Re: Le Talisman et la Louve [Shad]
Posté : 07 sept. 2024 12:36
La douleur était là, et la pauvre petite Shad se contracta. Fini le mode koala, elle était en mode « jeune-nonne », serrant son cul comme s’il était Fort Knox ! Alastar en aurait presque souri. Suffisamment forte pour défier les démons, pour braver l’Enfer et ses menaces surnaturelles, mais pas assez pour accepter une queue dans son petit cul. Ses mains se serraient contre le lit, déchirant ce dernier, le faisant probablement horriblement souffrir. Alastar était toutefois en partie fautif. Le facétieux Incube y allait lentement, alors qu’il fallait plutôt agir rapidement. Il tenait à respecter la volonté de Shad, qui, il en était sûr, voulait que ça aille lentement. Jeune idiote ! Pensait-elle vraiment que, parce qu’il allait lentement, la douleur viendrait lentement ? C’était tout le contraire qui se passait ! Le sexe nécessitait justement d’agir vite, car le sexe n’était que passion, et la passion n’aimait pas qu’on la retienne. La passion était comme un courant furieux, une rivière qui ne demandait qu’à devenir un âpre et gigantesque torrent déchaîné et sans restriction. En retenant ses gestes, Alastar se faisait souffrir, mais la faisait aussi souffrir. Il voulait qu’elle en prenne conscience. En ce moment, il restait encore ce formateur qu’il prétendait être. Curieux à dire, mais, pour Alastar, agir ainsi était une sorte de bonté et de pitié. Si dédaigneux, les êtres humains, les mortels, n’étaient que des enfants inconscients des réalités de leur monde. Il fallait bien les former un peu… Du moins, certains d’entre eux. Si tous étaient formés au sexe, Alastar ne servirait presque plus à rien ! Il était prompt à critiquer les Terriens, à se gausser de leur paradoxe à l’égard du sexe, mais il était lui-même un produit de ce paradoxe, qui s’en nourrissait et s’en abreuvait. Tant que les mortels continueraient à éprouver cette ambivalence à l’égard des pratiques sexuelles, cette peur intellectuelle mélangée à ce désir physique et instinctif, l’Incube aurait de beaux jours d’infidélité conjugale et de grossesse surprise devant lui !
« Haa putain sa mère ça fait mal ! 'Culé va ! » grogna alors la Louve.
Hum… Peut-être bien qu’elle manquait un peu d’éducation aussi. Son cul venait d’enfler, mais ça ne l’empêchait pas de retourner dans ses travers. Bah ! Ça ne faisait que justifier un peu plus son côté sauvage et intrépide. Elle redevenait la Okami qu’elle était toujours, une créature sauvage. Il se contenta tout simplement d’un sourire, et d’une petite tape sur l’ourlet de ses fesses.
« Ma foi, oui, je crois que le terme est plutôt bien choisi, vu les circonstances… Mais c’est toi-même qu’il faut blâmer pour ça, ma petite… Tu te souviens de ce que je t’ai dit ? Le plaisir ne vient pas tout seul… Ne retiens pas ta souffrance, Shad. Hurle, et laisse-là s’échapper. Exprime-là, et le plaisir la remplacera. Il faut hurler… »
Un ton doucereux, mais empreint d’une sourde menace. Il allait la motiver, et commença à remuer plus rapidement, donnant des coups de reins plus amples. Très honnêtement, il y avait bien longtemps qu’il n’avait pas remué dans les entrailles d’un cul aussi petit, aussi dur, aussi… Résistant. Si elle s’était fait défoncer le derche, c’était il y a longtemps, et, si son esprit s’en souvenait encore, comme s’il avait été marqué au fer blanc, son corps, lui, avait retrouvé cette sorte d’innocence se caractérisant par une résistance des bords féminins. Alastar retrouvait les joies profondes et primaires de la sodomie : l’expérience de la douleur pour atteindre le plaisir Une sorte d’inversion du schéma classique, où le coït consistait à expérimenter le plaisir pour atteindre douleur et plaisir, la douleur étant neutralisée par le plaisir assez rapidement… Du moins, si tout se passait bien. Ici, les choses étaient inversées. C’était plus effrayant, mais terriblement plus jouissif et plus grisant… Qu’est-ce que le sexe, en définitive, si ce n’est la libération de l’être ? Si ce n’est une fascinante et admirable capacité d’aliénation, d’abandon total ? Quand le bâton rencontrait le trou et que les deux communiaient, on ne pensait plus à rien d’autre… Et, si c’était le cas, alors c’est que le porteur du bâton se débrouillait comme le roi des tocards. Seul le plaisir sexuel, dans ces situations, devait compter, et c’était tout à fait ce qu’Alastar entendait faire.
Le Diablotin se faisait de plus en plus rapide, de plus en plus intrusif, de plus en plus agressif. Sa queue remuait rapidement en elle, ramonant son arrière-train, remuant d’avant en arrière, et il se fit plus agressif en parlant, afin de libérer Shad, afin que la jeune humaine devienne cette Louve qui bouillonne en elle, et qu’elle puisse apprécier, à sa juste valeur, les bienfaits de se faire bourrer le cul :
« Hurle, salope ! Allez, hurle, hurle !! Hurle, traînée, gueule, SALOPE, ouvre ta putain de gueule, et RUGIS !! »
Et *PAF !*, il venait de donner une grosse gifle sur ses fesses… Histoire de faire circuler le sang ! Ses mains retournèrent ensuite se poser sur les hanches de la femme, et son corps continuait à remuer, le frottement de son sexe contre l’arrière de Shad provoquant des bruits de claquement, tandis que le lit se remettait à grincer, à soupirer devant le poids entraîné des deux amants dansant dessus.
« Haa putain sa mère ça fait mal ! 'Culé va ! » grogna alors la Louve.
Hum… Peut-être bien qu’elle manquait un peu d’éducation aussi. Son cul venait d’enfler, mais ça ne l’empêchait pas de retourner dans ses travers. Bah ! Ça ne faisait que justifier un peu plus son côté sauvage et intrépide. Elle redevenait la Okami qu’elle était toujours, une créature sauvage. Il se contenta tout simplement d’un sourire, et d’une petite tape sur l’ourlet de ses fesses.
« Ma foi, oui, je crois que le terme est plutôt bien choisi, vu les circonstances… Mais c’est toi-même qu’il faut blâmer pour ça, ma petite… Tu te souviens de ce que je t’ai dit ? Le plaisir ne vient pas tout seul… Ne retiens pas ta souffrance, Shad. Hurle, et laisse-là s’échapper. Exprime-là, et le plaisir la remplacera. Il faut hurler… »
Un ton doucereux, mais empreint d’une sourde menace. Il allait la motiver, et commença à remuer plus rapidement, donnant des coups de reins plus amples. Très honnêtement, il y avait bien longtemps qu’il n’avait pas remué dans les entrailles d’un cul aussi petit, aussi dur, aussi… Résistant. Si elle s’était fait défoncer le derche, c’était il y a longtemps, et, si son esprit s’en souvenait encore, comme s’il avait été marqué au fer blanc, son corps, lui, avait retrouvé cette sorte d’innocence se caractérisant par une résistance des bords féminins. Alastar retrouvait les joies profondes et primaires de la sodomie : l’expérience de la douleur pour atteindre le plaisir Une sorte d’inversion du schéma classique, où le coït consistait à expérimenter le plaisir pour atteindre douleur et plaisir, la douleur étant neutralisée par le plaisir assez rapidement… Du moins, si tout se passait bien. Ici, les choses étaient inversées. C’était plus effrayant, mais terriblement plus jouissif et plus grisant… Qu’est-ce que le sexe, en définitive, si ce n’est la libération de l’être ? Si ce n’est une fascinante et admirable capacité d’aliénation, d’abandon total ? Quand le bâton rencontrait le trou et que les deux communiaient, on ne pensait plus à rien d’autre… Et, si c’était le cas, alors c’est que le porteur du bâton se débrouillait comme le roi des tocards. Seul le plaisir sexuel, dans ces situations, devait compter, et c’était tout à fait ce qu’Alastar entendait faire.
Le Diablotin se faisait de plus en plus rapide, de plus en plus intrusif, de plus en plus agressif. Sa queue remuait rapidement en elle, ramonant son arrière-train, remuant d’avant en arrière, et il se fit plus agressif en parlant, afin de libérer Shad, afin que la jeune humaine devienne cette Louve qui bouillonne en elle, et qu’elle puisse apprécier, à sa juste valeur, les bienfaits de se faire bourrer le cul :
« Hurle, salope ! Allez, hurle, hurle !! Hurle, traînée, gueule, SALOPE, ouvre ta putain de gueule, et RUGIS !! »
Et *PAF !*, il venait de donner une grosse gifle sur ses fesses… Histoire de faire circuler le sang ! Ses mains retournèrent ensuite se poser sur les hanches de la femme, et son corps continuait à remuer, le frottement de son sexe contre l’arrière de Shad provoquant des bruits de claquement, tandis que le lit se remettait à grincer, à soupirer devant le poids entraîné des deux amants dansant dessus.