The Multiversity

Qui aurait cru qu’une Ange puisse être aussi... Sexuellement énergique ? Sya était la preuve que les clichés n’étaient pas toujours justifiés, et que, parfois, ils étaient même totalement faux. On disait des Anges qu’ils étaient de très mauvais amants, car ils n’avaient aucune envie sexuelle, aucune attirance quelconque. C’était vrai... Et faux. Vrai, dans le sens où les Anges n’avaient pas conscience du péché originel, et n’avait donc pas vraiment d’envie sexuelle, et ce d’autant plus qu’ils ne se reproduisaient pas comme les humains. Faux néanmoins, dans le sens où ils étaient dotés de corps humains, avec des appareils génitaux, et étaient donc capables de ressentir du plaisir. Ils n’étaient donc pas, en soi, de piètres amants, juste des amants inexistants. Mais, quand ils se réveillaient, c’était comme un volcan endormi venant de s’éveiller. Sya en était l’illustration. Belle, sensuelle, elle était absolument parfaite, savourant les pieds de Kazuha, le contact des doigts de pied venant frôler ses lèvres, s’y enfonçant joyeusement. Avec sa vue masquée, Sya ne pouvait que subir, ce qui avait pour effet de renforcer les sensations qu’elle ressentait, surtout qu’elle ne pouvait pas bouger. Ainsi, son corps ne pouvait que se concentrer sur les stimulations qu’on lui offrait.

Elle finit par retrouver l’usage de sa bouche, et implora qu’on la prenne, qu’on continue à la baiser, autant de demandes qui ne purent que faire sourire les deux femmes... Du moins, surtout Samara, car Kazuha, elle, était entièrement concentrée sur le beau corps de Sya. Il fallait bien admettre que Kazuha avait goûté à des centaines de corps, qu’elle avait apprécié une quantité impressionnante de courbes, et que, pour le dire simplement, Sya avait un corps aux proportions magnifiques. Elle avait beau être petite, elle n’en était pas moins dépourvue de formes, et, surtout, d’une peau douce, tellement douce, tellement, tellement douce... Kazuha s’était redressée, et délaissa ses pieds au profit de sa bouche, venant embrasser le ventre de Sya, léchant sa peau, remontant le long de cette dernière.

« Hum... Oh, quelle douce peau, ma belle Sya.. »

Kazuha remonta, et lécha l’ourlet de ses seins, puis alla lécher son cou, mordillant sa peau. Les mains de Samara, quant à elles, se déplacèrent, continuant à caresser les épaules de Sya, avant glisser le long de ses cordes, les frottant, ses ongles venant gratter sa peau, la griffant très doucement. Tout était fait pour frustrer au maximum la belle Sya, pour lui faire goûter aux joies du sexe, des joies qu’elle avait rarement dû goûter par elle-même, tant elle était entreprenante et dynamique.

« La frustration, ma douce... C’est la base de la Luxure, non ? Plus une femme est perverse, et plus elle est encline à succomber à n’importe quel fantasme osé et extrême... Il faut bien te la faire ressentir, ma charmante fille. Tu veux qu’on te baise, hum ? Nous le ferons... Mais, pour l’heure, il faut jouer avec toi. Ta peau est si douce, ma chérie, que nous avons toutes les deux envie de la parcourir intégralement... »

Ou presque intégralement, car les deux femmes évitaient soigneusement ses parties intimes. Elles léchaient ainsi son corps, ses joues, son cou, ses épaules, ses bras, ses mains, son estomac, son ventre, l’espace entre ses seins. Des langues expertes qui se faufilaient, tandis que la pauvre Sya, elle, était toujours attachée, et incapable de faire autre chose que de sentir ces deux femmes la lécher... La lécher, elle et son corps parfait, ce corps qu’elle auraient, en réalité, pu lécher pendant des heures.

« Humm... Que tu es bonne, Sya... Je pourrais lécher ta peau pendant des heures, ma puce...
-  Supplie-nous de te prendre, ma chérie... Montre-toi vulgaire... Je veux que des jurons sortent de ta bouche, que ta si belle voix devienne grossière, hummm... Régale nos oreilles, mon amour. »

Cette chambre sera à jamais marquée par de bons souvenirs. Elle avait peut-être de très bons souvenirs cette chambre mais ce trio allait lui fournir de nouveaux souvenirs, bien plus beaux encore ! Les yeux bandés, elle ne pouvait plus compter sur sa vue mais ce n'était pas grave, il lui restait encore de très bons sens à développer pour sentir toutes les bonnes choses qui se dégageaient ici. La peau délicieusement douce Kazuha qui se frottait contre la sienne, celle de Samara qui parcourait presque timidement le sien. Elle s'en mordait la lèvre inférieure à tant ressentir ! C'était comme ce que racontaient les personnes aveugles ou sourdes, leur autre sens se développait et Sya ne faisait pas exception. Enfin, tant que ça concerne le sexe, comme toujours. L'ange ne pourrait pas être si douée si demain elle se retrouve aveugle mais pour le sexe, elle s'adaptait très vite.

Kazuha la léchait délicieusement bien mais pas en étant pile au bon endroit. Elle léchait sa poitrine sans pour autant viser son téton, ça restait bon mais elle savait très bien comment faire mieux. Comme pour sa mère qui la caressait du bout des doigts, sans pour autant placer ses doigts aux bons endroits. Cherchaient-elles à la frustrer ? C'est réussi mais elle ne déteste pas ça. Elle aime et déteste ça à la fois. C'est comme les jouets sexuels, c'est bien beau d'avoir un gode pour dormir ou jouer avec une femme mais si on peut avoir mieux, pourquoi se contenter de ça ? Avec une femme normale, un gode, c'est pratique, oui. Avec une futa, un gode c'est pratique ? Pas vraiment. Alors prise entre les mains sans avoir ce qu'elle attendait, c'était terriblement frustrant et excitant à la fois ! L'ange attendait tellement avec impatience les caresses et les coups de langue mais... c'était impossible pour le moment !!!

La voix de sa mère était si douce, même si elle lui expliquait qu'elle n'était pas prête de voir ses pensées se réaliser, elle était heureuse, son corps vibrait de plaisir à voir cela, à le ressentir plutôt, elle était tellement... heureuse !

« Hihi, Maman sait déjà comment punir Sya... Mais oui, Sya veut sentir vos langues, vos mains, partout... »

Ce qui n'arrivera pas tout de suite. Pas entièrement. Elle sentait la langue de sa mère passer sur son corps et son visage, de même pour Kazuha qui pouvait la lécher un peu plus librement, partout, c'était bon et frustrant, elle remuait contre elles, espérant que son plaisir allait faire bouger une de ses langues sur une des parties sensibles ? Oh quand cela va arriver, Sya va jouir en moins de trente secondes ! Déjà que là, c'était bon et excitant, elle regrettait juste de ne pas pouvoir mieux bouger que ça, de ne pas pouvoir caresser ses deux corps chauds contre elle. Samara se montrait douce comme maman mais Kazuha voulait l'entendre devenir grossière, devenir Sya donc ? Voilà une chose qu'elle savait faire ! Pourtant son but était de devenir « timide » et faussement inculte en sexe mais dès qu'il a été question d'avoir une maman, Sya n'était pas si inculte et timide, peu à peu, elle redevenait Sya.

« Pitié Maman, Kazuha.... Sya veut tant jouir grâce à vous ! Elle... Sya veut sentir vos langues en elle, haaa, sa petite chatte mouille tellement qu'elle... elle veut jouir dans vos bouches ! »

Lui permettre ça, c'était un peu comme retirer un verrou, elle se laissait aller, elle déversait ce qui lui passait par la tête et la frustrait encore plus mais la récompense n'en sera que meilleure.

« Baisez Sya par pitié ! Elle veut sentir vos belles bites en elle ! Prise en sandwich ou bien serrée... oh oui, toutes les deux dans le même petit trou étroit de Syyyyaaaaaa !!! »

Elle ignorait si Kazuha serait capable d'une telle chose mais elle avait bien envie de ça si ce serait possible. Imaginer ces deux-là se faufiler dans un de ces trous intimes, cela devait être une chose des plus plaisantes. Sya tenait parole et ne pouvait donc pas se toucher alors que pourtant, ses cheveux bougeaient, venant non pas caresser son corps mais écarter ses lèvres intimes, petites et bien rose clair, bien trempée. Cette entrée était bien rose et bien luisante, elle était prête à accueillir une ou même deux langues ?

« S'il te plaît Maman... S'il te plaît Kazu-chan... Sye veut vous offrir... son nectar d'amour... Sya a besoin de jouir et... et de baiser pour vivre... »

Peut-être pas... mais ça en était presque ça en réalité. La luxure était sa raison de vivre après tout. Sans la luxure, qui sait ce qu'elle serait devenue aujourd'hui ? Qui allait succomber aux avances de Sya du coup ?

Sya était en train de souffrir... De souffrir de plaisir, ce qui faisait naturellement énormément plaisir à Samara. Lentement, Sya était en train de comprendre la leçon que sa désormais nouvelle mère voulait lui inculquer, à savoir que la luxure passait par la frustration... Et, en attendant, Samara se faisait largement plaisir. La peau de Sya était d’une douceur incroyable, et l’embrasser était un régal constant, tout comme la caresser, la câliner... L’Archimage prenait tout son temps, tout en sentant l’impatience de la femme, la frustration de l’Ange, palpable, non seulement à travers ce qu’elle disait, mais aussi à travers la manière dont son corps semblait être en train de frissonner et de frémir sur place.

« Oh, ma pauvre petite chose, tu es en souffrance... »

Samara se moquait d’elle, tandis que Kazuha finit enfin par embrasser les seins de Sya. Les mains de Samara s’étaient enroulées autour de la taille de Sya, s’appuyant dessus, un bras enroulé au-dessus de ses seins, la main de son autre bras posée sur ses hanches. La bouche de Kazuha alla ainsi jouer avec les seins tendus de Sya, goûtant à ses délicieux tétons, et Samara se rapprocha à nouveau du cou de l’Ange, venant tendrement la mordiller, par le biais de multiples suçons appuyés.

« Tu dois... Comprendre... Que... Plus un corps est... Frustré... Hummm... Et plus... Le plaisir ressenti... Est... Intense. »

L’Archimage esquissa un sourire, et sa main remonta, venant saisir la nuque de la femme, et elle tira la tête de Sya en arrière, tandis que Kazuha, elle, continuait à jouer avec ses seins, mordillant ses tétons. Elles voulaient la frustrer, et entendre Sya, de sa si fluette voix, supplier ces femmes de la prendre, constituait un régal auditif fabuleux. Samara continuait donc à jouer avec elle, tout comme Kazuha, et les deux femmes pouvaient voir les quelques mèches de cheveux de la femme, qui avaient écarté ses lèvres intimes, dessinant un accès plongeant vers son sexe.

Samara ne cessait de l’embrasser, puis finit par s’écarter un peu, posant chacune de ses mains sur ses épaules.

« Mais nous t’avons assez fait souffrir, ma chérie... »

Kazuha sourit, puis tira alors sur un nœud... Et, par un procédé incroyable, tout le système de cordages immobilisant Sya sembla se défaire. Kazuha n’eut ensuite plus qu’à tirer dessus, et les cordes tombèrent sur le sol. Kazuha se redressa alors, et Sya put voir qu’une verge venait de pointer entre ses jambes. Samara redressa alors Sya. Elle avait exploré son vagin il y a quelques instants, et la logique des choses voulait maintenant qu’elle passe au reste.

« Je vais m’occuper de défoncer ton petit cul de salope, pendant que Kazuha te prendra par l’avant. Qu’en dis-tu, Sya ? Tu as envie de te faire prendre comme une grosse pute en manque ? »

Le temps de la Sya douce et innocente semblait être révolu pour le reste de la soirée...

Et ce n’était pas Samara qui en serait dérangée !

Douce torture que voilà, Sya savourait cela car elle savait déjà que le plaisir se trouvait aussi dans la frustration mais évidemment, se sentir frustré était moins drôle que croquer le fruit de la luxure à pleine bouche. Mais tant pis, sa mère voulait la voir ainsi alors elle allait rester comme ça pour lui faire plaisir. Ligotée, elle pourrait se dégager facilement mais elle préférait jouer le jeu et subir leur assaut, sa mère dans son dos la maintenait, caressant sa peau ici et là pendant que Kazuha savourait sa poitrine avec sa langue et sa bouche. Oui, cette délicieuse petite langue qu'elle aimait tant, passant dessus, venant même la croquer parfois, haaan, c'était si bon !

« Haaaaaaaaan !!! Ouiii, encore Maman ! Kazu-chan, j'en veux encore !!! »

Et bien plus encore, elle voulait jouir, avec ou sans pénétration, elle voulait se libérer et voir sa mère ravie. C'était la plus belle chose qu'elle pouvait lui offrir, faire montrer combien la démone était douée pour user de ses mains, de ses nombreux talents. Vint enfin le tour, après avoir crié son envie et son plaisir, de passer à autre chose. Kazuha la libéra de ses liens et doucement Sya bougeait ses membres pour faire circuler le sang en elle. Gigotant en étant debout, elle observa Samara qui était si belle, sa mère avait déjà une trique d'enfer, prête à savourer le plaisir qu'était le petit cul de sa fille. Gloussant sans pouvoir détacher les yeux de sa queue, la vraie Sya était de retour !!!

« Oh ça oui Maman ! Mais attention quand même... » Sya posa son index sur sa lèvre inférieure, caressant doucement sa bouche en remuant son corps de gauche à droite, hypnotique et envoûtante, la luxure était un art aux multiples facettes et bien qu'elle n'en était pas la déesse, elle n'était pas une des favorites de Lust pour rien. « Mon petit cul est vierge lui aussi et donc, très, très étroit... »

Tentation, provocation ? Peut-être un peu des deux, elle ne savait pas si Samara voulait que sa queue soit lubrifié avant ça ou bien si elle voulait être brute de décoffrage mais les deux solutions plaisaient énormément à sa fille. Remuant ses ailes translucides dans son dos, elle se rapprocha en sautillant sur ses pieds, venant enlacer sa mère, sans vraiment chercher quoi que ce soit, juste un câlin, même si sa queue rouge frottait contre son corps, étonnamment, ce n'était pas le but rechercher,

« N'aie pas peur d'y aller très fort, j'aime quand ça fait mal... alors venant de Maman... je serais plus que ravie ! »

Elle n'oubliait pas Kazuha mais là, ce sera sa première sodomie avec sa mère alors ce sera très spécial ! Remuant ses ailes pour faire face à sa mère, elle caressa ses joues pour venir l’embrasser délicatement, fourrant sa langue dans sa bouche, tellement heureuse de ce moment mère-fille. certes les gens ont une image loin de là de ce genre de relation mais n'oublions pas qu'il s'agit de Sya, elle vit pour le sexe. Quittant ses lèvres en posant les pieds à terre, elle s'éloigna en lui tournant le dos, gardant un œil par-dessus son épaule, elle écartait doucement ses fesses pour inviter cette grosse queue rouge  trouver son plaisir dans son petit trou encore vierge. Si elle aime être à l'étroit, elle va encore plus adorer sa fille.

« Une fois maman en moi, tu viendras aussi Kazu-chan ? Sya est impatiente d'être pressée entre vous deux ! »

Adopter Sya, cela promet de longues nuits de sexes, Sya le garanti ! Il était temps de fourrer Sya, une chose qu'elle ne pourra jamais leur refuser, surtout venant de sa maman !

Avec tout ça, on en oublierait presque que Sya avait utilisé sa magie pour se remettre à l’état de jeune vierge... Cette fille était une grosse perverse, et il était difficile de reconnaître, en elle, l’ancienne Ange. Lust était passée par là, ce qui, en soi, ne surprenait pas tant que ça Samara. Les Anges étaient des créatures de désir autant que n’importe quelle autre espèce, ils n’en avaient juste pas vraiment conscience. Pour Sya, en tout cas, c’était tout le contraire, et la voir se dandiner, en cherchant à allumer sa mère, renforça graduellement l’excitation de Samara, qui se pinça les lèvres en sentant sa respiration s’emballer. Elle répondit ainsi aux baisers de la jeune Angelotte, avec un certain plaisir, tandis que cette dernière lui avait dit de ne pas hésiter à y aller franchement, car elle aimait quand ça faisait mal.

En la voyant s’écarter, en dandinant son cul, Samara sourit, l’une de ses mains venant masturber son sexe, sa verge se montrant douloureuse et assoiffée.

« C’est noté, ma puce... »

Pour ça, aucun problème ! Sya se rapprocha ensuite de Kazuha, qui était maintenant également dotée d’une belle verge. Les cordes avaient laissé leurs empreintes sur la peau claire de l’Ange, formant toute une série de lignes torsadées remuant contre son corps. Un bel habillage, en réalité... Et Sya demanda à Kazuha de venir en elle, ce qui fit sourire la femme.

« Bien sûr, ma puce... »

Les deux femmes avaient bien frustré Sya, et il était donc normal de lui offrir un plaisir qui irait en proportion... Mais Kazuha, elle, était en train de se dire que, devant la capacité de Sya à résister à ce genre de choses, elle n’hésiterait pas à recommencer. Le bondage était l’un de ses péchés mignons, et, si elle adorait être la victime de sa Maîtresse, elle adorait aussi inverser les rôles, généralement avec d’autres personnes. Le harem de Mélinda, pour cela, était une aubaine, et, maintenant qu’elle avait une Ange à disposition... Oh oui, cette belle petite allait souffrir ! On pouvait faire confiance à Kazuha pour ça !

Samara frappa alors dans ses mains, en se déplaçant un peu.

« Allez, en piste, ma chérie... Mets-toi à quatre pattes sur le lit... »

Il était temps de passer aux choses sérieuses. Les mains de la démone caressèrent la croupe de Sya, et son membre turgescent vint caresser ses fesses.

« Hmmm... Prépare-toi, ma petite pute... »

Samara avait le choix entre y aller doucement, ou de manière brutale... Et, quand ses mains pincèrent les fesses de Sya, le choix fut vite fait.

Son mandrin s’enfonça d’un coup en elle, et Samara hurla joyeusement, un long cri de douleur en sentant son membre se ratatiner dans ce cul étroit.

« HAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Fini le temps de vouloir jouer aux anges douces et délicates, pures et vierges comme les gens ont cette image de ce peuple. En dehors du fait qu'elle soit encore vierge de l'anus, elle redevenait fidèle à elle-même, une prêtresse de Lust qui connaît son devoir sur le bout des doigts. Aguichant sa nouvelle maman, elle se faisait un plaisir à voir la démone heureuse et impatiente de fourrer Sya, la voir se masturber en la regardant était la preuve qu'elle était douée, qu'elle faisait bien son travail. L'ange n'oubliait pas aussi de faire du charme à sa nouvelle copine avant que Samara ne souhaite commencer leurs jeux en voulant Sya à quatre pattes sur le lit ? Elle pensait faire ça debout, prise en sandwich mais pas de souci, ça lui convient mieux sur le lit.

Grimpant sur le lit sans perdre son sourire, elle s'installa en tournant son visage par-dessus son épaule, se demandant bien par quelle méthode Samara va débouler ? Douce comme une maman aimante ou bien plus fort, comme une maman autoritaire mais juste ? Sya penchait pour la seconde option  quand même, elle ne disait rien, la laissant choisir alors que sa queue caressait ses fesses. C'est de façon rapide et brutale qu'elle entra en elle, sentant son étroit petit trou violé pour une nouvelle première fois. Sensation de douleur, mêlée au plaisir, elle sentait que c'était trop gros pour être dedans et proutant elle y était !

« HHHHHHHHAAAAAAAA !!!!!! Ma-Maman ! J'ai mal !!! »

Une douleur qu'elle aimait, il faut juste lui laisser le temps de s'habituer à son antre, de s'habituer à sa queue. Pour le moment, l'ange serrait ses poings sur le lit, agrippant la couverture en gémissant doucement. Les premières fois étaient toujours un mélange savoureux entre plaisir et douleur. Voulant quand même poursuivre cela dans cette ambiance très particulière, elle tourna son visage vers la somptueuse démone, prenant sa bouille coupable et innocente, il faut bien jouer de ses charmes après tout pour rendre cela meilleur encore.

« Maman... ne bouge pas s'il te plaît, haaaa... Ta queue... est trop grosse pour... mon petit cul... »

Traducteur magie rose... Elle devait y aller plus fort et plus vite à présent pour mieux jouir à deux, bientôt à trois. Elle n'attendait plus que Kazuha qui logiquement devrait se glisser en dessous pour la pénétrer aussi. Sya réservait ses premières fois – pour ses orifices du moins – à sa maman et à présent, il ne reste que sa bouche qui n'a pas goûté à cette grosse queue rouge qui déverse avec plaisir sa grosse crème blanche. Le corps de Sya vibrait de plaisir en ressentant ce pénis logé dans son arrière-train, c'était tellement bon et dire que tout cela n'était que le début ? Sya risque vraiment d'aimer sa maman de plus en plus. Gardant toujours ce petit air innocent qui faisait tout son charme face à la grande démone rouge – on ne pouvait pas faire plus cliché – elle gardait sa petite voix toute douce et presque trop bas pour lui dire ses quelques mots qui vont sonner le coup de grâce, faisant ainsi démarrer la machine à sexe qu'était sa maman.

« Sois douce avec moi, Maman... »

N'était-elle pas mignonne ? Au point de vouloir la faire jouir en lui prenant sauvagement le cul ou bien en succombant à son charme et en étant aussi douce que possible ? Vu le fait qu'elle l'aguiche depuis la fin du jeu de Kazuha, la douceur doit être employé que très peu ou bien après ce petit jeu. Un gros câlin bien doux dans les bras de Samara, ça, elle ne disait pas non. Pour l'instant... Elle voulait que la démone montre toute sa méchanceté à la petite ange qu'elle était.

« Hummm... Tu... Tu fais la timide, S-Sya ?! La fille de Samara... Doit savoir être... Forte ! »

Avec ses longs cheveux bleus et son corps fin, sans parler de sa peau terriblement douce, Sya était une pure beauté, un pur produit de Luxure. Et la démone n’était évidemment pas dupe. Loin de se réfréner, elle accéléra encore plus, tout simplement parce que, sur ce point, Sya et sa mère étaient sur la même longueur d’onde. En matière de sodomie, la douleur était quelque chose de jouissive, et, avec les petits culs étroits comme celui de Sya, plus on forçait, et plus la douleur était forte, atteignant des sommets, que ce soit pour la partie sodomisée, ou pour la partie qui sodomisait l’autre. Samara gifla les fesses de Sya, ce délicieux cul doux, se délectant des couinements et des gémissements de cette dernière. Plus cette dernière l’implorait, et plus Samara était excitée, sentant ses gènes démoniaques s’envoler.

Elle remuait en elle, férocement, faisant craquer le lien, et, devant elles, Kazuha était en train de se masturber, se mordillant les lèvres, son autre main pinçant l’un de ses seins. Comment ne pas être excitée devant une telle scène ? Elle se dandinait sur place, mais, tant que Samara ne l’aurait pas invité, Kazuha resterait à sa position. Avant toute autre chose, elle restait une esclave fidèle, fidèle aux ordres à et la volonté de sa Maîtresse.

« Ouuuiiii-ouuuiiii... Haaa... Implore-moi, salope !! Haaaannn... Supplie-moi, haaaaa... Supplie-moi, ma chérie, ma... Ma petite puuute !! »

Les deux femmes jouaient clairement à un jeu, le jeu de la jeune femme violée par un méchant bourreau... Mais il y avait quelque chose de profondément jouissif dans ce jeu. Samara s’abattait sur la femme, multipliant les coups de reins, et le sexe de Kazuha devenait de plus en plus lourd, ses joues rougissant sur place. Elle était si proche de Sya que, quand cette dernière remuait d’avant en arrière, elle pouvait presque lécher le sexe de la femme, son phallus disproportionné et assoiffé.

« Tu as envie de sentir Kazuha, en toi, h-hein ? Hummm... Implore-là aussi, haaa... Implore-là de te prendre et d’être... D’être douce avec toi, haaaannn, parce que... Parce que tu es une petite pute fragile, haaaa... !! »

Dieu, que ça pouvait être bon ! Des vierges, Samara en avait déjà baisé, que ce soit dans les harems, ou dans l’académie, voire même au Palais Impérial, où il était fréquent qu’elle se tape des pages, ou des esclaves. Mais, là, il y avait clairement un plaisir supplémentaire, une force liée à la nature profondément angélique de la femme. C’était une Ange, une magnifique petite Ange, et la prendre était, pour Samara, un grand bonheur...

Et, lorsque la femme avoua ce que Samara voulait entendre, sa main serra les cheveux bleus de la femme, et tira dessus, la soulevant... Puis Kazuha les rejoignit alors, et Samara se redressa en arrière, maintenant Sya en hauteur. L’Ange était suspendue en l’air, le phallus de Samara se plantant encore plus profondément en elle. Une chance que les chambres soient insonorisées, car les femmes n’étaient clairement pas discrètes !

« Allez, Sya... Hurle pour nous... »

Un bruit de claquement se fit entendre quand la verge de Kazuha s’enfonça dans le sexe de Sya, et, enfin, la petite Ange fut prise en sandwich !

Outre l’insonorisation des murs, les lits étaient aussi résistants, car Kazuha et Samara prenaient Sya ensemble, le corps de l’Ange, filant d’avant en arrière, le long de deux membres bien dressés.

Que demander de plus ?

Tout cela n'était que pur plaisir, comment pourrait-elle ne pas trouver son bonheur en couchant avec sa chère et nouvelle mère, Samara ? Elle ne la connaissait pas depuis longtemps mais cette démone avait déjà gravi le haut de son échelle sociale, elle l'aimait, presque autant que ses petites amies et sa Déesse, c'est pour dire ! Puis même, plus que Mélinda ! La vampire avait beau avoir un harem à porté de main où elle laisse Sya faire connaissance avec ses employées, ça n'égalait pas l'amour de sa mère. Et maintenant que l'ange et la démone allaient partager leur premier rapport annal, ça risquait que d'améliorer encore son affection pour elle. De façon sec et brutal, elle la pénétra avant de commencer à jouer avec elle, voulant la voire forte. Ça, c'est faux. Préférait-elle vraiment la voir à peine montrer son plaisir en souriant ou bien de la voir timide et tremblotante face au bâton de chair en elle ? Samara n'avait pas besoin de mentir, Sya connaissait déjà la réponse.

« Hyyyyyyyyaaaaaan !!!! Maman ! Je... J'ai trop mal !!! Mon cul... hum... il va se déchirer !!! »

Sya avait connu bien pire que cette queue bine gonflée de plaisir et bien rouge mais voilà un rôle qu'elle savait jouer sans se forcer. Rendre ses partenaires folles d'envie et de plaisir, voilà une chose qu'elle savait parfaitement faire. Ce n'était toujours une joie pour elle que de faire grimper le plaisir toujours plus haut. Ses mains serraient les draps presque aussi fort que sa mâchoire était fermée, gémissant en grimaçant de plaisir comme de douleur. Si la démone aurait fait ça devant un miroir, elle aurait vu à quel point sa fille aimait ça, à quel point elle était une petite pute, comme elle les aimait tant.  D'avant en arrière, elle voyait le bout de sa queue lui faire face, Kazuha avait aussi une très belle queue qui avait l'air appétissante. Mais elle ne devait pas encore le faire, elle devait se retenir. C'était une belle queue bien rouge et forte qui devait prendre sa virginité buccale.

Mais il fallait bien faire plaisir à sa maman avec des mots dignes d'une petite salope, Samara aimait cela et après tout, c'était compréhensible.

« Kazuhan !!! P-Prends-moi !!! Haaaa.... Pitié... Ma chatte... elle... fait mal à Sya... »

Sa mouille était en feu et seule cette jolie lance d'incendie pourrait éteindre ce feu en elle, elle va donc devoir être prise en sandwich, une chose qu'elle attendait. Perdue entre le fait de parler d'elle normalement et comme une esclave, Sya était elle-même perdue entre son rôle de fille et d'esclave. Gardant ce côté domination face aux anges, sa mère venait lui tirer les cheveux pour la soulever. Une douleur loin d'être agréable quand on parle se sexe mais elle sentait cette queue glisser le long de ses parois en se retirant doucement alors qu'une nouvelle belle grosse queue venait aussi se glisser entre ses jambes. Kazuha aussi pouvait qu'aimer sa chatte étroite. Elle n'était peut-être plus vierge ici mais elle adorait quand même sentir des queues bien grosse en elle.

« Haaaannnn... Tellement... bon... mmmmhhhh ! »

Sya se mordait la lèvre inférieure en étant prise entre deux corps si chauds, voilà ce qu'était le bon plaisir. Sentir les deux queues se frotter entre ses parois, hum, un plaisir bien agréable, plus encore quand il s'agissait de sa maman. Elle s'adossait au corps chaud de sa démone favorite, levant ses bras, caressant les cheveux noirs et doux de cette superbe femme. Sa tête se reposait contre son épaule alors que les gémissements de plaisir se faisaient entendre dans la pièce, les bruits de sa chaîne aussi et les bruits humides de son petit minou. Elle était tellement heureuse.

« Haaaaan ouiiiii ! D-défonce-moi le cul !!! Même... si haaaaaaaa ! J'ai mal... j'aime sentir la grosse bite de maman... dans mon cul !!! Huuuummm... Kazuhan aussi... J'aime sentir vos bites... se frotter en moi ! »

Tôt ou tard, il faudra qu'elles soient deux dans le même trou, là, ce serait un beau cadeau. Sya continuer de crier et de gémir, bavanr même un peu tellement sa bouche refusait de se fermer pour mieux laisser sa voix offrir un délicieux son.

« Haaaaaaan c'est trrpooooop booooon !!! Han Maman... Nan... je vais jouir, je vais Jouir JE VAIS JOUIIIIIIIR !!!!! »

Sya se crispait en arrière, frottant plus son corps contre Kazuha à présent alors qu'elle arrosait la queue de scette dernière avec sa cyprine en tentant de reprendre ensuite son souffle avec cette vague de plaisir mais voilà une chose qui semblait bien compliquée. Elle venait de jouir et ce ne sera sûrement pas la dernière fois entre leurs mains expertes.

« Mmmmhhh Sya vous aime !!! Vous et vos... belles queues... »

Coincée entre Samara et Kazuha, Sya était prise par les deux, et joyeusement prise. Le sexe entre femmes pouvait être quelque chose de très doux, mais également de très et de terriblement intense, comme c’était le cas en ce moment. Sya était tellement belle... Aussi belle que perverse, et il était donc tout à fait normal de lui faire l’amour avec autant de force, et avec une telle intensité. Elle ne méritait tout simplement pas moins, et les deux femmes s’exerçaient avec force sur son corps, la prenant dans tous les sens. Deux chibres bien tendus, bien dressés, qui allaient s’enfoncer alternativement dans ce beau corps de poupée, ce corps tendre, chaud, doux, divinement agréable... Ah, qu’il était bon de la prendre ainsi ! Kazuha et Samara soupiraient toutes les deux, se délectant des multiples hurlements de Sya, embrassant et mordillant son cou, griffant et caressant sa peau, la douceur n’étant plus qu’une boule serrée dans un gant de force et de violence.

« Haaaaaaaaaaaaaannnn... Tu... Tu es si étroite, Syaaaaa... Haaaannnn, c’est si boooonnnn !! »

Les syllabes s’étiraient sous l’effort, sous la force, et sous les pénétrations des deux femmes. Sya n’était pas ménagée, ne cherchait pas à l’être, et il n’y avait donc aucune raison de ralentir le rythme. D’un côte, il y avait Samara, une démone forte, et, de l’autre, Kazuha, une femme qui était également une personne très physique, une sportive endurcie, et, en conséquence, une amante redoutable. Deux formidables érections, deux mâts érigés, qui se perdaient dans le corps de Sya, frottant contre ses parois... Des parois dures, car transformées pour Sya pour correspondre à la morphologie d’une petite vierge. Samara et Kazuha devaient donc forcer d’autant plus, crispant leurs mains contre la peau de la femme, griffant sa chair, les mains de Samara remontant pour peloter ses seins, pinçant ses tétons. Elle les tordait dans tous les sens, les remuant, accompagnant les mouvements de Kazuha, qui soupirait, tout contre les oreilles de la femme.

Kazuha sentait la mouille de l’Ange dégouliner le long de sa verge, venant caresser sa peau, et... Oh, Dieu, c’est formidable ! Sentir tout ce corps frémir, sentir toute cette beauté... Kazuha n’avait jamais douté une seule seconde de la chance incroyable qu’elle avait eue quand Samara avait décidé de la choisir comme esclave personnelle, et, maintenant qu’elle était là, à prendre cette Ange magnifique, cette Ange perverse à la douce peau de bébé, qui se tortillait contre elle.

« Hmmmm... C’est... C’est si bon de te baiser, Syyyyaaaaaaaa-haaaaannn... »

Samara et Kazuha se donnaient vraiment à fond, car tout était bon pour satisfaire au mieux Sya, et l’orgasme de l’Ange, suivi de celui de Samara et de Kazuha, fut en conséquence. Sya semblait tellement excitée qu’elle sembla presque absente, sa bave sortant de ses lèvres, et Samara usa de sa magie pour que toutes purent jouir en même temps. Il y eut des soupirs, des gémissements, tandis que les orifices de Sya se remplissaient de foutre, filant en elle. Les deux corps la pénétrant se pressèrent furieusement contre elle, les seins de Sya s’écrabouillant contre ceux de Kazuha, leurs verges jouissant en étant plantées le plus loin possible de la femme.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNN....
-  HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM... !! »

Les verges se vidèrent, et, dans de longs soupirs, les deux femmes semblèrent se détendre, respirant bruyamment, de la sueur coulant le long de leurs corps.

Samara laissa planer quelques secondes, puis embrassa Sya dans le creux du cou, mordillant encore un peu sa peau.

« Toi, je t’aime, Sya... Chaque matin, il faudra que tu retrouves toujours tes virginités, c’est si bon de baiser des vierges... J’ai l’impression que ma queue est en sang, c’est... Hum... Divin... »

Kazuha ne pouvait que sourire, et embrassa l’Ange sur les lèvres.

« Oui... Baiser des vierges, quel plaisir... Tu ne risques pas de t’ennuyer souvent avec nous, Sya... Je vais adorer te torturer comme je l’ai fait maintenant, tu seras mon souffre-douleur favori, maintenant, pour mes petites tortures sexuelles... »

En voilà une qui devrait se sentir privilégiée !

Pour une prêtresse de la Luxure qui avait vécu des tas et des tas d'expérience sexuelle dont la majorité des gens n'auraient même pas idée de penser, Sya était tellement heureuse avec si peu. Un trio, deux orifices seulement bouché par une verge par trou ? Pour Sya, c'est comme donner un devoir de maternel à un étudiant de Todaï, c'est si simple que réfléchir est inutile. Sa luxure avait atteint des sommets, des choses que seules quelques personnes au monde pourrait avoir pratique ou imaginer devoir faire. Samara va finir par se rendre compte que sa « fille » ne sera pas un simple jouet pour elle mais aussi une femme qui va lui apprendre bien des choses. N'est pas ange de Lust qui le veut après tout. Sa mère dans son dos se faisait plaisir à la sodomiser sans ménagement, souffrant de son étroitesse, Kazuha la prenant par-devant, c'était déjà plus souple vu que Samara avait ouvert la porte mais ça n'en restait pas moins étroit aussi.

« HHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA MAMAAAAAN !!!!! J'AI MAAAAAAL !!!! »

Et quelle douleur ! SI bon, si délectable, c'est le genre de chose à laquelle elle s'attendait, elle avait signé pour ça et elle adorait ça. Plus elle se plaignait d'avoir mal et plus sa mère s'en donnait à cœur joie. C'est l'impression qu'elle avait et ça ne lui déplaisait pas. Kazuha aussi n'était pas tendre, venant la prendre comme une vulgaire pute, sa queue se frottant contre celle de la démone à travers ses parois, c'était une sensation unique qui plaisait à l'ange, elle n'avait pas de mot pour le décrire précisément mais elle voulait que ça dure encore et encore. Son bassin jouait au ping-pong, le coup de Samara la faisait avancer, celui de Kazuha reculé et ainsi de suite. Ce n'était pas vraiment fait exprès, toutes les deux avaient leur vitesse et parfois elle était écrasée par les deux femmes en même temps mais qu'importe, tant qu'elle a toujours ses deux grosses queues en elle.

« Haaaaaaaannnnn !!!! En...core.... Mmmmmmmmhhhhhh... »

Esclave de ses sentiments, elle adorait cela, les baisers de ses femmes dans son cou, les deux de sa mère torturant ses petits bouts de seins, une douleur si douce qui la faisait vibrer de plaisir, tout son corps vibrait contre elle, un large sourire aux lèvres, sa bave coulant hors de sa bouche. Elle était une traînée mais elle adorait ça, Sya était faite pour ça. Quand vint le grand moment que sa mère avait déclenché en même temps – elle savait reconnaître quand de ma magie rose était employée – elle aussi se relâchait en hurlant dans la chambre tout son bonheur, son corps se libérant, elle se sentait si légère et appaisée... Samara ouvrit le bal en lui disant des mots si tendres pour une fille qui aime sa maman...

« Oui Maman... Sya aime tant être chouchoter par sa Maman... Mais Sya aura plein de surprises pour toi car Sya aime beaucoup sa Maman... »

Ha, elle était pressée de lui offrir tant de cadeaux, très peu seront matériels mais tous lui feront plaisir, ça, c'était une garanti. Même Kazuha lui offrit un baiser en lui racontant de douces choses qui la faisait glousser de plaisir.

« Hihi, Sya sera aussi très heureuse de jouer avec Kazuhan... Sya aime être utile, être baisée comme ça... »

Que de plaisir. L'ange finit par remuer avant de se dégager et se retourner pour passer ses bras autour du cou de Samara, voulant toujours plus de câlin. Non pas qu'elle refusait ceux de Kazuha, c'est juste qu'à choisir, elle voudrait ceux de sa mère. Câlinant la démone en sueur, elle posant sa tête sur sa poitrine, écoutant son cœur battre en savourant ce moment entre elles. Mais même un doux moment peut avoir son côté pervers avec elle. Relevant doucement sa bouille souriante, elle prouvait que la fatigue était encore loin devant elle.

« Il ne reste que ma bouche qui n'a pas été déflorrer par ta queue, Maman. Mais cette fois, est-ce que je peux demander quelque chose de spécial ? »

Oui une esclave qui quémande, c'est mal ! Mais même si elle ne craignait pas les punitions, ce n'était pas l'esclave qui parlait, c'était la fille de Samara.

« Ce sera bien une fellation mais j'aimerais que cela se fasse dans certaines conditions, c'est tout... Mais après, tu peux aussi comme bon te semble Maman. Tu peux me jeter sur l'oreille et te tenir au lit pour me violer la bouche et enfoncer ta grosse queue qui doit être délicieuse au fond de la gorge si tu veux, j'aimerais aussi cela. Ou même autre chose si tu en as envie, ma jolie Maman. »

Sya se redressa un peu, pouvant poser sa tête sur l'épaule de sa mère en la serrant un peu plus dans ses bras. Comment une petite ange aussi perverse pouvait en une seconde se montrer aussi douce contre elle. Elle lui baisa la joue en caressant l'autre avec une de ses mains, rougissant – eh oui, ça arrive – en la regardant dans les yeux.

« En fait, j'aimerais que tu t'assoit au bord du lit et moi, je serais à tes pieds en te suçant. Tu me caresseras les cheveux, le visage en me disant pleins de petits mots doux mais que des mots doux hein, pas des mots doux sexy. » en gros, de la douceur et non de la vulgarité car pour l'ange de la luxure, se faire traiter de catin, c'était si mignon. « Puis peut-être que je pourrais aussi jouer avec tes belles boules bien rouge ? Je suis sûre qu'elles doivent être très bonnes... »

Voilà comment elle imaginait sa première fellation avec sa mère. Kazuha n'était pas dans ce schéma car elle ne savait pas où la mettre, rien ne l'empêchait de jouer avec elles. Reste à savoir si Samara a retenu cette douce idée, une idée sortie de son imagination ou bien encore la vision de Sya allongée sur le lit et Samara se déchaînait en enfonçant sa queue dans sa bouche. Toutes les choses sont bonnes à dire et à faire, reste à savoir ce que le destin va faire choisir à la belle démone devenue Maman aujourd'hui ?

Les deux femmes pénétraient cette Ange avec une voracité redoutable, comme si elles n’avaient pas baisé depuis des semaines... Il fallait croire que l’aura de Luxure qui enveloppait Sya avait imprégné les corps des deux femmes lui tournant autour, car elles y allaient franchement, baisant joyeusement cette petite traînée. Son corps était remué dans tous les sens, avec ces queues qui s’enfonçaient longuement dans son corps.

« Haaaaaaaaaaaaa...
-  Ooooohhhhh... Syyyaaaaaa... !! »

Se faire plaisir était le maître-mot en ce moment, une approche que les deux femmes entreprenaient de suivre. Samara aimait défoncer ce petit cul étroit, tout comme Kazuha, qui savourait cette chatte de petite pucelle, tout en embrassant Sya, mordillant son cou par la suite, se crispant contre son corps... Puis elles jouirent donc ensuite, se vidant dans le beau corps de l’Ange, et se reposèrent ensuite... Cependant, Sya ne comptait guère rester inactive longtemps, et la Luxure continuait à rester là. Samara y était un peu plus sensible que Kazuha, ce qui faisait que sa verge restait toujours aussi raide, toujours aussi tendue.

L’Ange voulait qu’on s’occupe de sa bouche, mais avait une demande... Ce qui amusa Samara.

« Je t’écoute, ma chérie... »

Qui aurait cru que Sya récupérerait une fille en venant au harem Warren ? Comme quoi, les choses pouvaient parfois se dérouler de manière très inattendues... Et, quand l’Ange lui eût expliqué ce qu’elle avait en tête, Samara sourit de nouveau. Il fallait bien admettre que la baiser contre le lit était une idée tentante. L’Archimage réfléchit donc rapidement, puis, restant toujours debout, avec son membre dressé, se tapota les lèvres... Avant de finir par répondre.

« Je vais te proposer quelque chose, Sya... »

En silence, Kazuha souriait. Il ne fallait jamais sous-estimer l’intelligence perverse de Samara, surtout dans ce domaine. L’Archimage était venue au harem pour s’amuser, et elle était très prisée des courtisanes de cet établissement. En effet, ces dernières savaient combien Samara aimait le sexe, et, outre sa légendaire beauté, elle était une amante aussi insatiable que talentueuse.

Samara s’assit alors devant Sya, et sa queue caudale vint caresser les fesses de Sya, tendrement, avant de donner un petit coup de fouet dessus.

« Chaque journée, tu devrais utiliser de ton intelligence pour me proposer une manière différente de faire l’amour ensemble... Que ce soit doux, trash, ou hardcore, je veux que tu me montres que tu es la digne Ange de Lust, et la digne émissaire de la Luxure. Chaque jour, donc, tu devras donc trouver une idée différente, en plus de toutes les fois où nous ferons l’amour... »

Il n’y aurait pas de punition si elle ne trouvait pas... Si ce n’est le sentiment d’échec qu’une fille ressentait envers sa mère.

« Allez, viens, ma chérie... Viens sucer la queue de Maman... Et lèche mes boules, aussi, ou utilise tes doigts... Fais ce que tu veux dessus. Viens montrer à Maman comment tu l’aimes. »

Samara ne l’aurait jamais cru, mais jouer le rôle sexuel d’une « mère » s’avérait être... Terriblement excitant !

Tellement bon. Comment on pourrait exprimer le sexe entre une mère et sa fille ? Dit comme ça, ça ne donne pas forcément envie, en plus Sya ne sera pas comme ça avec ses enfants, pas avant qu'elle soient sûrement majeur mais là, c'était sa « mère », pas sa véritable mère, juste une très belle démone qui, dans un moment de faiblesse avait sûrement aimé voir Sya comme sa fille. Entre Sya et son envie de faire plaisir et son penchant pour la luxure, l'addition est forcément positive. Bien remplie – pour le moment – elle se blottissait contre Samara en narrant ses envies, un peu de douceur enroulée dans de la magie rose pour lui faire plaisir. Un peu de douceur, ce serait un câlin ou lui faire l'amour comme le feraient deux femmes qui s'aiment vraiment, sans vouloir faire souffrir l'autre – un peu comme Sya et Saikai – mais là, elle voulait une douceur spéciale pour le baptême du feu de sa bouche.

Alors que la démone se mettait en position, l'ange continua de lui faire face, laissant cette longue queue faire ce qu'elle voulait sur son corps. On ne peut pas dire le contraire, Samara était faite pour être la mère de l'ange de la luxure ! Quelle merveilleuse idée ! Elle trouvait un tantinet dommage d'habiter Caelestis... Est-ce Saikai aimerait habité ici avec elle ? Chez Samara, pas chez Mélinda même si ce serait tout aussi bien. Elle devrait plutôt réfléchir à trouver un sort de portail entre sa maison et celle de sa mère, pouvoir voyager librement entre les deux habitations comme si ce n'était qu'une seule maison. Mais bon, avec Caelestis qui avait une barrière pour éviter ce genre d'astuce qui pourrait aussi être une bonne façon de faire une invasion... Sya va devoir se pencher sur le problème, sûrement avec Samara, sans que cela mène au sexe, pas avant d'avoir la solution en tout cas. Mais plus tard, d'abord, elle fantasmait à l'idée de devoir surprendre chaque jour sa mère avec de nouvelles façons pour la faire jouir. Oh oui, il lui tardait même de commencer ça ! Mais elle devait déjà finir son séjour chez Mélinda en plus d'avoir certains projets de son côté en plus.

« D'accord Maman, tu verras, tu ne seras pas déçu de mes performances ! »

Quelque chose de nouveau chaque jour où elles seront ensemble ? Dit comme ça, ça pouvait sembler compliquer sur bien des choses puisque trouver de nouvelles idées en sexe, aussi longtemps... elles auront vite fait le tour de la question ? Oh ça non, pas avec Sya dans les parages. Maintenant prête avec sa queue bien dressée, elle invitait sa fille à s'amuser avec elle ! Se mettant à genoux, elle s'approcha à quatre pattes pour regarder cette belle et grosse queue bien tendue, s'amusant à frotter le bout de son nez sur la pointe chaude. Houlala, elle en avait vachement envie en plus !!! Mais non, gardons le meilleur pour la fin, il y avait autre chose qu'elle avait envie et ça se trouvait juste en dessous. C'était aussi rouge, plus petit et bien rempli et surtout rond et en double. L'ange frottait sa tête sur la cuisse de la démone avant de passer la pointe de sa langue dessus, approchant sa bouche de plus en plus proche pour en avoir une en bouche. Telle un gros bonbon bien bon, elle suçait une de ces testicules imberbes – encore heureux – savourant cette sensation unique. Elle cherchait à en atteindre le bon liquide derrière la chair mais pour ça, c'est pour un peu plus tard !

Suçant la boule rouge, elle l'aspirait en reculant sa tête doucement, voulant voir jusqu'à quel point elle pouvait la garder en bouche avant de la voir lâcher ? Elle s'amusa avec un bon moment, sa langue venant lécher cette jolie chose mais ça y est, maman était bien excitée... Il était temps de passer à autre chose, délaissant le mou pour le dur. Elle frotta le bout de son nez sur la base puis vint sa langue qui remonta doucement le long de cette queue rouge. Son nez caressait sa queue, sa langue la suivait minutieusement puis voilà le travail ! Elle était arrivée tout en haut. Frémissant devant un tel cadeau, elle observait Samara en souriant.

« Savoure chaque instant, Maman... ma bouche est tout à toi alors... fait en ce que tu veux... »

Sya était partante pour la douceur mais si elle voulait faire son propre jeu dans sa bouche, elle ne lui en voudra absolument pas. Ouvrant sa bouche, elle fit entrer le bâton de chair dans sa bouche, le faisant glisser de plus en plus dans sa bouche. Pas jusqu'au bout pour commencer, non, attendons un peu avant de lui offrir l'accès à sa gorge. L'ange commençait doucement sa fellation sur ce pénis rouge, venant faire ses vas et viens dessus, sa langue jouant aussi avec ses lèvres dessus. Parfois, elle venait regarder Samara sans détacher sa bouche de sa queue, préférant faire jouer sa langue dans sa bouche mais parfois, elle venait faire sortir sa langue de sa bouche mais ça ne gâchait en rien le plaisir, ça l'augmentait même peut-être un peu ? Cela dépend des goûts de la démone. L'ange restait très douce mais petit à petit, elle était plus rapide. Plus sa langue passait dessus et plus sa fille se laissait aller. Elle était encore loin d'être une petite nympho, elle tenait à ce moment de douceur avec sa mère mais on savait que derrière cette douceur se cachait quelque chose de bien mieux...

Quand elle retira enfin sa bouche pour laisser cette queue luisante de bave, ce ne fut que pour offrir un petit sourire bien coquin à sa mère avant de doucement faire glisser son membre dans sa bouche, venant de plus en plus de rapprocher du fond de sa gorge. Sya ne faisait pas les choses à moitié, son nez allait s'écraser contre son ventre. Elle laissa son sexe dans sa gorge aussi longtemps que possible avant de respirer un peu. Elle pouvait tenir plus longtemps avec de la magie rose mais là, c'était sans cette petite aide. Une relation mère et fille, sans l'aide de la douce magie....

Il allait falloir que Samara se renseigne sur Sya, et sur la manière dont Mélinda avait réussi à l’enrôler... Même si elle doutait que ce soit permanent. La vampire lui avait dit que Sya devrait un jour repartir, même si cette perspective n’avait, sur le coup, pas eu l’air de ravir Mélinda... Ce que Samara pouvait comprendre, maintenant. Cependant, Sya avait déjà une autre Maîtresse : Lust, sa Déesse. C’était la volonté de Lust qui avait fait de Sya la grande perverse qu’elle était en ce moment, pas celle de Mélinda... Mais Samara pouvait comprendre l’envie de Mélinda. Difficile de ne pas s’attacher à cette belle Ange aux longs cheveux bleus. Elle était une grande perverse, talentueuse et belle, et Samara la laissait donc agir sur sa queue, sans trop savoir jusqu’où cette histoire « mère/fille » allait les conduire, toutes les deux.

Sya se pencha vers son sexe, bien tendu, et, plutôt que de le sucer directement, s’attaqua à ses boules, venant lécher et gober ses testicules. De profonds soupirs soulevèrent et creusèrent la poitrine de Samara, sous le regard amusé de Kazuha... Amusé et excité. Sya était infatigable, autant que douée, et, après avoir été « torturée » par les deux femmes, elle n’était nullement réfrénée dans ses pulsions, et continuait au contraire à agir avec envie et passion. La manière dont elle suçait le sexe de Samara... On sentait toute son envie, elle prenait volontiers tout son temps, s’attaquant d’abord aux flasques testicules, imberbes. Samara avait horreur des poils, et tout son sexe masculin était donc lisse. Une belle peau rouge lisse et douce.

« Hmmm... »

Sentir la langue de Sya filer dessus était un plaisir rare et exquis, et, pendant un certain temps, elle fit le choix de se concentrer uniquement sur ses testicules, ce qui eut pour effet de grandir et de durcir encore la belle queue assoiffée de Samara. L’Archimage soupirait faiblement, poings serrés, et sentit le visage de Sya remonter le long de sa verge, sa bouche glissant sur sa peau, légèrement humide après avoir pénétré l’Ange, jusqu’à venir devant la pointe. Sya était devant elle, et Samara la regardait, le souffle court, en se disant que peu de personnes avaient pu la mettre dans un tel état d’excitation. Si belle, si talentueuse... Ce que Sya faisait en ce moment était du pur génie sexuel, la preuve qu’elle était la digne Ange de la Luxure, excitant et jouant avec sa mère, en portant encore, sur sa peau, les signes des cordes de Kazuha. L’esclave blonde, d’ailleurs, était en train de se masturber, en sentant sa verge lui faire mal, mais elle ne perdait pas une miette de ce somptueux spectacle.

L’Ange finit par ouvrir la bouche, et engloba ce monceau de chair. Samara soupira longuement, en sentant un frisson la traverser, et se raidit sur place, faisant crisser son cuir en écartant les jambes et en soupirant. Gros et tendu, son membre était douloureux, et, quand Sya alla enfin jouer avec, une onde de plaisir déferla dans tout le corps de Samara, lui prouvant que, parfois, la douceur pouvait être un terrible supplice... Car, avec la douceur et la lenteur, on laissait le temps au désir de naître, et donc le temps à la frustration de croître. Une frustration qui venait s’instaurer dans votre corps, dans vos fibres, pour vous faire souffrir...

« Haaaaa... ! »

Ooooh, que c’était bon ! Sentir cette femme se presser contre elle, sucer son mandrin avec tant d’énergie, tant d’appétit... Sya remuait contre son corps, filant d’avant en arrière, prenant tout son temps. Sa langue caressait son sexe, glissait amoureusement dessus, et elle finit par se retirer, laissant une Samara enfiévrée, follement excitée, et qui avait de plus en plus de mal à garder son calme... Ça, pour savourer, elle savourait !

« Reviens, Sya... »

Samara n’eut fort heureusement pas à attendre trop longtemps, car Sya était bien décidée à agir, et enchaîna les gorges profondes, des gorges si profondes que son nez alla se poser contre son estomac, les bourses de Samara claquant contre le menton de l’Ange, qui repartait ensuite en arrière, avant de remonter, filant le long de son mandrin, la suçant énergiquement... Mais sans utiliser la magie, ce que Samara ne saurait tolérer. De sa main, elle fit parler la magie rose, qui se mit à englober le corps de la femme, et ses jambes se resserrèrent alors autour de la taille de l’Ange, tandis que l’une de ses mains se crispa sur les cheveux de la femme, bloquant Sya contre sa verge.

« N-Nooon... Suce-moi.... Suce-moi profondément, haaaa... »

Samara n’avait qu’une parole. Elle avait dit à Sya qu’elle la laisserait agir, et elle comptait bien se tenir à ses mots, même s’il était de plus en plus difficile de rester inactive.

« Haaaa... Oooohhh, Sya... C’est... C’est si bon quand... Quand tu me suces, hummmmm... »

Et c’était si bon de voir Samara si excitée...

Pour Kazuha, c’était un spectacle magnifique !

C'était un plaisir sans nom, elle avait beau avoir fait l'amour un nombre incalculable de fois, elle avait joui tellement souvent qu'il n'existe pas assez de nombres pour compter cela. Là, une simple fellation la rendait folle d'amour. Le degré de passion et aussi élevée que si elle faisait cela avec une de ses nekos d'amour au moins. Sya offrait le meilleur d'elle-même, offrant à Kazuha une agréable vue par la même occasion. Si la belle blonde voulait participer, elle n'allait pas l'en priver, tant qu'elle la laisse savourer ce bel engin, ses autres orifices sont tout à elle. Ses doigts caressaient ses boules de chair, si douces et pleines, elle se fera une joie de les lui vider aussi souvent que possible. Caressant doucement cette peau, elle suivait la forme arrondie de ses testicules, si douces petites boules d'amours.

Continuant de sucer son gland, elle hésitait sur la suite... devait-elle déjà lui offrir une gorge profonde ou bien voulait-elle innover un peu ? Empoignant le bâton rouge, elle la masturbait un peu en continuant de la sucer, venant faire frotter son gland contre sa joue, un coup à droite, un coup à gauche. Elle continuait comme elle pouvait de la masturber avant de doucement se retirer de cette queue, pour la plus grande frustration de sa chère Maman. Mais ne crions pas au scandale tout de suite, cela était prévu.

« Hihi, la bite de Maman est si chaude entre mes mains... il faut la refroidir un peu. »

Elle venait cracher sur cette belle queue rouge, juste de la salive évidemment avant de mettre sa main dessus et reprendre la masturbation en étant douce, gardant un regard sur Samara, en lui souriant sans stopper sa main sur ce beau sexe. Cela avait un petit côté vicieux mais pas désagréable.

« Peut-être que Maman aimerait mettre sa belle queue entre mes seins ? Ma peau est très douce ici et... je suis sûr que Maman aimerait ça. »

C'était assez ironique, proposer un paizuri alors que Sya n'avait pas la poitrine qui allait avec. C'était ironique mais mignon et un tantinet sexy quand même. Mais bon, fini de jouer, Sya avait assez jouer avec la patience de la démone. Elle embrassa son gland avant de lever les yeux vers elle.

« Je sais ce que Maman désire... Profite bien Maman. »

Sya était reparti mais pour une série de gorges profondes, restant de plus en plus longtemps, la queue au fond de sa gorge pendant que son petit nez se frottait contre son ventre, ses doigts taquinaient ses testicules en les caressant du bout des doigts. Jamais elle ne se lassait de jouer avec, de reculer doucement, savourant le goût dans sa bouche, respirer un bon coup et revenir à la charge. Le plus beau fut le final. Quand Samara jouit dans la bouche de sa fille, elle resta plaquée au fond, avalant de suite les plus grosses giclées, savourant ce goût onctueux. Puis doucement elle se reculait, gardant dans sa bouche sa récompense qu'elle ne tardait pas à montrer à Samara.

« Mmmmhaaaaaa hummmmmaaaa ! »

Elle s'amusait à mâcher et à ouvrir sa bouche pour montrer la crème blanche dans sa bouche, elle aimait montrer ce genre de choses à ses maîtresses. Pourquoi ? Elle trouvait cela excitant alors pourquoi pas elle ? Après avoir un peu joué avec, elle avala cela avec un grand sourire avant de nettoyer le bout de la queue rouge, retirant les dernières gouttes au bout, toujours aussi heureuse de sa récompense. Et naturellement, elle restait à genoux mais venait enlacer sa mère, sa tête se posant sur son estomac, laissant cette belle queue près de son visage se reposer un peu. Pas de sexe – le temps de souffler – juste un moment avec sa mère.

« J'aime ton foutre Maman. Elle était si délicieuse et si chaude... J'aime la sentir en moi. »

Ha, ce qu'elle était heureuse !

« Ne... Ne fais pas languir ta maman, vilaine fille... »

C’est ce que dit Samara quand Sya lui proposa de jouer avec ses seins. La poitrine de Sya était agréable à voir, mais pas assez volumineuse pour masturber Samara... Même si la démone ne doutait pas que Sya eût en stock un sort capable d’accroître la taille de ses seins. Pour l’heure, l’Ange de la Luxure avait une fellation à finir, et Sya, fort heureusement, savait très bien ce que sa « mère « ovulait. Ainsi, elle retourna rapidement la sucer à nouveau, en multipliant ses belles gorges profondes. De multiples soupirs s’échappèrent des lèvres de la démone, tandis qu’elle sentait ce corps remuer d’avant en arrière, avalant son sexe, jouant avec. Il tapait contre la gorge de la femme, et Samara soupira de plaisir, laissant de doux gémissements pervers s’échapper de ses lèvres. Sya était douée ! Ça, Samara ne pouvait que le reconnaître, et elle continua à laisser la belle Ange aux cheveux bleus jouer avec son sexe, jusqu’à ce que l’orgasme n’arrive. Sya sembla le sentir venir, peut-être à la manière dont les muscles de la démone se contractèrent, ou tout simplement parce que Sya était un Ange de la Luxure...

En tout cas, quand la tête de Samara se redressa, et que sa main se crispa sur les cheveux de la femme, l’orgasme éclata en elle, et elle se vida dans la belle petite bouche de Sya, tapant contre sa gorge, avant de remonter à l’intérieur de sa bouche, balançant des filaments de foutre à chaque secousse, les vidant depuis les entrailles de son corps, son membre érigé se tendant à chaque secousse.

« Haaaa... Oooouiiii-hummmmm... »

Dans de longs soupirs, la démone se vida donc, et vit ensuite Sya mâcher son sperme avant de l’avaler, comme pour solliciter l’approbation de sa mère. C’était un geste d’une grande perversité, à la fois dégoûtant, et étrangement... Attirant. Samara ne dit rien en la laissant faire, puis laissa ensuite Sya avaler tout son foutre, sans en recracher une seule goutte. L’apparence de la petite Ange timide dans sa robe blanche avait éclaté pour laisser parler toute la perversion de la jeune femme, qui alla ensuite se lover contre Samara, visiblement ravie d’être là.

Samara sourit alors légèrement, et sa main alla caresser tendrement ses cheveux, glissant dessus.

« Alors, tu continueras de la sentir, Sya... Car j’aime beaucoup te voir goûter à ma queue, et te voir la sucer avec énergie. »

Pendant un certain temps, il ne passa rien donc qu’une marque affectueuse, jusqu’à ce que, au bout d’un moment, une nouvelle idée ne vienne traverser le cerveau de Samara. Il fallait bien admettre que Sya était, dans le genre, particulièrement douée. Très perverse, elle ne cessait de surprendre Samara, rivalisant d’ingéniosité et de perversion pour pouvoir, à chaque fois, impressionner sa mère. La curiosité de Samara s’était naturellement développée, et elle finit par soulever Sya, posant ses mains sur ses épaules, et la posa sur ses cuisses, l’amenant à s’asseoir contre elle, tout en posant ensuite ses mains sur ses fesses.

Elle guida ainsi Sya pour que, tout en s’asseyant sur elle, le sexe de Samara se retrouve parfaitement nichée entre ses fesses, s’enfonçant dans sa croupe. Elle relâcha ensuite le petit cul de l’Ange, et posa une main sur sa nuque, puis lui sourit, tendrement... Avant de l’embrasser, évidemment sur les lèvres.

« Nous allons jouer à un jeu, ma petite Sya... Action ou vérité... Je suppose que tu connais ce jeu, n’est-ce pas ? Ta Maman a très envie d’en savoir plus sur toi, alors, voilà les règles de ce jeu... »

Son sexe était bien posé contre son cul, en sentant sa chair l’entourer, et elle reprit rapidement, ses doigts caressant les douces lèvres de Sya :

« Je te pose une question, et tu me réponds... Et, si tu choisis de passer, alors tu auras un gage sexuel... Puis c’est à ton tour, mais moi, ma chérie je répondrais à toutes tes questions. »

C’était aussi une manière de se renseigner sur Sya, et, en réalité, c’était tout ce que Samara souhaitait, en ce moment. Elle attendit donc quelques secondes, puis embrassa encore Sya, et posa sa première question :

« Alors, dis-moi... Comment une Ange a-t-elle bien pu faire pour devenir une Ange de la Luxure ? Comment Lust a-t-elle pu recruter la belle poupée que tu es ? »

Après un tel moment délicieux, Sya se reposait un peu, laissant sa mère souffler en se collant contre elle, savourant simplement le contact de la peau contre la sienne. Il lui tardait de retrouver à nouveau cette belle queue en elle, peu importe le choix du trou mais pour le moment, son envie était maternelle, pas sexuelle. Mais après quelques instants, sa mère la souleva pour la poser sur ses cuisses, sa queue venait caresser sa croupe, prête à relancer la partie mais pas tout de suite, car la démone avait un jeu à proposer. Action ou vérité ? Un jeu simple où tout était dans le titre. Partageant avec sa mère ses baisers, elle en concluait que Samara ne dirait jamais action... mais il lui faudra bien le dire tôt ou tard si elle veut faire plaisir à Sya. Mais voilà que la première question tombait, sa jolie maman voulant savoir comment Lust a obtenu une telle ange à ses côtés ? C'est une belle histoire après tout. L'ange partageait le baiser de sa maman avant de se coller contre elle en posant sa tête sur son épaule pour la câliner tout en fournissant sa réponse.

« Cela remonte à quelque temps déjà. Un jour je me suis réveillé sur ce qui était un champ de bataille, entouré de corps de démons en tous genres, tout morts évidemment mais il n'y avait pas d'ange mort là-bas. Je ne savais pas qui j'étais, où j'étais, ce que je devais faire. J'étais couverte de sang, sûrement caché par un démon mort, d'où le fait que je fus oubliée ou abandonnée ? Dans la bataille ou avant, je ne sais pas, j'ai dû perdre l'ouïe car j'étais sourde, aucun son ne venait à moi. C'est alors qu'une prêtresse m'a trouvé et m'a accompagné, m'offrant de nouvelles oreilles. C'était à Uatis qu'on a appliqué un appareil bizarre, ça me faisait des oreilles en métal... des sortes d'oreilles elfiques métalliques ? Mais j'entendais et dorénavant, je n'en ai plus besoin pour écouter. »

Voici la première partie de son histoire, Nymph laissé pour morte sur ce champ de bataille, aucun corps de retrouvé pour la plus grande peine de sa grande sœur, une ange amnésique prise en charge par une prêtresse de la luxure, voilà la suite.

« J'avais la possibilité de partir mais pour aller où ? Cette merveilleuse femme m'a offert l'ouïe et je lui étais plus que redevable alors j'ai décidé de la suivre et j'ai ainsi rejoint le culte de Lust. C'était un endroit magique où les femmes faisaient l'amour, partout, à deux, trois, beaucoup, invitant quiconque se rapprochait d'elles. Mais pas moi, je devais d'abord être présenté à Lust-sama, j'ai avoué mon désir de la servir, qu'importe ce qui allait se passer, je voulais aider la femme qui me faisait face. Elle accepta et me baptisa Sya lorsqu'elle apposa ce collier autour du cou. »

Ce gros collier métallique qu'elle refusait de retirer. Ce serait pourtant simple mais il représentait pour elle le premier cadeau de Lust, sa dévotion envers elle et le nom qu'elle lui a donné. Sya. Slave Yuri Angel. L'esclave lesbienne angélique. Gesticulant un peu sur ses cuisses, faisant réagir la queue entre ses fesses, elle baisa la peau de sa mère avant de reprendre.

« Lust-sama m'a offert mon premier orgasme, je lui ai donné ma virginité et elle m'a baisée toute la nuit. Hihi, la première fois je n'ai pas tenu le coup, j'ai fini par m'endormir, devenant une simple poupée sexuelle. Mais j'ai suivi la formation avec d'autres élèves comme moi, je me suis beaucoup amusé et ensuite, j'ai fini par devenir moi aussi une prêtresse. Lust-sama a même essayé de voir mes progrès avec elle mais aussi avec tout le temple. Sya a été baiser, lécher, tripoter, arroser, caresser, fessée, fouetter, pincer, attachée, enculer, sucer, masturber, pressée, coincée, bref... Sya a encore fini par dormir et devenir une petite poupée... mais au bout de plusieurs jours de sexe intensif. Même si la mouille et le foutre, c'est délicieux, ça ne nourrit pas. Alors la faim, la fatigue et le sommeil on eut raison de Sya. »

Voilà comment une vierge novice à fini avec cet exploit par devenir le petit Ange de Lust. Personne n'avait ce titre à part elle, c'était un honneur. Maintenant Samara savait tout sur la naissance de Sya, c'était plus qu'un nom, elle était très connu sur Terra et même sur Terre, toutes les petites coquines avaient son nom sur le bout des lèvres. La fille de Samara continua de se blottir contre elle, profitant comme toujours de ce contact contre elle avant de redresser la tête vers elle, l'embrassant sur le bout des lèvres.

« Comme tu veux que dire la vérité alors...hum... Comme tu es douée en magie, est-ce que ce serait possible de créer une sorte de portail entre ta maison et Caelestis ? Enfin, chez mon futur chez moi et... Enfin, je voudrais avoir un portail pour passer de là-haut à chez toi en un instant, comme passer simplement d'une pièce à l'autre et sans utiliser de magie. »

Sachant que l'archipel évitait ce genre de choses justement mais Sya pensait à elle mais aussi à Saikai, sa petite femme. Elle voulait pouvoir passer autant de temps chez l'une que chez l'autre. Après tout Samara sera la future belle-maman de ses deux nekos d'amour. Puis Sya avait décider déjà que sa nuit d'amour avec ses deux petites amies sera le moment de porter leur enfant. Alors si elle peut facilement voir les personnes qu'elle aimait autour d'elle, que demander de plus.

« Mais attention hein, je veux que ça reste un passage secret pour nous, pas exposer comme ça, simplement. Je veux que portail soit une bonne chose, pas une mauvaise chose. »

Pas pour faire la guerre ou autres. Sya ne voulait pas non plus attirer des ennuis avec cette demande, elle voulait quelque chose de discret comme par exemple, un passage dans un placard, elle passe à travers et pouf, de Caelestis, elle passe à Mijak et inversement. À la limite pour éviter les fuites, que ce soit comme activé par un anneau ou un autre objet magique. Sya donnait l'impression de ne penser qu'à faire l'amour mais quand ça concerne son bonheur, elle faisait travailler ses méninges. Cela dit, la question étonnante vu le personnage. Mais cela avait peut-être attisé la curiosité de Samara ? Il serait simple pour Sya d'user de la magie, elle le faisait quand les gens l'invoquaient en se touchant en pensant à elle alors pourquoi pas ici ? À cause du « future chez elle ET... » ? Ou bien cela à donner naissance à de nouvelles questions ?

L’histoire de Sya vint, et elle répondait à bon nombre de questions que Samara se posait. Elle apprit donc que les oreilles métalliques de Sya étaient des prothèses uatéennes, conçues pour l’aider à écouter les autres, et qu’elle ignorait tout de son passé angélique. L’hypothèse la plus probable était qu’elle avait dû être capturée par un démon, et qu’elle avait été libérée de l’emprise de ce démon quand il était parti attaquer Terra… Une hypothèse curieuse, mais pas impossible. Régulièrement, des démons idiots, avec leurs Légions, tentaient de rejoindre les Plans Intermédiaires, et se heurtaient aux Anges. Samara avait une base pour mener des recherches, et elle ne désespérait pas de retrouver cet ancien champ de bataille, et peut-être d’en savoir plus sur le passé lointain de Sya… Comme son véritable nom. Car elle comprit l’origine du nom de Sya, qui était en fait un acronyme, « S.Y.A. ». Elle n’avait aucun nom, et avait dédié sa nouvelle existence à servir la Déesse Lust, et le culte de la Luxure. Samara l’écoutait, en lui caressant les cheveux. Sya avait dû être torturée par les hommes, ce qui expliquait aussi son aversion pour le sexe masculin. Tout se justifiait, et tout coïncidait. Sya continuait à se justifier, et elle termina ses explications par un baiser.

Samara, avant la question de Sya, y alla évidemment de son petit commentaire :

« D’accord, Sya… C’est noté. Tu as eu une sacrée histoire, ma chérie… »

Lust lui avait visiblement fait subir tout un tas de choses, afin de faire d’elle une parfaite esclave. Elle bénéficiait d’une posture unique au sein du culte de Lust. Si Samara ferait des recherches, ce ne serait évidemment pas pour « guérir » Sya, car elle n’avait nul besoin d’être guérie, mais bien pour se renseigner, et par curiosité personnelle. Sya était sa fille, après tout, et il fallait bien que Samara se renseigne.

*Et puis, vu la rapidité avec laquelle elle m’a adopté, je me demande si… Non, ce serait absurde…*

Absurde, vraiment ? Samara s’était faite assez rapidement à l’idée d’être la « mère » de Sya, comme si leur jeu pervers avait résonné étrangement en elle… Est-ce que cela répondait à un désir inconscient ? Est-ce que Samara pouvait commencer à échafauder des théories folles ? Il lui faudrait davantage de renseignements sur ce sujet, et, avant cela, Sya lui posa alors sa question… Une question portant sur la possibilité d’ouvrir un Portail magique entre sa demeure et celle de Sya, à Caelestis, sans que personne ne le sache.

Sa question posée, Sya n’eut pas la réponse immédiatement, et ce parce que l’Archimage cherchait comment la formuler au mieux… Puis la réponse vint ensuite :

« Je ne pense pas que ce sera possible, Sya… Comme tu le sais, Caelestis est un archipel qui se déplace continuellement, et qui, de plus, est entouré d’un bouclier techno-magique redoutable. Il y a donc deux problèmes majeurs pour établir une connexion : d’une part, le fait que le point de réception de la ligne magique se déplace constamment ; d’autre part, le fait qu’un bouclier bloque les communications. »

Les mages mijakiens avaient déjà tenté, en vain, de percer ce bouclier. Il était très solide, et alimenté à l’intérieur du bouclier par des générateurs et par des runes magiques. S’il était possible de le briser en s’y mettant à plusieurs, il fallait supposer un véritable siège, et, en aucun cas, Caelestis ne pourrait ne pas être au courant.

« Ce serait impossible d’établir une connexion secrète sans avoir l’aval des responsables celkhanes, afin qu’elles-mêmes ouvrent une brèche dans le bouclier, et que nos cristaux se relient encore, malgré le déplacement contestant de l’Archipel… Et, malgré tout l’amour que je te porte, mon cœur, je les vois mal accepter d’ouvrir une brèche à destination de l’Empire de Mijak. »

Les deux nations étaient après tout en guerre.

Samara déposa un baiser sur le front de Sya, en sachant très bien que sa fille serait déçue, et enchaîna donc avec sa question :

« Mais, dis-moi… Qu’est-ce qui t’empêche de venir vivre chez moi ? S’il y a des personnes à qui tu tiens, elles peuvent toujours venir vivre ici. Je suis Haut-Fonctionnaire Impérial, je peux leur accorder la citoyenneté impériale, et ainsi les protéger de toute forme d’abus ou d’exactions… »

La petite ange avait fini avec son histoire alors elle restait sur les cuisses de sa mère, savourait ce lien non sexuel pour le moment mais tout aussi plaisant. Elle aussi avait des questions, parfois personnelle, parfois excitante mais elle commença par celle qui trottait le plus dans son esprit. Après tout, l'idée d'ouvrir une porte pour passer de Caelestis à la demeure de sa mère, ce serait un rêve ! Comme vivre ensemble sans avoir le souci de la distance et du territoire. Sya ne comprenait rien à la guerre. Non pas qu'elle soit stupide, elle trouvait juste cela stupide. Pourquoi vouloir plus d'or ? De terre ? De titre ? De pouvoir ? Pour Sya, l'amour seulement comptait et même sans être forcément amoureux, couché avec les autres, en étant consentant bien sûr, ça suffisait d'avoir une vie bien remplie et agréable. Mais peu de gens partageaient son opinion à vrai dire. Il n'y avait que dans les temples de Lust ou la guerre, la race, les titres ne comptaient pas. Au mieux, il y avait des Maîtresses mais c'est tout.

Même si sa question était posée, hélas, la réponse était négative. Peu importe les titres, peu importe les talents de Samara, Sya avait beau être gentille, cela ne fera pas ouvrir de brèche ou autres. Sya pouvait toujours se téléporter ou être invoqué mais user de cela est épuisant. Si c'est une ou deux fois dans la journée, passe encore mais si c'est plus... pour ça qu'une sorte de couloir entre les deux endroits aurait été meilleur. Sya ne pouvait s'empêcher de cacher sa peine. C'était dommage, il va lui falloir trouver un plan de secours alors. Après un petit baiser sur le front pour la réconforter, Samara n'était pas dupe et posa la question qui allait bien avec ce que Sya à demander.

Elle relevait doucement la tête avec un petit sourire en prenant une des mains de la démone pour passer sa paume sur sa joue et ses cheveux. Elle aimait être caressée comme une neko, y a pas de mal à ça quand même, surtout que c'était de la part de sa maman.

« C'est gentil à toi Maman mais c'est plus délicat comme problème. Avec Sai-chan, c'est ma petite amie, on a toujours rêvé d'habiter là-haut. Elle aussi n'a pas eu une vie très douce alors on voyait Caelestis comme un coin de paradis. » Saikai était la véritable propriétaire du corps d'Iinari, Iina-chan était née car Saikai s'était mise dans un cocon pour se bloquer de toutes les expériences et atrocité qu'elle a vécue étant jeune. « Et puis nous allons bientôt y habiter et, nous avons des voisines très gentilles. C'est vrai que vivre chez toi Maman, moi je dirais oui tout de suite ! Mais je ne peux rompre une promesse comme ça... Tout est pratiquement prêt et... même si je t'adore Maman, je veux pas risquer de devoir choisir entre vous deux. »

Elle ne pensait pas à une première dispute entre elle et sa neko mais si elle devait choisir un endroit ou vivre... Sa petite amie ? Sa mère ? Elle ne saurait pas. Pour ça qu'une sorte de passage entre les deux habitations aurait été un véritable petit luxe. Mais comme ce n'était pas possible, elle va devoir trouver autre chose. Posant sa tête dans le cou de sa mère à la peau rouge, elle allait poser une question un peu plus philosophique mais qui prouvait bien que sa façon de penser, la façon Lust, était une voie sexuelle mais aussi pacifique.

« Pourquoi il a y a ses guerres Maman ? J'aimerais que Terra soit en paix, que je puisse vivre avec toi, Sai-chan et Iina-chan, tous ensemble comme une vraie famille. Quand je vais voir Lust-Sama, il n'est jamais question de guerre ou de mort, les seules choses que l'on parle et que l'on ressent, c'est le plaisir, le nôtre ou celui des autres. On est toujours heureuse dans un temple de Lust, il y a toujours quelqu'un pour nous rendre heureuse. »

Façon simpliste de voir la paix mais si les gens apprenaient le respect et vivrait sous le culte de Lust, il n'y aurait plus de guerre, que de l'amour. Néanmoins dans sa question, Sya avait évoqué Iina-chan, sa seconde et première petite amie à la fois. Elle avait la chance de former un triangle amoureux sans que cela soit néfaste pour l'un ou pour l'autre. Avec Iina-chan, elle avait le droit au sexe pur et dur et avec Sai-chan, c'était beaucoup plus doux et romantique. Hélas par contre, elle ne vivait pas avec les deux à la fois... eh oui.

« Mais si elle accepte tôt ou tard de finalement venir avec moi habiter chez toi, tu diras oui Maman ? »

Sya s'était écarté un peu d'elle pour poser cette question, posant son regard innocent sur Samara. Lui dire non serait cruel. Elle trouvera bien un moyen d'être heureuse en voyant autant que possible sa petite amie et sa mère mais, elle n'a pas encore la solution, c'est tout. Elle va creuser l'idée, voilà tout.

Tout comme il était impossible d’élaborer un pont entre Caelestis et Mijak, il était tout autant impossible que Sya vienne vivre chez elle de manière complète, car elle avait visiblement toute une famille là-bas... Un choix que Samara, en réalité, respectait, même si elle espérait bien voir Sya de temps en temps... Surtout quand elle organiserait des fêtes. Avec le tempérament très soumis de Sya, elle était sûre que ses convives apprécieraient beaucoup cette belle esclave perverse, et qu’elles adoreraient la peloter. Il suffirait juste de la faire venir quand Samara n’invitait que des femmes, pour éviter des débordements. Pour l’heure, elles n’y étaient pas encore, et Sya lui posa une question sur la guerre, avant de lui demander si elle pouvait, un jour, inviter sa famille chez elle. En souriant lentement, Samara vint caresser les cheveux de Sya, ses doigts glissant le long de ses douces joues.

Kazuha s’assit à son tour sur le lit, à côté des deux femmes, et sa main vint caresser le dos de la belle Sya, glissant dessus.

« Sya... Bien sûr que tu pourras inviter qui tu veux chez moi! Tu n’as pas encore vu l’appartement de ta Maman, mais c’est une très grande demeure !
-  Oh oui, même moi, il m’arrive de m’y perdre... Ta famille y sera très bien, mais... Je comprends que tu préfères rester dans un environnement qui t’est familier. »

Kazuha et Samara se voulaient compréhensibles. Sya était une esclave particulière, car, du fait de son statut, elle bénéficiait d’une grande liberté, qui faisait que sa soumission ne pouvait être que volontaire. Samara lui laissait donc le soin de voir comment elle voulait faire, même si elle se permettait de penser que, dans un futur proche, Sya viendrait peut-être poser ses valises ici. Après tout, il n’y avait pas qu’elle, à Mijak, mais aussi Mélinda, que Sya semblait beaucoup apprécier.

Samara reprit ensuite, en répondant à la question de Sya, aussi difficile qu’il soit de répondre à cette question :

« La guerre... La guerre est une chose très difficile à expliquer, ma chérie. Fondamentalement, et de manière assez primitive, elle se justifie par un sentiment très commun à toutes les espèces naturelles : la peur de l’Autre, et l’envie de protéger ce à quoi on tient, que ce soit sa famille, ses proches, son territoire, ou, de manière plus récente, ses valeurs et ses principes. Il te suffit de voir les Celkhanes pour comprendre... Plutôt que de promouvoir la paix et la diplomatie, elles n’hésitent pas à mener des raids, et à faire couler le sang. Tu vois, on légitime toujours la guerre en diabolisant l’ennemi. L’ennemi est toujours vu comme un individu dangereux, menaçant, monstrueux, ce qui justifie le fait de se battre, et de le massacrer. Anges et Démons sont les fondateurs de cette doctrine, les uns considérant les autres comme d’abominables monstres, les seconds considérant les uns comme des tyrans et des despotes. La guerre est une chose difficile à évaluer, ma chérie, car elle est autant horrible qu’elle peut être un mal nécessaire. Face à un tyran et face à des menaces, il faut se battre pour ce qui est juste. Mais je n’ai pas de réponse simple à te fournir, mon cœur, car il n’y en a pas. »

Et il ne fallait pas attendre à ce qu’une démone aille défendre les vertus de la paix. Samara était une grande partisane de la loi du plus fort, qu’elle voyait comme la consécration naturelle de la méritocratie, par opposition à des systèmes plus utopistes et plus illusoires comme la démocratie. Samara, tout simplement, estimait qu’une vie ne valait pas une autre vie, et que le droit de gouverner et de diriger une Nation ne devait être offert qu’aux meilleurs, et non laissée à la libre appréciation d’une masse, aisément manipulable, influençable, et incapable de réfléchir sur le long terme et sur l’intérêt collectif, car chaque individu était forcément limité par sa propre vision. Mais expliquer tout cela à Sya prendrait du temps...

Néanmoins, Samara sentait bien que ses explications manquaient de développement, ce qui l’amena, naturellement à faire quelques précisions supplémentaires, tout en continuant à caresser le visage de Sya :

« Il faut parfois se battre pour protéger ce qu’on aime, et c’est en partie ce qui fait que la guerre est un élément fondamental à l’existence. La guerre est la conséquence de la passion. Tu ne peux pas éprouver de l’amour sans éprouver potentiellement de la haine, ma chérie... Les deux sont liés, et un monde sans guerre ne pourrait s’envisager que dans un monde vraiment tolérant... Mais ça, ma chérie, tu es bien placée pour savoir que ce n’est pas encore d’actualité. »

Elle se pencha alors vers elle, et embrassa doucement et tendrement Sya sur les lèvres. Elle faisait bien sûr référence à son aversion prononcée pour les hommes, mais sans l’énoncer explicitement, car elle ne voulait pas la vexer. Samara l’embrassa donc, mettant fin à cette réponse, et reprit, en venant blottir le visage de Sya contre ses seins.

« Maintenant, à toi... »

Samara réfléchit un peu, puis reprit :

« Parmi toutes les Maîtresses que tu as pu avoir, comment trouves-tu Mélinda ? Est-elle une bonne Maîtresse par rapport aux autres ? Qu’est-ce que tu adores chez elle, ou dans le harem ? »

Sya aimerait bien vivre dans son petit paradis, pas forcément un temple de Lust rien qu'à elle, loin de là. Elle aimait le sexe, naturellement, mais elle rêvait d'une vie douce avec sa petite amie Saikai, un peu plus de folie avec sa seconde petite amie Iinari sous le même toit. Avec aussi Samara, sa très belle maman si douce et très douée, elle voulait vivre heureuse avec elles, fonder sa petite famille, avoir deux belles petites nekos de ses chéries, espérer qu'Iina-chan se montre maternelle avec leur fille sans forcément penser au sexe. Les voir grandir ensemble, les voir jouer avec leur « mamie » Samara, ce serait drôle et touchant. Une ange ayant deux nekos pour femmes, des petites nekos angéliques venant se blottir dans les bras d'une démone très gentille... Ce ne serait pas courant comme tableau. Mais pour le moment, elle ne voulait pas ça, du moins, pas tout sous le même toit. Elle parlait depuis si longtemps de Caelestis avec Saiaki, c'était prévus pour bientôt, elle ne voulait pas balayer cela d'un revers de la main sur un coup de tête... Elle en parlera d'abord avec elle, surtout Saikai, Iinari, tant qu'elle reste avec Sya, ça lui convient. Puis elle ne comptait pas vivre avec elle et sa sœur, elle vivait avec Tinuviel pour le moment.

Dans les bras de sa mère, avec Kazuha à ses côtés, la tendre démone rouge lui racontait les affres de la guerre, rien de bien folichons et d'amusant. Même Samara venait ajouter des paroles qui avaient un certain sens mais... Sya ne pourrait jamais tolérer la présence d'un homme dans son monde à elle. Ils peuvent vivre mais très loin d'elle et de ceux qu'elle aimait. Hélas, tout le monde ne partage pas le point de vue de Sya. Il y a les hétéros, les lesbiennes qui n'avaient rien contre les hommes et ainsi de suite. Sya n'était peut-être pas tombé sur les plus sympas mais elle refusait de leur donner une seconde chance. Au moins, après un petit baiser avec elle, elle se sentait mieux, la tête confortablement posée sur sa poitrine alors qu'elle posait sa seconde questions qui la faisait sourire. Ce qu'elle aimait chez Mélinda ? Beaucoup de choses voyons !

« J'ai eu beaucoup de maîtresses tu sais mais sans compter les prêtresses et Lust, Mélinda est évidemment tout en haut du classement. J'ai eu beaucoup de maîtresse très gentille, d'autres moins gentilles mais c'était juste pour le plaisir de m'attacher et me punir. Jamais aucune de ses maîtresses n'a vraiment détester Sya. Après, le fait qu'elle ait un harem et beaucoup, beaucoup de gentilles copines, ça joue en sa faveur, c'est sûr, hihi ! Mais Maîtresse Mélinda est très gentille, elle s'occupe bien de ses esclaves, elle est gentille avec tout le monde et même quand elle veut me punir, elle est aussi très gentille... Mais... »

Ce mais, comme son rôle l’indique avait une tâche mais réjouissante à annoncer mais rien que Mélinda ferait de travers, juste une chose que Sya ferait de travers. Relevant la tête de ses deux moelleux oreillers, elle observait sa mère avec un petit regard triste, hésitant à continuer réellement.

« Sya ne pourra jamais la rendre vraiment heureuse... Une nuit, j'ai sondé son esprit, je peux pas lire les esprits, sauf quand ça concerne le sexe, un désir très fort lié à cela. Je voulais savoir ce qu'elle aimait par-dessus tout pour lui faire la surprise le lendemain mais peu importe ce que je voyais, ça concernait toujours des bébés ou des femmes enceintes. Surtout Mélinda... Je ne sais pas si je fais fausse route et, s'il te plaît, n'en parle pas à Maîtresse... Mais je pense que Maîtresse Mélinda veut un bébé mais... Je ne sais pas pourquoi elle n'en a pas... »

Peut-être attendait-elle la bonne femme qui partagerait sa vie avec elle pour en avoir un ? Ou même un homme mais ça, elle ne préfère pas y penser. Si ça se trouve, Mélinda avait simplement peur d'être enceinte ? Elle était très câline et maternelle avec les petites du harem mais pourquoi alors elle n'avait pas ses propres enfants ? Une magie rose de fécondation, ça connaît Sya, elle l'a déjà pratiqué sur des femmes désirant tomber enceinte mais... là pour le coup, elle avait peur...

« J'aimerais l'aider mais j'ai peur de lui donner de faux espoirs ou dire une bêtise... »

Pour le moment, Sya s'était juré de ne donner des enfants qu'à ses deux petites amies, c'était une de ses conditions, ne pas faire en sorte que Sya soit enceinte, cette chose était réservé à deux nekos spéciales. Elle ignorait que d'ici quelque temps, elle fera une exception pour sa déesse et qu'avec le temps, elle va vouloir offrir ce plaisir unique à plus de gens, tant pour le plaisir que son petit plan personnel et secret qu'elle va concocter. Mais pour le moment, même pour aider Mélinda, elle voulait bien l'aider mais sans user de son corps pour la vampire...

« Pourtant, même si je sais que cela fait souffrir, moi aussi je veux avoir des bébés nekos avec Iina-chan et Sai-chan et quand elles seront prêtes et quand on sera chez nous, on se mettra au travail mais... Pourquoi Maîtresse n'a pas de bébé ? Elle a pourtant beaucoup de jolies filles avec elle ? Est-ce que comme Sya, elle veut que cela soit avec une personne spéciale ? »

Enfin concernant Sya, c'était deux personnes spéciales. Sya n'imaginait pas que le rêve de Mélinda semblait si inaccessible mais l'apprendre pourrait la forcer à progresser encore en magie rose – oui, elle avait beau être très forte dans ce domaine, ce n'était pas son maximum – afin de pouvoir aider sa Maîtresse.