Re: Disparition d'une SDF. Apparition d'une cyborg (avec Jeannie)
Posté : 11 oct. 2024 19:31
« Mais oui ! Ca c’est mon gros Geyser ! Ah ah ah ! »
Ce gros pot de colle à écailles. C’est tellement jovial d’interagir avec cette force meurtrière de la nature capable de jouer le plus simplement possible. Geyser est une force de positivisme. C’est l’incarnation de l’optimisme. Bien entendu, c’est aussi réduire une créature « impossible » à un rôle de gros nounours. Mais il faut passer par des étiquettes simplistes pour ensuite découvrir la complexité de quiconque.
« Jimmy ? »
Dans une pause où Alma peut à peu près respirer sans subir tout le poids du dragon « de compagnie » : elle se permet de prendre sa Royauté par la peau du cou. Le petit lézard a très bien compris que la suite ne serait pas dans son intérêt. Il donne l’impression de déglutir difficilement. Bien que l’ambiance reste bon enfant.
« C’est le moment de payer. Geyser ! On joue à Attrape-Jimmy ! »
Et elle lance Jimmy dans les airs qui, dans un premier temps ne fait rien puis… se permet des acrobaties aériennes comme si c’était les jeux olympiques ? Eeeeet voilà qu’il recommence à paniquer en réalisant que lui n’a pas d’ailes et qu’il se dirige tout droit vers la gueule ouverte d’un dragon. Alma ne le sauvera pas au dernier instant. Pire, elle a un si large sourire que c’est un juste retour de foutage de gueule.
*Bon courage petit emmerdeur que j’aime si fort. *
Mais avant de se faire… sermonner ? Priver d’air lors d’un long et éprouvant baiser ? Alma décide de faire un détour vers Valka, la femelle de Geyser. Elle lui affiche un sourire amusé alors que la femme détourner une énième fois la tête pour faire comme si la femelle d’Akane n’existait pas.
« Tu es une reine. Attention, la reine des hypocrites. Je sais la vérité. Je l’ai vu. Derrière cette façade de glace se cache un enfant qui adore jouer. Qui aime éclabousser. Attraper le frisbee et, oh ? Madame est surprise que je sois au courant de tant de choses ? Oui, tu as raison, détourne la tête encore une fois. Efforce-toi de faire semblant. Mais tôt ou tard, tu devras bien accepter que ton mâle a raison. Que c’est lui qui a raison de profiter au présent de ce que la vie nous offre. »
*Et pourquoi j’ai l’impression d’autant lui parler à elle qu’à moi. C’est… presque insupportable. *
Alma s’en va rejoindre sa Bête. Elle détesterait presque ce qu’elle ressent. Comme une junkie qui n’a pas eu sa dose depuis longtemps. Comme un écolier pris en flagrant délit et devant se rendre dans le bureau du directeur. Et pourtant elle ne ralentit pas. Elle ne quitte pas ce regard intense qui la dévore du regard. Alma a presque oublié à quel point elle était grande et musclée. Est-ce qu’elle ne serait pas encore plus grande et plus musclée que la dernière qu’elle l’a quitté ? Non. Bien sur que non. C’est simplement son cerveau qui en rajoute pour donner plus d’intérêt à la scène.
« Akane. Je… je suis désolé. Je ne sais pas exactement pourquoi. Le détour ? L’utilisation du Gris ? La façon dont je t’ai appelé ? Mais je suis désolé. Et… plus que tout : je suis heureuse de te revoir. Tu m’as manqué. »
Ce serait romantique de s’arrêter là. Mais Alma va ajouter un petit quelque chose en plus.
« Tes repas aussi. Je suis affamée. »
Une note de plaisanterie. Comme quoi, tout peut arriver !
Ce gros pot de colle à écailles. C’est tellement jovial d’interagir avec cette force meurtrière de la nature capable de jouer le plus simplement possible. Geyser est une force de positivisme. C’est l’incarnation de l’optimisme. Bien entendu, c’est aussi réduire une créature « impossible » à un rôle de gros nounours. Mais il faut passer par des étiquettes simplistes pour ensuite découvrir la complexité de quiconque.
« Jimmy ? »
Dans une pause où Alma peut à peu près respirer sans subir tout le poids du dragon « de compagnie » : elle se permet de prendre sa Royauté par la peau du cou. Le petit lézard a très bien compris que la suite ne serait pas dans son intérêt. Il donne l’impression de déglutir difficilement. Bien que l’ambiance reste bon enfant.
« C’est le moment de payer. Geyser ! On joue à Attrape-Jimmy ! »
Et elle lance Jimmy dans les airs qui, dans un premier temps ne fait rien puis… se permet des acrobaties aériennes comme si c’était les jeux olympiques ? Eeeeet voilà qu’il recommence à paniquer en réalisant que lui n’a pas d’ailes et qu’il se dirige tout droit vers la gueule ouverte d’un dragon. Alma ne le sauvera pas au dernier instant. Pire, elle a un si large sourire que c’est un juste retour de foutage de gueule.
*Bon courage petit emmerdeur que j’aime si fort. *
Mais avant de se faire… sermonner ? Priver d’air lors d’un long et éprouvant baiser ? Alma décide de faire un détour vers Valka, la femelle de Geyser. Elle lui affiche un sourire amusé alors que la femme détourner une énième fois la tête pour faire comme si la femelle d’Akane n’existait pas.
« Tu es une reine. Attention, la reine des hypocrites. Je sais la vérité. Je l’ai vu. Derrière cette façade de glace se cache un enfant qui adore jouer. Qui aime éclabousser. Attraper le frisbee et, oh ? Madame est surprise que je sois au courant de tant de choses ? Oui, tu as raison, détourne la tête encore une fois. Efforce-toi de faire semblant. Mais tôt ou tard, tu devras bien accepter que ton mâle a raison. Que c’est lui qui a raison de profiter au présent de ce que la vie nous offre. »
*Et pourquoi j’ai l’impression d’autant lui parler à elle qu’à moi. C’est… presque insupportable. *
Alma s’en va rejoindre sa Bête. Elle détesterait presque ce qu’elle ressent. Comme une junkie qui n’a pas eu sa dose depuis longtemps. Comme un écolier pris en flagrant délit et devant se rendre dans le bureau du directeur. Et pourtant elle ne ralentit pas. Elle ne quitte pas ce regard intense qui la dévore du regard. Alma a presque oublié à quel point elle était grande et musclée. Est-ce qu’elle ne serait pas encore plus grande et plus musclée que la dernière qu’elle l’a quitté ? Non. Bien sur que non. C’est simplement son cerveau qui en rajoute pour donner plus d’intérêt à la scène.
« Akane. Je… je suis désolé. Je ne sais pas exactement pourquoi. Le détour ? L’utilisation du Gris ? La façon dont je t’ai appelé ? Mais je suis désolé. Et… plus que tout : je suis heureuse de te revoir. Tu m’as manqué. »
Ce serait romantique de s’arrêter là. Mais Alma va ajouter un petit quelque chose en plus.
« Tes repas aussi. Je suis affamée. »
Une note de plaisanterie. Comme quoi, tout peut arriver !