The Multiversity

Si les hommes de Stepford utilisaient le conditionnement des femmes pour les soumettre, Bobbie et Joana allaient pouvoir constater que ce conditionnement pouvait aussi leur permettre de s’émanciper. Cassie, si timide et réservée, en était la plus belle illustration. Loin de se contenter d’être un simple jouet sexuel pour ses deux Maîtresses, elle était aussi force de proposition. C’était un véritable épanouissement dans une servitude consentie, loin de toutes ces femmes qui se contentaient d’obéir servilement à leurs maris, et semblaient éteintes. Elles ne faisaient que les libérer… À leur manière. La proposition de Cassie séduit en tout cas Joana, qui imposa à Dylan un uniforme rose de pom-pom girl. Celui-ci écarquilla les yeux, rejetant cette idée, mais le désir stimulé par les nanites de Joana sut le convaincre de revoir sa position.

Il enfila donc la tenue, qui lui allait plutôt bien. Les Staffield avaient une bonne taille, alors ils rentraient sans peine dans ce genre de tenues. Sa verge soulevait la jupe au bas de celle-ci, et il cligna encore des yeux, hébété par cette situation, devant avoir l’impression de rêver. Il déglutit ensuite quand Joana donna l’ordre à Cassie de le sucer. Dylan serra les poings en la voyant se rapprocher, et posa sa main sur ses cheveux. Furieux et excité, il fourra lui-même sa queue dans la bouche de Cassie.

« Tu vas me payer ça, salope… Cette humiliation juste pour pouvoir te baiser ! »

Il grogna encore, mais était bien trop excité… Ce qui fit que Dylan se mit rapidement à jouir. Il soupira ensuite, ayant à peine eu le temps de profiter de la bouche de Cassie, mais sentit le désir revenir ! Sa queue restait toujours bien dure, et Cassie releva les yeux, se mettant à le pomper. C’était l’effet des nanites de Joana, ce qui lui sera ensuite expliqué… Pour l’heure, il se faisait pomper par Cassie, et appréciait fortement ce doux spectacle. Ses mains moites se serraient sur les beaux cheveux de Cassie, et il remua encore en elle, grognant et soupirant de plaisir.

Timmy, de son côté, était plus soumis que Dylan, et observa en rougissant Joana. Il se retrouva assis sur les cuisses de Joana, son visage près de ses seins, et soupira en la voyant. Il détacha ainsi son regard de la fellation de Cassie sur son frère. Lui-même avait eu droit à ça, et, alors qu’il avait joui en elle, il se sentait toujours excité.

« Je… Bien, Maîtresse… »

Le jeune homme attrapa le gode violet, et l’observa lentement, puis sentit la main de sa Maîtresse se rapprocher de sa verge. Il commença à lécher ce membre, puis le porta dans sa bouche, et commença à le sucer, juste la pointe. Il ne savait pas trop comment faire, et sursauta quand la main de Joana se posa sur sa queue. Timmy était comme dans un état second, il n’arrivait plus à réfléchir calmement, et était obnubilé par Joana, par sa taille parfaite, son corps magnifique, et ses yeux… Envoûtants, si envoûtants ! Lui et Dylan subissaient l’effet des nanites, qui accroissait leur endurance sexuelle, mais qui avait aussi pour conséquence de les rendre de plus en plus insatiables, et de leur faire perdre toute capacité de réflexion. C’était la force d’aliénation du sexe, mais sans aucune barrière.

Ils sombraient donc, et avec délice !

Dylan était vraiment mécontent de l’humiliation qu’on lui avait infligée, ce qui ne faisait que rendre Joana plus satisfaite. Au moins maintenant, il comprenait ce que les femmes de Stepford pouvaient ressentir. Mais il se calma bien vite quand Cassie commença à le sucer. Après avoir joui rapidement une première fois, il commença vraiment à savourer l’expérience quand il posa ses mains sur la tête de la jeune fille, accompagnant ses mouvements.

« C’est très bien Cassie. Continue comme ça. »

De son côté, Joana s’occupait de Timmy, qui était un garçon bien plus gentil que son frère. Pendant qu’elle le branlait, il lui offrait le délicieux spectacle de son entraînement à la fellation. Pour l’instant il était encore timide et ne touchait que la pointe, mais c’était quand même un bon début. D’autant qu’elle voyait bien que le jeune garçon était captivé par la vue de son corps à moitié nu, surtout quand il la regardait droit dans les yeux. C’était la force d’aliénation du sexe.

« C’est bien Timmy. N’oublie pas ce que je t’ai dit : fais comme si c’était une glace. Vas-y à ton rythme surtout, inutile de se presser. Et… kuhuhu… n’hésite pas à me mater autant que tu veux. Les bons garçons comme toi ont le droit de mater. »

Joana voulait faire basculer Timmy complètement, graver dans son esprit l’idée que c’était par l’obéissance qu’on gagnait une récompense. Cette seule idée suffirait à les asservir, et ensuite, à les reconditionner pour en faire les premiers traps de Stepford. La tâche allait être ardue, mais elle comptait bien y consacrer le temps et l’énergie qu’il faudrait. La première étape, dans ce vestiaire, était de soumettre les deux garçons à sa volonté. Une fois que ce serait fait, le reste du processus pourrait se faire sur la durée, pour que ce soit moins suspect.

Toujours en masturbant Timmy, Joana lui fit signe de retirer le gode de sa bouche un petit instant.

« C’est très bien Timmy, je suis très contente de toi. Maintenant, je veux que tu fasses autre chose pour moi.
Je veux que tu me décrives ce que tu ressens. Cette robe, cette lingerie, le gode dans ta bouche... qu’est-ce que tout cela t’inspire ? Est-ce que tu te sens heureux, ou pas du tout ? »

C’était un bon moyen de voir où en étaient ses progrès.

Timmy était effectivement plus docile que Dylan, ce qui était conforme à leurs personnalités. Dylan était le grand-frère, celui qui se mettait toujours en avant, là où Timmy s’abritait toujours derrière ses décisions. Il manquait donc de personnalité, et de la capacité de s’affirmer. Alors, face à une femme comme Joana, et avec ses nanites… Il succombait donc, et, quand elle l’invita à mater, il rougit. Difficile de ne pas loucher sur les formes somptueuses de la surveillante, et son bâton durci témoignait de l’excitation fébrile que le jeune homme ressentait en ce moment.

« Je… Je ne saurai dire, Maîtresse, c’est… C’est spécial…. »

Il l’observait encore, se sentant toutefois en confiance avec elle. Les jumeaux étaient aussi le fruit du conditionnement stepfordien. Les cellules paternelles avaient surtout touché Dylan, tandis que Timmy semblait avoir davantage hérité des cellules maternelles. Le résultat final était donc tout à fait stimulant, et il ne savait pas quoi dire. Timmy observa encore Joana.

« Pourquoi nous habiller ainsi, Maîtresse ? Je ne comprends pas… Ce que vous cherchez à faire… »

Si Timmy obéissait, ce n’était pas pour autant qu’il ne se posait pas de questions !

Dylan, de son côté, continuait à savourer la délicieuse bouche de Cassie, qui pompait avec appétit sa queue. Il avait été humilié, alors il déchargeait sa fureur, attrapant la tête de Cassie, donnant tout ce qu’il avait. Il la baisait furieusement, bandant ses muscles, grognant et soupirant, aussi fort que possible ! Il voulait faire mal à cette salope, lui rappeler qu’elle était à lui, comme on le lui avait toujours dit !

Sauf que, avant de le connaître, Cassie avait goûté à l’endurance sexuelle de Bobbie ! Dylan allait vite constater que, malgré tous ses efforts, Cassie était insatiable, et pouvait tout à fait endurer ses élans. Par ce biais, elle remettrait en cause sa masculinité, cette virilité qu’il affichait fièrement… Et elle accomplirait ainsi les désirs de ses Maîtresses !

Joana sentait qu’elle progressait bien avec Timmy, qui était autrement plus docile que son frère. Pour autant, il semblait être encore perdu avec la démarche de la femme de Stepford, et se posait des questions.

« C’est excellent Timmy. Il ne faut pas confondre obéissance et abrutissement. Je suis ravie de voir que tu es capable de suivre mes ordres tout en continuant à t’interroger sur le sens de certaines choses. »

Après tout, Bobbie et elle ne voulaient pas reproduire le schéma de Stepford, qui réduisait les femmes en esclavage. Elles voulaient d’un monde plus juste pour les femmes, où chacun serait libre de s’exprimer et de penser par lui-même du moment que cela ne venait pas mettre en danger leur futur ordre établi.

« Si je vous fais ça, à toi et à ton frère, c’est parce que je veux vous faire comprendre que vous ne parviendrez jamais à rien avec la gente féminine si vous ne changez pas un peu d’attitude. Le problème, c’est que vous avez été élevés dans l’idée que tout vous est dû. Et à situations extrêmes, mesures extrêmes. Donc je me suis dit qu’un traitement de choc était nécessaire, d’où les tenues et les petits jeux.
Je sais que ça peut paraître étrange à première vue, mais crois-moi… tu me remercieras plus tard. Et ton frère aussi d’ailleurs. »

Joana jeta un bref coup d’œil vers Dylan. Ce dernier semblait encore vouloir affirmer sa domination, malgré le fait qu’il était habillé en pom-pom-girl, mais la femme de Stepford faisait pleinement confiance à Cassie pour casser cette fierté masculine. Elle restait concentrée sur Timmy, bien plus réactif à ses attentions.

« Allez mon beau, continue à sucer le sextoy.
Si tu arrives à tenir la succion jusqu’à ce que je te fasse jouir avec ma main, je te ferai un beau cadeau ; tu pourras choisir ta prochaine gâterie, et même qui te la fera. Ça peut être Cassie… ou moi. »

Le principe de récompense était simple, mais semblait bien adapté à la situation.

Avec les Staffield, il fallait manier le chaud et le froid. Ils avaient été éduqués dans un système bien particulier, un système qui avait davantage marqué Dylan que Timmy. Le premier continuait à s’énerver sur Cassie, mais celle-ci continuait à lui tenir tête. Il remuait énergiquement en elle, des gouttes de sueur commençant à tomber de ses cheveux. Il voulait qu’elle le supplie, qu’elle s’incline devant lui, qu’elle reconnaisse sa supériorité… Mais il n’y arrivait pas ! Elle tenait bon, et continuait à suivre les mouvements de Dylan, tandis que Joana, de son côté, expliquait à Timmy ses intentions.

Le jeune homme l’écoutait silencieusement, ne trouvant rien à redire à cela. En même temps, réfléchir lui était difficile. Joana cherchait à infléchir la vision des femmes qui existait sur Stepford, celle de femmes soumises aux hommes. Il acquiesça silencieusement, déglutissant encore. Elle l’invita à continuer à sucer le sextoy. Timmy trouvait vraiment cela bizarre, surtout dans cet accoutrement, mais que ne ferait-on pas pour de si belles femmes ? En tout cas, il ne se voyait pas refuser ses avances, elle était si belle, si forte !

« Mmhmm… »

La bouche pleine, incapable de parler, le jeune homme agissait donc, sous le regard envieux et passionnel de Joana. Sa queue était toujours aussi tendue, et il s’approchait doucement d’un très bel orgasme, tandis que Dylan, de son côté, peinait encore à tenir l’allure. Timmy n’avait à vrai dire qu’une hâte, qu’il illustrait en louchant sur la belle poitrine de Joana…

…Jouir en elle !

Avec sa proposition, Joana espérait déclencher quelque chose chez Timmy, mais il se contenta de continuer à sucer le sextoy qu’il avait dans la bouche en louchant sur sa poitrine. Ce n’était pas la réaction qu’elle espérait, mais au moins il continuait à sucer, ce qui était le premier but recherché.

« Tu aimes mater mes seins Timmy ? Alors il ne te reste qu’à tenir jusqu’au bout… et ils seront tout à toi. »

La femme de Stepford continua à branler tranquillement le jeune garçon, se régalant de ses expressions faciales et de ses couinements de plaisir étouffés parce qu’il avait la bouche pleine. Puis, quand elle sentit que l’excitation commençait à bien monter, elle accéléra le rythme, jusque ce qu’elle sente son soumis atteindre le point d’orgue.

« Vas-y Timmy… aspire ce gros jouet… mets-le profondément dans ta bouche. »

Quand Timmy atteignit l’orgasme, Joana garda son sexe entre sa main et le laissa éjaculer sur ses doigts. Le jeune homme eut un orgasme puissant, crachant une belle quantité de foutre sur la main de sa maîtresse, puis cette dernière le relâcha, l’autorisant à sortir le sextoy de sa bouche.

« C’est bien Timmy. Tu es un bon garçon. Et les bons garçons ont droit à des récompenses. »

Joana s’installa sur les genoux de Timmy, le dominant de sa prestance. Elle l’autorisait peut-être à se lâcher, mais il ne devait pas oublier qui était la maîtresse.

« Alors, dis-moi… qu’est-ce qui te ferait plaisir ? J’ai vu que tu matais beaucoup mes seins. Tu peux les peloter si tu veux. Ou je peux venir coincer ta queue entre eux.
Sinon, tu peux juste venir me sauter dès maintenant. Tu as été assez obéissant pour le mériter.
Mais si tu as une autre idée, quelque chose qui te ferait envie, je te laisse choisir. Tu n’as qu’à demander. »

Peu importe ce que le jeune garçon choisirait, la femme de Stepford savait que ce ne serait qu’un pas de plus vers sa soumission.

De son côté, Cassie s’amusait à casser la fierté masculine de Dylan. Son amant avait beau se donner à fond et tout faire pour que l’adolescente se soumette à lui, ce n’était rien pour elle. Elle avait encaissé les assauts furieux de Bobbie pendant des heures, Dylan ne pourrait jamais faire mieux, même en la baisant toute sa vie. Il n’était tout simplement pas de taille. Mais elle l’encourageait quand même à essayer, à s’épuiser dans leur baise, jusqu’à ce qu’il accepte enfin la terrible réalité : il n’était plus un dominant.

Vas-y Dylan… épuise toi sur moi. Et ensuite, notre maîtresse pourra faire de toi ce qu’elle veut. Bientôt, tu la supplieras de pouvoir t’habiller en pom-pom girl.

Heureusement, dans toute cette souffrance, Dylan gagnait quand même quelque chose : sa première fellation, effectuée délicieusement par Cassie.

Timmy ignorait où Joana voulait en venir en le faisant ainsi jouer, en lui faisant faire ce genre de choses. Il ne comprenait pas encore, mais cela viendrait. Les hommes de Stepford n’étaient pas tous simples à conditionner, et les Eberhart, jusqu’à présent, s’étaient surtout attaquées aux maillons faibles. Là, avec les Staffield, elles commençaient à s’attaquer à des familles beaucoup plus intégrées dans la logique stepfordienne, à des garçons qui considéraient que les femmes devaient leur obéir. Timmy fonctionnait un peu comme son frère, mais en étant beaucoup plus effacé, donc il contestait beaucoup moins que lui les choix de Joana. Il suçait donc ce gode sans trop comprendre, se disant que Maîtresse voulait peut-être juste qu’il ressente ce que les femmes éprouvaient ? Mais, en l’état, il sentait surtout sa verge qui l’élançait douloureusement, et finit par jouir, en optant pour une gorge profonde.

« Hmmm… ! »

Il n’allait pas nier le pied que c’était, et contempla ensuite sa Maîtresse, qui lui demanda de s’occuper d’elle. Timmy rougit furieusement, sans savoir quoi faire, et contempla les doigts salis de sa Maîtresse. Il avait très envie d’aller suçoter ses seins, mais elle avait aussi les doigts sales, et c’était un peu de sa faute… Il regarda brièvement Dylan, furtivement, mais son frère ne s’occupait plus de lui. Il était toujours occupé à bourrer le visage de Cassie, même si, à ce stade, c’était plutôt elle qui s’attaquait à sa verge, et lui qui suivait.

Dylan finit par se reculer, et heurta le mur.

« S-Stop, bordel… Tu m’as tué, Cassie… »

L’intéressée sourit en voyant l’homme glisser sur le sol. Il était en sueur, et Cassie se rapprocha de lui.

« J’ai encore plein d’énergie à revendre… Tu te crois si fort, Dylan, mais, au fond, tu n’es qu’un garçon… Mes Maîtresses m’ont baisé pendant des heures, elles me forment depuis des semaines, et je n’arrive toujours pas à tenir. »

Dylan grommela en baissant la tête, et Cassie se pencha vers lui, un sourire enjoué sur les lèvres.

« Mais ce n’est pas ta faute, tu as grandi en croyant que les hommes étaient appelés à dominer les femmes… Mais ce sont les hommes qui sortent du ventre des femmes. Tu voulais me dominer, Dylan, mais, si tu veux y arriver, il faudra écouter ce que Maîtresse Joana dit… »

Elle le laissa avec sa fierté. C’était la première chose à briser chez un homme. Ensuite, tout allait tout seul. Cassie retourna voir le duo, et s’assit à côté de Maîtresse Joana, venant quémander un baiser.

« Hmmm… Maîtresse, Timmy vous a sali les doigts, c’est un vilain garçon… Je nettoie toujours ma Maîtresse, Timmy. Alors, sois un gentil garçon, et montre combien tu l’apprécies ! »

Le jeune homme sursauta, surpris de voir que son frère semblait réellement fatigué… Il observa encore Joana, puis son sperme, et semblait attendre les consignes de Joana. En son for intérieur, il incorporait déjà l’idée de faire ce qu’elle lui disait.

C’était la première étape de son dressage…

Dylan faisait de son mieux pour lutter, pour prendre l’ascendant sur Cassie, mais il n’était tout simplement pas de taille. Au bout d’un moment, il enleva son sexe de sa bouche et recula, épuisé et en sueur. Joana était ravie de voir la façon dont sa jeune élève le travaillait au corps, brisant peu à peu sa fierté masculine. Finalement, elle le laissa ruminer dans son coin et vint rejoindre sa maîtresse, qui venait juste de faire jouir Timmy. Comme promis, Joana était prête à donner au jeune garçon ce qu’il désirait, mais Cassie lui demanda alors de nettoyer les doigts de leur maîtresse. C’était toujours ce qu’elle faisait si elle les salissait.

« Allons Cassie, ne presse pas trop Timmy. Il a déjà accepté de sucer le gode, il n’y a pas de raison de… »

Mais à sa grande surprise, quand Joana regarda vers Timmy, elle se rendit compte qu’il était prêt à le faire. Il attendait juste l’ordre.

« Ooohhh… »

Ça devient intéressant. Timmy progresse plus vite que ce que j’avais prévu.

La femme de Stepford vint mettre ses doigts collants devant les yeux de son soumis.

« Timmy… je veux que tu nettoies mes doigts, comme un bon garçon le ferait. »

Joana le regarda hésiter un peu, se demandant si elle aurait besoin de ses nanites pour le convaincre, mais finalement, il approcha et nettoya ses doigts. A plusieurs reprises, il eut une expression de nauséeux sur le visage, mais en tout cas, il ramassa tout son sperme sur les doigts de sa maîtresse et l’avala.

Après avoir vu ça, Joana était toute joyeuse. Elle tenait définitivement quelque chose avec Timmy. Il allait être bien plus facile à soumette que son âne bâté de frère, qui commençait à reprendre son souffle.

« Cassie, va me mater ce petit insolent. Je veux qu’il comprenne que je pourrais faire bien pire que lui faire porter une mini-jupe. »

Et pendant que sa soumise s’occupait de Dylan, la femme de Stepford se reconcentra sur Timmy.

« Hhhmmm... Timmy... tu as vraiment été un très bon garçon. Tu mérites un beau cadeau. »

Joana se mit à genoux devant le jeune garçon et lui remonta un peu sa robe pour pouvoir accéder facilement à son bassin. Après lui avoir baissé sa culotte, elle embrassa son sexe turgescent, caressant ses testicules à une main.

« Réjouis-toi Timmy, tu vas avoir droit à ta première fellation. Et c’est moi qui vais te la donner. Mais pendant que je te sucerai, tu n’as pas intérêt à te comporter comme ton frère avec Cassie. Sinon, fini les cadeaux pour les gentils garçons, je te traiterai comme un méchant. »

Le voilà prévenu.

Dylan et Timmy étaient tous les deux en train de basculer, à leur manière. Timmy était le plus simple des deux, et, tandis que Dylan reprenait son souffle, le jeune homme alla lécher les doigts de sa Maîtresse. Le sperme n’était pas quelque chose de très bon, c’était un liquide poisseux, gluant… Il déglutit doucement, mais s’activa malgré tout, sentant bien malgré lui son érection revenir doucement. S’amusant lentement, Joana récupéra ensuite ses doigts, et annonça qu’elle allait le sucer, à condition qu’il ne soit pas désobéissant comme son frère. Timmy, qui avait toujours été plus sage que Dylan, rougit furieusement, et hocha la tête, sa verge retrouvant rapidement son excitation.

« O-Oui, Maîtresse… »

Joignant le geste à la parole, il s’assit sur le banc, et frémit quand la bouche de Joana s’attaqua à sa verge. Le jeune homme ferma les yeux en relevant la tête, puis l’abaissa encore, voulant voir sa Maîtresse. Il sentit son souffle sur sa queue, et serra nerveusement les poings. De son côté, Cassie avait amené Dylan à observer la situation.

« Je ne comprends pas, Cassie… Qu’est-ce que tu fais avec elle, à la traiter comme ta Maîtresse ?
-  C’est parce qu’elle l’est, tout simplement ! Elle m’a montré combien les hommes de Stepford étaient faibles par rapport à Maîtresse Bobbie !
-  C’est…
-  Toi aussi, tu es faible, Dylan… Si tu veux vraiment prendre ton pied, et satisfaire une Stepfordienne, tu vas devoir suivre les enseignements de notre Maîtresse.
-  C’est absurde ! »

Cassie sourit encore, et se redressa un peu.

« Regarde comment Timmy est heureux… Il aime ça, tu ne trouves pas ? Et je sais que toi aussi, derrière ton côté faussement rebelle… »

Dylan ne trouvait rien à rajouter à ça, et détourna la tête, mais Cassie posa sa main sur son menton, et le força à regarder encore ce spectacle.

« Regarde… Timmy va laisser notre Maîtresse agir, et il va prendre son pied bien davantage que toi, qui as gaspillé toute ton énergie en voulant vainement me dominer… »

A l’origine, Joana voulait que ce soit Timmy qui choisisse ce qu’il aurait pour sa première gâterie sexuelle. Mais en voyant qu’elle obtenait de bons résultats avec lui, elle avait finalement décidé de continuer à s’imposer en tant que sa maîtresse.

Timmy avait été obéissant au-delà des attentes de Joana pour cette première séance, alors elle décida de lui donner une récompense à la hauteur : sa première fellation. Usant de son talent acquis en s’exerçant sur le chibre imposant de Bobbie, Joana pompait son soumis en s’assurant que le plaisir ne monterait pas trop vite en lui. Elle voulait s’assurer que son plaisir monterait aussi haut que sa frustration, pour que ce premier orgasme ait vraiment un effet puissant sur lui. Dans son dos, elle pouvait entendre Cassie jouer avec Dylan, qu’elle obligeait à regarder le spectacle de son frère prenant son pied tout en lui rappelant que c’était son orgueil de mâle qui l’avait mis dans cette situation.

Excellent. Timmy aura bientôt sombré, et même si Dylan fait de la résistance, au moins il ne nous dénoncera pas.

Joana préféra concentrer son énergie et son talent pour la fellation de Timmy, qui se montrait extrêmement réactif. Elle aurait pu le faire jouir en quelques secondes si elle avait tout donné, mais elle voulait prendre son temps, savourer chaque seconde de ce petit jeu, voir le visage de son soumis s’étirer sous l’effet du plaisir tandis qu’il découvrait le plaisir charnel que pouvait offrir les femmes quand on leur obéissait. Quant à son imbécile de frère... Cassie saurait le faire plier.

« Hhhmmm... c’est bon, hein Timmy ? Eh bien... si tu acceptes de te travestir pour moi... tu en auras encore. »

Et juste au cas où il serait tenté d’y réfléchir, la femme de Stepford l’acheva en aspirant son mandrin un bon coup afin de le faire jouir dans sa bouche. Encore une fois, son éjaculation était ridicule comparée à celle de Bobbie, mais ce n’était pas sa faute, c’était juste un ado ordinaire. Après avoir récolté son sperme dans sa bouche, elle se redressa et, sans le prévenir, vint l’embrasser pour qu’il puisse partager ce délicieux liquide avec elle. Elle en avala la plupart, mais lui en laissa quand même assez pour qu’il sente bien le goût et la texture sur sa langue. Après ça, elle se sépara de sa bouche et le regarda. Il avait visiblement l’air confus, mais ne protestait pas pour autant.

On dirait que ça avance bien.

Joana lui avait fait ce baiser surprise pour renforcer l’idée dans sa tête qu’il était devenu son soumis, et qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de lui. Sa seule option était d’obéir, mais ce n’était pas sans contrepartie. Il avait déjà eu droit à une fellation et, s’il satisfaisait sa maîtresse, il pourrait avoir plus.

Timmy n’avait pas une endurance lui permettant de tenir contre sa Maîtresse, c’était tout simplement impossible ! Il se mit à jouir au bout de quelques minutes, et s’assit au milieu du banc, la respiration lourde et pesante. Sa Maîtresse pencha alors vers lui, et les deux amants s’embrassèrent avec appétit. Timmy soupira doucement en sentant le goût écœurant remuer dans sa bouche. Le goût de ce liquide n’avait rien d’agréable, mais celui des lèvres de sa Maîtresse compensait cela. Les joues rouges, il la regarda encore, magnifique, si belle, si forte, honteux de ne pas pouvoir la satisfaire pleinement.

Cassie revint alors en tenant Dylan par la main. Le jeune homme était tout aussi confus que son frère, et croisa alors le regard de Joana. Le temps se suspendit pendant quelques secondes, puis Dylan, comme s’il était revenu à raison, s’agenouilla devant Joana. Il se pencha vers le sol, et déposa un baiser sur son pied. Un geste de soumission aussi inattendu que bienvenu, qui conduisit ensuite Dylan à relever la tête, croisant le regard de Joana par la suite.

« Je… Je tenais à vous présenter mes excuses, Maîtresse, je… Je souhaite que vous me formiez… »

Son esclave avait très bien travaillé ! Cassie avait réussi à le faire douter, à le faire réfléchir jusqu’à ce qu’il avoue être dans l’erreur. Dylan en était bien sûr gêné, mais il savait aussi que c’était dans son intérêt. Timmy s’était légèrement redressé, et observa encore sa Maîtresse.

« En revanche, Maîtresse, je ne comprends pas pourquoi vous souhaitez nous habiller ainsi… Ce ne sont pas des tenues très confortables pour des hommes ! »

Dans le prolongement de cette question, Dylan surenchérit :

« Qu’attendez-vous de nous exactement, Maîtresse ? »

Joana avait réussi à faire jouir Timmy, et alors qu’elle commençait déjà à réfléchir à son prochain coup, Cassie revint vers elle en tenant Dylan par la main. Le jeune homme semblait tout aussi confus que son frère, et quand la femme de Stepford croisa son regard, il se mit aussitôt à genoux devant elle et déposa un baiser sur son pied.

« Oh... tu es enfin devenu raisonnable, Dylan ? »

Le jeune garçon releva la tête et lui présenta ses excuses, désireux d’être formé par sa maîtresse. Pour autant, il ne comprenait pas pourquoi elle voulait que son frère et lui s’habillent ainsi. Il voulait comprendre ce que leur maîtresse attendait d’eux.

« Si je vous ai habillé comme ça, c’est pour que vous compreniez que dans la vie, on a rien sans rien. C’est un bon moyen pour vous de devenir humbles. Et aussi... ça me fait plaisir de vous voir habillés ainsi. »

Ils ne comprenaient pas pour l’instant, mais Joana savait que ça viendrait tôt ou tard.

« Quand à ce que j’attends de vous... écoutez bien parce que je ne le répéterai pas.
Vous, ainsi que tous les adolescents de Stepford, avez été élevés et conditionnés pour suivre un certain schéma. Les hommes travaillent, ramènent l’argent et contrôlent le ménage, tandis que les femmes restent à la maison et s’occupent seules des tâches ménagères et des enfants. Dans ce schéma, les hommes ont de nombreuses libertés et peuvent faire à peu près ce qu’ils veulent, alors que les femmes sont prisonnières, enchaînées à leur mariage via le conditionnement. Ce n’est pas juste. Et ma femme et moi, nous allons changer ça.
Ce que j’attends de vous, ainsi que de tous les garçons de Stepford, c’est que vous changiez vos mentalités. Les femmes ne sont pas là pour vous servir. Le mariage est basé sur une égalité entre les partenaires. Les femmes doivent pouvoir travailler si elles le souhaitent, et les hommes doivent participer à l’entretien du foyer. Mais surtout, si vous voulez que des femmes couchent avec vous, il faut leur montrer respect et considération. Elles ne se mettront pas à quatre pattes juste parce que vous le leur demandez. Et ces tenues sont aussi là pour vous le rappeler. Donnez aux femmes et elles vous donneront en retour. »

Du moins, dans un premier temps. Mais à terme, les futas viendraient remplacer les hommes, et ces derniers deviendraient des femmes ou des traps. Joana comptait bien mettre fin à l’ère du patriarcat, mais inutile de faire peur à ces deux jeunes garçons.

« Et puisque tu sembles décidé à corriger ton comportement, je suis prête à te faire une fleur. Je vais demander à Cassie de te donner ta première vraie fellation. Mais d’abord, tu vas devoir faire quelque chose pour moi. »

Joana se mit à sourire.

« Je veux que tu me fasses une petite danse de pom-pom girl. Plus elle sera excitante, plus Cassie fera en sorte que tu prennes ton pied, alors applique-toi surtout. Et n’oublie pas de bien secouer tes pompons. »

Il était temps de voir si Dylan était vraiment décidée à obéir à Joana, ou s’il cherchait juste à l’amadouer le temps de s’échapper.

Dylan et Timmy écoutèrent silencieusement Maîtresse Joana leur expliquer sa vision des choses à Stepford. Une vision très surprenante, car ils avaient toujours appris que c’était à l’homme de diriger les choses. À l’école, on leur parlait de la décadence de la société occidentale, car les femmes pensaient désormais avoir le même rôle que les hommes. Or, c’était la femme qui accouchait, c’était elle qui avait avec ses enfants un lien unique au monde. C’était à elle de diriger le foyer tandis que le mari s’occupait des affaires extérieures du foyer, et ramenait l’argent. Ce saint équilibre avait préservé l’Occident pendant des siècles, et, depuis que l’équilibre avait été déréglé, on en voyait le résultat. La civilisation occidentale s’effondrait sur elle-même, reniait toutes ses valeurs, et oubliait tout ce en quoi elle croyait. Les deux jeunes hommes avaient été éduqués ainsi, dans cette philosophie qui faisait de Stepford une communauté si paisible, si heureuse. De fait, il faudrait sûrement bien davantage que le petit discours de Joana pour les faire changer d’avis, mais le fait est qu’ils étaient ouverts à la discussion.

Cassie se racla la gorge en faisant une précision utile :

« Par contre, les garçons, il ne faudra pas parler de tout ça à vos parents ! Ils ne sont pas encore prêts à accepter la vérité. Maîtresse a estimé que vous étiez fiables, c’est un grand honneur qu’elle vous fait, mais cela doit rester secret. »

Dylan grogna doucement.

« Ça, il n’y a aucun risque que je le dise ! »

Il est vrai que sa fierté accepterait mal qu’on se moque de lui. Cassie choisit de ne pas pousser son avantage, et Joana réclama à Dylan une danse de pom-pom girl. L’intéressé écarquilla les yeux, et serra les poings sur ses genoux. Cassie avait réussi à le convaincre de se calmer en jouant sur sa fatigue sexuelle, mais il fronça les sourcils.

« Non mais c’est quoi ces conneries ? C’est une caméra cachée ou quoi ? Vous voulez faire tourner ça sur les réseaux sociaux pour vous foutre de moi ensuite ? Je suis pas un putain de clown ! »

Dylan se releva brusquement, furieux, et repoussa Cassie. Il regarda alors son frère, qui ne savait pas où se mettre, et jeta la robe de Joana au sol.

« Elles se foutent de notre gueule, Tim’ ! Je me tire ! Va te faire foutre, Cassie, je trouverai bien une autre salope pour me sucer ! »

Il sortit ensuite précipitamment, et claqua la porte derrière lui, laissant sa fureur et sa fierté brisée dicter sa conduite. Pour Timmy, il n’y avait aucun risque que Dylan en parle, car il ne voudrait surtout pas qu’on puisse apprendre qu’il s’était dissimulé en trap’. Timmy, lui, ne savait pas où se mettre, mais, en définitive, son lien avec Dylan restait plus fort que son attirance vers Joana, surtout qu’il avait déjà joui, et qu’il était donc plus serein.

« Je… Excusez-le, Maîtresse Joana, je vais le suivre pour m’assurer qu’il ne fasse aucune bêtise ! »

Timmy se déshabilla également précipitamment.

« C’était cool en tout cas… Mais je vous avoue que j’ai un peu du mal à comprendre votre délire avec les vêtements ! Enfin, ne vous en faites pas pour Dylan, il va se calmer… »

Ne sachant plus quoi dire ni quoi faire, Timmy se massa l’arrière du crâne, puis sortit à son tour.

Joana pensait qu’après tout ce qu’il avait enduré, Dylan céderait facilement pour peu qu’on lui donne ce qu’il demande. Mais apparemment, sa fierté avait encore de l’importance pour lui. Quand Joana lui demanda de lui faire une petite danse dans son bel uniforme, il s’énerva et jeta les vêtements au sol avant de partir, furieux. Son frère Timmy le suivit juste après, en promettant qu’il s’assurerait que Dylan ne fasse pas de bêtise. La femme de Stepford se retrouva seule avec Cassie, un peu étonnée de cette soudaine tournure des événements.

« Hhhmmm... aurais-je sous-estimé l’influence de leur éducation sur leur mental ? Ou alors j’ai été trop gourmande et je me suis laissée emporter par mon plaisir ? Je me demande... »

En tout cas, il était clair qu’elle avait fait une erreur. Mais elle décida de ne pas les poursuivre. Bien qu’encore indécis, Timmy était sous son influence, il ne dirait rien. Quant à Dylan, en plus de son frère qui ferait en sorte qu’il ne dise rien, jamais son honneur de mâle ne lui fera avouer à qui que ce soit qu’il a fini habillé en pom-pom-girl. A priori, elle ne risquait rien. Elle était juste blessée dans son ego. Heureusement, Cassie était là pour la réconforter.

« Merci Cassie. Toi au moins, tu es une bonne fille. Et pour te remercier de ta participation, je vais te faire un beau cadeau. »

Joana alla remettre le strapon qu’elle avait utilisé un peu plus tôt sur la jeune fille et retira le reste de ses vêtements. Elle désigna ensuite l’uniforme de pom-pom-girl au sol.

« Dylan n’a pas voulu me faire une petite danse... mais je suis sûre que toi, tu vas te faire un plaisir de me montrer ce que tu sais faire. »

Ce serait toujours une consolation.

Après ce semi-échec, Joana rentra chez elle pour retrouver sa petite famille. Comme chaque jour, elle aida les filles à faire leurs devoirs tout en s’occupant de la lessive, du ménage et de la préparation du repas. Quand Bobbie rentra la maison, la famille passa à table. Pensant qu’elle aurait quelque chose à fêter, Joana avait prévu un repas bien copieux. Après le dîner, elle alla coucher les filles puis rejoignit sa femme adorée pour lui raconter ce qui s’était passé.

« Tu as une idée du moment où j’ai pu me tromper ? »

« Je pense que tu n’as commis aucune erreur, ma chérie… Les hommes de Stepford ne seront pas tous aussi faciles à dominer que les Downstar. Carl était après tout une sorte d’erreur aux yeux des Stepfordiens, et c’est ce que nous avons pu utiliser pour séduire Dale. Parfois, le mieux à faire est de laisser le temps agir. Dylan reviendra naturellement vers nous. »

Le plus redoutable était surtout qu’il en parle à ses parents, mais Bobbie n’y croyait pas. Il serait trop honteux de dire aux autres qu’il s’était travesti en femme, et Joana conservait sa mainmise sur Timmy. Mais, pour l’heure, il fallait mieux temporiser. Si elles insistaient, la fierté de Dylan risquait de se réveiller. Bobbie retourna en conséquence voir Joana, et, voyant sa nervosité, l’embrassa tendrement sur les lèvres. Sa verge s’était déjà redressée.

« Je n’aurai pas pu mieux faire, Joana… Nous avons Timmy, un autre homme, et c’est l’essentiel. Maintenant, on va laisser Dylan mariner un peu. »

Bobbie pénétra sa femme en la couchant au milieu du lit. Le sexe était après tout quelque chose de très naturel chez elle, et un frisson la traversa de part en part. Pendant que Joana avait entamé la séduction des Stoffield, Bobbie avait réfléchi à la suite avec Kelly. Leur cible restait l’institut, le Stepford Lake Lodge, cette fameuse clinique créée par la Fondation Viritas qui dominait la ville. Bobbie grogna ensuite, se concentrant sur le fait de coucher avec sa femme. Sa grosse verge s’enfonçait en elle, et elle l’embrassa encore, fourrant sa langue dans sa bouche, jouant malicieusement avec elle.

Les deux femmes continuaient à coucher ensemble, jusqu’à ce que Bobbie ne se relâche en Joana. Elle grogna sur place, et s’abandonna en elle, répandant sa semence dans son corps. Le corps légèrement en sueur, elle s’allongea à côté de sa femme, reprenant ses esprits. Bobbie était presque totalement nue, portant des jarretelles et des gants en dentelle. Elle sortit alors une cigarette, et se détendit en fumant, puis invita alors Joana à la suivre.

« Je vais t’exposer ce que j’ai appris aujourd’hui, ma chérie… »

Il faisait nuit dehors, mais ce n’était pas bien grave. Elles sortirent de la chambre par une porte qui menait directement à une pièce en face, abritant leur bureau. On pouvait encore sentir le parfum de Kelly. Sur un grand tableau blanc, Bobbie avait punaisé des affiches, des photographies, traçant des liens entre eux. C’était leur plan d’attaque.

Au centre du tableau, elle avait punaisé une image d’un bâtiment :
C’était leur ultime cible. L’Institut… Le Stepford Lake Lodge.

« C’est la clinique à côté de Stepford, qui domine le lac. Cette clinique est au cœur de la ville. Kelly a retrouvé des données en consultant les archives municipales de la ville. Stepford a été créée pour cette clinique. Le Stepford Lake Lodge… C’est dans ce bâtiment que les scientifiques de la Fondation Viritas développent les sérums et les mutagènes qui transforment les femmes en bimbos dociles. »

Kelly leur avait déjà parlé de ce bâtiment. Il était leur ultime cible, mais il était difficile de s’y attaquer. La Futanari avait toutefois obtenu des noms.

« La clinique est dirigée par un couple, le couple Ronson… Patrick Ronson et Khymeira Ronson. Le Docteur Ronson est un administratif. C’est un membre de la Fondation Viritas, et Khymeira, elle, est le véritable cerveau à l’origine du mutagène qui a été utilisé sur nous. C’est une femme surdouée, qui ne quitte jamais l’institut… »

Bobbie avait également découvert le sujet d’expérimentation de Khymeira, Poppy Ronson.

« Poppy est née à Stepford, elle a été adoptée par les Ronson, et son corps sert à perfectionner le mutagène pour qu’il se développe chez ceux qui sont nés avec ce mutagène… Autrement dit, la seconde génération de Stepford, des gens comme Dale, ou les Stoffield. »

Le bureau comprenait de multiples classeurs regroupant toutes les informations disponibles. Grâce à Zoey, Bobbie avait un accès illimité à la totalité des archives municipales. Elle laissa Joana consulter des dossiers en se penchant contre le bureau, et se lova dans son dos. Sa verge l’élançait à nouveau, et se frotta contre le fondement de sa partenaire.

Elle s’enfonça ensuite en elle, et grogna ensuite, tout en lui montrant une nouvelle image.

C’était une femme que Joana avait rencontré au club des femmes de Stepford, Maria Valentios.

« Ce sera elle, notre porte d’entrée… Maria travaille près des Ronson et de la mairie pour vérifier l’ensemble des titres de propriété, et tous les aspects légaux de cette ville… Hmmm… Elle nous sera indispensable dans notre plan, haaa… Et… Hmmm… Elle pourra nous dire si Dylan a des ennuis après ce qui s’est passé ce soir. Je crains qu’il ne devienne assez nerveux dans les prochaines semaines, il va lutter contre son désir de soumission profond, et je compte sur toi pour continuer à coucher avec Timmy, afin de jouer aussi sur sa jalousie… »

Les propos de Bobbie étaient entrecoupés de soupirs tandis qu’elle sodomisait lentement sa douce moitié, lui expliquant tendrement la suite de leur plan…

Joana fut rassurée quand Bobbie lui répondit qu’elle ne pensait pas qu’elle avait commis d’erreur, et même qu’elle n’aurait pas fait mieux elle-même. Seulement, dominer un homme de Stepford ne pouvait pas toujours être aussi simple qu’avec Carl et Dale. Le mieux à faire, selon elle, était de temporiser et d’attendre que Dylan revienne vers elles de lui-même. Elle avait réussi à gagner Timmy, c’était déjà un progrès.

« Hhhmmm... merci ma chérie. »

Après avoir fait l’amour, Joana suivit Bobbie dans leur bureau.

« Tu sais que je n’aime pas te voir fumer. Et si tu tombais malade à cause de ça ? »

Mais si sa femme voulait fumer, elle ne l’en empêcherait pas. C’était elle la dominante du couple après tout.

Dans le bureau, sur un grand tableau blanc, Bobbie avait représenté les liens entre différentes personnes et institutions de Stepford qui allaient être les cibles de leur plan d’attaque. Et au centre, bien évidemment, Le Stepford Lake Lodge, la clinique de laquelle sortait les femmes de Stepford. Mais d’après sa femme, cet endroit était bien plus que le point central de la ville, il avait été son point de départ. Aujourd’hui, c’était un couple, Patrick et Khymeira Ronson, qui le dirigeaient. Le mari était un administratif tandis que la femme était le cerveau à l’origine du mutagène utilisé sur elles. Elle avait même un cobaye attitré, Poppy Ronson, qu’elle utilisait pour perfectionner son produit.

« Pauvre femme... être utilisée de la sorte... »

Pendant que Joana consultait les dossiers collectés par Bobbie, cette dernière vint se lover dans son dos et continua son exposé en la sodomisant.

« Aaahhh ! »

Pour entrer dans l’institut, Bobbie avait décidé de cibler Maria Valentios, une des femmes que Joana avait rencontré au club féminin. Elle travaillait à la fois près des Ronson et de la mairie, sur des tâches d’ordre juridique. Elle allait être indispensable à la mise en place de leur plan.

« Je ne sais pas si... hhhmmm... tu as déjà prévu un angle d’approche... mais sinon, j’en ai un... à te proposer.
Au club féminin, Maria est la reine... des pâtisseries. Elle connaît un tas de recettes... ooohhh... et en plus... elle sait comment sculpter ses gâteaux... pour leur donner une belle forme érotique. Elle nous donne des conseils pour rendre nos gâteaux... aussi plaisants pour les yeux... aaahhh... que pour la bouche.
Je pourrais lui demander... un cours particulier. Et une fois qu’elle est chez nous... hhhmmm... on la prend à deux. »

Cela donnerait un bon alibi au couple pour recevoir Maria chez elles et pour la faire rester un moment, le temps qu’elles puissent réduire l’influence du conditionnement stepfordien sur son esprit.

« Tu aurais vu ses éclairs au chocolat... ooouuuhhh... bien gonflés et pleins de crème sucrée. Hhhmmm... j’en salive rien que d’y repenser. »

De son côté, Joana devait continuer à mettre la pression sur Timmy en couchant avec lui, aussi bien pour maintenir son obéissance que pour jouer sur la jalousie de Dylan.

« Pour ça... aaahhh... tu peux compter sur moi. »

L’addictologie de Bobbie au tabac était sans doute l’un des rares éléments de son ancienne personnalité qui lui étaient restés après sa transformation. C’était aussi la preuve des limites des expériences qu’elles recevaient ici, qui ne permettaient pas de se débarrasser de certaines pathologies. Bobbie compensait par le sexe intensif, et, même si Joana la rabrouait à chaque fois, elle avait encore cette sale manie de sortir une cigarette. Mais, et quand bien même Joana était la soumise de leur couple, Bobbie s’efforçait de la satisfaire du mieux qu’elle pouvait, alors elle essayait de moins fumer. Cette cigarette lui avait presque échappé, et elle se purgea l’esprit en besognant à nouveau sa femme, tout en lui parlant de ses plans.

Exposer ses idées géniales en baisant sa femme était une spécialité pour Bobbie, qui amenait Joana, comme elle, à devoir se concentrer sur l’essentiel. Bobbie avait trouvé sa cible, et, si elle ne négligeait pas les autres proies du couple, c’était désormais au tour de Maria Valentinos d’être leur esclave. Fort heureusement, Joana avait eu le temps de réfléchir à une stratégie, et lui expliqua que le hobby de Maria était la pâtisserie. Elle cuisinait de superbes gâteaux, allant jusqu’à leur donner une forme érotique. Le plan de Joana était d’inviter Maria chez elles pour qu’elle l’aide à concevoir un gâteau, et elles en profiteraient pour la former, et la libérer de son conditionnement.

« Hmmm… Si… Haaa… Si elle fait des dessins érotiques sur ses gâteaux… C’est que son mari ne doit pas la sustenter comme il faut, hmm… ! »

C’était un grand classique des habitants de Stepford, que les deux femmes avaient déjà pu observer chez bien d’autres couples. Maria Valentios ne faisait pas exception, et Bobbie était déjà impatiente à l’idée de la baiser. Petit à petit, leur plan se mettait en place, et la belle avocate ferait une cible de choix. Bobbie gifla encore le cul de sa femme, reprenant ses coups de reins avec force et passion. Toujours plus de rythme, plus de mouvements, plus de force.

« Haaaaann… J’ai beau baiser avec plein de femmes et de petits traps, ma chérie, je n’arrive vraiment pas à me lasser de toi ! Tu es si bonne, ma salope ! »

Dans la bouche de Bobbie, c’était évidemment affectueux. Elle la prenait sur le bureau.

« Chaque fois que tu me verras fumer… Hmmm… Je veux que tu me sautes dessus. Te baiser, il n’y a pas meilleure remède contre ça ! »

Elle ponctua cette assertion d’une belle claque, une fessée qui résonna dans la pièce en heurtant le cul si parfait de son amante bien aimée.

« Oh oui, nous allons… Hmmm… Prendre bien soin d’elle, haaaa… Mais… Si tu t’empiffres autant de gâteaux avec elle, il va falloir que je te baise encore plus longuement, ma chérie ! Je dois m’assurer, hmm… Que tu gardes cette silhouette de rêve qui fait tant fantasmer nos jeunes lycéens ! »

L’inverse, ce serait du vrai gâchis !

Le plan de Joana sembla intéresser Bobbie, qui vit dans la pâtisserie érotique de Maria une autre preuve que les femmes de cette ville étaient insatisfaites. Avec toujours plus de rythme et de force, la futa baisait sa femme en fessant son joli cul. Elle avait beau baiser avec plein de gens, sa femme restait la meilleure pour elle.

« Aaahhh... pour moi aussi ma chérie. Aucune bite... n’est meilleure que la tienne. »

Elle suggérait même que son problème de tabagisme pourrait être résolu par du sexe intensif, ce qui fit sourire Joana. Néanmoins, elle se garda l’idée dans un coin de la tête.

Peut-être pas une pénétration à chaque fois, mais si je lui fais une fellation ou une cravate... ça pourrait la distraire.

Elle lui proposa aussi de la baiser plus longuement pour qu’elle garde la ligne, au cas où son plan pour piéger Maria se transformerait en buffet de sucreries.

« Ooohhh... quelle délicate attention, mon amour. »

Mais Joana prenait déjà soin de sa ligne. Tous les lundi après-midi, le club féminin organisait une session de fitness pour que ses membres gardent la ligne et continuent d’être attirantes pour leur conjoint, ainsi que pour garder la forme et tenir le rythme des journées de femme au foyer, avec des exercices améliorant l’endurance et sculptant les courbes, notamment au niveau des cuisses et des fessiers. Les sessions se faisaient déjà en petite tenue ultramoulante, mais Joana envisageait de promouvoir l’idée de faire du sport en étant nue. Cela leur éviterait de devoir laver leurs tenues à chaque fois, et elles joindraient ainsi l’utile à l’agréable.

« Ooouuuhhh... d’ailleurs... fais-moi penser à racheter... des crackers sans sel. »

Le sexe était une partie normale du quotidien des Eberhart, et elles pouvaient faire l’amour tout en s’occupant d’autres choses, comme préparer le dîner, discuter de leurs filles ou faire la liste des courses.

Quand Bobbie finit par jouir dans le cul de Joana, cette dernière se tourna et se colla à sa femme, l’embrassant passionnément tout en frottant son corps contre le sien. Elle pouvait sentir ses tétons raidis et sa queue tout aussi raide contre ses propres tétons et sa chatte humide encore dégoulinante.

« Du coup, si mon plan pour Maria te convient... hhhmmm... je pourrais lui demander de m’apprendre à faire un gâteau... qui aurait la forme de ta bite. »

Elle vint caresser les bourses de la futa avec sa main tandis que son autre main était posée sur sa joue, son pouce glissé dans sa bouche.

« Aaahhh... je le remplirais à ras-bord... d’une crème pâtissière... épaisse et chaude... et on le dévorerait joyeusement... comme de grosses gourmandes. Et ensuite... ooohhh... on goûterait à l’original. »

Elles semblaient encore parties pour une nuit d’amour torride.

En matière sexuelle, Joana ne manquait jamais d’idées. Bobbie la sodomisait avec appétit, grognant contre elle. Elles avaient beau multiplier les amants et amantes, les deux femmes restaient inexorablement soudées ensemble, et Bobbie tenait à préserver ces moments d’intimité, ceux où elles n’étaient qu’elles, sans même Kelly pour les guider. Ici, elles décidaient de ce qu’elles voulaient, évoquant ensemble leurs expériences, formant un véritable couple, solide et fort. C’était amusant à dire, mais Stepford avait indéniablement permis de les rapprocher. Avant ça, Bobbie n’avait jamais eu une telle harmonie avec Joana, elle n’avait jamais pu lui dire à quel point elle l’aimait, à quel point elle avait envie de la baiser, de la prendre avec énergie. Elle lui confiait tous, tout ses secrets, tous ses fantasmes, car elle savait désormais que rien ne pourrait choquer Joana, et que sa femme ne la jugerait jamais. Elles s’étaient unies dans le vice, trouvant leur liberté dans les plaisirs inavouables, et cela était particulièrement gratifiant. À ce stade, Bobbie était bien incapable de dire si son projet de révolution stepfordienne allait marcher, mais elle était en tout cas sûre d’une chose : elle aurait au moins vécu une vie intense avec Joana. Et, si elle avait l’occasion de changer quoi que ce soit, elle ne changerait absolument rien.

Sodomisant avec vigueur sa femme, elle lui attrapa les poignets, et s’abandonna avec appétit en elle après plusieurs minutes. Quand elle termina de jouir en elle, crachant puissamment son sperme, Joana lui indiqua alors de lui rappeler d’acheter des « crackers sans sel ». Surprise, Bobbie se recula.

« Ma chérie, c’est tout ce que tu trouves à dire après que… »

Joana l’embrassa alors, énergiquement. Bobbie caressa sa nuque, et son autre main caressa ses hanches, puis glissa près de ses fesses. Sa femme suggéra alors, une fois que Maria serait conquise, de faire des gâteaux particuliers, avec la forme de sa verge. Elle flatta dans la foulée les testicules de Bobbie. Joana avait une très belle imagination, et Bobbie rebondit là-dessus. Elle la poussa en avant, et le corps de Joana heurta un mur. Bobbie soupira doucement contre elle, et s’enfonça dans son vagin, la pénétrant sans difficulté.

Bobbie soupira, et l’embrassa tendrement. Elle caressa les hanches de sa partenaire, et Joana releva ses jambes, les enroulant autour de sa taille.

« Hmmmm… Je pense que Maria pourra t’aider… À faire un gâteau avec un ingrédient spécial… Mon sperme, mélangé aux autres ingrédients, hmmm… »

Un gâteau pervers, érotique ! Bobbie pénétra sa partenaire sur cette idée, la serrant contre le mur, et l’embrassa énergiquement, son corps massif s’écrasant avec appétit contre le sien. Elle gémit contre elle, remuant dans son corps avec passion, amplifiant progressivement le rythme.

« Et on l’offrira à Joyce… Elle me semble être la plus indiquée pour goûter à ta gastronomie… »

Joyce était après tout leur invitée d’honneur !

Plaquée contre le mur, Joana se faisait délicieusement prendre par Bobbie, ses jambes enroulées autour de son bassin et ses bras autour de son cou. Sa femme aimait l’idée du gâteau ayant la forme de sa verge, et elle lui proposa de rajouter son sperme aux autres ingrédients de la recette pour créer un gâteau vraiment érotique.

« Aaahhh... la crème pâtissière... mélangée à ta crème. Quelle bonne idée. »

Elle voulait aussi offrir ce gâteau à Joyce. C’était un bon moyen de renforcer sa dévotion envers leur cause, et en plus ça passerait inaperçu. Là où son mari ne verrait qu’un gâteau érotique, elle, elle saurait qu’elle se nourrirait de la semence de sa véritable maîtresse.

« Ooohhh... on pourra organiser une grande dégustation... avec tous nos amis... aaahhh... histoire de garder haut le moral des troupes. »

Après tout, la tâche qui les attendaient allait être des plus difficiles, il fallait que tout le monde soit en bonne forme. Et il n’était pas seulement question de l’attaque sur l’Institut. Joana avait aussi d’autres projets en cours, dont un qui lui tenait plus à cœur que les autres.

« Au fait... hhhmmm... il faudra que je montre... les photos que Zoey... m’a envoyé aujourd’hui. La féminisation de Carl... avance bien. »

Une fois leur nouveau monde bâti, Joana comptait bien transformer les hommes récalcitrants en femmes pour mieux les soumettre grâce à la puissance sexuelle des futas. Et Carl était son cobaye. Avant d’utiliser une solution aussi radicale que la transformation chimique et user des mêmes procédés que les maîtres de Stepford pour créer des femmes dociles, elle voulait d’abord voir si une simple reconversion psychologique n’était pas possible. Et pour l’instant, Carl semblait sur la bonne voie. Zoey lui avait envoyé des photos qui montraient son garçon essayant toutes sortes de tenues de fille et, bien que gêné, les messages indiquaient qu’il était content. D’ailleurs, il y avait aussi une photo de lui en lingerie, et on voyait bien qu’il bandait sous sa culotte. Enfin, Zoey avait envoyé une photo d’elle en train de sodomiser son garçon, en récompense de ses efforts.

« Hhhmmm... bientôt, il viendra nous voir avec une jolie robe... et on le baisera si fort... ooohhh ooouuuiii ! »