Re: Une Magicienne parmi des Supers (avec Daisy Johnson)
Posté : 07 oct. 2024 01:24
« Oui. La musique de mon monde ressemblait à ce morceau. Sauf que j’étais à côté des musiciens et non pas à côté d’une chose inerte fonctionnant avec votre magie du métal. Mais oui, j’aime bien cette musique. Elle est apaisante. Des souvenirs me reviennent. Rien d’extraordinaire. De petits moments de fête sous un ciel noir mais constellé d’étoiles lumineuses. Le ciel ici est si sombre. Il me parait mort. »
Et il y avait un domaine dans la magie qui utilisait les étoiles, leurs positions et leur intensité. Dans ce monde, avec ce ciel, ça revenait à dire que cette connaissance était morte. Et ça attristait la Magicienne.
Les yeux fermés, elle prit son temps d’apprécier la musique jusqu’à la fin. Venant d’un autre monde, elle n’avait pas cet instinct de vouloir passer à autre chose une fois passée la première minute trente, voire deux minutes. Mana savait apprécier chaque chose car son monde à elle avait un rythme plus lent. Ici, tout était hyperactif selon son point de vue.
« Mon monde n’est pas impressionnant. Il est plus lumineux que cette ville. Il y a plus d’étendues naturelles. Beaucoup de déserts. De grands oasis avec la forêt qui l’entoure comme si le vert était un protecteur. Mais mon monde n’est pas impressionnant. Par contre, quand je quitte mon enveloppe charnel et voyage sous forme astral, là, oui, on peut dire que je suis dans un monde magique. »
Mais décrire ce monde magique avec des mots seraient réducteurs. Car le visuel de ce monde magique passait par une vision… magique. Forcément. Et le langage humain n’avait pas la richesse nécessaire pour décrire tout cela. A la limite, Mana pourrait expliquer à Daisy que c’était un monde essentiellement sombre aux volutes/brouillards violets.
Ça lui tomba d’un seul coup dessus : le mal du pays. Sa tête se baissa et ses yeux baignèrent dans la tristesse.
« L’odeur du sable chaud. Les rires dans les rues. La vision des pyramides dans le lointain. Soudainement, tout ça me manque… »
*Le lycée… Est-ce que j’en ai besoin ? Mon Maître m’a déjà tant appris. Mais j’imagine que ce lycée m’apprendra des choses que même mon Maître n’aurait pas pu m’apprendre ? Pff… Je sens qu’il y aura de nombreuses périodes où je perdrais espoir. Mais ce n’est pas moi ! Je suis la fille qui a toujours le sourire et qui le donne aux autres ! *
Et il y avait un domaine dans la magie qui utilisait les étoiles, leurs positions et leur intensité. Dans ce monde, avec ce ciel, ça revenait à dire que cette connaissance était morte. Et ça attristait la Magicienne.
Les yeux fermés, elle prit son temps d’apprécier la musique jusqu’à la fin. Venant d’un autre monde, elle n’avait pas cet instinct de vouloir passer à autre chose une fois passée la première minute trente, voire deux minutes. Mana savait apprécier chaque chose car son monde à elle avait un rythme plus lent. Ici, tout était hyperactif selon son point de vue.
« Mon monde n’est pas impressionnant. Il est plus lumineux que cette ville. Il y a plus d’étendues naturelles. Beaucoup de déserts. De grands oasis avec la forêt qui l’entoure comme si le vert était un protecteur. Mais mon monde n’est pas impressionnant. Par contre, quand je quitte mon enveloppe charnel et voyage sous forme astral, là, oui, on peut dire que je suis dans un monde magique. »
Mais décrire ce monde magique avec des mots seraient réducteurs. Car le visuel de ce monde magique passait par une vision… magique. Forcément. Et le langage humain n’avait pas la richesse nécessaire pour décrire tout cela. A la limite, Mana pourrait expliquer à Daisy que c’était un monde essentiellement sombre aux volutes/brouillards violets.
Ça lui tomba d’un seul coup dessus : le mal du pays. Sa tête se baissa et ses yeux baignèrent dans la tristesse.
« L’odeur du sable chaud. Les rires dans les rues. La vision des pyramides dans le lointain. Soudainement, tout ça me manque… »
*Le lycée… Est-ce que j’en ai besoin ? Mon Maître m’a déjà tant appris. Mais j’imagine que ce lycée m’apprendra des choses que même mon Maître n’aurait pas pu m’apprendre ? Pff… Je sens qu’il y aura de nombreuses périodes où je perdrais espoir. Mais ce n’est pas moi ! Je suis la fille qui a toujours le sourire et qui le donne aux autres ! *