The Multiversity

Bobbie et Joana se dispersèrent à nouveau, faisant de l’échangisme. Maintenant qu’elles avaient été transformées, elles n’avaient plus aucune retenue. Joana se retrouva sur le dos, et releva les jambes, écartant les cuisses, tout en voyant sa partenaire se rapprocher. Jessica était une terrible blonde, d’une incroyable beauté, et très autoritaire. D’ores et déjà, Joana avait follement envie de la revoir ensuite, fantasmant déjà sur le fait d’être prise par Jessica et Bobbie en même temps. Jessica s’allongea donc, et enfonça sa trique dans son sexe. Les yeux de Joana s’écarquillèrent au contact de ce membre solide et tendu.

« HAAAAAAAAAA... !! WO-WOOOUUUUFFFF... !! »

Elle réussit à ne pas parler, et aboya furieusement, sentant ensuite Jessica s’affaisser sur elle, la prenant en missionnaire. La jeune femme se mordilla les lèvres en rougissant, et posa sa main sur les cheveux de Jessica, venant l’embrasser, le tout en rabattant ensuite ses jambes, venant les enrouler autour de sa taille. Elle laissa ainsi Jessica remuer en elle, la pénétrant durement, fortement, arrachant à Jessica quelques soupirs étouffés sous les lèvres de sa partenaire. Elle tremblait sur place, et couina encore, ses yeux manquant de se révulser dans ses orbites pendant quelques secondes, lorsqu’elle sentit la queue de Jessica s’enfoncer bien profondément en elle, tapant contre son col de l’utérus.

Quelle force, quelle femme ! Joana ne pouvait qu’être comblée ! Elle mouillait fortement, et crispa ses doigts sur son corps, accompagnant les mouvements de sa partenaire. Encore, encore, c’était tout ce qu’elle demandait !

Bobbie, de son côté, tenait d’une main ferme les cheveux de Maya, l’étranglant à moitié à chaque fois en enchaînant violemment les gorges profondes. Indéniablement, elle allait prendre goût à ça. Oui, elle exigerait que sa femme lui fasse plusieurs fellations par jour.

« Là, voilà... Suce bien fort, ma chérie ! Belle petite chienne, hmmm... »

Et, pendant ce temps, elle observait sa scène. Voir sa femme en train de se faire baiser excitait furieusement Bobbie. Plus elle la voyait, plus elle fantasmait à l’idée d’organiser des orgies collectives avec les femmes de Stepford. Si Jessica avait réussi à séduire Maya, il n’était pas impossible d’espérer étendre ça aux autres... Oh, rien qu’à cette idée, Bobbie sentait sa queue gonfler encore, et entendit alors Maya gémir, se dandinant sur place.

« Oh, pardon... » rigola Bobbie en se retirant un peu, permettant ainsi à la jeune femme de respirer un peu.

Elle remua doucement, et se pinça les lèvres, avant de regarder la belle Maya.

« Vas-y, suce-moi, montre-moi combien tu es douée, ma belle, et combien tu aimes ma queue, hmmm... »

Jessica vivait un moment formidable. C’était toujours plaisant d’assister à la conversion d’une femme pour en faire une bonne épouse, et c’était très excitant de coucher avec elle pour la première fois. Joana se montrait à la hauteur de son nouveau rôle, elle aboyait et se tortillait en recevant la queue de la futa en elle. Une magnifique expression de plaisir déformait son visage et la rendait encore plus attirante.

« Aaahhh… Joana… hhhmmm… j’adore te voir comme ça. »

Jessica s’affala sur le corps de Joana, et elle sentit une main se poser à l’arrière de sa tête. Ses lèvres se retrouvèrent collées contre celles de la femme, et elle sentit ses cuisses s’enrouler autour de son bassin. Le contact du corps chaud de la futa contre le corps bouillant de son amante était délicieux, et cela ne faisait que durcir son érection.

« Hhhmmm… »

Plus les secondes passaient, plus Jessica faisait preuve de force. Sa queue allait et venait dans le vagin de Joana en savourant chaque sensation, ses couinements étaient étouffés par le contact serré de leurs bouches. L’étreinte de la femme était puissante, impossible de s’en détacher tant qu’elle n’aurait pas eu ce qu’elle voulait. Mais heureusement, en voyant le regard de sa chienne se révulser, la futa comprit vite qu’elle n’aurait pas trop de mal à la satisfaire tant qu’elle imposait sa force et son rythme. Elle sentait les doigts de son amante se crisper sur son corps et sa mouille dégouliner de son corps.

Oui ma petite chienne. Tu as enfin compris où était ta place. Et bientôt, toute ta famille suivra ton exemple.

Jessica s’imaginait déjà la scène. Joana et Bobbie avaient intégré leurs nouvelles personnalités et la façon dont elles devaient gérer leur couple. D’ici quelques mois, elles seraient complètement intégrées à la communauté de Stepford. Bobbie travaillerait avec Jessica en tant que coach bien-être pour redonner la forme aux autres femmes de la ville, Joana s’occuperait de la maison et des enfants, et dans quelques années, leurs filles suivraient leur même chemin. Elles se marieraient avec des garçons de Stepford, deviendraient de bonnes épouses et deviendraient mères à leur tour. Et si jamais l’une d’elles tentait de se détourner du droit chemin, alors elle serait rééduquée comme sa maman l’a été. Malheureusement, elle ignorait encore les plans de Bobbie pour Stepford.

Jessica se fit longuement plaisir avec le corps de Joana, mais cette dernière manquait d’endurance après sa transformation, elle jouit donc plusieurs fois avant que la futa ne relâche sa crème en elle. Elle sentit sa queue baigner dans un délicieux mélange de foutre et de mouille, de quoi la faire frissonner de plaisir. Elle resta logée dans le corps de sa chienne pendant quelques instants, partageant baisers et caresses avec elle, avant de se dégager de son étreinte, toujours en restant au-dessus de son corps pour la dominer physiquement.

« Tu es une merveilleuse chienne… Joana. Et une chienne comme toi… mérite d’être récompensée. »

Jessica présenta sa queue un peu ramollie devant la bouche de Joana. Elle caressa ses lèvres avec son gland assoiffé et la biffla pour bien lui donner envie.

« Tu as gagné le droit de réveiller ma bite… avec ta bouche de suceuse. Et si tu t’y prends bien… et que tu je redeviens toute dure… j’irai visiter ton petit cul. »

De son côté, Maya montrait à Bobbie son talent pour sucer de belles queues bien dures, ainsi que son goût pour la soumission. La nouvelle futa la tenait fermement par les cheveux et lui faisait avaler sa belle saucisse, encore et encore, l’étranglant à moitié à force de multiplier les gorges profondes. C’était un traitement humiliant et avilissant… et la femme de Stepford adorait ça. Plus son amante la malmenait, plus elle prenait son pied. Elle aurait aboyé de toutes ses forces si elle n’avait pas la bouche pleine.

« Hhhmmm… »

La demoiselle sentait la queue de sa maîtresse gonfler dans sa bouche à mesure que les secondes passaient, mais plus elle prenait de place, plus la respiration devenait difficile. Maya gémissait et se dandinait, et Bobbie finit par sortir son sexe de sa bouche pour la laisser respirer.

« Aaahhh… wooouuu… »

Après une minute de tranquillité, Maya dut reprendre son affaire. Elle ouvrit la bouche et accueillit la magnifique trique de Bobbie en elle, mais cette fois elle avait plus de liberté pour agir. Elle joua de sa langue le long de cette trique veineuse, creusa ses joues pour la pomper avec appétit, et savoura le moindre des gémissements de la futa qu’elle satisfaisait. En même temps qu’elle suçait, elle prit appui sur les fesses de la femme avec ses mains, pressant cette chair ferme et moelleuse tout en lui mettant quelques claques. Elle utilisait toutes les petites astuces qu’elle avait apprises au fil du temps pour bien faire une fellation, comme concentrer ses léchouilles sur le gland et bien le coincer entre ses lèvres. Son pompage délicieux continua jusqu’à ce qu’elle sente la queue de la femme trembler et enfler une dernière fois. La crème jaillit et remplit sa gorge, et elle avala tout jusqu’à la dernière goutte. Une fois l’éjaculation finie, elle sortit la verge puissante de la futa de sa bouche et se pourlécha les babines pour bien lui faire comprendre qu’elle s’était régalée.

« Waf. Waf Waf ! »

Maya alla frotter sa joue contre le sexe de Bobbie, impatiente de voir ce que sa maîtresse allait faire d’elle maintenant. Revenir goûter à sa bouche ? Explorer sa chatte ou son cul ? Lui ordonner d’utiliser une partie de son corps pour la satisfaire ? Dans tous les cas, elle s’exécuterait avec plaisir.

Bobbie avait été transformée. L’erreur de Stepford avait sans doute été de vouloir faire de la femme dominée la dominante du couple, réveillant en elle des pulsions longuement enterrées. Bobbie avait trouvé en Stepford la communauté qu’elle cherchait, et, là, tandis que Maya suçait sa queue, son imagination se mettait à divaguer, envisageant toutes les hypothèses possibles et inimaginables. Oui, elle voulait s’occuper des autres beautés de Stepford, les inviter chez elle, et les baiser furieusement. Elle n’en parlait pas encore ouvertement à Jessica, car elle devait tout d’abord se renseigner sur le reste, sur la manière dont la communauté fonctionnait. Mais, quand on avait, comme Bobbie, un tel mandrin, et ce avec des pulsions lesbiennes, il semblait normal, et même presque naturel, qu’elle ait envie de faire plus. Elle laissait Maya la sucer, pompant énergiquement son dard, diffusant en elle un plaisir exquis. Et, pour ne rien arranger, elle voyait régulièrement sa femme .Devant elle, Joana se faisait joyeusement besogner par Jessica, et c’était un spectacle incroyable.

Joana, en effet, adorait se faire tringler, et ses aboiements se mélangeaient à des hurlements. Elle se pinça fortement les lèvres, crispant ses mains sur le lit. Joana hurla encore, sentant, dans son dos, la redoutable blonde la pénétrer avec une intensité terrifiante, amenant sa partenaire au bord de l’épuisement. En sueur, Joana tremblait de plaisir, et multiplia les orgasmes, peinant encore à s’adapter à un plaisir aussi intense, et à supporter tant de coups. Oh, que c’était bon, oui ! Rien ne lui était épargné, et sa partenaire y allait vigoureusement avec elle, lui défonçant copieusement et sans ménagement la chatte, arrachant de multiples orgasmes.

« Haaaaaaaaannn... !! »

Peu habituée à une telle intensité, Joana ne pouvait que jouir, mais, fort heureusement, son corps se révélait être plutôt endurant, et tout à fait capable de supporter les puissants coups de reins que sa partenaire était en train de lui infliger. Joana jouissait donc avec plaisir, jusqu’à ce que sa partenaire, Jessica, ne jouisse à son tour. Un puissant orgasme, qui remplit Joana de bonheur, qui se retourna ensuite. Elle était en sueur, mais dans une situation étrange, étant à la fois paradoxalement rassasiée et... Frustrée. Une situation assurément inédite pour elle ! Se pinçant doucement les lèvres, elle observa la membrane chaude de sa partenaire, tandis que Bobbie, elle, se mit à gémir également très fort, sa queue tendue approchant du point de rupture.

« Hmmmmmmmm... !! »

Le sperme explosa alors dans la bouche de Maya, jouissant longuement, serrant fortement les cheveux de Maya, à tel point qu’elle aurait presque pu lui arracher quelques mèches de cheveux sous la pression. Elle s’abandonna copieusement en elle, crachant sa chaude semence dans sa gorge, puis dans sa bouche. Bobbie se calma ensuite progressivement, souriant doucement en observant la belle, et la vit avaler tout le sperme, tout en attendant ensuite ses instructions, ce qui amena Bobbie à se pincer les lèvres. Jouir semblait l’avoir épuisé, mais elle sentit très rapidement de nouveaux frissons la saisir, ainsi qu’une nouvelle démangeaison repartant le long de son sexe.

Réfléchissant rapidement, elle ne tarda pas à faire à sa partenaire une honnête proposition :

« Utilise tes seins pour t’occuper de ma queue, Maya, ils sont suffisamment gros pour ça... »

Joana, de son côté, se contentait de suivre fidèlement les instructions de sa Maîtresse, léchant tendrement sa queue, donnant plusieurs baisers dessus, la nettoyant un peu de son sperme, un sperme qu’elle avait avalé sans difficulté, le goût écœurant étant, au contraire, un véritable délice pour elle. Elle continua à l’embrasser ensuite, léchant cette tige de plus en plus longuement, pour l’amener à bien se redresser, frottant son visage contre sa queue. Joana la reniflait tendrement, sentant le membre durcir à nouveau, et ne commença à le prendre en bouche que quand le mât de Jessica fut bien dressé.

Elle était prête à lui faire une superbe fellation, une pipe du siècle !

Jessica venait juste de jouir dans l’intimité gourmande de Joana, mais elle n’était pas encore rassasiée, de même que la femme. Alors elle lui offrit sa belle queue à sucer, et sa chienne se fit plaisir à la lécher tendrement, nettoyant le sperme qui glissait encore dessus, la couvrant de baisers, la frottant contre son visage jusqu’à ce qu’elle ait retrouvée toute sa dureté.

« Hhhmmm… oui… c’est très bien Joana. »

Mais elle ne s’arrêta pas là. Poussant la gourmandise jusqu’au bout, elle prit ce magnifique mandrin en bouche et se mit à le sucer. Sauf que contrairement à la première pipe qu’elle avait donné à la futa, celle-ci lui semblait un peu différente.

« Mais… qu’est-ce que… ooohhh… oh oui… »

Joana paraissait tout à coup bien plus habile en utilisant sa bouche et sa langue. Jessica frissonnait et gémissait à chaque passage de ses lèvres et de sa langue le long de son vit de chair. Difficile de croire que la femme était devenue une suceuse en or en si peu de temps, mais la preuve était là, sous ses yeux. C’était sans doute une conséquence de tous les changements biologiques et psychologiques qu’elle avait subi en si peu de temps. Elle se transformait peu à peu en une parfaite amante, et bientôt elle serait aussi une parfaite ménagère, une parfaite cuisinière, et une parfaite maman pour ses filles. C’était le destin qui attendait toutes les femmes de Stepford.

« Aaahhh… mais quel talent. »

Jessica n’osait pas bouger, de peur que le moindre mouvement de sa part ne mette fin à cette délicieuse fellation. Elle se contenta de laisser faire, savourant la moindre caresse buccale de la femme sur son chibre tendu, jusqu’à ce que la tension atteigne son point d’orgue.

« Ooohhh… ça vient… oui, ça vient… OOOUUUIII ! »

La futa eut un autre orgasme détonant grâce à la bouche de la belle chienne qui la servait, et elle se fit également un plaisir d’avaler la moindre goutte de ce délicieux jus intime. Une fois l’éjaculation passée, Jessica se retira en haletant. Elle réalisa que tout son corps était en chaleur, elle transpirait et tremblait comme une folle.

« Aaahhh… je ne me souviens pas… de la dernière fois… où une fellation… hhhmmm… m’avait paru si bonne. »

Elle prit Joana dans ses bras et l’embrassa passionnément. Sa langue dansait un ballet frénétique et sensuel dans la bouche de la femme avec sa jumelle, exprimant au travers de ce baiser toute la chaleur torride qui la dévorait. Elle resta collée à ses lèvres un long moment, et ne s’en détacha que lorsqu’elle sentit que son souffle commençait à s’emballer.

« Joana… ma chérie… hhhmmm… »

Sa bouche se perdit dans son cou, léchant et mordillant cette belle peau fine et douce, se régalant des gémissements de plaisir de la femme.

« Tu es une merveille. Je suis sûre que Bobbie et toi… ferez un merveilleux couple. »

Jessica savait à quel point il pouvait être dur de combler une futa, c’était entre autre pour cela qu’elle s’était lancée dans le « coaching bien-être ». Mais Joana semblait avoir les outils nécessaires, alors pas de raison de s’affoler.

« Il est temps pour toi… d’avoir ta récompense… petite chienne. »

La futa fit installer son amante à quatre pattes, le cul bien en position, et mit quelques claques à ses jolies fesses. Il était si potelé, si ferme… Pour un peu, elle aurait bien croqué dedans. Mais une autre partie de ce joli fessier l’intéressait pour l’instant, et elle guida sa queue jusqu’à l’entrée de son anus.

« Tu la veux n’est-ce pas ? Mais d’abord je vais préparer un peu le terrain. »

Jessica approcha son visage de cette rondelle encore serrée et se mit à la lécher. Une fois la voie lubrifiée, elle pourrait lui remplir le cul sans trop de mal.

De son côté, Maya venait elle aussi de montrer son talent de suceuse en s’occupant de la verge de Bobbie et en avalant tout son sperme. La futa avait été satisfaite par cette performance, mais elle en demandait encore. Elle voulait que sa chienne s’occupe de sa bite avec son opulente poitrine.

« Waaahhh ! Waf Waf ! »

Si la femme avait été une vraie chienne, sa queue se serait mise à remuer en signe de bonheur. Elle se mit sur les genoux pour être à la bonne hauteur et entoura la saucisse tendue de sa maîtresse avec ses deux imposants seins. Ces obus étaient si imposants que la verge de la rousse disparaissait une fois au milieu d’eux. Pressant ses obus de chair l’un contre l’autre, elle se mit à branler vigoureusement cette queue tendue avec sa poitrine, avec la ferme intention de faire atteindre à son amante un nouveau sommet dans le plaisir.

« Ooouuuhhh… wouf ! »

Maya ne cessait d’être en admiration devant la taille de cette trique qu’elle espérait se prendre dans la chatte et dans le cul avant la fin de cette soirée d’initiation. Et pour ajouter plus de plaisir, elle se permettait quelques léchouilles sur le gland de la femme quand il émergeait de sa poitrine rebondie. Elle avait fait la même chose avec Jessica des dizaines de fois, et la femme avait toujours manifesté un grand plaisir face à son talent. Et comment ne pas vouloir faire de son mieux quand on rencontrait une nouvelle futa ? La femme de Stepford voulait laisser un souvenir indélébile dans la mémoire de sa maîtresse pour que, chaque fois qu’elle se lasserait du petit cul de Joana, elle vienne mettre des fessées au sien à la place.

« Hhhmmm… »

Maya branla Bobbie avec énergie jusqu’à ce que cette dernière ne libère une autre dose de sa semence chaude et poisseuse sur son corps. Son visage et sa poitrine se retrouvèrent maculés de traces blanches. Elle récupéra et avala le sperme au coin de ses lèvres, ainsi que celui qui coulait le long de la verge de la futa, mais laissa le reste. Tant que sa maîtresse ne lui demandait pas de se nettoyer, elle devait rester ainsi.

« Hhhmmm… waaaf. »

Maya alla frotter sa joue contre la queue à demi-molle de Bobbie pour essayer de lui faire comprendre qu’elle en voulait encore. Sa chatte inondée n’attendait plus que ce magnifique mandrin.

Rien ne semblait les calmer, rien ne semblait les réfréner. Bobbie et Joane étaient toutes les deux impatientes, excitées, assoiffées, laissant le plaisir les envahir toutes les deux. Elles découvraient les facultés de leurs nouveaux corps, et adoraient ça. Cet esprit libertin, cette puissance... Bobbie regardait silencieusement sa femme sucer Jessica, tout en regardant fréquemment Maya. Peu importe où elle positionnait son regard, elle ne voyait que des scènes obscènes et indécentes qui lui donnaient une furieuse envie de jouir. Devant, elle, Maya lui faisait une succulente cravate de notaire, accomplissant l’un des fantasmes latents de Bobbie. Pourquoi était-ce elle qui avait eu une verge ? Peut-être parce que, inconsciemment, entre elle et Joana, elle était la plus à même de fantasmer sur un phallus. Elle se retrouvait désormais avec cet appareil, avec une envie furieuse de l’utiliser, non seulement sur Joana, mais aussi sur tout le monde. Oui, à voir ainsi sa queue tendue disparaître entre les seins moelleux de Maya, elle ne ressentait qu’une vague infinie de plaisir, une envie de jouir, une envie d’inonder partout Maya, de la remplir longuement et joyeusement !

Joana, de son côté, se surpassait donc, non seulement parce qu’elle le pouvait, mais aussi parce qu’elle savait que sa femme la regardait, et que, somme toute, elle avait aussi envie de la stimuler. Elle voulait que Bobbie soit fière d’elle, qu’elle voit ce que sa bimbo était capable de faire. La transformation avait accru la soumission naturelle de Joana, qui ne vivait plus que pour sa femme, et qui était littéralement prête à tout pour elle. Elle voulait que Bobbie soit fière d’elle, qu’elle ne leur fasse pas honte, qu’elle soit sa digne chienne !

« Hmmmmm... !! »

Relevant fréquemment les yeux, elle observait le visage transi de désir de sa partenaire, ondulant d’avant en arrière en appui sur ses genoux. Jessica était comblée de bonheur, à tel point qu’elle ne bougeait même plus, surtout quand Joana enchaînait les gorges profondes. L’épaisse queue de sa partenaire s’engloutissait alors en elle, et elle respirait longuement par le nez, afin de se faire à ce mandrin. Joana était si consciencieuse qu’elle ne pensait même pas à se masturber, se contentant juste de sucer cette queue, utilisant ses mains pour caresser les bourses de Jessica, ou pour se crisper sur son délicieux cul, pinçant sa chair. Elle donnait des coups avec sa tête, se reculant parfois jusqu’à la pointe de sa queue, laissant sa verge couverte de salive, avant de s’enfoncer brusquement, hoquetant sur place. Autrement dit, avec sa partenaire, Joana se livrait à différentes approches, faisant durer la gorge profonde, ou optant pour de grands coups de butoir qui réveillaient Jessica, l’amenant à lui pincer fortement les cheveux. C’était une scène exquise, longue et intense.

Difficile de calmer Joana, qui faisait preuve d’une soif stupéfiante, couplée à un talent certain, comme si elle était naturellement née pour ça. C’est évidemment ce qui finit par amener Jessica à jouir. Joana ferma les yeux en sentant l’orgasme approcher, le voyant dans la manière dont Jessica sifflait, dont elle lui tenait les cheveux. Quand sa main se crispa sur sa chevelure, Joana s’avança encore, et posa ses deux mains sur le cul en sueur de sa partenaire, et recueillit avec plaisir tout son sperme, sentant sa queue tressauter dans sa bouche, ce qui ne manquait pas de la faire mouiller, humidifiant ses cuisses.

Quant à Bobbie, elle frémissait à chaque coup de langue de Maya sur la pointe de sa queue, quand sa verge ressortait de sa jouissive et moelleuse poitrine. Des petits attouchements finaux exquis qui l’approchaient également du point de rupture.

« Tu es une telle salope, Maya, c’est... Hmmm... »

Elle se pinça les lèvres, essayant de se retenir en relevant les yeux, ce qui l’amena à voir sa femme, occupée à une longue gorge profonde, le corps légèrement en retrait de Jessica, la bouche entrouverte tandis qu’elle jouissait... Et ce fut pour Bobbie le coup de trop. Sa queue explosa alors, libérant un jet de semence qui éclata entre les seins de Maya, et remonta ensuite sur son visage, éclaboussant ses lèvres, son nez, le pourtour de ses yeux, un jet blanchâtre jaillissant également dans l’air. Maya nettoya ensuite la queue de Bobbie, tout en restant avec le corps zébré de blanc, attendant la suite.

Bobbie déglutit doucement, reprenant ses esprits, et caressa les cheveux de Maya. Elle vit alors que sa femme était à quatre pattes, prête à se faire sodomiser, et la queue de Bobbie se durcit également à cette idée.

« Rejoins-les, ma chienne... Mets-toi à quatre pattes à côté de Joana... »

Maya obtempéra sans difficulté, et Bobbie la rejoignit, se glissant dans son dos, ce qui fit qu’elle se trouvait juste à côté de Jessica. Elle lui sourit d’ailleurs, avant d’aller lui voler un baiser, qui dura pendant quelques secondes, avant qu’elle ne se concentre sur Maya.

« On les encule toutes les deux ? » suggéra-t-elle alors, de manière presque rhétorique, en observant les deux chiennes impatientes devant elles, remuant leur cul en attente de se faire sodomiser.

Du bonheur à l’état brut...

Jessica prit son temps pour bien lécher l’entrée de l’anus de Joana. Ses petits gémissements de chienne étaient adorables, et mieux valait qu’elle soit la plus humide possible pour se prendre une aussi grosse verge dans le cul. Une fois qu’elle fut bien excitée, la futa se prépara à entrer, mais Maya vint alors se mettre à quatre pattes à côté de Joana, accompagnée par Bobbie. Les deux femmes membrées échangèrent un baiser rapide et sensuel, puis la rousse proposa à la blonde d’offrir à leurs chiennes une enculade de groupe.

« Avec plaisir très chère. »

De toute façon, vu comment les demoiselles remuaient leur petit cul en couinant, il aurait été cruel de ne pas les satisfaire. Jessica mit une claque sur le cul de chacune pour les entendre gémir.

« Estimez-vous heureuses pettes chiennes. Vous allez avoir droit aux jolis mandrins de vos maîtresses dans vos culs de salopes. »

Jessica guida sa queue tendue vers le fondement de Joana et y entra progressivement. Elle avait beau réclamer, la chienne réalisa vite que le sexe de la futa prenait beaucoup de place dans son petit cul et que la sodomie n’allait pas être sans douleur. De son côté, la femme de Stepford tremblait à chaque fois qu’elle s’enfonçait un peu plus profondément dans le corps de son amante, et serra fermement ses mains sur les fesses de la femme une fois son sexe complètement rentré.

« Aaahhh… parfait. »

Jessica commença ensuite à bouger doucement, le temps que l’anus de Joana s’habitue à la présence d’une si belle queue logée en elle. Ce conduit était bien plus étroit que son vagin, son sexe était comprimé et le moindre mouvement lui donnait des sensations incroyables.

« Hhhmmm… aboie petite chienne. Aboie… pour moi… ooohhh ! »

Elle prenait son pied, et nul doute que sa chienne aussi.

De son côté, Maya se préparait pour la queue de Bobbie dans son cul. Etant plus habituée que Joana à se faire sodomiser par une futa bien montée, elle accueillit le chibre de sa maîtresse dans son fondement avec plus de facilité, mais elle le sentit quand même passer.

« Waaahhh ! Wooouuuhhh !!! »

La femme de Stepford hurla de tout son souffle quand cette impressionnante verge écarta ses parois anales et se fraya un chemin jusqu’au fond de ce conduit étroit. Ensuite commencèrent les pénétrations, accompagnées de fessées et de paroles salaces, ce qui la fit grimper encore plus vite aux rideaux.

« Aaahhh… Aaaooouuuhhh !!! »

Si elle avait pu, Maya aurait hurlé des mots d’amour et de sexe à ses deux maîtresses, mais elle devait se contenter des aboiements. A la place, elle préféra utiliser sa bouche pour venir embrasser Joana. Leurs langues se mirent à danser tandis que les futas leur besognaient le cul. C’était le pied intégral.

Le quatuor continuait à explorer les vagues immenses du plaisir, du désir, du sexe sauvage et débridé. Une double sodomie avait lieu sur l’épais lit. Un lit suffisamment solide pour accueillir des orgies à répétition, tandis que, inlassablement, énergiquement, Bobbie venait enculer Maya. Elle n’avait pas encore l’expérience de Jessica, et faisait donc preuve d’un aspect bien moins naturel qu’elle. La manière dont Jessica besognait Joana était onctueuse, un régal pour la belle rouquine, qui s’arrêta même à plusieurs reprises pour la regarder. Des mouvements puissants de la hanche, des coups pressants et répétés dans son fondement, des soupirs longs et profonds... Rien n’était épargné à sa femme, y compris les gifles, de puissantes claques, des fessées mêlées d’insultes. Tout cela excita furieusement Bobbie, qui gagna alors en puissance, en agressivité, en énergie, besognant à son tour son amante, le tout en poussant de longs soupirs.

« Oh, bon sang, tu... Tu es si étroite, Maya ! »

Son fondement vint toutefois très rapidement à se dilater, témoignant de l’entraînement usuel qu’elle devait recevoir en la matière. Bobbie s’en pinça les lèvres, et, devant cette vague de douleur qui remua le long de sa queue, elle gifla sèchement le petit cul de sa partenaire, lui arrachant un cri, suivi d’une série d’aboiements. Puis Bobbie accéléra progressivement, grognant sur place, posant ses deux mains sur le cul de sa partenaire, et venant la prendre plus lourdement, se retirant en arrière, puis repartant ensuite brusquement et violemment en avant.

Un nouveau soupir la traversa, tout comme Joana. Elle en avait fermé les yeux, laissant des larmes de douleur, mais aussi de plaisir, s’échapper de ses yeux. Oh, tout cela était bon, si bon, même ! Elle adorait tout simplement ça, cette exquise sensation de douleur, cette vague furieuse qui remontait énergiquement et puissamment en elle.

« Hmmm... W-Wouf, wooouuff !! »

Joana serra avec sa main celle de Maya, et, entre deux coups de reins, alla fiévreusement l’embrasser, sa langue se mettant à pendouiller hors de ses lèvres. En sueur, elle sentait le corps de sa Maîtresse onduler en elle, la prenant énergiquement, puissamment, ne lui épargnant absolument rien. L’exquise sensation de douleur se répandait dans tout son corps, partant de son postérieur pour se diffuser tout autour.

C’était intense, intense et terriblement jouissif, monstrueusement délicieux ! Les deux couples s’envoyaient longuement en l’air, et, à ce rythme, aussi incroyable que ce soit, Bobbie sentait, outre le puissant durcissement de sa queue, qu’un autre orgasme approchait. Voilà donc qu’elle se mettait de nouveau à gifler sa partenaire, claquant son cul, la giflant encore, continuant à gémir profondément...

...Putain, que c’était bon !

Jessica se régalait. Le cul de Joana était encore très étroit, et elle se faisait plaisir à le dilater avec sa grosse queue. Le plaisir ressenti l’encourageait à se lâcher, et elle multipliait les fessées sur ce postérieur moelleux qui s’offrait à elle. Joyce et Sarah avaient fait un magnifique travail avec la capsule de transformation, cette femme était devenue un fantasme ambulant, pour les hommes comme pour les femmes. La futa s’imaginait déjà lui rendre visite chez elle pendant que sa femme serait absente, la conduire dans la cuisine et la baiser sèchement pendant qu’elle préparerait le dîner, ou lui faire l’amour dans la buanderie pendant qu’elle ferait la lessive.

Oh oui… ce sera génial.

A mesure que la sodomie se poursuivait, Jessica bandait de plus en plus fort. Sa puissante érection dilatait le fondement de Joana au point que c’en était douloureux pour elle, mais c’état surtout incroyablement jouissif. Elle multipliait les assauts et les claques, glissant une ou deux insultes graveleuses au milieu de ses gémissements.

« Aaahhh… tu es vraiment jouissive… petite salope ! »

En plus, elle pouvait voir Bobbie faire preuve d’autant de fougue et de passion avec le fessier de Maya. Au bout d’un moment, tout ce plaisir fit tendre sa queue au point qu’elle sentit l’orgasme approcher. Alors elle mit toute son énergie dans une dernière accélération, bourrant l’anus de sa chienne tout en la tenant fermement par les hanches, jusqu’à ce qu’elle sente sa crème monter.

« Ooohhh… ooouuuiii ! »

Profondément logée dans le cul de Joana, Jessica sentit son sperme jaillir du bout de sa verge et remplir ce conduit dilaté mais encore un peu étroit. Une fois son orgasme fini, elle se délogea et laissa sa chienne reprendre son souffle pour regarder en direction de l’autre duo.

Maya était aux anges. Non seulement elle avait la chance de participer à la formation d’une nouvelle futa, mais en plus elle lui offrait une merveilleuse et puissante sodomie. Bobbie ne la ménageait pas, elle allait et venait dans son cul tout en lui mettant des fessées. Heureusement, elle était plus habituée à ce traitement que Joana et accueillait ce membre en elle plus facilement. Au milieu de ses aboiements, elle allait parfois embrasser la nouvelle femme de Stepford pour savourer le goût de ses lèvres et de sa bouche, mais elle était surtout concentrée sur sa maîtresse. Cette dernière la bourra avec bonheur pendant de longues minutes, jusqu’à ce qu’elle ne donne l’assaut final sur son fondement et ses deux bosses arrières.

« Aaahhh… wwwaaafff ! »

La femme se sentit grimper aux rideaux à toute vitesse, et quand la crème de sa maîtresse déborda de son fondement, le plaisir fut si grand qu’elle jouit à son tour. Ses yeux se révulsèrent, sa langue pendante au coin de ses lèvres laissa couler sa bave, son jus intime gicla contre le bassin et les cuisses de Bobbie, et quand cette dernière se délogea d’elle, elle s’écroula sur le lit, fatiguée mais heureuse, un grand sourire sur le visage.

« Wwwooouuu… hhhmmm… »

Jessica rejoignit Bobbie et passa dans son dos. Sa trique caressait sa croupe tandis que ses mains se promenaient sur l’avant de son corps, allant de son visage à sa queue. Ses caresses étaient juste assez coquines pour la tenter mais pas assez pour la faire bander à nouveau.

« Tu t’es bien débrouillée Bobbie. »

Elle l’attrapa par le menton et fit tourner sa tête pour venir l’embrasser. Un baiser rapide mais savoureux.

« Je pense que vous allez très bien vous intégrer ici, toi et Joana. »

C’était une magnifique première fois, une renaissance dans le stupre et la luxure. Bobbie se lâchait totalement, comme possédée par un démon, quelqu’un qui avait pris possession de son corps, en faisant une véritable furie, une hyène possédée. Elle s’abandonna copieusement dans le corps de Maya après de nombreuses minutes à lui torturer le cul. Ses mains pincèrent violemment ses fesses, et elle se mit à jouir profondément, jouissant puissamment et longuement en elle. De multiples flopées de sperme se déversèrent dans le corps de sa partenaire, ruisselant dans son cul, l’inondant totalement. Ravie, Maya reprit ensuite son souffle, tout comme Joana. Bobbie, elle, sentit rapidement Jessica se glisser dans son dos. Elle se pinça les lèvres en sentant sa verge caresser ses fesses. La queue de la femme s’était ramollie, tout comme celle de Bobbie, qui partagea son baiser, frissonnant contre elle. Aurait-elle été une chatte qu’elle aurait sans aucun doute pu en ronronner, mais elle se contenta juste de répondre suavement et chaudement à son baiser et à ses caresses.

Elle sourit ensuite quand Jessica leur annonça qu’elles allaient très bien s’intégrer à Stepford.

« Oh... En réalité, je n’ai pas le moindre doute là-dessus, Jessica. »

Bobbie regarda alors Joana en lui souriant encore. Oui... Oui, c’était bel et bien une toute nouvelle vie qui les attendait !
Plusieurs jours après...

L’intégration des deux femmes à Stepford se passait à merveille. Bobbie avait pu décrocher un emploi comme photographe à la mairie, et Joana, elle, avait décidé de rejoindre avec entrain le club féminin de Stepford, pour contribuer aux activités communales. Plus d’opposition au mode de vie de Stepford, mais des femmes parfaitement intégrées, qui souriaient chaleureusement à leurs voisines. Une intégration a priori parfaite. Chaque soir, Bobbie besognait longuement sa femme, mais elle la prenait aussi le midi, et le matin. Un terrible appétit, que Joana raconta à plusieurs reprises aux femmes de Stepford.

Sauf que...

Bobbie avait rapidement expliqué à Joana qu’elle avait pour projet de faire évoluer un peu Stepford, d’en apprendre davantage sur l’hermaphrodisme, et de faire évoluer progressivement la communauté. Bobbie, en subissant la transformation de Stepford, n’en était pas devenue hétérosexuelle. Elle était plutôt bisexuelle, comme Joana, mais avec une nette préférence pour les femmes. Et son projet, qu’elle n’avait pour l’heure révélé à personne, était d’amener les Futanaris à se développer, et à prendre le pouvoir. Pour ça, elle comptait notamment sur Joana, sur les récits intenses qu’elle faisait aux autres femmes. Celles-ci étaient génétiquement améliorées pour être des amantes parfaites.

Joana parvint ainsi à rejoindre les ateliers de transformation de Stepford, les machines utilisées, les substances chimiques améliorant les performances des femmes. C’était tout un laboratoire situé dans la mairie. Petit à petit, les deux femmes agissaient dans l’ombre de leur maison afin de pouvoir faire évoluer la communauté. Mais, indéniablement, elles allaient avoir besoin d’aide, d’appuis au sein de la communauté pour les soutenir dans ce projet.

Et Bobbie avait finalement trouvé deux partenaires potentielles pour les aider : Joyce Mallone, la femme du Maire... Et Jessica.

Maya et Jessica passèrent presque toute la nuit à besogner Joana et Bobbie. Après cela, elles devinrent officiellement membres de la communauté de Stepford. Bobbie trouva du travail en tant que photographe à la mairie, mais elle donnait aussi un coup de main de temps en temps à Jessica pour son activité de coach bien-être. Joana était devenue une parfaite femme au foyer, s’occupant des tâches ménagères quotidiennes ainsi que des enfants et participant aux activités du club féminin. Laura, Clara et Sarah avaient eu un peu de mal à comprendre le soudain changement de leurs mamans, mais elle avaient fini par s’y faire. Elles étaient heureuses de voir Joana tous les soirs en rentrant de l’école, de prendre leur goûter avec elle, de faire leurs devoirs avec elle et de jouer avec elle en attendant que Bobbie n’arrive. La petite famille s’était parfaitement intégrée au mode de fonctionnement.

Cependant, Joana réalisa vite que Bobbie en voulait plus. Sa chère femme lui avait expliqué qu’elle comptait faire de Stepford une communauté où les femmes futas deviendraient les nouvelles dominantes, surpassant ainsi le contrôle absolu des hommes. En bonne épouse, Joana était évidemment prête à servir les intérêts de sa femme et à prendre part à son plan. Le dressage de Stepford lui avait appris à se soumettre à son épouse, elle ne l’avait pas rendue plus attirée par les hommes qu’avant. Elle alla donc parler de ses activités sexuelles incroyables aux autres femmes pour attiser leur envie. Après tout, les futas étaient génétiquement conçues pour être de parfaites amantes. Et pendant ce temps, sa femme gravissait les échelons à la mairie pour accéder au matériel permettant la transformation des femmes.

Un soir, Bobbie décida d’organiser une réunion de complot pour discuter de l’avenir de son projet avec ses nouvelles alliées. Joana s’était occupée de tout préparer pour bien recevoir : les filles dormaient chez une de leurs amies, la maison était parfaitement rangée et nettoyée, et la maîtresse de maison s’était mise sur son trente-et-un. Elle portait un uniforme de maid très léger dont les nombreuses ouvertures laissaient voir sa lingerie noire sexy. C’était le genre de tenue qu’elle adorait revêtir pour accueillir sa femme chez elle quand elle voulait lui faire une surprise coquine. Et comme elle s’attendait bien à ce que la soirée devienne coquine, il lui semblait normal de s’habiller ainsi.

Bobbie fut la première à rentrer chez elle, et fut accueillie par une déesse de beauté.

« Bonsoir ma chérie. Bienvenue chez toi. »

Elle alla la prendre dans ses bras et l’embrassa sensuellement.

« J’ai tout préparé pour que ta réunion se passe dans les meilleures conditions. Le dîner est en train de cuire, j’ai préparé l’apéritif, et j’ai choisi une tenue qui, je l’espère, plaira à nos invitées et les mettra dans de bonnes dispositions. »

Pendant que Bobbie alla se préparer, Joana resta devant la porte et accueillit les deux autres personnes conviées à cette réunion : Joyce Mallone, la femme du maire, et Jessica, la seule autre futa de la ville. Les deux femmes saluèrent le charme de la tenue de la femme au foyer, et Jessica se montra même tactile en allant caresser les belles fesses de la femme sous sa petite jupe.

« Hhhmmm… voyons Jessica… pas tout de suite. Commencez d’abord… par vous installer. »

Il y allait avoir beaucoup de choses à dire dans cette réunion, le plaisir pouvait bien attendre un peu.

Sa transformation en Futanari avait profondément transformé Bobbie. Sa libido était terriblement exacerbée, ce qu’elle constatait chaque jour. En réussissant à gravir les échelons au sein de la mairie, Bobbie avait eu droit à son propre bureau, avec une secrétaire torride, qui l’excitait de plus en plus, Zoey. Comme elle, Zoey avait été une étrangère, qui était venue ici célibataire. Prostituée en fuite, elle était poursuivie par son mac’, et avait des problèmes de drogue. Elle avait subi le traitement spécial de Stepford, et avait été casée avec un homme. Chaque jour, Bobbie avait une furieuse érection en voyant son petit cul. Zoey était une autre des cibles de Bobbie pour le complot, car elle savait que l’amour que Zoey ressentait pour son mari était entièrement chimique, et qu’elle était sexuellement frustrée.

Ce n’était pourtant pas comme si Bobbie et Joana menaient une vie chaste, bien au contraire. Elles baisaient plusieurs fois tous les jours, mais Jessica avait prévenu Bobbie. Sa libido était disproportionnée en faisant ça, supérieure à celle des hommes, ce que Joana racontait fréquemment au club féminin, ne lésinant pas sur les détails, sur l’ardeur de sa femme. Le sexe était une arme fatale, et les femmes de Stepford étaient aussi soumises que nymphomanes. Petit à petit, Bobbie préparait ainsi sa révolution.

En rentrant chez elle ce soir, elle eut instantanément une érection en voyant la tenue très courte de sa femme. Leur baiser vorace s’accompagna des mains prédatrices de Bobbie sur le cul de Joana, qui put sentir contre son ventre sa queue en érection.

« À moi de me changer, alors... »

Elle donna une grosse claque sur le cul de Joana avant de filer se changer. Bobbie se masturba auparavant, puis enfila sa tenue orientale. Elle était elle aussi disposée à marquer un grand coup, et descendit ensuite. Jessica et Joyce étaient toutes les deux arrivées, et les deux Futanaris s’embrassèrent goulûment, fourrant chacune leur langue dans la bouche de l’autre.

« Ta femme s’est mise sur son trente-et-un », commenta Jessica en lui pelotant les fesses.

Joyce, qui était la plus pudique du quatuor, restait la cible principale de Bobbie. Elles s’installèrent dans le salon, où Joana leur servit des cookies, et commencèrent à discuter.

« Notre intégration se passe très bien, et j’ai envie de donner à cette communauté autant qu’elle m’a donné en retour. Stepford a changé notre vie, à moi et à ma femme, et je veux l’améliorer encore pour nos futurs enfants. »

Bobbie avait bien réfléchi à la manière d’approcher Joyce. Si elle y allait trop directement, la femme du maire pourrait se braquer.

« J’ai vu que ce petit coin de paradis avait encore... Quelques imperfections. Étrangement, j’ai rencontré quelques femmes qui semblaient... Sexuellement frustrées. Est-ce que vous avez déjà pu constater cela aussi, Joyce ? »

Pendant que sa femme se préparait, Joana commença à faire le service. Elle apporta boissons et amuse-bouche à ses invitées en faisant bien attention de toujours leur offrir une vue sexy sur son corps. Joyce n’osait pas trop la toucher, mais Jessica ne se privait pas. Ses mains venaient se poser sur sa poitrine, ses cuisses ou ses fesses dès qu’elles en avaient l’occasion. Quand Bobbie revint au salon, elle portait une ravissante tenue orientale qui cachait juste ce qu’il fallait pour rester présentable. Les deux futas s’embrassèrent goulument, puis la réunion commença. Joana apporta des cookies pour tout le monde et s’assist à côté de sa femme.

Joana exposa les grandes lignes de sa vision de l’avenir pour Stepford. Elle voulait rendre à cette communauté autant qu’elle lui avait donné, et améliorer ce qui pouvait l’être. Mais pour cela, il lui fallait de l’aide. Elle interrogea donc Joyce sur son sentiment quant à une possible frustration sexuelle chez certaines femmes de la ville.

« De la frustration ? Non, je ne crois pas. En tout cas, pour ma part, je suis très satisfaite avec mon mari. C’est un homme merveilleux, et il sait comment me satisfaire. Même si ce qui compte avant tout, c’est qu’il soit satisfait. »

« Eh bien pour ma part, je crois qu’il y a effectivement un problème de frustration chez les femmes de cette ville. Plus les années passent, plus j’ai l’impression que les hommes ont besoin de moi pour s’occuper du bien-être de leurs épouses. »

« Mon Roger n’a jamais eu besoin de vos services. Il sait comment s’y prendre avec moi. »

« Je n’ai pas dit que toutes les femmes de la ville étaient frustrées. Je dis seulement que de plus en plus le sont. »

Jessica allait dans le sens de Bobbie, mais elle n’était pas encore acquise à sa cause. Même en tant que futa, elle restait une femme de Stepford, et elle était très attachée à son mari. Quant aux femmes comme Joyce ou Zoé, le traitement de reconversion en avaient fait des ménagères dociles et décérébrées, totalement dévouées à leurs époux. Les convaincre n’allait pas être une mince affaire. Heureusement, Bobbie avait un bon angle d’attaque si elle exploitait correctement la curiosité de Joyce.

« Dites moi Bobbie, pendant que je suis là, j’aurais une petite question à vous poser.
Durant les réunions du club féminin, Joana nous a parlé de vos… performances. Et même si ces récits sont très croustillants, j’avoue avoir un peu de mal à y croire. Par exemple, la semaine dernière, il paraît que vous avez fait l’amour pendant toute la nuit. Est-ce que c’est vrai ? »

« Vous m’accusez de mentir Joyce ? Ce n’est pas très gentil. »

Heureusement, Bobbie était là pour confirmer ses dires. Et la femme du maire était très curieuse de voir à quel point la nouvelle futa pouvait être douée en tant qu’amante.

Bobbie savait que ce n’était pas gagné. Elle-même ne savait pas vraiment comment qualifier ce qu’elle voulait faire. Une révolution ? Ou une simple évolution des mœurs de Stepford ? Son projet était d’améliorer la communauté. Les habitants de Stepford avaient pu créer des Futanaris, une véritable fusion des sexes. Dans l’esprit de Bobbie, les Futanaris représentaient l’avenir de Stepford. Elles étaient plus endurantes que les hommes, bien plus gourmandes, et terriblement perverses. Leur appétit sexuel était à la hauteur des superbes poupées de Stepford. Mais, en aucun cas, Bobbie ne voulait « libérer » les femmes de Stepford, les sortir de leur situation. Elles voulaient qu’elles soient encore soumises, mais à une nouvelle caste. Une chose qui semblait très difficile à réaliser, et qui nécessitait de comprendre la soumission des femmes de Stepford. Bobbie y allait prudemment, mais avec la certitude et l’envie d’y arriver, de mener à bien son magnifique projet d’évolution pour Stepford.

Joyce rejeta évidemment l’idée que Roger puisse la laisser insatisfaite, ce qui fit brièvement sourire Bobbie. C’était une réponse prévisible... Car Joyce n’avait encore jamais goûté à la puissance d’une Futanari. La femme de la maire posa néanmoins à Joana une question tendancieuse, qui fit doucement Bobbie, laquelle enchaîna rapidement :

« Joana ne ment pas, Joyce. L’inconvénient des hommes, sans vouloir offenser qui que ce soit, est que le plaisir masculin est unique. Dès qu’ils ont un orgasme, leur désir décroît. Alors, ils s’entraînent autant que possible pour retarder leur orgasme. Je suppose que votre mari doit être doué, n’est-ce pas ? Mais les Futanaris n’ont pas ce problème. Nous cumulons les deux types de plaisir, vous comprenez... La ténacité d’une femme et la vigueur d’un homme. »

Ceci posé, Bobbie but plusieurs gorgées, tout en soulevant son pagne, révélant sa magnifique queue. Celle-ci se dressait lentement, membre veineux et assoiffé.

« Oui, j’ai baisé ma femme pendant toute une nuit, Joyce... Et je la baise tous les soirs, tous les matins, et tous les midis. Lorsqu’elle se rend à l’hôtel de ville, je la prends aussi. Et, même malgré ça, j’ai toujours soif de sexe. Mais oui, je l’ai pris toute la nuit dans notre chambre. Encore et encore... Je l’ai pris dans toutes les positions possibles. En levrette, au sol, contre le mur, en me lovant dans son dos... »

Bobbie sourit malicieusement, tandis qu’à l’évocation de ce souvenir, sa queue se redressait encore.

« Et Joana a pu l’endurer, Joyce... Comme je vous l’ai dit, je souhaite offrir le meilleur pour Stepford. Je comprends tout à fait que votre mari vous comble pleinement, et c’est bien normal. Mais je souhaite en offrir davantage à Stepford. À vrai dire, la plupart des femmes qui se plaignent d’être frustrées ont eu la chance de coucher avec une Futanari comme Jessica ou comme moi. Car cette ardeur que je ressens, Joyce, Jessica la ressent aussi. »

Jessica ne put que confirmer.

« Qu’en pensez-vous, Joyce ? sourit alors Bobbie. Je pense que ce serait un test parfait, non ? Notre objectif est de vous aider à être la meilleure épouse pour Robert... D’aider toutes les femmes de Stepford à être les meilleures épouses possibles, en réalité. »

Joyce ne pouvait pas concevoir un monde où Roger ne pourrait pas la satisfaire. Le traitement de rééducation de Stepford l’avait transformée en ce sens, et elle était sous son effet depuis si longtemps qu’il était peut-être trop tard pour la faire revenir en arrière. Cependant, Bobbie ne comptait pas abandonner aussi facilement. Elle commença à expliquer à la femme du maire que les futas, contrairement aux hommes, ne se fatiguaient pas après un seul orgasme. Elles étaient capables d’enchaîner pendant des heures. Elle attisa la curiosité de la femme en soulevant son pagne pour que tout le monde puisse voir sa belle queue tendue et veineuse, et elle expliqua qu’elle avait effectivement déjà pris sa femme pendant toute une nuit. Elle la prenait également les matins, les midis et les soirs, dans toutes les positions possibles. Rien ne suffisait à satisfaire son appétit. Joyce se mit à déglutir nerveusement en voyant le mandrin colossal de la futa prendre peu à peu du volume. Cette chose était tellement grosse, bien plus que la queue de son mari. Et son corps commençait à réagir.

« Hhhmmm… »

A l’entendre, Bobbie n’avait que des intentions louables. Elle voulait aider les femmes de Stepford à devenir de meilleures épouses en se débarrassant définitivement des frustrations sexuelles qu’elles pouvaient ressentir. Et pour cela, il fallait que les futas prennent une place plus importante dans la communauté.

« Eh bien… même si je reconnais que votre projet est très… hhhmmm… très intéressant… je ne pense pas que… mon mari le soutiendrait. Aucun homme d’ici… ne le ferait. »

« De quoi avez-vous peur au juste ? »

« Imaginez que les femmes ne fassent plus… que coucher avec des futas. Comment nos maris feront-ils… pour se soulager de leur stress ? Ils travaillent si dur… ils font tant d’efforts pour nous. Notre devoir est de les combler… avec nos corps. »

« Vous prenez le problème sous le mauvais angle. Imaginez que les femmes se mettent à coucher avec des futas pour satisfaire leurs besoins charnels. Du coup, plus besoin pour leurs maris de se soucier de leur satisfaction. Ils ne coucheront avec elles que pour soulager leur stress. Et comme ils seront contents, vous serez contentes aussi. Tout le monde y trouve son compte. »

« J’aime beaucoup cette vision des choses. »

Joyce ne fut qu’à moitié convaincue par la plaidoirie de Joana et Jessica. Cependant, elle ne pouvait pas nier que quelque chose en elle bouillonnait en voyant la lance de chair massive de Bobbie qui devenait de plus en plus raide à mesure que les minutes passaient. La femme de la futa ne tarda pas à remarquer la façon dont la femme du maire louchait sur le membre de sa conjointe, et se mit à sourire.

« J’ai une idée. Plutôt que de vous convaincre avec des mots, on va vous faire une démonstration. Je vais vous montrer comment se passe notre routine quotidienne quand ma chérie rentre du travail. »

Joana alla se mettre à quatre pattes devant Bobbie et prit sa grosse queue entre ses mains. Jessica et Joyce pouvaient tout voir sous sa petite jupe sexy de maid, et elle ne doutait pas que l’invitée futa ne tarderait pas à se branler en matant son string en dentelle noire et son porte-jarretelles.

« Alors ma chérie, comment était ta journée ? Tu as enfin couchée avec Zoey ? Je suis contente que son petit cul de secrétaire torride te fasse bander bien dur quand tu rentres à la maison, mais je n’aime pas te voir frustrée. Tu devrais la sauter un bon coup sur la photocopieuse, comme ça tu auras des impressions de ses jolies petites fesses. Tu pourrais aussi lui demander de te faire une bonne pipe sous ton bureau. Tu travailles si dur en ce moment. »

Oui, leurs débuts de soirée ressemblaient à peu près à ça.

La pulpeuse Joyce était un soutien indispensable pour Bobbie. Celle-ci avait bien conscience de la dangerosité de son plan, mais elle était sûre de son coup. Elle voulait tout simplement offrir aux femmes de Stepford une véritable vie de bonheur, car elle sentait bien, en les voyant dans le club, qu’elles étaient inconsciemment frustrées. Les traitements hormonaux visant à transformer les femmes de Stepford en bimbos dociles étaient à vrai dire trop efficaces. De fait, les Futanaris représentaient une évolution, et chaque femme qui avait goûté à l’ardeur d’une Futa’ comprenait alors le manque dans sa vie. En soi, l’idée n’était pas vraiment de renverser les hommes aux yeux de ces femmes, mais de satisfaire leurs besoins profonds, de les rendre sexuellement plus fortes. Le plan de Bobbie était à n’en pas douter risqué, et, si les hommes de Stepford l’apprenaient, il y avait des risques pour qu’on se débarrasse d’elle… Mais elle ne comptait pas faire marche arrière. C’était sa contribution à Stepford, l’héritage qu’elle souhaitait léguer à ce fantastique village.

Joyce était évidemment sceptique, mais Joana avait une solution… Faire une simulation devant elle. Bobbie voyait bien son regard, similaire à celui que Zoey lui faisait quand elle voyait que Bobbie avait une érection. Une délicieuse lueur de plaisir, une sourde envie qu’elle tentait de refréner. Joana s’agenouilla devant Bobbie, qui sourit doucement en la regardant, puis se redressa alors. Elle défit son pagne et son soutien-gorge, finissant nue, à l’exception de ses collants et de ses gants rouges, et empoigna les cheveux de sa femme, tenant d’une autre main sa solide verge.

« Figure-toi que c’est ce que je compte faire… J’attends juste le bon moment. Et je compte ensuite l’inviter ici. Tu veux bien m’aider à trancher ? Suce-moi, ma salope, et cela me donnera l’inspiration dont j’ai besoin… »

Joana obtempéra, et Bobbie frémit, serrant fortement ses doigts dans ses cheveux, se crispant dessus. Un frisson de plaisir la traversa, et elle commença à onduler sur place, provoquant des bruits de claquement et de succion lorsque la chair heurtait la chair. Bobbie adorait ça, et commençait toujours sa soirée par une bonne petite fellation. Au vu de la frustration qu’elle accumulait au travail, celle-ci durait généralement de dix à quinze minutes, soit de longues minutes pendant lesquelles Joana allait enchaîner les gorges profondes, travaillant à chaque fois ses techniques de concentration et de respiration. Elle devait maintenir sa position aussi longtemps que possible, et éviter de tout relâcher trop vite, afin d’offrir à sa femme le meilleur spectacle possible.

Mais il n’y avait pas qu’elles, et, pendant ce temps, Jessica se glissait dans le dos de Joyce. Ses mains vinrent tendrement pétrir ses épaules, et elle se pencha lentement vers la femme du maire, venant lui parler :

« Il ne s’agit pas que de ça, Joyce. Regardez leur endurance… Coucher avec une Futa’ tend naturellement à rendre sa partenaire plus endurante, plus forte. N’avez-vous pas envie de ça pour votre époux ? Cela ne vous motive-t-il pas ? Devenir une femme plus endurante pour Robert ? Ne le soulageriez-vous pas mieux en parvenant à tenir plus longuement au lit ? »

Car il suffisait effectivement de voir le duo devant elles pour constater l’endurance redoutable des Futas…

Joana avait beau être devenue plus simplette depuis que le traitement avait fait son office sur elle, elle était encore capable de voir quand une discussion ne menait à rien. Et surtout, elle ne reculait jamais devant une occasion d’étaler son talent pour le sexe. A genoux devant Bobbie, elle montrait à leurs invitées leur routine quotidienne quand sa chère femme rentrait du travail, fatiguée et tendue, avec un grand besoin d’évacuer sa frustration. Elle lui avoua d’ailleurs qu’elle avait l’intention de bientôt s’occuper du délicieux petit cul de Zoey, et ensuite de l’inviter chez eux. Mais elle avait encore besoin d’inspiration pour l’aider à trancher. Une inspiration qui ne pourrait lui venir qu’avec une bonne fellation de la part de sa femme.

« Mais enfin, il n’y a pas à hésiter mon amour. Tu la culbutes un bon coup au bureau, puis tu l’amènes à la maison pour qu’on s’occupe de toi à deux. »

Juste après, Joana se fit un plaisir d’ouvrir la bouche en grand pour y accueillir la queue de sa chère Bobbie. Elle sentit les doigts de sa femme se crisper contre sa chevelure, elle entendit ses soupirs de plaisir, et accompagna ses mouvements quand elle commença à onduler. C’était leur petite routine quotidienne, elle avait l’habitude maintenant. En moyenne, il fallait entre dix et quinze minutes à sa chérie pour venir. Et pour la faire jouir, elle comptait bien enchaîner les gorges profondes et  se donner en spectacle autant que possible. Elle avalait cette grosse bite tendue en faisant des bruits humides de succion et elle tortillait son joli derrière pour charmer son public.

Pendant ce temps, à côté d’elles, Joyce avait de plus en plus de mal à contrôler ses envies. Elle respirait fort et salivait en voyant avec quelle ardeur le jeune couple s’ébattait. Une partie d’elle lui disait qu’elle ne devait pas se laisser tenter par ce spectacle, que ce n’était qu’un moyen détourné qu’elles utilisaient pour la convaincre que leur vision était la bonne. Mais le désir l’emportait vite sur la raison avec les femmes de Stepford, et elle ne cessa pas de mater. Elle sentit les mains de Jessica masser tendrement ses épaules, et la futa lui expliqua que le nouveau mode de fonctionnement de Stepford permettrait aux femmes de devenir plus endurantes. Cela ne pourrait être que bénéfique pour elles, elles pourraient ainsi combler leurs maris pendant plus longtemps.

« Je n’ai pas besoin… d’être plus endurante. Mon Roger… hhhmmm… s’arrête toujours… le premier. Il jouit bien avant moi. Et… ooohhh… »

Soudain, la femme du maire réalisa que tout n’était peut-être pas si parfait dans son couple. Son mari était certes bien monté et tout à fait capable dans la chambre, mais il arrêtait presque toujours de lui faire l’amour après avoir joui deux ou trois fois. La femme n’avait pas toujours d’orgasme, la majorité de son plaisir lui venait du fait qu’elle savait que son mari était comblé. Mais point de vue plaisir physique, elle pouvait espérer mieux. Et les fourmillements dans son bassin ne cessaient de monter en intensité tandis qu’elle regardait la façon dont Joana avalait la verge de Bobbie tout en exhibant sa petite culotte et son porte-jarretelles.

Après quelques minutes à se faire masser, à reluquer ses hôtes et à boire du vin, Joyce décida de se laisser tenter.

« Peut-être que… je pourrais essayer. Pour voir… hhhmmm… et pour apprendre. »

La femme du maire se tourna vers Jessica, la seule futa qui pouvait s’occuper d’elle pour le moment.

« Alors… vous voulez bien m’apprendre ? »

Joana savait faire des fellations très bruyantes, et très… Entraînantes. Elle en fit rapidement la démonstration. Les trois étaient dans le coup ici. Outre se faire, comme à chaque fois, mutuellement plaisir, l’idée était surtout d’emmener Joyce avec elles, de l’entraîner dans la lubricité. Bobbie avait eu le temps de longuement planifier son plan, et elle savait que le soutien de la mairesse était indispensable pour s’occuper du club des femmes de Stepford. En tant que femme du Maire, Joyce était très impliquée dans la communauté de Stepford, elle était un pilier et un atout indispensable pour mener à bien son plan. Joyce observait donc les deux femmes s’envoyer doucement en l’air. La main ferme de Bobbie se serrait sur les cheveux de Joana, la laissant toutefois remuer la tête d’avant en arrière.

Assise sur les genoux, elle en profitait pour mettre en valeur son magnifique popotin, moulé à la perfection par sa lingerie fine, son tablier se relevant impudiquement pour montrer sa croupe. Joyce était doucement en train de fondre, Jessica l’encourageant en lui disant que cette session n’avait que pour but de la perfectionner. Elle ne fut ensuite pas surprise en apprenant, de la bouche de Joyce, que son mari jouissait toujours avant elle. Les scientifiques de Stepford étaient victimes de leur propre talent. Ils transformaient les femmes en bimbos, en véritables nymphomanes, mais sans s’améliorer eux-mêmes. Le cas de Joyce n’était pas isolé, et c’était cette frustration sexuelle que Bobbie comptait exploiter… Comme si, inconsciemment, elle avait saisi les failles de Stepford, ou vu les magnifiques possibilités que la ville offrait pour ses habitants.

Joyce demanda donc à voir, et Jessica sourit doucement. Elle se déplaça alors, et passa devant le canapé, où elle attrapa la main de Joyce.

*Les femmes de Stepford sont si dociles que, pour elles, coucher avec une autre femme, ce n’est pas tromper…*

C’était presque normal, et, après tout, il arrivait parfois que les hommes couchent avec plusieurs femmes, ou les amènent à se faire l’amour devant eux. Et, même si Joyce incarnait les valeurs morales de Stepford, elle restait après tout une habitante de cette ville. Tenant sa main, Jessica l’amena à se redresser, et lui sourit doucement. Elle voyait la gêne dans les yeux de Joyce, l’incompréhension… Et cette flamme qui commençait à naître dans le firmament de ses pupilles, le désir qui apparaissait. Souriant doucement, Jessica alla l’embrasser, pressant son corps contre elle.

« Je vais t’apprendre tout ce que je sais, Joyce… »

Elle lui sourit encore, et se déplaça, rejoignant Bobbie et Joana, et se mit à côté de Bobbie, puis déboucla sa ceinture. Sa jupe tomba, et elle retira également sa chemise, révélant des sous-vêtements roses très élégants, une guêpière en dentelle fine avec des porte-jarretelles, et une petite culotte qui était déformée par la verge de Jessica, une queue massive qui ressortait, et se relevait, tapant contre le nombril de la jeune femme.

Jessica eut un léger sourire devant sa partenaire.

« Allez, Joyce… Viens te mettre à côté de Joana, et… Enfin, j’imagine que tu sais ce que tu dois faire avec tes lèvres, non ? »

À ce niveau-là, il n’était pas difficile de deviner la suite !

Joyce avait décidé de se lancer dans ce monde encore inconnu qu’était le sexe avec une futa. Il était tellement inconnu qu’elle ne savait pas si elle état infidèle à son mari en couchant avec Jessica sans sa permission. Les règles tacites de Stepford avaient plus ou moins établies que les femmes avaient le droit d’expérimenter entre elles de temps en temps, mais qu’elles ne pouvaient pas faire l’amour avec un autre homme que leur mari. Les futas avaient des sexes masculins, mais c’étaient plus des femmes que des hommes. Alors était-ce une tromperie ? La femme du maire se posait des questions, mais sa curiosité l’emporta sur le reste. Quand Jessica lui prit la main, elle se laissa faire docilement, et vint se mettre à genoux devant elle, à côté de Bobbie et Joana. Elle regarda la futa déboucler sa ceinture et faire tomber sa jupe pour dévoiler des sous-vêtements roses très élégants et très sexy. Sa queue était si grosse qu’elle sortait de sa petite culotte. Elle lui donna une consigne, et la femme lui répondit avec un sourire.

« Évidemment que je sais quoi faire. »

Ce n’était pas la première fois que Joyce était à genoux face à une verge, mais celle-ci dépassait de loin celle de son mari. Elle semblait tellement grosse qu’elle n’était pas sûre de pouvoir la faire rentrer dans sa bouche, et cela l’excitait un peu. Elle attrapa ce mandrin puissant avec sa main et l’astiqua un peu pour en apprécier la dureté et la chaleur entre ses doigts. Plus les secondes passaient, plus elle était attirée par cette trique puissante.

« Aaahhh… allons-y. »

Joyce commença par lécher le gland de Jessica et répandit sa salive dessus. Elle savourait ce gland enflé et chaud comme une entrée en matière, et cela suffisait déjà à faire couiner la futa. Elle s’amusa ensuite à répandre sa bave tout le long de son sexe en faisant des bruits humides de léchouilles. Et enfin, elle ouvrit grand la bouche et accueillit cette trique entre ses lèvres. La moitié réussit à remplir sa bouche, et elle ne put aller très loin dans sa gorge avant de sentir qu’elle commençait à s’étouffer.

« Hhhmmm ! »

Plutôt que de risquer l’asphyxie, Joyce préféra commencer doucement en mettant juste la moitié de la queue de Jessica dans sa bouche. La femme de Stepford se lança alors dans une délicieuse fellation, avalant goulument ce sexe puissant et savoureux, profitant à la fois des sensations dans sa bouche et des gémissements de plaisir de la futa. Elle se débrouillait bien, mais elle était encore loin d’égaler le talent de Joana, qu’elle observait toujours d’un regard en coin et dont les prouesses ne faisaient qu’attiser les flammes de son désir.

A côté, la nouvelle femme de Stepford venait juste de combler sa femme avec un orgasme, et elle avait avalé toute la délicieuse semence qu’elle avait craché en elle. Mais ce n’était pas une raison pour arrêter tout de suite. Elle avait l’habitude de la faire jouir deux ou trois fois quand elle rentrait à la maison, et là elle devait assurer encore plus pour les invités. Elle prit la bite de sa chérie à deux mains et la branla doucement pour lui faire retrouver toute sa vigueur.

« Dis moi mon amour… qu’est-ce qui t’excite le plus chez Zoey ? Sa grosse poitrine ? Son joli petit cul ? Ou alors c’est juste sa tenue de secrétaire ? Un chemisier un peu serré, une jupe un peu courte, et tu bandes déjà comme un taureau ? Je parie qu’elle met des porte-jarretelles… et des strings. Ça aussi ça doit te faire chavirer. »

Même avant le traitement de Stepford, Joana adorait questionner Bobbie sur ce qui l’attirait chez les autres femmes pendant qu’elles faisaient l’amour. C’était un petit jeu coquin entre elles, et parfois cela leur permettait de trouver des partenaires d’un soir pour des plans à trois afin de pimenter leur vie sexuelle de femmes mariées.

« Tu sais quoi ? Je devrais venir à ton bureau demain, histoire de lui montrer comment on s’occuper d’une femme aussi belle et aussi bien montée que toi. »

Comme tous les autres membres de Stepford, Bobbie et Joana s’étaient parfaitement intégrées à la vie ici. Elles étaient devenues très perverses, et Bobbie étant l’une des rares hermaphrodites de la ville, elle était clairement très spéciale. Il était donc normal qu’elles se soient si bien entendues avec Jessica, qui, jusqu’ici, avait fait figure de curiosité. Et, à leur manière, ces deux femmes étaient en train de bouger les lignes, de montrer aux femmes de Stepford qu’elles étaient améliorées, et qu’elles avaient un appétit trop fort pour leurs maris, qui, eux, n’avaient pas subi les mêmes améliorations génétiques. Car c’était bien comme ça que Bobbie se considérait, maintenant. Elle n’était pas devenue un monstre, non, mais une meilleure version d’elle-même. Et cette meilleure version observait avec plaisir Joyce pomper le dard de Jessica. La femme du maire se laissait progressivement aller, et Bobbie savourait da victoire. Voir cela l’avait achevé, expliquant son bel orgasme.

Là où un homme aurait eu du mal à retrouver sa vigueur, les mots coquins et les quelques caresses de Joana sur son mandrin le redressèrent rapidement. Si Joyce voyait ça, elle pourrait déjà comprendre la différence entre une Futanari et un homme normal. Leur capacité à bander à nouveau était tout simplement impressionnante, ce que Jessica commenta, tout en tenant d’une main les cheveux de Joyce :

« Vous voyez, Joyce ? Même quand nous jouissons prématurément, cela n’a aucune sorte d’importance… Ce n’est pas que spécifique à Bobbie, hmmm… Les Futanaris sont comme ça. »

À l’origine, Jessica avait été conçue comme une sorte de coach sexuel pour certaines femmes, mais les hommes de Stepford n’avaient pas renouvelé l’expérience, au vu des capacités sexuelles impressionnantes de Jessica. La différence entre elle et Bobbie, c’est que Jessica n’avait pas pour ambition de révolutionner Stepford. Elle n’aurait jamais pensé à foutre sa queue dans la bouche de Joyce si Bobbie ne l’avait pas fait rêver en lui narrant une Stepford plus moderne, dominée par des femmes comme elles, et baisant à longueur de journée les épouses de Stepford… Comme une sorte de nouveau féminisme.

De son côté, Joana provoqua donc Bobbie en évoquant de nouveau Zoey, ce qui fit déglutir Bobbie. Celle-ci sourit doucement, et son sexe vint taper contre le visage de sa femme, glissant sur son nez. Avant, parler comme ça d’une autre femme ne l’aurait jamais tenté, mais, maintenant, c’était la routine pour elle.

« Tout ça à la fois, Joana… Mais, maintenant que tu m’as mis l’idée dans la tête, c’est trop tard. Tu vas venir demain, et je vais baiser Zoey avec toi… La baiser comme une truie ! »

Dire que Bobbie avait auparavant été la soumise… Maintenant, elle était bien plus masculine, et se retourna alors vers Joyce.

« Mais n’oublions pas notre invitée, Joana… Glisse-toi dans son dos, caresse son corps, masturbe-là, je suis sûre qu’elle en meure d’envie… Tout comme je meurs d’envie de sentir sa bouche sur ma queue. Oh, et bien sûr… Raconte-lui dans le creux de l’oreille ces insanités dont tu as le secret. »

Elle se tourna alors vers les deux femmes, et sa queue vint s’appuyer sur la joue de Joyce, tandis qu’elle caressa d’une main le dos de Jessica. Les deux Futanaris vinrent s’embrasser sensuellement pendant quelques secondes, leurs langues jouant ensemble.

« Allons, Joyce… Ne me faites pas croire que vous n’avez jamais sucé deux queues ensemble. Vous êtes notre première dame, montrez-nous l’étendue de vos talents buccaux… Et laissez ma femme vous faire du bien, je vous sens toute tendue, toute crispée… »

Quand elles en auraient fini avec elle, Joyce serait totalement acquise à leur cause. Et rien que cela suffisait à faire furieusement bander Bobbie.

Les paroles salaces de Joana avaient bien motivé Bobbie, qui décida que sa femme viendrait demain à la mairie pour baiser Zoey avec elle. Mais en attendant, elle voulait faire plaisir à son invitée et intima à sa compagne d’aller se glisser dans son dos pour caresser son corps. En entendant ça, Joyce voulut intervenir.

« Ce n’est pas nécessaire. Ne vous arrêtez surtout pas pour moi. »

« Qu’est-ce que vous racontez ? Vous êtes notre invitée, nous devons vous satisfaire. Et ce sera pour moi un plaisir de le faire. »

Joana alla se mettre dans le dos de Joyce, collant son opulente poitrine contre sa peau, tandis que Bobbie alla s’asseoir à côté de Jessica. Les deux futas partagèrent un baiser langoureux et sulfureux, et la femme du maire se retrouva avec deux belles queues à sucer. Bobbie semblait croire qu’elle s’était déjà retrouvée dans une situation similaire, et que ce serait d’autant plus facile avec sa femme en train de la caresser.

« Eh bien non… je n’ai jamais eu… hhhmmm… deux queues… à sucer… en même temps. »

Cependant, elle devait admettre que l’expérience lui donnait l’eau à la bouche. Ces deux beaux mandrins veineux, puissants, dressés devant son visage, stimulaient ses instincts les plus primaires. Elle avait envie de ces bites, et elle n’allait pas se faire prier pour les sucer.

Joyce empoigna le sexe de Bobbie dans sa main droite et se mit à le branler vigoureusement pendant qu’elle continuait son travail sur le sexe de Jessica avec sa bouche. Ses doigts avaient une prise ferme sur la verge de la rousse, l’astiquant avec vigueur pour rattraper le retard, et ses lèvres avaient piégé le vit de la blonde pour la pomper avec autant de puissance. Elle montrait bien à ses amantes qu’elle avait appris des choses durant toutes ces années de mariage, mais elle savait qu’elle allait devoir faire bien plus d’effort qu’elle n’en faisait d’habitude avec Roger.

De son côté, Joana s’occupait de motiver Joyce en caressant son beau corps. Ses mains commencèrent par jouer avec sa poitrine, pelotant ses seins moelleux et pinçant ses tétons, puis l’une des mains descendit le long de son ventre jusqu’à son entrejambe. Elle n’attaqua pas ses lèvres tout de suite, elle caressa le creux de son bassin et les contours de sa vulve, ainsi que l’intérieur de ses cuisses. Elle la regarda frissonner d’anticipation et approcha sa bouche de son oreille.

« Vous aimez, hein Joyce ? Être au centre de l’attention… avec des grosses bites dans la bouche. »

Elle ne lui répondit pas, mais la femme au foyer sentait bien la mouille qui coulait le long de ses cuisses.

« Je ne vous ai jamais remerciée pour ma transformation. C’est vrai que j’étais terrifiée au début, mais maintenant je suis plus heureuse que jamais. Je suis plus proche de ma femme, de mes enfants, et je me suis fait de merveilleuses amies au club féminin. Et surtout, je n’ai jamais été aussi épanouie sur le plan sexuel. Bobbie me régale chaque jour avec sa queue, comme elle vous régale en ce moment. »

Joana appuyait de plus en plus ses caresses sur le corps de Joyce, espérant la faire jouir en même temps que les futas.

« Et vous aussi, vous pourriez être épanouie sexuellement. Tout ce qu’il faut, c’est que vous acceptiez de soutenir le projet de Bobbie. Imaginez le tableau : des femmes membrées partout en ville, qui peuvent vous baiser au moment et à l’endroit dont vous avez envie. Chez vous entre deux corvées, quand vous faites vos courses, ou au travail. Demain, Zoey va découvrir le plaisir que procure une femme futa. Et vous aussi, vous pourriez y avoir droit.
La nuit dernière, j’ai fait un jeu coquin avec Bobbie. Elle a dit que je faisais tellement bien la lessive qu’elle bandait chaque fois qu’elle sentait mes culottes. Alors je l’ai encouragée à se branler dedans, et je me suis caressée en la regardant faire. Ensuite, elle m’a baisé au milieu d’un tapis de ma lingerie souillée, comme la plus grosse cochonne qui soit. Et le lendemain, j’avais de la lessive pour m’occuper. N’est-ce pas merveilleux ? »

Il n’en fallut pas plus à Joyce pour jouir. Et dans la minute qui suivit, elle se retrouva avec le visage et le corps maculé du sperme des deux futas, qui éjaculèrent avec bonheur. Une fois le plaisir de l’orgasme passé, Joyce regarda Bobbie et Jessica dans les yeux, attendant ses prochaines consignes.