The Multiversity

Velma ne se sentait bien que dans la soumission. Elle a déjà été plus ou moins sur un pied d'égalité, au début, quand elle a couché avec son amie Daphné, c'était équitable, parfois l'une dominait l'autre et inversement. Avec les garçons, elle se laissait faire, pensant presque que c'était naturel. Et même quand elle commença à franchir la limite du « normal », elle se laissait dompter. À la fac, quand elle fut seule avec Scooby, le chien d'un de ses amis, elle fit tout pour l'exciter, se faire grimper par ce dernier et elle fut baiser par ce chien. D'abord par une drôle de curiosité, mais une fois bloqué en elle, il y avait eu la peur d'être surprise ! C'était une chose d'avoir ce genre de penchant « étrange », de les assouvir, mais elle ne sentait pas d'expliquer cela à ses amis. La peur se transforma en excitation, ce qui fut juste une curiosité un peu trop poussée devint de plus en plus fréquent, comme si elle faisait tout pour être vue grimper par le chien. Mais cela resta secret, son penchant se calma avec son indépendance, mais de nouvelles dérives naissaient en elle, plus poussée, plus extrême, rien de tout cela n'avait encore eu lieu, mais avec Amélie, elle en vivait une, voir deux... Le viol car elle fut contre au début, même si à présent la mèche était allumée et donc, impossible à éteindre, au début, si elle aurait pu fuir, elle l'aurait fait. Et en second, la soumission poussée.

Elle était traitée comme une chienne par Amélie, ça lui plaisait de se sentir rabaissée. Elle lui suçait la queue avec passion et dévouement, de plus en plus heureuse de vivre ça, espérant seulement que ça, c'était le minimum que sa maîtresse pouvait lui offrir. Elle en voulait plus, voir ses propres limites être dépassées entre ses mains. Elle sentait sa queue de plus en plus dur en bouche, elle se demandait même si finalement, elle n'allait pas se laisser faire et se faire de nouveau éclabousser la bouche ? Cela ne lui déplairait pas, très loin de là ! Mais Amélie se redressa, lui retirant le pain de la bouche, en lui demandant de bien ouvrir la bouche. Velma l'ouvrait en grand, la langue bien pendue, le bout de ses doigts venant se toucher la langue et sa seconde main se touchait intimement. Elle se doutait de ce qui allait suivre, curieuse et excitée, son cœur battait fort quand le jet chaud et jaune atterrit sur son visage, sa bouche, éclaboussant ses lunettes, coulant le long de son corps. Il y avait une pointe de dégoût, certes, mais sentir le liquide couler le long de son corps, dans sa bouche, c'était comme des caresses qui lui coulait le long du corps. Quand Amélie termina, elle avala la petite quantité en bouche, ne pouvant contenir une grimace, mais une fois avaler, elle retrouva le sourire, se caressant le corps, étalant le liquide dorée qui l'avait arrosée.

« Oooooh haaaaaaaaaan, Maîtreeeeeeesse... Je suis toute sale... si vilaine... si excitée... »

Velma restait assez humaine pour comprendre que, elle ne pourrait pas aimer avaler de l'urine, elle pouvait le faire en petite quantité, mais c'était plus la sensation de se faire arroser qui lui plaisait, de se sentir sale et humiliée sous les yeux de Widowmaker qui l'excitait. Elle pouvait la forcer à se doucher ou à rester sale pour le moment, les deux choses pouvaient lui convenir, du moment qu'Amélie la traitait toujours ainsi, gardant sa supériorité sur elle, lui donnant des ordres. À genoux, une petite flaque d'urine d'Amélie se trouvant sous son corps, se caressant en l'observant, elle en voulait encore, au-delà du titre, Velma laissait parler ses pulsions les plus cachées, devenant une vraie chienne nymphomane.

« Mmmmh... vous voulez... que je me nettoie ou... haaaa, me punir encore ? »

Elle respirait fort, son cœur battait si vite après tout, mais surtout, elle était si excitée ! Dire qu'à son réveil, elle était contre tout ce qui avait suivit, maintenant, c'est de stopper la machine en marche qu'elle serait contre ! La jeune femme resta à genoux, mais se tourna de sorte à lui tourner le dos, s'abaissant en avant pour lui montrer sa belle paire de fesses bien ferme.

« Maîtresse... Vous voulez jouer avec mon gros cul ? »

Velma n'était pas si ronde, elle avait de légères rondeurs sur le corps, ce qui lui allait bien, mais c'est sûr que si Amélie tape dedans, elle allait bien rebondir ! Après, elle a demandé si elle voulait jouer avec, elle n'a jamais parlé de pénétration, elle pouvait juste la punir avec sa main ou un jouet ? C'était possible. Velma sentait sa mouille couler entre ses cuisses, plus excitée que ça, ça faisait bien longtemps que ça n'était pas arrivée !

Velma était en train de se libérer, de sortir de ce cocon dans lequel elle se glissait. Amélie réfléchissait doucement à ce qu’elle allait faire. Elle avait réveillé un volcan, et elle comptait bien tenir la barre. Mais s’attendait-elle à une telle perversion de la part de Velma ? Ça, clairement pas ! Sa partenaire la surprenait admirablement, et Amélie soupira doucement après avoir joui et uriné en elle et sur elle. Elle vit ensuite Velma se déplacer, venant lui présenter ses fesses. La verge de Widowmaker se durcit à nouveau. La femme était certes une espionne calme, elle n’en restait pas moins une femme passionnée, et cette passion était en train de s’exprimer en ce moment. Amélie se redressa doucement, se rapprochant de Velma, et sourit à celle-ci.

« Tu es vraiment incroyable, toi… »

Amélie la regarda lentement. Elle disposait de tout un tas d’outils dans les profondeurs de son bunker pour s’occuper de Velma, et elle comptait bien les utiliser… Mais, pour l’heure, sa priorité était de s’occuper d’elle. Sa verge s’élançait encore, impatiente, fièrement élancée. Elle se rapprocha donc de Velma, et attrapa ses fesses.

« Tu es une vraie traînée, toi… Aboie comme une bonne chienne, vu que je compte t’enculer très fort ! »

Widowmaker soupira doucement, et sa verge se frotta contre la croupe de la jeune femme. Elle soupira encore, puis la pénétra ensuite, sans attendre davantage. La soif de Velma appelait une réponse forte et rapide, réponse qu’Amélie lui donna sans attendre. Elle la sodomisa donc avec force, grognant en sentant sa queue heurter les parois anales de la jeune femme. Les parois anales de Velma se heurtèrent à sa verge, et elle grogna sur place, avant de filer d’avant en arrière, pinçant et fessant les fesses de Velma, la battant pour se donner du courage.

La douleur afflua en elle, exquise et savoureuse.

« Allez… Aboie, sale chienne ! Aboie, ma salope !! »

Amélie avait ouvert la boîte de Pandore, elle allait devoir en assumer les conséquences, car si d'ordinaire, Velma n'était pas fermé aux relations sexuelles, surtout avec une belle femme, elle avait toujours tendance à retenir ses fantasmes, ses envies les plus étranges qui pouvaient donner bien des regards étranges qui lui seraient destiné, mais là, si la jeune femme était prête à accepter cela, elle allait avoir une amie pas comme les autres. Même si son corps était couvert d'urine, cela ne la dérangeait pas outre-mesure, viendra un moment où ça allait coller et devenir gênant, mais elle n'en était pas encore là, pour le moment, l'excitation était à son comble, elle lui présentait son cul comme elle l'avait jadis fait avec Scooby, le chien d'un de ses amis. Elle s'était faite grimper dessus, prise par un chien, comme une chienne qu'elle était et elle avait adorer ça ! Ses goûts étranges, la peur d'être surprise, oh oui, Velma n'était pas une femme ordinaire, Widowmaker ne voyait que la surface de cet iceberg qui allait changer sa vie. Elles s'étaient peut-être même trouvées pour ça, mais elles ne faisaient que gratter la surface.

Velma présentait son beau cul qui n'attendait qu'à se faire prendre, se faire fesser, mais la belle femme à la peau légèrement bleutée rajoutait une couche à cela, voulant entendre la demoiselle aboyer comme la chienne qu'elle était. Face à ses propos, elle sentait son cœur battre la chamade, une nouvelle bouffée d'oxygène alors que sa queue se rapprochait, touchant son cul avant de doucement s'enfoncer en elle. Velma serrait ses poings en gémissant déjà de plaisir alors qu'Amélie cherchait à trouver la meilleure position pour la prendre, elle devait déjà faire plaisir à sa maîtresse.

« Haaaaan.... Wooooooouf~ haaaaa huuuuuuuuuuu ! »

Cela ne faisait que commencer, l'espionne commençait tout juste à se sentir en elle, prendre place et installer son rythme, instaurant quelques pincements, mais surtout quelques fessées qui faisaient vibrer son cul, son plaisir ne faisant que grimper encore et encore ! Mais Velma était loin d'en être pleinement satisfaite, car elle allait non seulement outrepasser son ordre de parler en chienne, mais elle allait lui demander quelque chose en plus !

« Haaaaan, Maîtresse... Plus fort ! Baisez-moi plus foooort haaaan ! Et fesser moi plus fort ! »

Oh oui, Velma ne voulait pas quelques fessées pour se sentir émoustillée, elle voulait sentir la marque de sa main sur son cul, sentir la chaleur de sa claque sur sa chair, qu'après-coup, elle voit bien la trace de sa main graver sur sa peau. Oui, Amélie n'avait pas trouvé une petite amatrice de SM, même si la demoiselle n'avait jamais poussé ses fantasmes bien loin, elle savait d'instinct qu'avec elle, elle pouvait dépasser ses limites. Reprenant son rôle de chienne, elle couinait et aboyait de plaisir sous les coups de butoir de la belle femme, sous ses fessées plus prononcé qui la rendait encore plus chaude et plus heureuse ! Elle en mouillait même un peu plus en tirant la langue pour aboyer, observant le vide avec plaisir, car son plaisir n'était pas dans ses yeux, mais dans son cul, sur son cul aussi.

« WOOOOOOOOUF !!!! AWUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !!!!!! »

En restant à quatre pattes, elle tentait doucement de plus s’allonger sur le lit, juste pour mieux bomber son cul afin que l'espionne ait une meilleure prise pour lui défoncer le cul comme il se doit. Elle était si incorrigible ! Pour peu que cela plaise vraiment à Widowmaker, elle venait d'adopter une vraie petite chienne en manque, car si elle laisse la porte entrouverte, pour sûr que Velma va revenir l’appeler Maîtresse pour pouvoir recommencer à subir ce genre de choses. Le mot « salope » était encore trop gentil pour définir Velma.

Amélie devait bien admettre qu’elle n’avait pas vu venir cette perversité chez cette femme. Elle avait le sentiment d’avoir réveillé un volcan de luxure, une force phénoménale qui ne demandait qu’à être satisfaite. Amélie avait donc commencé à la sodomiser, et elle ne tarda pas à entendre Velma aboyer joyeusement, comme pour confirmer qu’elle aimait ça. Un peu dépassée par les évènements, Widowmaker se devait toutefois de reprendre les rênes. C’était elle qui dirigeait les choses ici ! Elle grogna sur place, sentant sa verge s’enfoncer dans le joli fondement de Velma. Ses parois anales se dilatèrent autour de ce membre épais, et Amélie la fessa dans la foulée. Velma se tortilla sur place, et demanda à ce que sa Maîtresse y aille plus fortement.

« Hmmm… Tu… Tu es vraiment incroyable, toi ! »

Widowmaker était surprise par un tel élan chez Velma, et cela l’excitait fortement. Sa queue gonflait, durcissait dans le fondement de sa partenaire. De simples claques ne lui allaient pas ? Grognant sur place, Amélie gifla encore plus sèchement le cul de Velma, laissant une belle marque rouge sur sa fesse. Elle déplaça ensuite son autre main, et attrapa la laisse de Velma, puis tira dessus. Elle étrangla ainsi un peu Velma, et tira encore en arrière, relevant le corps de Velma, et continua son office.

L’espionne commençait à la sodomiser puissamment, s’enfonçant jusqu’à la garde en elle.

« Oui, sale chienne ! Hmmm… Fichue salope, une vraie pute ! »

Widowmaker l’insultait avec voie, curieuse de voir jusqu’où Velma irait avant de jouir, de succomber à l’orgasme, qui était désormais la prochaine étape de leur union improbable !

Belle et heureuse Velma, elle était vraiment incroyable ! À ce stade, Amélie avait vraiment du mal à dire jusqu’où leur relation pourrait aller. Initialement, elle avait juste prévu de s’envoyer en l’air avec cette salope avant de la ramener chez elle ou de la supprimer à défaut. Mais, maintenant, Amélie n’en était plus si sûre. Se débarrasser d’une telle femme, ce serait du gâchis, non ? Velma était incroyable ! Amélie la sodomisait avec force, et elle sentait qu’elle ne faisait que titiller le volcan qui se trouvait devant elle. Tout cela motivait Amélie, et lui donnait envie d’en savoir plus. Sa personnalité avait été étouffée sous l’effet des traitements chimiques infligés par Talon, mais son désir sexuel, lui, était resté, et n’avait même cessé de croître. Qui sait si elle ne risquait pas de trouver en Velma une occasion merveilleuse de satisfaire ses soifs ?

« Oui, salope, tu… Hmmm… Tu es ma salope, ma traînée, sale pute !! »

Un orgasme traversa finalement le corps de Velma. Ce fut un magnifique orgasme anal. Velma s’abandonna au plaisir suprême, tout comme Amélie. Widowmaker s’abandonna au plaisir suprême à son tour, jouissant dans le cul agréable et chaud de Velma. Une décharge foudroyante la traversa, et elle banda les muscles, crachant sa semence, éclatant dans son fessier. Elle lui inonda l’intérieur du cul pendant de longues secondes, jouissant avec bonheur.

Amélie se calma ensuite, et se retira du fondement de Velma, qui tomba sur le sol. La jeune journaliste était méconnaissable, et Amélie l’observa à nouveau. Un peu sonnée, la femme bascula en arrière, et s’assit sur son fauteuil, où elle sortit une cigarette. Elle prit le temps de l’allumer, et fuma, tirant sur la cigarette en observant les volutes de fumée s’élever devant elle. Elle inhala ce tabac, reprenant ainsi ses esprits.

« Maintenant que tu as joui… Es-tu prête à devenir mon esclave ? À me servir fidèlement ? Ce que je t’ai fait ce soir n’était qu’un avant-goût de tout ce que je réserve. Engage-toi à me servir, à être… Mon inconsidérable salope. Jure -moi tout ton amour et ta fidélité, ma petite pute… Et tu pourras embrasser pleinement ta nouvelle existence ! »

Que c'était bon de pouvoir enfin se lâcher et être celle qu'elle a toujours été au fond d'elle ! Aussi improbable que ce soit, cette Velma n'était que la partie immergée de l'iceberg, si elle fréquente plus souvent Widowmaker, elle verra combien sa perversion était à un tout autre niveau. Elle laissait échapper le trop-plein pour le moment pour se soulager un peu, mais la tueuse verra bien que la jeune détective avait un gros manque de sexe à combler et qui sait, elle sera peut-être la clé qui allait ouvrir la boîte de Pandore ? Dans cette position pleine qui était à elle seule une ode à la luxure, Velma venait jouir, laissant sa cyprine s'expulser fatalement pendant que son cul se remplissait d'une douce chaleur crémeuse dont elle raffolait tant. Sa maîtresse ne le voyait pas, mais le visage de Velma était en pleine extase, elle était heureuse, très heureuse !

Son corps se relâchait enfin, Amélie en profitait pour fumer une cigarette en lui faisant une offre, mais Velma était comme assommée pour le coup. Allongée, elle mit un certain temps à se relever pour avancer à quatre pattes vers elle, posant sa tête sur sa cuisse, voyant sa bite se reposer de l'effort dont elle avait fait preuve. Sa tête posée sur sa cuisse, comme le ferait une chienne, elle finissait par lever les yeux vers sa maîtresse, pleine de grâce et de beauté avant de doucement hocher la tête.

« Je veux devenir votre jouet, Maîtresse... Être votre salope, votre chienne, votre pute, peu importe le nom que vous me donnerez à l'avenir... Pourvu que me baiser avec autant d'amour et de force qu'à l'instant... Je vous promets de vous lécher les pieds dès que l'occasion se présentera pour nous deux... Maîtresse. »

Aussi soumise pourrait être Velma, elle avait certaines obligations de son côté, elle n'allait pas quitter une enquête, une mission avec le SHIELD sur un simple ordre de Widowmaker, quitte après à ce qu'elle se venge, elle avait une certaine limite à tout cela. De même qu'elle ne vendra aucune information liée à son travail et rien de sa vie d'esclave à ses côtés, n'ira au SHIELD. Après, si un jour, ils en ont après elle... Elle ne préférait pas imaginer un tel scénario. Sans en attendre l'ordre, elle venait prendre sa queue en bouche, nettoyant sa sublime verge pleine de foutre, de quoi lui faire plaisir pendant sa pause cigarette et se préparer à la suite. Elle prenait son temps, la nettoyant, lui redonnait peu à peu sa fermeté, sa vigueur, elle mettait du cœur à l'ouvrage, restant assise entre ses cuisses, elle aimait être à ses pieds, comme une bonne chienne. Elle attendait avec impatience le prochain ordre de sa maîtresse, après en avoir pris plein le cul avec tant de plaisir, elle se disait qu'une telle maîtresse pourrait réussir à donner vie à bien de ses envies... Ce ne sera pas tout de suite, mais... Elle avait hâte.

« Maîtresse... Je veux être une bonne chienne... Pouvez-vous me dire ce que vous attendez précisément de moi ? Je veux devenir indispensable à votre bonheur, peu importe vos demandes, vos envies... Je veux être une bonne chienne. »

Une bonne chienne doit faire quoi pour Amélie ? Tendre son cul ? Avaler sa queue ? Avoir la chatte constament remplit ? Se balader toujours à quatre pattes, nue comme une vraie chienne ? Elle était prête à faire bien des choses humiliantes pour elle. Derrière ses lunettes, il y avait des petites étoiles dans ses yeux, sa demande était aussi sincère que lorsqu'elle criait et se débattait pour ne pas mourir.

Domptant la belle perverse, Amélie se demandait quoi en faire. Velma en avait trop vu, et l’option la plus simple était encore de la supprimer. C’était simple, sans prise de tête, sans risques… Mais cela conduirait aussi Amélie à se priver de cette délicieuse partenaire, cette incroyable perverse qui semblait n’avoir aucune limite ! S’amusant de cela, Amélie la laissa parler. Velma lui confirma sans ambiguïté vouloir être son esclave. Amélie commença à réfléchir davantage à la suite des évènements, et se rapprocha de Velma. Elle s’assit à califourchon sur elle, continuant à tirer sur sa cigarette, la finissant tranquillement. Son regard croisa le regard envieux de Velma, un regard chargé du désir le plus sincère et le plus honnête qui soit.

« Soit… Mais tu dois savoir qu’il ne faut pas mélanger travail et vie privée. Tu ne dois parler à personne de ce que tu as vu ici, petite fleur. Pour les autres, tu n’auras qu’à dire que nous nous sommes rencontrées sur Internet. »

Amélie avait elle aussi besoin de déménager. Elle finit sa cigarette, et la jeta dans un cendrier. La jeune femme se pencha ensuite davantage vers sa partenaire, jusqu’à poser ses bras croisés sur sa taille. Les lourds seins de Velma frottaient contre elle.

« Nous allons emménager en centre-ville. Tu seras ma petite salope, tu pourras continuer à travailler, et je te punirai tous les soirs. Ensuite, on verra comment diversifier nos activités. Je pense avoir quelques idées, mais je préfère te laisser la surprise. »

Cette rencontre était assez exceptionnelle, atypique, et cela ne risquait pas de changer. Amélie se releva encore, s’étirant avec plaisir, faisant crisser sa combinaison.

« Peut-être que tu veux un avant-goût ? Je suis sûre qu’une salope comme toi a dû entendre parler du shokushu. »

Le shokushu, un terme nippon pour désigner l’art érotique des tentacules. Un indécrottable fantasme qui amena un léger sourire amusé sur les délicates lèvres d’Amélie.

« Disons que j’ai de quoi satisfaire quelques pulsions ici… Si cela t’intéresse, ma petite chienne ♥… ! »

Velma était envoûtée par Amélie, la belle jeune femme en combinaison si serrée la traitait comme une chienne, elle la dominait sans même avoir besoin de se montrer menaçante. La mèche étant bien allumée, elle écoutait et obéissait, son instinct étant docilement réprimé, elle laissait juste parlé ce côté salope qu'elle enfermait bien trop souvent en elle, là, la limite n'était que son imagination, ou celle de sa maîtresse. Mais, quelque chose lui disait que la belle Amélie était loin d'être prude et de s'offusquer pour si peu. Son regard était sévère, elle observait Velma et rien que son regard était une caresse le long de son corps nu, elle buvait ses paroles et hochait de la tête mécaniquement. Même quand elle travaillait pour le SHIELD, l'ARGUS ou autres, son avis était surtout demander pour les cas paranormaux, rarement sur les tueurs en série ou autres donc peu de chance, si ça se sait, qu'on lui pose des questions sur Widowmaker. Mais même ça, elle ne risquait pas de vendre la mèche. Si l'avenir était aussi prometteur qu'elle le pensait, jamais elle ne vendrait ses informations, il faudrait user de magie ou autre pour lui soutirer ce genre de choses ! Et qui sait, en compagnie de Velma, Amélie pourrait s'adoucir et retrouver une sorte de droiture ?

Cependant, jamais Velma n'aurait pensé que sa maîtresse veuille déjà emménager avec elle ! Qu'elle lui ordonne de venir ici ou ailleurs tous les soirs, ça lui semblait normal, c'était sa maîtresse, mais qu'elle la veuille intimement à ses côtés, c'était une surprise ! Une très agréable surprise qui faisait battre son petit cœur derrière sa poitrine. Si elle aurait été une vraie chienne, sa queue aurait battu de gauche à droite avec une telle force que ça serait devenue des coups de fouet ! Et la promesse de surprise, cela ne faisait qu'égayer encore plus sa soirée, et attisée sa curiosité ! Amélie avait quand même un avant-goût à lui proposer, pour prouver que ce n'était pas des paroles en l'air faite pour assouvir sa faim insatiable. C'est vrai que ce délire de tentacules était curieux au Japon, mais Velma n'était pas contre d'essayer. Ce n'était pas ce qui était en haut de sa liste de souhaits, évidemment, mais si cela attirait les faveurs d'Amélie pour qu'elle lui offre plus ensuite, elle s'y jetterais avec joie dedans !

« Oh, Maîtresse~ »

Ce ton, ce regard, inutile de plus de mots que cela, elle en était toute excitée, mais Amélie lui promettait tant de belles choses. Elle était comme une ado devant sa star favorite qui lui tenait les mains, yeux dans les yeux, en lui promettant sa vie rêvée de glamour, de paillette, d'un somptueux mariage et de beaux enfants. Sauf que là, elle lui promettait sévisse, torture et luxure déviants, mais le regard de Velma était conquis. Elle allait la suivre, peu importe le couloir qu'elle allait lui montrer, en chienne docile et ayant une totale confiance envers sa maîtresse, elle allait la suivre sans craindre ce qui pourrait arriver ensuite.

Amélie mit un collier autour du cou de Velma, et le relia à une laisse, puis tira dessus, ordonnant à Velma de la suivre. La jeune femme se déplaça à quatre pattes, et Amélie quittaz la chambre. C’était son bunker ici, une petite base spéciale fonctionnant de manière autonome. Elle était la seule à bord, et la base était en réalité plutôt petite. Elle disposait néanmoins de quelques pièces. Rejoignant la pièce centrale de son bunker, Amélie appuya sur un bouton, et, dans un bip, une porte coulissa. Elles rejoignirent un petit ascenseur, et descendirent à un niveau souterrain. Les deux femmes traversèrent ensuite un couloir, et rejoignirent une grande pièce sombre. Amélie appuya sur un interrupteur, et un projecteur au plafond s’illumina au centre, éclairant un petit espace avec un lit.

« Va ici, chienne. »

Elle la laissa faire, et s’écarta, fermant la porte derrière elle. Widowmaker monta ensuite un escalier menant à une salle de contrôle surplombant cette salle. Elle s’assit sur son fauteuil en cuir, et observa depuis des baies vitrées ce hall d’entraînement. C’était ici qu’elle s’entraînait, comme des mannequins, mais aussi contre des robots. Talon était une organisation redoutable, qui compensait son faible nombre de soldats par une technologie très développée, permettant d’avoir des clones et des androïdes de combat.

Widowmaker déclencha rapidement le programme d’entraînement. Toute la pièce se mit à vibrer, et elle chargea des programmes particuliers qu’elle avait développés ici.

« Ceci est une salle d’entraînement virtuelle, ma chérie. Je m’en sers pour apprendre à me battre, mais cela sert aussi à d’autres choses… Il y a des miroirs holographiques sur les murs. »

Elle pianota encore, et les serveurs de la salle se mirent en marche. Le décor évolua peu à peu, et une trappe s’ouvrit sur le plafond, ainsi que d’autres. Des tentacules métalliques ne tardèrent pas à émerger, se rapprochant de Velma, et s’ouvrirent ensuite, révélant une surface plus lisse, plus douce, mais aussi collante, caoutchouteuse, ressemblant à du latex. C’était en fait des tentacules de slime que les tentacules métalliques généraient.

Ils se rapprochèrent de Velma. Couchée sur le lit, elle sentit les tentacules s’enrouler autour de ses poignets, de ses chevilles. Ils étaient froids, et s’enroulèrent autour de sa peau, adhérant à celle-ci, libérant une sorte de petit mucus qui les rendait plus collants. D’autres tentacules se rapprochèrent encore, et s’enroulèrent autour du ventre de Velma et de son cou, la soulevant du lit. Elle put sentir les tentacules remuer sur elle, et des tentacules phalliques se rapprochèrent alors.

L’un d’eux se glissa contre son bassin, et s’enfonça rapidement dans sa chatte, se glissant entre ses lèvres intimes, tandis que d’autres continuaient à se rapprocher, et que les tentacules la retenant n’hésitaient pas à se comprimer sur place, l’étranglant légèrement, la comprimant, l’empêchant de trop bouger, lui permettant juste de ressentir…

Velma écoutait Amélie, refusant la possibilité de ne pas lui obéir, elle la servait fidèlement, car elle voulait que cette femme puisse lui offrir ce qu'elle cachait au fond d'elle si profondément que même elle, aurait du mal à croire que ce soit une idée excitante. Même si actuellement, elle laissait libre cours à ses envies, cela n'a pas toujours été le cas, c'était même très rarement le cas, il fallait la pousser, la bousculer, la forcer à sortir de sa zone de confort. Et encore, là, elle paraît très cochonne tout simplement, mais ce n'était que la partie immergée de cet iceberg. Widowmaker n'avait pas conscience du caillou qu'elle avait en main. Au-delà de son potentiel, c'était une vraie mine d'or à elle seule ! Ce qu'elle pourrait trouver chez plusieurs partenaires différentes, Velma les avaient. Elle n'avait pas toutes les qualités que pourrait rechercher la jeune femme, sur le plan physique en tout cas, mais sur le plan moral, elle sera servie ! Certes, elle n'était pas très grande, ni très musclée ou très souple pour permettre bien des fantasmes liés à une souplesse incroyable ! Elle n'avait pas la taille mannequin de la mode des grandes marques de luxe où les filles sont si minces qu'on dirait un stylo avec des cheveux. Mais quand Amélie se rendra compte du potentiel de Velma... Elle en sera bluffé.

Suivant cette dernière à quatre pattes, elle ignorait où elle allait arriver, mais elle s'en fichait, à vrai dire, même le chemin, elle n'y faisait pas attention, elle gardait le nez lever vers Amélie, observant la jeune femme – du moins son dos et surtout ses fesses – marcher devant elle et la diriger, la laisse en main. Velma n'était pas forcément un bon exemple pour la lutte des femmes, elle voulait être asservie et dominée. Même si actuellement, elle avait une maîtresse et que de base, elle préférait les femmes aux hommes, si elle aurait croisé la route d'un homme sachant lire en elle, elle aurait pu être tout aussi docile. Arrivant dans une pièce, elle grimpa sur le lit, comme le demandait sa maîtresse avant de la voir partir, apparaissant de nouveau en hauteur, dans une autre pièce, observant la suite des événements. La salle vibrait, elle ignorait exactement de quoi il allait s'agir ? Elle se souvenait bien de ce que Widowmaker avait proposé avant de quitter l'endroit où elles étaient juste avant, mais elle avait encore du mal à voir ça en vrai ? Et pourtant, de long tentacules de métal descendaient du plafond, allant vers elle. Ses derniers semblaient cracher quelque chose qui les rendaient fluide et collant avant même qu'ils ne commencent à s'enrouler autour de ses membres.

Velma n'avait pas peur, elle était confiante, elle cherchait juste Amélie du regard, voulant être sûr que sa maîtresse observait ce qui se passait sans en perdre la moindre miette et non qu'elle la lâchait ici juste pour avoir la paix. Une fois rassurés, les tentacules continuaient de suinter de ce liquide qui se propageait sur sa peau, la rendant sûrement poisseuse, soulever par les machines, elle ne tarda pas à en sentir un se glisser entre ses cuisses, lui arrachant un petit cri de plaisir, enfin.

« Hyyyyyaaaan ! »

Et enfin commençait ce jeu où la jeune femme était prisonnière de ses machines, elle les laissait faire car elle ne pouvait pas faire autrement – et elle ne voulait pas allez contre non plus – en sentant des choses la pénétrer, se serrer autour d'elle que ce soit pour la maintenir ou légèrement l'étrangler, pile ce qu'il fallait à vrai dire, elle ne pouvait que regretter qu'Amélie ne soit pas plus près d'elle. Elle savourait chaque chose qui se produisait, un mélange de plaisir, de souffrance, de honte, autant définir le bonheur revisité par Velma. Elle se tortillait doucement, offrant la vue de son corps à sa maîtresse, couinant, gémissant, qu'elle en ai conscience ou pas encore, Velma était parfaite !

Les tentacules métalliques s’attaquaient au corps de Velma. Ils étaient nombreux, présentant une pointe plus élastique, moins douloureuse que de l’acier. Les tentacules la soulevèrent, et deux s’empressèrent de la pénétrer, s’enfonçant respectivement dans son vagin et dans son fondement. Soulevée au-dessus du sol, Velma n’était plus qu’une délicieuse poupée sexuelle, dont le corps était pris d’assaut par cette flopée de tentacules assoiffés. Ils s’enroulaient autour de ses jambes et de ses bras, la décollant du sol, la maintenant à l’aise, remuant et vibrant sur elle. Elle était assurément heureuse, prise ainsi, remuant dans tous les sens. Les tentacules la besognaient avec passion, une passion longue et profonde, la faisant gémir et couiner. Pour elle, il n’y avait aucune autre échappatoire, mais elle aurait peut-être pu commencer à se languir de sa Maîtresse…

La porte par laquelle Velma était entrée s’ouvrit alors, et Amélie fit irruption. Maintenant qu’elle avait déclenché la machine, Amélie pouvait venir. Elle contrôlait toujours les tentacules, à l’aide d’un petit appareil niché dans son oreille, une sorte d’appareil neuronal qui lui permettait de les contrôler à distance. Les tentacules étaient toutefois relativement autonomes. La main d’Amélie caressa la jambe de Velma, et glissa sur son pied. Elle pinça ses orteils, et se déplaça alors, jusqu’à entrer dans le champ de vision de Velma. Elle sut, en la voyant, que Velma se sentirait rassurée. Sa Maîtresse était là, bel et bien là, elle voulait continuer à jouer avec elle, et non s’en débarrasser. Elle caressa alors sa joue, et laissa un tentacule s’enrouler autour du cou de Velma, avant de s’enfoncer dans la bouche de la jeune femme, l’empêchant de dire quoi que ce soit. Ce n’était toutefois pas nécessaire, son seul regard suffisait.

« Oh, ma petite chérie… »

Amélie sourit encore, et l’embrassa doucement sur la joue. Un geste affectueux, mignon, tendre, alors que Velma était prise de toute part.

« J’ai reprogrammé ces tentacules à des fins plus sexuelles… J’ai passé des heures dans ces tentacules, à me faire baiser de toute part, à les laisser me prendre sans relâchement. C’est un grand honneur que je te fais ! »

Widowmaker s’amusait de cette situation, jouant avec elle. Pour l’heure, ses seins étaient à l’air libre, et Amélie alla s’y attaquer, posant ses lèvres dessus. Elle pressa son téton avec appétit, mordillant cette zone, s’y appuyant avec délectation !

Velma subissait des choses qu'elle n'avait pour le moment jamais vécues, mais qu'elle en était heureuse ! Certes, le coup des tentacules, une chose très japonaise, n'a jamais été en tête de sa liste de fantasmes, mais de dire qu'il n'en a jamais fait partie, ce serait mentir. La jeune femme était un appel à fantasme, tout ce qu'il y avait de salace ou dégradant, elle voulait le vivre, au moins une fois ! Il y avait certaines limites où là, non, ce n'était plus du plaisir ou du sexe pour elle, mais juste une chose dégoûtante. En venir à se mutiler, faire ça avec des déjections ou vider son estomac, non, une des rares choses où elle ne s'était jamais posé la question de savoir si c'était à essayer ou non. Autant l'urine, elle pouvait faire avec, mais plus, oh ça non ! Mais par contre, être dans un glory hole, au milieu d'un gangbang ou servir de chienne à des chiens en rutes, oh là, elle était volontaire ! Amélie aura tellement à faire vivre à son esclave !

Au milieu de ses tentacules, elle était ravie que sa maîtresse puisse apprécier la vue, mais c'est sûre que pour Velma, rien ne vaut le plaisir de jouer avec sa maîtresse, au moins l'avoir près d'elle, voir dans ses yeux la joie ou le dégoût de cette pute qui l'aimait tant. Ce serait vite dit qu'elle était amoureuse d'Amélie ou voulait une famille, pour le moment, elle voulait juste être sa chose, vivre bien des choses en étant tenue en laisse par cette sublime femme à la peau bleue. Les choses remuaient autour d'elle, se glissant dans son corps pour lui soutirer de multiples couinements de plaisir, elle se tortillait dans bien des sens, mais cela ne changeait rien à son traitement. Par surprise, Amélie débarquait, glissant ses doigts le long de son corps, venant près d'elle, faisant augmenter ainsi le plaisir et le rythme cardiaque de la belle. Un des tentacules venait se glisser dans sa bouche, l'empêchant de dire quoi que ce soit mais cela ne l'empêchait pas de couiner au moins.

« Mmmmmmmmhhhhhh~ »

Mais cela fut pire quand elle s'approcha encore et commença à s'occuper de sa poitrine, sa bouche la pinçait, ses dents la mordillaient, oh, elle en voulait tellement plus ! Velma était si gourmande ! Elle ne voulait pas aller jusqu'à être vraiment blessée, mais Amélie pouvait y laisser ses marques de dents dans cette chair si tendre et moelleuse, elle en serait toujours aussi contente ! Elle était bloquée, immobilisée par ces choses, privée de parole, mais son regard avait tant à dire alors qu'elle voyait sa maîtresse se pencher sur elle, pendant qu'elle était réduite à se faire baiser par les tentacules. Tout cela restait plaisant, très plaisant, mais rien ne vaudrait toute l'attention de sa maîtresse, que son corps soit tant torturée par Amélie, dans bien des sens. Elle verra bien, une fois libérée de cette machine, elle aura l'occasion d'être le jouet de sa maîtresse, c'était ce qu'elle attendait avec tant d'impatience ! Son corps était chaud, elle mouillait, elle bavait, elle était une ode à la luxure, Lust aurait pu elle-même fabriquer cet être qui n’appelait qu'au sexe. Elle était si gourmande, si peu de limite devant elle, et son côté humaine banale pour cacher une des pires salopes que Yoake n'ai connue... Elle était un bijou très précieux, oh ça oui.

La pièce dans laquelle elles se trouvaient était très particulière. Velma ne l’avait pas encore réalisé, mais ce n’était pas une pièce ordinaire. Cela, elle allait toutefois vite en prendre conscience, car, tandis qu’Amélie s’amusait avec elle, la salle toute entière travaillait. C’était une grande imprimante 3D, capable de concevoir des pièces spécifiques. Et c’était justement l’une de ces pièces qui se fabriquait en ce moment. Les tentacules continuaient à prendre Velma, mais Amélie avait clairement senti le désir de celle-ci croître quand elle était arrivée, explosant sur place. Oui, Velma était heureuse de la revoir ! Amélie retira donc le tentacule dans la bouche de la femme, tout en se glissant dans son dos. Ainsi, sans déranger les tentacules, elle put embrasser sa belle. Ce fut un baiser passionné, émanant d’une affamée. Velma avait une envie furieuse de lui faire l’amour. Amélie avait de toute évidence réveillé un monstre, une femme pleine de passion, de soif, de désir… Oh, quelle vision excellente ! Amélie partagea donc avec elle un langoureux baiser, pressant sensuellement et voluptueusement son corps contre le sien.

« Là, là… Ma pauvre petite, tu as un tel manque d’affection en toi… »

C’était une réalité incontestable, de toute évidence ! Pendant ce temps, la pièce évoluait, prenant une couleur rose. Les murs, le sol, le plafond, se recouvraient d’un mur rose, tandis qu’un grand lit était en train de se faire à proximité. Amélie avait programmé la conception d’une chambre de poupée, une belle chambre rose où elles allaient pouvoir s’envoyer en l’air.

« J’ai encore très envie de te faire l’amour, ma chérie… Je compte même furieusement te baiser, tu sais ♥ ! »

Elle dit cela sur un ton amoureux, un sourire enjoué sur le coin des lèvres. Les tentacules libérèrent finalement Velma, tandis que le lit s’était formé. Velma tomba au sol, sur le tapis, aux pieds d’Amélie, qui s’assit sur le rebord du lit. En écartant ses jambes, elle révéla l’accès à sa verge, et en profita pour tirer sur la laisse de Velma.

« Allez, petite chienne, tu sais ce que tu dois faire, non ? Ma queue a très envie qu’une petite bouche de traînée vienne la pomper ! »

Velma était une jeune femme très gourmande ! Quand on avait appuyé sur le bon bouton, il était trop tard pour faire demi-tour, il fallait calmer la bête pour retrouver cette gentille jeune femme qui saura être douce et maline. Mais pour l'heure, c'était un portail de luxure à elle seule ! Prise par les tentacules, les rôles étaient inversés, car c'était elle le jouet, pas ces choses. Ils la pénétraient de partout, son corps remuant dans bien des sens, sous le regard d'Amélie. Espéreront qu'elle aimait le spectacle au moins ! Derrière ses lunettes, Velma voyait la belle femme à la peau bleutée, elle l'observait, la touchait, mais la savoir si proche était une torture, car elle la désirait ! Elle pouvait très bien avoir Amélie comme simple spectatrice pendant qu'elle se faisait baiser, mais alors il faut quelque chose de vivant pour elle, homme, femme, animaux, monstre ? Pas une simple machine ou un sex-toy. Si encore Amélie serait bien installé, à la contempler, elle pourrait se montrer plus calme mais elle était si proche, elle le voyait bien... Sa maîtresse la désirait aussi.

« Mmmmmmhhhhh !!!!!! »

Par chance, sa bouche fut libérée, mais un baiser arriva et Velma le dégusta langoureusement ! Un baiser passionnée et furieux, elle sentait sa langue parcourir sa bouche, comme celle de Velma, la jeune femme voulait récolter le goût de sa maîtresse, le plus longtemps possible ! Chaque parcelle de son corps se blottissant contre elle, elle enregistrait chaque sensation, autant que possible ! Une fois le baiser terminé, elle ne tardait pas à être libérée, se trouvant dans une tout autre pièce, plus... rose, certes, mais cela n'avait rien à voir avec l'endroit où elle était arrivée. Mais ce n'était qu'un détail, le décor. Sa maîtresse prenait place sur le lit, avec une envie très clair en écartant les cuisses. Elle frissonnait déjà à cette idée ! Velma approchait à quatre pattes, ne voyant que sa queue qui se tendait pour elle ! Obéissante, elle prenait sa queue entre ses lèvres et elle disparaissait plutôt rapidement dans sa bouche. Elle la léchait et la suçait avec envie et passion, sa séance avec les tentacules l'avait follement excitée, l'approchant de l'orgasme sans le lui donner alors oui, elle n'était pas en feu, c'était un volcan qui menaçait d'exploser !

Elle remuait donc tout son corps pour une simple fellation, qui se transformait même bien vite en gorge profonde ! Elle s'étranglait presque, toussant avec sa queue en bouche, expulsant de la bave le long de son menton, elle prenait un vrai plaisir à l'avaler, même sans être une experte dans ce domaine. La jeune femme avait bien des envies, mais peu de partenaires pour la suivre aussi loin. Même si ses yeux perlaient, que des bruits gutturaux se faisant entendre, elle était aux anges ! Elle n'était pas folle et se retira, reprenant son souffle, face à cette queue tendue, couverte de bave ! Même son visage exprimait celui d'une chienne ! Les lunettes toujours sur le nez, quelque peu de travers, la bave qui inondait son menton, un sourire détraqué, la chienne était contente !

« Oh maîtresse.... Maîtresse... »

Elle était juste heureuse de répéter ce mot, de sentir tôt ou tard Amélie réaliser ses fantasmes, la traitant purement et simplement comme une chienne ! Elle ne voulait pas qu'on la prenne comme une femme, mais comme un objet, une pute de bas étage sauf qu'elle ne méritait pas d'être payée. Qu'on se serve de son corps, qu'on la prenne dans tous les sens en lui faisant subir moult bukake, golden shower, et même, se faire écrire des insultes ou invitation sur le corps, au marqueur, elle en sera que ravie ! Si un jour Amélie décide de rester spectatrice pendant qu'une bande de personnes profite d'elle, dans tous les sens, pendant des heures, elle n'aimera Amélie que plus encore ! Et elle retourna dévorer cette queue, attendant patiemment sa récompense que crachera sa queue, peu importe que ce soit dessus ou dedans, Velma sera heureuse... heureuse de pouvoir encore rendre heureuse sa maîtresse avec son corps. Elle n'avait aucune honte, elle était totalement hors de son cocon, elle n'était qu'un pur avatar de la luxure !

Velma était incroyable ! Amélie avait l’impression d’avoir réveillé un monstre, et elle se demandait jusqu’où celle-ci était capable d’aller. Widowmaker était lovée contre elle, et Velma la pompait avec appétit. Les deux mains d’Amélie se serraient sur ses cheveux, et elle remuait d’avant en arrière, s’enfonçant avec appétit dans sa bouche. Sa belle verge élancée témoignait de sa soif, et, dans un râle, Amélie se mit à jouir. Un râle qui se transforma en un léger cri tandis que tout son corps sembla s’électriser. Elle se mit à jouir avec force, se pinçant finalement les lèvres, avant de dodeliner de la tête. Son corps oscilla d’avant en arrière, et elle s’assit sur le rebord du lit, reprenant ses esprits. De la sueur coulait le long de son visage, et elle baissa la tête vers Velma, reprenant peu à peu ses esprits. Devant elle, Velma avalait son sperme, mais Amélie savait ce qu’elle voulait.

« Il est temps de te faire jouir, petite salope… »

Amélie avait envie de voir où étaient les limites de Velma, jusqu’où celle-ci était capable d’endurer. La question était d’importance, car Amélie pouvait aussi se montrer très perverse. Widowmaker sourit doucement, et invita Velma à se relever.

« Grimpe sur le lit, ma petite pute… Je vais jouir en toi, maintenant. »

L’endurance sexuelle d’Amélie avait de quoi surprendre, car, alors même qu’elle venait de jouir, elle en avait encore envie. De fait, sa verge retrouva bien rapidement sa dureté, et elle embrassa Velma. Elle pinça ses fesses pendant quelques instants, sentant tout le désir de cette catin, et malaxa encore son cul.

« Donne-moi envie de te baiser… Dis-moi à quel point tu es une bonne petite salope en manque, une nymphomane qui attend que je vienne la troncher… Montre-moi à quel point je peux être fière de ma petite pute adorée ! »

Amélie ne savait pas quel bijou elle avait entre ses mains. Si elle voulait une femme douce, discrète, ce n'était pas une bonne pioche, mais si elle voulait une vraie chienne, par contre, elle avait trouvé la perle rare ! Elle suçait Amélie avec envie et appétit, elle sentait sa puissante queue dans sa bouche, allant au fond, même si parfois, elle lâchait quelques bruits étranges, mais après tout, quoi de plus normal. Elle avait beau être perverse, elle n'avait pas toute l'endurance qu'elle aimerais avoir. Elle la pompait sans se forcer, elle adorait ça, elle avait hâte de la sentir jouir dans sa bouche et cela ne tardait pas à arriver, la crème inonda sa bouche, coulant le plus souvent bien au fond, mais par chance, il lui en restait un peu en bouche. Même après avoir libéré ses lèvres, elle se léchait les babines, elle savourait chaque petite touche de sperme qu'elle avait en bouche. Entre les cuisses de sa maîtresse, elle profitait, elle était heureuse alors qu'Amélie lui demanda de grimper sur le lit.

Elle grimpait, se mettant à quatre pattes sur le lit, laissant sa maîtresse se languir, la caresser, la pincer, la fesser même si elle le voulait. Face à son cul bien rond, bien ferme et bien doux, voulant une excuse pour vouloir lui grimper dessus. De quoi l'aguicher et lui donner envie donc ? Oh ça, elle savait faire, elle pouvait même dire certaines vérités de sa vie intime. Se tenant d'une main, elle se caressait déjà sous les yeux de Widowmaker, agitant son joli fessier sous ses yeux.

« Mmmmh oh oui, Maîtresse, je veux que vous veniez me défoncer... La chatte... le cul... J'ai siiii envie de vous. Je suis une belle petite pute pour vous... je veux pas que vous... Mmmmh, je veux... que vous vous serviez de moi... être littéralement votre pute si vous en avez envie... Que vous voyez les autres, profitez de moiiiii huuuum... Avoir une bite en main, en bouche... qu'on se presse pour se servir de moi... mais pas que.... Une fois, han... une fois... »

Elle intensifiait le rythme de ses doigts, observant sa maîtresse avec plus d'intensité !

« J'ai été la chienne... d'un vrai chien~ mmmmmh... j'ai été sa chose et... et j'ai adoré me faire prendre par lui !!!! »

C'était un petit secret, mais dans ce genre d'ambiance, elle était autorisée à en parler, surtout que si tout se passe bien, tôt ou tard, Widowmaker saura tout d'elle, dans ce genre de petites choses du moins. Velma écartait les jambes, bien tendue pour former un V à l'envers, ce qui mettait bien son cul en chaleur, mais aussi son intimité qu'elle touchait avec beaucoup d'envie pour le plus grand plaisir de sa maîtresse.

« Haaaaan, je suis une vraie chienne en chaleur !!!! Je veux être un simple sac à foutre, tout juste bonne à vous vider les couilles, maîtresses !!!! Prenez-moi, défoncez-moi, utilisez-moi, je suis à vous, maîtresse !!! »

Vivement le collier et la laisse, qui sait, si tout se passe bien avec le temps, elle pourrait même se faire des tatouages pour sa maîtresse ? Écrire sur sa peau à qui elle appartient ? Écrire un joli « SLUT » au-dessus de son intimité ou sur son cul ? Même se faire percer quelques endroits, pourvu que cela rende sa maîtresse heureuse. Eh oui... Velma était une vraie salope si on s'occupe bien d'elle.

La perversité de cette femme semblait tout simplement sans limite. Elle mettait Amélie dans le doute. Elle la motiva du mieux qu’elle pouvait, lui expliquant qu’elle avait déjà été la chienne d’un « vrai chien ». Amélie se demanda pendant quelques secondes si elle parlait d’un ancien dominateur, ou d’un animal… Et sourit ensuite. Velma voulait se faire prendre avec force, elle ne voulait pas qu’Amélie la traite correctement, mais plutôt comme une salope en manque. Amélie sentait son cœur battre doucement dans sa poitrine. Une excitation lancinante était en train de se former en elle. Un désir puissant l’envahissait, avec une envie furieuse de ravager dans tous les sens son « sac à foutre ». Amélie sourit donc, et l’embrassa à nouveau sur les lèvres.

« Toi et moi, on va beaucoup s’amuser, Velma… »

Souriant malicieusement, Amélie l’embrassa à nouveau, et renversa Velma, la couchant à nouveau sur le lit. Elle se dressa contre elle, cherchant comment la prendre, comment satisfaire au mieux les pulsions nymphomanes très profondes de Velma. Mine de rien, cela représentait pour Amélie un sacré défi ! Elle avait déjà compris que Velma souhaitait qu’Amélie participe activement. Cela, Widowmaker l’avait compris, et elle comptait bien le faire. Dans sa combinaison rutilante, elle se déplaça donc, et commença à trouver une idée.

« Il n’y a que toi et moi ce soir, ma chérie, mais je compte bien parfaire ton éducation sexuelle par la suite… Qui sait ? Je ne pensais pas trouver un jour quelqu’un dont la perversité soit capable d’égaler la mienne… »

Elle était venue ici à la recherche de fantômes, mais, finalement, Velma avait trouvé encore mieux… Une Maîtresse ! Amélie testa donc la souplesse et l’agilité du corps de Velma, et souleva ses jambes, les ramenant au-dessus d’elle, en une position de semi-galipette. Elle ordonna ensuite à son esclave de se maintenir avec ses bras, et attacha ses poignets et ses chevilles au lit. Une posture magnifique qui permit à Amélie de prendre appui sur ses fesses. Elle lui sourit doucement, et donna une fessée sur son joli cul.

« Tu es prête ? La nuit est encore longue… Si tu arrives à m’épuiser, je t’adopterai comme esclave… Mais sache que personne n’a encore jamais réussi cet exploit, ma salope ! »

En attendant, elle comptait bien la pénétrer de nouveau…

Velma ne cherchait pas le grand amour, pas encore, elle cherchait des gens pour la dresser, la posséder. Subir leurs envies, obéir aux ordres pervers, honteux et dégradants pour elle. L'idée de partager sa vie avec quelqu'un, peut-être, plus tard. Soit l'envie manquait, soit elle voulait inconsciemment explorer sa sexualité si bien cachée avant de songer à autre chose. Par contre, appartenir à quelqu'un, n'être qu'un jouet, une chienne ou pire, pour cette personne... Son petit cœur battait si vite à cette idée ! Ce n'était que le début, mais Amélie se rendra vite compte qu'elle pourrait demander bien des choses à Velma, elle le fera ! Même si elle avait ses limites, les siennes étaient quand même un peu plus loin que le commun des mortels, se faire tatouer ou percer la peau, pas de soucis tant que ça restait caché. Jamais elle n'aura de tatou de piercing sur le visage, mais sous son pull ou sa petite robe... Se faire tatouer un joli « SLUT » au-dessus des fesses ou de son intimité, elle accepterait sans hésitation. C'est ce qu'elle était après tout. Après avoir bien tendu le bras vers sa possible future maîtresse, cette dernière se laissa tenter, elle avait réussi à la convaincre.

Repoussant Velma sur le lit, pour le moment, ce n'était que des mots, mais elle apprendra vite que la demoiselle à lunettes n'était pas du genre à se vanter de choses qu'elle ne pouvait pas faire. Si elle l'amenait face à un gros chien, au milieu de plusieurs hommes nus, elle ne se dégonflerait pas, au contraire, elle lui dira merci, sincèrement. Widowmaker la fit remuer un peu, l'attachant au lit dans une position, certes, pas très confortable, mais Velma se laissait manipuler face aux promesses de sa maîtresse.

« Han, je ferrais tout pour réussir cet exploit, Maîtresse. »

Elle se demandait comment elle allait la prendre ? Allait-elle lui faire face et donc se regarder mutuellement pendant l'acte ? Ou bien à l'envers, elle ne verrais que son dos, son cul et ses couilles s'écraser sur elle pendant l'assaut ? Oh, les deux propositions la tentaient tellement ! Elle en avait envie ! Elle voulait subir et jouir avec elle ! Le jeu commençait que déjà, elle se plaisait à sentir sa queue coulisser en elle, admirant la vue, ne cachant pas son plaisir, elle se plaisait, subissant sans pouvoir lutter, contre ses envies. Prisonnière, c'était un bon début, maintenant, elle voulait se faire remplir, qu'elle ne cherche même pas à lui demander son avis ou pense à son confort, elle était un jouet, simplement un sex-toy ambulant. Au mieux, oui, elle ne doit pas l'abîmer, la remplir, trop la remplir ? Ce n'est pas grave. Forcer un peu ? Ça aussi, ce n'est pas grave. Velma n'était pas forcément un exemple qu'aime souligner les féministes, sans vouloir adopter l'image de la femme au foyer, elle se plaisait dans son rôle de soumise, quand bien même elle préférait avoir une maîtresse plutôt qu'un maître, mais Widowmaker lui a prouver qu'une maîtresse pouvait bander fort et avoir une belle paire de couilles donc... la fusion n'était pas si mal.

Observant doucement sa proie, Amélie se mordilla les lèvres, sentant un agréable frisson d’excitation la traverser. Bien attachée, Velma s’offrait à elle sans résistance, simplement curieuse de voir ce que sa Maîtresse allait faire. Maintenant qu’elle l’avait attaché ainsi, Amélie caressait ses belles jambes, constatant combien elles étaient douces, et combien Velma avait en elle une soif de sexe immense. Difficile de dire comment leur relation avait pu dériver ainsi… Elle qui pensait tuer cette fouineuse pour être tranquille, elle se retrouvait désormais à entretenir avec elle une relation complexe, nuancée, reposant sur une domination sexuelle et une perversité intense. Se pinçant doucement les lèvres, Amélie l’observait avec appétit, souriant sur le coin des lèvres quand Velma lui annonça être prête à tout pour satisfaire sa Maîtresse.

« C’est bien, tu es une bonne chienne, ma chérie… »

Amélie se redressa, et ouvrit la fermeture Éclair de sa combinaison, libérant l’accès à son intimité. Elle s’écarta ensuite, et se concentra un peu. Amélie soupira doucement, et gémit quand elle sentit ses entrailles remuer. Son clitoris se mit à gonfler, se durcit, et s’étira prodigieusement, jusqu’à former une belle verge qui se déploya hors de son intimité. Une solide verge accompagnée d’une paire de testicules. Elle en cracha un peu de salive quand le membre se déploya, et soupira ensuite, rouvrant les yeux en croisant le regard de Velma.

« Je vais te baiser, ma belle… Te baiser comme jamais. Et toi… Toi, ce que tu as à faire n’est pas compliqué. Je veux que tu me regardes, que tu me regardes te baiser. Nos yeux doivent rester en contact jusqu’à ce que la catin que tu es ne se mette à jouir. »

Tandis qu’elle parlait, Amélie frottait doucement sa verge érectile contre les cuisses de Velma. Elle pouvait sentir l’intimité ruisselante de sa partenaire, mais ce n’était pas cette porte-là qu’elle visait. Sa main attrapa sa verge, et elle l’orienta vers la porte arrière de Velma, glissant contre sa croupe. Au vu de sa position, sa croupe était à vrai dire plus facile à atteindre que le devant. Elle sourit ensuite, et donna une première gifle sur le cul de Velma. Amélie avait encore bien des surprises pour sa chienne, mais chaque chose en son temps… Pour l’heure, elle frotta sa solide verge contre son fondement, et la gifla à nouveau, fessant son agréable cul.

« Il se pourrait bien que je finisse par devenir accroc au fait de te baiser, petite salope de journaliste fouineuse… »

À ce stade, ce programme ne pourrait sans aucun doute que réjouir Velma… Qui put alors sentir la verge d’Amélie s’enfoncer lourdement en elle.