Les deux hommes étaient désormais convaincus par les techniques managériales très particulières de Karen. Henri fut le premier à succomber, se rappelant que sa femme n’aimait pas les sodomies, et qu’ils faisaient l’amour de façon très conventionnelle. Il s’enfonça donc dans le cul d’Helena, et soupira à ce contact, ses mains se crispant sur sa peau. Initialement, Karen n’avait pas voulu que cette réunion, au demeurant très sérieuse, puisque consistant à discuter sur les investissements de sa société sur le marché européen, se transforme en orgie, mais, avec Helena, le sexe finissait toujours par revenir. Même si Karen avait largement contribué à pervertir Helena, le fait est que celle-ci était, de base, très perverse aussi. Ensemble, elles formaient un terrible duo, et ni Henri ni Hartley ne pouvaient tenir.
Uriner dans la bouche d’Helena était l’ultime manière de l’humilier. Karen savait ce qu’Helena avait vécu en compagnie d’Ishtar Naviento, et qu’elle comptait la revoir à nouveau. De ce fait, Karen avait également repoussé ses propres limites en compagnie d’Helena, ce qui fait que, d’un point de vue extérieur, on aurait pu croire qu’elle la torturait. Hartley, de son côté, observait donc son collègue sodomiser la femme. Il avait joui dans la bouche d’Helena, et, incrédule, voyait que sa patronne avait une verge, et une tenue de dominatrice.
Voyant son hésitation, Karen se rapprocha lentement.
« Allons, Monsieur Hartley, n’avez-vous pas envie de profiter d’elle, vous aussi ? »
Hartley la regarda sans rien dire, et se releva alors. Il contourna Henri, et se mit devant la jeune femme. Henri la prenait en levrette, et accélérait progressivement. Karen se déplaça à son tour.
« Monsieur Henri est marié, avec plusieurs enfants… Mais son historique Internet au travail mentionne, sur ses heures de pause, la consultation de nombreux sites pornographiques centrés principalement autour de la sodomie, et de l’humiliation.
- Ooohh, c’est si bon…
- En tant qu’employeuse, je ne peux tolérer un tel comportement. J’aurai pu licencier Monsieur Henri, mais il m’a semblé plus juste de lui offrir l’équilibre que son corps réclame, entre l’accomplissement au travail et l’épanouissement sexuel. »
Tout en parlant, Karen faisait claquer ses talons. Sa verge glissa contre le visage d’Helena, qui donna quelques coups de langue. Elle aida ensuite Henri en se glissant dans son dos. Sa verge heurta son cul, et elle retira sa cravate, puis le déshabilla ensuite, jusqu’à ce qu’il finisse nu. Henri était un sportif accompli, bien bâti, mais aussi très consciencieux.
« Personne ne sera ce qui se passe ici, Henri… Baisez ma Helena de tout votre saoul.
- Ce… Starr-sama, ce… Ce n’est pas…
- Pas convenable ? répliqua Karen. Allons, Monsieur Hartley, vous savez que les sociétés japonaises disposent d’agences matrimoniales pour le personnel célibataire, non ? Je ne fais qu’appliquer ce principe à ma manière. »
Elle caressait le corps d’Henri, qui avait attrapé les deux poignets d’Helena. Comme il y avait des gants, il pouvait appuyer dessus sans risquer de l’étouffer, et tirait Helena en arrière, la besognant encore. La queue tendue de Karen glissait contre le cul d’Henri, mais elle s’écarta ensuite, et se rapprocha d’Hartley.
« Quant à vous, Monsieur Hartley, votre messagerie de travail comprend beaucoup de destinataires qui ne font pas partie de la clientèle, ni du personnel. Vos historiques de navigation font également état de sites de rencontre particuliers, du [i)speed dating[/i] très particulier, pour hommes ou avec des femmes…
- Starr-sama, je… »
Karen était revenue près de lui, et le guida devant le beau visage d’Helena. Celle-ci couinait et gémissait, tandis qu’Henri continuait à la sodomiser. Les aphrodisiaques se diffusant dans la pièce étaient très efficaces. Karen les avait obtenues en se rapprochant des Alraunes de Terra, ainsi que d’une biologiste de Yoake, Pamela Isley, et ces aphrodisiaques endurcissaient les hommes. Elle déshabilla à son tour Hartley, et l’embrassa dans le cou, tout en glissant sa verge contre son cul. Elle sentit l’homme bander sur place, et le masturba encore, juste devant Helena.
« Helena est destinée à être ma femme, Monsieur Hartley… Comme vous le voyez, elle et moi avons une relation très libertine. Elle adore le sexe sauvage, elle adore quand je la domine, quand je la maltraite, et quand je l’humilie. Est-ce que tout cela vous excite, Monsieur Hartley ?
- Je…
- À moins que ce ne soit ma queue remuant contre votre cul… »
Elle mordilla sa lèvre, et Hartley soupira, avant de jouir, son foutre éclatant sur le visage d’Helena.
« Vous a-t-on déjà dit que vous aviez une silhouette assez efféminée, Hartley ? En vous rasant un peu, et en vous maquillant, vous serez parfaite…
- S-Starr-sama, haaaa…
- Helena adore le crossdressing, elle a son propre esclave masculine qui se fait passer pour une fille. Montrez-lui à quel point vous êtes obéissante, Hartley-chan, agenouillez-vous, et léchez son visage, pendant que je vais vous enculer… »
Karen n’avait pas tout dit oralement, notamment sur le fait qu’Hartley s’était inscrit à des soirées de speed dating axés sur le cosplay et le crossdressing. Elle l’imaginait volontiers se déguiser en fille, des pulsions qu’il réprimait fortement en public, pour ne pas être discrédité. Mais là, dans ce bureau, rien ne semblait devoir échapper à Karen, et Hartley obtempéra donc, s’agenouillant devant Helena, et entreprit de lécher son visage... Pendant que Karen se positionnait dans son dos, et palpait avec appétit son beau petit cul.