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Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:37
par Reine Alice Korvander
Alice tremblait d’excitation, comme rarement ! Son homme l’excitait tellement qu’elle dut se raccrocher à la parole de Mélinda pour ne pas se mettre à quatre pattes, et le sentir en elle. Alice avait pourtant parfois été en chaleur, notamment quand Mélinda s’amusait à la frustrer, à l’attacher, et à lui faire perdre peu à peu la raison en faisant l’amour devant elle… Mais là, ce soir, ce qu’elle ressentait était comme décuplé ! Pourtant, elle n’était pas entravée dans ses mouvements, mais la simple idée de toucher son mari, ou de s’imaginer être prise par lui…  Sans Mélinda, ils auraient assurément encore fait l’amour, mais son amie, aussi perverse qu’elle soit, savait aussi quand garder la tête sur les épaules. Alice se racla donc la gorge, et remit donc sa belle robe en place, vérifiant à bien serrer l’arrière. La robe était souple, pensée pour s’ouvrir, mais elle ne voulait tout de même pas se promener les fesses à l’air ! Elle referma donc sa robe, et attrapa ensuite la main de Melendil, ce qui la fit frémir sur place.

« C’est vrai, il faut passer par ce banquet… »

Cette idée la désespérait, cela allait être si long ! Alice soupirait en sentant la main chaude de son époux, et elle regarda Mélinda, préférant observer les fesses de la vampire que le torse de son mari. Si seulement elle croisait son regard… Alice rougit lentement en se pinçant les lèvres. Son cœur continuait à tambouriner dans sa poitrine. Melendil lui demanda alors quand cette vague en eux allait s’éteindre. Elle le regarda alors, et rougit à nouveau en observant ses lèvres.

« Je… Je ne sais pas… Ce n’est pas le genre de choses que j’ai lu. Le feu du Patriarche bouillonne en nous… »

Mélinda se retourna alors, et répondit alors à Melendil :

« Votre sang agit de façon anormale. Je sens une puissante force en vous deux. Alors, oui, vous allez ressentir ça tout le long du banquet, et même des jours après, surtout vu votre endurance naturelle. Ce n’est pas pour rien que j’ai offert à Alice une telle robe.
C’est… C’est toi qui l’as conçu ?
J’ai travaillé sur le concept, mais la robe n’a pas été tissée dans mon atelier. C’est un cadeau de la daimyo du Tao-Bang, elle fera probablement partie des invités qui vont venir vous féliciter lors du banquet. »

Alice se mordilla les lèvres. Elle allait devoir les écouter, tout en ayant ce feu en elle… Impossible de se retenir éternellement ! Elle marcha donc, et rejoignit la salle de banquet. Mélinda les laissa passer, et la jeune Reine entendit rapidement des accords de musique. Des bardes et des ménestrels étaient installées sur une estrade en bois, et faisaient jouer de leurs instruments. Alice reconnut celle qui se trouvait au centre de la compagnie. C’était une Tieffelin, ainsi qu’on appelait les hybrides démons croisés avec d’autres espèces qui étaient nombreux à Mijak. Elle s’appelait Alfira, et leur chanson eut au moins pour elle d’apaiser suffisamment la Reine pour qu’elle puisse rejoindre les deux fauteuils massifs implantés à côté d’une double grande table. Les convives pouvaient s’installer sur les tables, tandis que le couple royal disposait de sa propre table, qui leur faisait face.

« Voilà les mariés ! Vive les mariés !
Vive la Reine de Sylvandell, et vive notre Roi !
Mes félicitations ! »

De la main, Alice les salua, puis elle alla s’asseoir, et soupira lentement. L’euphorie de la scène, les effluves, avaient temporairement contrebalancé sa soif de sexe. Avant de s’asseoir, elle attrapa tout de même une coupe dorée, et leva son verre.

« Mes chers amis, je vous remercie pour vos vœux ! Que ce mariage soit propice à une fête qui marquera les esprits ! »

Elle s’installa donc, et serra la main de Melendil dans la sienne, puis l’embrassa à nouveau.

La soirée se poursuivit donc. Il y avait du monde, et Alice et Melendil attaquèrent les premiers repas, entrecoupés par des invités venant leur présenter leurs vœux. Mélinda, qui n’était jamais très loin du couple, finit par s’asseoir à leur table.

« Après le banquet, ce sera votre nuit de noces… Il faudra songer à faire la liste des personnes qui vous vont rejoindre pendant vos longs ébats. Cette flamme qui est en vous va mettre plusieurs jours à se consumer , alors, pendant votre longue orgie, je me suis dit que vous aimeriez avoir des invités.
Euh… Tu es sûre ?
Ma chérie, tu n’espères quand même pas te marier sans que je ne m’assure que ton mari soit à la hauteur de te satisfaire !
Je crois surtout que tu veux juste en profiter… Mais… Plusieurs jours ? On ne pourra jamais… Enfin… »

Elle rougit, en sentant une chaleur renaître entre ses cuisses. Elle se tut en se mordillant les lèvres. Mélinda sourit à nouveau, comme si elle savait très bien ce qui se passait. Alice buvait beaucoup d’eau, comme pour épancher une soif insatiable.

« Là, sur la droite, il y a un couloir que personne n’emprunte. Vous n’avez qu’à vous éclipser quelques minutes pour… Enfin, je ne te fais pas un dessin ! »

Alice ferma les yeux pendant quelques instants, et regarda encore Melendil.

« Je crois vraiment que je n’arriverai pas à tenir toute la soirée, mon chéri… Je veux à nouveau te sentir en moi… »

Elle lui attrapa la main, et le guida vers le couloir dont parlait Mélinda. Il était effectivement inutilisé, et, avec les sons de la fête, personne ne les entendrait. Elle rejoignit donc ce petit couloir, et l’embrassa fiévreusement, se pressant contre lui, serrant son corps avec appétit.

« Je crois qu’on va revenir souvent ici pendant ce repas, mon amour… »

Alice s’agenouilla ensuite, et s’efforça de libérer la verge de son amant.

« J’ai la gorge asséchée… Offre-moi ta fontaine, mon amour ! »

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:38
par Melendil Korvander
Melendil avait naturellement espéré qu'Alice aie une réponse à sa question, et sembla momentanément déstabilisé par le fait que malgré les connaissances de sa femme sur l'histoire de sa propre famille, pareille réaction ne ressemblait à rien de ce qu'elle avait pu lire. Mélinda toutefois sembla être capable d'apporter quelques théories, au vu du fait qu'elle était une vampire. Pour elle leur sang était en train de "bouillir", sans qu'il sache trop à quel point c'était au sens figuratif, mais il semblait évident pour elle que cela dure plusieurs jours. Pareille chose le laissa rêveur sur le moment, et il glissa même à l'oreille d'Alice:

Des jours hein ? Ma foi, heureusement que désormais le fait que l'on couche ensemble est un "devoir", nous pourrons justifier le fait de ne pas nous occuper du royaume pendant ce laps de temps.

Mais avant ça, le banquet allait être une épreuve. Ils arrivèrent finalement dans la gigantesque salle, un grand hall où était disposé un nombre incalculable de tables et de chaises, et où des mets divers étaient déjà servis par de multiples servants qui allaient passer une longue nuit. Oui, au vu du faste qui était ici déployé, ce n'était pas le genre de repas que l'on pouvait espérer expédier. Le temps qu'ils rejoignent leur table sous les applaudissements, auxquels Mélendil répondait avec des saluts de la main, il ressentit au moins trois fois une envie subite, mais contrôlable, de se glisser dans le dos d'Alice pour ensuite se glisser en elle. Par tous les Dieux, il en était même à devoir éviter de faire trop de contacts avec son regard, car sa robe absolument magnifique et sexy ne l'aidait pas dans sa tâche de rester...raisonnable. Finalement, devoir régulièrement remercier des invités qui venaient leur présenter leurs voeux était une distraction qui permettait de gagner du temps.

*Pourvu que tout se passe bien.*

La crainte de Mélendil était que ce bouillonnement en lui devienne incontrôlable. Peut-être n'étais-ce pas un risque, mais il n'en savait rien, alors qu'il sentait bel et bien au cours du repas l'envie grandissante continuer à monter. Il commençait à lui venir des idées de glisser sa main entre les cuisses d'Alice pour aller la masturber dans sa culotte dorée qu'elle portait, tout en mangeant ou en remerciant des invités. Ce n'était absolument pas de circonstance, mais il commençait à ne pas pouvoir s'empêcher de le visualiser, entre ça, et la multitude de positions dans lesquelles il se voyait faire l'amour à Alice. Melendil était à ce stade presque en mode pilotage automatique, à tel point que même lorsque Mélinda revint s'asseoir à leur table, il eût du mal à assimiler la totalité de ce qu'elle disait à Alice. L'elfe fini toutefois par voir sa femme commencer à se tordre d'une espèce de douleur, et posa sa main sur l'une des siennes en se penchant vers elle.

Alice ?

Il n'allait pas lui demander si tout allait bien. Elle était dans le même état que lui. Elle ressentait les choses de façon différente bien sûr, mais la situation était au moins aussi délicate pour elle que pour lui. La mention d'un couloir discret ne tomba toutefois clairement pas dans l'oreille de sourds, et il poussa un long soupir quand elle déclara vouloir à nouveau le "sentir en elle".

Alors guide moi ma puce, moi aussi je n'en peut plus.

Les deux se levèrent, Alice lui tenait la main tout du long de ce court trajet, et ils parvinrent assez rapidement, et sans se faire interrompre, jusqu'à un petit couloir un peu éloigné et surtout non emprunté par qui que ce soit. Alice se retourna alors vers lui, et vint l'embrasser en se pressant fermement contre lui. Mekendil répondit furieusement à ce baiser, et posa l'une de ses mains contre la nuque de sa partenaire, tandis que l'autre se posa fermement contre son fessier, l'aidant ainsi à encore mieux se blottir contre lui. Ils s'embrassèrent fièvreusement ainsi pendant un moment, avant qu'Alice ne se retire, et tout en commençant à s'agenouiller, déclara qu'ils allaient souvent revenir ici.

Je crois aussi ma belle, j'espérais pouvoir tenir, mais la seule chose à laquelle j'arrive à penser présentement...c'est à quel point je veux te faire l'amour...

Elle acheva de se mettre à genoux devant lui, et un sourire parcouru ses lèvres quand elle exprima le désir de voir sa "fontaine", alors qu'il l'aida de ses mains à défaire son pantalon.

C'est une façon poétique que de le décrire, je retiens.

Le pantalon et le sous-vêtement glissèrent alors le long de ses cuisses, et il poussa un soupir de soulagement en sentant son sexe libéré de tout ce tissu qui le compressait depuis lors. Melendil posa alors ses deux mains sur la tête de sa femme, et commença à rassembler ses cheveux vers l'arrière, dans un chignon qu'il maintenait dans la paume d'une de ses mains.

Il va falloir faire attention toutefois à ne pas sâlir ta belle robe Alice, surtout que du blanc sur du noir, ça se verra.

Il se recula alors légèrement, tout en faisant approcher le visage d'Alice. De ce fait, alors qu'elle était toujours à genoux, elle se retrouva avec la tête penchée bien plus en avant, l'idée étant qu'ainsi, des filets de salive ou de sperme tombent plutôt sur le sol que sur la robe d'Alice. La déshabiller aurait été une option, mais ils ne pouvaient ignorer le risque, bien que faible, que quelqu'un vienne malgré tout dans ce couloir.

Pardonne moi par avance mon amour, mais lorsque tu a commencé à lécher mon sexe sans aller plus loin, ça m'a quelque peu frustré alors...

Il savait toutefois maintenant qu'Alice n'était vraiment, vraiment pas contre le fait qu'il se montre plus...cavalier lors de leurs ébats. Ainsi, dès lors qu'il termina de rassembler les cheveux d'Alice dans sa poigne, ce qui lui donnait une excellente emprise sur sa tête, il approcha son sexe des délicieuses lèvres de sa femme, et sans guère plus de cérémonie, le lui fourra dans sa bouche en commençant des va et viens en elle.

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:39
par Reine Alice Korvander
Ce feu qui bouillonnait en elle était irrésistible. Alice ne savait pas si cela avait été le cas pour son père, ou pour ses ancêtres. Ce genre de choses ne figuraient pas dans les chroniques et les récits liés aux précédents couronnements ! Fort heureusement, ce couloir sombre était une aubaine. La porte au fond donnait sur un petit escalier en colimaçon qui montait vers les étages supérieurs. Aucun domestique en provenance des cuisines ne passerait donc par là, et l’entrée était surveillée par Mélinda, qui s’assurait d’éloigner les curieux. Et, dans le brouhaha ambiant du banquet, avec les chants des bardes, les bruits qu’ils pourraient faire seront ainsi noyés par la masse. Alice n’hésita donc pas beaucoup à libérer la verge de son époux, et frémit en voyant son sexe durci apparaître. Melendil bandait déjà très fort, et Alice se mordilla les lèvres quand, en abaissant le pantalon de son elfe, sa queue lui tomba sur le visage. Elle renifla son sexe, humant avec plaisir cette odeur, et frémit lentement. On aurait dit une droguée !

« Oh, ta queue est si belle, mon amour… Mais si dure… »

Elle lécha sa queue pendant quelques instants, et frémit quand Melendil posa sa main sur sa tête. Il noua ses longs cheveux autour de sa poigne, et tira dessus, tout en attrapant sa verge avec son autre main. Il n’avait pas envie de le jouer, et elle le comprenait… Elle non plus. Entre ses cuisses, elle sentait que ses cuisses s’humidifiaient, qu’elle mouillait sur place. Son sexe s’enfonça dans sa bouche, et Alice referma ses lèvres dessus, sentant cet épais membre dans sa bouche. Il l’avait juste prévenu qu’elle allait devoir faire attention à ne pas salir sa robe.

*Je ne laisserai pas partir la moindre petite goutte de cette queue… Elle est à moi !*

Melendil commença ensuite à remuer en elle. Il prit appui sur sa tête, et put déplacer pour cela sa deuxième main, pour s’appuyer sur elle.

« Hmmm… ! »

Alice gémit doucement, et déplaça ses mains derrière son amour. Elle glissa sous les bords de sa veste pour palper ses fesses, et s’appuya dessus pour mieux accompagner ses mouvements. Elle l’entendait soupirer profondément, et il se mit donc à lui baiser la bouche, s’enfonçant en elle. Ses bourses claquèrent sur ses lèvres, et il enchaîna les gorges profondes. Alice gémit encore, salivant sur la queue de Melendil. Elle aspirait l’air, suçant quand elle le pouvait, et s’efforçait de creuser sa langue sous le sexe de Melendil, comme pour l’accompagner. Elle gémissait sous ses coups de butoir. Elle aimait le sentir être plus intense, plus vigoureux. Cette fois, il ne tiendrait pas, mais ce n’était pas l’objectif.

La jeune Reine le laissa faire, et soupira quand il se mit à jouir en elle. Elle le sentit se détendre, et elle maintint sa queue au fond de sa gorge. Il termina en jutant à l’intérieur, puis se retira. Alice conserva les lèvres closes, puis avala le tout.

« Pas une goutte de perdue… »

Cependant, elle n’en avait pas encore fini. Alice se releva ensuite, et caressa d’une main la verge de son amant, avant de l’embrasser avec amour.

« Maintenant, je veux que tu me baises… » dit-elle crument.

Elle se retourna, et s’appuya contre le mur, en écartant les jambes. L’heure n’était plus à la douce poésie, elle ne s’était jamais sentie aussi frustrée et assoiffée, alors elle parlait rapidement, sans aucune subtilité, ce qui la faisait davantage ressembler à une prostituée en manque qu’à une élégante souveraine.

« Je comprends mieux pourquoi il y a une ouverture de cette robe au niveau des fesses. Viens, mon chéri, je veux te sentir te soulager dans mon cul… »

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:40
par Melendil Korvander
Melendil poussa un long soupir de soulagement, lorsqu'il pu enfin sentir les lèvres d'Alice se refermer sur son sexe, et l'englober dans sa bouche chaude. C'était comme si un gigantesque poids se retirait de lui, en s'adonnant enfin à ce que tout son corps lui suppliait si fort de faire, de s'accoupler avec l'élue de son coeur.

Oh Alice...

Il allait toutefois se montrer un peu moins "doux" qu'à l'accoutumée, non seulement car son niveau de frustration était très élevé, mais aussi car leur union avec le feu du Patriarche les...liait intimement en quelque sorte. Melendil avait toujours eu peur d'y aller trop vite, ou trop fort, et ce malgré les assurances multiples d'Alice à ce sujet. Mais maintenant, il lui semblait pouvoir comprendre et ressentir intuitivement ce que sa partenaire souhaitait, et quelles étaient les limites, ce qui était tout aussi instinctivement rassurant pour l'elfe, qui commençait dores et déjà à s'adapter plutôt bien à cette nouvelle "possibilité". C'était donc avec une assurance pleine qu'il avait saisi les cheveux d'Alice pour en faire une queue de cheval, qu'il maintenait dans sa main, tout en fourrant son sexe très dur dans sa belle bouche de princesse, et il se mit assez vite à la troncher ainsi.

Hmmm...

Peu de paroles dans les quelques minutes qui suivirent, Melendil était concentré. Une partie de sa concentration était naturellement fixée sur ses alentours, à l'affût d'un quelconque "intrus" qui pourrait venir malgré le peu de chances que ça arrive. La majorité était toutefois concentrée sur le fait d'aller et venir en profondeur dans la bouche et la gorge de son épouse, qui gémissait de plaisir à ce traitement, et qui illustrait aussi à quel point elle aimait ça en ayant posée ses mains sur le cul musclé de son époux. Melendil avait donc une main maintenant les cheveux d'Alice, et il posa l'autre de façon à empoigner le bas de la mâchoire d'Alice et son menton, d'une façon moins forte, d'avantage de façon à terminer de former un délicieux étau au niveau de son visage qu'il possédait. En dehors des échos lointains de la fête, seuls les soupirs des deux amants résonnaient dans ce couloir, ainsi que les bruits de succion intense de cette fellation, où Melendil n'hésitait plus à enchaîner les gorges profondes pour proprement baiser la gueule de sa chère et tendre. Il ne chercha pas vraiment à se retenir cette fois, il avait besoin de jouir, et il savait aussi qu'un feu au moins aussi intense que le sien brûlait chez Alice.

Ah...Aaaaaaah...

Il fini assez rapidement par jouir, s'enfonçant au plus profond de la gorge de sa princesse pour l'honorer d'un torrent de sperme, son sexe tressautant fortement dans sa belle bouche pendant de longues secondes. Il se retira alors promptement, pour laisser Alice respirer, mais qui ne sembla d'ailleurs nullement mise à mal malgré le caractère assez intense de cette fellation. La voir à genoux, dégluttir quelques dernières fois pour avaler tout son sperme, était hypnotisant, de même que le fait qu'elle déclara, "fière" d'elle même, que pas une goutte n'avait été perdue.

Oh...je vois ça, je suppose qu'effectivement, tu étais assoiffée.

Melendil savait toutefois qu'ils n'en avaient pas terminé. Alice se releva prestement, et l'embrassa l'espace de quelques secondes, tout en glissant une de ses mains sur son sexe encore humide de salive. Puis elle se retourna, prenant appui sur l'un des murs du couloir, en lui présentant sa croupe, et en exigeant de lui qu'il vienne la sodomiser. l'elfe ne se fit guère prier pour venir satisfaire pareille demande. En temps normal, sans doute aurait-il un peu joué avec elle, mais Alice était allée au vif du sujet en sentant à quel point il avait été frustré, alors il allait lui rendre la politesse. Il s'approcha de son épouse, ses mains s'occupèrent rapidement de l'ouverture dans le bas de la robe, puis il abaissa la culotte dorée qu'elle portait jusqu'à mi-cuisse. La merveilleuse croupe d'Alice lui étant offerte, il posa une main ferme sur l'une de ses fesses pour l'écarter, et ainsi visualiser son petit trou. Il usa de son autre main pour saisir son sexe à la base, et pouvoir guider son gland jusqu'à sa rondelle offerte. Melendil il alla sans véritable préparation, mais il avait déjà butiné le cul de sa femme sur l'autel plus tôt dans la journée, et elle souhaitait de toute évidence qu'il la prenne dans l'immédiat. Il commença à s'enfoncer en elle, et il fallu tout au plus quelques secondes d'effort pour qu'il puisse se coulisser jusqu'à la garde de son sexe dans le cul d'Alice.

Ah...Oh Alice tu sais...on est vraiment bien en toi...

Quelque peu moqueur sur l'instant, il se fourra alors contre elle, la plaquant fortement contre le mur, presque au point de l'étouffer dans cet étau entre ce mur et son corps à lui. Il glissa alors malicieusement une main entre les cuisses de sa belle, cherchant et trouvant rapidement son intimité imberbe pour aller la masturber, pendant qu'il entamait de remuer dans ses fesses. Il avait une position parfaite également pour faire lui faire des suçons dans son cou, et aussi lui murmurer des obscénités à l'oreille.

Hnf...tu crois qu'ils savent hum ? Tous ces nobles, qui pour certains étaient sur ta liste de prétendants...tu pense qu'ils savent qu'on est actuellement en train de baiser ? Que je te prends le cul en plein banquet officiel ? Hmmm...

L'idée semblait l'exciter, car il accentuait l'amplitude de ses va et viens, et posa sa deuxième main au niveau du cou d'Alice. Il ne serra pas, du moins pas vraiment, c'était plus pour maintenir un point de soutien sur sa femme pendant qu'il était en train de l'enculer, avec pour seule lubrification la salive d'Alice suite à sa fellation. Il en profiterait aussi assez volontiers pour remonter cette dite main jusqu'aux lèvres de la princesse, afin qu'elle suce ses doigts, tandis qu'elle pourrait l'entendre soupirer contre son cou.

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:41
par Reine Alice Korvander
Tandis qu’Alice pompait avec appétit le dard de Melendil, Mélinda, de son côté, organisait les choses. Malgré sa silhouette et son apparence d’adolescente, elle vivait depuis plusieurs siècles, ce qui signifiait qu’elle avait assisté, il y a de nombreuses années, au couronnement de Tywill Korvander. Elle savait donc qu’il allait se passer des évènements qui ne figuraient pas dans les chroniques royales.  Mélinda se rappelait de la mère biologique d’Alice, qui lui ressemblait énormément, si ce n’est qu’Alice était beaucoup plus fine. Luciana était une femme bien en chair, et, le soir de son couronnement, Tywill et elle avaient fait l’amour avec joie. Mélinda le sentait dans l’air, elle sentait que le désir d’Alice était en train de prendre un tournant étonnant. Depuis qu’elle était revenue du Sanctuaire, son sang bouillonnait, comme Tywill à l’époque… Mais de manière différente. Elle n’arrivait pas encore à se l’expliquer. C’était la même sensation qu’elle avait ressentie avec la mère d’Alice. Elle sentait que le désir d’Alice avait infusé dans l’air, comme des phéromones invisibles. Mélinda avait organisé la fête, alors la plupart des domestiques étaient ses esclaves. C’étaient elles qui surveillaient cet alcôve, ainsi que l’escalier en colimaçon qui menait à la chambre de noces, et où Mélinda avait entreposé de nombreuses affaires. Lentement, les enfants étaient en train de partir, allant se coucher dans les chambres à l’étage, et l’atmosphère se faisait plus… Badine.

Dans le petit couloir, Alice était encore en feu. Ce sperme avait un goût incroyable. Elle avait toujours aimé le foutre de Melendil, de manière assez déraisonnable. C’était pourtant une texture âpre, gluante, salée, du genre qui pouvait vous pourrir les dents, mais pas chez elle… Elle en avait bu jusqu’à la moindre goutte, et elle se pencha vers l’arrière, tirant sur le bas de sa robe, ouvrant ainsi une zone pour permettre au sexe de son époux de venir en elle. Elle glissa ensuite ses mains gantées sous la robe, et abaissa sa culotte dorée, une culotte trempée qui était tachetée. Sur le devant, la robe s’était également écartée pour libérer ses seins, des seins qui étaient lourds… Dans cette position, elle tourna la tête sur le côté, ses joues rougies, sentant ses fesses frémir à la moindre caresse de l’air.

« Allez, viens, j’ai tellement chaud… Ne t’embête pas à me préparer, enfonce-toi en moi, allez ! »

Ça la démangeait, comme un feu qui brûlait dans son fondement ! Melendil se rapprocha, sa tenue noire semblant définitivement trop serrée pour contenir toute son excitation. Il la plaqua contre le mur, serrant ses mains contre les siennes, et Alice gémit, mouillant quand ses seins sensibles heurtèrent le mur froid. Elle soupira ensuite quand il s’enfonça en elle, et ce ne fut sans doute jamais aussi facile, tant Alice avait le sentiment que son cul se dilatait… Presque comme si elle avait un second vagin ! Pourtant, la douleur explosa, mais elle était tellement jouissive qu’elle crut bien avoir un orgasme quand il la pénétra. Il y alla franchement, grognant dans son dos, et elle aimait ça… Elle adorait ça, même ! Cette puissance, cette virilité, ce torse intense et brutal qui s’écrasait contre elle et qui la malmenait avec passion… Ah, quel régal !

Elle gémit quand il avoua qu’on était bien en elle. Alice avait du mal à se retenir, et elle poussait de grands soupirs, avant de couiner encore quand sa main caressa son sexe, son bourgeon assoiffé. Il prit appui sur son cou, et elle gémit, ses parois vaginales se contractant quand il l’étranglait. Elle suça ses doigts quand il les lui présentait, et les mordilla même parfois, tandis que sa verge filait d’avant en arrière. Quand il retournait la prendre, quand il se glissait à nouveau en elle, son corps se soulevait légèrement, ses mains tapaient régulièrement le mur. Elle glissait dessus, et sentait les coups de reins de Melendil, encore. Son amant elfique ne se retirait pas, mais il donnait des coups de reins forts, et sa tenue n’était pas prête pour ça.

Il se glissa dans le creux de son cou, et la provoqua. Alice gémit quand il évoqua ses « prétendants »… Oui, Alice les avait vus ! Certains étaient beaux et fringants. Elle sourit, et tourna sa tête vers lui, puis l’embrassa fougueusement.

« Hmmm… Le… Le monde entier doit le savoir… Que mon vaurien de Roi me défonce le cul comme ça, haaaa… »

Melendil était un amant énergique et intense, mais il n’était pas aussi pervers qu’Alice. Que cette idée l’excite aurait pu, en d’autres circonstances, alerter Alice, mais elle était elle-même possédée. Elle mettait cela sur le feu du Dragon, sans se douter que le souffle du Patriarche n’avait fait que réveiller un pouvoir latent, un pouvoir endormi en elle… Melendil y allait encore, grognant, si bien que sa veste finit par se déchirer en arrière, sans même qu’ils ne le remarquent. Alice avait beau tenter de les retenir, il lui arrivait de hurler, surtout quand la verge remontait jusqu’à la garde.

« En-Encore, haaaa… B-Baise-moi comme si tu baiserais une pute, hnnnnn… !! »

S’il la masturbait, il pourrait voir qu’elle mouillait fortement, signe qu’elle multipliait les orgasmes contre le mur…

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:41
par Melendil Korvander
L'invitation qu'il avait reçu d'Alice de venir la sodomiser était tout bonnement irrésistible, déjà en temps normal, mais avec cette poussée surnaturelle de leur libido à tous les deux, Melendil se trouvait encore plus enclin qu'à l'accoutumée à venir baiser sa femme comme elle le souhaitait. Il avait toujours eu un peu de mal à vraiment se lâcher, craignant d'y aller trop fort, ou qu'Alice mésestime ses propres limites, mais avec le feu du Patriarche qui brûlait en eux à la suite de leur mariage, Melendil se trouvait désormais à avoir une compréhension beaucoup plus instinctives des désirs et des besoins d'Alice. C'était presque comme si on lui avait fait lire dans le détail une sorte de manuel d'instructions, qui se mettait à jour en temps réel, sur les véritables envies d'Alice, sur ce qu'elle pouvait et voulait supporter, et cumulé avec cette envie irrésistible de la baiser, Melendil se trouvait revigoré. Melendil la prit donc fougueusement par le cul, et n'eut même d'ailleurs aucun mal à se glisser en elle tant elle semblait dilatée ici, excitée à l'idée de sentir sa belle queue tendue s'enfoncer dans sa délicieuse porte arrière.
L'elfe l'avait alors fermement plaquée contre le mur, et se collait à elle tout en fourrant son visage contre le creux de son cou. L'une des mains du nouveau roi était occupée à masturber sa reine pendant qu'il était en train de l'enculer, tandis que l'autre se baladait entre ses seins et son visage, caressant et pinçant même à l'occasion. Difficile à ce stade pour lui d'émettre autre chose qu'une lourde respiration, et parfois des grognements de plaisir et d'effort mélangés ensemble. Ils étaient en train de baiser dans un couloir peu fréquenté, pas très loin de là où se déroulait le banquet qu'ils avaient abandonné pour le moment.

Hmmm...Hnnnnf...

S'il prenait son pied, Melendil était également concentré sur le fait de baiser proprement sa femme, qui lui avait explicitement demandée de la prendre "comme une pute", et c'était précisément ce qu'il était en train de faire. L'efle donnait de puissants coups de bassin, pour faire aller et venir son sexe tout du long dans l'anus parfaitement dilaté de sa chérie. La chair de son bas-ventre claquait fermement contre celle des fesses d'Alice, et ce bruit de chairs se heurtant était accompagné de celui, très humide et spongieux, de lui qui était en train de lui doigter sa chatte en même temps. Melendil sentait sa femme jouir, encore et encore avec ce traitement qu'il lui "infligeait", et semblait bien parti sur l'envie de la faire jouir autant de fois qu'il lui était possible de le faire, tout en retardant lui même au maximum sa propre jouissance. Il y avait de fait dores et déjà une bonne petite flaque de cyprine qui s'était formée au sol, mais il continuait de la baiser ainsi, lourdement, avant que finalement l'envie de venir en elle ne devienne bien trop forte pour être ignorée.

A-Alice...HMMMMMF...

Melendil s'enfonça dans un dernier mouvement au plus profond qu'il le pouvait dans le cul de son épouse, qui pourrait alors sentir le sexe tendu de Melendil tressauter en elle, relâchant d'épais chapelets de foutre qui tapissèrent ses parois internes. Melendil se tendait, et "convulsait" contre elle en étouffant ses grognements de plaisir en se fourrant contre les longs cheveux blonds de sa belle. Il lui éjacula copieusement dans le cul, la serrant contre lui et contre le mur, jusqu'à ce qu'il commence à se calmer, poussant de longs soupirs de soulagement.

Oh...oh...

Melendil se trouva essoufflé pendant quelques temps, continuant de se lover contre sa belle pour se laisser le temps de redescendre en tension, avant de délicatement se retirer d'elle. Il s'apprêtait alors à parler, à l'embrasser, mais constata bien vite que quelque chose n'allait pas au niveau de son costume.

Oh grands dieux...Alice, je crois que mon costume actuel n'a pas été à la hauteur de nos ébats.

Il était déchiré à de nombreux endroits, autant au niveau du bas que du haut.

Hum, je ne suis pas certain que l'étiquette de cour me permette de revenir nu dans la salle de banquet. Tu m'avais, il me semble, parlé d'un autre ensemble que tu souhaitais me voir enfiler ce soir, ce serait peut-être bien le moment.

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:41
par Reine Alice Korvander
Alice se faisait besogner avec force par son amant. Elle avait été explicite. Les deux étaient dans un état d’excitation trop prononcé pour que Melendil puisse, comme il aimait le faire, la narguer, la stimuler, jouer sur sa frustration, la mettre dans tous ses états avant de la baiser longuement. Cette énergie forte qui les brûlait tous les deux était irrésistible ! Ses mains s’appuyaient contre le mur, et ses seins rebondissaient parfois contre le mur. Dès qu’elle le pouvait, elle étirait ses bras pour s’écarter, et se cambrer davantage, voulant sentir la queue de Melendil dans son cul, bien au fond. La magie rose d’Alice s’enclenchait à ce moment. Elle ne le réalisait pas elle-même, mais elle avait l’impression que la verge de son époux grossissait et enflait dans son cul. Elle l’entendait grogner, soupirer, pinçant son téton, le faisant jaillir de sa robe, et glissa encore sur sa rober. Il la comprimait, tirant dessus entre ses doigts. Il aurait pu la déchirer si elle n’avait été conçue par Mélinda, et enchantée par Décatis pour résister à ce genre d’assauts. Alice soupirait donc, couinant, gémissant, mouillant fortement elle aussi, tandis que Melendil, imperturbable, matraquait son cul avec force.

« Mmmhhmmm… Haaaa… HAAAA !! Me-MELENDIL, HAAAAA… !! »

Leurs cris rebondissaient, mais étaient couverts par les bardes et les musiciens de la salle de banquet. Les minutes se poursuivaient. À ce stade, il était fort probable que peu de gens se fassent illusion sur ce qu’il se passait. Alice avait bien écarté les jambes, et bavait aussi sur le mur. Quand Melendil finit par jouir, il se pressa contre elle. Elle se retrouva collée contre le mur, les mains redressées, et sentit les mains de Melendil s’appuyer sur les siennes. Il se relâcha ainsi, jouissant en elle, balançant d’épais chapelets de foutre. Alice soupira encore, les cheveux en bataille, plusieurs mèches rabattues sur le devant de son visage, tandis qu’elle entendait Melendil soupirer… De profonds soupirs de plaisir tandis qu’il se mettait à jouir avec force, se vidant dans le fondement de la jeune Reine.

Alice gémit lentement en reprenant ses esprits. Elle se retourna en sentant Melendil se retirer d’elle, et lui sourit. Il fit alors observer que son costume était déchiré. Elle le regarda lentement, puis rabattit ses cheveux derrière elle.

« Oui, tu n’y as pas été de main morte… »

Alice se mordilla les lèvres en le regardant encore, et caressa son torse.

« Mélinda m’a amené cette robe, mais elle a aussi une tenue pour toi. »

Elle l’embrassa doucement sur les lèvres, puis se décolla, et se rapprocha d’une porte située sur le côté. Elle donnait sur un escalier en colimaçon en bois. Alice récupéra la clef dans ses affaires, et ouvrit la porte.

« Vas-y… Cet escalier donne sur notre chambre… Là où on va se rendre bientôt pour consommer notre soif mutuelle. Je vais dire à Mélinda de t’amener sa tenue. »

La jeune Reine l’embrassa encore, plus fougueusement, et dut se faire violence pour rompre le baiser. Il était tentant de le suivre, mais elle savait très bien que, si elle montait, elle ne redescendrait pas. Elle rougit donc en reprenant ses esprits, puis referma la porte derrière elle, et alla dans le salon. Mélinda, qui était là, avait été la mieux placée pour entendre leurs ébats. Alice lui expliqua rapidement la situation, et Mélinda se dépêcha ensuite de filer. La souveraine retourna ensuite à sa place, et avala un peu de vin, sans se douter que son corps était toujours en train de bouillonner, et de distiller dans l’air de redoutables aphrodisiaques…

…De son côté, Melendil rejoignit une chambre élégante. Ce n’était pas leur chambre habituelle, mais celle-ci était très jolie, avec un grand lit en forme de cœur, et plusieurs penderies. Il n’eut que quelques minutes à attendre avant que la porte principale ne s’ouvre. Mélinda l’avait rejoint, et referma la porte derrière elle.

« Hum… Je me doutais bien que tu serais dans un sacré état, Melendil. Ce costume n’est pas passé entre mes mains. Tu devrais te déshabiller. »

Mélinda ouvrit une penderie, et ne tarda pas à en sortir un ensemble. Elle le posa sur le lit, et sourit ensuite en le voyant nu. Elle en profita naturellement pour le dévorer du regard, et constata que sa verge n’était toujours pas totalement au repos.

« J’ai assisté au mariage de Tywill, il était lui aussi très excité, mais pas autant que vous deux. C’est assez curieux… » songea la vampire.

Elle aida ensuite Melendil à enfiler sa tenue. Si elle était moins cérémoniale, elle n’en restait pas moins très réussie. Mélinda promena son doigt sur le losange faisant office de décolleté.

« Ma petite Alice va adorer ça… Et, avec le sarouel, elle pourra elle aussi accéder plus facilement à ton sexe. »

Mélinda glissa sa main sous sa ceinture, et ne tarda pas à saisir le sexe de Melendil, qu’elle sortit de son pantalon par une ouverture qui se trouvait là. Elle se retrouva ensuite à genoux devant, et sourit doucement.

« Je crois qu’il va falloir que je m’occupe de ça aussi… Si tu ne vois pas d’inconvénients à ce qu’une bouche comme la mienne vienne te sucer, mon joli elfe… »