, et il reconnut rapidement la bouche d’Helena.

Le jeu n’était pas difficile avec seulement deux femmes, mais il devait surtout réfléchir à la suite. Il trouva au début les bonnes réponses, puis, quand Helena retourna l’embrasser à nouveau, il répondit donc :

« R… Ruriko-sama… » gémit-il doucement.

Il savait qu’il se trompait, mais ce n’était pas bien grave, car l’idée de se faire violemment sodomiser par sa Maîtresse le couvrait de joie !

Helena avait envie de jouer avec Hartley-chan, mais pourquoi se presser ? Ruriko lui proposa de changer de pièce pour leur petit jeu de baiser à l’aveuglette, afin qu’il puisse se faire dans des conditions plus favorables.

« Ma foi... pourquoi pas ? »

La maîtresse et sa soumise suivirent la secrétaire jusqu’à une chambre. Elle attacha le petit trap au lit en le menottant par les poignets et les chevilles et lui mit un bandeau noir sur les yeux, le tout avec une vitesse et une maîtrise qui montrait qu’elle savait s’y prendre pour dresser les soumis. Une fois Hartley-chan en place, elle vint se coller à Helena pour l’embrasser et se frotter à elle. La jeune femme savoura ce baiser et lui rendit ses caresses, s’attardant surtout sur son bon petit cul. Ruriko lui avoua être surprise de la vitesse à laquelle elle prenait ses marques alors que ce n’était que son premier jour.

« Il faut que je sois à la hauteur. Ma chérie... ooohhh... attend beaucoup de moi. Je dois être... à mon top niveau pour... aaahhh... la satisfaire. »

Que ce soit en remplissant des rapports d’entreprise ou en faisant un twerk en string, Helena était prête à tout pour répondre aux besoins de Karen. Mais pour l’instant, elle voulait surtout répondre à ses besoins, ainsi qu’à ceux d’Hartley-chan.

Le jeu du baiser à l’aveugle commença, et la secrétaire fut la première à embrasser la demoiselle. Cette dernière trouva la bonne réponse, ainsi que pour les cinq baiser suivants. Mais ensuite, quand sa maîtresse vint l’embrasser, il se trompa.

« Oh, dommage Hartley-chan. C’était moi. »

Helena ne savait pas si elle devait se réjouir ou non de cet échec, mais elle savait ce qu’elle devait faire maintenant. Après tout, quel genre de maîtresse serait-elle si elle ne tenait pas ses promesses ?

« Il est donc temps de passer à ton gage : la sodomie. Ruriko, aide-moi à la retourner. »

Les deux femmes détachèrent le trap pour le mettre sur le ventre, puis rattachèrent les sangles qui le liaient au lit. Une fois sa petite cochonne en place, la maîtresse frotta son gland slimesque contre sa rondelle, encore dilatée depuis le dernier passage.

« Hhhmmm... un si joli petit cul... je comprends que les hommes aiment te baiser. »

Helena s’enfonça à moitié dans son anus, savourant les sensations qui la parcouraient à mesure que son sexe plus vrai que nature se faisait coincer entre ces parois si serrées.

« Gggnnnhhh... puisque c’est une punition... je veux t’entendre... t’excuser. Dis que tu as été vilaine... aaahhh... que tu es une vicieuse... et que tu aimes te faire enculer... par ta maîtresse. Ooohhh... Ruriko enregistrera tout... alors applique-toi. »

Elle se logea complètement en elle, et elle commença à l’enculer.

Hartley s’était trompé… Volontairement trompé ! La soumission sexuelle, c’était ce jeu permanent. La Maîtresse donnait des règles, et il fallait savoir jusqu’à quand on pouvait les violer, car la violation de la règle légitimait la punition, et la punition était justement le but recherché. Il fallait donc trouver un juste milieu, un équilibre entre l’obéissance naturelle et la révolte, afin que le personnage dominateur puisse punir le personnage soumis. Hartley connaissait ces jeux de rôles, et il les appréciait. Waren-sama et Tsubaki-sama l’avaient longuement embrassé, et il appréciait bien les deux femmes. Il avait déjà eu l’occasion d’entendre parler de Tsubaki-sama, et ignorait jusqu’à quel point les rumeurs sur elle étaient vraies. L’une des principales fonctions de Ruriko était de s’assurer que le conseil d’administration de Starr Industries aille toujours dans le sens de Karen, et, pour ça, Ruriko était prête à tout, y compris à transformer les réunions extraordinaires du conseil d’administration en orgie autour de sa divine personne ! Karen avait réussi à faire de cette plantureuse femme une nymphomane d’exception, capable de rivaliser avec Helena !

La belle justicière retourna donc Hartley, et Ruriko attacha ses poignets aux barreaux du lit avec des sangles, puis se déplaça encore. Elle récupéra la caméra, et la posa sur un trépied, tout en installant un autre trépied, ainsi qu’une caméra sur le devant. Le tout était relié à un ordinateur portable, et elle lança le programme d’enregistrement, tandis qu’Helena vint doucement s’allonger contre le corps d’Hartley, avant de sodomiser brutalement le jeune trap.

« Haaaa… Maî-Maîtresse, haaaaa… »

Wayne-sama le nargua, et, pendant ce temps, Ruriko se déplaça encore. Elle sifflotait doucement, bien décidée à agir, maintenant. Ce couple l’avait bien trop excité pour ça ! Pendant ce temps, Hartley tournait la tête sur le côté, et répondait à sa Maîtresse, gémissant quand elle tira sur ses cheveux, relevant sa tête.

« Je… Haaaa… Hartley-chan vous présente ses excuses, Maîtresse, haaaa… Hartley-chan est une petite perverse, qui aime… Une vilaine petite coquine qui aime quand on lui défonce son cul ! Hartley-chan est très vicieuse, oh oui, Maîtresse ! Et elle doit être punie pour ça ! PUNISSEZ-MOI, MAÎTRESSE ! »

Chaque coup de reins l’amenait à se masturber, sa queue frottant contre le lit. Il bandait alors fortement, continuant à se dandiner sur le lit, pinçant ses lèvres, ne cherchant point à retenir ses gémissements. Helena le giflait sèchement, frappant son petit cul, et se redressa petit à petit, avant de sentir Ruriko se lever dans son dos.

« Tu es vraiment trop excitante pour que je reste inactive, ma belle… »

Elle se lova dans son dos, et attendit qu’Helena tourna la tête pour aller l’embrasser. Leurs bouches se pressèrent l’une contre l’autre, et elle opta pour un baiser long et langoureux, fourrant sa langue dans sa bouche, jouant avec elle, tandis qu’Helena pouvait sentir contre ses fesses une autre verge. C’était une verge, une belle queue assoiffée de sexe, signe que Ruriko avait visiblement reçu une opération de la part de Karen pour être hermaphrodite…

...Rompant le baiser, Ruriko pinça les généreux seins d’Helena, à travers sa combinaison, et se frotta encore contre elle. Elle orienta sa verge, et vint tout simplement la sodomiser, sa verge s’enfonçant douloureusement et progressivement dans son cul. Fort heureusement, le fondement d’Helena était très souvent visité par sa femme, de sorte que ses parois anales se dilatèrent rapidement. Les mains de Ruriko pincèrent toutefois nerveusement les seins d’Helena, Ruriko gémissant sous le contact.

« Dieu, que ton cul est bon, Helena, hmmm… »

Elle soupira encore, tout contre l’oreille de sa partenaire, se frottant langoureusement contre elle…

Helena savait qu’elle allait prendre son pied avec Hartley-chan, et elle voulait s’assurer que Ruriko filme bien tout. Et la secrétaire ne se contenta pas d’une caméra, elle alla en chercher une autre, toutes deux montées sur trépied et orientées pour récupérer les meilleures images, le tout relié à un ordinateur portable qui allait enregistrer le spectacle.

Helena prit bien son temps pour aller jusqu’au fond de l’anus de sa soumise, mais une fois installée, elle commença tout de suite à l’enculer bien fort. Il ne fallut pas longtemps avant qu’Hartley-chan ne commence à implorer sa maîtresse et à s’excuser d’avoir été une si vilaine perverse. Chaque coup de reins qu’elle donnait la faisait trembler de tout son corps grâce aux vibros logés dans ses orifices. Le plaisir montait si vite en elle qu’elle n’était pas sûre de tenir assez longtemps pour faire une bonne vidéo, mais en tout cas elle prenait largement son pied. En plus de sodomiser généreusement son amante, elle multipliait les fessées et se délectait de ses couinements de plaisir. Mais elle ne resta pas seule dans l’action très longtemps, et finit par sentir Ruriko presser sa poitrine contre son dos.

« Aaahhh... Ruriko... tu veux... aahh... te joindre à nous ? »

Helena commença par embrasser la secrétaire, un baiser long et langoureux où leurs langues dansèrent un joyeux ballet. L’héroïne pensait que sa nouvelle camarade de jeux s’en tiendrait aux baisers et au pelotage, mais ensuite, elle sentit quelque chose taper contre ses fesses. Ruriko avait une verge, et celle-là était aussi vraie que pouvait l’être une verge d’hermaphrodite.

« Ooohhh... »

En sentant cet appendice contre son cul, Helena se dit qu’elle allait avoir droit à une belle sodomie, et sa verge slimesque réagit en conséquence en libérant son fondement. La jeune femme couina de plaisir quand la secrétaire lui pinça les seins à travers sa combinaison, et trembla de tout son corps quand sa verge veineuse et assoiffée s’enfonça dans son cul. Un cul si agréable que son amante la complimenta.

« Aaaggghhh... et encore... tu n’as pas tout vu. »

Helena n’avait plus seulement le plaisir d’enculer Hartley-chan, elle avait aussi droit à une délicieuse sodomie de la part de Ruriko. Prise en sandwich entre les deux, elle continua à baiser énergiquement sa soumise, et peu à peu, cala ses mouvements sur ceux de la secrétaire pour une double dose de plaisir. Chaque fois qu’elle s’enfonçait dans le fondement du petit trap, son amante faisait de même dans son dos, et le délice lui arrivait à la fois par la chatte et par l’anus.

« Ooouuuiii... hhhmmm... vous êtes trop bonnes... toutes les deux. »

Au départ, Helena pensait se contenter de prendre Hartley-chan une fois avant de passer à un autre jeu avec elle. Mais maintenant que Ruriko était là, cela ouvrait de nouvelles possibilités. Mettre deux sexes dans les orifices de la soumise, lui bander à nouveau les yeux mais remplacer les baisers par des fellations, la prendre en sandwich...

Une chose était sûre, elles allaient bien s’amuser.