The Multiversity

En réponse aux fuites urinaires d’Isabelle, les deux vampires réagirent en harmonie, et se soulagèrent en elle à leur tour. Un double jet doré qui fusa dans le corps de la jeune chienne. Il n’y avait pas de risque qu’elle tombe malade, mais cette réponse sembla surprendre Isabelle, qui regarda ses Maîtresses en leur demandant si elle avait mal agi à un moment. Les deux vampires s’arrêtèrent alors brusquement, et semblèrent réfléchir quelques secondes. Isabelle était-elle sérieuse, ou s’inquiétait-elle vraiment de sa prestation ? Mais, à force de jouer avec Sya à la fausse prude, Mélinda était désormais capable de sentir ce genre de choses, de les percevoir, ce qui l’amena à réaliser qu’Isabelle était sérieuse en disant ça, et qu’elle craignait sincèrement avoir fait quelque chose de répréhensible.  Vanillia, qui n’était pas aussi expérimentée que Mélinda dans le domaine du dressage d’esclaves, confirma néanmoins les inquiétudes de Mélinda en croisant le regard d’Isabelle.

Mélinda embrassa alors Isabelle dans le creux du cou, venant doucement la mordiller à cet emplacement.

« Et bien… Non, Isabelle, tu n’as rien fait de mal…
-  Mais, puisque tu as uriné sur moi, il est logique que je te retourne la pareille, non ?
-  Est-ce que tu as senti nos queues décroître, ma chérie ?
-  Nous comptons toujours te baiser furieusement, Isabelle… Ton incontinence ne nous dérange nullement, cela m’excite même davantage ! »

Elles étaient toujours parfaitement synchronisées pour finir chacune les phrases de l’autre, et pleinement déterminées dans leur choix. Oh oui, si Isabelle pensait pouvoir s’en tirer à si bon compte, elle se trompait lourdement ! De fait, les deux vampires ne tardèrent pas à reprendre leurs coups de reins, venant s’enfoncer avec appétit dans le corps d’Isabelle. La belle chienne se mit à gémir à nouveau, ne tardant pas à sentir les deux belles verges s’enfoncer en elle. Si elle était inquiète, elle allait pouvoir se rassurer de cette manière, en sentant Mélinda et Isabelle la pénétrer avec force.

Les mains de Mélinda allèrent pincer les seins d’Isabelle, pressant les tétons, tandis que Vanillia retourna malaxer ses fesses, non sans embrasser énergiquement Isabelle. Sa bouche se colla à la sienne, et elle soupira longuement, fourrant sensuellement sa langue dans sa bouche, affamée de son corps.

« Belle petite chienne… Tu aimes quand on te baise bien fort hein, hmmm ?
-  Avoue que tu es une catin, I-Isabelle… Hmmm… Et que tu urines sur tes Maîtresses pour qu’elles te baisent encore plus forts ensuite…
-  Je suis sûre que tu aimes ça, hmm… Quand Maîtresse Forge te punit pour tes incontinences… Petite rebelle, hun ! »

Avaient-elles deviné juste ? Ça, seule Isabelle était en mesure de le dire !

Cela n'était pas un jeu pervers, Isabelle ignorait vraiment si elle avait fait une bêtise ou non ? Ses maîtresses lui avaient demandé de se laisser aller et après, on la punissait ? Bon, elle aimait ce genre de punition, mais en tant que bonne chienne, elle devait bien faire son travail alors, où elle a raté son coup ? Les deux vampires se concertaient par regard un instant avant de bien lui faire comprendre qu'elles n'étaient pas en colère ou autres, elles avaient juste rendue la pareille à Isabelle, ni plus, ni moins. Cela la rassurait un peu, elle avait beau faire quelques « bêtises », Isabelle restait une Forge, en tant que chienne de Miranda, elle devait être la meilleure après tout ! Et puis savoir que ses fuites pouvaient les exciter, ça l'excitait aussi ! On pourrait croire qu'avec le temps, elle faisait exprès, après tout, Miranda laissée passer en comprenant que cela n'était en rien sa faute, mais c'était bien des accidents. Après tout, dans son enfance, seule ou depuis qu'elle était une Forge, bien des fois, elle a dormi avec sa maîtresse sans jamais avoir la moindre fuite, c'était depuis son éducation sexuelle que ce genre d'accident à commencer. Excitation, vessie, envie, tout cela se bousculait en même temps dans ce genre de moment, difficile pour elle de gérer la priorité dans tout cela.

« Awuuuuuuuuuuuuuh... »

Sa queue s'agitait dans son dos, tandis que les deux belles suceuses de sang la baisait avec toujours autant de passion et d'amour pour elle. Leur queue était formidable, évidemment, moins que celle de Miranda, mais étant sa maîtresse, personne au monde ne pouvait la détrôner tant elle était importante pour elle. Elles l'embrassaient, la caressaient et toujours avec passion et plaisir pour elle, de quoi la rendre tellement heureuse, ses dernières tentaient de la faire parler en même temps, de lui faire dire des choses cochonnes. Ce genre de chose plaisait aussi à Miranda, mais elle était prise par deux personnes à la fois, c'était plus compliqué de parler. Pas impossible, elle a connu bien plus de monde avec sa maîtresse, mais c'était plus compliqué qu'avec une seule personne.

« Haaaaa-uuuuummmm ouiiiiiiiiii !!!! I-Isabeeeeeeeelle est u-une... Huuuuuuuum catiiiiiiiiiiiin ! Isabelle aiiiiiiiime qu'on la b-baise bien foooooooort ! M-mais I-Isabeeeeeeelle fait pas exprès... Awwuuuuuuu... elle pas exprès de faire pipi... »

On pouvait lui reprocher bien des choses, mais non, ses fuites, c'était des accidents et si là, elle avait délibérément ouverts les vannes, c'était à cause d'un quiproquo, car ses maîtresses avaient demandé à ce qu'elle se laisse aller donc, forcément... C'était ça quoi. Sinon, elle aurait pu tenir un peu plus longtemps et peut-être même utiliser les toilettes ? Enfin, ce genre de dénouement était assez rare, il faut l'avouer, mais ça arrivait parfois. Prise en sandwich par elles, elle continuait de couiner en les sentant la prendre bien fort, tandis qu'elle tirait sa langue en couinant bien fort quand l'orgasme la frappait. Elle était heureuse, heureuse avec tout ce sexe, heureuse de bien servir sa maîtresse, mais elle attendait encore que ses deux maîtresses temporaires se vident en elle, de la façon classique, bien entendue. Du coup, elle devait supporter leur assaut et tenir le coup avant de varier les plaisirs. Mais de quelle façon ? Bonne question.

Mélinda et Vanillia appréciaient beaucoup Isabelle. Pour Mélinda, Isabelle lui rappelait beaucoup sa petite Luna… En modèle agrandi ! Elle était prise en sandwich entre les deux vampires, qui soupiraient longuement contre elle. Mélinda la sodomisait avec appétit, sa verge s’enfonçant jusqu’à la garde, et Isabelle expliqua qu’elle ne faisait pas exprès de faire pipi, mais qu’elle aimait se faire prendre « bien fort ».

« Pour ça… Aucun souci !
-  Je dois admettre que tu es bien endurante, petite chienne… Miranda doit bien s’occuper de toi ! »

Isabelle ne pouvait qu’acquiescer, tandis que les coups de reins se poursuivaient. La jeune chienne ne pouvait que subir, comme elle le faisait depuis maintenant une bonne heure. L’endurance des Warren n’était plus à prouver, et elles étaient largement à la hauteur de leur réputation. La force incroyable dont elles faisaient preuve était un pur régal pour Miranda, qui les observait avec appétit. Elle buvait tranquillement un bon verre de vin en admirant la scène avec appétit.

Mélinda se pinça les lèvres avec force, et mordilla encore le creux du cou d’Isabelle, pinçant ses seins, achevant de la déshabiller. Vanillia griffait ses belles cuisses, qui s’étaient enroulées autour de sa taille. Sa femme s’enfonçait avec appétit dans sa chatte trempée, la mouille remplaçant peu à peu les relents d’urine qui s’étaient nichés dans la chatte d’Isabelle avec son incontinence urinaire.

« Hmmm… Oui… Tu aimes Maîtresse Miranda, h-hein ?
-  C’est une bonne chienne… Une petite salope dévouée ! »

Griffures et coups de reins rythmaient les élans des trois amantes, jusqu’à une explosion finale. Mélinda et Vanillia, après une bonne demi-heure à prendre ainsi Isabelle, finirent par jouir toutes les deux, simultanément. Isabelle, qui avait sûrement déjà dû contracter plusieurs orgasmes, les sentit s’abandonner en elle avec force et passion. Elles jouissaient toujours en même temps, offrant ainsi deux fois plus de plaisir…

…Puis, après cette ultime explosion, elles s’affalèrent sur le lit.
Quand le soleil matinal éclaira à l’aube la GeoTower, Mélinda et Vanillia dormaient paisiblement sur le lit, leurs têtes posées sur le corps d’Isabelle. Couchée sur le dos, la belle chienne, toute nue, dormait également. La porte s’ouvrit paisiblement, et des talons claquèrent sur le sol, tandis qu’une femme rejoignit le lit. Une main caressa la jambe d’Isabelle, remonta jusqu’à sa cuisse. Portant une très élégante nuisette avec un porte-jarretières, Miranda venait de se manifester.

Isabelle soupirait doucement, et Miranda s’allongea tout contre elle, lentement, l’embrassant dans le creux du cou, sa verge caressant la chatte encore très humide de Miranda.

« Hmm, ma petite chienne fait encore la grasse matinée… »

La sulfureuse PDG l’embrassa ensuite sur les lèvres, puis la pénétra doucement dans son sommeil…

Isabelle ne pouvait pas être plus heureuse, en grandissant, elle avait appris que le bonheur se trouvait dans la luxure et depuis sa première fois avec Maîtresse, s'était-il passé une soirée sans qu'elle ne prenne son pied ? Le plus souvent avec Miranda, mais ça arrivait parfois comme ce soir qu'elle travaille pour elle et dorme avec d'autres maîtresses, donc avec ou sans Miranda, la luxure était toujours présent pour elle dans son quotidien. Venant d'elle, on pouvait imaginer des rêves aussi animés que ses soirées, mais pas forcément, Isabelle restait une chienne qui aimait beaucoup sa maîtresse et cette nuit par exemple, elle fit un rêve typique qui résonnait avec le mot bonheur. Elle était nue, dormant sur les cuisses de maîtresse qui lui caressait la tête, elle n'était pas seule autour, il y avait Hannah, Poison, Virus, les deux vampires, tout le monde la caressait en la complimentant, que leurs mains soient sur une zone intime ou simplement sur sa peau, elle était si heureuse de vivre ainsi, elle était une petite chienne des plus heureuse en tout cas !

Avant même que Miranda n'arrive pour l'embrasser, inconsciemment, elle la savait là, sa queue s'agitait doucement, son corps se réveillait doucement en sentant la douce pression de son corps contre le sien, voyant sa maîtresse pour se réveiller, la meilleure des vues, même si elle ignorant comment elle s'était sublimé en plus. Elle la pénétrait déjà, prenant le risque de subir une de ses petites fuites, mais faut dire que Miranda en était plus qu'habituée, ce serait de ne pas en subir une qui serait rare. À condition qu'elle se soit réveillée un peu plus tôt par une soudaine envie, ce qui était très rare quand même, Miranda risquait bien de subir ça, comme tous les matins.

« Mmmmmhhhhh... »

Sa queue remuait dans son dos, elle ne bougeait pas en sentant ses deux autres maîtresses en partie endormies sur elle pendant que Miranda commençait à la prendre doucement. Ce qui était dommage, c'est qu'elle ne pouvait même pas la câliner sans risque de réveiller Mélinda et Vanillia, mais elle avait quand même droit à sa maîtresse, c'était déjà plus que ce qu'elle espérait. Son corps se réchauffait, s'excitait par sa simple présence, ses gestes d'amour et de tendresse à son égard. Isabelle était toujours la chienne la plus heureuse et la mieux traitée de tout Uatis.

« Mmmmmhhhuuuuuuuuu... I-Isabele à b-bien travaillé, Maîtresse ? »

Elle voulait l'entendre, c'était sa récompense, de savoir qu'elle avait bien travaillé, qu'elle avait été utile à sa maîtresse, c'était tout ce qui comptait ! Quelque part, Isabelle n'avait pas de salaire, Miranda lui achetait des petites choses quand elle en avait besoin comme un smartphone ou de quoi s'habiller, s'amuser, mais étant nourri et loger chez Maîtresse, elle ne saurait pas comment utiliser tout ce qu'elle gagnerait comme argent. Des compliments de Maîtresse, ça, c'était bien meilleur pour elle que de l'argent. La puissante verge de maîtresse Forge la pénétrait, elle savait que tôt ou tard, elle allait jouir en elle, parfois sur elle quand Isabelle se relâchait avant sur elle, avec Maîtresse, ça dépendait vraiment de beaucoup de choses.

La belle Isabelle dormait du sommeil du juste.  Elle était toujours très belle, mais il fallait bien avouer que, lorsqu’elle dormait, elle avait ce petit côté mignon et irrésistible, cette petite bouille de bonheur et d’insouciance qui ornait ses lèvres et le reste de son visage. C’était sa petite poupée, magnifique, et Miranda était sûre qu’elle devait faire un doux rêve. Après tout, Mélinda et Vanillia l’avaient joyeusement baisé, elles l’avaient prises avec force et avec passion. Isabelle n’en demandait pas plus, et Miranda la connaissait suffisamment pour ça. C’est donc tout naturellement qu’elle la rejoignit, et la pénétra donc, la prenant avec douceur dans son sommeil.

« Hmmm… »

La PDG se pinça les lèvres avec appétit, sentant les lèvres intimes d’Isabelle s’écarter, se dilatant lentement sous son passage. Sa belle verge enflait en elle, et Miranda soupira encore, gémissant de plaisir. Elle sentait ce beau con contre elle, et, tandis qu’elle la pénétrait, Isabelle commença doucement à émerger, clignant des yeux à plusieurs reprises. Miranda la sentit se réchauffer, commençant doucement à vibrer, à frissonner. Han, comme elle était belle ! Sa petite chienne, Isabelle ! La PDG soupira doucement, et Isabelle se mit à parler, d’une petite voix joyeuse, guillerette, toute douce…

Miranda posa sa main sur son épaule, et alla l’embrasser dans le creux du cou. Isabelle avait désormais l’habitude de réveils de ce type. Miranda la prenait souvent, et sourit donc, venant l’embrasser doucement sur les lèvres. Ce fut un tendre et agréable baiser, qui claqua dans la chambre.

« B-Bien sûr, ma chérie… Isabelle a très bien travaillé, haaaa… C’est pour ça qu’Isabelle mérite une récompense, hmmm… »

Et cette récompense, Isabelle pouvait la sentir en elle, tandis que Miranda continuait à la pénétrer, accélérant et amplifiant progressivement ses mouvements…

Après avoir si bien travaillée, la petite chienne de la famille Forge méritait une belle récompense, elle savait qu'elle en avait le droit. Bien souvent, sa maîtresse venait lui donner ce genre de récompense, directement dans la chambre, comme maintenant ou parfois un peu plus tard. Elle ignorait pourquoi, mais elle ne questionnait pas la façon de faire de Maîtresse, tant qu'elle était fière d'elle, Isabelle ne se posait guère plus de question. Tant que la belle blonde était fière de sa chienne, il ne lui en fallait pas plus à dire vrai. Toujours entre les deux vampires, la petite chienne se faisait prendre par Miranda qui commençait doucement, la prenant simplement en guise de récompense ou peut-être par envie ? Ou bien les deux ? Depuis le temps, Miranda savait que venir la chauffer ainsi au réveil risquait de souiller les draps, bien que c'était déjà le cas, mais depuis le temps, elle en était habituée. Elle avait peut-être appris à aimer cela ? Une chose était sûre, Isabelle n'aimait pas les couches par contre, le peu de fois qu'elle a essayer, soit elle dormait mal, soit elle parvenait à les retirer dans la nuit. Elle avait un souci de contrôle de vessie quand le plaisir se liait à tout cela, mais elle n'était pas incontinente. Elle mettait juste le plaisir en priorité sur sa liste de choses donc, les fuites pouvaient avoir lieu, et avec une Forge en guise de Maîtresse, on pouvait dire que le plaisir de sa maîtresse était une priorité absolue !

« Mmmmmh~ Haaaaaaaaa, Maîtresse~ »

Sentir Miranda la baiser, avec douceur ou avec violence, c'était toujours tellement bon ! Depuis que la chienne avait eu ses premières chaleurs et découvert le sexe entre les mains de sa maîtresse, elle en était devenue accroc. Elle n'avait pas la poigne de fer et la domination naturelle des Forge, mais elle en avait la dépendance en tout cas. Son corps était écrasé par Miranda, toujours dans la douceur pour ouvrir le bal, sachant très bien que l'orgasme de cette dernière allait ouvrir les vannes, mais c'était peut-être ce qu'elle recherchait aussi ? Après tout, Isabelle vivait à ses côtés depuis tant d'année, si Miranda à déteint sur elle, le contraire était tout aussi possible.

« Haaaaaan... Isabelle est... heureuse~ Si Maîtreeeeeesse est fière d'elle... »

Elle remuait sous les doux coups de reins de sa maîtresse, laissant sa petite langue pendre hors de ses lèvres, elle était si contente, si fière de rendre Miranda heureuse ! Elle n'avait pas besoin de salaire – bien qu'elle en avait un peu – ni de récompense hors de prix, la satisfaction de sa maîtresse, une caresse sur la tête, ça lui suffisait amplement !

Miranda connaissait l’incontinence chronique de sa Isabelle, bien sûr, et elle avait appris à faire avec. Hannah savait qu’elle devait toujours ordonner un nettoyage intensif de chaque lit où Isabelle dormait. Les couches-culottes n’avaient pas marché sur Isabelle, déclenchant au contraire chez elle une vive irritation. Elle retirait les couches la nuit, et prenait plaisir à uriner. Aucun problème physique n’expliquait ça, aucun dérèglement de la vessie. Tout était purement psychologique, et Miranda n’avait pas encore trouvé l’explication. Toutefois, cherchait-elle vraiment à guérir Isabelle de ça ? À la voir pénétrer ainsi Isabelle de bon matin, on pouvait en douter ! Miranda avait pris l’habitude de la réveiller en lui faisant l’amour, et elle n’allait pas changer cette habitude !

La prenant doucement, elle accélérait progressivement le rythme, et sentit une main caresser ses fesses. Mléinda commençait à émerger, et vint se rapprocher des deux femmes, embrassant la PDG dans le creux du cou, raffermissant sa prise sur son cul dans la foulée.

« Han… »

Miranda se pinça les lèvres, et sentit sa queue durcir un peu, remuant plus fortement dans le con d’Isabelle. Tout en émergeant, Isabelle confia qu’elle était heureuse, et Miranda attrapa chacune des mains chaudes d’Isabelle, les plaquant sur le lit, et continua à la prendre, remuant de haut en bas en elle. Elle s’enfonçait avec appétit en elle, son corps remuant doucement au milieu du lit, s’imposant naturellement. Dans sa guêpière, Miranda était, comme à chaque fois, irrésistible.

Elle se pencha alors, et embrassa Isabelle avec appétit sur les lèvres, pressant son corps contre le sien, sentant son corps remuer sous le sien.

« Hmmm… »

Sa langue s’enfonça dans la bouche de sa partenaire, et Miranda sentit alors une main griffue caresser son dos. Elle venait de Vanillia, qui défit les bouches de sa guêpière. Mélinda faisait pareil sur le bas de son corps, les deux vampires agissant comme toujours avec une harmonie redoutable pour déshabiller totalement la PDG. Elles glissèrent ses mains griffues sur son corps, faisant frémir Miranda, qui en mordilla la lèvre inférieure d’Isabelle.

Oh, ces deux vampires risquaient d’être de vraies tornades ici !

Pour Isabelle, ses fuites n'étaient plus un souci, elle avait toujours un peu honte de devoir nettoyer ou souiller les lits ou de ses dessous, mais elle y trouvait aussi une certaine forme de plaisir à force. Cela lui permettait aussi peut-être de toujours avoir l'attention de Miranda ? Même si sa beauté et sa maladresse pouvaient suffire à tomber sous le charme de cette adorable chienne. Peu importe qui, peu importe ses goûts, quand on aimait Isabelle, on l'aimait aussi pour ses défauts. Si tous les meilleurs médecins disaient que physiquement il n'y a rien à signaler, c'est que ce bug était dans son cerveau. Ou et pourquoi ? Ça, c'était plus facile à dire qu'à faire, mais était-ce un problème ? Mise à part plastifier les matelas et avoir tous les jours une machine à faire, ce n'était pas gênant. Et puis connaissant le goût de sa maîtresse et d'Uatis pour tout ce qui crissait, on pouvait dire merci Isabelle pour ça ! Allongée entre deux belles femmes, elle se laissait baiser par sa maîtresse au réveil, elle était si heureuse de ça ! Sa vessie remuait, une petite alerte sonnait dans sa tête, mais elle était inefficace, sa maîtresse était de nouveau avec elle, et elle la baiser, Isabelle la rendait heureuse ! Comment faire attention à une petite alarme qui lui disait de laisser ce jeu sur pause pour se soulager et revenir ? Pour elle, le sexe, surtout avec Miranda était prioritaire sur tout !

« Haaaaaaan, Maîtresse~ »

Isabelle ne vivait que pour Miranda, même si cette dernière avait dit qu'elle sera un jour à sa fille, pour le moment, ce jour n'était pas là, elle était à sa maîtresse et elle était si heureuse comme ça ! Si elle avait fait tous ses efforts depuis qu'elle avait été adoptée, c'était pour ça, pour être une bonne chienne dont maîtresse serait fière de montrer à ses amies et son entourage ! Une bonne chienne. C'était ça le but de sa vie ! Rendre fière sa maîtresse ! Mélinda et Vanillia se réveillaient doucement, vu ce qui se passait, Isabelle subissait le trop-plein d'amour de Miranda, elle couinait de plaisir ! Et c'était si bon ! Plus de personnes autour de sa maîtresse et d'elle, plus de raison d'ignorer cette alarme qui ne faisait plus d'effet en elle.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaa~ »

Ce trop-plein de bonheur pour Miranda et Isabelle fini par ouvrir les vannes et la petite chienne se soulageait, le bonheur irradiait son visage, son corps tremblait de plaisir alors que le liquide chaud s'étalait tout autour du bassin de Miranda. Ce n'est pas comme si le lit n'avait pas été souillé durant la soirée, elle en remettait une couche. Et comme toujours, une fois la joie de la libération passée, elle levait les yeux vers Miranda, la joie laissant place à la peine...

« Pa-pardon, Maîtreeeeeesse... »

Ce n'était pas un jeu, elle était toujours vraiment désolée... Sa maîtresse venait la réveiller en douceur, lui faisait l'amour dés le matin et elle, elle faisait pipi... sur elle. Elle était une mauvaise chienne parfois, elle était si désolée, même si le sexe l'aidait à se sentir moins désolé, elle n'aimait pas faire de bêtise, elle ne voulait pas déplaire à Miranda. Tout le charme d'Isabelle résumé en quelques minutes. Soucieuse de faire plaisir, de rendre heureuse Miranda, laissant de côté ses propres soucis, voulant absolument mettre Miranda au premier plan. Miranda ne l'avait jamais vraiment punie pour ses fuites, ça n'améliorait en rien la situation, et puis, la chienne a toujours eu ce côté adorable. On ne pouvait pas vraiment rester fâchée avec une si gentille petite chienne. Maintenant, elle pourra jouir pleinement quand Miranda aura son orgasme, c'est déjà ça. 

Miranda sentit Isabelle se relâcher à nouveau. Une nouvelle fuite, encore ! Ses délicates joues s’empourprèrent tandis qu’elle urinait sur la queue de Miranda. La PDG sourit alors, et caressa ses cheveux, puis l’embrassa plus fermement. Son corps se crispa contre le sien, et elle commença à remuer avec énergie en elle, amplifiant le mouvement. Miranda n’avait jamais réussi à lutter contre les incontinences d’Isabelle, à trouver ce qui permettait de la guérir. Alors, elle s’y était faite, et, à chaque fois qu’Isabelle se relâchait ainsi sur elle, Miranda devenait encore plus perverse, réagissant à cette touche de perversité en y ajoutant sa propre couche. Elle embrassa donc Isabelle, et mordilla sa lèvre inférieure, avant de fourrer sa langue dans sa bouche.

« Hmm… !! »

Elle était heureuse de retrouver sa chienne, et sentit alors les mains de ses convives sur son corps, palpant ses fesses et ses cheveux. La PDG soupira doucement, sentant la main de Mélinda se crisper sur ses fesses, et sa verge durcit encore. Miranda la pénétra plus vigoureusement, accélérant et amplifiant le mouvement. Mélinda observait cette scène avec appétit.

Comme elle, Miranda savait comment se réveiller efficacement. La puissante PDG n’avait peur de rien, et surtout pas de faire l’amour en public. Elle était puissante, et elle en jouissait volontiers pour se livrer à toutes ces excentricités. Isabelle était sa petite chienne précieuse, après tout. Miranda se redressa un peu, et continua à la prendre en missionnaire, au milieu du lit.

« Han… »

Fermant les yeux, Miranda se laissa aller, et, après plusieurs minutes de ce jeu intense, se mit à jouir. Sa queue se durcit, et elle se relâcha avec appétit, venant inonder la délicieuse chatte d’Isabelle. Elle baignait dans sa mouille, et sentit également Isabelle succomber à l’orgasme avec appétit.

« Et bien… Tu étais très énergique ce matin, ma chérie… C’est… C’est à croire que nos invitées t’ont bien excité.
-  Pour être honnête, nous avons beaucoup joué avec Isabelle cette nuit… »

Miranda sourit doucement, et caressa la joue d’Isabelle, rougie sous l’effort.

« Je n’en doute pas, Isabelle déteste se sentir seule… Ce qui ne l’empêche pas d’uriner partout.
-  Ce qui nécessite de souvent la punir, je suppose ? »

La PDG se pinça brièvement les lèvres.

« Oui… Souvent, en effet. »

Pour Isabelle, il n'y avait pas de meilleures récompenses que l'orgasme de sa maîtresse. La savoir heureuse la rendait elle aussi heureuse, se rendre utile pour elle, c'était son credo, elle ne vivait que pour ça. Alors la voir revenir à elle après une nuit sans elle, son bonheur était comblé. Plus encore quand viendrait l'orgasme, mais avant cela, il eut un soulagement de sa part, alors que la chienne s'excusait de sa faute, comme toujours. Elle avait beau savoir que depuis le temps, Miranda s'en fichait, elle avait adopté Isabelle pour ses qualités comme ses défauts – même si les fuites ont commencé quand cette dernière fut éduquée sexuellement, mettant le plaisir intime devant ce genre de besoin, mais au moins, elle savait que pour la seconde urgence, elle devait mettre son plaisir sur pause et aller aux toilettes. Maîtresse était aussi perverse qu'elle, mais elle n'accepterait sûrement pas qu'elle ait un autre genre de fuite, même elle n'en serait pas excitée de voir ça en vrai. Il restait un minimum de pudeur quand même. Le corps secoué par plus d'amour encore de la part de sa maîtresse maintenant que la petite chienne avait fauté, c'était autant une façon de lui dire que ce n'était pas grave qu'un début de punition pour Isabelle. Tant qu'il n'y avait pas de fesser ou d'insulte sur un certain ton, ce n'était pas une punition. Mais voilà, maintenant que depuis toutes ses années, Miranda y était habituée, ce genre de chose au réveil, c'était pile ou face, tout dépendait de son humeur et, une nuit sans elle, ça n'était pas une punition... pour le moment.

La petite chienne était baisée tandis que les vampires émergeaient et quand Miranda venait enfin jouir en elle, ce fut aussi le cas de sa fidèle chienne qui hurla doucement son plaisir dans la pièce.

« Aaaaahuuuuuuuuuuuu !!!! »

S'agrippant aux draps, elle savourait la chaude semence de maîtresse, cela la calmait toujours, la rendant toute douce et toute câline, sauf si punition venait après coup. Elle observait sa maîtresse heureuse, sa queue s'agitant doucement, félicitant sa petite chienne.

« Isabelle à rendu ses maîtresses de nuit heureuses ! Comme Maîtresse le voulait. »

Mais pour le moment, elle était sur son petit nuage tandis que Mélinda échangeait quelques mots avec Miranda, évoquant peut-être une punition... Mais Isabelle était encore sur son petit nuage, Miranda ne lui avait pas parler directement après tout. Mais elle sentait à sa voix, son regard que la punition allait peut-être tomber. Peut-être, car avec sa maîtresse, ce n'était jamais décidé d'avance sauf si elle était de mauvaise humeur. Isabelle remuait doucement, se délogeant de sa belle queue pour se retourner en se mettant à quatre pattes, montrant son délicieux petit cul à sa maîtresse et ses invitées.

« Est-ce qu'Isabelle doit avoir sa punition avant ou après avoir pris sa douche et nettoyer le lit ? »

Elle savait ce qu'elle avait à faire, même si le plus souvent cette tâche était pour les femmes de ménage, ça n'empêchait pas la chienne de tenter de réparer ses fautes. Après tout en ce moment, il y avait des invitées, même si elles ont passé la nuit dans la sueur, le foutre, la cyprine et l'urine, elles ne voulaient pas commencer la journée comme ça. Donc Isabelle offrait son cul, tant pour être punie que juste sentir Maîtresse en elle, ou une des invitées, elle connaissait son rôle et ce qu'elle devait faire après tout. La queue relever, offrant son joli cul que ses maîtresses temporaires ont bien profité hier soir, et Miranda depuis qu'elle avait commencé à bien grandir. La tentation devait être grande pour elles, toutes autant qu'elles étaient et Isabelle, au fond, se posait une seule question, qui serait la première ? Avant ou après le nettoyage, elle savait qu'elle y aurait droit, reste à savoir qui ?

Miranda était comblée avec Isabelle, comme à chaque fois. Cette femme parfaite aimait beaucoup son esclave, même avec ses incontinences urinaires. Isabelle nettoyait toujours les tenues qu’elle salissait, et, même si Miranda n’avait jamais réussi à la guérir, elle avait fini par apprécier cela. Elle se redressa un peu après l’orgasme d’Isabelle, qui demanda si elle allait être punie maintenant, ou si elle pouvait nettoyer et se doucher. Miranda réfléchit un peu, se tapotant les lèvres, et regarda Mélinda, puis Vanillia.

« Et bien, tu as sali le lit dans lequel dorment nos invitées, donc il me semble légitime que celles-ci te punissent aussi...
-  Je ne voudrais pas abuser de votre hospitalité, chère Miranda… Mais j’ai pour habitude de me réveiller en faisant l’amour, et, puisque Isabelle est là… Peut-être pourrions-nous joindre l’utile à l’agréable ? Qu’en penses-tu, ma chère Vanillia ?
-  Hmmm… Tu sais très bien que je te soutiens toujours sur ce genre de choses, mon amour. »

Une telle union dans le sexe, cela faisait plaisir à voir ! Miranda sourit donc, et posa ses deux mains sur les hanches d’Isabelle, tandis que les deux vampires se relevaient. Elles entreprirent de se déshabiller à leur tour, et Miranda se dénuda également. Les trois femmes entouraient Isabelle, et finirent toutes nues, puis la déshabillèrent également.

« Puisque tu as sali le lit, Isabelle, il me semble légitime que nous pissions sur toi… Puis nous te baiserons. Nous allons nous vautrer dans le stupre et la crasse avec toi.
-  Vous me plaisez de plus en plus, ma chère… »

Les trois femmes étaient désormais membrées, et se redressèrent tout autour d’Isabelle. Cernée, celle-ci ne pouvait pas fuir, et les trois femmes se masturbèrent.

« Allez, petite chienne rebelle, mets-toi sur tes genoux, et fais la belle. Réclame ta belle douche ! »

Bien dressées, les trois verges attendaient de cracher leur doux liquide poisseux…

Isabelle avait beau avoir ce gros défaut qui plaçait le plaisir sexuel avant de se soulager, elle n'en restait pas moins l'adorable petite chienne de Miranda ! Cet amour qu'elle lui portait depuis qu'elle était toute petite était peut-être une façon de combler son besoin maternel qui l'avait empêché d’élever ses enfants, mais Isabelle ne s'en plaignait pas, elle aimait sa maîtresse plus que tout ! Cela a dû arriver quelques fois que la petite chienne l'appelle « Maman », consciente ou dans ses rêves. Miranda voulait élever ses enfants après tout, Isabelle voulait une maman/maîtresse donc, c'est normal. Après, si par hasard, c'était juste que sa maîtresse l'adorait, elle n'allait pas s'en plaindre non plus. Après tout, sa maîtresse savait punir, vraiment. Isabelle en a fait parfois les frais, même si les punitions ne duraient jamais longtemps, le simple fait de savoir qu'elle avait déçu Miranda suffisait à miner le moral de la petite chienne. Fort heureusement, elle retrouvait le sourire plutôt facilement dans ce genre de situation, mais il n'empêche que pendant un moment, elle se sentait très coupable en se maudissant d'avoir fait tel ou telle faute. On ne pouvait pas rester fâchée contre une telle personne longtemps, Isabelle était aussi joyeuse que bien intentionnée ! Elle était un peu perverse, oui, mais elle a été éduqué par Miranda Forge après tout alors forcément, sa maîtresse avait un peu déteint sur elle à force, mais sans ça, elle voulait toujours aider cette dernière et la rendre heureuse ! Que son travail soit récompensé, ne serait-ce que d'un sourire, cela lui suffisait amplement ! Malgré ses airs tout mignons qui laissaient supposer que la petite chienne n'était pas très futée, c'était tout le contraire, elle avait été bien éduquée, mais le sexe, quand l'envie se pointait, lui faisait perdre ses repères.

La serviable et docile petite chienne se proposait de nettoyer la chambre et elle-même par la même occasion, mais Miranda et ses invitées préféraient d'abord jouer, ce qui ne la dérangeait absolument pas à dire vrai. Les trois belles femmes nues venaient l'entourer avec leurs belles queues. Pour la petite chienne, le calcul était simple. Il y avait trois pénis, elle avait trois orifices faits pour le plaisir, le résultat final était facile à déterminée ! Qui allait se placer où par contre, ça, c'était une autre question plus compliquée à répondre ? Mais pour elle, le calcul était plus important que le résultat sauf que, elles n'allaient pas commencer par ça, car elles voulaient renvoyer la pareille à Isabelle et lui pisser dessus. Cela lui allait. Depuis le début de ses problèmes, sa maîtresse avait tout essayer, soignant le mal par le mal aussi, se disant que si elle lui pissait dessus, peut-être que ça allait l'empêcher de recommencer, mais au final, non. Depuis toutes ses années, elle s'en était accommodée, cela était quotidien alors maîtresse et esclave n'y faisaient plus autant attention. Elle nettoyait derrière elle donc ce n'était pas un souci et parfois, c'était une excuse toute trouvée pour Miranda pour la punir, même si elle n'avait pas besoin de raison pour ça.

« Oui, maîtresse ! »

Dit-elle avec entrain en se mettant à genoux, devant ses trois belles maîtresses qui avaient une belle queue dressée sous son nez, elle ignorait ce qu'elle pouvait faire ou non mais comme demander, elle ouvrait la bouche en tirant la langue, remontant ses mains qu'elle laissait devant sa poitrine, observant tour à tour ses maîtresses. Elles étaient belles et excitantes même si à ses yeux, c'était sa maîtresse la plus belle et la plus délicieuse de toutes. Son avis ne comptait pas, c'était sa maîtresse alors forcément, elle était meilleure que tout le monde à ses yeux. Elle couinait doucement en les regardant, venant quand même poser la question pour savoir si son idée était bonne ? Mieux vaut se tromper que d'attendre que Maîtresse perde patience.

« Isabelle a envie de vous voir vous soulager sur elle, haaaaan~ Isabelle doit les sucer et les lécher aussi ou pas, Maîtresse ? »

Vraie question, car elle savait que Maîtresse décidait pour elle et autant, parfois elle devait suivre à la lettre ce qu'elle lui demandait – dans le cas présent juste attendre avec la bouche ouverte – et parfois, elle devait prendre des initiatives donc... à voir. Elle attendait juste que ses maîtresses l'arrosent avec leur beau pénis bien dur ! Et puis, pénis ou pas, c'est ce qui en sortait qui était important là, mâle ou femelle, peu importe, de l'urine reste de l'urine.

Face à Isabelle, leurs corps redressés, Miranda, Mélinda et Vanillia faisaient face à la belle Isabelle. Celle-ci se releva. Elle s’agenouilla sur leur lit, cachant pudiquement ses seins. Les trois femmes lui faisaient face, et Miranda posa ses mains sur les fesses des deux vampires, les palpant généreusement. Elle était plus grande qu’elles, et soupira doucement. Les cuisses des trois femmes se frottaient, et Isabelle leur demanda si elles comptaient uriner sur elle.

« Oh, mais cela me semble un bon plan… N’est-ce pas, les filles ?
-  Oui… Je n’ai pas envie de quitter si vite ce beau lit. »

Miranda soupira encore, une lueur malicieuse dans les yeux. Elle posa sa main sur sa verge, et Mélinda et Vanillia firent de même avec leur sexe. Elles se rapprochèrent encore un peu, formant un bel arc-de-cercle.

« Ouvre bien la bouche, ma belle Isabelle… Et écarte tes mains de tes seins. »

L’intéressée ne pouvait qu’obtempérer face à un ordre direct de sa Maîtress.e Elle releva la tête, tendant le cou, et les trois queues se rapprochèrent encore… Puis les jets dorés fusèrent. Les trois femmes se mirent à uriner, visant le visage d’Isabelle. Les jets dorés s’élancèrent sur sa peau, rebondissant dessus, tombant sur ses épaules, puis sur ses seins. Elles urinaient sur le lit, et Isabelle se chargerait ensuite de le nettoyer en profondeur. Fort heureusement, Miranda était habituée, et avait doté el lit de draps très étanches, de manière à éviter de tacher le sommier.

L’urine fusa donc, descendant sur les seins et le ventre d’Isabelle. Les trois femmes urinèrent chacune pendant une bonne quinzaine de secondes, et, quand elles se calmèrent, leurs verges restaient bien tendues.

« Haaaa…. Ce que ça fait du bien ! Mais, maintenant, il faut nettoyer nos verges, n’est-ce pas, ma petite Isabelle ? »

Miranda n’en avait pas encore fini avec elle.

« Mets-toi à quatre pattes, ma belle ! »

Isabelle ne put qu’obéir, et Miranda se glissa dans son dos, approchant sa verge tendue de son fondement. Mélinda et Vanillia se déplacèrent également. Mélinda se plaça devant Isabelle, caressant ses cheveux, sa verge trempée se frottant sur son visage. De son côté, Vanillia se coucha sur le lit, sentant l’urine des trois femmes sur le corps d’Isabelle, se frottant à sa peau. Sa verge fut la première à s’enfoncer dans le corps d’Isabelle, se glissant dans sa chatte, puis Miranda s’enfonça dans ses fesses, venant la sodomiser avec appétit.

Mélinda, enfin, boucla la boucle, et enfonça son membre assoiffé dans la bouche chaude et accueillante d’Isabelle…

La gentille Isabelle faisait tout pour sa maîtresse et sa maîtresse heureuse, c'était une Isabelle heureuse. Face à elle et ses invitées, elle attendait donc de voir quel genre de punition, de jeux ou autres, elle allait recevoir ? Elle s'en doutait, mais avec Miranda, on ne sait jamais, surtout qu'elle n'était pas seule, elle pouvait en appeler à ses invitées et lui faire enfiler une tenue de latex pour ensuite se faire punir par elles, tour à tour sur leurs cuisses, à recevoir beaucoup de fesser ? Cela ne lui déplairait pas totalement, mais ça restait une punition, du moins, sur le papier. Avec une certaine impatience, elle retira ses mains de sa poitrine et ouvrait la bouche, avant de sentir trois jets chauds couvrir sa peau. Elles visaient sa bouche, mais cela tombait un peu partout, car ça débordait, ce fut bientôt tout son corps à l'avant qui fut trempé et luisant. Sa queue caudale s'agitait doucement dans son dos face à ses maîtresses qui ne comptaient pas la laisser s'échapper tout de suite et face à cet ordre de se mettre à quatre pattes après avoir demandé à se faire nettoyer leurs verges, Isabelle avait un fantasme qui s'emboîtait dans son esprit très pervers.

« Les maîtresses vont entrer dans Isabelle dans le même trou ?! »

Ce n'était pas dans la peur dans sa voix, c'était une joie immense, qui ne prendra pas vie, hélas. La petite chienne était une grande perverse, forcément, elever par Miranda, elle avait ainsi tourné de la sorte. Il n'était pas rare pendant son temps de pause, que son portable qui contenait que le numéro de sa maîtresse et d'Hannah, au cas où, serve à regarder bien des vidéos qui la mettait dans de ses états ! La petite chienne, comme la grande majorité de la population était une grande fan de Poison, mais pas que. Elle avait certes un penchant pour les hybrides et les furrys, mais aussi ce genre de vidéo ou une fille sentait beaucoup de chose s'enfoncer en elle, dans un petit trou. Trois queues, ça semblait quand même beaucoup, deux, c'était possible, mais trois... si ça l'était, ça n'était pas banale ! Mais Isabelle était sûre de réussir son coup, elle était très gourmande ! Mais est-ce que ça fera tout ? Pas grave en tout cas, si elle avait rêvée tout éveillée, au moins, les invitées de sa maîtresse voyaient bien à quel point elle était coquine !

Miranda se plaçait dans son dos, Mélinda face à elle et Vanillia en dessous, fut la première à la pénétrer, la faisant vibrer de désir, suivit de sa maîtresse qui lui arrachait un petit couinement de plaisir. C'était sa maîtresse après tout, puis enfin Mélinda, qui l'empêchait de trop couiner, d'une façon des plus agréable ! Bientôt, son corps était partagé en trois, toutes y trouvaient leur plaisir, tandis que sa queue remuait près de sa maîtresse, elle levait les yeux vers Mélinda, pour prêter attention à Vanillia, comme ça, c'était trop compliqué. À part lui baver dessus, elle ne pouvait pas faire grand-chose pour elle pour le moment. Elle gémissait et couinait fièrement en avalant la queue de Mélinda, le bout de son nez se cognant souvent sur elle. Si elle n'a aucun lien de sang avec sa maîtresse, elle partageait ses goûts et sa résistance, depuis ses premiers pas en tant que jeune femme, Miranda lui a toujours tenue la main, faisant d'elle la fierté de sa maîtresse ! La petite chienne savait comment faire la belle et comment plaire, notamment en emmétant divers bruits obscènes avec sa bouche pendant qu'elle suçait Mélinda, de quoi rendre l'acte meilleur, et pour tout le monde. Elle n'était pas une Forge pour rien ! Elle n'avait pas le caractère dominante de la famille Forge, mais elle excellait en tant que soumise mais surtout en tant que perverse.

En temps normal, Isabelle se devait, comme Miranda, d’être impeccable. Sa tenue était soigneusement entretenue, et elle se devait d’être irréprochable sur son apparence. Elle avait beau être une furry, Isabelle n’en restait pas moins la furry de Miranda Forge. Mais, paradoxalement, Isabelle était très perverse, comme Miranda. Et là, en ce moment, sur ce lit, il n’y avait à vrai dire plus grand-chose d’élégant chez ces quatre femmes occupées à se faire puissamment l’amour. Isabelle avait plaidé pour une double sodomie, et, si elle n’y avait pas droit encore, cela risquait d’arriver vite. Les Warren s’avéraient en effet être bien plus pernicieuses que ce que Miranda aurait pu penser. Cela ne lui déplaisait pas. Miranda aimait le sexe, à la fois pour le sexe en lui-même, mais aussi parce qu’elle estimait qu’une vraie relation ne pouvait se bâtir entre deux personnes que par des rapports sexuels. Il n’y avait que comme ça qu’on pouvait connaître intimement et vraiment une personne.

« Haaaa… Petite Isabelle, ma belle chienne-salope… ! »

La queue de Miranda tapait contre sa gorge, s’y enfonçant profondément. Les Warren, quant à elles, continuaient à remplir ses trous, mais pensaient entre elles à cette double sodomie. Vanillia s’enfonçait donc dans le cul d’Isabelle, bien décidée à dilater suffisamment son fondement pour pouvoir mieux la prendre ensuite. Sa queue caudale se déplaça ensuite, et fila entre Isabelle et Mélinda. Elle attrapa la verge de sa femme, et profita d’un mouvement d’Isabelle pour écarter sa verge.

« Hnnn… ! »

Mélinda soupira en sentant sa verge à l’air libre. Vanillia la releva ensuite, et sa queue frotta celle de sa femme… Puis s’enfonça dans le fondement d’Isabelle. Miranda entendit sa chienne couiner, tandis que la verge de Mélinda rejoignit celle de Vanillia dans le chaud fondement de la belle chienne.

« Oh, quelle salope ! Hmmm… Tu aimes ça, sale chienne ?! »

Même Vanillia, plus douce et en apparence plus sage que sa femme, se laissait aller, pinçant et giflant les fesses d’Isabelle, tandis que son cul se dilatait sous les deux queues qui s’enfonçaient en elle. Mélinda, elle, usait de ses mains pour caresser les hanches d’Isab elle, ou pour pincer ses seins. Miranda finit par jouir dans la bouche d’Isabelle, et tira sur les cheveux d’Isabelle, l’amenant à embrasser Mélinda, à partager avec leur invitée la chaude semence de sa Maîtresse, pour un baiser très pervers, mais non moins sensuel…

Isabelle n'en avait pas le sang, mais elle était une Forge à part entière. Elle avait suivi depuis sa première fois, l’expérience et l'éducation de Miranda, n'ayant ainsi pas meilleur professeur pour agir comme telle. La chienne avait ses petits défauts, sa façon d'être qui la rendait unique sans faire d'elle un robot, mais elle était experte dans les relations sexuelles ! Oh, pas autant que sa maîtresse, bien entendue, mais il ne fallait pas la prendre à la légère malgré ses petites bourdes qui arrivaient parfois au travail. Elle n'était pas idiote, elle travaillait bien, mais parfois, l'appel de la masturbation était plus forte ou même sans passer à l'acte, il suffisait pour elle de penser à quelque chose de tentant, de sentir sa maîtresse en pleine « réunion » et son travail était sur pause, faisant travailler ses méninges, mais pas comme elle le devait. Là, elle était bien prise, la verge de Miranda en bouche, elle la savourait, sentant son petit nez s'écraser contre sa maîtresse tant elle l'avalait, mais elle en avait l'habitude. Offrant ses autres orifices aux invitées, elle était tout aussi réjouis. Certes, elle aurait préféré une double sodomie, mais elle savait que les invitées n'allaient pas cesser de jouer aussi rapidement donc, c'était sûrement partie remise.

« Mmmmmmmhhhhh~ »

Vanillia s'occupait de son fondement et c'était agréable, pas autant qu'avec Miranda, mais avec sa mentalité de chienne, Isabelle mettait Miranda tout en haut de sa tier list donc, qu'importe qui lui faisait face, personne n'était plus fort que sa maîtresse ! Rien ne lui fera changer d'avis ! Mélinda s'occupait de son intimité, les deux vampires se débrouillaient bien, et même si elle y avait déjà eu droit cette nuit, là, c'était une nouvelle journée et Isabelle en raffolait déjà ! Surtout quand en plein ébats, elle sentait Vanillia changé doucement les choses, ça bousculait son rythme arrière, mais elle sentait la verge de Mélinda se dresser plus haut avec l'aide de sa femme et quand elle força l'entrée pour y rentrer aussi, la petite chienne couina de plaisir, heureusement obstruée par la queue de Miranda, ses couinements étaient juste plus long et étouffé. Mais sa queue caudale s'agitait, elle abaissait même l'arrière-train pour aider Mélinda, que ce soit moins d'effort pour elle.

« Mmmmmmmrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhh !!!!!! »

Doucement, les vampires commençaient à remuer à deux dans son fondement, laissant la petite chienne en extase face à tout cela, mais ce n'était pas tout car sa maîtresse venait de jouir dans sa bouche, preuve qu'elle se sentait si bien, avant de lui faire embrasser Mélinda, partageant avec elle la semence de sa maîtresse. Elle était si généreuse de lui faire partager avec une autre femme. Enfin, il faudra recommencer, Vanillia n'en a pas eu et c'est compliqué vu leur position... Après ? Pour le moment, elle couinait toujours aussi fort, sans la bouche de Mélinda cette fois alors que son fondement était délicieusement écarté. Mais contrairement à une grosse queue, elle pouvait mieux couiner ici, sa bouche n'était pas si prisonnière.

« Haaaaaaaaaaaaaaaannnnn ! Uuuuuuuuuuuhhhhhhhh Isabelle.... Uuuuuuuuuh est si heureuuuuuuuuuuuse ! »

Moins qu'avec Miranda, mais ça, elle risquait de le sortir avec n'importe qui d'autre que sa maîtresse. Miranda ne trouvera jamais plus fidèle que sa petite chienne, même si un jour, elle trouve une personne avec qui partager sa vie, Isabelle lui restera la plus fidèle du monde !

La belle petite chienne allait être comblée bien plus que ce à quoi elle pouvait s’attendre ! Mélinda et Vanillia avaient donc choisi une position utile pour pouvoir la sodomiser toutes les deux. Couchée sur le lit, Mélinda partagea avec Isabelle un long baiser sensuel, succulent et passionnel. Sa main se serra sur les cheveux d’Isabelle, et son autre main alla claquer l’une de ses fesses. Sa langue joua avec celle d’Isabelle, le sperme de Miranda remuant entre elles. Cela rendait ce baiser sale et humide,  mais aussi intense et savoureux. Miranda les observait avec amusement, et Mélinda fit volontiers durer le baiser.

« Hmmm… »

Leurs langues continuèrent à jouer ensemble, jusqu’à ce que le baiser ne finisse par se rompre. Miranda s’était déplacée, et Isabelle confessa être si heureuse de sentir ces deux verges en elle. Les vampires sourirent, et Vanillia attrapa la laisse d’Isabelle, enroulant celle-ci autour de ses doigts, et tira dessus. Cela étrangla légèrement Isabelle tout en l’amenant à devoir se redresser. Vanillia se pinça les lèvres en soupirant, sentant sa queue coulisser contre celle de sa femme. La sensation était particulière, vraiment exquise. Une double sodomie… Évidemment, les deux jeunes vampires avaient déjà pu le faire ! La petite chienne se tortillait entre elles, et Mélinda se redressa, venant embrasser les seins d’Isabelle. Elle les mordilla avec appétit, léchant et jouant avec les tétons. Vu sa position, c’était tout ce qu’elle pouvait faire, tout en laissant Vanillia jouer avec le cul de sa partenaire. Vanillia, elle, était bien décidée à faire encore hurler la chienne qui se tortillait entre les deux femmes.

Miranda, de son côté, avait choisi de filmer la scène. Utilisant son téléphone portable, elle les filma en train de copuler bestialement, se régalant de la situation.

« Tu es magnifique, ma Isabelle… Une vraie traînée ! »

Venant de la bouche de Miranda, c’était un compliment, et il fallait d’ailleurs le prendre comme ça.

« Tu aimes ça, hein ? Sentir deux belles queues défoncer ton petit cul de sale chienne nymphomane, hm ? Jouis, ma belle chérie… Exprime ton plaisir ! »

Et, la connaissant, l’expression de ce plaisir suprême risquait aussi de prendre une teinte… Dorée.

Isabelle était heureuse, oh ça oui ! Elle était la chienne de Miranda Forge alors une telle situation était toujours un plaisir. Leurs énormes verges logées à la même enseigne entre ses fesses, ça remuait avec une légère difficulté, elle était aux anges. Les sentir se presser en elle, se frottant et frottant contre ses parois. Miranda avait beau fréquemment passé par son cul, elle n'était pas aussi gâtée pour avoir une verge qui égalerait deux en épaisseur. Elle ne jetait pas la pierre à sa maîtresse, c'était la meilleure de toutes en plus, mais voilà, c'est la nature humaine et là, elle lui faisait un beau cadeau alors qu'elle couinait de plaisir sous leurs coups de reins. Elle bavait légèrement sur maîtresse Mélinda qui venait l'embrasser doucement avant que son autre maîtresse ne la tire en arrière. Sans être fan de strangulation, elle n'avait rien contre ça si ça durait pas longtemps comme là, pour la redresser. Ses couinements se firent plus discrets en se redressant, même si ça voulait dire ne plus avoir la queue de Miranda toute proche de sa bouche. Mélinda en se redressant jouait avec sa poitrine, toujours aussi bien entourée entre elles, la petite chienne agitait doucement la queue avant de voir Miranda avec son portable qui filmait la scène.

« Haaaaaaaaan ! »

Ce n'était pas la première fois que ce genre de choses se passait, Miranda en avait beaucoup des vidéos d'Isabelle, même des plus chastes quand elle était petite mais il faut bien être franc, elle en avait bien plus d'Isabelle nue qui s'amusait depuis qu'elle avait eu ses premières chaleurs. Elle ignorait si elle allait montrer ça à Poison, poster ça sur un site ou juste pour sa collection privée, qu'importe son choix de toute façon, elle était heureuse de rendre sa maîtresse heureuse. Même si Miranda la traitait de traînée, elle était heureuse que cela sorte de la bouche de sa maîtresse, ça ne faisait qu'augmenter son bonheur ! En sandwich entre ses deux invitées, elle continuait de se faire prendre avec passion, les deux maîtresses la poussant à jouir, cette chose ne tardait pas à arriver, mais rien d'autres. Eh oui, elle avait vidé sa vessie juste avant, il fallait quand même un minimum de temps pour qu'elle de nouveau faire le plein.

« Haaaaaaaaaaaan ! Haaaaaaaaaan, ça arriiiiiiiiiiiiiiiive ! »

Elle se cambrait en arrière, hurlant de plaisir, bien que Mélinda ressentait une sensation humide l'asperger, ce n'était que de la cyprine qui venait. La chienne couina de plaisir avant de se retenir pour ne pas tomber sur Mélinda après cet orgasme qui la comblait de jouir. Tant par ce qui était sortie que par ce qui était rentré en elle. Elle voyait le plaisir de Mélinda, mais elle observait aussi beaucoup Miranda, comme toujours. Elle était sa petite chienne fidèle après tout. Le regard encore perdu dans son orgasme, sa petite langue pendait hors de sa bouche, elle avait bien travaillé, elle attendait n'importe quoi de sa maîtresse. Un mot, une caresse, un signe de tête, elle voulait voir d'elle, qu'elle avait bien faite son travail. C'était ça, Isabelle, une Forge qui rendait toute négociation avec un autre partie plus facile à encaisser ou à accepter, elle était une arme redoutable entre les mains de sa maîtresse. Elle baissa quand même les yeux sur Mélinda – elle aura du mal à regarder Vanillia dans son dos après tout.

« Maîtresse Mélinda et Vanillia ont aimé me remplir le cul ? Isabelle est très heureuse ! Et elle en veut encore~ »

Sa queue caudale recommençait à s'agiter, qu'importe qui se porte volontaire, elle en voulait encore ! C'est une Forge après tout !

Serrant les lèvres, Mélinda continuait à la baiser avec force.  Sa verge coulissait en elle, mais c’était surtout Vanillia qui agissait, au vu de sa position dominante. Surplombant Isabelle, c’était elle qui la bourrait, la prenant avec une force renversante, une énergie intense et soutenue. Un rythme lourd et puissant, qui tranchait avec la finesse de leurs corps. Les deux verges pilonnaient avec appétit et emphase le savoureux cul moelleux de la belle Isabelle, qui se tortillait sur place, couinait avec amour et passion. Le spectacle était très agréable, et Mélinda ne pouvait que suivre avec délice le mouvement, sentant les coups de reins s’accentuer au-dessus d’elle. Oh, Vanillia y allait de bon cœur ! Quel engouement, quelle énergie ! Sa femme était très clairement sous le charme de cette belle chienne, qui mouillait avec amour sur le corps de Mélinda. Couchée sous elle, la vampire se mordillait fréquemment les lèvres en la regardant, jusqu’à la sentir s’abandonner au plaisir suprême. Isabelle se mit à jouir, mais elle put avoir le bonheur immense de sentir un double orgasme lui remplir l’arrière-train. Pouvait-on imaginer meilleure sensation ?

« Haaaa, bordel… !! »

Avec sa verge coincée dans le cul d’Isabelle, Vanillia griffa fortement ses fesses, fermant les yeux en rougissant furieusement. Sa verge se relâcha en même temps que celle de la femme, décuplant les sensations. C’était tout simplement exquis, indescriptible, une sensation d’orgasme décuplé ! Les deux femmes inondèrent le délicieux fondement d’Isabelle, avant de reprendre progressivement leurs esprits. Isabelle avait massivement joui également, et parvint à rester sur ses bras, ne s’affalant pas contre le corps de Mélinda. Celle-ci aurait presque pu croire qu’Isabelle avait à nouveau uriné, mais la belle chienne était restée sage de ce point de vue… Tout en restant affamée ! Elle ne tarda pas à le faire savoir, d’ailleurs, ce qui amena un sourire amusé sur les lèvres de Mélinda.

« Bien sûr que nous avons aimé… Et toi, oui, visiblement…
-  Et elle en redemande encore, cette coquine… »

Miranda leur sourit alors, et se rapprocha, venant ébouriffer les cheveux d’Isabelle.

« C’est une Forge, vous vous attendiez à quoi ? »

Elle embrassa Isabelle sur les lèvres, tandis que les verges se retirèrent du corps d’Isabelle. Miranda rompit alors le baiser avec Isabelle.

« Il est l’heure de prendre ton bain, Isabelle… Et voir nos invitées s’occuper de toi m’a doucement excité. Tu es vraiment une petite coquine, oser prendre ton pied ainsi pendant que ta Maîtresse se languit de toi… Crois-moi, je vais devoir te punir ! »

Isabelle était une Forge, ça oui ! La belle petite chienne en était fière, fière d'être la chienne de sa maîtresse et de la rendre heureuse. Elle l'observait justement, alors qu'elle était prise entre ses deux invitées, le cul remplit de verge, avant que ce ne soit le foutre qui vienne la remplir et lui inonder le fondement, dans un hurlement de plaisir, comme bien souvent. Depuis ses premières chaleurs où elle avait découvert tout un monde que sa maîtresse côtoyait, Isabelle s'était forgé une sacrée réputation ! Ce n'était pas que pour son joli minois qu'elle était toujours auprès de Miranda, de même qu'elle portait le nom des Forge, non plus par nécessité civique, ayant été adopté par cette dernière, elle l'était officiellement ! Peut-être pas une Forge qui dominait, mais en matière de soumission et de résistance, elle n'avait pas à en rougir ! Les deux invitées étaient très heureuse de ce petit moment en se retirant, Isabelle avait encore fait fort ! Mais maîtresse voulait maintenant sa part du gâteau, parlant de son bain et de punition, deux choses qu'elle aimait beaucoup, tandis que sa queue caudale remuait dans son dos.

« Mais Maîtresse, Isabelle a tout bien fait comme le veut sa Maîtresse ? Isabelle est une gentille chienne ?! »

Malgré le ton, le rythme de sa queue savait bien que de punition, il n'y en avait que le nom. De vraies punitions pour elle, c'était être privé de sexe par exemple. Dieu sait qu'elle est effrayée à la vue d'une ceinture de chasteté ! Mais bon, sa maîtresse ayant toujours raison, si Isabelle devait être « punie », alors elle le sera. Elle se redressait, marchant en boitant un peu, les invitées de sa maîtresse n'ayant pas été de main-morte après tout ! Mais ça allait, elle connaissait les risques et on pouvait dire qu'elle avait connu pire. Elle était toujours avec Miranda, donc forcément, dans des soirées plus nombreuses, elle en as vue passé des invitées sur son dos. Que ce soit au milieu de tous, servant de glory hole ou même ce jeu fort amusant ou elle était bloquée au niveau de la taille, dans son dos, de parfaites inconnues profitait d'elle, devant aussi, mais elle savait au moins qui venait jouer avec elle.

« Qu'est-ce que Isabelle devra faire pour que Maîtresse lui pardonne ? »

Sa vraie peur, c'était de décevoir sa maîtresse, et même depuis tout ce temps, il était difficile de savoir si elle gardait une certaine vraie peur de décevoir en sachant pourtant que c'était un jeu, ou bien si elle cherchait juste à tirer les vers du nez du Miranda pour savoir ce qui l'attendait ? Isabelle était une secrétaire intelligente qui faisait du bon travail, mais elle était parfois si candide, elle était dans deux cases à la fois. Adulte sérieuse et responsable, enfant innocent. Quand il s'agissait de sexe, elle était toujours très partante et très curieuse, surtout avec sa maîtresse. Comme tous les chiens, sa maîtresse, c'était sa vie. Miranda était quelque part, autant sa Maîtresse que sa mère, elle voulait toujours être à ses côtés et la rendre heureuse et fière d'elle. Même si la punition et le bain arrivaient très bientôt, elle se demandait si elle va devoir laver Miranda d'abord ? Après tout, cela était selon le bon vouloir de la grande dame d'Uatis, parfois elle lavait Isabelle en première, parfois elle devait d'abord laver sa maîtresse, c'était elle qui dirigeait sa vie en général et jamais Isabelle n'avait voulue que ça change.