Re: Daily Work [Helena Wayne]
Posté : 20 oct. 2024 17:20
Karen prévoyait toujours les choses en grand pour Helena. Elle avait beau être autoritaire, et se montrer une femme dominatrice, perverse, et cruelle, Karen aimait profondément Helena. Elle était terriblement amoureuse d’elle, au point de planifier leur mariage. Alors, tandis qu’elle présentait tout cela, Helena se blottit contre elle. Bien sûr, Karen la provoquait, la titillait. Elle savait que la jeune femme avait envie de sexe, elle sentait ses battements cardiaques. En la forçant à lui présenter le décor, Helena tremblait nerveusement, la frustration se mettant à croître progressivement en elle. Tout cela était savamment calculé par Karen, qui sourit malicieusement, avant qu’Helena ne l’embrasse tendrement, se lovant contre elle. Ses mains palpèrent son corps, glissant entre ses cuisses, à la recherche d’une bosse qu’elle ne sentait pas.
Après ce tendre baiser, Karen observa Helena silencieusement, et posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, puis déplaça ses mains, et déboutonna l’un après l’autre ses boutons de chemise.
« Et bien… Je t’ai pourtant baisé longuement il y a quelques jours, non ? Toute la nuit, jusqu’à ce que l’aube se lève, et tu t’es endormie dans mes bras. Je pensais que cela calmerait tes hormones en feu, mais… Il faut croire que tu es vraiment une belle petite perverse, ma choupette. »
La chemise fut déboutonnée, et Karen frémit doucement en voyant le magnifique soutien-gorge d’Helena, bien rembourré, mettant en valeur sa poitrine. Elle tira sur la chemise, la retirant de la minijupe.
« Hélas, tu es arrivée en retard, et j’ai un rendez-vous d’une bonne heure à faire… Donc, il y a deux solutions. Soit tu attends dans ton bureau pendant une heure… Soit tu me suces pendant une heure dans mon bureau pendant que je recevrai mon invité. »
C’était presque à croire que Ruriko avait fait exprès de faire traîner les choses. Mais, après tout, comment croire que Ruriko ait pu agir sans le consentement de sa Maîtresse ? Karen retira également la minijupe d’Helena, qui finit à nouveau en sous-vêtements, toute tremblante.
« Dans tous les cas, je confisque tes vêtements. Et, si tu choisis de m’attendre, tu ne devras pas embrasser qui que ce soit, ni te caresser. Si tu le fais, je te priverai de tout rapport sexuel pendant une bonne semaine. »
C’était une sacrée punition ! Karen aimait beaucoup torturer psychologiquement sa belle Helena, et déposa un baiser sur ses lèvres. Un baiser presque moqueur, qu’elle rompit à nouveau, caressant les hanches de la jeune femme.
« Dans tous les cas, je te baiserai méchamment à la fin du rendez-vous, parce que tu mérites d’être sévèrement punie, oui… Dès le premier jour, tu désorganises déjà le fonctionnement interne de l’entreprise. Enfin, tu as cinq minutes pour choisir. Soit tu me rejoins, soit tu attends dans ton bureau… »
Karen était déjà plus ou moins sûre du choix qu’Helena ferait… Mais elle aimait bien laisser à Helena le choix, car celui lui permettait de se moquer d’elle ensuite, et de l’insulter encore plus. Et ça, dans le cadre de leur relation de dominante à dominée, c’était toujours bon à prendre !
Après ce tendre baiser, Karen observa Helena silencieusement, et posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, puis déplaça ses mains, et déboutonna l’un après l’autre ses boutons de chemise.
« Et bien… Je t’ai pourtant baisé longuement il y a quelques jours, non ? Toute la nuit, jusqu’à ce que l’aube se lève, et tu t’es endormie dans mes bras. Je pensais que cela calmerait tes hormones en feu, mais… Il faut croire que tu es vraiment une belle petite perverse, ma choupette. »
La chemise fut déboutonnée, et Karen frémit doucement en voyant le magnifique soutien-gorge d’Helena, bien rembourré, mettant en valeur sa poitrine. Elle tira sur la chemise, la retirant de la minijupe.
« Hélas, tu es arrivée en retard, et j’ai un rendez-vous d’une bonne heure à faire… Donc, il y a deux solutions. Soit tu attends dans ton bureau pendant une heure… Soit tu me suces pendant une heure dans mon bureau pendant que je recevrai mon invité. »
C’était presque à croire que Ruriko avait fait exprès de faire traîner les choses. Mais, après tout, comment croire que Ruriko ait pu agir sans le consentement de sa Maîtresse ? Karen retira également la minijupe d’Helena, qui finit à nouveau en sous-vêtements, toute tremblante.
« Dans tous les cas, je confisque tes vêtements. Et, si tu choisis de m’attendre, tu ne devras pas embrasser qui que ce soit, ni te caresser. Si tu le fais, je te priverai de tout rapport sexuel pendant une bonne semaine. »
C’était une sacrée punition ! Karen aimait beaucoup torturer psychologiquement sa belle Helena, et déposa un baiser sur ses lèvres. Un baiser presque moqueur, qu’elle rompit à nouveau, caressant les hanches de la jeune femme.
« Dans tous les cas, je te baiserai méchamment à la fin du rendez-vous, parce que tu mérites d’être sévèrement punie, oui… Dès le premier jour, tu désorganises déjà le fonctionnement interne de l’entreprise. Enfin, tu as cinq minutes pour choisir. Soit tu me rejoins, soit tu attends dans ton bureau… »
Karen était déjà plus ou moins sûre du choix qu’Helena ferait… Mais elle aimait bien laisser à Helena le choix, car celui lui permettait de se moquer d’elle ensuite, et de l’insulter encore plus. Et ça, dans le cadre de leur relation de dominante à dominée, c’était toujours bon à prendre !