Karen finit par jouir en elle, soupirant longuement, tout en se répandant généreusement dans sa belle bouche. Huntress se redressa ensuite, et s’empressa d’embrasser sa femme, qui colla son corps au sien, et frémit quand les mains d’Helena se posèrent sur ses fesses. Naturellement, Karen, qui était alors toujours occupée à caresser les cheveux d’Helena, repositionna également ses mains, et alla palper les fesses de son amie, les pressant et les malaxant. Ça, en revanche, ce beau petit cul rond et tendre, moelleux à souhait, ça lui venait uniquement de sa mère ! Helena avait hérité de toutes les formes de sa mère, couplée aux muscles de son père, donnant un corps à la fois beau, svelte, et athlétique... Autrement dit, une perfection !
Les deux femmes partagèrent un baiser très humide, car Helena glissa dans la bouche de Karen son propre sperme, ce qui ne manqua pas de l’exciter encore, cette dernière gémissant et soupirant, son corps continuant à se coller contre celui de sa femme.
« Hmmmm... Hmmmmmmm... !! »
Yeux clos, Karen prolongeait avec grand plaisir le baiser, jusqu’à ce qu’Helena, au bout de plusieurs longues et délicieuses minutes, ne le rompe. Helena se rapprocha alors de Kiba, non sans avoir parlé de ses fesses.
« C’est une question rhétorique, ça, Helena... Je n’ai jamais rencontré un cul qui soit plus beau que le tien. »
Helena pouvait être fière de ses fesses. Il n’y avait pas que ça qui valait le détour chez elle, mais... Un joli cul, il fallait bien l’admettre, c’était toujours un plus ! Quoi qu’il en soit, elle retourna narguer Kiba, qui se mit à gémir encore, se tortillant sur place quand Helena s’approcha de ses fesses. Elle avait bien deviné en considérant qu’il aimait la sodomie, et, d’ailleurs, elle put même sentir, contre ses doigts, le léger plug anal qu’il portait. Une méthode que, pour le coup, Karen partageait avec Ishtar ! En effet, elle formait ses pensionnaires à apprécier les sodomies en leur faisant porter régulièrement un pluganal, permettant ainsi de maintenir leurs fesses dilatées, et prêtes à l’emploi.
Mais, pour cela, Helena demanda si Karen n’avait pas, dans sa besace, des moyens de s’occuper du corps de Kiba.
« Oh... Il y a toujours un équipement de ce genre dans les appartements de mes hommes. Tu comprends, si jamais des dresseuses passent, elles doivent tout avoir à portée de main. Tout est là, dans cette armoire. Elle est électroniquement verrouillée pour que seules les personnes inscrites dans un registre spécial puissent l’ouvrir. »
Autrement dit, Kiba et Hakuba ne pouvaient l’ouvrir, seulement les dresseuses le pouvaient. Karen s’approcha de l’armoire, et appuya dessus. Cette dernière s’ouvrit alors, faisant apparaître un ensemble de fouets, de sex toys, ainsi que de boîtes abritant des comprimés spéciaux, dont les effets étaient étiquetés. Certains étaient à employer avec précaution, notamment ceux déclenchant des érections illimitées chez les hommes. Il y en avait un intitulé « HERMAPHRODISME », mais Helena préférerait peut-être des godes ?
« J’ai de simples vibromasseurs terriens, des vibromasseurs tekhans, plus perfectionnés... Et mes vibromasseurs à moi. »
Il s’agissait d’une ceinture-gode, mais très particulière, car elle était constituée de nanomachines qui réagissaient au plaisir de leur porteuse. Pour cela, la ceinture s’enfonçait dans le vagin et l’anus de la porteuse, et, plus cette dernière était excitée, et plus la queue grossissait. Elle avait, du reste, une texture similaire à la peau humaine. Un véritable gode symbiotique, qui était le fruit de l’intelligence perverse et débridée de Karen Starr.
À Helena de faire son choix, maintenant !