The Multiversity

La pizza risquait finalement de vite refroidir. Azelia avait pensé à la préparer, car elle savait que les humains aimaient bien manger, et elle s’était aussi dit, en démone affectionnée qu’elle était, que Tsukiko aurait aimé manger après avoir passé plusieurs heures en cellule. Mais, finalement, la soif de sexe dominait tout le reste. Elle lui avoua qu’elle n’avait aucun fantasme véritablement inassouvi, puis lui rendit la pareille. Sensuelle, provocatrice, cette Tsukiko lui plaisait de plus en plus ! Elle se désintéressait elle aussi de la pizza, ce qui fit qu’Azelia attrapa les cuisses de Tsukiko, et l’aida à pivoter sur elle. Plutôt qu’être dos à elle, Tsukiko se retrouva ainsi contre elle, leurs seins se heurtant. La main d’Azelia se posa ensuite sur le généreux fessier de sa partenaire, et elle lui sourit sensuellement, avant de l’embrasser à nouveau, sur les lèvres. Un baiser sensuel, empreint d’une certaine forme de tendresse, exprimant autant le désir que le plaisir d’Azelia vis-à-vis de son interlocutrice.

« Je crois que tu as une autre faim à combler que celle de ton ventre… »

Azelia n’avait pas encore répondu à la question de Tsukiko. Encore une fois, elle se demandait si son erreur de jugement initiale ne venait pas du fait qu’elle av ait pensé avoir affaire à une simple humaine. De toute évidence, Tsukiko était davantage que ça, même si elle ne semblait pas en avoir conscience. Cela arrivait parfois. Des humains hybrides ayant des gènes démoniaques, c’était classique à Mijak, et ils n’avaient pas forcément conscience de leur lignage génétique. Tsukiko était peut-être dans ce cas-là… Ce qui ne manquait pas d’une certaine ironie, puisque l’affaire sur laquelle les deux femmes s’étaient rencontrées concernaient justement des hybrides !

Tout en la palpant, Azelia prenait son temps, sa verge toujours nichée dans la chatte de Tsukiko. Être sa prostituée… Azelia commençait à envisager des possibilités. Elle écarta alors la chaise, puis se releva, et plaqua Tsukiko contre la table, non sans avoir préalablement écarté son plat à pizza. Azelia avait un autre plat à dévorer. Elle se tint debout, tout en couchant Tsukiko sur le flanc de la table, et commença à donner des coups de reins prononcés en elle, sa verge solide remuant dans la délicieuse chatte de l’enquêtrice.

« Devenir ma prostituée… Hum… Tu porterais des tenues insolentes pour aller tapiner dans la rue, hum ? Ne me tente pas, ma chérie, haaa… Je prendrais un grand plaisir à te voir sombrer dans la luxure, hmmm… Offrir ton insolente croupe à des pervers libidineux qui te besogneraient en pleine rue la nuit… Mais pas ce soir, haaaa… Ce soir, tu m’appartiens, Tsukiko, et je compte bien te baiser dans chaque pièce de ce grand appartement ! »

Sur le flanc, puis couchée sur le dos, ou à nouveau sur le flanc, Azelia guidait le délicieux corps de sa partenaire. Elle la coucha sur le dos, et se pencha ensuite sur elle, venant lui voler un baiser en se pressant contre elle, avant de se redresser, et de remuer encore dans sa chatte trempée.

« Des fantasmes, j’en ai beaucoup quand je te vois, hmmm… Et je compte bien les réaliser ce soir, sur toi et sur ton corps parfait, ma chérie ! »

Ah... ce que je peux l'aimer cette démone et sa merveilleuse queue... Je pourrais y devenir accroc carrément. J'en ai connu des coups dans ma vie, et je vais sûrement en connaître d'autres, mais des aussi bons, à part mes sœurs, je n’en connais pas ou vraiment peu. De toute façon, je n’ai pas la tête à réfléchir à ce genre de connerie. On s'en branle ! Cette nana me baise et elle le fait bien, c'est tout ce qui compte.

Elle me fait pivoter pour que je lui fasse face et je dois reconnaître que je préfère cette nouvelle vue. Non pas que je n’aime pas sa cuisine hein, elle est très belle mais reluquer Azelia, c'est du concret. Nos gros seins s'écrasent les uns contre les autres et je goûte de nouveau à ses lèvres. Mais je peux sentir que ce baiser est différent, bien plus celui d’une amante que d’une simple baise. Ça ne me dérange aucunement, au contraire, ça doit signifier que je lui plais.

- Ça se remarque tant que ça ?! Moi qui pensais pourtant si bien le cacher ! Je ris, moqueuse, taquine, et reprends : - Je crois bien que mon autre bouche est très gourmande de votre saucisse Maîtresse.

Je continue ensuite de me mouvoir sur son sexe, me redressant et m’empalant continuellement dessus, profitant aussi du mouvement pour que mes tétons durcis frottent contre ceux de ma sublime partenaire. Je prends mon pied, très clairement. Et ma vilaine démone aussi qui se lève, tout en me gardant contre elle, pour m’allonger sur la table et me sauter encore et encore, avec toujours plus de férocité, toujours plus de volonté de me marquer de son empreinte. Je lui gémis mon plaisir, la motivant à me démonter comme elle le fait, et l’écoute me parler, répondre à ma question sur la prostitution qui fut pourtant posée surtout pour déconner.

Mais sa réponse ne faisait que m’exciter d’autant plus que mon imagination travaillait. Me faire sauter par n’importe qui, me faire fourrer par la première queue venue, me faire sombrer dans la luxure. Je ris en l’écoutant. Enfin j’essaie de rire car je suis surtout occupée à exprimer mon plaisir. Je reconnais que son idée pourrait beaucoup me tenter. J’aime les jeux de rôles et je pourrais bien me sentir tentée d’être une véritable pute si ça pouvait lui faire plaisir et si…

- Hanw… Maîtresse… Je ferais tout ce que vous voudrez… Ah… Je me ferais sauter par n’importe qui dans les rues de la ville… Laisserais mon corps soulager la conscience des plus gros pervers… Han… Si cela faisait votre bonheur et me donnerait le droit d’être récompensée…

Je lui souris, le visage un peu déformé par la baise que je subis, tandis qu’elle me prend dans un peu tous les sens, m’offrant un véritable océan de sensations exquises et de façon de sentir sa bite en moi. Elle compte me baiser dans chacune des pièces de cet immense appartement et j’espère qu’il y a encore des pièces cachées alors pour faire durer le plaisir le plus longtemps possible !

Nous nous embrassons de nouveau, retrouver cette sauvagerie initiale. Je peux sentir la chaleur qui l’habite juste au travers de ses lèvres. Je passe mes bras derrière sa nuque, profitant de l’instant, remuant un peu des hanches contre elle, avant qu’elle ne se dresse finalement, laissant mes bras glisser de sa nuque à sa poitrine, malaxant ses seins pendant que je me fais pilonner. Elle m’avoue avoir des fantasmes à réaliser et que je pourrais l’y aider. Toujours dans mon rôle, je reprends :

- Hanw… Je ferais tout pour vous servir Maîtresse… Je réaliserais vos fantasmes… Han… Ordonnez et j’obéirais…

Plus le temps passe, plus je l’aime bien mon rôle de la petite soumise, ça a ce petit quelque chose qui pimente nos rapports. Ça… et la nouvelle montée de l’orgasme qui se profile peu à peu à l’horizon…

Ce qui ne devait être qu’une relation purement professionnelle prenait une tournure de plus en plus personnelle. Assurément, Tsukiko gagnait à être connue. Si toutes ses sœurs étaient comme elle, Azelia aurait très envie de les voir ! Mais, pour l’heure, elle savourait sa belle Tsukiko, qui avouait sans peine avoir envie de goûter à tout ce qu’Azelia avait envie de lui faire, y compris se prostituer. Azelia ne put donc que sourire, se visualisant déjà prostituer la belle Tsukiko. À ce stade, il était possible que son amante dise tout cela juste pour lui faire plaisir, mais Azelia ne le pensait pas vraiment. Non, elle sentait clairement chez sa partenaire une luxure exquise, un puits sans fin de perversité sexuelle. Cela ne put que faire sourire Azelia, qui coucha Tsukiko sur le dos, et continua à la prendre sur la table à manger. Elle la pénétrait avec force, sa trique s’enfonçant en elle jusqu’à la garde. Azelia soupira, et ses yeux luisaient d’une intense lueur rose. Sur son pubis, un cœur magique venait de se former, un inmon, véritable tatouage magique qui exprimait tout le désir d’Azelia en ce moment.

« Voilà des mots que je ne risque pas d’oublier de si tôt, ma belle Tsukiko-chan… »

Azelia sourit, et se pencha vers Tsukiko. Elle l’embrassa avec envie, puis la souleva, et alla la plaquer contre les plus proches meubles. Son corps rebondit ensuite contre le sien. Azelia soupira, et la pénétra de nouveau, amplifiant le rythme, sa queue filant pour repartir en elle, glissant sur plus d’une dizaine de centimètres. Azelia se retirait ensuite autant qu’elle le pouvait, puis reprenait son office, son corps filant en avant, plaquant à nouveau le corps de Tsukiko contre le placard. Soupirant contre elle, Azelia se laissait aller, amplifiant le rythme, encore et encore, sa queue épaisse se perdant dans la chatte trempée de sa partenaire.

« Haaaa… Haaaannn… »

Azelia continuait à la prendre, si bien que Tsukiko ne touchait même plus le sol. Qu’elle était belle ! Sa peau douce, ce corps tendre et ferme… Azelia était curieuse, alors elle se lança alors, en se disant que, vu l’état de désir de Tsukiko, elle serait vite fixée sur la suite :

« E-Et si je me transformais en chien, et que je te baisais dans le salon, cela t’irait aussi, ma belle petite… S-Salope… ?! »

Elle ne reste pas de marbre face à mon petit jeu de rôle. Mieux que ça, elle l'apprécie et prend un plaisir fou à faire de moi son esclave. Elle n'oubliera pas tout ce que je peux lui dire, tout ce que je peux lui faire et moi, je sais déjà que je ne voudrais pas oublier sa queue avec laquelle elle me pilonne. Nous nous embrassons de nouveau, toujours avec ce brasier qui nous consume. Je suçote sa langue quand elle me l'offre, mon regard étant des plus aguicheurs.

Finalement, elle me soulève, me balade de nouveau, me plaque contre un placard et me saute de plus belle. Elle m'empale sur elle, sa queue me transperçant avec force, frottant au fond de ma chatte dégoulinante de cyprine. Je ne tiens plus, je ne vais pas tarder à jouir. J'ai beau vouloir repousser l'échéance, mon endurance atteint ses limites. Elle pénètre totalement ma garde, joue avec ma sensibilité, me fait totalement sienne. Elle me pose une nouvelle question, ma maîtresse stimule encore mon imagination. Dans un ultime effort, je lui donne réponse tant bien que mal, mes mots se trouvant couper par mes gémissements et ma respiration saccadée par l'intensité de notre baise, ayant le souffle coupé chaque fois qu'elle s'enfonce de nouveau en moi.

- Ah... Vous n'av... ah... n'avez pas à vous... ah... transformer pou.. ah... pour me baiser comme la... ah... la chienne que je suis Maît... ah... Maîtresse... Vous êtes déj... ah... parfaite et... ah... je suis votre sal... ah... salope !

Je ne tiens définitivement plus, je suis à bout. Elle peut sentir ma chatte se contracter fortement sur sa queue, cherchant à la pomper avidement alors que j'atteins la libération de l'orgasme, me cambrant contre elle, mon corps étant pris de spasmes tant ma jouissance est forte. Elle peut continuer de me culbuter autant qu'elle veut. De toute évidence, mon corps ne va plus me répondre pour les prochaines secondes. Je suis sur un petit nuage de bonheur. C'est trop bon de se faire sauter...

Maligne… Même en plein orgasme, Tsukiko ne répondit, ni par l’affirmative, ni par la négative. Elle éluda la question, amusant Azelia, qui la sentit ensuite s’abandonner contre elle. Ce spectacle était toujours magnifique, et Azelia l’observait toujours avec fascination. Les humains étaient si expressifs… Les voir jouir, c’était un pur bonheur, a fortiori les Japonaises. Avec leur peau pâle, l’orgasme se voyait d’autant mieux sur elles. Tsukiko ne fit pas exception à la règle. Voir ses joues s’empourprer, ses yeux défaillir, tout son corps se perdre… Oui, quand on voyait une femme orgasmer entre vos bras, quand on avait cette satisfaction ultime de l’avoir amené au paroxysme du plaisir, on ne pouvait que comprendre pourquoi on parlait de petite mort. C’était exactement ça ! Le corps qui s’abandonnait, l’orgasme qui vous transportait ailleurs, comme si une grenade éclatait dans votre tête pour séparer l’esprit du corps, vous plongeant dans un moment de félicité irréelle, de béatitude absolue. Et c’était précisément ça qu’Azelia vit chez Tsukiko.

« Là, ma belle, tu es tellement jolie comme ça… »

Azelia la laissa donc jouir contre elle. La démone ralentit un peu le rythme de ses pénétrations, et soupira à son tour, avant de jouir également. Sa verge balança d’épaisses quantités de foutre dans le corps de Tsukiko. De quoi l’enfanter, peut-être… L’idée ne déplairait pas à Azelia, mais elles ne seront fixées que d’ici plusieurs heures. Azelia s’affaissa ensuite contre Tsukiko, respirant longuement, et sentit peu à peu Tsukiko revenir à elle. Azelia l’embrassa à nouveau sur les lèvres, et caressa d’une main ses cheveux, reprenant elle aussi ses esprits.

« Tu reprends tes esprits, ma belle ? Car il y a encore beaucoup de pièces dans cet appartement… »

Et Azelia n’avait pas encore montré tout son talent. Elle retira son sexe du corps de Tsukiko, et la conserva contre elle. Elle l’enlaça, sa queue caudale venant caresser l’une de ses fesses.

« J’ai très envie de goûter à ton nectar, ma belle… As-tu envie de goûter aussi au mien ? »

Il ne serait pas trop difficile de trouver une position susceptible dans ce cas de convenir aux deux parties…

Je me remets peu à peu de ce petit voyage que m’a offert Azelia, sentant son foutre se répandre encore un peu en moi. Cette divine sensation de chaleur, jamais je ne pourrais m’en passer. Nous nous embrassons de nouveau dans un petit élan de douceur et tendresse. Je ris à sa petite remarque qui me rappelle qu’on n’est clairement pas prête d’arrêter de baiser ensemble.

- Je serais toujours prête à vous servir Maîtresse…

Je glousse de rire, conservant mon petit jeu de rôle, sentant son chibre se retirer de moi. Je frissonne à la sensation que cela me procure pendant que son autre queue me caresse avant que la superbe démone me fasse une très belle proposition.

- Votre nectar, votre lait, votre peau, je veux tout goûter de vous… Faire de votre saveur la seule qui me fasse envie et la seule capable de me satisfaire.

Je lui tire la langue, amusée, avant de me redresser. Son sperme coule alors un peu de ma chatte et je viens en laisser quelques gouttes perler sur mes doigts pour les amener à mes lèvres et les lécher.

- Je crains que mon nectar ne se soit un peu mélangé avec votre lait d’ailleurs Maîtresse. J’espère que vous aimez les smoothies.

Encore une petite taquinerie me faisant rire. Nous nous dirigeons ensuite vers le salon. Hop, petit changement de pièce ! Nous retournons sur le canapé où nous étions à la base. En toute bonne soumise que je suis, je m’allonge en première pour laisser à celle qui me domine le plaisir de se placer au-dessus et donc, de me surplomber une fois encore.

Je reconnais être impatiente à l’idée de la goûter d’une façon différente. Elle se positionne et nous voilà désormais prête pour la mythique et superbe position du 69 que nous ne présentons plus. Sans plus attendre, je viens… me saisir de sa queue pour la sucer. Eh oui ! Ce n’était pas ce qui était prévu au programme mais j’ai une bonne raison de faire ça. Je continue encore un peu, laissant bien ma langue passer partout, avant de libérer le pénis de ma bouche.

- En toute bonne servante que je suis, je me devais de nettoyer votre belle queue Maîtresse. Maintenant, nous pouvons passer aux choses sérieuses !

Je délaisse la colonne de chair au profit de ses lèvres intimes dont je débutes sans plus attendre la dégustation, attrapant bien vite sa croupe pour plaquer son intimité dégoulinante contre mon visage afin de faire preuve d’une certaine dévoration pleine de luxure.

Azelia disposait encore de son sexe féminin. Le développement de sa verge était lié à son clitoris, qui s’étirait et se transformait pour devenir une verge, mais il était toujours possible d’accéder à sa chatte. La démone aurait bien sûr pu rétracter son membre, surtout après avoir joui, mais elle conserva ses deux sexes pour l’heure. Tsukiko reprenait doucement ses esprits, et, tout comme Azelia, elle était loin d’en avoir assez. Elle laissa Tsukiko la flatter. Azelia n’était pas particulièrement orgueilleuse, mais elle sentait un fond de sincérité dans ce que disait Tsukiko. L’humaine avait visiblement beaucoup apprécié ce début de nuit. Il est vrai que, après avoir été attachée à une chaise, Tsukiko avait droit à un réconfort tout à fait spécial.

*Le réconfort après l’effort, dit-on… Encore que, dans notre cas, il y a beaucoup d’effort dans le réconfort.*

Le penthouse était grand, et le duo retourna dans le grand salon central. Azelia caressait le dos nu de Tsukiko, et sa queue caudale profitait de chaque instant pour caresser les jambes de son humaine. Elle réfléchissait déjà à la suite. Azelia ne pensait pas que Tsukiko serait favorable à l’idée de devenir son esclave, elle était indépendante, mais l’idée de tisser des liens, de l’amener à Mijak pour la baiser là-bas, ou de découvrir les origines de Tsukiko…

Tandis que Tsukiko cherchait quoi faire, Azelia posa naturellement sa main sur la croupe de son amante.

« Je te laisse choisir, ma belle… »

Et elle choisit. Tsukiko se rapprocha du canapé où elles avaient été initialement, et demanda un 69. Azelia sourit, et se coucha donc contre elle. Elle soupira alors quand Tsukiko se jeta sur sa queue, et la suça, nettoyant son sexe. Sa queue avait encore ici et là de la semence collée dessus, que Tsukiko nettoya donc, ce qui durcit à nouveau la queue d’Azelia.

« Petite gourmande… Sois-en sûre, cette belle queue va te labourer à nouveau. »

Tsukiko déplaça ensuite son visage. Azelia attrapa son sexe, et redressa sa verge, puis s’allongea ensuite contre le corps de Tsukiko. Elle remua d’avant en arrière, se masturbant aussi sur le corps de Tsukiko, sa queue glissant sur son torse, la pointe titillant leurs seins. Sa queue étant coincée entre leurs corps, elle était joyeusement stimulée, tandis qu’Azelia offrit à Tsukiko le goût divin de sa mouille. Son nectar intime était légèrement aphrodisiaque, mais Azelia n’était pas non plus une succube pure souche. Néanmoins, vu l’excitation respective des deux femmes, elles ne devraient sentir aucune différence.

Gémissant doucement, Azelia lécha l’intimité de Tsukiko. Sa langue pouvait prendre une forme reptilienne, qu’Azelia fit pour s’enfoncer en elle. Elle gonfla ensuite sa langue, remplissant le vagin de sa partenaire, son nez frottant sur son clitoris. Ses deux mains s’étaient posées sur les cuisses de son amante, les écartant, les caressant, tandis qu’elle léchait avidement.

« Hmmm, hmmm… »

Ne restant enfin pas en reste, sa queue caudale se déplaça à son tour, et s’enroula autour du cou de Tsukiko, serrant parfois, stimulant le corps de son amante, tout en vibrant chaudement contre son cou…

Ma fellanettoyage a fait plus que son effet puisqu'Azelia bande de nouveau. J'ai un grand sourire plus que satisfait quand elle m'annonce qu'elle compte bien me labourer de nouveau. Enfin même si je le savais déjà ça mais l'entendre le dire a ce quelque chose de particulièrement grisant.

Mais pour l'heure, je néglige complètement sa queue pour une autre partie très intéressante de son corps de bonnasse : sa chatte. Cela dit, avoir sa bite totalement ignorée semble ne pas être au goût de ma partenaire qui vient stratégiquement la caler entre nous pour la branler entre nous. Perso, ça ne me dérange pas, bien au contraire ! Si je le pouvais, je me ferais un énorme plaisir de la sucer tout en la léchant. Mais je ne peux pas. Alors qu'elle se fasse plaisir ! En plus, ses mouvements de bassin font frotter sa chatte toute mouillée sur mon visage qui finit bien vite totalement souillé. L’odeur érotique emplit pleinement mes narines et me pousse à en vouloir toujours plus. Alors je me donne à fond pour lui faire part de mon expérience en goûtant intensément à ce magnifique fruit de mer que j’ai sous les yeux.

Cependant, elle n’est pas en reste de son côté et se trouve même capable de prouesses qui me sont malheureusement hors de portée. Je peux sentir sa langue s’allonger et me découvrir plus profondément que je ne le fais chez elle. Sa langue est si longue et grosse que c’est limite comme si j’avais une queue en moi, sauf que celle-ci n’est pas raide et peut bouger dans un peu tous les sens. Je ne peux résister à mon envie de gémir, adorant la sentir me dévorer de l’intérieur. Avec ça, nous sommes toutes deux bien lancées.

Bien vite, ce sont des bruits relativement pervers qui raisonnent dans la pièce, trahissant notre plaisir à se bouffer mutuellement la chatte. Je lèche, je mordille, j’aspire, j’explore autant que cela m’est possible, je fais un peu tout ce qui est en mon pouvoir pour la satisfaire. Et bordel, j’avoue, je regrette de ne pas m’être réveillée avec une bite aujourd’hui car je me serais fais un vilain plaisir de la déboîter comme elle l’a fait et le fera encore avec moi.

Je peux sentir que ce n’est pas tout, son autre queue s’enroule autour de mon cou, ajoutant encore plus de sensations à ce 69. Je sais qu’elle ne voudra pas me faire de mal et la laisse jouer avec mon corps comme il lui plaît. Je m’amuse même à profiter des instants où elle serre pour être plus intense dans mon cunnilingus, comme si je répondais à un ordre de celle qui est censée être ma Maîtresse. Je m’amuse toujours autant de la situation et de ce jeu de rôle improvisé. J’aimerais lui dire à quel point tout ce que nous faisons ou bien ce qu’elle me fait est limite euphorique mais je suis bien trop occupée à avoir son intimité plaquée sur ma tronche, étouffant limite mes gémissements, pour le faire. Cela dit, je pense que l’entrain que je mets dans ma gourmandise et l’inondation que j’ai de mon côté se suffisent clairement à elles-mêmes. Et si déjà un simple double cunni suffit à me mettre dans cet état, dans lequel je vais encore me trouver quand elle me baisera comme sa sublime salope ?

Tsukiko était en train de découvrir toutes les joyeusetés qu’il y avait à coucher avec une démone. Outre son endurance renforcée, Azelia offrait aussi de nombreuses options supplémentaires à ce qu’une humaine standarde pouvait offrir. De quoi diversifier ses fantasmes et son expérience ! Ainsi, sa queue caudale partit à l’assaut du cou de Tsukiko. L’idée n’était pas de la mettre en danger, ou de la blesser, mais très clairement de la stimuler en jouant sur les contrastes liés au désir sexuel. De son côté, Tsukiko léchait son intimité. Impossible de titiller le clitoris d’Azelia. L’organe intime de Tsukiko s’était transformé en une belle verge qu’Azelia utilisait en se masturbant contre le corps de sa partenaire, filant d’avant en arrière. Sa queue était comprimée entre elles, et la démone soupirait longuement. Elle aussi, elle ne pouvait pas parler, elle se concentrait pleinement sur sa fellation, sentant la chatte de Tsukiko devenir très humide. Sa langue reptilienne partait à l’assaut, et Azelia finit par la replier, et par user encore de ses pouvoirs.

Sa langue devint ainsi bifide, et l’une des deux langues s’enroula autour du clitoris de Tsukiko, tandis que l’autre recommença à la sucer. Azelia déplaça également l’une de ses mains, et enfonça un doigt dans la chatte trempée de Tsukiko, la masturbant, avant de s’accompagner d’un autre doigt.

« Hmmm… »

Changer de forme, c’était une spécialité des démons, et Azelia ne dérogeait pas à la règle. Elle s’appliquait pleinement à la situation actuelle. Azelia continuait à soupirer, s’approchant doucement de l’orgasme, tout comme Tsukiko. C’était un moment relativement calme, elles se contentaient de se lécher et de se caresser mutuellement. Le calme avant la tempête, avant que cette puissante verge ne vienne pénétrer Tsukiko. Mais, d’ici là, Azelia se régalait de sa mouille, elle continuait à la sucer avec appétit, à titiller son bouton d’amour. Son amante était lentement en train de basculer, et Azelia voulait lui offrir son orgasme, et elle jouirait alors sur le visage de Tsukiko, lui délivrant son nectar féminin, sa mouille délicieuse…