Re: Mad Love [PV]
Posté : 09 oct. 2024 00:13
Aurait-il pu la tuer sans le vouloir ? Venant du Joker, c’était honnêtement très possible. Vivre avec Le Joker, c’était vivre de manière intensive. Chaque journée était une découverte, chaque heure était différente de l’autre, et le sexe n’était jamais unique avec lui. Il la baisait violemment, à un point tel qu’il était difficile de dire s’il la baisait, ou s’il la torturait. Ses yeux prenaient une lueur perverse, et son sourire devenait clairement malsain, tandis qu’il voyait Harley se détendre. Ses yeux s’écarquillaient, et la jeune femme chercha à se relever, tant et si bien, pour embrasser son homme, afin de récupérer de l’air. Le Joker se mit à ricaner alors, sa queue tendue nichée en elle.
« Hihihihihihi !! Tu te remues et tu frétilles comme un poisson rouge, Harley ! HAHAHAHAHAHAHA !! »
Impossible de rire dans ces conditions. Il serra encore, continuant à l’étrangler, la sentant mouiller, et même jouir.
« Hihi, je baigne dans ton foutre de salope, ma chérie ! Tu es vraiment incorrigible, ma Harley ! Qui mieux que moi pourrait te baiser avec autant d’amour, et avec autant d’efficacité, hum ? »
Sa scène de jalousie vis-à-vis d’Ivy était puérile, et factice. Grâce à elle, il avait pu développer sa toxine du rire, car la plante verte était aussi pénible que talentueuse. Et, grâce à son savoir-faire, Le Joker avait pu développer la base de sa toxine du rire. Mais, pour l’heure, il continuait à torturer Harley, et relâcha les rubans. Harley se mit à éternuer, et il attrapa ses cheveux, venant l’embrasser, tandis qu’elle jouissait contre lui… Ou pas. Mais, même si elle n’avait pas d’orgasme, elle avait tout intérêt à faire comme si. Il la souleva donc, sentant sa mouille s’égoutter le long de ses cuisses. Une main sur ses cheveux, l’autre sur ses fesses, le Joker la laissa se serrer contre lui, les jambes d’Harley venant brusquement se resserrer autour du Joker.
Son baiser se fit sensuel, au début, puis envahissant, et mordant. Sa langue s’enfonça encore dans sa bouche, et il mordilla ensuite sa lèvre inférieure, tirant doucement dessus. Son corps se serrait contre le sien, et il laissait Harley remuer contre lui. Cette fois, c’était à elle de jouer, et ce quand bien même elle avait failli frôler l’asphyxie tout à l’heure. Avec Le Joker, on ne se reposait guère, et l’amour pouvait s’avérer long.
« À ton tour, ma petite… Serre tes jambes autour de mon bassin, serre fort, montre-moi de quoi tu es capable, et danse sur ma queue… »
Sa voix se montrait douce, charmante, tandis qu’il laissait à Harley le soin de prendre les commandes, alors même qu’il y a à peine quelques minutes, l’homme était en train de l’étrangler en la baisant. Mais Le Joker était ainsi, paradoxal, ambivalent. Difficile de savoir sur quel pied danser avec lui, et ce même quand on faisait l’amour !
« Vas-y, danse sur moi, et dis combien tu aimes ton Monsieur J, Harley… »
« Hihihihihihi !! Tu te remues et tu frétilles comme un poisson rouge, Harley ! HAHAHAHAHAHAHA !! »
Impossible de rire dans ces conditions. Il serra encore, continuant à l’étrangler, la sentant mouiller, et même jouir.
« Hihi, je baigne dans ton foutre de salope, ma chérie ! Tu es vraiment incorrigible, ma Harley ! Qui mieux que moi pourrait te baiser avec autant d’amour, et avec autant d’efficacité, hum ? »
Sa scène de jalousie vis-à-vis d’Ivy était puérile, et factice. Grâce à elle, il avait pu développer sa toxine du rire, car la plante verte était aussi pénible que talentueuse. Et, grâce à son savoir-faire, Le Joker avait pu développer la base de sa toxine du rire. Mais, pour l’heure, il continuait à torturer Harley, et relâcha les rubans. Harley se mit à éternuer, et il attrapa ses cheveux, venant l’embrasser, tandis qu’elle jouissait contre lui… Ou pas. Mais, même si elle n’avait pas d’orgasme, elle avait tout intérêt à faire comme si. Il la souleva donc, sentant sa mouille s’égoutter le long de ses cuisses. Une main sur ses cheveux, l’autre sur ses fesses, le Joker la laissa se serrer contre lui, les jambes d’Harley venant brusquement se resserrer autour du Joker.
Son baiser se fit sensuel, au début, puis envahissant, et mordant. Sa langue s’enfonça encore dans sa bouche, et il mordilla ensuite sa lèvre inférieure, tirant doucement dessus. Son corps se serrait contre le sien, et il laissait Harley remuer contre lui. Cette fois, c’était à elle de jouer, et ce quand bien même elle avait failli frôler l’asphyxie tout à l’heure. Avec Le Joker, on ne se reposait guère, et l’amour pouvait s’avérer long.
« À ton tour, ma petite… Serre tes jambes autour de mon bassin, serre fort, montre-moi de quoi tu es capable, et danse sur ma queue… »
Sa voix se montrait douce, charmante, tandis qu’il laissait à Harley le soin de prendre les commandes, alors même qu’il y a à peine quelques minutes, l’homme était en train de l’étrangler en la baisant. Mais Le Joker était ainsi, paradoxal, ambivalent. Difficile de savoir sur quel pied danser avec lui, et ce même quand on faisait l’amour !
« Vas-y, danse sur moi, et dis combien tu aimes ton Monsieur J, Harley… »