The Multiversity

Fallah serait-elle en réalité jalouse des fréquentations de Rhian, de celles qu'elle retrouve si souvent sans songer à elle ? Ce serait mentir de dire que c'était totalement faux, mais sans être possessive et amoureuse d'elle – pas à sa connaissance en tout cas – Fallah trouvait ça dommage, qu'étant plus jeune, elle venait la voir à la moindre occasion quand elle n'était pas occupé avec ses devoirs de protections ou ses entraînement et que maintenant, c'est à peine si elle viens la voir quand elle était avec Hérébos. Alors cette soirée sera rien qu'entre elles, elle ne comptait pas la laisser quitter cette pièce, quitte à s'attacher à elle pour dormir, elle fera tout son possible pour honorer sa mission et passer du temps avec elle. Lui ayant fait avaler la fiole, elle n'avait plus qu'à attendre que cela fasse effet, bien que la princesse signalait un arrière-goût de lait... était-ce un indice sur son effet ou juste un ingrédient fortement concentré dans la recette de cette fiole ? Elle ne tardera pas à le savoir en tout cas.

« Faux, princesse. Je les ai pris dans ta boîte que tu gardes juste ici. C'est à ce demander ce que tu regardais quand je me suis penchée pour récupérer les fioles ? »

Ses fesses ? Ses jambes ? Son dos ? Chacun était libre d'avoir ses penchants après tout. Elle allait s'allonger contre elle, caressant son visage en attendant que cela fasse effet et l'effet fut assez rapide, car bien vite, elle grimaçait, Fallah ne faisait qu'observer en silence.

« Alors, ça y est ? Je peux me servir ? »

Elle fit durer le suspens en se penchant sur ses seins, ses lèvres se rapprochaient aussi rapidement qu'une tortue feignante alors que le lait perlait déjà au bout de son mamelons, prête à déborder. Ses lèvres pressaient sa poitrine, ses dents renforçaient la pression sans pour autant la mordre violemment ou son mamelon, juste faire jaillir le lait dans sa bouche, un délicieux jet venait remplir sa bouche, coulant dans sa gorge.

« Mmmmmmmh... »

Ses mains venaient attraper les siennes, voulant l'empêcher de se libérer de tout ce lait qu'elle avait à offrir, la moindre goutte sera pour elle, et elle partagera peut-être avec elle si elle était sage. Serrant ses doigts entre les siens, elle se délectait autant de son lait que de ses cris de plaisir, de son corps qui se tortillait comme une anguille sous le sien. Quand Fallah retira sa bouche, elle se léchait les babines en observant sa princesse, elle savourait ce qu'elle lui faisait subir, littéralement.

« Mmmh, je savais que tu aurais bon goût... Je vais voir si ton sein gauche à le même goût. »

Fallah retournait téter sa princesse en absorbant autant de lait que possible dans sa bouche avant de l'avaler et recommencer. Elle finit par libérer Rhian, laissant la princesse faire comme bon lui semble de ses mains. Quand elle retira sa bouche de son sein, elle remontait jusqu'à sa bouche, venant l'embrasser pour partager son lait avec celle qui le produisait. Même une fois le lait passer dans sa bouche et sa gorge, elle ne rompait pas le baiser, le continuant encore, avec une certaine douceur. Même si Fallah tenait à garder le volant, elle restait douce avec elle tant qu'elle ne cherchait pas à lui voler sa place.

« Alors, princesse, tu aimes quand je te tète ? Tu veux que je reprenne ou bien, on arrête ? »

Un léger sourire aux coins des lèvres laissait sous-entendre qu'elle connaissait déjà la réponse, ce n'était pas si peu de lait retiré de sa poitrine qui allait la libérer. Elle avait déjà dû récupérer ce que Fallah avait avaler dans ses seins. Après, elle pouvait se montrer un peu plus vilaine en refusant de continuer et passer à un autre jeu pour la torturer en la fessant par exemple, laissant le lait couler le long de ses seins sans qu'elle puisse se soulager. Ce serait comme se retenir d'aller uriner sauf qu'elle ne pouvait pas relâcher la pression comme ça, elle devait avoir besoin d'aide pour se libérer de son lait... Si elle la faisait jouir, le lait s'en expulserait seul ? Hmmm... Pour le coup, Fallah était intéressé par l'idée, pour mener son expérience à bien...

Rhian était la prisonnière de Fallah. Ses mains étaient attachées au lit, et ses seins étaient maintenant bien gonflés, tandis qu’elle réalisait peu à peu qu’elle s’était méprise sur Fallah. Quand elle était plus petite, elle appréciait beaucoup la présence de la puissante Fallah, mais, avec les années, elles s’étaient éloignées. Fallah avait suivi ses classes militaires, et Rhian s’était éloignée, en estimant que sa copine avait grandi, et préférait être en compagnie d’Herebos. Mais, en fait, Fallah semblait être restée toujours très proche de Rhian, au point de vouloir profiter d’elle toute la nuit… Seule.

Fallah observa les seins rebondis de Rhian, gonflés par le lait, ce lait qui remplissait ses glandes mammaires. Se pinçant les lèvres, Rhian se tortillait sur place, et gémit doucement quand Fallah vint la traire. Comme une sorte de belle vache, elle s’attaqua à ses « plis », titillant ses tétons. Le lait afflua rapidement, un délicieux lait chaud, marqué par la magie rose. Rhian bascula en arrière, et releva ses jambes, les enroulant autour de la taille de Fallah.

« Hmmm… Fa… Fallah… »

Oh, comme c’était bon ! Tout simplement délicieux, exquis ! Rhian sentait la douleur dans ses seins augmenter, et décroître, au fur et à mesure que Fallah venait la soulager. C’était particulièrement agréable. Rhian gémissait doucement, et Fallah finit par se redresser. Elle avait la bouche pleine, et Rhian comprit ce qu’elle avait en tête. Entrouvrant les lèvres, elle accueillit le baiser très humide de Fallah, laissant le lait sortir, un lait qu’elle avala avec appétit, crispant ses jambes sur ses hanches.

Les mains de Rhian se crispèrent, et elle prolongea le baiser avec plaisir, même quand elles eurent tout avalé. Fallah se serrait fortement contre elle, et Rhian sentit alors tout l’amour de Fallah, toute sa dévotion, la totalité de son désir qui pointait contre elle. Rhian l’embrassa donc, et, même quand Fallah commença à se retirer, Rhian la poursuivit en relevant la tête, accompagnant ses lèvres, jusqu’à ce que, enfin, le baiser ne se rompe. Le regard si sûr et si déterminé de Fallah manifestait alors sa surprise, sa profonde excitation, un désir lancinant qui remontait en elle.

Fallah avait tété ses deux seins, mais Rhian sentait déjà la douleur revenir, ce sentiment trop-plein, comme avec une vessie remplie. Elle se mit à gesticuler, tandis que Fallah, devant elle, prenait véritablement tout son temps, ne semblant pas trop pressée à venir la prendre à nouveau. Elle l’observait, jouant avec sa proie. Rhian gémit encore, et hocha vigoureusement la tête :

« O-Ouii, Fallah, pitié… Ça… Ça me fait mal, haaaa… Tu… »

Elle gémit encore, se débattant encore, tirant sur ses liens. Mine de rien, Rhian avait de la force à revendre, et, si Fallah comptait rester plantée là, elle allait vite l’énerver !

« Hnn… Allez, remue-toi, bordel ! » siffla-t-elle, rageuse.

Fallah jouait avec elle, elle était loin d'ignorer le caractère rebelle de sa princesse, mais c'est aussi ce qu'elle aimait chez elle. Oh, peut-être que si elle aurait été une douce et gentille princesse timide, cela l'aurait aussi excitée, mais elle n'avait rien contre son petit caractère. La voir chercher à dominer, sauf que Fallah n'était pas une de ses servantes qui devait obéir. Dans les grosses lignes, si, Fallah devait obéir à Rhian qui était la princesse, mais son ordre venait directement du prince alors elle devait veiller sur elle toute la nuit. En plus, oui, leur proximité faisait qu'elle n'allait pas se laisser marcher sur les pieds non plus. Rhian avait fini par trouver plus amusant de voir les filles du harem que venir vers elle, et même quand elles partageaient un moment ensemble, elle était surtout tournée vers son frère. Là, elle l'avait rien que pour elle et elle comptait bien profiter de cela.

« Oh, que tu es impatiente... »

Elle se plaisait à la voir souffrir de la sorte, la petite Rhian commençait à perdre patience. Elle se penchait sur elle, tétant à peine l'un de ses seins pendant que sa main venait entre ses jambes pour pincer son clitoris.

« Si tu veux que je te libère de cette souffrance, tu vas devoir dire Meuuuuh, ma petite vavache... tu sais dire Meuh ? Sinon j'ai bien peur d'avoir étanché ma soif... »

Sa langue titillait son petit morceau de chair sans la téter, ce ne fut que lorsque le mot magique était prononcé, que sa bouche se posait dessus et commençait à la téter. Elle continua de la libérer de ce poids que lorsqu'elle jouait les petites vaches à lait en continuant de dire ce mot magique. Fallah la tétait, en train de traire la princesse avec sa main de libre sur son autre sein. Elle gaspillait un peu, mais ça la soulageait et elle allait vite refaire le plein. C'étaient les premières minutes où le lait affluait, généralement après, ça continuait de faire effet, mais ça se remplissait plus doucement et ne ça se renouvelait que si on tirait son lait, sinon ça restait là, simplement, contrairement à maintenant où ça afflux en grande quantité. Une fois Rhian libérée de ce lourd fardeau, elle pouvait toujours sentir sa poitrine lourde, c'était nettement moins douloureux qu'avant. Fallah venait s'écraser sur elle, la pression venait sûrement faire fuir un peu de lait entre elles.

« Tu fais un très bon lait, Rhian... Je devrais peut-être venir te téter tous les matins pour me mettre en forme ? Tu serais ma petite laitière personnelle. »

Elle la taquinait, évidemment. Fallah n'avait pas peur de Rhian, ni de ses colères, elle était en quelque sorte sa grande sœur, c'est ce qu'elle aimait se dire en tout cas. Elle baisa ses lèvres avec un peu plus de douceur contrairement à son comportement ses dernières minutes. Un baiser langoureux, doux, où quand ce dernier se rompait, c'était en frottant son nez contre le sien.

« Oh, pardon, ma princesse... Tu dois avoir soif à force de gémir comme ça ? Laisse-moi étancher ta soif. »

Se redressant, la jeune femme s'avançant, jusqu'à caler son visage entre ses cuisses. Elle avait une vue sur sa princesse et elle, elle avait vue que sur Fallah et son corps en contre-plongée.

« Bois autant que tu veux, ma belle. »

Fallah observa la table de nuit où reposait les autres fioles de leur petit jeu, elle les analysait doucement, une par une. Allait-elle à nouveau lui faire sentir les fioles pour choisir quelle sera la prochaine fiole pour elle ou pour Fallah ? Allez savoir. En tout cas, elle était intriguée par cela, elle se laisserait bien tentée... oui, par celle qui lui permettra de sauvagement prendre Rhian sur ce lit et la baiser jusqu'au petit matin... Elle avisera par la suite, elle laissait la princesse lui lécher la chatte pour le moment. Elle l'avait tant fait gémir, elle devait bien se rattraper.

Rhian sentait cette vive douleur sur ses seins, une pression terrible qui l’endolorissait. Et Fallah, joueuse et moque, continua à la narguer ! Provocatrice jusqu’au bout, elle titilla encore ses seins, mais sans s’attaquer aux tétons, seule partie de son anatomie permettant de libérer du lait. Moqueuse, Fallah se redressa doucement, et indiqua que, si Rhian voulait se faire traire, elle devrait agir… Comme une vache, et, donc, meugler ! L’intéressée rougit encore, et se pinça les lèvres, en remuant sur place.

« Fa-Fallah, tu prends vraiment trop de libertés, hmmm… De telles provocations, ça… Ça mériterait le fouet ! »

En toute honnêteté, il était sans doute bien trop tard pour espérer ramener un peu de raison dans cette situation. Totalement prisonnière, Rhian ne pouvait que suivre ! Elle gémit donc encore, ses mains se posant sur les épaules de Fallah, se crispant dessus. Oui, sa garde était définitivement bien décidée à lui faire passer une sale nuit ! Ah, quelle impudente ! Soupirant une nouvelle fois de frustration devant sa position, Rhian remua faiblement sur le lit.

Se pinçant les lèvres, consciente qu’elle n’avait aucune autre option, Rhian remua des lèvres, avant de s’avouer vaincue, et…

« M-Meuh… »

C’était timide, un léger gémissement qui déplut à Fallah. Rhian soupira encore en se pinçant les lèvres, et remua à nouveau sur place. La douleur devenait insoutenable, comme si ses seins étaient sur le point d’éclater. Fermant les yeux, elle gémit à nouveau, et se pinça furieusement les lèvres.

« Haaa… Meuh ! Meuh !! Mes seins !! Haaan bordel, ma poitrine m’étouffe ! Meeuuuhh !! »

Fallah daigna alors enfin s’occuper d’elle, et Rhian en aurait presque pleuré de soulagement. À ce stade, ce n’était pas du plaisir, mais juste une forme de torture ! D’une manière ou d’une autre, ça, Fallah allait le lui payer ! Gémissant fortement, Rhian soupira encore, et sentit peu à peu sa douleur diminuer. Elle parvint à retenir ses larmes en s’affaissant progressivement.

La Princesse soupira encore.

« Ne… Ne me refais plus jamais ça, Fallah… Ce n’était pas drôle, ça m’a fait mal ! »

Les douleurs internes, Rhian détestait ça, car elle ne pouvait tout simplement rien faire contre ça. La gardienne se redressa alors, et s’assit sur son visage. Maintenant, il allait falloir remotiver Rhian, car, en la faisant ainsi souffrir, Fallah avait malheureusement quelque peu réfréné les ardeurs de Rhian. De fait, il suffisait de voir son visage, à hauteur de ses yeux, pour constater qu’elle avait pleuré.

Elle lécha donc son sexe, soupirant doucement, se tortillant sur place. Des coups de langue timides, au début, mais qui accélérèrent progressivement, Rhian s’efforçant de s’enfoncer plus longuement dans son trou intime.

Avait-elle été trop loin ? Fallah ne le pensait pas, certes, elle se doutait bien que l'attente ne fut pas ce qui était de plus agréable à ressentir, mais c'était aussi le but. Elle ne comptait pas faire souffrir Rhian, loin de là, mais elle devait bien lui montrer que, malgré son titre de princesse, cette nuit, Fallah était sa maîtresse et que, même en temps normal, elle ne devait rendre de compte qu'au prince. Cela ne lui plairait pas de savoir que Rhian avait souffert de cette façon même si cela n'avait duré que très peu de temps, mais... C'était étrange. Fallah adorait Rhian, voulant se rapprocher d'elle comme c'était avant le cas, devenir proche comme des sœurs, mais avec le temps, cela s'était brisé, évanouie, elle n'en savait rien. Ce qu'elle venait de faire subir à la princesse était similaire au fait de lui tirer les cheveux pour jouer, rien de plus. Parfois ça va, parfois ça peut faire plus mal que prévue, c'est tout. D'une manière ou d'une autre, Fallah saura demander son pardon, mais pour le moment, elle n'en avait pas vraiment conscience.

La jeune femme était habituée à entraîner son corps, dans l'effort physique, dans la douleur aussi parfois, mais voilà, elle savait repousser ses limites pour mieux les ressentir la prochaine fois. Elle n'était pas la plus douce et la plus douée dans ce domaine, mais elle ne voulait pas de mal à Rhian, loin de là, juste s'amuser. Sauf que Fallah a toujours été maladroite sur ça. Elle a été élevée comme un garçon, comme un soldat alors la délicatesse, elle ne savait pas vraiment faire avec. Assise sur son visage, elle se laissait faire, mais elle le sentait que quelque chose clochait. Elle s'attendait à une Rhian plus énergique, plus dévouée à lui bouffer ses lèvres vaginales pour se « venger » quitte à mordiller, mais... non, elle s'y mettait pas c'était bien trop... doux ? Même en acéllerant, ça manquait de quelque chose ? Même d'habitude, en y allant doucement, c'était mieux que là...

« Un souci, princesse ? Ma chatte à perdu de son savoureux goût ? »

Le problème venait d'elle ? Elle finit par se retirer en tout cas pour s'allonger contre son corps, le bout de ses doigts filant sur sa joue en remarquant que la princesse avait versé quelques larmes, à ce cela, Fallah fronça de suite les sourcils.

« Qu'est-ce qui t'arrive, Rhian ? Quelques choses ne va pas ? … Quelqu'un te fait du mal quand j'ai le dos tourné ? »

Sur la douceur féminine, Fallah était un peu gauche, elle n'avait pas conscience que les larmes versées étaient sa faute. Elle avait poussé un peu le bouchon, mais pas au point de pleurer. La bouder deux minutes, oui, pas plus. Cependant, elle était sérieuse, elle ne se voyait pas en bourreau et en remarquant ce détail près de ses yeux, elle se demandait qui était assez fou pour faire du mal à la princesse ? À sa petite Rhian ! Y a intérêt que cela vienne du roi ou de sa famille, seuls personnes que Fallah ne pouvait pas toiser, si c'est un garde, un prince d'une autre région ou autre, Fallah va lui faire ravaler sa fierté ! Fallah caressait sa joue, fixant la princesse, ses lèvres près des siennes en faisant preuve d'une rare douceur. Seulement quand elle pensait le moment mal choisi, que quelque chose clochait comme en ce moment... Sinon, elle restait une fière dominante qui ne se laissait pas marcher sur les pieds.

« Raconte-moi tout, Rhian, n'est pas peur. »

Fallah avait passé son enfance à penser et agir comme un soldat, ses rares moments de petites filles, c'était avec Rhian, ça expliquait sa maladresse dans ce genre de situation et son incompréhension de ce genre de chose. Et comme Rhian avait été pour ainsi dire sa seule amie, elle ne permettait pas aux autres de la faire souffrir d'une façon ou d'une autre.

Fallah constata rapidement que quelque chose d’anormal avait lieu chez Rhian, qu’elle… Qu’elle n’était plus dedans ! Comme partie, ailleurs, elle ne léchait pas le sexe de Fallah avec autant d’efficacité que prévu. Confuse, la Papuanne se retira alors, et, constatant les larmes de Rhian, alla se lover contre elle. Bien que cherchant à se montrer avenante, elle n’avait pas compris. Rhian soupira lentement, et remua un peu, venant s’écarter de Fallah. Lui tournant le dos, elle s’assit sur le rebord du lit, et se pinça les lèvres. En soi, elle ne pouvait pas en vouloir à Fallah, mais il fallait qu’elle le lui dise…

« Je… Je n’ai jamais eu l’occasion de te le dire, Fallah, mais… Je n’aime pas ça, le… Les douleurs en-dedans, tu vois ? »

Elle se retourna vers elle, et serra doucement sa main dans le creux de la sienne. Son autre main caressait son ventre.

« Quand j’étais petite, je me faisais souvent des bobos, tu sais… En crapahutant à droite et à gauche… J’avais mal, bien sûr, mais, quand je me blessais un pied, je pouvais voir la blessure, et la soigner. Par contre, j’avais des problèmes gastriques, des occlusions intestinales liées à une formation importante de cailloux. Ça… Ça m’engendrait d’énormes douleurs nocturnes, et il n’y avait rien à faire. Je me faisais vomir en me fourrant les doigts dans la bouche en espérant que ça passerait, mais je passais plusieurs heures avec une pointe dans l’estomac, et ça me faisait mal, très mal… »

Rhian ferma les yeux en se pinçant encore les lèvres, puis soupira encore.

« Je… Je n’aime pas souffrir de l’intérieur, c’est tout… Quand on me fesse, ça va. Ça fait mal, mais je sais d’où ça vient, je le comprends… Mais le reste, quand c’est à l’intérieur… Je ne veux pas sentir ça, Fallah. »

Ce n’était pas vraiment un traumatisme d’enfant, plutôt quelque chose qui l’avait marqué. Elle n’avait donc pas aimé avoir mal aux seins, car la douleur venait de l’intérieur, et elle ne la contrôlait pas. Ceci dit, elle s’était retenue. Certes, cela avait fait l’effet d’une douche froide, mais Rhian n’était pas totalement perdue non plus.

Secouant la tête, elle retourna voir Fallah, et se lova contre elle.

« Dé-Désolée, Fallah… Tu ne pouvais pas le savoir… »

Elle se pressa contre son corps, et ferma les yeux.

« S’il-te-plaît, fais-moi un câlin, et… Embrasse-moi, fais-moi oublier ma peur, que le désir revienne… »

Son visage se frottait doucement contre le sien, son nez glissant sur sa joue délicatement, tendrement. Cette fois, Rhian était en manque de tendresse, et souhaitait avoir cela pour que la machine se relance…

Fallah avait bien vu que quelque chose clochait, elle ne savait pas quoi mais elle avait bien remarqué que sa princesse n'était plus dans l'ambiance. Elle ignoroat aussi qu'elle en était plus ou moins la cause mais elle saura se faire rattraper. Bien que Rhian s'écartait pour s'asseoire sur le bord du lit, elle venait lui expliquer certaines choses qui lui était arrivée quand elle était plus jeune. Des choses liés à une douleur intérieure, certes, cela n'avait donc pas l'air très agréable mais Fallah trouvera le moyen de se faire pardonner et rassurer sa princesse.  Elle avait bein saisi que son petit jeu avait tourné au vinaigre à trop la faire attendre. Après, c'était le risque, chacun ses goûts. À sa place, Fallah n'aurait pas spécialement aimé la douleur non plus mais ayant eut une formation plus dure car elle était malgré tout une soldate, elle aurait encaisser et repris le jeu une fois cela calmé. C'était là la différence entre son monde et celui de la princesse.

« Rhian... »

Dit-elle lentement. Alors que la princesse venait se blottir contre elle, Fallah la serrait doucement contre elle, posant d'abord son visage sur sa poitrine, caressant ses cheveux avec docueur.

« C'est moi qui suis désolé, ma princesse... »

D'ordinaire, quand elle l'appellait ainsi, il y avait toujours un certain ton qui prouvait qu'au delà du titre, c'était plus un surnom. Affectueux ou pour plus ou moins titiller la princesse mais cette fois, non, il était dit sur un ton beaucoup plus doux et affectueux. Fallah n'était peut-être pas doué pour toutes ses choses mais elle savait faire des efforts et se montrer plus douce quand il le fallait.

« Je pensais juste que tu allais passer outre et reprendre comme si de rien n'étais. Pardonne-moi, ma princesse. »

Fallah lui redressa le visage, le temps de partager un doux baiser, très doux, sensuel et langoureux. Elle était plus douée pour ce qui était sauvage, mordant et bestial mais ce n'était pas la situation pour ce genre de chose. Le baiser fini, elle recommença à la garder contre elle et si elle ne se trouvait pas douée en chant, pour ce qui était se murmurer un air, ça allait. Personne ne pouvait ne pas être doué pour ce genre de chose. Ainsi, Fallah entamait le début d'une ballade célèbre à Papua, un dérivé d'un conte populaire. Un air joyeux, mélancolique aussi. L'histoire d'un homme amoureux d'une princesse qui est triste et ce dernier décide d'aller dans le désert pour chercher de quoi lui redonner le sourire. Des centaines de kilomètres de désert à perte de vue, il avait trouvé après de longues journées une oasis où se trouvait justement un fruit Paopou. Un fruit jaune en forme d'étoile qui selon les légendes, portait bonheur. Comme le trefle à quatre feuille ailleurs, mais en bien plus rare ! Leur arbre ne faisait pousser ses fruits que rarement et il n'y avait pas de moment précis où cela arrivait. Parfois, un arbre fruitier de ce genre pouvait pousser, grandir, mourir sans jamais avoir eu le moindre fruit.

Ce fuit se vendait très cher, mais l'on disait aussi qu'il était doux, sucré et délicieux. L'ont disait encore que s'il était donné ou partager avec une personne, le bonheur guidera ses deux personnes pour toujours. Au-delà de son goût, c'était ça que les gens recherchaient avec ce fruit. Ce conte était inspiré d'une histoire vraie car il y a bien longtemps, un couple a vue tout leur réussir après le partage de ce fruit. Mais pour en revenir à l'histoire, elle finissait bien, évidemment. L'homme était de retour, offrant ce fruit à sa princesse et rien ne put détruire leur amour. Le vizir qui avait des vues sur la princesse ? Il fut découvert lui et ses plans morbides et exécuté en place publique. Une horde de brigand aux portes de la ville ? On leur offra le gite et le couvert et ces derniers, fasse à tant de gentillesse, venait à renoncer à piller la ville, venant offrir leurs protection à ces personnes qui ont su leur tendre la main. Cela continuait ainsi jusqu'à la fin du conte où tout deux s'étaient éteint, le sourire aux lèvres, auprès de beaucoup d'enfant et la ville continua de prospérer encore et toujours.

Peut-être Fallah risquait-elle d'endormir Rhian à murmurer ce rythme bien connu à Papua mais si ça pouvait calmer sa princesse, alors elle le ferait. Le sexe, tout ça, ce n'était que du second plan pour elle, seul le fait de revoir sa princesse sourire et retrouver son ton mutin était important. C'est tout.

Rhian avait peu l’habitude de parler de ses faiblesses, de ses peurs d’enfance. Elle s’était confiée à Fallah, elle lui avait avoué ce qu’elle avait vécu, et Fallah avait compris que, cette fois, Rhian ne plaisantait pas. La maintenant contre elle, elle fredonna alors une mélodie, la mélodie d’un conte populaire relatant le voyage d’un héros pour récupérer un fruit légendaire afin de redonner le sourire à sa Princesse. Rhian ne put que sourire, devant les liens évidents entre ce conte et sa situation actuelle, où Fallah essayait de lui redonner le sourire. Un fruit magique, qui révélait l’amour véritable, et qui, s’il était partagé entre deux amants s’aimant vraiment, permettra de les unir jusqu’à la fin des temps. Un joyeux conte, en vérité, où le héros parvint à sauver la ville de la corruption du Vizir souhaitant épouser de force la Princesse, et parvenant par la suite, par leur amour et leur générosité, à contrer les sinistres plans de vengeance du Vizir impliquant la destruction de la ville. Et, toujours, il y avait cette mélodie, cette ballade triste, mélodieuse, mais empreinte d’une sorte de joie profonde, qui revenait. On aimait la chanter au coin du feu lors des voyages dans le désert. Fallah la sifflotait, elle la fredonnait doucement, tout en caressant d’une main les cheveux de sa Princesse, jusqu’à se calmer.

La Princesse sourit encore en relevant son regard vers Fallah, et appuya sur son bras. Elle se redressa ainsi, et posa son autre main sur la nuque, tout en reniflant un peu. Elle reprenait doucement ses esprits,  et déposa un premier baiser sur ses lèvres, avant de lui sourire brièvement.

« Je… Merci, Fallah… Merci pour tout, pour… Pour être là, avec moi… »

Rhian l’embrassa encore, et se redressa progressivement, jusqu’à se lover contre elle. Son front s’apposa contre le sien, et elle gémit à nouveau, mordillant sa lèvre inférieure.

« C’est… Ça va mieux, Fallah, ça va mieux… »

La jeune Princesse était honnête, et embrassa ensuite Fallah sur la joue. Fallah se rappelait-elle que Rhian avait toujours adoré ce conte, empreint d’amour et de dévotion ? Elle l’embrassa à nouveau, remontant sur sa joue, et continua ensuite, douce, tendre, laissant peu à peu la douleur partir.

« Allez… Fais-moi ressentir la douleur que j’aime, sache celle qui m’a fait peur, je sais que tu peux le faire, et je sais que tu en as envie… »

Rhian frotta son nez contre le sien ensuite, continuant à la titiller, et, pour clarifier les choses, reprit :

« Fesse-moi ! »

Comment dire « non » à une telle requête ?

En temps normal, Fallah était toujours respectueuse avec Rhian mais leur lien était plus celui de deux sœurs que d'une servante devant respecter sa princesse. Cela dit, même avec Hérébos, il n'y avait qu'en présence du couple royale ou des invités que Fallah montrait toute la politesse attendue à leurs égards. Sans ça, elle était de nature décontractée en leur compagnie. Même quand elle l’appelait Princesse, cela ressemblait plus à un surnom qu'à un titre honorifique. Mais pas là, si Rhian allait mal, peu importe la raison, Fallah reprenais son rôle au sérieux, même si derrière ce protocole, on sentait la douceur dans son surnom. Sa princesse, douce, agréable, gentille. Elle la gardait contre elle, susurrant cette mélodie en lui caressant les cheveux, elle n’arrêterait que lorsque Rhian voudra s'en séparer et si elle s’endormait ainsi, alors elle veilleras sur sa princesse, quoi qu'il arrive.

Mais Rhian, justement, allait mieux. Elle se redressait, ses lèvres venaient trouver les siennes pour partager de nombreux, mais cours baisers. Fallah desserrait doucement son étreinte bien qu'elle gardait la princesse contre elle.

« C'est normal, ma princesse... Je veillerais toujours sur toi. »

Son rôle, ses obligations était envers Hérébos, mais le prince était assez grand et fort pour se défendre seul, Fallah pouvait aussi bien assurer les derrière du prince et veiller aussi sur sa princesse. Loin du ton autoritaire qu'elle avait avec elle, la jeune femme montrait là toute sa douceur, une chose qu'elle montrait rarement, mais à situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle. Venant frotter son petit nez contre le sien, elle lui demanda d'avoir à nouveau mal, mais le genre de douleur qu'elle aimait bien être fessé. Fallah n'allait pas faire la fine bouche et allait plutôt obéir à son ordre. Elle l'embrassa malgré toute une dernière fois en passant sa main sur son visage, écartant une mèche, la coinçant derrière son oreille.

« Si cela peut te faire plaisir, ma princesse, alors tends-moi ton adorable petit cul. »

Peu à peu, elle allait redevenir cette Fallah plus naturelle et presque hautaine, mais cela faisait partie de son charme. Devant pareil beauté, elle admirait d'abord la vue, car ce joli cul qui se dandinait doucement sous ses yeux, ça en était presque hypnotique. Passant sa main dessus, elle y sentait la fermeté de ce cul, la douceur et la tendresse. En d'autres circonstances, son royal fessier ferait un très bon oreiller.

« Je vais y aller progressivement, si ça devient trop fort, dis le moi. »

Pas la même erreur deux fois. Les premières claques sur son cul furent assez simple. Un doux bruit, pas trop de bobos, fallait bien commencer doucement. Fallah continuait pour grimper de plus en plus, les claques devenaient de plus en plus forte, de plus en plus sonore et la jeune femme en profitait justement. Doucement, ça redevenait Sa princesse.

« Mais tu es une vraie salope, ma parole ! Une princesse salope... rien qu'à moi. »

Et pendant que Rhian avait le dos tourné, lui présentant son cul, Fallah avait piocher une des fioles qu'elle avait sortie pour la boire, pendant que sa princesse était trop occupée à dandiner son adorable cul. Elle espérait bientôt pouvoir continuer de jouer avec ce cul, mais d'une autre façon... Fallah avait tendant à être très bien membrée quand elle utilisait ce genre de petit « bonus ». On va voir si le cul de Rhian était prête à subir une telle chose, mais laissons là profiter pour le moment de la simple mais douce douleur des fessées. Il faut bien du temps pour que la potion s'active après tout.

Après cet interlude imprévu, Rhian était prête à retourner à sa « punition ». Pour l’occuper toute la nuit, Fallah allait devoir se surpasser, mais l’idée n’était pas non plus de torturer la jeune Princesse. Herebos, qui avait dû ordonner à Fallah en personne, n’aurait pas apprécié ! Et Rhian savait que Fallah n’était pas que la subordonnée ou la camarade de guerre d’Herebos. Un jour viendra sûrement où les trois feront l’amour ensemble. Rhian réalisait après tout que Fallah était bien plus perverse que tout ce qu’elle avait cru, et elle se voyait bien l’inviter au harem royal en compagnie d’Herebos, ou alors dans une de leurs chambres. Qui sait ? Peut-être que ce projet allait pouvoir se faire… En tout cas, Rhian était prête à recevoir ses fessées, et Fallah l’embrassa tendrement avant ça, tout en dégageant une mèche de cheveux rebelle qui était descendue sur le front de la Papuanne. Elle la glissa derrière elle, la serrant contre son oreille, et Rhian sourit doucement, se mordillant tendrement les lèvres au passage.

« Merci… Merci, Fallah. »

Fallah la retourna ensuite, et, plutôt que de se recoucher, Rhian s’appuya contre le mur. Elle tourna la tête sur le côté, et sentit sa garde du corps (et désormais amante) se blottir contre elle, dans son dos. Elle sentait le souffle de Fallah, elle percevait toute sa nervosité, tout ce désir qui bouillonnait en elle et qui ne demandait qu’à sortir. Sa main ferme glissa sur le fessier de Rhian, le caressant doucement… Puis il y eut une première fessée.

« Han ! »

Rhian trembla doucement sur place, et perçut les hésitations de Fallah, qui semblait hésiter sur la suite, comme si l’épisode des seins gonflés l’avait toujours un peu refroidi. Souriant à nouveau, Rhian poursuivit :

« Ne… Ne t’en fais pas, Fallah, ça… Ça, ça ira ! Je ne suis pas en porcelaine non plus… »

Sur ce, les fessées se multiplièrent, plus fortes, plus vives, Fallah se frottant contre elle, venant parfois l’écraser contre le mur. Rhian sentit des vibrations la traverser, et se mit à gémir doucement, au contact des mains épaisses et tendres de Fallah sur sa croupe. Mine de rien, son amante avait une sacrée allonge, et une force redoutable, qu’elle abattait avec talent sur son corps. Rhian gémit encore, s’appuyant contre le mur, et sentit Fallah l’insulter, la baptisant « Princesse-salope ».

En réponse, Rhian couina doucement en se tortillant sur place, remuant légèrement de gauche à droite, et sourit à nouveau. Son cœur commençait à battre follement la chamade, et elle frissonnait encore. Fallah continuait son office, l’excitant chaudement, jusqu’à ce qu’elle sente brusquement, contre elle… Une bosse très agréable. Fallah grogna même en déployant sa verge, et sentir ce vit chaud contre ses fesses excita à nouveau Rhian, qui couina lentement.

« Oh, tu… Tu t’apprêtes à me prendre, hein ? Là-dessus, haaaa… Je suis endurante, Fallah… Mais peut-être préfères-tu que je prépare ta verge avant… ? Quoique… Vu ton souffle rauque et cette membrane que je sens, elle m’a l’air plus que prête à me prendre… »

Et Rhian devait bien admettre que, peu importe le choix de Fallah, elle avait très envie de sentir ce membre chaud se nicher en elle !

Sa princesse n'était pas prête à fermer l’œil sagement pour passer la nuit, alors il était de son devoir aussi de la distraire et la fatiguer pour qu'elle passe sagement la nuit dans sa chambre comme il lui était demandé. Mais pour le moment, Rhian ne voulait pas spécialement de douceur, préférant plutôt que Fallah ne tartine son cul de fessée, du moment que Fallah savait doser sa force pour rester dans le plaisir plus que la douleur, ça devrait le faire. Elle se fit une joie de faire claquer ses petites fesses, se blottissant parfois contre elle en sentant son corps vibrer de plaisir. Oh oui, un sacré plaisir qu'elle prenait là pour raffermir sa chair si douce et si tendre mais c'était loin d'être fini car son corps changeait doucement, plus bas, jusqu'à sentir sa queue poussé. Rien de naturel, des produits magiques trouvés dans la chambre de la princesse. Mais ce n'était pas la première fois que Fallah s'en faisait pousser une et quand elle devenait futa, elle avait un sacré colosse entre les jambes. Un sacré morceau même!

« Haaaam... »

Rhian le sentie se bloquer entre elles au niveau de ses fesses et cela la rendait déjà toute chose. Toujours blottie contre elle, sa bouche restait près de son oreille, lui parlant dans un murmure en laissant un peu son cul tranquille pour caresser ses autres formes tout aussi généreuse.

« Hmmm, tu te sens courageuse, ma princesse salope... Mais je vais prendre soin de toi, ne t'inquiète pas... Déjà, il faut bien lubrifier ma queue et ça, tu vas m'y aider. »

Pas besoin de changer de position, Fallah recula un peu avant de glisser sa queue entre ses jambes. Pas besoin de pénétration, elle la glissait entre ses jambes, sa mouille coulait sur sa queue pendant qu'elle se frottait à son intimité, un avant-goût de ce qui pourrait arriver très bientôt. Son gland passait ses cuisses pour arrivée à sortir de cet étroit passage pourtant si doux.

« Mmmmh, mais je me tâte encore.... Tu préférais peut-être que je t’encule ? Tu as l'air de baver à cette idée.... Mais ta douce petite chatte à l'air aussi de vouloir ma grosse bite... On commence par quoi, ma princesse salope... Je te rassure, les deux y passeront, je me demande juste par quoi commencer ? »

Fallah venait mordiller son petit lobe d'oreille en continuant de remuer, ses mains sur ses hanches, elle faisait preuve de douceur, mais attention, ce n'était que le calme avant la tempête. Ses mains remuaient sur son corps, venant remonter vers sa poitrine ou son doux petit ventre, pour glisser parfois aussi plus bas. Sa queue était bien lubrifier, bien dur et bien dressée... Elle n'attendait plus qu'un trou pour s'y glisser et se vider en elle.

« Tu as fait ton choix, ma jolie princesse salope ? Ou veux-tu que je me faufile en premier ? Décide-toi vite... Tu m'excite bien assez comme ça et la nuit sera assez longue pour te combler. »

Ses mains se crispaient sur son corps, attendre plus encore serait risquer de jouer avec le feu. Rhian était préparé à affronter la tempête du désert ? C'était encore à prouver...

Rhian voulait tourner la page de l’incident avec ses seins, et le mieux, pour cela, c’était de passer à la vitesse supérieure, soit que Fallah la baise sèchement. Un programme qui ne pouvait que ravir la puissante hermaphrodite. Dans son dos, Fallah venait de se doter d’une verge. À Mijak, les élixirs de ce genre étaient fréquents. La magie rose était très prégnante sur Terra, et les alchimistes et autres magiciens avaient depuis longtemps réussi à synthétiser des élixirs de ce genre. Rhian disposait donc de son stock, et l’hermaphrodisme allait très bien à Fallah, une guerrière musclée et puissante. La soldate se lova dans son dos, l’écrasant contre le mur. Mains écartées, Rhian les appuyait sur le mur, et se pinça les lèvres, ses seins heurtant le mur, avant de sentir les mains de Fallah se balader sur son corps. Elle pinça ses seins, tout en l’embrassant dans le creux du cou, mordillant sa chair, et frottant surtout sa belle sucette contre le petit cul de Rhian. Son vit turgescent se glissa contre la raie de ses fesses, et Rhian gémit à nouveau, soupirant encore.

Elle mouillait, effectivement, et Fallah déplaça sa queue, la faisant filer sous le fessier de Rhian. Sa queue remonta ensuite, et frotta ses lèvres intimes. Rhian gémit alors, se pinçant les lèvres, crispant et décrispant ses doigts, sentant le membre de Fallah, dur et tendu, se redresser un peu, caressant son intimité. Fallah voulait lui laisser le choix du trou, et Rhian gémit à nouveau.

« Hmmm, tu es… Tu es incorrigible, Fallah, haaaa… »

Elle se tortillait sur place, elle avait chaud partout ! Mais quel angle choisir ? Elle banda un peu ses muscles, tandis que Fallah insistait, s’écrasant contre elle à nouveau, venant la plaquer contre le mur. C’était une sensation particulièrement exquise, qui fit encore doucement trembler Rhian. Frissonnant sur place, la jeune femme tourna la tête vers Fallah, et continua à se tortiller. La porte arrière ? La porte de devant ? Ah, il était décidément bien dur de choisir ! Mais Rhian ne comptait pas tourner éternellement autour du pot ! Elle déglutit, et s’appuya vers l’arrière.

« Prends-moi par la chatte, tu… Tu m’as mis le feu par là, mais… Tu devras aussi me prendre par le cul ! »

Rhian soupira à nouveau, attendant de sentir avec impatience la queue de Fallah se glisser en elle. Elle sentit sa garde bander ses muscles sur place, et se déplacer, prête à la pénétrer…

…Et Rhian savait qu’elle allait adorer ça !

Fallah ne comptait pas ménager la princesse. Elle s'était dotée d'une queue, ce n'était pas pour le plaisir d'avoir un tel gourdin qui se balance entre ses jambes. Pressée contre son corps chaud, elle le fit glisser entre ses jambes, sentant sa mouille humidifier sa queue en se demandant où elle allait commencer ? Elle laissait le choix à sa princesse bien que pour Fallah, les deux trous allaient y passer, reste juste à savoir par où commencer ? Ce fut un choix compliqué, mais Rhian avait choisir la porte d'entrée pour commencer... Très bon choix. La jeune femme venait lui mordiller le lobe d'oreille en parlant à voix basse.

« Soit. Je vais te remplir la chatte pour commencer alors. »

Fallah s'écartait un peu de sa princesse, la retournant pour lui faire face, venant s'écraser contre elle en l'embrassant avec force et passion. Leurs corps chauds se frottaient, sa queue trouvait toujours le chemin entre ses jambes bien que là, ce soit uniquement la base de sa queue qui se retrouvait doucement mouillée. Elle s'écrasait sur elle, ne lui laissait aucun moyen de fuir. Quand le baiser se termina, Fallah ne passait pas par quatre-chemins pour venir s'enfoncer, doucement malgré tout, en elle. C'était un sacré morceau qu'elle avait alors, un minimum de douceur. Le gland et le reste de la queue s'enfonçait doucement jusqu'à disparaître totalement en elle. Laissant Fallah gémir de plaisir en sentant ses parois se serrer autour de sa queue.

« Haaaan ! Hum ta chatte... Quel plaisiiiir ! »

Remuant son bassin, Fallah entamait donc son petit show, laissant sa queue se cogner la tête au bout, l'utérus de la princesse allait être mis à rude épreuve face à une si longue queue ! Après quelques coups de reins, Fallah venait saisir le cul de Rhian pour la soulever et la plaquer contre le mur. Elle était à sa merci ! Ses coups de reins se faisaient donc plus rapide et plus fort, s'écrasant doucement plus sur sa princesse qui risquait fort de laisser sa marque sur le mur tant Fallah allait se déchaîner !

« je te rassure... je vais pas te remplir, rhaaa, qu'une seule fois... Huhu, la nuit, va être... longue ! »

Reprenant le baiser, ses hanches continuaient de la marteler pendant que sa longue queue continuait encore et encore de taper tout au fond. Sa chambre à bébé allait vite être remplie avec une personne comme Fallah ! Au moins, elle pourra souffler un peu quand elle s'occupera de son cul ou de sa bouche. Sera-t-elle assez courageuse pour avaler un tel morceau en une fois ? Elle le verra plus tard, mais pour le moment, Fallah l'embrassait encore, venant mordiller sa lèvre inférieure avant de couper le baiser et faire rebondir la princesse sur sa queue.

« Huuuum, aller ma salope !!! Crie ton plaisir ! Haaa, y a que comme ça, rhaaaa, que tu vas me faire jouir ! »

Ce n'était pas pour maintenant, mais c'est sûr que la douceur et les caresses en faisant l'amour, ça sera que peut-être en dernier, avant de se coucher, mais pas avant ! Sauf si la princesse avait de nouveau une sorte de coup de blues ou autre, mais Fallah devait s'assurer qu'elle reste joyeuse toute la soirée.

Rhian était une femme passionnée, ce que Fallah savait très bien. Les deux femmes allaient faire passionnément l’amour, elles allaient tout faire pour effacer de leur souvenir le loupé qui avait eu lieu après l’utilisation des potions. Fallah avait vu l’une des faiblesses de Rhian, elle avait vu que la Princesse avait ses points faibles, alors elle tapait dans ses points forts. Et le sexe sauvage, débridé comme ça, oh ça oui, ça lui parlait ! Rhian aimait ça, et, quand Fallah s’enfonça en elle, Rhian gémit fortement. Un long soupir s’échappa de ses lèvres, tandis que des frissons la traversèrent de part en part. Elle avait proposé que Fallah passe par la porte avant, et c’est ce que son amante fit, s’enfonçant joyeusement.

« Haaaaaaaaannn… !! »

Le cri de joie fusa hors de ses lèvres, et les muscles de Rhian se bandèrent sur place. Elle enroula ses jambes autour de la taille de sa partenaire, sentant ses abdomens, son corps musclé, ses muscles saillants qui s’enfoncèrent à nouveau rudement en elle. Le cul de Rhian rebondit contre le mur, et son dos claqua dessus, encore et encore. Quelle énergie ! Quelle force ! Fallah n’y allait clairement pas par le dos de la cuillère, et Rhian se surprit à griffer sa nuque, gémissant longuement. Elle embrassa à nouveau Fallah, et gémit contre elle, mordillant sa lèvre inférieure.

Elle remua à l’unisson avec sa partenaire, sentant Fallah la bourrer encore. Elle continuait à la prendre, renversant un tableau qui sauta de son crochet, et la déplaça ensuite. Rhian gémit, et la Princesse se retrouva couchée sur le milieu du lit, sentant Fallah la chevaucher, et la bourrer encore. Elle cria encore, se laissant aller, exprimant son plaisir intense. Fallah continuait à la prendre, avec cette force incroyable, surhumaine. Rhian gémit fortement, crispant ses doigts sur ses cheveux, et la sentit s’enfoncer encore. La chair claquait furieusement, la sueur soudait leurs corps en chaleur. C’était intense, chaque coup de reins, chaque coup de trique balayant ce qu’elle était, détruisant la Princesse pour ne laisser plus qu’une femme en chaleur, insatiable, désireuse de sexe.

« Oui, ouiii, haaaa… En-Encore, hmmm… ENCORE !! » hurla-t-elle.

Le lit craquait doucement, témoignant de l’intensité de leurs ébats… Et, Dieu, qu’est-ce que Rhian pouvait prendre son pied en ce moment !

Armée de son gros gourdin, Fallah avait la sainte mission de jouir dans sa princesse pour la rendre heureuse et elle ne ménageait pas cette dernière. Rhian enroula ses jambes autour d'elle pendant que la jeune femme la prenait avec force ! Son énorme trique s'enfonçait, tapant sans mal au fond de son utérus, c'est à croire qu'avec sa queue, elle voulait aller plus loin que les autres personnes avant elle. Elle serrait la princesse contre elle, elle avait beau s'y accrocher, ses doigts fins griffant sa nuque, Fallah avait connu bien pire alors pour la faire lâcher, il fallait y aller. Accrochée à ses lèvres, elle ne donnait peut-être pas de rapides coups de reins, mais ses coups étaient puissants, cognant le bas de son dos contre le mur, encore et encore, jusqu'à en changer légèrement le mobilier tant certains cadres ne tenaient pas un tel rythme. Allant avec elle sur le lit, Fallah continua de la baiser tout en alternant entre un doux baiser et quelque chose de plus mordant !

« Mmmmmh, c'est ça... Crie ma belle salope. »

Fallah se redressait doucement, venant saisir ses mains dans les siennes, se posant au-dessus d'elle. Main plaquée sur le lit, Fallah la dominait de haut, le sourire bien large, bien dominante, elle ouvrait doucement sa bouche, sa langue sortant doucement de sa cavité humide. Doucement, elle laissait sa salive aller se concentrer au bout de sa langue pour couler sur Rhian, visant sa bouche, naturellement. Elle aimait la voir ainsi, la princesse rebelle était aussi docile qu'une petite pute en manque. Et c'était Fallah qui commandait.

« Huhuhu... Mmmh, jamais vue d'aussi belle salope que toi... RHAAAAA !!!! »

Fallah continuait de donner de puissant coups de reins qui, un bref instant formait une petite bosse près de son nombril. Sa longue queue était comme elle, puissante, et sa princesse n'avait pas finie de prendre son pied. Fallah venait de nouveau l'écraser, sa poitrine s'écrasant sur la sienne, son baiser était appuyé et langoureux.

« Mmmmh, je devrais faire de toi ma salope... rien qu'à moi... Huuuum... Hein, j'agiterais ma belle queue, tu viendras la sucer ... Ou t'empaler dessus, t'en pense quoi ? »

Fallah prenait ses aises, mais Rhian pouvait agiter son titre de princesse, Fallah s'en fichait. Elle était plus comme une petite sœur. Elle devait le respect à la famille royale, mais elle servait surtout Hérébos, après, oui, elle devait obéir au roi s'il ordonnait quelque chose. Mais Rhian, pas forcement... Pas de ce genre de situation en tout cas.

« Je serais ta maîtresse... Et j'aurais, haaam, une princesse comme jouet... Huhu... moi j'aime huum, cette idée... »

Toujours accrochée à elle avec ses jambes, Fallah se redressa un peu, de sorte à ce que Rhian n'ai que la tête et les épaules encore sur le lit, elle enchaîna plusieurs coups de reins moins puissants mais plus rapides, bien décider à remplir ce premier trou !

« Il est temps de se vider en toi, ma salope ! J'ai hâte de t'entendre, haaaa... crier de plaisir ! »

Fallah en serait devenue presque sadique vu son sourire, son attitude et pourtant, elle avait toujours la même douceur pour sa petite princesse adorée.

Un long soupir s’échappa des lèvres de Rhian quand la puissante matraque de chair de Fallah s’enfonça en elle. Elle savait sa partenaire puissante, vigoureuse, et elle en eut la démonstration très rapidement. Son membre la pénétra puissamment, et Rhian crispa ses jambes, bandant ses muscles en sentant Fallah la prendre énergiquement. Plusieurs coups de reins successifs s’abattirent sur elle, et Fallah continua à remuer, gémissant longuement. Oh ! Rhian adorait ça ! Elle se sentait remplie, magnifiquement pleine, sentant le membre de Fallah la pénétrer énergiquement. C’était intense, avec une accélération graduelle qui rendait Rhian extatique. Elle soupirait encore, tandis que le corps musclé de Fallah s’abattait contre le sien, et qu’elle venait à la provoquer.

Fallah lui assura que, dans un futur proche ou un présent immédiat, elle pourrait être la Maîtresse de Rhian, semblant fantasmer à l’idée de diriger une femme qui aurait son propre harem. Rhian gloussa doucement en la regardant. Elle se pinçait les lèvres ou papillonnait des yeux, mais tâchait de retrouver son calme, son contrôle sur elle-même.

« Tu… Haaaa… Ne… Ne rêve pas trop, Fallah… Hmmm… Bordel, c’est si bon, haaaa… Encore, hmmm… Encore ! »

Elle aimait tant ça ! Rhian soupirait à nouveau, ses lèvres proches de celles de Fallah. Difficile de faire quoi que ce soit, car Fallah immobilisait ses mains, la contraignant ainsi à subir ses puissants coups de reins. Intense, le plaisir déferlait en elle, fusant dans son corps avec une vigueur incroyable. Tremblant nerveusement, Rhian la laissait faire, mais elle ne s’imaginait pas devenir un autre jour véritablement l’esclave de Fallah. Elle l’aimait beaucoup, mais pas au point d’entamer une véritable relation en ce sens. Après tout, Rhian restait une Princesse, et toute sa lutte à elle était consacrée autour de l’idée de montrer à son père qu’elle servait à autre chose qu’être un joli cul à marier. Pas de soumission ! Que ce soit envers le futur mari à qui on voulait la caser ou même envers Fallah. Rhian voulait bien jouer ponctuellement le rôle de la soumise, mais pas le vivre, et elle ferait soigneusement respecter cette importante nuance.

Mais, en attendant, rien ne l’empêchait de profiter pleinement de ce moment et du corps parfait de Fallah, qui la bourrait et la maîtrisait joyeusement ! Force est d’admettre que se laisser faire par elle, laisser sa garde la prendre, c’était exquis. Tout ce que Rhian pouvait faire, en réponse aux coups de reins de sa partenaire, c’est relever ses jambes pour les serrer autour de sa taille, et pour gémir longuement contre elle.

Fallah ne comptait pas vraiment devenir la maîtresse de Rhian, dans le privé ou même officiellement, la famille royale le verrait d'un mauvais œil. Mais vu la situation, elle s'amusait à imaginer cela. La princesse rebelle qui en faisait voir de toutes les couleurs à son père, douce et docile entre les mains de Fallah qui savait transformer cette tigresse en chaton. Sa lance de chair continuait de la remplir la petite chatte royale, labourant cet unique chemin, heurtant son col de l'utérus comme un bélier viendrait chercher à défoncer la porte du palais. Fallah comptait bien l'envahir, laissant sa semence remplir sa chambre royale. Aucune chance que la princesse tombe enceinte heureusement – sauf si elle aimait jouer avec le feu en ayant ce genre de potion dans sa propre chambre – car si dans quelques jours la princesse lui annoncera ça sérieusement... Elle ne saurait pas comment réagir ! Déjà vis-à-vis de la famille royale puis Rhian en tant que femme, mère de son enfant ? Ce serait une bonne chose, mais... Vraiment ? Fallah était jeune, rebelle en un sens, jouissant de sa liberté et aimant son travail, servir son roi et son prince, de là à devoir jouer les mamans... D'ici une dizaine d'année, peut-être aurait-elle changé d'avis, mais si tôt ?! Bon, si ça devrait arriver avec Rhian ou une autre, elle ne fuirait pas, mais de là à sauter de joie...

« Moi, rêver ? Huuum, c'est toi qui haaaa, adoooooore être baisée comme ça ! »

Son corps se blottissait contre elle, cessant de remuer, sa poitrine écrasant la sienne pour y cueillir un baiser profond et sensuel. Sa queue restait fièrement tendue, formant sûrement une très légère bosse au niveau de son ventre, mais Fallah étant allongée sur elle, cela ne se voyait pas. Ses jambes s'enroulaient autour de sa taille quand elle se redressa doucement, constatant bien cette légère bosse près de son nombril. La puissante guerrière posa ses mains sur ses hanches, pour y reprendre son travail et la baiser avec autant d'amour que de puissance. La chair allait claquer, mais que pour aller dans le bon sens. Elle se tenait au-dessus d'elle, son corps remuant au rythme du sien, agitant le corps de sa princesse sur son lit au fur et à mesure qu'elle la prenait.

« Haaaaan, Rhian... Hummm, que tu es une belle, haaan, salope. »

Cela n'était pas dit sur un ton hautain et accusateur, cela était dit avec amour et respect. Même si Fallah n'avait couché qu'avec le prince et la princesse, l'on disait la reine aussi très coquine et porter sur le sexe. Ça, Fallah ne l'avait jamais vue de ses propres yeux mais il ne serait pas étonnant que la belle princesse ait hérité de ce côté là de sa mère. Bandant ses muscles, Fallah lui saisit les poignets pour la redresser, la laissant s'accrocher à elle pendant que ses mains s'agrippait à son délicieux petit cul. Face à face, la guerrière avait toujours ce sourire si sûre d'elle.

« Allez, ma belle salope... Il est temps de te remplir ! »

Crispant ses doigts sur son cul, ses ongles se firent bien sentir, sans pour autant abîmer sa belle peau caramel, Fallah la soulevait par le cul pour la faire rebondir sur sa queue qui cognait toujours au fond de son entrejambe, bien décider à être toujours aussi brutal avant de lui remplir ce premier trou ! Elle n'oubliait pas qu'après, c'était son petit cul qu'elle comptait satisfaire ! Mais en attendant, elle lui dévorait la bouche, l'embrassant langoureusement pendant qu'elle la soulevait, son corps se frottait au sien, toujours plus chaud et moite. Elle allait faire jouir la princesse Rhian, une première fois avec sa bite, pas la dernière de la soirée par contre !

Rhian s’attendait à un sacré rodéo avec Fallah. Sa belle soldate était très endurante, et était en train d’exprimer toute sa perversité. Plus que jamais, Rhian avait l’intime conviction qu’il y avait chez Fallah beaucoup de refoulement, car elle ne voyait que cela pour expliquer son comportement. Depuis combien de temps avait-elle envie de lui faire l’amour ? Elle avait enfin l’occasion d’affirmer ses pulsions, son désir, et Rhian gémit en sentant la verge de Fallah caresser sa chatte. Son membre épais et puissante s’appuyait sur elle, et Rhian se pinça les lèvres ne couinant encore, crispant ses doigts sur les épaules musclées de sa partenaire. Celle-ci était prête à passer aux choses sérieuses, et se releva alors. Elle entraîna Rhian avec elle, et posa ses mains musclées sur ses fesses.

Se pinçant les lèvres, la Papuanne enroula ses jambes autour de la taille de sa partenaire, et gémit en sentant sa verge s’enfoncer en elle.

« Hihi, quelle insolence, Fa-Fallah, hmmm… Tu… Tu as intérêt à assumer, tu sais ! »

Et elle allait assumer, visiblement ! Fallah se mit à bander les muscles, et accéléra le rythme, venant pénétrer plus vigoureusement sa partenaire. Rhian se pinça les lèvres en se tortillant sur place, et couina longuement, avant de serrer sa main sur les cheveux de Fallah, et l’embrassa alors. Sa bouche se plaqua à la sienne, et son corps continua à se frotter sur le sien, sentant cet épais mandrin s’enfoncer en elle. Le contact était intense, douloureux, mais aussi délicieusement jouissif. Ah, quel pied ! Oh, mais comme c’était bon ! Rhian adorait ça, et la Princesse griffa la nuque de sa partenaire, avant de lui sourire malicieusement.

« A-Allez, tu peux faire mieux que ça ! Ne me dis pas que mon corps ne t’inspire pas plus… Baise-moi, allez ! Baise-moi ! »

Il semblait tout simplement difficile de faire plus clair, tant Rhian était en feu, et avait envie que sa partenaire la prenne vigoureusement !

Toujours prête, toujours bandante, Fallah prenait le délicieux corps de sa princesse contre elle, ses mains la soutenait par son délicieux petit cul pendant qu'elle la prenait. Sa queue s'enfonçait en elle, faisant des aller-retour en se sentant si bien. Et dire que cela n'était que le début ! Elle s'était foiré dans le début de la soirée, mais il fallait à présent que l'extase qu'elle lui offre lui fasse oublier à jamais ce faux pas. La belle papuanne n'y allait pas avec le dos de la cuillère, ses coups de reins puissants cognait contre elle, avant d'y retourner encore et encore ! Fallah avait assez de force pour soulever Rhian un bon moment et faire en sorte que ses pieds ne touche pas terre avant d'atteindre le septième ciel. Elle la faisait s'empaler sur sa queue, la faisant aller de haut en bas, encore et encore en soufflant chaudement, savourant le plaisir sur le visage de sa petite princesse qui cherchait à la titiller pour aller plus fort et/ou plus vite.

« Je profite... ma princesse... J'écrirais haaaf, une ode à ta beauté... haaaa, avec ma semence, sur ton cooooorps... »

D'autant plus que le sperme était blanc, sur sa peau caramel, cela se verrais encore mieux. Oui, pourquoi pas un jour, recouvrir son corps de son foutre ? Pourquoi cela devait toujours être en elle et non sur elle ? Si ça se trouve, Rhian en serait très friande ? Voir une belle bite s'animer sous ses yeux pour lui jouir sur le visage ou sur le corps ? Parfois, il faut casser la routine pour plus de plaisir. Mais pour le moment, Fallah comptait bien jouir en elle et faire déborder sa petite chatte. Que son foutre la remplisse et la fasse grimper aux rideaux, c'est ce à quoi elle aspirait. Sa princesse avait beau lui griffer la nuque, se tenir à ses cheveux, il en faudrait plus pour faire souffrir la belle Fallah. Ses muscles bandé, de fines gouttes perlaient sur son corps, suivant plus ou moins le tracé de ses muscles alors qu'elle serrait les dents, donnant plus de vigueurs à ses coups de rein, pour mieux s'enfoncer en elle et heurter le fond de son utérus.

« Je reconnais, haaaa ! Bien là, ma princesse... hhhhuuummmm salope ! Y a pas que Papua qui huuumph, est si chaud... Ta chatte est en chaleur, ma salope ! »

Tel un animal, sa princesse était toujours en chaleur, prête à charmer pour qu'on vienne à elle, le plus souvent pour lui lécher les pieds, mais l'intimidation ne prenait pas avec elle. Elle était habituée à Rhian, elle l'avait vue grandir aux côtés d'Hérébos et elle avait été son premier baiser. Elle pouvait se donner de grands airs, de futures reine si elle voulait, pour Rhian, ça ne prenait pas. Elle ne lui sera jamais supérieure hiérarchiquement parlant, mais dans le privé, Fallah ne se laissera pas marcher dessus comme une vulgaire femme du harem, oh non... Ici, c'était elle qui dominait sa princesse. Cela ne voulait pas dire que Rhian n'aurait jamais le dessus, cela voulait juste dire que Fallah devait être dans un moment de faiblesse ou céder à son caprice pour que cela arrive, c'est tout.

« Mmmmmmhhhh ! Si t'es sage... je te laisserais haaaarrr, danser sur ma bite ! »

Peu importe le trou, avoir Rhian qui se trémoussait sur elle, ce serait déjà un très beau spectacle mine de rien. Elle en profiterait pour se rincer l'œil, jouer avec sa poitrine ou gifler son délicieux cul, selon comment elle serait tournée. Mine de rien, à force de la prendre comme ça, l'orgasme ne tardait pas à pointer le bout de son nez et bientôt, elle se régalera de son cri d'extase tout comme de son visage emplit de bonheur. Fallah saura à ce moment-là qu'elle avait bien faire son travail.

Quelle énergie, quelle force ! Fallah était décidément très douée dans son domaine, et faisait subir à Rhian un train d’enfer ! Han, quel pied ! Rhian se dandinait sur place, sentant les coups de reins de Fallah s’accroître. La femme la plaquait contre le mur, et elles faisaient l’amour debout, avec énergie. C’était si puissant, si féroce ! Elle grognait en se mordillant les lèvres, sentant Fallah continuer à la prendre avec un appétit intense, sans cesse renouvelé ! Son dos heurtait le mur, ses jambes se serraient autour de la taille de sa garde et courtisane ! Han, quel délice, quel plaisir !

« En-Encore, hmmm… Fa-Fallah !! »

Serrant sa main sur ses cheveux moites, Rhian alla l’embrasser énergiquement. Elle se colla contre elle, sa peau trempée adhérant à la sienne dans des mouvements flasques et solides. La chair claquait contre la chair, et Rhian grogna encore, poussant de longs soupirs de plaisir. Fallah ne lui épargnait rien, et, à ce rythme, les deux femmes finirent par jouir. Un orgasme délicieux traversa le corps de Rhian, qui griffa les épaules de Fallah, jouissant silencieusement, en poussant un long cri de plaisir.

Elle rouvrit ensuite les yeux, et commença à reprendre progressivement ses esprits.

« Hmmmm… La vache… Tu te rattrapes très bien, Fallah… C’est si bon… »

Sa voix était un peu épuisée, témoignant de l’excitation fiévreuse qu’elle ressentait, du désir latent qui ne tarderait pas à remonter en elle…