Re: Opération séduction [Aoki Kou]
Posté : 30 août 2024 08:47
[HRP – Je ne fais volontairement pas trop avancé l’intrigue, si jamais tu as encore des choses à dire à Félicia avant la mise en place du petit défi ^^ !]
Ainsi donc, la proposition de défi lui plaisait ! Félicia en était sûre ! Elle était joueuse, cette petite ! D’autant plus que l’appartement qu’elle lui décrivait avait l’air de ressembler à tout, sauf à une forteresse. Malheureusement, bien des vivaient en étant intimement persuadés que leur domicile était inviolable. Une grave erreur qui amenait les gens à être négligents, et qui permettait à des voleuses comme la Chatte Noire de pouvoir s’enrichir au profit des riches gogos. Que l’appartement d’Aoki soit au septième étage ne la dérangeait nullement. Qu’il y ait un chien encore moins. Si c’était un chien d’appartement, et même s’il s’appelait Rex, ça devait être tout, sauf un chien de guerre. Aoki semblait très intéressée à l’idée d’avoir un chaton grandeur nature, mais demanda malgré tout ce qu’elle risquait, si jamais elle échouait.
Avec un sourire aux lèvres, Félicia croqua dans une frite, et sembla hésiter, réfléchissant, avant de dire :
« Si tu échoues, hum... Et bien... Je t’empêcherai de dormir toute la nuit, et je suis plutôt douée pour ça... »
C’était un pari entre amies, sans réel gagnant, ni perdant. Dans tous les cas, le résultat final serait le même. Félicia lui fit un léger clin d’œil, avant de retourner croquer une frite. C’était bon, les frites.
« Tu verras, Aoki... C’est peut-être toi qui auras un collier autour du cou... Mais je pense que tu dois déjà avoir tout un attirail chez toi, non ? »
Une simple déduction logique. Félicia se doutait bien qu’Aoki devait être du genre à savoir prendre du bon temps. Et, vu qu’elle lui avouait publiquement la voir avec un collier, Félicia imaginait une petite antre du plaisir chez Aoki. Ceci l’amena alors à poursuivre, et à préciser le gage d’Aoki, si jamais elle venait à être surprise :
« Pour préciser les choses, je vais voler quelque chose chez toi. Quelque chose de valeur. Comme... Un bijou, un collier. Je le mettrais alors sur toi, et je te réveillerai. Si tu te réveilles avec le bijou sur ton corps, alors tu auras perdu. Si tu te réveilles, et qu’il n’y a rien, alors tu gagnes. Si tu gagnes, je serais ton petit chaton, mais, si je gagne, tu devras me montrer ton petit jardin secret... Car je suis sûre qu’une femme comme toi doit avoir chez elle une petite pièce où elle s’amuse beaucoup... »
Simple supposition de la part de Félicia, mais elle était plus ou moins convaincue de ne pas se tromper. Aoki l’amusait beaucoup. Félicia était décidément bien heureuse de l’avoir rencontré ! Elle se mordilla les lèvres, et mangea alors silencieusement, finissant son plat. La Chatte Noire était pour le coup toute excitée. C’était bien la première fois qu’une séduction de sa part se terminait en un cambriolage maison ! C’était inattendu, original, et, partant de là, très excitant.
Le repas se termina donc assez vite, et Félicia regarda ensuite Aoki, en sortant du restaurant. Un léger vent frais venait remuer leurs cheveux. Elle récupéra l’adresse d’Aoki, et lui fit un grand sourire, avant de l’embrasser sur la joue.
« A tout à l’heure, alors... Dans ton lit ! »
Ainsi donc, la proposition de défi lui plaisait ! Félicia en était sûre ! Elle était joueuse, cette petite ! D’autant plus que l’appartement qu’elle lui décrivait avait l’air de ressembler à tout, sauf à une forteresse. Malheureusement, bien des vivaient en étant intimement persuadés que leur domicile était inviolable. Une grave erreur qui amenait les gens à être négligents, et qui permettait à des voleuses comme la Chatte Noire de pouvoir s’enrichir au profit des riches gogos. Que l’appartement d’Aoki soit au septième étage ne la dérangeait nullement. Qu’il y ait un chien encore moins. Si c’était un chien d’appartement, et même s’il s’appelait Rex, ça devait être tout, sauf un chien de guerre. Aoki semblait très intéressée à l’idée d’avoir un chaton grandeur nature, mais demanda malgré tout ce qu’elle risquait, si jamais elle échouait.
Avec un sourire aux lèvres, Félicia croqua dans une frite, et sembla hésiter, réfléchissant, avant de dire :
« Si tu échoues, hum... Et bien... Je t’empêcherai de dormir toute la nuit, et je suis plutôt douée pour ça... »
C’était un pari entre amies, sans réel gagnant, ni perdant. Dans tous les cas, le résultat final serait le même. Félicia lui fit un léger clin d’œil, avant de retourner croquer une frite. C’était bon, les frites.
« Tu verras, Aoki... C’est peut-être toi qui auras un collier autour du cou... Mais je pense que tu dois déjà avoir tout un attirail chez toi, non ? »
Une simple déduction logique. Félicia se doutait bien qu’Aoki devait être du genre à savoir prendre du bon temps. Et, vu qu’elle lui avouait publiquement la voir avec un collier, Félicia imaginait une petite antre du plaisir chez Aoki. Ceci l’amena alors à poursuivre, et à préciser le gage d’Aoki, si jamais elle venait à être surprise :
« Pour préciser les choses, je vais voler quelque chose chez toi. Quelque chose de valeur. Comme... Un bijou, un collier. Je le mettrais alors sur toi, et je te réveillerai. Si tu te réveilles avec le bijou sur ton corps, alors tu auras perdu. Si tu te réveilles, et qu’il n’y a rien, alors tu gagnes. Si tu gagnes, je serais ton petit chaton, mais, si je gagne, tu devras me montrer ton petit jardin secret... Car je suis sûre qu’une femme comme toi doit avoir chez elle une petite pièce où elle s’amuse beaucoup... »
Simple supposition de la part de Félicia, mais elle était plus ou moins convaincue de ne pas se tromper. Aoki l’amusait beaucoup. Félicia était décidément bien heureuse de l’avoir rencontré ! Elle se mordilla les lèvres, et mangea alors silencieusement, finissant son plat. La Chatte Noire était pour le coup toute excitée. C’était bien la première fois qu’une séduction de sa part se terminait en un cambriolage maison ! C’était inattendu, original, et, partant de là, très excitant.
Le repas se termina donc assez vite, et Félicia regarda ensuite Aoki, en sortant du restaurant. Un léger vent frais venait remuer leurs cheveux. Elle récupéra l’adresse d’Aoki, et lui fit un grand sourire, avant de l’embrasser sur la joue.
« A tout à l’heure, alors... Dans ton lit ! »