Re: La Princesse et le Vagabond [Melendil]
Posté : 17 août 2024 01:51
Quelle rencontre ! Alice était ravie d’être tombée sur un tel individu. Melendil était un homme charmant, d’une beauté incomparable, le tout s’accompagnant d’une joyeuse perversion, et d’une sorte de soumission qui ne pouvait que plaire à Alice. La belle tête blonde n’aurait jamais pensé pouvoir tomber sur un tel homme en se rendant à Kalkeïn. Indiscutablement, Melendil était un individu d’exception, et, maintenant qu’Alice s’était attachée de cet homme, elle ne comptait pas le laisser partir. Se laissant couchée sur le lit, elle laissa Melendil la lécher, sa belle langue filant sur elle, et, bien conscient de l’effet magique de ses lèvres, l’elfe s’empressa d’aller l’embrasser, tendrement, fourrant dans sa bouche son sperme, et, à chaque fois, on pouvait entendre Alice soupirer, gémir, et glisser sa main dans les cheveux de l’homme, l’autre se posant sur l’une de ses épaules, se crispant sur sa peau.
« Mmmhmmm... »
Oh, oh, elle était vraiment folle des lèvres de Melendil ! Son amant elfique était terrible, et sa bouche, oh, sa bouche... Même Mélinda n’avait pas des lèvres aussi belles que les siennes. Elles avaient la douceur de lèvres féminines, ainsi que la fermeté de lèvres masculines. Du moins, Alice ne voyait pas comment l’expliquer autrement. Ou peut-être que ça venait juste d’elle ? Melendil léchait son corps, encore et encore, et on pouvait entendre la jeune Princesse soupirer et gémir, en se frottant tout le long du lit, ses mains s’étirant le long du lit. Quel spectacle ! Quelle beauté ! Ses seins étaient tendus, et Melendil, lui, continuait à remuer sur elle, tandis que son sexe, régulièrement, revenait caresser sa peau. Il alla même jusqu’à glisser deux doigts en elle, et put sentir combien Alice é&tait excitée, combien elle tremblait de plaisir.
« Melendil, hmmm... »
Alice se mordilla encore les lèvres, puis Melendil se nicha contre elle, couché sur son flanc, et les deux amants s’embrassèrent tendrement, tendrement et sensuellement, les mains d’Alice se posant sur son torse. Elle caressait ses muscles, sa peau douce et chaude, en sueur, ses seins s’enfonçant contre lui, tout en l’embrassant, encore et encore, se refusant à rompre le baiser.
*C’est fou, je pourrais l’embrasser toute la nuit sans jamais me lasser...*
Oh oui ! Le baiser finit toutefois par se rompre, et Alice le regarda, en se mordillant encore les lèvres, avec une lueur amoureuse dans les yeux... Melendil lui demanda ensuite si Alice voulait autre chose, et la jeune femme lui sourit.
« J’ai déjà ce que je veux, Melendil... Toi. »
Elle bondit alors sur lui, et l’embrassa plus voracement, mais chercha surtout à le pousser, et l’amener ainsi à se coucher sur le dos. Alice se redressa alors, se mettant à califourchon sur l’homme, en lui souriant. Son sexe se glissait alors contre ses fesses, tapant dans son dos, et elle aventura l’une de ses mains derrière elle, pour venir le caresser du bout de ses doigts gantés, ses doigts filant le long de sa hampe de chair.
« Et bien, tu es un elfe très gourmand, Melendil... »
Alice lui sourit de nouveau, avant de se mordre encore les lèvres.
« Mais, quand tu as caressé mon sexe en me léchant, je me suis dit que ce dernier n’était vraiment bien que quand il était rempli par toi... »
Elle lui sourit de nouveau, et se déplaça un peu, raffermissant sa prise sur le sexe de l’homme... Puis elle s’empala dessus, enfouissant son membre en elle, en poussant un cri de plaisir :
« HAAAAAAAAAAAAAAA... !! »
« Mmmhmmm... »
Oh, oh, elle était vraiment folle des lèvres de Melendil ! Son amant elfique était terrible, et sa bouche, oh, sa bouche... Même Mélinda n’avait pas des lèvres aussi belles que les siennes. Elles avaient la douceur de lèvres féminines, ainsi que la fermeté de lèvres masculines. Du moins, Alice ne voyait pas comment l’expliquer autrement. Ou peut-être que ça venait juste d’elle ? Melendil léchait son corps, encore et encore, et on pouvait entendre la jeune Princesse soupirer et gémir, en se frottant tout le long du lit, ses mains s’étirant le long du lit. Quel spectacle ! Quelle beauté ! Ses seins étaient tendus, et Melendil, lui, continuait à remuer sur elle, tandis que son sexe, régulièrement, revenait caresser sa peau. Il alla même jusqu’à glisser deux doigts en elle, et put sentir combien Alice é&tait excitée, combien elle tremblait de plaisir.
« Melendil, hmmm... »
Alice se mordilla encore les lèvres, puis Melendil se nicha contre elle, couché sur son flanc, et les deux amants s’embrassèrent tendrement, tendrement et sensuellement, les mains d’Alice se posant sur son torse. Elle caressait ses muscles, sa peau douce et chaude, en sueur, ses seins s’enfonçant contre lui, tout en l’embrassant, encore et encore, se refusant à rompre le baiser.
*C’est fou, je pourrais l’embrasser toute la nuit sans jamais me lasser...*
Oh oui ! Le baiser finit toutefois par se rompre, et Alice le regarda, en se mordillant encore les lèvres, avec une lueur amoureuse dans les yeux... Melendil lui demanda ensuite si Alice voulait autre chose, et la jeune femme lui sourit.
« J’ai déjà ce que je veux, Melendil... Toi. »
Elle bondit alors sur lui, et l’embrassa plus voracement, mais chercha surtout à le pousser, et l’amener ainsi à se coucher sur le dos. Alice se redressa alors, se mettant à califourchon sur l’homme, en lui souriant. Son sexe se glissait alors contre ses fesses, tapant dans son dos, et elle aventura l’une de ses mains derrière elle, pour venir le caresser du bout de ses doigts gantés, ses doigts filant le long de sa hampe de chair.
« Et bien, tu es un elfe très gourmand, Melendil... »
Alice lui sourit de nouveau, avant de se mordre encore les lèvres.
« Mais, quand tu as caressé mon sexe en me léchant, je me suis dit que ce dernier n’était vraiment bien que quand il était rempli par toi... »
Elle lui sourit de nouveau, et se déplaça un peu, raffermissant sa prise sur le sexe de l’homme... Puis elle s’empala dessus, enfouissant son membre en elle, en poussant un cri de plaisir :
« HAAAAAAAAAAAAAAA... !! »