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Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]

Posté : 29 sept. 2025 01:34
par Arthur Duroy
Cette puissance, cette force… Il avait terriblement envie de baiser sa Maîtresse, de lui rendre hommage. À ce moment, Arthur ́lui appartenait pleinement, incube aux services de la plus belle et de la plus puissante des démone, la Princesse Valeria. Sa fatigue s’était envolée, remplacée par cette force puissante, cette énergie démoniaque. Il n’était pas encore un vrai démon, ce n’était qu’un pastiche. Son nom n’était pas inscrit dans les registres infernaux, mais il bien ressentait pas moins cette force galvanisante, cette énergie phénoménale qui bouillonnait en lui.

Face à cela, Valeria lui tendit sa main, et il la baisa tendrement, avec le respect qui sied à celle qu’il vénérait. Il pouvait percevoir l’excitation de Valeria, son emballement, cette énergie sans fin. Elle avait envie de lui, et cela le flottait fortement. Elle lui demanda toutefois de reprendre sa forme normale. Arthur s’en irrita brièvement. Sous cette forme, il se sentait fort, si puissant… Comment renoncer à une telle chose ? Arthur frémit sur place, et dut se faire violence.

« Je vous obéis, Maîtresse… »

Arthur se concentra, et reprit petit à petit sa forme ordinaire… Mais conservant malgré tout ses ailes démoniaques et ses cornes. Ses yeux luisaient également d’une vive lueur rouge, et il était intégralement nu. Sa verge en érection solidement dressée témoignant de son impatience, de sa soif de servir.

Il déployait ses ailes en compagnie de sa Maîtresse, et ils se rapprochement du grand salon en contrebas. Le duo se posa sur l’entresol d’un escalier d’intérieur. Devant eux, la soirée avait dégénéré en orgie lubrifié sous l’impulsion des spores aphrodisiaques et de l’aura de sexe qu’émettait sa puissante Maîtresse.

Arthur observa la scène, sentant encore en lui l’envie de se transformer.

« Sous ma nouvelle forme, je pourrais toutes les baiser pour vous, Maîtresse… Achever d’en faire vos concubines et esclaves. N’est-ce pas pour cela que vous êtes venue ici, Maîtresse ? »