Re: [TERRA - OLYMPE] Le Dernier Éclat [Pit]
Posté : 27 avr. 2025 10:53
Pas exactement cela ? Donc un dirigeant doit connaître la peur, pour être capable de rassurer les gens. Alors que moi, je suis fait pour aller dans une guerre, et donc la peur, je suis incapable de le ressentir directement. J'encourage les gens, je ne rassure pas vraiment. Peut-être que je serais incapable de rassurer les gens. La peur est bien utile pour les hommes, car elle peut permettre de fuir un danger, proche ou imminent, ce que je ne fais jamais, m'approchant de la déesse pour pouvoir la battre. Cependant, pour diriger, il faut savoir contrôler la peur, pour faire éviter à son peuple de céder à la panique.
Je me doute que les Olympiens ne connaissent pas la peur, je ne pense pas que les autres dieux ne connaissent la peur. Car cette peur n'est que peu utile dans leur cas car ils ne connaissent qu'eux-mêmes et les mortels, qui eux ont de quoi avoir peur dans leur monde. C'est d'ailleurs ce qui semble leur être fatal. Alors, une fois qu'ils ressentent la peur, quelque chose qui leur était inconnu, cette peur les commande. Je comprends maintenant que la peur doit être importante, et qu'il ne faut pas être fier. Là, je ne peux pas être fier, car je suis trop nerveux, mais si j'étais en contact avec Palutena, il y aurait moyen que je le dise avec fierté, et que celle-ci soit ravalée par les sages paroles du simili de Pittacos.
J'écoute toujours Pittacos, et je vais essayer de le promettre que je ne dois pas tomber dans ce piège. Les épreuves ne sont pas encore terminées. Le but de ces digressions en compagnie des Sages est donc de savoir pourquoi Zeus a sombré. C'est la phrase que je vais tenter de me souvenir : la peur ne se forme pas, mais sommeille dans chaque être, y compris les anges. Je pense aussi que nous en avons terminé. Je hoche la tête avec un sourire toujours nerveux.
"D'accord. Adieu Pittacos."
Je me lève donc et je sors de la salle pour aller dans la salle centrale. La porte se ferme derrière moi, et une autre porte, plus solide, se ferme devant celle que j'ai franchi. Tour à tour, les sommets de la porte se met à briller en ambré, avant qu'une lumière blanche apparait à partir du sommet de cette salle, et un éclat se met à descendre, brillant en ambré, descendant lentement. Ai-je accompli mes objectifs pour récupérer l’Éclat ? Alors, je m'approche lentement de cet Éclat, commençant à tendre le bras. J'espère qu'il ne va y avoir rien d'autre avant que je ne puisse prendre cet Éclat. Heureusement, non, ma main finit à la hauteur de l’Éclat et se ferme dessus. Puis j'approche ma main de moi pour le retourner et l'ouvrir, pour regarder l’Éclat d'Héphaïstos, qui brille toujours d'une couleur ambrée.
Je regarde en haut, comme si je regarde le ciel, avant de joindre les mains avant de fermer les yeux en baissant la tête.
"Dame Palutena, je sais que tu n'entends pas, mais cette victoire est nôtre."
Je sépare mes mains tout en gardant l'Eclat en main, j'ouvre les yeux avant de regarder à nouveau le ciel. Il ne reste plus qu'à sortir, et peut-être qu'Héphaïstos va me montrer le chemin qui mène vers la sortie de l'HyperCube.
Je me doute que les Olympiens ne connaissent pas la peur, je ne pense pas que les autres dieux ne connaissent la peur. Car cette peur n'est que peu utile dans leur cas car ils ne connaissent qu'eux-mêmes et les mortels, qui eux ont de quoi avoir peur dans leur monde. C'est d'ailleurs ce qui semble leur être fatal. Alors, une fois qu'ils ressentent la peur, quelque chose qui leur était inconnu, cette peur les commande. Je comprends maintenant que la peur doit être importante, et qu'il ne faut pas être fier. Là, je ne peux pas être fier, car je suis trop nerveux, mais si j'étais en contact avec Palutena, il y aurait moyen que je le dise avec fierté, et que celle-ci soit ravalée par les sages paroles du simili de Pittacos.
J'écoute toujours Pittacos, et je vais essayer de le promettre que je ne dois pas tomber dans ce piège. Les épreuves ne sont pas encore terminées. Le but de ces digressions en compagnie des Sages est donc de savoir pourquoi Zeus a sombré. C'est la phrase que je vais tenter de me souvenir : la peur ne se forme pas, mais sommeille dans chaque être, y compris les anges. Je pense aussi que nous en avons terminé. Je hoche la tête avec un sourire toujours nerveux.
"D'accord. Adieu Pittacos."
Je me lève donc et je sors de la salle pour aller dans la salle centrale. La porte se ferme derrière moi, et une autre porte, plus solide, se ferme devant celle que j'ai franchi. Tour à tour, les sommets de la porte se met à briller en ambré, avant qu'une lumière blanche apparait à partir du sommet de cette salle, et un éclat se met à descendre, brillant en ambré, descendant lentement. Ai-je accompli mes objectifs pour récupérer l’Éclat ? Alors, je m'approche lentement de cet Éclat, commençant à tendre le bras. J'espère qu'il ne va y avoir rien d'autre avant que je ne puisse prendre cet Éclat. Heureusement, non, ma main finit à la hauteur de l’Éclat et se ferme dessus. Puis j'approche ma main de moi pour le retourner et l'ouvrir, pour regarder l’Éclat d'Héphaïstos, qui brille toujours d'une couleur ambrée.
Je regarde en haut, comme si je regarde le ciel, avant de joindre les mains avant de fermer les yeux en baissant la tête.
"Dame Palutena, je sais que tu n'entends pas, mais cette victoire est nôtre."
Je sépare mes mains tout en gardant l'Eclat en main, j'ouvre les yeux avant de regarder à nouveau le ciel. Il ne reste plus qu'à sortir, et peut-être qu'Héphaïstos va me montrer le chemin qui mène vers la sortie de l'HyperCube.