Re: Prêtresses-épouses [Byleth & Anu]
Posté : 15 oct. 2024 11:32
Byleth et Anu allaient progressivement découvrir le fonctionnement de l’Oasis, et surtout celui de Phasmaria, la redoutable Déesse-neko. Aussi aimante que redoutable, elle n’était toutefois pas crainte ou redoutée. Au contraire, la plupart des habitants semblaient s’attacher à elle, et l’appréciaient. Peu de gens croyaient sincèrement qu’elle était une Déesse, et il n’y avait aucun véritable fanatique, mais ce n’était pas bien grave. Les habitants de l’Oasis avaient besoin de croire en quelque chose, et la simple idée que Phasmaria puisse être une Déesse semblait leur suffire. De plus, il fallait reconnaître qu’elle était très belle, et sa maîtrise des huiles magiques faisait qu’être en sa présence était toujours très agréable. Ses épouses étaient également très proches de la population. Elles célébraient les naissances, les mariages, les décès aussi, et participaient à la vie civile, faisant remonter les doléances de la population à Phasmaria. Le fonctionnement de l’État de Phasmaria, de l’Oasis, était encore très rustique, fonctionnant beaucoup sur l’idée d’une institution familiale. Il y aurait des risques évidents de corruption par la suite, mais, pour l’heure, l’ensemble tournait plutôt bien.
Nemue guidait donc Byleth & Anu, et elles rejoignirent la chambre de Phasmaria, une agréable chambre. Un chat dormait dans un coin, couché sur un divan, et Phasmaria sourit en les voyant toutes les deux. Chacune portait une cape les recouvrant, et elle se redressa. Phasmaria, elle, portait, comme à son habitude, un très court bikini mettant en valeur ses magnifiques formes. Les nuits à l’Oasis étant plutôt fraîches, elle avait allumé un feu dans sa cheminée, ainsi que des bougies sur des candélabres pour éclairer la pièce.
Ses mains vinrent caresser leurs joues, tendrement, et elle leur fit un sourire étincelant, révélant ses magnifiques dents blanches.
« Allons, allons, ne soyez pas si nerveuses, mes chéries, vous savez pourtant que vous ne craignez rien avec moi, non ? »
Elle sourit encore, et déposa un tendre baiser sur leurs lèvres, puis défit ensuite les deux capes avec ses deux mains. Ses yeux s’écarquillèrent en voyant leurs magnifiques tenues, et un sourire amusé éclaira ensuite ses lèvres. Ses mains descendirent des joues pour masser le pourtour des seins des deux beautés.
« Hoho… Vous prenez ça très au sérieux, mes trésors… Mais nous ne nous marions pas ce soir, vous savez… »
Il s’agissait « juste » de les rapprocher, ce qui serait déjà beaucoup ! Phasmaria s’écarta alors, et alla s’asseoir sur un agréable fauteuil rembourré.
« Commencez par honorer mes jambes, mes petites chéries… Elles n’attendent que vous ! »
Nemue guidait donc Byleth & Anu, et elles rejoignirent la chambre de Phasmaria, une agréable chambre. Un chat dormait dans un coin, couché sur un divan, et Phasmaria sourit en les voyant toutes les deux. Chacune portait une cape les recouvrant, et elle se redressa. Phasmaria, elle, portait, comme à son habitude, un très court bikini mettant en valeur ses magnifiques formes. Les nuits à l’Oasis étant plutôt fraîches, elle avait allumé un feu dans sa cheminée, ainsi que des bougies sur des candélabres pour éclairer la pièce.
Ses mains vinrent caresser leurs joues, tendrement, et elle leur fit un sourire étincelant, révélant ses magnifiques dents blanches.
« Allons, allons, ne soyez pas si nerveuses, mes chéries, vous savez pourtant que vous ne craignez rien avec moi, non ? »
Elle sourit encore, et déposa un tendre baiser sur leurs lèvres, puis défit ensuite les deux capes avec ses deux mains. Ses yeux s’écarquillèrent en voyant leurs magnifiques tenues, et un sourire amusé éclaira ensuite ses lèvres. Ses mains descendirent des joues pour masser le pourtour des seins des deux beautés.
« Hoho… Vous prenez ça très au sérieux, mes trésors… Mais nous ne nous marions pas ce soir, vous savez… »
Il s’agissait « juste » de les rapprocher, ce qui serait déjà beaucoup ! Phasmaria s’écarta alors, et alla s’asseoir sur un agréable fauteuil rembourré.
« Commencez par honorer mes jambes, mes petites chéries… Elles n’attendent que vous ! »