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Re: La séparation des Pouvoirs [PV]

Posté : 17 août 2025 08:51
par Ombre
Voilà ... Quand on posait le pied sur un piège à loup et qu'il se refermait, impossible de s'en sortir avec une simple entourloupe. Et bien évidemment, au lieu de renvoyer un regard contrit ou voire aussi embarrassé que celui de Sharis, Grayle préféra opter pour une approche qui dénotait avec ce que la princesse aurait pu attendre. Leur lien actuel reposait sur une grande part de domination de la nétherisse et le voyageur avait plutôt été enclin à se braquer qu'à pratiquer un humour léger depuis leur premier échange. Si la situation avait quand même, presque, évoluée positivement, ils n'en étaient pas non plus à se livrer à une amourette ...

Mais ... qu'il était craquant. Oui, Grayle avait du charme mais Sharis ne lui dirait pas, ce serait offrir là un point trop important, et pour son égo de princesse, et parce que c'était à lui de la complimenter s'il voulait embrayer sur ce dérapage involontaire.
Le rire du pérégrin ne fit que contaminer une scène déjà bien mise en mal et le visage de Sharis se renfrogna alors que son buste droit penchait légèrement de côté pour échapper au rapprochement du prédateur.

"Je ... je pensais à autre chose!"

Pourquoi raconter n'importe quoi? C'est deux mots, elle les avait déjà prononcé de nombreuses fois, sous forme d'ordre, de question, d'affirmation. Les nétherisses étaient libres de mœurs, voire même plus que cela, souvent bien plus en vérité. Un homme la faisait rougir alors qu'elle en avait déjà ... bref, pratiqué dans des circonstances beaucoup plus scabreuses et absolument pas propres. Le contact de l'homme se fit encore plus proche, un frottement succéda à un courant d'air et elle frémit d'anticipation. Cette lutte là, elle l'avait déjà perdue. Grayle ne savait pas encore qu'il remporté la victoire haut la main. la princesse posa sa main sur celle du voyageur, elle ne tremblait pas. Son contact était si agréable d'autant plus qu'elle "le vivait" de par lui.

Elle perdit quelques secondes à ne pas le regarder avant que son expression renfrognée se mue en quelque chose de plus indéfinissable, à mi chemin entre l'acceptation du culte de Lilith et la probabilité proche de la réalisation d'une nouvelle performance sexuelle. Même se voix était plus attenante du feulement que de l'élocution soignée dont elle avait déjà pu faire preuve. Sharis changeait du tout au tout.

"J'ai essayé d'être courtoise pour ne pas te faire peur ..."

Quand elle tourna la tête vers lui, ses iris flamboyaient à nouveau de cette teinte si volcanique. Le rythme cardiaque de Grayle ralentit au point qu'on aurait pu le croire arrêté. C'était la préparation d'une éruption violente. Elle ne répondit pas à son intention de l'embrasser mais frôla quand même ses lèvres des siennes.

"Nos mœurs ne correspondent pas à l'apparence de ce que tu as vu jusqu'à présent. Tu n'as pas idée à quel point je pourrais te choquer."

La main de Sharis quitta celle de Grayle pour remonter le long de sa cuisse, légère mais sûre d'elle et de la destination qu'elle s'était donnée. Elle la trouva dure et conséquente, idéale pour ce qu'elle aimerait en faire et suffisamment épaisse pour lui arracher des gémissements quand elle le déciderait. Elle affermit sa prise autour et sans avoir à vraiment bouger son poignet, elle travailla à soumettre cet élément prometteur. Autour d'eux, le jardin n'avait rien perdu de sa splendeur, les oiseaux pépiaient toujours et la température était la même, relativement fraiche pour que les fragrances diffusées par les fleurs soient les plus volatiles.

"Ce pourrait être déraisonnable si nous n'étions pas à Aquila, et ce pourrait être déraisonnable si tu n'étais pas avec une nétherisse ..."

C'est à cet instant que l'ombre de Grayle parvint à projeter dans l'esprit de son hôte une représentation de Sharis qui n'était pas celle d'une princesse empreinte de retenue. Le voyageur en ferait ce qu'il voudrait mais il était possible que cette vision change son avis sur la ravissante jeune femme qu'il était en passe de baiser.

"Ne ferme pas les yeux, toi!"

Elle n'eut aucune difficulté à le libérer de son vêtement et quand ses doigts se refermèrent vraiment sur la colonne de chair chaude, elle afficha un sourire presque carnassier. C'est l'impression qu'elle pouvait donner en tout cas mais Sharis n'était absolument pas dépourvue de douceur. Là, elle avait faim mais cela ne signifiait pas pour autant qu'elle allait se noyer dans un déluge de foutre. A Grayle de trouver le juste milieu, un tant soit peu qu'il puisse ou veuille s'extraire à sa poigne.

Sans prévenir, elle se décala et se pencha entre ses cuisses, le nez mutin à quelques centimètres de sa cible. Son aura de feu s'évapora et elle redevint plus ... jeune femme. Elle le branlait sur toute sa longueur et sentait déjà un certain musc léger se diffuser de cette masturbation.

"Y'a un truc dont tu aurais envie Grayle?"

Re: La séparation des Pouvoirs [PV]

Posté : 18 août 2025 11:58
par Grayle le Marchemonde
Lors de ses éternelles pérégrinations, Grayle avait goûté au pouvoir, à la domination, mais aussi à la souffrance et à la soumission, celle des autres lorsque ce n'était pas la sienne. Ayant été esclave, soldat et même roi, l'immortel avait realisé une chose de ses nombreuses expériences : souvent, c'est dans l'amour et le sexe que les êtres se révélaient le plus. Leurs douceurs, leurs traumas, leurs insécurités, leurs vices et vertus cachés où maîtrisés devenaient perceptibles. Les rapports de forces s'amenuisaient, voir parfois s'inversaient, où les rois se soumettaient à leurs concubines, où l'ennemie devenait amie, et la connaissance devenait âme sœur. Et le gouffre entre la princesse magicienne et l'immortel captif se réduisait pour laisser place à deux adolescents violemment attirés l'une à l’autre.

Dans les jeux de séduction, il retrouvait son assurance et devenait son égal.

Aussi, lorsque la belle Sharis aux cheveux d'or, aux yeux si pénétrants, si puissante malgré sa minceur et son apparente fragilité, elle qui sentait si bon, dont la peau semblait si douce, lui proposa crûment de « baiser », il avait été impossible pour Grayler de résister.

Ce lapsus l'avait rendue plus humaine, plus accessible.

Plus désirable.

Plus que simplement l’étreindre contre lui et toucher sa peau, Grayle voulait la connaître et toucher son cœur.

- Ce pourrait être déraisonnable si nous n'étions pas à Aquila, et ce pourrait être déraisonnable si tu n'étais pas avec une nétherisse ...

- Je ne vois pas ce que tu v...

Ses yeux bleus se voilèrent alors que sa voix s'évanouissait. Il regarda dans le vide, ses pupilles devenues dorées, alors qu’une vision emplissait son esprit au même moment qu’une vague de froid secouait son corps.

Les yeux de Sharis étaient devenus ronds, son visage rougeoyant et déformé par un plaisir coupable, recouvert d'un mucus blanchâtre. Elle ne se trouvait pas dans le jardin, mais dans une forêt. Nue, les cheveux longs, légèrement plus jeune, elle n'était plus avec lui, ni dans la réalité. Sa bouche était bouchée par un tentacule, alors que son corps désarticulé était fermement saisi par d'autres membres tentaculaires, qui la pénétraient avec vigueur, déformant légèrement son ventre.

La vision s'évanouit aussi vite qu'elle était venue, lorsqu'elle cria un vif Ne ferme pas les yeux, toi!

- Je, euh...

Il était en sueur, plus pâle. Troublé, de toute évidence... ce qu'il avait vu... était-ce un fantasme ? Un souvenir envoyé par le démon ? Sharis, si belle et douce et sensible, était donc... ce genre de personne ? Le démon, pendant un instant, se délecta du trouble et de l'hésitation du jeune homme qui, pendant un bref instant, avait vu la vraie nature de l'ingénue.

Les pensées de Grayle, tortueuses, commencèrent à le faire hésiter. Mais Sharis, sans le savoir, chasse ces dernières en baissant son pantalon, libérant un membre brûlant et convulsant d'envie, grotesque et noueux, à l'opposé de l'apparence juvénile du Marchemonde. Les doigts de ce dernier se saisirent doucement des cheveux de la princesse, qui coulaient entre ses doigts comme une cascade dorée, caressant sa joue, son nez et ses lèvres roses.

- Aaaaah…

Grayle n’était pas un innocent puceau, mais la vision de Sharis, à genoux devant lui, si proche de sa verge pulsante, lui faisait un effet monstrueux. Ses doigts si fins l'avaient saisi avec force, le branlant vigoureusement, avec une franchise bien éloignée d'un protocole royale. À chaque fois que sa main cognait contre son bassin, révélant son membre dans toute sa splendeur, ou frottait contre la base de son gland brillant d’humidité, des décharges visibles de plaisir secouaient son corps.

Les sentaient-elles également ?

Son cœur préalablement ralenti battait maintenant la chamade. Pendant un bref instant, lorsqu’elle s’était une nouvelle fois métamorphosée, il avait eu peur. Voir la jeune femme sereine rougir d'embarras, puis fixer sa verge d’un air vulgaire, avant de lui jeter un regard aussi désarmant de fausse innocence… l'excitait au plus haut point. Et puis, cette vision. Cette pré-ado se vautrant dans une union inhumaine et contre-nature avec un monstre. Une vision perverse avec laquelle lui-même était bien familier.

Tant de facettes. Il ne la comprenait pas. Pas encore. Comme l’ombre d'une flamme virevoltante, elle était insaisissable.

Elle lui demanda ce dont il avait envie.

- J’ai envie de toi.

En lui, le démon poussa un cri de rage.

Son bassin s’agitait, torturé, alors que ses jambes étaient écartées sur le banc.

- Laisse moi te toucher.

La saisir.

Soudainement, elle ouvrit sa bouche et goba son sexe dans son intégralité, déformant son petit visage et poussant un soupir de satisfaction grossier et humide.

Mais il n’en ressentit aucun plaisir.

Car ce n’était pas le sien. Nue, le corps luisant de sueur, Sharis se trouvait dans des baraquements, au centre de l’attention de plusieurs soldats. L'un d’entre eux, a genoux derrière elle, aux cheveux gris et au corps âgé, besognait son petit corps sans douceur, arrachant des gémissement de plaisir sauvage à la princesse, dont les mains masturbaient deux autres hommes, leur concert de respiration recouvrant presque ses cris étouffés. La vision ne dura que quelques secondes, avant que le monde réel ne reprenne ses doigts. L’obscurité crasse des baraquements avait cédé à la beauté royale des jardins, et Sharis avait retrouvé son air doux faussement innocent.

Comme ses mères, c’est une salope. Et toi, t'es juste un jouet parmi d'autres
chuchota le démon. Elle appartient à tout le monde.

La poigne de Grayle se fit plus forte, par réflexe. Le visage de Sharis se retrouva plaqué contre sa verge, qui traversait son visage en diagonale, les testicules pleines frottant contre son menton alors que le gland se perdait dans ses cheveux blonds. Il respirait avec force, son torse montant de haut en bas, ses abdominaux se contractant à chaque expiration.

- Sharis... le monstre que tu as mis en moi essaie de me dégouter de toi...

Il n'avait pas besoin d'en dire plus. Il savait qu'elle était assez intelligente pour comprendre.

- Tu ne me choque pas Sharis.
Il se mit à sourire. Je me fiche de ce que tu as fait et avec qui ou quoi. Il continuait de respirer avec force, comme s'il devait se retenir, alors que son vit restait toujours aussi dur et brûlant.

- Tout ce qui compte à mes yeux, c'est ce qu'on va faire tous les deux... que ce sois ici ou ailleurs, maintenant ou plus tard...

Re: La séparation des Pouvoirs [PV]

Posté : 19 août 2025 16:39
par Ombre
Grayle prenait les choses en main même si certaines hésitations infimes avaient trahi une certaine forme de ... précaution? ... retenue? ... incertitude? Sharis le releva mais pas comme un aspect à étudier plus tard mais comme une forme plus prosaïque de réflexe masculin face à ce qui était assez peu probable d'arriver ... et qui arrivait.
Il la tenait par les cheveux et elle frissonna d'anticipation. Souvent elle voulait qu'on la traite comme une personne normale, son rang ne lui permettant pas de vivre comme une jeune fille de son âge, avec les défauts, avantages et inconvénients que cela suscitait. Peu de monde osait s'opposer à elle, même lorsqu'une argumentation solide et travaillée suffirait à ouvrir un débat dont elle adorerait partager les idées. Non, elle était Sharis des Ombres et celle de Skuld, sa mère, obscurcissait tout son horizon. Dire un mot de travers à la fille de l'impératrice? Impensable! Trop effrayant! Peu s'y risquaient alors que personne n'avait jamais fini carboniser de lui avoir dit ses quatre vérités. Arundar le Sage, le conseiller et vieil ami de sa mère en savait quelque chose. Il réprimandait même l'impératrice quand cela s'avérait nécessaire, et Skuld ne répliquait presque jamais ...

Alors que Grayle soit aussi directif lui plut vraiment. Elle avait allumé la mèche et lui, entretenait le feu. Son sexe chaud barrait le visage de la princesse et elle s'y frotta comme à une peluche. Son souffle remontait la hampe en même temps que ses lèvres alors qu'elle en profitait pour l'embrasser, si elle arrivait à surmonter le force de la poigne du jeune homme. Elle ajusta sa position et parvint à attraper un coussin sur le banc pour le glisser sous ses genoux sans perdre le précieux contact du membre prometteur. Contre son menton, les précieux réservoirs, aussi doux que gonflés, avaient trouvé là la place idéale car proche du meilleur déversoir de cette partie du monde ... Sharis s’avança encore plus entre les cuisses de Grayle, ce qui lui imposa de courber le dos pour rester dans l'axe, contrainte par sa propre volonté. Elle porta ses mains aux bourses de l'homme et s'appliqua à les préparer sans pour autant provoquer un tsunami. Elle les palpa, les examina de la langue, en goba une, puis l'autre, bruyamment bien sûr et sans faire preuve de propreté. Elle les bouffait de la même manière qu'elle avait dévoré ses pâtisseries plus tôt, en salivant beaucoup pour lubrifier toute forme de résistance charnelle.

Elle pourrait être devant un bénitier que ce serait la même chose. Elle baptisait la queue de Grayle de sa bouche et le jeune homme allait atteindre un paradis d'émotions contradictoires.

Quand il parla, elle n'attendit pas et prit le sexe dans sa bouche. En deux coups de tête et une grosse déglutition, elle l'avala jusqu'à la base, ce qui pouvait surprendre pour un gosier aussi étroit. Mais Sharis était bien ce que Grayle avait vu et même s'il lui faudrait comprendre et accepter ces dérives personnelles, elle ne changerait pas. D'ailleurs ce n'était nullement des dérives pour ce peuple, juste une manière d'extérioriser des envies primaires qui correspondaient à ce que Netheril pouvait qualifier de petits plaisirs.

"Continue de me parler."

Cela ne sortit pas aussi clair car elle mâcha et gargouilla plus qu'autre chose mais l'ensemble, avec un peu de discernement, pouvait être compris. Elle voulait entendre sa voix alors qu'elle le suçait. Ses allers et retours sur la queue du jeune homme profanaient toute forme de pudeur. C'était indécent, criminellement humide et baveux, et aussi rude que le contact entre deux gladiateurs. Sharis œuvrait à l'excellence et la queue de Grayle glissait en elle comme irrémédiablement attirée par les profondeurs de sa gorge. Une fois Sharis éructa quand l'homme s'enfonça de travers en elle et écarta les muqueuses sensibles de son œsophage ... car c'était bien là que Grayle plongeait, ayant dépassé le goulet d'une gorge aussi étroite qu'accueillante. A la deuxième fois, Sharis fondit et imposa à Grayle de bien lui tenir la tête. Elle croisa ses mains dans son dos, signe évident qu'elle se donnait et au premier coup de rein, elle tendit le cou pour qu'il y voit sa propre empreinte massive distendre ce passage tout fin.

Elle approuvait ce qu'il disait, validait chaque parole d'un hochement de tête expressif, se rattrapait aussitôt en ouvrant grand la bouche et en exprimant en fronçant ses sourcils son mécontentement s'il advenait que Grayle ait l'idée de faiblir. Son rythme cardiaque s'était stabilisé et elle frôlait l'adoration ou bien l'euphorie. Qu'importe, les ombres ne pouvaient pas mentir et ce que Grayle pouvait recevoir était vrai. Sharis la princesse pouvait devenir Sharis la dépravée et elle s'en moquait complètement. Il pouvait le savoir, au point où il en était, plus rien ne ferait la différence car Grayle entretenait à présent cet état de fait.

Re: La séparation des Pouvoirs [PV]

Posté : 19 août 2025 21:35
par Grayle le Marchemonde
- Oh merde...

La vision du visage princier déformé par sa grosse queue était quelque chose qu'il n'allait jamais oublier, alors que Sharos creusait les joues pour goûter encore plus à son chibre pulsant. Il sentit sa petites langue danser contre son gland épais et déjà dégoulinant, ne sentant même pas les dents de la blonde. Sa petite bouche était un vrai fourreau en fusion, et il poussa un râle de plaisir en abandonnant toute prétention de discrétion ou même de civilité, basculant la tête en arrière sous le choc de la gorge profonde, avant de reprendre sa contemplation de la figure royale, dont le menton dégoulinait de salive et de pré-sperme, le suçant dans un bruit visqueux et dégradant.

Entre ses douces lèvres, son vit grossier pulsait comme un être vivant indépendant. Elle pouvait sentir la puissance du pérégrin à chaque va et vient, alors que ses jambes musclées se crispaient à chaque coup de langue, chaque mouvement de gorge, chaque aspiration soudaine. Il était brûlant, et continuait de gronder, homme devenu bête, agitant son bassin comme un fauve en cage. Elle pouvait déjà goûter à son pré-sperme, dont le goût n'avait rien d'habituel. doux, onctueux, il faisait plus penser à un nectar qu'à ce liquide habituellement amer et salé.

- Bordel Sharis t'es la meilleure suceuse que j'ai rencontré.

il avait du se faire violence pour parler d'une traite, sans bucher sur chaque syllabe, alors qu'il sentait sa verge écarteler les voies respiratoires de la jeune fille. Il devait se faire violence pour ne pas jouir en elle avec sa générosité habituelle, désireux de faire durer cet infâme, délicieux plaisir autant que possible. Il l'entendit ronronner à ce compliment, les vibrations parcourant son membre. Il aspira sa propre salive, devant se retenir de baver.

- Tu sais, quand tu parlais de ah... me laisser dans mes quartiers... hm... mon premier plan était de me branler en pensant à toi...

Il caressa encore les cheveux de Sharis, son pouce passant sur ses sourcils parfait, alors qu'il la fixait avec un regard surprenamment peu pervers, mais romantique. Sa voix, elle, était devenue rauque, presque intimidante.

- Princesse, je vais te baiser comme une reine.

Lorsqu'elle croisa ses bras dans son dos, telle une esclave soumise à un chef barbare; il se cambra, faisant légèrement rebondir sa tête.

- Ah... putain, ta bouche... hmm...
un autre coup de rein. Je pourrais devenir abstinent, tant que je peux te la baiser...

Il souffla, essuyant la sueur qui coulait de son front. N'importe quel homme aurait déjà joui, abbatu par tant de sensations, mais Grayle se montrait endurant, savourant chaque instant, alors qu'il frôlait presque l'évanouissement, captivé par le spectacle de la jeune princesse à genoux devant lui qui encaissait sans broncher ses coups de reins.

Mais il voulait plus.

Il avait besoin de plus.

- Pardonne-moi.

Frustré de sa position assise qui limitait ses mouvements, il se leva, continuant de tenir le petit visage entre ses mains. debout au milieu de la cour, il recula son bassin, et pénétra rudement la petite bouche de Sharis, emplissant totalement la cavité buccale et même au delà.

- Putain...

Impossible de savoir si c'était un juron ou une injure destiné à la dépravée princesse. Une main saisissant, voir tirant doucement ses cheveux, tandis que l'autre caressait sa joue qui était gonflée à chaque impulsion, Grayle se mit à baiser la bouche de Sharis, sans la moindre gêne et avec sauvagerie, un "plap" sonore retentissant à chaque fois que le beau visage royale cognait contre ses abdominaux. Elle s'était donnée, et Grayle prenait absolument tout ce qu'il pouvait tout en lui rendant au centuple. Envahissant mais savoureux, son membre dur et brûlant explorait ses lèvres avec frénésie, s'agitant avec flexibilité en elle, comme si le destin avait prévu qu'il s'y introduise. A chaque coup de rein, les râles de plaisir du mâle se faisaient de plus en plus forts.

Il était devenu accroc, et même l'éventuelle arrivée subite de la Reine n'aurait pas pu freiner ses ardeurs.

- Pourquoi parler et débattre et se disputer... han... on aurait juste pu baiser...

Car, là, difficile de ne pas reconsidérer la proposition de la succulente princesse... entraîné, possédé par son propre plaisir devenu égoïste, Grayle continua de pénétrer avec entrain la bouche de Sharis, grognant avec de plus en plus de force, avant de se figer. Elle put sentir, d'un seul coup, un geyser de foutre brûlant et délicieux couler directement dans son oesophage, puis exploser dans sa bouche alors qu'il se retirait. Malgré son orgasme, le jeune homme continuait de la pénétrer, jouissant encore et encore, la semence onctueuse et épaisse s'écoulant en quantités tellement invraisemblables qu'elle finit par déborder de son nez et de sa bouche, même malgré les éventuels efforts de la princesse pour l'engloutir.

L'orgasme du mâle dura une bonne demi-minute, le forçant à reculer sous la pression, et, le souffle court, il contempla Sharis avec un mélange d'appréhension, d'horreur et d'excitation, se demandant s'il était allé trop loin. Le beau visage, l'incarnation même de la dignité et du port royal il y a quelques minutes, était maintenant complètement ravagé par les hommages de son invité.

Re: La séparation des Pouvoirs [PV]

Posté : 22 août 2025 11:10
par Ombre
"MMMmmmmPphhh..."

Quand Grayle se leva, Sharis hoqueta. Une trajectoire biaisée amena le gland de son entreprenant partenaire à appuyer là où le naturel reprenait les dessus. Elle se crispa en ouvrant de grands yeux, respirant rapidement par les narines en contenant se qui aurait pu gâcher ce grand moment de plaisir.
Mais elle se reprit bien vite et fondit quand ses épaules furent verrouillées entre les cuisses musclées du mâle qui lui baisait la gueule. Enfin, il prenait l'initiative et c'est ce qu'elle voulait absolument. Elle le laissa faire, trouvant dans sa poigne un complexe jouissif qui aurait fait honte à n'importe quelle autre princesse. Elle suivait les mouvements, orientait son visage pour les guider sur un alignement parfait. Parfois, elle creusait la langue ou ouvrait sa gorge en grand, ou au contraire, elle restreignait l'accès en contractant ses muscles et contraignait Grayle à être moins gentil. Gentil n'était pas vraiment le terme mais plutôt ... prudent. Il ne voulait pas lui faire mal mais le cas échéant, cela lui serait difficile car Sharis en rirait, voire en demanderait plus encore.

Elle était parfaite dans son rôle de petite salope et usait de déviances qui ne pouvaient qu'exciter plus son homme. Aux fluides de Grayle, elle ajoutait sa salive, abondamment libérée, qui, outre servait à user de gargouillis salaces et bruyants, coulait en longs paquets étirés de son menton à sa poitrine qu'elle couvrait en masses épaisses.

Les plongées incessantes dans sa gorge ramenaient à l'orée de ses lèvres quantités de surplus qui offraient à Grayle une vision de dépravation totale. L'expression du visage de Sharis était une ode à la débauche. Ses joues étaient rosies de l'effort fourni et le feu de son regard brûlait vif et passionné. Sucer cette grosse queue lui plaisait. Elle s'en délectait, et qu'on lui impose ce rythme sauvage était encore plus jouissif.

Elle s'étouffa quelque fois, éructant bruyamment quand Grayle écrasait son bassin contre son petit nez, et l'y maintenant quelques secondes de trop. Les sons émis par ces renvois d'air étaient gras, noyés de viscosité et volontairement humides.

Sharis sentit grayle approcher de l'explosion. Elle ne s'y prépara pas, préférant subir l'avalanche de plein fouet. Les premiers goûts testés étaient ce qu'elle avait attendu de lui: forts, puissants, tellement masculins qu'elle s'en serait abreuvé comme d'un nectar. Mais ce qui arrivait était prometteur et elle espérait une richesse qu'il lui serait dommage de ne pas trouver.

Elle se cala vite sur ses genoux, toujours arquée vers l'arrière. Elle fit quelques mouvements de son corps entier, comme de minces soubresauts comme pour indiquer: "Vas-y, envoie!"

Elle ne retint ni un gémissement d'anticipation étouffé, ni ne retint ses mains qui filèrent entre ses cuisses où elles s'acharnèrent à la guider elle aussi vers un plaisir sournois.

Et quand Grayle craqua, profondément figé en elle, ses yeux se révulsèrent et la princesse fut terrassée par un violent orgasme. Elle trembla, s'étouffa, avala, sentant cette chaleur grasse et compacte lui remplir le ventre. Les pulsations des jets de cette queue gonflée élargissait son œsophage, réceptacle parfait pour ce déluge de foutre; et quand elle allait protester au retrait de Grayle, celui-ci recommença ses va et vient possessifs, l'emmenant au nirvana. L'homme plongeait dans sa propre jouissance qui tapissait la bouche et les muqueuses de Sharis. L'écrin était magnifiquement souillé même si moins vorace à présent. Il y en avait eu bien trop, et le trop plein ayant rempli chaque creux et chemin de cette petite tête se déversa par les ouvertures naturelles. Des narines de Sharis s'écoulaient de longues trainées poisseuses, peinant à quitter ces cavités confinées. Et quand la queue de Grayle se retira des lèvres de la princesse, une énorme vague de foutre suivit aussitôt pour s’écraser et glisser entre les petits seins de la statue de marbre blanc ...

"Reste là!"

La voix était rauque, sourde, noyée, plus démoniaque que féminine. Mais le ton incitait à bander de nouveau et à espérer d'autres immondes prestations.
Sharis rattrapa Grayle avant qu'il ne gagne pour lui encore quelques centimètres de liberté. Ses mains se posèrent derrière les cuisses de l'homme pour le ramener à elle. Elle lova son visage dépouillé de toute forme de candeur contre cette queue magnifique et ronronna presque de bonheur. Elle le lécha, le lapa, le huma, pompa le gland savamment pour en extraire ce qui pouvait encore en sortir, quoi que ce fut. Sharis des Ombres était la maitresse de la perversité et Grayle n'avait pas idée de ce à quoi elle était capable de s'adonner. Cet avant goût de ses capacités se soldait par l'image peu impériale d'une catin inondée de foutre dont son visage représentait l’atteinte principale. Elle battit des cils, gênée par des amas de sperme susceptibles de glisser dans ses yeux, chose qui au demeurant ne la dérangerait pas vraiment; et étala d'autres paquets collants quand elle passa sa main dans ses cheveux.

Elle embrassa Grayle aux plis de l'aine, zones érogènes trop peu sollicitées puis revint remercier ces fabuleuses baloches qui lui avaient produites tant de bien. Et puis , pressant son visage sous ces deux précieuses, elle s'attaqua sournoisement, du bout de la langue, à l'accès que Grayle, homme viril, se réservait probablement pour lui même. Mais avec elle , c'était peine perdue et elle accompagna son exploration d'une masturbation appuyée destinée à revigorer le membre vidé. Elle grognait comme un félin se délectant d'une proie longuement chassée et elle parvint à se frayer un passage, pénétrant de cette petite langue impitoyable un interdit qui ne l'était pas pour elle. Elle l'avait décidé!

Elle ne s'arrêta que quelques secondes pour lâcher un chapelet d'obscénités qui la condamnait à l'éviction des cercles vertueux avant de préciser à Grayle des intentions qu'il lui faudrait prendre en compte.

"Tu vas me baiser comme une chienne Grayle. Tu vas me faire le cul et laisser tes empreintes sur mon corps."


OoOoOoOoO


Ils n'étaient plus seuls dans ce havre d'érotisme. Appuyée contre une colonnade de marbre, Tymora les regardait faire. La guerrière dangereuse avait les yeux plissés et la réflexion portée sur des pratiques qui feraient hurler Grayle de peur. Cette magnifique tueuse n'était pas une mauvaise personne mais comme de nombreux nétherisses, elle trouvait dans des extrêmes inacceptables le plaisir dont elle avait besoin pour vivre ... et se sentir femme.

Sharis l'avait captée dès qu'elle était arrivée mais là où d'autres peuples auraient pu être plus pudiques, les adorateurs de Sha n'hésitaient pas au contraire, à exhiber leurs déviances personnelles. Les deux femmes n'entretenaient aucune animosité mais Sharis s'assura de faire comprendre que Grayle était à elle; et qu'elle n'autoriserait pas Tymora à le lacérer des ses envies très particulières. Car encore une fois, il fallait le préciser, le voyageur avait un charme qui frappait, qui marquait. Quel que soit le statut d'un visiteur de Netheril, contraint ou pas, il devait se mesurer à un jugement qui oui ou non, le mènerait aux portes de liaison aussi sexuelles que passablement dangereuses.

Re: La séparation des Pouvoirs [PV]

Posté : 22 août 2025 18:19
par Grayle le Marchemonde
A genoux devant lui, son beau visage souillé se foutre et la voix rendue rauque par cette irrumation épique, Sharis était magnifique. L'image que Grayle avait d'elle était définitivement ruinée, et pourtant, il savait qu’il n'avait vu qu'une petite partie de la decadente princesse. Meme dans ses fantasmes, il n'aurait imaginé la belle jeune fille se livrer autant. Quand bien meme elle lui bouffait la queue comme si sa vie en dependait, laissant échapper des bruits écœurants et le fixant avec un regard a faire frémir un nymphomane, Grayle en voulait encore plus. Il voulait que cette femme puissante se retrouve par terre, convulsante et vaincue.

Il voulait lui faire oublier tous ceux qui avait pu accéder à son corps.

Quand elle lui demanda de la « baiser comme une chienne », Grayle n'hésita pas une seconde. Sa queue complètement dégoulinante de fluide, puant le sexe a plusieurs metres a la ronde, se redressa sur le champ, alors que des petites décharges de plaisir électrocutaient son corps, rendu convulsant par les coups de langue de la belle qui s’était introduite dans sa rosette.

Il l’attrapa par la nuque, la soulevant avec une force insoupçonnée, et, s’écartant d'elle, la projeta d’un ample mouvement de bras vers la fontaine, de facon a ce que sa tête et ses bras passent au-dessus des décorations de pierre, sans violence.

- Chienne ou pas, je vais te faire miauler
dit-il d’une voix rendue rauque par le désir. Prostrée ainsi, Sharis exposait indécemment sa croupe au mâle, encore couverte par le beau tissu de sa robe noire fendue sur le côté.

Il se saisit du tissu et le souleva, exposant la jolie paire de fasses royales aux quatre vent.

- Vraiment ? Sa voix faisait penser à celle d'un parent à la fois déçu et en colère. Bien qu’elle soit complètement souillée, une culotte de dentelle blanche couvrait la chatte de Sharis. Je ne veux plus jamais te voir porter ça gronda-t-il, avant de se saisir du tissu et de tirer dessus avec force, l’arrachant dans un « snap » snore, tirant douloureusement sur la peau de Sharis.

Heureusement pour elle, une sensation bien plus plaisante, remplaça ce pic douloureux : celle de la trique épaisse du marchemonde, qui se frottait contre ses fasses sans la moindre subtilité, laissant traîner des filaments de semence et de salive sur sa peau de pêche. Il la fessa avec violence, une fois, deux fois, trois fois, la peau devenant rouge et brûlante, avant de devenir blanche quand les doigts étendus de Grayle se refermant sur sa peau, la griffant légèrement.

- Je savais que ce déhanché cachait quelque chose, lui signalant qu'il l'avait honteusement matée depuis leur rencontre.


Il avait été sensible à ses charmes… mais désormais, il n’était plus question de séduction. Juste d’attirance et d’envie primale voir primate entre deux adolescents aux hormones en fusion.

Il la plaqua contre la fontaine, tenant son membre douloureux d'une main, glissant contre son bouton de plaisir, puis ses lèvres intimes, savourant ses soupirs et gémissements sans élégance, évidemment adroitement ses mouvements de hanche alors qu’elle essayait désespérément de s’empaler sur lui. Mais rien n'y faisait : dans cette position, c’est lui qui avait le contrôle, pressant, pétrissant, griffant son cul… avant de l'ecarter, exposant sa rosette, de faire glisser sa verge entre ses deux fesses et sans prévenir, de cogner son gland contre l'étroite entrée, et de s’enfoncer dans son cul non préparé.

- HAN.

Grayle n’avait pas remarqué la présence de Tymora et se laissait aller sans pudeur. Le cul de la princesse était étroit et difficile d’accès, écrasant son vit avec une pression délicieusement abominable. Il se recula légèrement et commenca à la besogner sans douceur, conscient qu'elle pouvait encaisser tout ce qu'il lui infligerait. A chaque coup de rein, Grayle grondait, s'enfoncant ineluctablement dans ses entrailles, aidé par leurs fluides servant de lubrifiant. Petit a petit, il ecartait et remodelait les paroies intimes de la princesse. Fermement maintenue en place, la blonde ne pouvait que subir…

- Merde, ton cul est divin…


Sans douceur, sans amour, Grayle s’était entièrement empalé en elle. Elle pouvait sentir chaque mouvement, chaque respiration, chaque pulsation du membre masculin en elle, et, rapidement, la cour fut remplie du son puissant et mat du bassin de Grayle s’écrasant contre le cul de Sharis, lui infligeant une sodomie proprement royale et virile, ses bourses pleines cognant contre son intimité détrempée dans un "plap" sonore. Le couple semblait totalement abandonné, ayant laissé tomber tout faux-semblant, dans un coït qui aurait pu faire penser à un viol sans l’approbation vocale de la princesse, qui était submergée par des compliments salaces de la part du voyageur, alors que le jardin destiné au repos et échanges philosophique était devenu un lieu de débauche.

Avec envie, Grayle savourait d'autant cette sodomie bruyante qu'il avait le sentiment de venger par proxy contre sa mère qui, il y a à peine une heure, avait failli le tuer. Le voilà maintenant qui sodomisait et traitait sa fille comme une chienne et un quasi vide-couille, une délicieuse riposte pour son ego blessé. Après avoir frôlé la mort, son instinct l'avait empli d'un irrépressible désir de vivre et de féconder.

- Je veux prendre ton cul royal chaque jour, Sharis...

Puis, pris d’une inspiration soudaine, il se saisit de la nuque et des épaules de Sharis. Tirée vers lui, elle fut forcée à se cambrer encore et encore, jusqu’à ce qu'il puisse avoir accès à ses petits seins tressautants, hélas protégés par une robe poisseuse de sperme. Il gronda, frustré, tirant sur le tissu, ne trouvant satisfaction que lorsque la robe lui libéra l’accès dans un bruit de tissu déchiré. Ses doigts vinrent presser un de ses seins, le soupesant et le plissanr avec envie, avant tirer et tordre un mamelon entre ses doigts, tandis que son autre main vint chasser celle de Sharis qui était mise à se doigter. Il vint prendre sa place avec autorité, deux doigts caressant ses levres gonflées et détrempées, pressant son cliotoris avant de s’insérer en elle pour s'agiter avec vigueur dans un rythme asynchrone avec celui de sa queue.

- Putain t'es vraiment faite pour être baisée. Tu sais que t'es un appel au sexe, hein ?

Il tira encore, abandonnant son sein pour saisir son menton. Sharis était maintenant cambrée à l’extrême, son visage au niveau de sa croupe, dans un croissant de lune splendide et effrayant, le haut de son corps fermement maintenu en place alors que le bas subissait des assauts outrageux.

Petite, son visage souillé dressé vers le ciel était maintenant en face de celui de Grayle penché vers l’avant. Malgré l’obscénité de ce qu'il lui infligeait plus bas, son visage masculin en sueur la couvait avec amour et envie, ne laissant rien paraître des efforts surhumains qu'il deployait à marquer sa croupe au fer rouge.

- Enfin je peux voir ton vrai visage en face….

Sa voix était douce et mielleuse. Et, avant qu'elle ne puisse formuler une réponse cohérente, au milieu des cfis et des jurons, il l'embrassa, violant ses levres pour directement chercher sa langue, l'entrainant dans une danse furieuse mais ô combien différente de la précédente….