The Multiversity

Malaurie aurait put imaginer que Chengzu allait se retirer, reculer, la laisser passer... Ils se seraient excusés mutuellement, elle aurait retrouvé par la suite le confort de son appartement. Ce n'est qu'une fois seule qu'elle se serait soulagé pour oublier sa tension et surtout ne pas céder aux charmes de ce beau bélier à la chevelure azure...Son corps l'avait tant désiré... depuis sa première morsure jusqu'à maintenant. Elle se retrouva contre lui et il vint caresser sa hanche, sa peau comme son latex... Avant de se baisser vers elle. Petite milli seconde de panique quand leurs lèvres se touchèrent, puis Malaurie ferma les yeux. Elle se laissa envahir par la langue de son chef, sentant sa poigne se serrer sur sa nuque. Elle était totalement à sa merci désormais... Ses mains ne restèrent pas inactives non plus car elle les posa sur les hanches solides de Chengzu. Elle savait que, quelque part entre ses deux mains, entre ces deux cuisses puissantes et musculeuses... sa verge était là. Elle ne l'avait jamais vu, mais elle y avait fortement fantasmé, quand elle se frottait sur son oreiller de latex, désespérément... Une fois le baiser terminé, de la salive reliait encore sa langue à celle du bélier. Elle l'entendit lui dire de céder à son envie... Etait-il au courant ?... Elle avait tout fait pour l'occulter...

"Je... Il y a... Ruby... et je..." Dit-elle en caressant doucement sa cloche accrochée au cou.

Elle semblait complètement perdue, en proie au doute. Une part d'elle voulait obéir à ses dictats, à rester fidèle à cet homme qui, pourtant, n'avait pas le droit de la prendre... Et ce puissant bélier qui l'avait quand même aidé, lui avait donné un appartement, une paroisse... Et puis elle n'avait plus trop de nouvelles de Ruby...

"..."

*Va-t-il seulement le savoir ?...*

Cette pensée anima son geste suivant... Elle revint à l'assaut des lèvres de Chengzu, voulant de nouveau profiter... Il était si puissant et musclé... Son odeur masculine envahissait ses narines alors qu'elle mit fin à ce baiser quelques secondes plus tard. Son regard se noya dans celui doré de son amant avant de doucement baisser sa main... Elle le faisait machinalement et ne tarda pas à la mettre à hauteur de verge... Sa curiosité était bien trop grande... Elle palpa son sexe sous le latex, devinant sa forme en érection... Malaurie n'en était pas à sa première queue, elle avait eut beaucoup de moment d'égarement dans son adolescence, mais la vie religieuse l'avait éduqué à ne plus le faire... Cependant la frustration en était devenue d'autant plus imposante ! Elle finit par libérer son pénis en poussant le pagne sur le côté et à libérer ce dernier de son sous-vêtement en le poussant sur le côté. Elle le masturba, tout doucement, avant de poser son regard sur lui.

"Ce sera... Notre secret... N'est-ce pas ?..."

Puis doucement elle monta sur le bureau, appuyant son postérieur dessus avant de doucement relever une jambe. Elle écarta le bas de sa tenue pour révéler son sexe détrempé et brûlant... Une chatte plutôt fine, aux lèvres intimes ressortant un peu, au clitoris étrangement bien large et au pubis décoré d'un coeur en poil. Elle se masturba quelques secondes, enfonçant son majeur et son annulaire. Son autre main remua son clitoris avec le bout de ses doigts en des gestes circulaires. Le souffle court, en transpiration, dégoulinante d'envie, elle leva son regard vairons vers lui.

"I can't stand it... Fuck me like I'm your bitch..."

Ajouta-t-elle comme si la Malaurie sage et religieuse avait laissé place au démon du sexe et de la pulsion sauvage cachée en elle, muselée depuis des années...

Cette fois, elle était faite. Chengzu avait déjà eu l’occasion de la prendre à plusieurs reprises. Ishtar s’en amusait même. Rien n’échappait à cette femme, et, quand elle avait compris que Malaurie était la chasse gardée de son époux, elle avait ordonné que personne ne tente de le doubler. Cela expliquait pourquoi Malaurie avait pu passer tant de temps à Nachtheim sans aucune proposition salace. Mais là, c’était terminé. Elle évoqua Ruby, confuse, et il sourit. Oui, Chengzu savait que Malaurie avait un petit-ami, quelqu’un qui vivait loin… Pour le moment. Car il attendait le point de bascule pour que Malaurie dispose d’un plus grand temple, et que cela justifie officiellement la venue de Ruby ici. Tout devait être prêt lors de sa venue. Il sourit doucement, s’appuyant contre elle, posant ses mains sur ses hanches, les rapprochant de ses fesses, mais sans encore palper son postérieur. Il voulait qu’elle sente son érection, son membre en chaleur, assoiffé et impatient…

« Ruby n’est pas là, Malaurie… Pourquoi t’encombrer la tête avec lui, hum ? »

Elle hésitait, il le sentait. Il l’embrassa alors à nouveau, et il sentit qu’elle était sur le point de fondre à chaque baiser qu’il lui faisait. Chengzu ne lui épargnait évidemment rien, faisant preuve de son redoutable talent en la matière. Elle se débattit encore, mais sa main se serra sur son sexe. Il écarta les jambes, lui facilitant l’accès, afin qu’elle sente au mieux ce joyeux paquet, ce mandrin assoiffé qui était doucement en train de s’éveiller. Un contact difficile à louper, qui manqua la faire défaillir. Elle ne le réalisait pas encore, mais elle avait déjà perdu à ce petit jeu. Sa main défit alors le pagne, et elle libéra le sexe de l’homme. Chengzu soupira doucement en sentant sa verge sortir, se déployant à l’air libre. Sa belle queue se mit à pointer, et Malaurie grimpa sur le bureau. Elle lui demanda si cela serait leur secret, et il sourit alors.

« Peut-être bien… »

Chengzu n’avait en réalité aucune envie de dissimuler cela, il n’avait jamais été de nature très cachottière. Mais, avant de songer à cela, le plaisir avant tout ! Elle était toute proche, ouvrant ses cuisses, faisant sauter toutes les protections. Chengzu hocha donc la tête, et la pénétra brusquement, grognant sur place.

« Hmmmm… Que tu es serrée, ma salope ! Hmmm… !! »

Le juron était parti tout seul, motivé par cette douleur subite qui se mit à l’envahir. Clignant des yeux, Chengzu reprit ses esprits, et commença à donner des coups de reins supplémentaires. Il posa une main en appui sur les fesses de Malaurie, s’en servant comme soutien, et continua ensuite son office, remuant en elle, plus énergiquement, s’unissant à Malaurie… Accomplissant enfin ce que celle-ci devait désirer depuis fort longtemps !

Malaurie ne s'était pas attendu à cela... Certes elle était sur la réserve depuis quelques temps, mais là... Lorsque le sexe de Chengzu se posa sur sa chatte détrempée, elle sursauta presque. C'était tellement chaud... Puis le gland du bélier écarta doucement son con humide. Son clitoris développé était en érection totale alors qu'elle lâcha un profond soupire de plaisir. Puis soudain, la verge de son amant s'enfonça en elle d'un coup, alors qu'il avait plaqué ses mains derrière ses fesses pour la maintenir contre lui. Là, ce fut le festival aux gémissements et aux cris de plaisir.

"Oh !... Ooooh !! Oh my god !!! Ooooohohohohhhooooo!"

Voila pourquoi on dirait que les Hitsuji étaient de véritables bêtes de sexe ! Elle se faisait défoncer sans aucune latente. Chengzu la fourrait avec une telle puissance qu'elle s'en mordilla la jointure de l'index. Elle tripait ! Son sexe avait une largeur qui la satisfaisait grandement et en prime son gland matraquait son col de l'utérus avec une déraisonnable efficacité ! Elle cala sa jambe derrière celle de Chengzu, gardant son autre jambe relevée et fléchie, ouvrant totalement ses cuisses. Elle ne pensa plus du tout à Ruby, alors qu'elle n'avait même pas encore couché avec lui... Quand elle regardait le bélier, elle perdait son regard dans celui doré de son amant, elle caressait ses pectoraux avec envie et sans s'en rendre compte, elle se mit à saliver plus que de raison. Soudain, Chengzu ajusta sa position et cette fois il tapait directement son col avec une étonnante aisance et à un rythme diaboliquement rapide.

"Oh fuck ! Oh my god ! Ooooh FUUUUUCK !!!!"

Sa chatte se resserra sur le sexe du bélier. Elle détrempa le bureau sous ses fesses alors qu'elle poussa une injure délicieusement perverse. Son orgasme eut comme l'effet d'un déclic dans son esprit, explosant par étapes successives le long de sa colonne vertébrale jusque dans son cerveau. Elle s'agrippa à son amant avant de se laisser doucement choir sur le bureau. Une de ses mains vint doucement taquiner son clitoris hypertrophié avant d'empoigner un de ses seins de l'autre main, regardant Chengzu avec avidité.

"I shouldn't feel that good... Aaaah damn... Hmmm... Chengzu... T... ta chambre... Ou la mienne ?..."

Elle se sentirait coupable plus tard... Pour l'instant elle en voulait plus !

Son orgasme sonna comme le coup final. Elle était à lui, maintenant, et, tandis qu’il la sentait jouir, c’était cette idée, jouissive, qu’il ressentait… L’idée de la posséder, que cette belle religieuse au franc-parler redoutable soit sienne. Cette sensation, il ne l’avait pas ressenti immédiatement avec Theorem, cela avait dû attendre que Chengzu libère ses vraies pulsions, et réveille le dominant qui était en lui. Elle jouit très vite. L’avait-il aidé ? Il n’en avait pas conscience, mais qui sait comment on pouvait réagir sous l’effet de l’excitation… Car il était excité. Chengzu s’efforçait de rester calme, mais il crispa ses doigts sur le cul de Malaurie, appuyant fortement dessus pour empêcher ses doigts de trop trembler. Il avait ressenti ça aussi au début avec Theorem, puis avec Ishtar, ou Alice… C’était le frisson de la nouveauté, ce frisson primaire et reptilien, comme un enfant découvrant un nouveau jouet. Malaurie venait de jouir contre lui, et lui demanda ensuite où aller. Cela le sortit de ses réflexions. Il lui sourit alors doucement, et l’embrassa sur les lèvres. Un baiser qu’il fit volontiers durer, comme pour marquer davantage son emprise. Sa main remonta pour se saisir des cheveux de Malaurie, et il enfonça sa langue dans sa bouche, longuement, jouant avec la sienne.

Chengzu maintint donc le contact pendant quelques instants, et rompit ensuite le lien. Ce fut un baiser bien baveux, qu’il effaça d’un coup de langue.

« Ta chambre, Malaurie… Je veux te prendre dans ton intimité. Ensuite, ce sera chez moi. »

Il n’aurait aucune hésitation à la présenter à Ishtar, et face à Theorem. Ce qu’ils feraient serait évidemment très différent selon le choix de son époux ou de son épouse. Il bandait déjà en imaginant Theorem les observer faire l’amour, en lui présentant Malaurie, en faisant d’elle une femme qui s’amuserait à le dominer, à l’humilier… Avec le côté viril et marqué d’Ishtar, la domination était naturelle, mais, venant de Malaurie, ce serait encore plus humiliant. Chengzu comptait bien la former ainsi, continuer lentement sa formation… Ou sa corruption, selon la manière dont on voyait les choses. Il se retira donc d’elle, et remit sa tenue en place. Toutefois, avant ça, il avait encore une autre idée, et défit le haut de Malaurie. Il libéra l’accès à ses seins en soulevant sa guimpe, puis se masturba ensuite contre ses seins. Chengzu grogna, et ne tarda pas à jouir, éclaboussant dans un soupir les seins de Malaurie. Il darda ses seins de son sperme juteux, puis sourit ensuite, et remit sa tenue en place, le sperme provoquant des bruits spongieux contre la combinaison. En remettant la combinaison, Chengzu malaxa ensuite les seins de Malaurie, répandant un peu de son sperme sur ses seins.

« Voilà… Comme ça, tu es marqué, je veux que tu sentes ma présence sur toi à chaque instant, maintenant, Malaurie… »

Joueur, il attrapa ensuite sa main, et se dirigea vers la sortie. Ils allaient marcher dehors, main dans la main, et tout le monde les verrait, comme un couple…

Malaurie avait cru que la suite allait être classique, mais elle avait tord. La vachette était loin, très loin d'imaginer que désormais elle était devenu le jouet de ce bélier pervers. Alors qu'il lui signifia qu'elle allait devoir aller dans sa chambre. Mais avant que chacun ne parte un peu de son côté pour ne pas éveiller de soupçons, il la fit se mettre à genoux avant de soulever la guimpe de latex blanc couvrant ses seins et il baissa le zipper de sa combinaison pour donner accès à cette dernière, nue.

"Mais qu'est-ce que tu fais ?!! "

Elle n'eut pas le temps de bien terminer sa phrase qu'un Chengzu frustré au possible, s'étant retenu de juter pendant tout cette baise délicieuse, dévoila son sexe pour finir de jouir sur sa peau nue. Elle resta interdite, limite choquée, alors qu'il remonta le zipper puis rabaissa le voile blanc dans un spouich sonore. Elle se sentit sale et les mains perverses de Chen vinrent malaxer ses mamelles pour bien le répartir sur elle. Encore interdite, elle fut relevée et il lui prit la main pour l'amener dans sa propre chambre à elle.

"They will see !!!"

Elle ramena son voile le plus possible sur son visage, gardant la tête baissée. Pour autant, pas moyen de se défaire de sa poigne. Malaurie suivit donc le bélier qui avançait vers ses quartiers. Ils traversèrent des couloirs avec du monde, dont certains colons et marins levèrent les yeux vers elle. Certains eurent des sourires fugaces, d'autres des incompréhensions... Mais pour Malaurie, ils avaient tous des mitraillettes à la place des yeux et elle était fusillée en permanence. Elle était rouge de honte, restant la tête basse, interdite, une main sur le bas de son visage. Pour autant, sa chatte en feu lui rappelait encore la présence du mandrin de Chengzu. Il avait été fort, ça avait été si bon ! En plus elle cocottait encore la transpiration bestiale de leurs actes. Elle sentait son sperme gluant entre sa peau et sa combinaison... L'humiliation était forte, mais elle l'endura jusqu'à arriver à son appartement. Elle était si stressée qu'elle dût s'y prendre à trois fois avant de réussir à ouvrir sa porte avec ses clés. C'est une fois dans l'intimité de ce petit appartement, intimidée, impressionnée mais aussi carrément enflammée qu'elle lui montra son maigre 40m².

"Là tu as la kitchen, ici c'est les toilets, et la bedroom..."

Elle en perdait son infernois, tremblante comme une feuille. Elle avait totalement oublié de ranger son oreiller de latex posé maladroitement sur le lit ! La nuit dernière, elle l'avait chevauché pendant plus de vingt minutes. Elle se rassurait en se disant que Chen n'allait pas comprendre... Au mieux ce serait juste quelque chose de négligé, un oublis de bien faire son lit... Probablement ?... Elle se retourna en pensant se justifier mais elle faisait face à Chengzu. Il était si grand, si costaud, si imposant. Elle resta interdite, le souffle court, avant de venir doucement poser ses mains sur la poitrine du bélier, se collant avec érotisme... Même si la gêne était encore bien bien présente !

"Heum... So... I... I mean... Je... Tu ?... Tu veux un truc à boire... Ou... Je sais pas..."

La pauvre était encore très intimidé... Mais elle resta néanmoins coopérative. Son cerveau était noyé dans l'appréhension d'une bonne baise bien forte. Elle essayait de bien se contenir mais en vrai, son corps ne lui réclamait qu'une chose : la verge généreuse de Chengzu, caresser ses abdos et ses pecs, s'abandonner à sa bouche, se perdre dans son regard doré... Tout ces éléments qui avaient nourris ses masturbations ces dernières semaines... Et tout ça allait enfin devenir réel !

Jouir sur le corps de ses conquêtes avant de refermer leurs combinaisons, voilà l’une des choses que Chengzu aimait. C’était son petit kif’, mais ça ne marchait pas à chaque fois. Il fallait déjà que la partenaire ait une tenue adaptée, une tenue moulante qui collerait au sperme, maintenant celui-ci. Mortifiée, Malaurie n’osait même plus parler, persuadée que tous les Infernois voyaient ce sperme. Évidemment, il leur était impossible de le voir, mais Malaurie était si nerveuse que tout le monde se doutait de quelque chose. Et puis, les Nachthois connaissaient Chengzu, ils savaient qu’il était l’époux d’Ishtar et de Theorem, et il était connu pour son appétit sexuel débridé. Il s’amusa donc de la nervosité de la jeune femme, jusqu’à rejoindre son appartement… Ou, plutôt, studio. Elle pouvait au moins se féliciter de ne pas dormir dans les dortoirs, ce qui était déjà la preuve que Chengzu l’appréciait. Il regarda brièvement l’ensemble, et observa l’oreiller en latex posé au milieu du lit. Il se rapprocha du lit, et, tandis que Malaurie tremblait nerveusement, renifla ce dernier, et l’oreiller.

« Hmmm… »

Il se retourna alors vers elle, et sourit doucement.

« Ma chérie, il va falloir que tu me racontes ce que tu fais la nuit, car je sens de drôles d’odeurs sur ce lit… Je sens tes fluides sexuels. »

La jeune femme était une pile électrique, et sa nervosité éclatait. Il se rapprocha alors d’elle, et posa sa main sur l’un de ses seins, le pinçant, sentant le sperme ici.

« Regarde-moi, ma chérie… »

Chengzu l’aida, caressant son visage, et l’attrapa par le menton. Leurs regards se croisèrent ainsi, et il l’embrassa à nouveau, lentement, tout en descendant ses mains sur ses hanches, et palpa ensuite ses fesses. Il les pressa entre ses mains, venant les malaxer avec appétit, et continua le baiser, enfonçant sa langue, puis se déplaça. Le dos de Malaurie heurta le mur.

« C’est de toi que j’ai soif, ma chérie… »

L’homme-bélier l’embrassa encore, et l’aida à enrouler ses jambes autour de sa taille. Il libéra sa verge, et écarta d’une main le bas de la tenue de Malaurie, libérant l’accès à sa verge, et la pénétra ensuite contre le mur, ne tardant plus à s’unir à elle.

« Hmmm… Savoure, ma belle… Je veux que ce soit la meilleure baise de ta vie… Jusqu’à ce que je te baise encore ! »

Malaurie était si confuse, si tremblante... Un vrai petit animal conduit à l'abattoir... Mais qui aurait hâte d'y aller. A la remarque de son partenaire sur son oreiller, elle éluda rapidement la question pour ne pas se recouvrir de ridicule à nouveau. Pour tout dire, elle se doutait déjà que Chen savait la réponse... Alors pas question de se recouvrir de ridicule plus que de raison. Il lui demanda néanmoins de la regarder et c'est ce qu'elle fit... Son beau regard doré, son corps massif et bien entraîné... Elle se sentit coincée contre le mur et peu de temps plus tard, il l'embrassa en la soulevant, l'appuyant contre la parois.

"Han Chengzu..."

Dit-elle entre les baiser jusqu'à sentir sa verge en elle. Elle s'agrippa plus fort à lui, se tenant au harnais entourant sa taille avant de sentir son sexe la pénétrer jusqu'à taper dans son cervix. Un petit cri l'accompagna alors qu'elle se faisait véritablement baiser contre le mur de sa chambre ! Elle se disait que c'était presque absurde le plaisir qu'elle en tirait, mais c'était tellement meilleur que cet oreiller ! En vrai, elle vivait l'acte sexuel le plus intense et le plus indécent qu'elle avait subit depuis si longtemps... Son sexe tout entier acceptait cette verge puissante qui pressait toutes les zones qui faisaient du bien. Plus particulièrement, c'était quand son gland tamponnait son col de l'utérus, une sensation inédite pour elle qui la faisait pousser des gémissements et des petits cris absolument délicieux à entendre !

"Haaaaaaaaannnnnnwwww... Hoooow .... Gnnnnnn.... Fuuuuuccck....."

A chaque vas et vient trop fort et sa petite cloche tintait. Le son lui rappelait forcément son amour, Ruby... Et une sensation étrange mêlée au plaisir... Comme si se rappeler à lui pendant qu'elle le trompait la stimulait d'avantage. Car elle aurait put prétexter que Chengzu lui avait donné assez de plaisir pour qu'elle l'oublie... Mais ce n'était pas le cas, bien au contraire ! Elle se disait qu'il aurait put être au courant, entendre cette cloche... Ce tintement allait-il se répéter jusqu'à ses oreilles ? Alors avec cette fréquence il allait deviner ce qu'elle faisait ?... Etait-ce possible que la clochette de leurs amours la trahisse ?... Cette idée la chauffa de manière anormale et c'est un véritable déluge de mouille qui s'écoula de sa chatte détrempée. Elle poussa de longs soupires avant de se crisper sur le corps du bélier.

"I'm gonna... Ooooo... It's coming... C - CUMMMMIIIINNNNGGGG !!!!!!!!!!!"

Hurla-t-elle en tremblant comme une furie. Elle se tenait fortement à Chengzu en jouissant comme jamais. Une véritable éjaculation féminine inonda le bas ventre de Chengzu, le douchant presque alors que la Ushi reprenait doucement son souffle sous un orgasme aussi fort... Pourtant, elle le savait, son partenaire en était encore loin... La nuit ne faisait que commencer... Et elle ne put s'empêcher de l'embrasser.

Tant de mois, tant d’effort, tant de patience… Chengzu allait enfin être récompensé pour tout cela, récompensé pour tout ce qu’il avait fait avec elle. Ces longs mois à la former, à la protéger, à la couver… Pour ce moment précis. C’était le fruit de son labeur, sa jouissive récompense. Malaurie venait de basculer, et Chengzu commençait à comprendre ce qu’Ishtar avait ressenti quand elle l’avait séduit, lui. Ce plaisir exquis, ce sentiment inné de domination se mélangeant à ce frisson de perversion, le goût magnifique et savoureux de s’imposer sur quelqu’un dont le cœur appartenait déjà a quelqu’un d’autre… Oh, quelle excitation, oui ! Il ne put qu’en sourire avec satisfaction.

Continuant à la prendre, Chengzu la serrait contre un mur, leurs mouvements rythmés par la cloche de Malaurie, qui carillonnait à chaque coup de reins, et par ses grognements, puis par les soupirs et même les cris de Malaurie.

« Hmmm… Tu… Tu es si bonne… Si bonne, ma Malaurie ! »

Sa Malaurie. Elle lui appartenait, et rien ne pourrait changer cet état des choses. Malaurie était sienne, et il continua à la prendre. Il aurait pu en faire son esclave, mais cela aurait été gâché son potentiel. Des projets, il en avait pour elle, et tous n’étaient pas forcément cohérents entre eux. Introduire Malaurie à Theorem une fois que celle-ci serait prête était bien évidemment quelque chose qu’il avait en tête. Sa verge, pour l’heure, labourait pleinement la chatte de Malaurie, tapant contre son col’ de l’utérus. Il pouvait sentir les muscles de ce vagin serré se crisper autour de sa queue, s’y collant, stoppant celle-ci. Délicieusement retenue en elle, sa verge coulissait avec appétit, et Chengzu commençait à démontrer à Malaurie en quoi il était un homme-bélier. L’homme accélérait progressivement ses coups de reins jusqu’à atteindre un rythme solide où il multipliait les assauts, son membre filant d’avant en arrière, s’enfonçant ensuite dans le corps de sa partenaire avec force.

Chengzu soupirait à nouveau, et la sentit finalement jouir. Elle s’abandonna contre sa queue, et il dut se retenir de ne pas jouir à son tour. Le sang de Malaurie explosait contre lui, et il l’embrassa dans le creux du cou, finissant par la mordre. Le goût du divin sang de Malaurie le fit trembler, et fut le coup décisif, amenant Chengzu à jouir également en elle. Sa verge tressauta sur place, et il s’abandonna à ce plaisir ancestral, crachant chaudement sa semence en elle.

« Hmmm… Que tu es bonne, ma Malaurie. »

Elle l’embrassa alors, se pressant contre lui, et il répondit à son baiser, tout en rejoignant le lit, la maintenant contre lui.

« Dis-moi, ma belle… Est-ce que Ruby t’a déjà pris comme ça ? Tu sais qu’il est inutile de me mentir… »[/i]

Malaurie vivait quelque chose d'à la fois absurde et d'à la fois hypnotisant. Déjà, elle fut frappée par l'endurance de ce partenaire qui lui faisait l'amour avec des coup de butoir impressionnants, mais qui en prime l'amenait à la jouissance en quelques minutes, la faisant jouir à répétition. Elle finit fatalement par écarter en grand ses cuisses et à se faire prendre avec une intensité rare. Puis Chengzu lui fit connaître le baiser vampirique en plein effort sexuel. Bien sûr, le corps de la Ushi répondit par un orgasme puissant alors qu'elle restait accrochée à lui. Elle en tremblait, son corps traversés d'éclairs de plaisir avant qu'elle ne puisse enfin être libérée. Elle partagea un baiser avec lui, mais le goût du sang n'était pas à son goût... Peut être cela fut ce qu'il fallait pour la sortir un peu de sa torpeur alors qu'il lui demanda franchement si Ruby l'avait prise de la sorte. Au nom de son amoureux, elle rougit d'autant plus avant de regarder Chengzu dans les yeux et de détourner le regard.

"Heu je... Je peux pas dire... Moi et Ruby on... On ne l'a pas encore fait..."

Certes, Malaurie n'était pas vierge. Elle avait connu quelques partenaires épisodiques avant de rentrer dans les ordres. Ruby était aussi un religieux alors naïvement elle avait voulu l'attendre. Bon, certaines de ses nuits furent dédiées au plaisir solitaire... Mais Ruby n'avait jamais passé le cap, même quand elle se collait contre lui, les joues rosies, le souffle court, la chatte détrempée... Il s'inquiétait juste de sa santé et l'avait laissé se reposer... Elle se disait que c'était normal après tout. Les couples normaux faisaient ça, non ? A repenser à lui, elle détourna un peu le regard et revint sur Chengzu.

"Je n'ai pas trop envie de parler de lui... On pourrait juste revenir à ce qu'on faisait ?..."

Dur de parler de son amoureux qu'elle cocufiait... Enfin pour le moment. A la place, elle regarda son amant pour l'embrasser à nouveau. Le goût du sang avait disparu, elle pouvait de nouveau apprécier un baiser normal. Elle finit par sortir un peu de son emprise avant de se coucher sur son lit. Pour éviter d'être harcelée de questions gênantes par Chengzu à propos de Ruby, elle repoussa son oreiller plus loin.

"Si tu veux savoir, il me servait de sextoy cet oreiller... Mais maintenant que je t'ai toi... Il ne me servira plus trop..."

Dit-elle en le repoussant plus loin et d'écarter en grand les cuisses pour l'inviter à nouveau en elle...

Chengzu était là en position de dominateur, en position assumée et certaine. Malaurie lui appartenait, maintenant. Il fut toutefois surprise, et déçu, d’apprendre qu’elle n’avait pas fait l’amour avec Ruby. Comment pouvait-elle comparer les deux, maintenant ? Cela était frustrant ! Il fallait bien qu’elle ait des éléments de comparaison pour faire son choix définitif. Parler de Ruby ne motivait pas trop Malaurie, ce que Chengzu pouvait comprendre, mais c’était précisément l’un des points sur lequel il souhaitait revenir. Il fallait clarifier les choses avec lui. Chengzu voulait que Malaurie lui appartienne, qu’elle appartienne à son clan, et, pour ça, elle allait devoir rompre ses liens avec Ruby. Voulant le motiver, Malaurie remua sur place, plus férocement, et rejoignit le lit, invitant Chengzu à la rejoindre. Il sourit doucement en regardant l’oreiller puis elle.

« Ma pauvre… Si seulement tu me l’avais dit avant… Regarde comme tu trembles d’excitation devant moi, comme tu as envie que je te baise. Jamais personne ne t’aura bien baisé avant ce soir que moi, sache-le bien ! »

C’était de la vantardise, mais il savait aussi ce qu’il disait, et de quoi il était capable. Il avait eu d’excellents formateurs en la matière, des personnes qui avaient fait de lui ce qu’il était actuellement. Chengzu voulait naturellement dispenser ce savoir à Malaurie, et c’était ce qu’il s’évertuait à faire. Chengzu se rapprocha d’elle, et lui sourit doucement, en caressant l’une de ses longues jambes.

« Je ne veux plus jamais que tu te caresses seule, Malaurie… Car cela signifie que je n’arrive pas à te combler ou à te satisfaire. Chaque fois que tu auras envie de te caresser, tu dois venir à moi, peu importe où je suis et ce que je fais… C’est mon rôle de veiller à ce que tu sois sexuellement apaisée. »

Il lui faisait une sacrée promesse. Malaurie était toutefois fébrile, impatiente. Chengzu sourit encore, et agit à nouveau. Il l’amena à se retourner, et lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Sa verge caressa ses fesses, et il la pénétra à nouveau, soulevant son pagne, avant de s’enfoncer encore dans sa chatte, et en profita pour gifler ses fesses. Sa main claqua sur son postérieur, et la claque résonna dans la pièce, tandis qu’il s’enfonça en elle, retrouvant avec plaisir sa chatte trempée. Dans cette position, il avait beaucoup plus de liberté, et la prit encore, tout en attrapant son voile, tirant dessus pour la maintenir, l’empêchant ainsi de s’effondrer sur le lit. Le voile finit néanmoins par glisser, révélant les longs cheveux violets de Malaurie qui remuaient sur son dos.

Chengzu la fessa encore, giflant son postérieur avec force.

« Quand on aura fini… Et quand tu seras en mesure de le faire, hmmm… Je veux que tu invites Ruby ici, et… Hmmm… Qu’il te fasse l’amour aussi fort qu’il le peut, qu’il te baise comme je le fais. Je veux voir… Avec qui tu prendras le plus ton pied, ma belle religieuse ! »

Et, ainsi, qu’elle lui appartienne définitivement !

Malaurie allait connaître la levrette. Doucement elle se positionna à quatre pattes avant de sentir le bélier dans son dos. Il plaça son gland à l'entrée de son sexe et elle soupira d'aise. Bien sur, elle l'écoutait en même temps, lui parler de cet oreiller... Et c'était compliqué de rester concentrée ! Elle retenait simplement que Chengzu ne voulait plus qu'elle se masturbe d'elle-même mais qu'elle aille le voir à chaque fois. C'était chaud... Si elle avait autant de plaisir avec lui, cela promettait qu'elle aurait autant de plaisir à chaque fois ? A cette idée se retrouva mélanger la soudaine sensation de sentir le sexe de Chengzu en elle. Son gland repoussa ses chairs jusqu'au cervix et cela lui provoqua un soudain long et bestial gémissement. Ses doigts se serrèrent sur les draps en latex en un grincement bien caractéristique... Elle s'installa mieux, se coinçant le visage contre l'oreiller avant de soupirer et de gémir comme jamais. La peau de la Ushi était luisante de transpiration et elle brillait autant que le latex sur elle ! Débarrassée de son voile, ses cheveux firent une belle cascade rose sur son dos alors qu'elle s'offrait au sexe du bélier.

"Haaan fuck ! Oooohh ! Oooohhh !"

Son cul était déjà bien rougie des claques de son partenaire et la Ushi se sentait totalement envahie par le bélier. Il lui parla de se faire baiser par Ruby, très très fort. A ce mot elle eut un moment de lucidité.

"Arrête... de parler... de ruby... Hmmm... Ooooh..."

Elle s'étouffait dans son oreiller, en vrai elle n'arrivait pas à penser correctement. Seul le plaisir de cette pénétration l'occupait. Elle poussa un long soupir sous Chengzu qui lui matraquait le sexe de son mandrin. Malaurie se contracta comme jamais avant qu'un puissant jet de cyprine ne trempe le lit sous elle ! L'instant d'après, la religieuse regarda la grande trace humide sous elle avant de se sentir honteuse... Venait-elle de pisser ? Elle ignorait totalement ce qu'était l'éjaculation féminine... Mais là elle venait de le vivre !

"Fuccck... J'ai... J'ai mouillé le lit ?..."

Mais l'odeur n'était en rien de l'urine... Son questionnement était néanmoins brumeux, occupé par l'image de Chengzu la prenant...

Parler de Ruby n’était de toute évidence pas la priorité de Malaurie en ce moment même… Ni même de Chengzu. C’était plutôt son objectif. L’homme avait toujours été méticuleux. Pour faire de Malaurie sa concubine, il fallait enterrer sa relation avec Ruby. Et, pour ça, il fallait que Malaurie n’ait aucun regret, aucune hésitation, aucune hypothèse dans sa tête. Il la voulait entièrement à lui, pleine et dévouée, et était curieux de voir jusqu’où elle était capable d’aller. Leur jeu ne faisait que commencer. Ils avaient juste franchi un cap, atteint un nouveau niveau dans la joyeuse corruption de Malaurie. Cette nonne fermée, mais non moins violente, suffisamment violente pour défoncer une porte le premier soir de son arrivée à Nachtheim, allait connaître une nouvelle vie. Chengzu continuait à la prendre, et ne tarda pas à sentir, plus vite qu’il ne l’aurait pensé, le premier orgasme de Malaurie. Elle se réfugiait contre l’oreiller, privant Chengzu de ses soupirs. La levrette était sa position favorite, car c’était celle où il avait le plus de place, et où sa nature d’homme-bélier s’affirmait le mieux. Là, comme ça, il pouvait butiner ses partenaires, les pénétrant avec force et rapidité. Il alternait volontiers le rythme, devenant un bélier sexuel, sa hampe de chair défonçant méthodiquement et à un rythme soutenu le corps de ses partenaires. Malaurie n’avait pu y résister, et s’abandonna donc à ce plaisir.

Il sourit donc en la sentant jouir, et ralentit le rythme, jusqu’à être assez immobile en elle. Ses joues avaient rougi, et la sueur commençait à perler sur son corps. L’adrénaline qui battait dans ses veines annihilait toutefois toute sensation de fatigue ou d’épuisement.

« Hmmm… Pas que le lit, ma belle… Tu n’avais jamais joui autant, hein ? Je t’ai fait grimper aux rideaux plus vite et plus fort que Ruby ne l’aurait jamais fait… Mais notre séance ne fait que commencer, ma chère. Tu es destinée à devenir ma partenaire privilégiée, je vais te former, t’entraîner pour que tu tiennes la cadence… »

Chengzu recommença alors son rythme, et tirta sur les cheveux de Malaurie, la relevant.

« Ne te cache pas derrière ton oreiller, n’aie pas honte de ce que tu ressens. Hmmm… Tu dois pleinement accepter qui tu es, et ce que tu aimes… Accepte ma verge en toi, Malaurie ! Accepte l’idée que tu aimes être ma salope, ma pute personnelle ! »

Chengzu la fessa encore, tirant sur ses cheveux, et recommença à la butiner, à la prendre en levrette. La chair claquait contre la chair, le latex crissait, et il baignait sa queue avec délectation dans un antre très humide, mouillé comme jamais. Sa verge coulissait ainsi sans difficulté. Et, tout en la prenant ainsi, en haletant et en grognant, il s’humidifia les doigts, et enfonça son pouce dans le fondement de Malaurie, le glissant en elle, lubrifiant sa porte arrière.

« Je vais te baiser par là ce soir, ma salope… Hrmmm… Te baiser par tous les trous ! Je suis curieux de voir là où tu prendras le plus ton pied, Malaurie ! »

Elle était sa petite chose, et le dominateur était cette fois pleinement lancé !

Malaurie aurait put se débattre, fuir son étreinte, se libérer du bélier en usant de sa force physique jumelé à son exceptionnelle endurance et sa force vitale... Mais ce don qu'elle avait utilisé pour se battre et se défendre toute sa vie se retournait contre elle ce soir. Chengzu ne lui laissait aucun répit et avait surenchéri juste après l'orgasme de Malaurie. Par le passé, elle aurait repoussé son partenaire pour s'allumer une cigarette et passer à autre chose. Mais déjà c'était quelque chose qu'elle aurait fait avant de rentrer dans les ordres, et ensuite c'était quelque chose qu'elle aurait fait très naturellement... Chengzu aurait put recevoir un bon coup de pied bien vénère pour l'expulser du lit et qu'elle sorte de ce traquenard...

... Si elle avait eut envie d'en sortir ...

Au lieu de ça, ses yeux étaient encore dans le vide et à moitié révulsés alors qu'elle se faisait limer juste après l'orgasme. Son clitoris gonflé de plaisir recevait un coup de la part des testicules de son amant à chaque vas et vient profond, qui s'accompagnait d'une giclure de cyprine. Ses seins s'agitaient de haut en bas en un mouvement de balancier si agréable à regarder. Elle sentait même arriver un étrange plaisir orgasmique se manifestant par une chaleur intense dans son être, des éclairs remontant le long de sa colonne vertébrale jusqu'à son parenchyme cérébral. En plus de ça, Chengzu ne se priva pas pour parler de Ruby à nouveau. Sa chatte se contracta au son de son nom alors qu'elle serra les dents d'un léger orgasme... Rapidement ramené à une vraie jouissance quand une claque sur son postérieur amena son rectum à recevoir la visite inattendue du pouce de Chengzu !

"Wait ! Oooooh !!! OooOoooohhhh !!! "

Non seulement elle trempa le lit à nouveau d'une giclure de cyprine qui macula le matelas, mais en prime elle eut une étrange montée de lait liée à son plaisir. Son corps tout entier venait d'éjecter ses fluides d'amour... Sidérée d'un orgasme puissant et inégalé en terme d'intensité, elle revint finalement suffisamment à elle pour repousser son partenaire. Visiblement, si Malaurie décidait de se dépêtrer d'une situation, elle le pouvait. De son pied elle le plaqua contre la hanche du bélier avant de le pousser hors d'elle. Malaurie se défit de son empoignement avant de rapidement se retourner pour revenir à genoux sur le lit. Elle toisa Chengzu de son regard vairons. Son vagin était détrempé et ouvert, son clitoris en pleine érection le surmontant fièrement. Les seins de Malaurie échappaient quelques giclures de lait tant ils étaient pleins... Elle s'était même bavé dessus jusqu'à son décolleté. Quand à l'état du matelas sous elle, ce n'était pas ici qu'elle allait pouvoir dormir...

"Je t'ai dit d'arrêter de parler de Ruby... Tu n'en fais vraiment qu'à ta tête..."

Elle s'approcha de Chengzu et l'embrassa à nouveau. Sa main descendit sur son corps pour venir flatter sa verge en douceur, la maintenant toute dure. Elle roula sa langue avec la sienne, reprenant un peu de contrôle avant de libérer sa poitrine totalement du latex, se couchant sur le dos dans le lit en écartant en grand les cuisses. Le missionnaire était une de ses positions favorites et pour l'instant le bélier le lui avait interdite. Elle empoigna ses seins, les faisant un peu gicler de leur précieux lait tout chaud en les comprimant l'un contre l'autre.

"Vient, prend-moi dans cette position... Et goûte à mon Amour de Gao Mata. Toutes tes blessures, toute ta fatigue... Tout sera cicatrisé et oublié... En buvant à mon sein, tu pourrais bien me faire l'amour toute la nuit ! Tu pourrais bien préférer ça à mon sang..."

Malaurie ne savait pas cependant que son lait... allait vraiment rendre accroc Chengzu !

La petite référence à Ruby n’échappa pas à Malaurie, qui, après ce puissant orgasme, avait très envie de lui faire encore l’amour. Chengzu sentit encore une fois sa force, et dut se rappeler que, sous ses airs doucereux, cette femme pouvait être une véritable tête brûlée, qui avait défoncé une porte sans grande difficulté. Elle le repoussa donc, et s’étala au milieu du lit, faisant grincer ce dernier. Elle lui avait roulé un patin incroyable tout en le masturbant. Sa verge trempée avait conservé son érection, et il constata que Malaurie avait… Une remontée de lait. Il avait consqtaté cette brusque montée sanguine en effleurant son fondement, et il savait qu’il la sodomiserait ce soir. Visiblement, elle avait sur ce domaine un fantasme refoulé. Chengzu se racla la gorge, et se rapprocha alors, avançant à quatre pattes.

« Très bien, ma chérie… Notre nuit ne fait que commencer. En fait… Je compte même te baiser jusqu’à l’aube. Si je le fais, je mériterais bien une récompense, tu ne crois pas ? »

Sa verge glissait sur les jambes de Malaurie, remontant jusqu’à son bassin, et se frotta contre son intimité ruisselante, ouverte. Il approcha son visage de celui de Malaurie, et posa une main sur l’un de ses seins. Il pinça un téton entre deux doigts, et entendit Malaurie gémir, tandis que le lait fusa entre ses doigts, une ligne tombant sur la joue gauche de Chengzu. Il laissa Malaurie lécher sa joue, puis l’embrassa à nouveau.

« Faire de toi une von Nacht, par exemple… » souffla-t-il rapidement

Malaurie n’eut pas le temps de répliquer qu’il la pénétra encore, et pinça à nouveau son sein Sa partenaire hurla de plaisir, et il s’attaqua à ce sein Ishtar lui avait souvent dit que le lait d’Ushi était un lait d’une qualité rare. À Inferis, c’était un mets de luxe, et les quelques barriques de laits d’Ushis se vendaient à un prix largement prohibitif. Il frémit au contact du lait de Malaurie… Et sentit une vague remonter en elle, si forte et si inattendue qu’elle durcit sa queue, et l’amena à jouir de manière très précoce ! La surprise pouvait se lire dans les yeux de Chengzu, qui continua à la prendre, sentant le lait durcir à nouveau sa queue, le faisant frémir.

*Par tous les vampires, ce lait !*

Il se devait bien de l’admettre, le lait de Malaurie était divin ! Il n’aurait jamais cru ça possible, mais il le trouvait même meilleur au sang ! Il l’avalait donc, avidement, sentant bien que se faire traire ne déplaisait pas à Malaurie. Joueur, quand Chengzu allait d’un sein à l’autre, il se redressait, et l’embrassait sur les lèvres, partageant avec elle son propre lait, dans un ballet sensuel, et malgré tout romantique…

La baise dura toute la nuit... Il n'y avait pas d'autres mots : Chengzu était une bête. Malaurie qui avait imaginé pouvoir se dépêtrer de cette pulsion sexuelle pour redevenir normale, finalement elle céda à ce plaisir toute la nuit. Seule frustration pour le bélier cette nuit là : Malaurie refusa catégoriquement la sodomie. Elle ne l'avait jamais subie et pour le moment son égo couplé à son éducation religieuse le lui interdisait. Quand le bélier se proposait à le faire, elle le repoussait ou plaquait sa main sur son anus. Ce fut impossible de la forcer. Cela ne les empêcha pas de faire toutes sortes de positions. Levrette, missionnaire, pilon, mating press, même une tentative de full nelson, mais Malaurie était plus lourde que Theorem... Quand l'éclairage publique de Nachtheim reprit en intensité pour signifier le jour, Malaurie était épuisée au bord du lit. Sa tenue en latex était en lambeaux. Elle comatait au centre du lit, trempée de sueur et de fluides sexuels. Les orgasmes s'était succédés et maintenant elle était épuisé malgré son endurance et sa force vitale. Même Chengzu qui n'en était pas à son premier rodéo devait bien avouer que Malaurie l'avait épuisé plus que de raison. Elle se redressa enfin, les cheveux hirsutes et encore une capote usagée accrochée dans ses cheveux pour s'allumer une cigarette qu'elle fuma sur le dos en regardant le plafond.

"Tu es un vrai animal..."

Elle tira sur sa cigarette avant de recracher la fumée vers le plafond en soupirant doucement. En vrai, son esprit était en plein ébullition. Elle pensait à son chéri resté au pays et à la trahison qu'elle venait de faire. Elle se couvrit un instant le visage en jurant dans sa langue natale avant de tirer une nouvelle latte. Malaurie aimait Ruby, de tout son coeur. Il la comprenait, l'avait traité en égal, l'avait attendu... Et maintenant elle écartait les cuisses pour ce bélier... certes fort séduisant... ok, totalement sexy... ok, carrément superbe. Mais Chengzu ne savait rien d'elle et Malaurie se doutait qu'il l'utilisait comme un énième vagin à sa portée... Elle était loin d'imaginer que Chengzu était principalement entouré de Theorem et d'Ishtar, tout deux équipés d'un pénis et d'un anus mais de rien d'autre... Enfin pour Theo ça restait à prouver. Confuse, elle se redressa avant de constater que sa tenue était ruinée, ce qui l'empêchait de partir sans rien demander.

"... Tu pourrais me trouver quelque chose ?... Tu me l'as complètement déchirée, je ne peux pas sortir comme ça..."

Malaurie avait besoin d'un autre plan de sortie. Elle pensait encore pouvoir se défaire de l'emprise de Chengzu... Et que tout ça n'avait été qu'un coup de queue épisodique.

Ils baisèrent toute la nuit. Chengzu goûtait avec joie au corps de Malaurie, même s’il grogna à plusieurs reprises quand elle se refusa obstinément à la sodomie. Il aurait pu la forcer, mais il ne le fit pas. Pour une raison inconnue, Malaurie s’opposait à cet acte sexuel, que Chengzu interpréta comme la dernière barrière à franchir pour qu’elle soit définitivement à lui. Cela ne l’empêcha nullement de la prendre dans tous les sens, de la faire hurler, de la gifler, de la pincer, de la mordre. Les préservatifs n’étaient qu’un luxe parmi tant d’autres, car, en tant que vampire, Chengzu était de base infécond. À plusieurs reprises, Malaurie demanda grâce, à ce qu’il s’arrête, et, si Chengzu lui accordait des pauses, il reprenait ensuite. Il la baisa sur le lit, contre chaque mur, la porte, le sol, la fenêtre… Elle bava dessus, renversa plusieurs meubles, et, quand l’aube se leva, Malaurie gisait prostrée sur le lit. Sa tenue de nonne avait été déchirée par les coups de reins et les griffes de Chengzu. Couché sur le lit, il l’avait laissé s’affaler sur lui après qu’elle l’ait chevauché, sa voix se cassant lors d’un énième orgasme. Malaurie resta là, contre lui, tandis que son membre dormait paisiblement dans sa chatte, avant qu’elle ne se redresse.

Chengzu sortit également une cigarette, et fuma. Il la laissait reprendre ses esprits, et, tandis qu’elle le faisait, elle lui demanda un nouvel habit. Chengzu sourit brièvement.

« Ce n’est pas impossible… »

L’homme avait à vrai dire plusieurs tenues pour elle, et d’autres qu’il était encore en train de fabriquer. Il sourit doucement, et se releva ensuite. Nu, Chengzu ne portait plus que ses gants. Il rejoignit une grande penderie, et l’ouvrit ensuite. Chengzu ne tarda pas à trouver ce qu’il cherchait, et attrapa la tenue, protégée derrière une housse. Malaurie put ainsi voir la tenue. C’était une bodysuit violette et noire, qui épousait plutôt bien la couleur des cheveux de Malaurie. Chengzu l’accrocha, et laissa Malaurie la regarder. Le collier qui ornait son cou avait plusieurs mots brodés à l’intérieur : « PROPIÉTÉ VON NACHT ».

Chengzu se racla la gorge pour poursuivre :

« Commence par te doucher, tu es toute sale… Tu l’enfileras ensuite. Je l’ai conçu moi-même, rien que pour toi. Elle te plaît, n’est-ce pas ? »

Dit comme ça, elle n’avait pas vraiment la possibilité de revenir sur ce que Chengzu lui offrait…

Malaurie ne recula pas devant le fait de prendre une douche. Elle le fit avec beaucoup d'attention et seule. C'était un peu comme une pause et elle se débarrassait de la sueur de cet homme en elle et sur elle. L'eau la nettoyait mais à Nachtheim comme tout était contrôlé, elle dû s'arrêter après moins de 5 minutes. Dans l'intimité de la salle de bain, elle se sécha avec soin avant de se regarder dans le miroir. Son regard vairons toisa son corps nu avec une certaine forme de critique. Bon, ça avait été une partie de jambes en l'air délicieuse mais... Elle ne pouvait pas faire ça à Ruby... Ou pas comme ça. Elle allait le faire venir au plus vite dans cette région dévoyée. Puis après un petit maquillage discret, elle quitta la salle de bain pour tomber sur la tenue sélectionnée par Chengzu. Il y eu un silence puis elle leva les yeux vers lui.

"Ca va pas ? Je vais pas mettre ça !"

Ces bottes allaient lui ruiner le dos... Et puis elle ne pouvait même plus aller aux toilettes avec un objet pareil autour des hanches... Et puis ce superbe soutien gorge chromé était là pour l'empêcher de se faire du bien ?... Malaurie devait être traite deux à trois fois par jour, surtout quand elle recevait autant de sexe. Doucement elle regarda le latex en se mordillant la lèvre inférieure avant de lever les yeux vers Chengzu.

"C'est du sur-mesure en plus..."

Il avait dû y mettre le prix. C'était donc ça la façons dont les Nachtois témoignaient leurs amours ? Elle se demandait quand même comment ça allait tenir sur elle.

"Bon OK, je la met mais juste le temps de mettre autre chose !"

Pour enfiler tout ça, Malaurie ait besoin du concours de son amant. Ce n'est qu'une fois totalement habillée et la ceinture de chasteté en place tout comme le bonnet de soutient gorge qu'elle put enfin se mater dans le miroir et se trouver... attirante ?... C'est comme si sa beauté était transfigurée par sa tenue. Rien au dessous de son menton n'était montré et pourtant elle se sentait presque à poil. En plus ses mouvements étaient très aisés... Elle replaça son voile avant de regarder Chengzu une dernière fois.

"Je vais à mon église, je dois me confesser de toutes les conneries qu'on vient de faire... "

Malaurie quitta la chambre sans se retourner... Et temps mieux. Elle avait vu l'érection de Chengzu quand il l'avait découverte totalement habillée. Elle avait vu son excitation... Et cela lui avait donné envie de le refaire... Mais elle devait résister à cette terrible sensation. Quittant son amant, elle se mordillait la lèvre mais surtout un fin filet de cyprine coulait de sa cage de chasteté... La prière allait être difficile, mais la matinée ?...

.. Impossible...

- FIN -

The Multiversity

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