The Multiversity

Oh ! C'est vrai, avec ces boules de geisha qui pourraient limite traverser tout l'intestin, je pense qu'elle pourrait éviter de faire de plus en plus gros. Mais évidemment, je la laisse complètement faire. Je la laisse profiter, mais petit à petit, je sens que c'est pas suffisant, et que ça commence petit à petit par la frustrer. Je suis patiente car je sais qu'en me laissant enfermer, elle se frustre elle-même, et dans le contexte sexuel, la frustration est bonne. Alors, j'attends patiemment qu'elle craque, avec mon membre qui lui donne toujours envie.

Au bout de la quatrième fleur (je voyais la brise, mais j'avais pas trop remarqué qu'elle allait à son cul dilaté par ces fleurs), elle finit par craquer, et elle l'exprime. D'ailleurs, les barreaux se cassent en morceaux, et aucun ne m'a transpercé. De toute façon, si ça m'avait transpercé, j'ai une assez bonne résistance pour ne pas du tout en souffrir. Ces éclats d'ailleurs se transforment en fleurs de différentes couleurs. Jolies !

Du coup, maintenant elle veut me prendre, et je ne vais pas m'en priver. Elle veut vraiment savoir ce que ça fait de se faire baiser par une futanari, alors j'en profite. Je m'approche et je la prends pour la mettre sur le dos tout en l'embrassant ardemment, ma bite près de sa chatte. Je peux la mettre dans le cul, bien sûr, mais je préfère l'embrasser pendant que je la baise, alors je préfère que ce soit dans la chatte, et après ce sera dans le cul. Cette bite se met à se glisser sur sa chatte, histoire qu'elle se prépare un peu. Je sais qu'elle ressentira du plaisir avec ça. Je romps le baiser en la regardant dans les yeux.

"Du coup, tu veux que je te prenne de manière douce ou forte ?! Dans tous les cas, je te promets que tu ne vas pas être déçue !"

Mes mains se mettent sur les hanches, histoire de bien la tenir pendant que je la prends. Je la laisse me répondre, pendant que le gland se met à se coller sur la chatte, prête à entrer. Peu importe la façon de la prendre, je vais le faire, et je vais y prendre du plaisir. Quand elle aura répondu, je commence direct à mettre ma bite dans la chatte, me faisant soupirer de plaisir, avant que je commence à la prendre, mes hanches bougeant d'avant en arrière pour que ma bite coulisse dans la chatte, et la vitesse dépend directement de si elle voulait que je la prenne de manière douce ou forte. J'ai tendance à me dire qu'elle préfère qu'on la prenne de manière forte, mais je m'adapte, et de toute façon, pour être un papillon, il faut savoir s'adapter. J'étais un papillon, dans le passé, alors je sais de quoi je parle.

Pendant que je continue de la prendre, je l'embrasse avec envie et ardeur, pendant que je soupire de plus en plus fort à chaque coup de reins. Elle aura de quoi faire un porno dans le Lys, et j'aimerais qu'elle ne soit pas déçue de cette baise, même sans être un papillon. Après tout, je tiens à la réputation du Lys.

Jeena ne met pas de temps à se jeter sur Lissandre. Comme quoi, il n’y en avait pas qu’une qui avait des difficultés à attendre !

Des frissons parcourent le corps quand Lissandre sent les mains posées et la verge glissée sur ses lèvres. Ce sont des frissons d’anticipation. C’est déjà bon. Il y a des contacts physiques qui viennent d’un autre être et c’est tout à fait différent du plaisir qu’on peut se donner en solitaire. Même via une chambre magique qui agit selon les désirs de l’imagination.

Pour aller plus loin, il faut maintenant répondre à une question. Lissandre doit choisir entre la manière douce et la manière forte.

*Vas-y doucement s’il te plaît. *

C’est ce qu’elle pense. Elle voudrait y aller doucement pour commencer. Pour prendre le temps de ressentir une verge d’une femme. Mais elle dit ceci :

« Prends-moi sauvagement ! »

La combinaison des préliminaires magiques, de cette dimension improbable et de Jeena font craquer le mental de Lissandre.

« Je suis sûre que tu sauras mieux t’en servir qu’un mec ! »

Un brin de provocation ? Bien possible ! Mais, dans le fond, Lissandre en est convaincu. Une femme équipée d’un pénis a de plus grandes chances de savoir comment s’en servir pour faire crier une autre femme de plaisir.

Sa bouche prise de passion autant que son intimité, c’est au tour de ses mains de venir caresser le corps de Jeena. Essentiellement ses flancs et son dos dû à sa position. Probablement ses seins si Jeena n’est pas allongée sur elle pour la besogner.

Sur le lit de la chambre, moi sur elle, je caresse sa chatte avec ma bite, mes mains sur les hanches, avec une hâte de mettre ma bite dans sa chatte, bien à découvert avec l'ouverture sur la combinaison que je n'ai pas le droit d'enlever. La seule déception là-dessus, ce que j'ai pas la possibilité de profiter de ses nichons qui ont l'air si appétissants, alors que je suis complètement à poil, mais ce n'est pas grave.

J'entends sa pensée disant qu'elle veuille que j'y aille à la manière douce, et c'est souvent les pensées qui sont les plus honnêtes. C'est pour ça que j'avais pris une potion qui me permet de lire dans les pensées des autres. Elle me dit une contradiction juste pour le plaisir de se contredire. Mes mains sur les hanches ne la serrent pas beaucoup, même à l'échelle d'un humain normal.

"Alors baisons sauvagement !"

Pas sauvagement, au contraire, car elle préfère que ce soit doux pour commencer, alors je commence à doucement insérer ma bite dans la chatte, et pendant ce temps, Lissandre se met à me provoquer un peu, disant qu'elle espère que je sais mieux m'en servir qu'un mec. Ca, même que ce soit un homme avec qui je baise, ce sera forcément meilleur que lui : j'ai été un papillon pendant des années et je suis nymphomane depuis ma puberté, ça aide forcément. Alors, je réponds d'un air faussement vexé :

"Tu oses douter de ma capacité en tant qu'ancienne papillon du Lys ?!"

Evidemment, je sais qu'elle ne doute pas. Elle sait que je saurai mieux m'en servir qu'un mec, car c'est la nature d'une futanari : c'est comme une fusion entre un mec et une meuf. Ma bite se met à coulisser doucement dans la chatte de Lissandre, et je sais que son personnage va être déçue, car il demande d'y aller sauvagement, alors que j'y vais doucement, contrairement à la vraie. J'anticipe ses futures paroles : "Tu appelles ça sauvagement, toi ?!" C'est tellement prévisible, pour le moment.

Je l'embrasse passionnément pendant que je la baise doucement, je ressens ses mains caresser mon corps pendant que celui-ci se frotte doucement à sa peau d'adoption, faisant des petits crissements agréables par le latex. Ma langue se met dans sa bouche pour valser avec celle de Lissandre, alors que ma bite continue de bien profiter de sa chatte, comme elle profite de chaque orifice.

Jeena perturbe Lissandre. A plusieurs niveaux. Elle est une femme : mais elle a une verge d’homme. Lissandre a demandé à ce qu’elle la besogne sauvagement : mais elle y va avec douceur. Jeena joue des oppositions et ça plonge encore plus la bourgeoise au latex rose dans un abime de sensations. Ça multiplie ses sensations de base. Ça les magnifie.

« Je ne connais pas les papillons du Lys. Han ! Hum… »

Difficile de parler quand une femme vous pénètre. Mais Lissandre a autant envie des coups de reins que de la conversation. L’expérience est autant physique qu’intellectuelle. Disons plutôt relationnelle en lieu et place d’intellectuelle.

« Mais tu dirais que tu te situes où par rapport aux autres ? Dans la moyenne ? Dans les meilleures ? »

*Parce que si tu es dans la moyenne, j’ai très envie de connaître d’autres papillons. En fait, non. Même si tu fais partie des meilleures : j’ai envie de rencontrer d’autres papillons de ton calibre ! *

« Oui ! J’adore comment tu me prends. Ça me fait déjà perdre la tête Hum… Hum… »

Son imagination est fertile. Elle avait prévenue. La salle y est connectée, et donc… En pensant à ce que Jeena soit un papillon, des papillons aux ailes de toutes les couleurs se matérialisent dans la « chambre ».

Mais ce n’est pas tout. Les papillons rappellent à Lissandre le pouvoir de la chambre. Elle se rappelle que Jeena l’a prévenu qu’elle pouvait matérialiser un grand terrain d’extérieur si c’est ce qu’elle désirait. La salle répond à son imagination et les papillons de toutes les couleurs se retrouvent à voler dans une grande prairie verte ensoleillée.

*Ça va trop vite. *

Mais ce n’est pas fini. Les papillons de toutes les couleurs font penser à un arc-en-ciel en mouvement. Et qui dit arc-en-ciel et grande prairie fait d’abord penser à des cheveux qui se transforment très vite en licorne.

*Ça va trop vite. Ça va trop vite ! *

Son imagination est en roue libre. Et le coup final se produit. Les licornes gambadent au loin pendant que Jeena fait l’amour à Lissandre. Il n’en faut pas plus pour que les licornes se retrouvent avec de longs pénis en érection.

« Euh… Je crois que j’ai trop d’imagination. »

La curiosité se mêle à la peur. Impossible de savoir pour le moment qui prend le dessus.

« Je ne veux pas qu’elles s’approchent de moi avec leur engin. C’est beaucoup trop gros ! »

*Même si les couleurs et la forme sont vraiment adorables !... *

Lissandre veut jouer avec les contradictions, alors je profite de ses contradictions, surtout grâce à la lecture des pensées. Elle sait que je lis dans les pensées, je le lui ai prouvé. Elle a demandé de la baiser sauvagement, je la baise doucement parce qu'elle le veut par la pensée, et la pensée l'emporte sur la demande orale. Je continue de lui baiser doucement la chatte, gémissant de plaisir, mes seins bougeant doucement, ressentant toutes les sensations à chaque fois que je la pénètre.

Bon, évidemment, elle ne connait pas les papillons du Lys, elle ne sait pas complètement ce que ça fait de se faire baiser par un papillon du Lys. Mais bon, elle peut imaginer que les papillons sont souvent... expertes ? En tout cas, le temps passe différemment et les employées sont toutes immortelles. A partir du moment où on est imprégné de magie, on est immortelle aussi, et j'en fais partie. Et pour ce qui est de par rapport aux papillons, je suis dans la moyenne.

J'allais y répondre quand sa pensée veut me parler, disant qu'elle a envie de connaître d'autres papillons, que je sois dans la moyenne ou parmi les meilleures. Du coup, je préfère ne pas y répondre directement, mais plutôt de lui dire qu'elle verra par rapport aux autres papillons. Du coup, je lui souris en coin.

"Ça, tu verras par rapport aux autres qui sont encore dans le métier, ma belle."

Je continue de la prendre. Elle n'avait que rarement baisé, mais ce n'est pas grave. Après tout, c'est une scénariste porno, n'est-ce pas ? Elle est en train d'en perdre la tête, et d'un coup, des papillons de toutes les couleurs apparaissent et on se retrouve dans une grande prairie avec des animaux par-ci par-là, où le lit est devenu carrément une sorte de motte de terre qui dépasse du sol, mais qui a pris la hauteur du lit, tout en étant aplati pour le dos de la belle. C'est là qu'elle commence à se dire que ça va trop vite.

D'un coup, les chevaux deviennent des licornes multicolores dont leur trainée est arc-en-ciel, et les licornes commencent à avoir un long pénis en érection, ce qui commence à la faire mêler la peur et la curiosité. Je continue toujours de lui baiser la chatte, toujours doucement. Mais elle ne veut pas que les licornes s'approchent de nous avec leur long pénis. Lissandre ne veut pas qu'ils s'approchent de nous, du coup. Elle dit ça en sous-entendant que sa volonté et son imagination sont indépendants. Du coup, je lâche une des hanches pour commencer à faire apparaître une de mes lasso, que je commence à rejoindre de sorte à ce que ça devienne un fouet.

"Tu sais, parfois c'est encore mieux si l'engin est gros. Mais si tu veux qu'ils s'éloignent..."

Je commence à fouetter les licornes, ou du moins près d'eux, dans le seul but de les effrayer. S'ils ne sont pas effrayés, je peux qu'ils pourraient débander et donc avoir beaucoup moins envie de baiser avec nous.

Jeena la rassure. Le fait qu’elle la pénètre lentement. Qu’elle prenne son temps et qu’elle lui fasse tant de bien. Et maintenant, qu’elle tienne à distance les belles licornes en érection. Elle est la personnification d’une belle femme forte et attentionnée. Oui, Lissandre pourrait tomber amoureuse d’une telle femme et la suivre partout.

*A travers tous les mondes possibles et inimaginables ! *

« Je voudrais… »

*J’ai peur qu’elles me détruisent… *

Malgré la peur évoquée pour les licornes, Lissandre ne peut pas détourner les yeux de ces magnifiques animaux imaginaires qui vont et viennent malgré les coups de fouet de Jeena. Elle est autant absorbée par leur crinière arc-en-ciel que par leur verge en érection.

« En fait, j’ai déjà vu certaines vidéos et… »

*J’ai toujours été curieuse de savoir quel genre de sensations on pouvait ressentir avec « ça » à l’intérieur de nous… *

La main de Lissandre se pose sur le bas-ventre de Jeena. Une façon de lui dire d’arrêter. Un premier mouvement pour se retirer et pouvoir se retourner à quatre pattes et observer les licornes. Une façon également de présenter sa croupe involontairement.

« Tu voudrais bien m’aider à réaliser un fantasme ? »

La salle réagissant toujours à son imagination, toutes les licornes sauf une comprennent le message des coups de fouet de Jeena. Elles baissent la tête, faisant comprendre qu’elles ont perdu. Elles se retirent en hennissant et retournent batifoler, sauter et danser dans leur coin avec de petites fées colorées.

*De petites LEDs organiques. *

Il reste donc une licorne. Elle n’est pas excitée à sauter dans tous les sens. Elle reste à prudente distance, observant d’un œil le fouet de Jeena. Et de l’autre œil ? Le corps magnifique de Lissandre moulé dans sa combinaison rose.

« Tu voudrais bien m’aider à avoir me première expérience avec une licorne ? »

Lissandre semble hésiter un peu. Elle n'a pas l'air de vouloir s'arrêter de les regarder. C'est vrai qu'ils sont beaux, mais elle voulait qu'ils s'éloignent d'elle, alors... Je me demande ce quels genre de vidéos elle parle. En tout cas, Lissandre pose sa main sur mon pubis, ce qui veut dire qu'elle veut que j'arrête. J'ai pas encore joui, et j'étais pas près, mais ce n'est pas grave. Je m'arrête donc et je retire ma bite de sa chatte. Elle se met à quatre pattes devant les licornes que je fouette pour les éloigner de nous.

"Bien sûr. Lequel ?"

Je ne juge jamais les fantasmes, car c'est le rôle du Lys d'assouvir des fantasmes. Après, tant que ce n'est pas quelque chose d'illégal comme la pédophilie, ça peut aller. Je l'écoute attentivement, pendant que les licornes s'éloignent, sauf un. Elle veut d'une première expérience avec une licorne ? Du coup, c'est de la zoophilie. En soi, je baise déjà avec des furries, alors pourquoi pas. Du coup, je secoue positivement la tête, avant de m'approcher de la licorne, qui me craint.

"Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te fouetter. Tu peux t'approcher de Lissandre."

En plus, pour le mettre en confiance, je le caresse tendrement, et il semble heureux de pouvoir profiter du corps de Lissandre avec son gros mandrin. Après ça, je le guide vers Lissandre, et il se met derrière elle, ressort sa grosse bite et commence à l'enculer fortement, et hennit de plaisir, et je les laisse faire. Pour être tout à fait honnête, autant baiser avec des furries ne me dérange pas, autant j'ai un peu plus de mal avec la zoophilie, mais je ne suis pas dégoûtée pour autant. Pourtant, je suis âgée de plusieurs siècles.

D'ailleurs, je regarde la scène avec le sourire, et je pense que Lissandre doit être heureuse de baiser avec une licorne. Je me demande ce que l'imagination de Lissandre peut réserver. Je ne sais pas si elle aurait envie qu'il y ait d'autres licornes qui la baise. En tout cas, j'ai déjà rangé ma corde car je n'ai absolument pas besoin de fouetter ces animaux.

C’est rapide ! Lissandre ne s’attendait pas à ce qu’aille aussi vite. Avant qu’elle ne le réalise, Jeena a amadoué la licorne qui se trouve déjà derrière elle. Elle se sent sa présence imposante et colorée mais ne voit plus rien. Ça a quelque chose d’effrayant et d’excitant à la fois !

*Faites que ça ne me fasse pas mal. Faites que ça ne me fasse pas mal, s’il vous plaît ! *

Le bout de la verge de la licorne cherche son chemin. Lissandre l’imagine énorme. Le bout de la verge de la licorne glisse sur ses lèvres intimes. La licorne donne un petit coup de hanche mais le coup dérape et glisse entre les fentes de ses fesses.

*Il va me faire mal ! Faites qu’il lubrifie magiquement ! S’il vous plaît, s’il vous plaît ! *

La licorne a trouvé son anus. Il donne un premier coup et rentre d’un centimètre. Lissandre laisse échapper un cri. De peur d’abord. Puis, au deuxième coup, c’est un souffle de plaisir. Elle sent quelque chose de liquide déjà en elle.

*Ça va aller, Lissandre. Oui, ça va aller : hi hi ! *

D’une façon qu’elle ne comprend pas, la licorne est en elle et la pénètre. C’est gros mais c’est moins gros que ce qu’elle avait imaginé. Par contre, ça va loin. Et il y a toujours ce liquide qui accompagne les va et vient de la licorne. Ça coule de de son anus.

Lissandre s’effondre par terre une fois que la licorne se retire après avoir éjaculer une bonne dose de son sperme. Elle souffle de l’effort physique qu’elle vient d’encaisser. En tournant la tête, elle voit la licorne s’éloigner pour reprendre son broutage d’herbe. Elle découvre alors un dernier jet s’échapper de sa verge équine : un sperme aux couleurs de l’arc-en-ciel.

« Hi hi hi ! C’est magique, ça ! »

La main de Lissandre glisse sur ses lèvres intimes et la ramène au niveau de sa bouche. Il y a du sperme mais il y a également autre chose. Ce qu’elle a pris pour du lubrifiant ressemble drôlement à du miel ! Lissandre écarte les yeux de surprise et regarde à nouveau la licorne. Elle comprend pourquoi la licorne ne l’a pas brutalisé. En la pénétrant, la verge de la licorne a fondu comme une sucette dans la bouche d’une jeune fille. Et, en fondant, elle a libéré une sorte de lubrifiant sucré rappelant le miel.

« Dis, Jeena, tu voudrais bien me nettoyer ? Hi hi ! »