The Multiversity

Dans un sens, la vampire n'était pas satisfaite, elle n'avait pas réussi à épuiser Sya, elle ne l'avait pas non plus dégouté avec ses sandwichs, au contraire même! C'est vrai qu'elle avait seulement dit qu'elle était une esclave de la luxure au service de Lust. Elle avait oublié de préciser qu'outre ce statut, la petite esclave angélique était aussi une prêtresse de la Luxure et donc, en combinant ses deux rôles, elle connaissait beaucoup de choses sur le sexe, elle était aussi cultivé qu'inépuisable. Ce n'était pas si peu qui allait la fatiguer! Après avoir grignoté quelque chose, il était normal d'avoir soif même si sa demande reflétait bien la perversion de cette Ange. Du lait, oui c'est banal au petit déjeuné. Mais d'Ushi, c'est plus rare déjà, surtout à la source! Au pire, elle se contenterait d'un petit tour de magie pour se nourrir du lait d'une autre femme, ce n'était pas dérangeant pour elle même si celui d'une Ushi restait le meilleur lait qu'elle ai gouté! Elle n'avait jamais essayé avec une des nekos qui partageait sa vie? Elle devrait essayer tiens! Iinari sera d'accord, c'est sur et certain mais Saikai... bof, en la poussant un peu! Sya savait y faire avec sa petite femme! Mélinda restait quand même stricte, pas d'Ushi! Bon, si elle était occupée, elle comprenait mais Sya ne pouvait-elle pas jouir de ce harem durant son séjour? Elle rencontrera cette vavache tôt ou tard, pour l'heure, il y avait un lait tout aussi délicieux qui l'attendait. Le lait de Mélinda, ça avait l'air bon, rien que le nom!

Observant sa maîtresse en boire, les autres esclaves jouaient déjà avec elle dans son dos même si Kaori pouvait continuer à faire joujou avec ses petites fesses, elle était au service de toute ici, mais surtout de la vampire. Sya rebondissait à chaque coup de reins de la part de la futanari et elle avait de l'énergie à revendre la petite, l'ange ne pouvait que l'adorer alors qu'une nouvelle vague blanche s'enfonçait dans son anus. Si chaud et agréable. L'esclave était tiré vers la vampire, devant donc se retirer de Kaori pour quelques instants. Sa tête heurta la poitrine plus gonflée de la vampire et rien que voir ses tétons, Sya salivait d'envie! Afin de mieux s'installer, elle fit voler ses petites ailes pour quitter le sol et s'empaler sur le sexe de Mélinda, inépuisable lui aussi. Observant la belle poitrine, elle s'imginait déjà la quantité de lait qu'il devait y avoir! La lycéenne rejoint Sya en la reprenant de la même façon alors que l'esclave recevait un ordre délicieux.

« Oui Maîtresse... Hihi, c'est SyAAAAaaa qui est le sandwich maintenant! »

Un joli sandwich aussi. Sa main caressa l'un des seins délicatement en caressant sa peau autour du téton avant de le sucer et d'avaler avec appétit le liquide chaud et délicieux qui en sortait. L'Ange n'avait pas su retenir un petit gémissement de plaisir en sentant les premières gorgées couler dans sa gorge. Doucement, elle vint fermer les paupières en tétant Mélinda goulument. Elle était si gentille avec elle, tant normalement qu'en tant que maîtresse. Et ses esclaves, tant de copines pour elle. Elle allait adorer ce petit mois de plaisir chez elle. Maintenant retenue par la force de leur bâton de chair, Sya se tenait aux hanches de la vampire en la téton, gémissant de plus aux coups de reins de l'une comme de l'autre. Son propre bassin faisait des vas et vient à cause de ses deux femmes. Peu à peu, l'ange avait quelques secondes où elle cessait de sucer le sein de la vampire en fermant les yeux de toutes ses forces. Ressentant son propre orgasme arrivé et celui de Kaori qui approchait rapidement. L'ange de la luxure venait à retirer sa bouche en observant tant bien que mal sa belle maîtresse, haletant de plaisir, elle se mit à hurler de bonheur en posant sa tête sur la poitrine en face d'elle.

L'éjaculation de la futanari venait de se faire sentir et Sya adorait ça. Ce fut quelques secondes où elle redescendait sur terre pour regarder Mélinda avec un air béat. Elle était si sereine. Elle leva sa main vers le visage de poupée de la vampire pour lui caresser la joue.

« Je vous adore Maîtresse! Vous... et toutes vos gentilles esclaves ♥ »

Après un grand sourire elle changea de sien pour téter l'autre qui devait être un peu plus rempli que le précédent. Sya leva son index gauche en faisant quelques mouvements et ses longs cheveux bleus semblaient s'animer, formant plus ou moins des tentacules qui s'enroulaient autour de Kaori. Plutôt autour de ses seins, tout autour de sa poitrine, serrant doucement cette partie si moelleuse, se faufilant sous son soutien-gorge et allant même titiller son anus sans pour autant y entrer dedans. Il ne fallait pas redouter les capacités de Sya en ce qui concerne le sexe. Se faisant prendre par Mélinda, c'était à son tour de jouir en elle lui faisant ce plaisir de se faire remplir de plus en plus. Mais plutôt que continuer à boire – elle pourra reprendre juste après – l'ange de la luxure se retira de Mélinda ainsi que Kaori, laissant ses cheveux redevenir normale. Gaiement, elle se mit à genoux devant elle, l'idée semblait déjà traverser l'esprit de la vampire sauf qu'il ne faut pas oublier qu'elle avait un appétit d'ogre pour ce qui est sexuel!

« Maîtresse, la petite esclave veut sucer vos deux bites en même temps! Elle veut se faire défoncer la bouche par vous deux! Prenez là comme un objet de défouler vous sur elle! Sya veut que vous pussiez un peu vous reposer pour manger car la Maîtresse est toujours en forme grâce au sang de Sya. »

C'est vrai que Mélinda enchaînait aussi les orgasmes, sera-t-elle tenir aussi longtemps qu'elle? Au pire des cas, Mélinda pourra manger et Sya sera sur ses genoux à s'occuper de sa belle queue?

Si le lait d’Ushi avait pour fonction d’exciter les sens, et d’être très bon, il fallait aussi savoir que chaque Ushi n’avait pas le même lait. Tous étaient globalement de très bonne qualité, mais, même au sommet, il existe des pointes et des crevasses. L’Ushi de Mélinda, Melrose, ne venait pas de la forêt, mais de l’un des ranchs esclavagistes les plus onéreux de Mijak : le ranch d’O’Dim. La force de ce ranch était de disposer de tout un élevage d’Ushis, la ferme revendant à la fois des Ushis et du lait d’Ushi, ainsi que divers produits dérivés. C’était dans ce ranch que Mélinda avait fait l’acquisition de Melrose. Elle était encore un petit bébé, et elle avait même du aller emprunter auprès des banques mijakiennes pour trouver de quoi payer l’Ushi. Elle savait que son investissement lui ferait mal, mais les bénéfices sur le long terme seraient faramineux. Melrose avait été éduquée dès son plus jeune âge pour être une parfaite esclave, et était fréquemment demandée par les clients. Son lait était utilisé par Mélinda, soit par son usage personnel, soit à des fins professionnelles. On le vendait à prix d’or dans son restaurant, et on pouvait même en acheter. Sya se rendait-elle compte de la chance qu’elle aurait en pouvant gratuitement faire l’amour avec sa petite Melrose ?

*Je suis trop généreuse...*

Sya vint se blottir entre les seins de sa Maîtresse. Elle avait bu le lait de Melrose, et le résultat ne tarda pas à se faire ressentir. Ses seins la démangeaient, et Sya se mit à les sucer, avalant son lait, tandis que Kaori et Mélinda lui faisaient simultanément l’amour, la pénétrant, Mélinda par son vagin bien explosé, et Kaori par son anus. La femme aux cheveux bleus était très excitée, et caressait les hanches de Sya, enfonçant ses seins contre son dos, son érection n’arrivant pas à se terminer. Kaori, à l’origine, était une Terrienne, une Terrienne qui avait fini par rejoindre de manière assez permanente le harem. Elle revenait de temps en temps sur Terre, mais semblait préférer Mijak au Japon... Du moins, surtout en ce qui concernait le harem de Mélinda. Kaori ne tarda ainsi pas à jouir. Elle faisait l’amour avec une Ange ! Une putain d’Ange ! Comment se retenir ? Elle eut un nouvel orgasme, et il en fut de même pour Sya, qui cessa de sucer le sein de Mélinda, de boire son lait, qui en venait à dégouliner de ses lèvres, pour hurler de plaisir.

Une main sur les cheveux de la belle petite Ange, Mélinda laissa ses oreilles se faire remplir par leurs hurlements de jouissance, sentant son sexe se recouvrir de mouille. Elle réussit à ne pas jouir également, mais c’était uniquement lié à la brûlure dans ses seins. Elle était comme une espèce de vache qui attendait qu’on lui prenne son lait pour que ses mamelles se vident, et qu’elle ait moins mal. Les seins de Mélinda étaient bien plus gros, comme quand les seins de Melrose étaient remplis de lait. Ils atteignaient une dimension dantesque, ressemblant à des ballons d’hélium prêts à éclater. Pendant quelques secondes, une expression de bonheur absolu traversa le visage de Sya, qui ne pensa à rien d’autre que sa jouissance. Mélinda l’observa avec fascination, jusqu’à ce que les yeux de l’Ange se rouvrent, et qu’elle retourne à la réalité. Elle vit alors la main de Sya lui caresser sa joue, et esquissa un léger sourire, tandis que l’Ange de la Luxure se mettait à la complimenter :

« Je vous adore Maîtresse! Vous... et toutes vos gentilles esclaves »

La vampire ne répondit pas, même si cette déclaration d’amour l’atteignait plus qu’elle n’aurait aimé l’admettre. Sya retourna sucer son autre sein, et Mélinda gémit de plaisir, soupirant longuement, tellement c’était bon. Elle sentait le trop-plein s’échapper de ses seins. En tant que vampire, elle avait une résistance plus prononcée à l’égard du lait de Melrose. Ses seins retrouvaient ainsi assez rapidement une taille un peu plus normale. Elle adorait voir Sya la téter. Elle ressemblait déjà à une fille, mais, dans cette situation, ce sentiment était encore plus prononcé. Son sein était tiré par les lèvres avides de Sya. Elle était comme une espèce de gros bébé pervers chercher à boire un lait aphrodisiaque. Et elle aimait ça ! Comment le lui reprocher ? Le lait d’une Ushi était par définition l’un des meilleurs liquides de cette planète, aux propriétés curatives multiples. Certains élixirs de soins avaient pour base le lait d’Ushi.

Pendant qu’elle tétait, Sya ne négligeait pas Kaori. En sueur, la belel vit alors des espèces de longs tentacules bleus sortir des cheveux de Sya, et venir sur elle. Ils s’attaquèrent à ses seins, et descendirent un peu plus, filant vers son anus, la recouvrant. Kaori sentit son sexe la démanger à nouveau, et devint toute rouge, fermant les yeux en remuant lentement son corps. Des tentacules ! Un fantasme qui se réalisait !

« Haaaa.... Haaaaaaa.... »

Mélinda observa Kaori, qui était visiblement surexcitée. Ce fut son sang qui la fit jouir. Le sang de Kaori, en effet, se mit à s’emballer, et fit le déclic lui permettant de jouir, encore une fois, dans l’intimité de Sya. Mélinda soupira longuement, yeux clos, tout en se disant qu’elle était en train de crever les plafonds avec l’Ange. Elle avait en effet joui un nombre assez élevé de fois, et avait clairement le sentiment que ça ne se terminerait pas encore. Mélinda sentait sa poitrine aller mieux, et vit alors Sya remuer, poussant Kaori, ses mystérieux et inattendus tentacules retournant dans ses cheveux, afin de finir au sol, devant Mélinda, le sexe de cette dernière frottant sa joue. Sya lui fit alors une indécente proposition, et Mélinda, en souriant, invita Kaori à se mettre à côté d’elle.

« Où... Où avez-vous trouvé cette femme, Maîtresse ?
- C’est elle qui est venue à moi... Il faut croire que les Dieux savent parfois récompenser leurs fidèles. »

La vampire se demandait toutefois bien quel Dieu pouvait lui avoir offert ce cadeau. Peut-être était-ce simplement lié au hasard ? Si c’était ça, alors Mélinda avait vraiment une foutue chance de cocu. Elle approcha son sexe de la bouche de Sya, et Kaori fit de même. Les deux verges se touchèrent, provoquant de petits frissons dans le corps de Mélinda, et elles s’enfoncèrent dans la bouche de Sya, alternativement, successivement, ou en même temps, s’enfonçant en elle. La main de Mélinda maintenait la tête de Sya, et il en allait de même pour Kaori. Il fallait s’habituer à cette sensation, à ce frottement des sexes, à prendre sa bouche de biais, mais ce n’était pas difficile, et loin d’être désagréable.

« Allez, Kaori, allez ! Défonce-là, allez ! »

Mélinda la motiva en la fessant, et Kaori poussa un cri, avant de s’activer. Les deux femmes se mirent ainsi à la baiser la bouche, lui défonçant sa belle petite gueule, agrippant fermement ses cheveux pour maintenir sa tête, leurs cuisses frottant l’une contre l’autre, au fur et à mesure que leurs queues s’enfonçaient dans sa bouche, sa belle petite bouche.

Sya, l'ange de la luxure n'avait pas fini de faire parler d'elle dans ce harem plutôt célèbre dans Mijak et pourtant, elle ne le savait même pas! Tous les lieux de débauche qui sont connus passent tôt ou tard dans les oreilles de l'ange mais pas pour cet endroit? Pourquoi donc? Une étrange question qu'elle préférait oublié pour passer plus de temps ici et rattraper tout son retard! Sya pourra également profiter de son mois pour servir de tutrice à certaines novices? Tant de choses, Mélinda pouvait lui demander de se contenter de nettoyer sa chambre ou de servir de poupée sexuelle à chacune des femmes ici, elle le ferait avec plaisir même si pour le moment, elle devait simplement suivre Mélinda et occasionnellement, la vider de ce trop plein qui remplissait la vampire et ses désirs. Ne manquant pas de laisser parler ses propres désirs, Sya souhaitait avoir les deux futa pour elle toute seule, juste elles et sa bouche. Fallait être très dépravé pour faire une telle demande, si tôt après le cours petit-déjeuné, devant tant de belles spectatrices! Elle avait tant d'idée pour animer les mâtinées ici, il lui faudra faire tant de proposition à Mélinda pour voir si elle acceptait? Les prochains réveils au harem Warren ne risque pas de sonner comme la routine habituelle. Sya était là et elle allait tout bouleverser!

Avec Kaori, ses deux maîtresses – en considérant sa future copine de jeu comme sa supérieure pour l'instant – elle sentait les deux verges se battre pour sa petite bouche, sa petite langue, elle léchait autant qu'elle le pouvait les deux barres de chair qui s'offrait à elle. Parfois, elle pouvait en sucer une quelques instants avant d'avoir l'autre qui la remplaçait. Elle n'oubliait pas de faire jouer de sa main pour masturber l'autre quelques instants avant de les revoir se frotter l'une contre l'autre pour obtenir Sya. C'était à la fois romantique et excitant! Lorsqu’elle les tenait toutes les deux dans sa bouche, elle faisait en sorte de bien les masturber pour tenter de les faire jouir à l'unisson sauf que ça ne faisait que débuter, il en fallait plus pour cette conclusion. La vampire adorait soumettre, cela se voyait facilement à son regard et sa façon qu'elle avait de l'attraper par les cheveux pour lui ordonner de rester là, ne chercher aucune fuite pendant que Kaori devait la défoncer? Ce serait tout le contraire, Sya cherche toujours à être soumise, sauf les quelques fois où ses envies de prêtresses se faisaient plus fort que l'esclave. Dommage qu'elle ne puisse pas faire une double gorge profonde. Sya aurait aimé mais ce n'était pas possible dans cette position. L'ange continuait de gémir de plus belle, mouillant le sol entre ses jambes, un petit mélange de cyprine et de foutre à Mélinda. Levant les yeux vers les deux futanaris, il lui était difficile de bien les observer, ça bougeait de trop pour elle!

Après plusieurs minutes à bien les sucer, les masturber, les frotter entre elles, l'ange de la luxure avait réussi à avoir deux jets de sperme en bouche, deux saveurs pour un goût unique mais toujours si bon! Comment ne pas succomber au plaisir? Avalant tout ce bon lait bien épais, l'ange levait la tête vers Mélinda, se demandant si sa prestation suffisait pour la calmer ou si la vampire devait encore subir les délicates attentions de l'ange.

« La Maîtresse s'est assez vidé dans Sya? Elle pourra manger tranquillement ou bien la petite esclave doit encore jouer avec sa bite et ses belles boules? Hihi, Sya va quand même tenter une dernière fois pour en être bien sûr... »

Vaut mieux être prudente! Restant à genoux, elle caressa le sexe de Mélinda avec ses longs cheveux bleus en remuant la tête jusqu'à bien le perdre au milieu de cette petite forêt bleue. L'ange passait sa main dedans pour garder une poignée de ses cheveux autour de son pénis qu'elle masturbait doucement. Cette sensation était si douce, si agréable. C'était mieux que de la soie, que le pelage d'un petit chaton, d'une délicate louve, d'une belle renarde, les cheveux de l'ange de la luxure étaient doux, le simple fait de la masturber avec relevait le niveau. Ce n'était pas une simple masturbation, c'était bien mieux.

« La Maîtresse préférait peut-être être assise quand Sya la branle? Détendez-vous... »

Les petites mains couvraient sa verge, Sya la masturbait aussi délicatement que possible en la regardant, peaufinant le tout avec quelques légers coups de langue sur son gland... On ne pouvait pas être plus doux.

Kaori et Mélinda s’amusaient simultanément dans la petite bouche de Sya. L’Ange était très gourmande, à un niveau difficile à concevoir pour la vampire. Elle se vida assez rapidement en elle, contractant un nouvel orgasme, les enchaînant à la manière d’une usine. C’était la faute au sang de cette femme, un sang tellement délicieux qu’il al conduisait à enchaîner ses orgasmes à une vitesse folle. Elle allait bien dormir, ce soir, au moins. Pour l’heure, elle sentait progressivement l’excitation redescendre, le sang de Sya commençant à être digéré par son organisme très résistant. La vampire secoua lentement la tête, son sexe se mettant à nouveau à pointer, alors que Kaori se mit à proximité d’elles. Elles lui avaient fait une double fellation, qui, visiblement, avait bien fait plaisir à la petite Sya. Elle avait passé plusieurs minutes à sentir ces deux verges remuer dans sa bouche, se croisant, se touchant, se caressant longuement, se frottant, s’excitant mutuellement... Jusqu’à ce que l’orgasme arrive, inondant la bouche de Sya.

L’Ange s’appliqua ensuite à faire à sa Maîtresse une drôle de masturbation, entortillant ses cheveux autour de sa queue, les pressant sur son sexe, avant de caresser ce dernier, l’emprisonnant. C’était une sensation assez particulière, mais pas vraiment déplaisante. Mélinda l’appréciait beaucoup, et frissonnait de plaisir. Tout ceci confirmait les pouvoirs magiques de l’Ange, comme sa capacité à transformer ses cheveux. Elle frottait le sexe de Mélinda, avant de lui proposer de s’asseoir :

« La Maîtresse préférait peut-être être assise quand Sya la branle? Détendez-vous...
- C’est une bonne idée... »

La suivant, Mélinda alla s’asseoir, et se détendit effectivement, sentant les petites mains douces de Sya la caresser. Elle avait presque l’impression d’être pédophile, en voyant ce beau petit corps, ce visage poupon... Mais la vampire savait, par expérience, que les apparences étaient trompeuses. En la voyant, on avait l’impression d’avoir affaire à une fille pourrie gâtée, une petite poupée de porcelaine. Ce n’était en réalité pas faux, mais pas totalement conforme à la réalité. Mélinda était une femme ayant de multiples facettes, et Sya était un peu comme ça. Une Ange belle, petite, en apparence fragile, mais qui dissimulait une véritable perverse. Tout ça, ce n’était pas du sexe, c’était de la luxure, un hommage à la perversion, à des plaisirs sexuels inavouables en publics. Mélinda faisait véritablement l’amour avec une gamine. Sya en avait l’apparence.

« Tu es une vraie petite masseuse, Sya... Mais je t’en prie, continue... Et ta bouche, surtout, utilise ta bouche... »

La vampire ne le dirait jamais assez, mais elle adorait que son sexe soit enfoncé dans quelque chose de petit et d’humide. L’une de ses mains caressait lentement les cheveux de Sya, s’y cramponnant, afin de rapprocher son visage de son sexe. Yeux clos, elle se laissait ainsi aller, les minutes défilant rapidement. C’était une sensation magnifique, calme et reposante.

« Tu pourras ensuite manger en paix, Sya... Avec la culotte, ou avec d’autres esclaves qui te défonceront, le temps que Melrose, ma petite Ushi, soit prête. »

Il allait d’ailleurs falloir qu’elle aille se rendre sur place, afin de se renseigner sur le programme de Melrose, et l’amener à voir Sya. Il aurait été tentant de mettre Sya et Melrose en même temps dans une salle, mais, si l’Ange ne supportait pas le contact masculin, elle allait devoir ronger son frein, et prendre son mal en patience. Le plaisir personnel était certes une bonne chose, mais il y avait, avant tout, le plaisir professionnel. Les affaires, ce sont les affaires ! C’était aussi simple que ça.

Sya faisait tout pour rendre Mélinda heureuse, sexuellement parlant avant tout. La vampire était assise et la petite prêtresse s'exécutait à la tâche, masturbant la belle femme, son sexe prisonnier entre ses milliers de cheveux, c'était une petite forêt bleu qui entourait son pénis, ne laissait pour ainsi dire que son grand sortir de cette touffe bleue. Les quelques caresses de Mélinda étaient toujours un réel plaisir, de toute façon, tout est un réel plaisir pour une esclave, du petit regard à la caresse sur une joue, l'attention de sa maîtresse, c'était son salaire. L'ange de la luxure n'utilisait sa bouche que sur le gland essentiellement, gobant une petite partie de son membre, c'était surtout ses mains qui faisaient tout le travail cette fois. Suçotant le gland, elle adorait sentir le plaisir de sa partenaire à travers un petit rien, comme cette fellation. Mélinda se doutait-elle de tout ce que sa nouvelle acquisition était capable? Elle devait en avoir une petite idée mais elle aura bien le temps de se faire une idée. Mélinda lui parlait qu'elle pourrait manger ensuite, avec sa culotte ou une esclave qui pourra la prendre, et ensuite, jouer avec Melrose! Chouette! Sya cessait de la sucer, se contentant de la branler, à peine.

« C'est très gentil, Maîtresse. Mais si Melrose à beaucoup de travail, Sya attendra qu'elle soit libre pour jouer avec elle. La petite esclave ne voudrait pas que Maîtresse perde de l'argent à cause de Sya. Ha, et Sya jouera volontiers avec les autres esclaves pour son petit déjeuné mais elle ne voudrait pas rendre jalouses celles qui ne sont pas futa. Une langue ou des doigts peuvent aussi, remplacer la culotte, vous ne penser pas? »

Le rythme reprenait doucement, sa masturbation était très douce sur la fin de sa phrase. Elle avait d'ailleurs très souvent raison en ce qui concerne le sexe. N'était-elle pas une prêtresse de Lust? Non mais! Sa douceur finissait par atteindre l'orgasme chez sa maîtresse, un doux orgasme bien que cette fois-ci, la giclée n'avait pas été dans sa bouche, ni même de faciale, ça c'était pour une prochaine fois. Elle laissait le liquide blanc couler sur sa poitrine et son corps. C'est tout aussi bon comme ça puis si une esclave veut venir la nettoyer avec la langue, elle pouvait! Sya n'était pas égoïste en plus. Le reste avait couler dans ses cheveux, une bonne raison de prendre une bonne douche après ou un bain. La douche sera peut-être collective, avec ses nouvelles copines? Imaginer un bizutage parmi toutes ses femmes, quel pied! Un bukkake de futa ou même de fille normale, leur lécher le pied à toutes, les laver une à une, bref, que des idées tentantes! Se redressant, elle donna sa chaîne à Mélinda en la laissant choisir qui allait s'occuper d'elle durant le premier repas de la journée? Elle la voudrait surement près d'elle? Pour la surveiller ou donner quelques conseils à l'une de ses esclaves? Kaori avait déjà regagné sa place en observant la fellation de Sya, surement une pointe d'envie? Qu'elle se rassure, l'ange jouera aussi avec elle.

« Maîtresse, Sya va-elle déjà devoir combler des clientes du harem aujourd'hui? À moins qu'elle doive d'abord s'habituer à sa nouvelle demeure ou ses copines? »

Il y avait tant de possibilité pour elle, jouer les employés du harem, former les nouvelles, visiter le lieu, jouer avec les autres, rester le jouet de Mélinda aujourd'hui, tant, tant à faire!

La tête de Sya était entre les cuisses de Mélinda. La vampire observa les alentours. La venue de l’Ange surprenait énormément les différentes filles siégeant ici. Il fallait bien admettre que Sya était du genre à se faire rapidement remarquer, surtout dans un harem. Elle s’occupait tendrement, et avec doigté, du sexe de sa Maîtresse, jusqu’à aboutir à un nouvel orgasme, qui répandit sur ses seins le sperme de sa Maîtresse. Mélinda alla ensuite s’asseoir sur une chaise, tandis que Sya lui expliqua qu’elle n’était pas contre l’idée d’attendre un peu que Melrose soit disponible, de manière à éviter que ça ne cause un préjudice à sa Maîtresse. La vampire sourit devant cette délicate attention, et en profita pour rétracter son membre dans son corps, se sentant un peu mieux. Elle remua un peu son bassin sur le fauteuil en cuir où elle venait de s’asseoir, puis ferma les yeux, respirant lourdement. L’une de ses mains tenait la chaîne de Sya, et elle rouvrit les yeux, en entendant une demande de la petite Ange :

« Maîtresse, Sya va-elle déjà devoir combler des clientes du harem aujourd'hui ? À moins qu'elle doive d'abord s'habituer à sa nouvelle demeure ou ses copines ? »

Mélinda pencha la tête, réfléchissant à cette proposition, tandis que d’autres filles se rapprochaient de Sya. Ce fut notamment le cas d’une esclave éduquée depuis la naissance par la vampire, Natalya. Elle prit Sya dans le dos, glissant sa tête entre ses seins, et trempa ses doigts sur le sperme pendouillant le long des seins de Sya, pour glisser ensuite ces derniers dans l’intimité de la jeune femme, remuant ses doigts, tout en allant lui lécher le cou. Elle embrassa même sa belle petite peau, son autre main pinçant son téton. Natalya était une vraie professionnelle, et Mélinda croisa les jambes, se demandant quoi faire. L’envoyer former une jeune fille ? C’était tentant, mais Mélinda préférait généralement se charger de ça elle-même. Elle se caressait les lèvres en réfléchissant, envisageant alors d’autres possibilités. Chez une cliente ? Ce n’était malheureusement pas aussi simple que ça, car il fallait commencer par lui faire une fiche, même sommaire. Néanmoins, c’était tentant.

La vampire avait toujours les jambes croisées, lorsqu’une neko s’approcha d’elle. Elle s’appelait Lizzie, et aimait bien s’habiller en tenue d’écolière. Elle tenait dans sa main un plateau d’argent, et le déposa devant le fauteuil de sa Maîtresse. Il y avait du chocolat chaud, et des madeleines, et elle apporta la tasse vers les lèvres de sa Maîtresse.

« Tenez, Maîtresse.
- Brave fille, hum… »

Elle écarta les lèvres, et but un peu du chocolat, avant que Lizzie ne lui tende une Madeleine, qu’elle se mit à manger, bras posés sur l’accoudoir. Elle mangea ainsi. On aurait presque dit un bébé, mais, dans l’absolu, n’était-ce pas ça, le pouvoir ? Quand on vous faisait manger de manière servile ? Lizzie était une délicieuse petite neko, qui aimait beaucoup sa Maîtresse, tout comme se travestir. Elle massa ensuite la tête de sa Maîtresse, avec amour, ses joues délicieusement rouges en voyant son corps nu. Mélinda n’y fit pas attention. Sya était aussi en train de manger, et la vampire lui fit une proposition :

« Je te laisse choisir, Sya. Melrose n’est pas encore disponible, et tu peux, soit t’amuser avec l’une de mes nekos, timide et douce... Soit aller voir l’une de mes instructrices, une femme qui adore le cuir, ainsi que gifler les fesses. Je te laisse choisir. »

La luxure avait bien des manières de s’exprimer, et il serait intéressant de voir ce que Sya choisirait, à partir des quelques éléments d’informations fournies par Mélinda. La vampire, de son côté, leva un peu la tête, afin de sentir les mains de Lizzie se poser sur sa nuque, remontant sur son menton.

« Maîtresse a une peau tellement douce...
- Et toi, tu as des doigts de fée... »

Cette mâtinée fut tellement agréable, dire que cela ne faisait que débuter, difficile à croire mais Sya savait que la journée ne sera que meilleure au fil des heures et des minutes passer entre ses murs. Mélinda était bien assise dans son fauteuil et Sya avait une chaise. Elle ne demandait pas plus, tant qu'elle pouvait s'asseoir et manger, ça lui convenait parfaitement! Mais manger ici ne sera pas de tout repos, déjà une sublime s'approcha plus que les autres. L'ange avait bien remarqué les petites curieuses qui venaient chercher un croissant alors qu'il y en avait à leur table, d'autres qui ne s'en cachaient pas et restait dans un coin ou en bout de table pour observer la nouvelle esclave de leur maîtresse. Sya aimait être observé, être le centre des attentions, surtout des esclaves sexuelles! Mangeant un croissant tranquillement, une main vint retirer le sperme de Mélinda pour le loger là où il devrait être, entre ses jambes! Elle en avait tellement aussi mais bon, avec ce qu'elle avait perdu à côté, ce n'était que revenir au début. Mangé en se faisant doucement traité, bien installé entre deux seins moelleux, c'était bon la vie ici! L'ange écartait les jambes pour laisser à la jeune femme plus de facilité. Elle gémissait doucement, observant la neko qui venait servir Mélinda. Sya allait bien se marrer ici, oh oui! Le cou baisé, l'un de ses tétons pincés, elle l'aimait bien cette fille mais elle ne pouvait le dire qu'à ses petits gémissements et soupirs de plaisir.

Mélinda vint ensuite lui faire une proposition, un choix extrêmement difficile! Jouer avec des gentilles nekos ou se faire fesser par de belles femmes? Les nekos, ça lui rappelait Saikai, surtout le côté doux quoi que Iinari était tout aussi douce avec elle? Et les femmes en cuir, ça lui évoquaient Ishtar et sa lubie du latex. Neko, cuir... cuir, cuir, cuir, neko! Non, pas moyen d'avoir des nekos dominatrices? Surement mais là n'était pas la question. Bon, les nekos, elle adorait et ça avait un côté doux, comme ses âmes sœurs. Le cuir, elle aimait bien. Comme le SM mais à courte dose, c'était surtout les fesser qu'elle adorait et un peu le bondage. Après, elle obéissait à tout mais de cœur, c'est ses petites fesses qu'il faut martyriser. Bah de toute façon, elle aura le temps de tout essayer, ou presque? Au pire, elle verrait ce qu'elle n'aura pas eu le temps d'essayer la prochaine fois? Ayant comme un électrochoc en sentant son clitoris pincé, elle gloussa en levant la tête vers Natalya.

« Sya va se laisser tenter par le cuir, Maîtresse. »

Dire qu'elle était toute souriante en sachant que les coups allaient pleuvoir sur ses fesses, on ne pouvait que lui reprocher le fait d'être trop gourmande en luxure finalement. Se doutant bien qu'elle aurait quand même le droit de finir de manger, Sya passait quand même à la vitesse supérieure en mangeant un second croissant et en buvant un bol de chocolat chaud. Un peu plus compliqué quand même, souvent déranger par des doigts où une langue qui se glissait le long de son cou. Essuyant sa bouche avec le dos de sa main, elle se laissait reposer au fond du dossier de sa chaise, laissant cette main la faire mouiller un peu plus encore, de même qu'elle caressait cette main près de sa poitrine. Sya venait retirer la main entre ses jambes pour la mettre à sa bouche et sucer chacun des doigts couvert de sa propre semence ou celle de sa maîtresse qui restait encore en elle.

« La petite esclave devra se laver avant de voir l'institutrice? Puis c'est qui qui va emmener la petite esclave jusqu'à l'institutrice? »

Mélinda devrait peut-être commencer sa journée après tout? Elle était une femme d'affaires! Et Sya, une simple esclave qui prenait du bon temps et qui rapportera quand même un salaire pour sa Maîtresse d'ici peu.

Deux choix se proposaient à Sya : soit la voie de la soumission et de la douleur, soit celle de la domination et du plaisir. Le harem de Mélinda était un lieu à l’activité variée, afin d’essayer d’attirer la plus grande clientèle possible. La domination, le sadomasochisme, le bondage, toutes ces pratiques sexuelles fondées, non pas sur la recherche du plaisir, mais sur la culture de la douleur, étaient donc admis ici. Certaines des esclaves de Mélinda étaient, par nature, des femmes dominantes, ce qui n’empêchait pas d’en faire de bonnes esclaves. En un sens, c’était paradoxal, mais elles se débrouillaient très bien. Mélinda avait de l’expérience. Sya hésita un peu, avant d’opter pour le cuir. Ceci fit sourire Mélinda, qui ne répondit pas sur le coup, sentant les mains de Lizzie continuer à caresser sa peau, avec une douceur innée. Sa petite neko était très douée pour ça, et le prouvait à chaque fois, ses mains caressant superbement la tête de la vampire. Après ce réveil sur les chapeaux de roue, où elle s’était épuisée à jouir comme une forcenée à cause de cette Ange, ce contraste était des plus reposants. Les esclaves de Mélinda continuaient à délicatement s’occuper de Sya, tandis que l’Ange, au bout d’un certain moment, vint à lui poser plusieurs questions :

« La petite esclave devra se laver avant de voir l'institutrice ? Puis c'est qui qui va emmener la petite esclave jusqu'à l'institutrice ? »

La vampire haussa les épaules, sentant les doigts de Lizzie glisser le long de ses lèvres, remuant le long de sa bouche. Elle écartait légèrement ces dernières, sentant parfois les doigts de Lizzie se glisser dans sa bouche, pour toucher sa langue. Elle tourna ensuite sa tête vers Sya, repue. Il est vrai que la vampire avait des choses à faire. Tourner un harem, ça ne consistait pas à faire l’amour tout le temps avec les filles qui y étaient. C’était une entreprise, et, comme toute société, cette dernière nécessitait un certain investissement.

« Lizzie t’emmènera voir Carla. Si mes souvenirs sont exacts, elle est en train de prendre sa pause avec Mizuki.
- Très bien, Maîtressse.
- Quant à te laver... »

La petite vampire haussa les épaules :

« Tu es une Ange, les anges sentent toujours bons. Et la pause de Carla n’est pas éternelle. Beaucoup de clients demandent son doigté très particulier, et il y a surtout des hommes. Mieux vaut donc que tu ailles la voir avant que tu ne tombes sur des mâles, vu que ta conception de la luxure ne semble pas s’étendre à la majorité des relations sexuelles présentes en ce monde. »

Le ton était légèrement ironique. Intuitivement, en refusant le contact hétérosexuel, Sya était en train de franchir une barrière qui l’aurait paradoxalement amené à être du même avis que tous les moralisateurs et les puritains qui pullulaient sur ce monde sous l’influence de l’Ordre : l’hétérosexualité était la seule forme de relation sexuelle tolérable, admise, et saine. Toutes les autres étaient des déviances sexuelles n’ayant pas pour objectif l’établissement de la filiation, et donc, par voie de conséquence, un péché de luxure. Mélinda n’allait toutefois pas embêter Sya avec ses remarques, et ordonna qu’on lui remette sa culotte à godes, comme elle allait se déplacer. Les esclaves obtempérèrent, et la culotte noire se referma sur les cuisses de Sya, les deux godes s’enfonçant dans son anus et dans son vagin, avant de se mettre à vibrer, Mélinda confiant à Lizzie la télécommande.

« Allez-y. »

Lizzie hocha la tête, et marcha sur ses pattes arrières. C’était ce qu’elle préférait faire. La Terranide attrapa la laisse de Sya, et la tira, l’Ange finissant à quatre pattes. La neko se mit ainsi à marcher dans les coursives du harem, sa queue ondulant à droite et à gauche. Le duo descendit plusieurs étages, devant parfois s’arrêter, à chaque fois que l’Ange, sous l’effet de la culotte, avait un orgasme. Lizzie parlait assez peu, mais offrit tout de même quelques informations à Sya.

« Carla est une femme dont les services sont assez onéreux. Tu as beaucoup de chance que la Maîtresse t’en fasse bénéficier gratuitement. »

Le duo atteignit un autre couloir, similaire aux autres, en ce sens qu’il dégageait une impression de richesse et de luxe. Des tapis rouges, des couloirs aérés, des tableaux, des lustres... Le décor était orné par quelques esclaves sexuelles attachées contre les murs, une décoration typique du harem de la vampire. Elles étaient enchaînées, et pénétrées par une culotte similaire à celle que Sya portait, restant ainsi pendant de longues heures, bâillonnées avec un gag ball sur la bouche. Sans s’arrêter pour s’occuper d’elles, Lizzie continua à marcher vers une porte, et l’entrouvrit. Elle entendit immédiatement un petit cri, suivi d’une voix féminine forte et vibrante :

« Ça te plaît, hein, ma salope ? »

Lizzie ouvrit la porte, et vit un spectacle qui la fit délicieusement rougir. On voyait, de dos, une neko en train de se faire cravacher par les fesses, ses bras et ses jambes en croix, immobilisés par de solides cordes. La chambre était plongée dans la pénombre, les volets ayant été fermés. La seule source de lumière venait de chandeliers dans les coins.

« NYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYAAAAAAAAAAAA !! » miaulait la neko, remuant ses fesses rougies de droite à gauche.

Lizzie se fit entendre en tapant contre la porte. Carla, au demeurant une très belle femme, leur fit face, tenant une cravache dans la main. Elle n’était pas qu’une esclave, mais aussi une agente mijakienne, spécialisée dans la torture. Elle soumettait à la question bien des prisonniers. Mizuki, quant à elle, était une délicieuse petite neko aux cheveux violets venant tout droit des laboratoires de Tekhos. Elle avait les yeux bandés, et ronronnait furieusement.

« Qu’est-ce que vous voulez ? » demanda Carla.

Se raclant la gorge en baissant la tête, Lizzie présenta Sya comme une Ange orientée vers la luxure, et qui avait reçu, de la part de Maîtresse Warren, l’occasion de profiter des services de Carla. La femme en cuir pencha la tête, fronçant les sourcils.

« Une Ange, hein ? lâcha Carla. Ma foi, je ne vais pas refuser.
- Nyyyyyuuuu-uuuuuhhhh... » gémissait Mizuki.

Carla se retourna, et gifla les fesses de Mizuki, frappant fort, la claque résonnant dans toute la pièce. Carla remua la tête, puis fit signe à Lizzie de partir. Cette dernière baissa la tête en signe de respect, et partit.

« Tu vas avoir une nouvelle partenaire, petite pute, glissa Carla à Mizuki.
- Myyyyaaah ? demanda Mizuki.
- Je vais vous fesser toutes les deux, mes salopes. »

Ce n'était pas cette maudite culotte noire qui avait manqué à Sya! Quitte à jouir même en allant jusqu'à une autre pièce, pourquoi ne pas avoir une esclave à disposition, n'importe laquelle! Bon, c'est sur que ça sera gênant mais pourquoi pas une fée? Comme Sakura lors de leur rencontre! Si Mélinda en avait aussi, la ou les fées devaient être prises? Ha, à croire que cette culotte sera la seule chose négative lors de son petit séjour dans le harem de la vampire! Enfin, une culotte contre un mois de luxure complet, jouissant de chacune des hôtesses et plus tard de clientes, pourquoi se priver de ce petit plaisir? Une si petite chose en échange de ce harem. Qui refuserait? Certainement pas la prêtresse de Lust, oh ça non! Marchant à quatre pattes derrière la jolie neko, l'ange était plutôt lente, s'arrêtant plus d'une fois pour jouir, inondant ses cuisses comme le sol. C'est vrai que c'était dur à supporter mais voir et entendre ses filles aux murs, ça rajoutait de l'excitation! Comme la chaîne n'était pas très grande non plus, elle en profita lorsqu'elle se vidait de jus intime pour lécher une partie de la jambe de Lizzie. Depuis Iinari et Saikai, elle avait un faible pour les nekos... comme les kitsunes, puis les inus, et les usagis, les toras... Bah en fait, elle aime toutes les femmes donc Lizzie ou pas Lizzie, elle voulait aussi profiter de la belle neko. Un autre jour peut-être!

C'est sur qu'elle était chanceuse mais en atterrissant dans sa chambre, la veille ou plutôt le matin, très tôt, elle savait que Mélinda était une gentille fille. Derrière ses menaces, son autorité, elle n'était qu'une gentille maîtresse qui aimait prendre soin de ses esclaves. Et maintenant, Sya l'était temporairement. Arrivant enfin devant la chambre de Carla, elle se sentait déjà prise dans son filet, elle était impatiente. Voyant la scène avec la neko, elle en aurait mouillé si elle ne l'était pas déjà en train de le faire! Laissant la neko faire les présentations, Mizuki semblait impatiente de se faire claquer encore, une vraie petite masochiste! Elle allait adorer! Lizzie quitta Sya, la laissant aux soins de la nouvelle maîtresse de l'ange, elle ferma la porte derrière elle la petite esclave s'approchait à quatre pattes en laissant sa laisse trainée parterre. Son sourire était grand et ravi devant ses insultes, ça sonnait comme des mots doux à ses oreilles, ses claques semblaient être de grandes caresses plus rapide et plus forte mais Sya avait toujours eu un côté maso aussi. Sans doute à cause de son côté esclave? Elle n'avait rien contre la tendresse mais elle penchait plus facilement de ce côté après tout. Toujours au sol, à quatre pattes, elle levait la tête vers la belle blonde avec son grand sourire, son bassin ondulait sous les vibrations de plaisir. Impatiente de se la faire retirer, tout comme elle était impatiente de commencer à connaître les performances de Carla.

« La petite salope est impatiente de commencer Maîtresse... »

Sya ferma les yeux, gémissant doucement alors que ses jambes continuaient d'être trempé sous les effets de la culotte double gode. Déposant quelques baisers sur ses jambes de cuir, c'était si sexy le cuir, surtout sur une femme forte! Elle se faisait aussi docile qu'une neko bien dressé mais même ainsi, Sya avait ses petites astuces, son petit caractère mine de rien!

« Maîtresse~ Sya pourrait être enchainé en face de la neko? Elle aimerait se frotter contre elle et l'embrasser en sentant son petit cul être fessé par vous. »

Provocation! Oser quémander à une maîtresse, ça ne se faisait pas! Mais Sya le faisait. Parfois on lui donnait raison à cause de son joli minois même si elle recevait double dose de coup pour la peine, le plus souvent on ne l'écoutait pas et elle jouait comme la maîtresse le voulait. Vite remise sur pied de force, Carla ne lui avait pas encore donné sa réponse à sa demande, elle la bouscula vers une table où étaient posé tout un tas de jouet amusant. Son ordre était simple, tendre ses fesses. Elle resta donc ainsi, à moitié allongée sur la table, ses fesses tendues vers Carla qui lui retira sa culotte et se fit un plaisir de faire résonner sa main sur ses fesses, chaque fessé étaient accompagnées par un petit cri ravissant et mignon. Elle souriait. Comme toujours, l'ange de la luxure adorait ce genre de traitement qui n'avait pas duré très longtemps mais assez pour sentir ses fesses chauffées une fois que sa main avait cessé de la frapper. C'était délicieusement bon. La chaîne de son collier se tendit de nouveau pour la redresser et l'ange continuait de sourire alors que Mizuki continuait de miauler car elle n'avait plus de douleur, plus rien, on ne s'occupait plus d'elle, la pauvre petite neko. Même Sya avait pitié de cette pauvre chose qui ne pouvait pas subir le traitement de sa maîtresse. À présent, c'était à elles d'être prises par Carla, qui allait se faire une douce mélodie de leurs cris de souffrance mêlée au plaisir.

Carla était une femme qui aimait la souffrance. C’était ainsi. Elle vit cette curieuse Ange, que la maîtresse du harem lui amenait. Carla pencha la tête. Elle était aussi, d’un point de vue technique, l’une des esclaves de Mélinda, mais aucune de ses conquêtes ne se risquaient à l’appeler ainsi. Tête baissée, elle vit Sya lécher fiévreusement sa botte en cuir, tandis que Mizuki miaulait faiblement, exigeant qu’on retourne la fesser, encore. C’était une neko particulièrement gourmande, qui penchait la tête sur le côté, gémissant. Mais on ne donnait pas d’ordres à une Maîtresse, on les suivait. Sya lui fit une demande qui fit froncer les sourcils de Carla. Qu’est-ce là donc que ces esclaves récalcitrantes, ces rebelles qui voulaient que la Maîtresse obéisse ? Sans rien répondre, Carla attrapa Sya, et la mit sur une table, avant de la fesser, fort. Elle la frappa, jusqu’à ce que les fesses de Sya soient bien rouges. Il était d’autant plus gratifiant de la battre que Carla, tout en étant humaine, avait des gènes démoniaques dans le sang. Battre une ange était donc d’autant plus préférable qu’elle battait l’ennemi naturel des démons. Elle continuait à la fesser, soupirant de plaisir, tandis que Mizuki, triste, tournait la tête, parvenant à croiser le regard de Sya. On pouvait y lire le manque. Son dos était rougi par les nombreux coups de cravaches, mais on la délaissait, la laissant en silence, seule.

« Petite pute angélique... Tu arrives ici, et tu oses fixer tes propres conditions ? Tu me prends pour un larbin, hum ? Dans ma chambre, JE décide qui fait quoi ! »

Et il y eut une nouvelle fessée sur le cul de Sya. Il était important de faire clairement comprendre les règles à cette jeune femme. Carla commandait, Sya obéissait. La servitude reposait fondamentalement sur cette dichotomie. Un commandement, une autorité, n’avait de sens que parce que quelqu’un donnait les ordres, et qu’un autre les exécutait. Et, en l’état, Carla ordonnait, et Sya suivait. Elle se désintéressa aux fesses de Sya, et l’attrapa par la chaîne, tirant Sya, qui tomba sur le sol, aux pieds de Carla. La belle blonde, cette forte femme dont les talents si particuliers étaient très demandés, réfléchit brièvement sur ce qu’il convenait de faire. Elle n’oubliait pas que Mizuki gémissait lentement, qu’elle remuait légèrement ses petites fesses, quémandant silencieusement de nouvelles fessées. Carla se mit à marcher. Le sol était partiellement recouvert d’un tapis violet, étouffant à moitié le bruit de ses talons. Elle alla se placer devant Mizuki, qui rougit en voyant sa maîtresse, ronronnant silencieusement. Mizuki, toute nue, baissa la tête, les joues rouges, et Carla tendit l’une de ses mains, caressant l’un de ses seins, faisant gémir la neko.

« Tu vas lui lécher son intimité pendant que je vais fouetter cette garce. Ceci t’apprendra le respect. »

Elle se glissa dans le dos de Mizuki, et alla chercher un fouet, puis l’abattit au milieu de son dos, ce dernier claquant solidement contre son chair.

« HUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !!! » miaula furieusement la neko.

Elle remuait frénétiquement sa queue violette, alors que le fouet s’abattit encore. Elle mouillait follement, et serrait avec ses petites mains les chaînes qui l’immobilisaient. Carla abattit le fouet sur le cul de la jeune neko. Elle adorait entendre le claquement du fouet, quand ce dernier s’abaissait sur le corps de quelqu’un. C’était... Tellement jouissif, si délicieux à entendre. Carla se permit de la fouetter encore une fois, laissant de longues traînées écarlates dans son dos, qui se couvrait de grosses plaques rouges. Elle ronronnait furieusement, et le fouet, mordant tel un serpent, continua à s’abattre sur elle, jusqu’à ce que, sous l’effet conjugué de la langue de Sya, et des fouets, Mizuki ne se mette à jouir. Dans un long miaulement, elle répandit sa mouille sur la bouche de Sya. Un sourire vint alors éclairer le visage de Carla, qui cessa de la fouetter. Elle s’approcha, le cuir crissant sous ce déplacement, et posa ses mains sur le corps de Mizuki, caressant ses plaies, faisant délicatement gémir cette dernière, qui s’amusa à faire promener sa queue le long de sa jambe. Carla ne s’en formalisa pas, et embrassa tendrement Mizuki dans le cou.

« Tu avais peur que je te néglige, hum ?
- Huu... Maî-Maîtresse...
- Rassure-toi, les petites catins comme toi méritent toujours d’être punies, c’est quelque chose que je n’oublie jamais.
- Haaaa... »

Mizuki avait été fouettée pendant plusieurs minutes, et avait donc, fort logiquement, un peu de mal à parler. Carla s’écarta d’elle, se rapprochant de Sya.

« A ton tour maintenant, petite garce. »

Et, sans attendre plus longtemps, Carla souleva Sya, et l’attacha à des chaînes contre le mur. Elle lui écarta les jambes, les attachant également. Sya était pile face à Mizuki, mais son dos, pour l’heure, était inaccessible. Carla se plaça devant elle, et caressa brièvement, avec quelques doigts, l’intimité de Sya.

« Tu aimes ça, hein, traînée, qu’on s’occupe de toi ? Qu’on enfonce tes doigts là ? Ça fait du bien, ça réconforte la pute que tu es... »

Elle continua ainsi à enfoncer ses doigts, un sourire ravageur sur les lèvres. Carla n’avait nullement envie de s’arrêter, et remua son doigt griffu en elle. Elle le retira alors, et le lécha.

« Putain, tu es une vraie salope... »

Elle ne dit alors rien, s’empara d’une cravache, et l’abattit entre les cuisses de Sya, à l’emplacement de ses lèvres intimes, frappant une fois, puis une seconde fois, et encore une troisième.

« Dis-le ! Dis comme tu aimes ça, à quel point tu adores qu’on te frappe ! Dis que tu es une pute, dis-le !! »

Bingo! Carla était tombée dans son piège et Sya fut fessé avec tant de plaisir, de force, que demander de plus? La petite esclave se relevait en étant tiré par la belle blonde alors que ses fesses chauffaient, elle aimait sentir une plume lui procurer de la douleur alors que logiquement, c'est tout doux une plume. Tel étaient les effets de sa punition. Mizuki était une neko intéressante aussi, elle était belle et était très masochiste, voulant absolument se faire maltraiter par Carla mais Sya ne pouvait pas lui jeter la pierre car elle était pareille. Bien sur, elle n'avait rien contre un peu de douceur non plus. De longues séances de caresses, avec la main, la langue, ce genre de chose, elle les réservait surtout à Saikai, c'était elle après tout qui aimait les choses douces, elle n'était pas spécialement pour la violence sous les draps, ni même être brusqué ou grossier. Saikai, c'était une douce petite neko qui adorait la douceur et l'ange de la luxure s'en contentait. Ça ne la dérangeait pas et au pire, elle ne lui en voulait pas de voir de temps à autre Iinari qui n'avait aucune limite avec le sexe tant que ce n'était pas mortel. Alors le cuir, le martinet, les jouets, les insultes, les parties de jambes en l'air endiablées et même la douceur, ça lui plaisait.

Face aux miaulements de la petite neko attachés, même l'ange craquait et rêvait de la caresser, la réconforter ou au pire, lui donner une ou deux petites claques sur ses petites fesses afin qu'elle soit ravie. Mais ça, c'était un travail pour leur maîtresse. Son seul objectif, léché Mizuki jusqu'à ce qu'orgasme s'ensuive. Pas de problème pour l'ange! Elle souriait en venant glisser sa langue sur ses petites lèvres trempées. Elle adorait avoir affaire à une petite catin qui était aussi perverse qu'elle, c'était sans surprise mais c'était bon! Carla commençait le traitement, à grand coup de fouet dans son dos pour mieux la faire hurler, mieux la marquer et mieux la faire jouir surtout! Sya n'était pas à plaindre, prise entre les jambes de cette dernière, elle léchait avec envie le liquide si bon qui coulait en abondance d'entre les jambes de nekos et plus elle criait, plus l'ange trouvait ce liquide savoureux. Ça redonnait un goût sublime, divin! L'ange ne fit pas que seulement lécher le jus intime de la chatte, oh non, elle préférait surtout aller le chercher loin avec sa langue, récoltant la mouille à la source même. Sa langue ondulait comme un petit serpent en elle et cela ne laissait pas Mizuki indifférente prise entre la douceur de l'ange et le sadisme de la belle blonde. En la léchant, la jeune femme remuait doucement sa tête pour que son nez se frotte contre son petit bouton intime. Un mélange particulier, pris entre le bonheur et la souffrance même si elle trouvait aussi le bonheur dans la souffrance.

Sya passa de longues minutes à lécher et boire jusqu'à ce que la neko lâche son jus intime, inondant la bouche de l'ange de Lust pour son plus grand plaisir! L'ange continuait de doucement la lécher alors que Carla lui parlait merveilleusement bien. Maintenant, c'était son tour de subir le même sort, peut-être plus, peut-être moins? Contre le mur, elle eut la même position en X que la neko, elle était en face d'elle. Mais trop loin pour la lécher malheureusement. Les doigts de Carla caressaient sa petite chatte et elle gémissait doucement devant cette douceur et ce plaisir qui la pénétrait doucement. Oui, elle aimait ça et son regard le lui disait si bien. Carla prenait un malin plaisir à la toucher ainsi, l'ange le voyait dans ses yeux puis devant ses petits noms doux, elle craquait, elle fondait comme un petit chocolat en pleine chaleur. Molle et détendue, elle aimait qu'on lui parle ainsi, surtout quand sa maîtresse portait du cuir et des instruments si amusant. Puis vint la cravache, claquant sèchement entre ses jambes. Un frisson de douleur et de plaisir parcourait son corps de bas en haut. La faisant d'abord crier de surprise puis de douleur petit à petite, une douleur où le plaisir avait aussi sa place. Ses lèvres intimes devenaient d'abord roses sous les coups, le bout de la cravache devenait humide à cause de son excitation d'avant puis ça maintenant. Et devant ses ordres, elle ne pouvait pas désobéir, elle devait être une gentille petite pute.

« Haaaaa... Je.... Oui! Haaaa Syaaaa Ahhha... Sya aime ça, Maîtresse-ahhhHHHaaaaa! Sya est une pute HaaaaAAANNNnnn... Elle... Elle adore ça!!! Haaa! »

La petite ange gigotait, enchainé mais elle adorait ça, surtout que ça montait petit à petit, après l'entrejambe, Carla remonta pour le faire aussi sur ses tétons déjà si durs! Des petits coups, surtout pour fouetté le petit morceau de chair qui pointait, voilà ce que la maîtresse aux esclaves cherchait. Mizuki continuait de miauler faiblement en observant la scène juste devant ses yeux. Peut-être de la jalousie, de l'envie? Elle n'en savait rien? Quoi qu'il en soit, elle restait assez silencieuse devant le traitement. Cette délicieuse torture qui parcourait son corps continuait de la faire gémir et crier en même temps, l'essoufflant un peu alors qu'elle se rapprochait d'elle. Carla sentait si bon. Sya sentait cette odeur dominante et cette envie aussi. Presque collée à elle, sa main attrapait l'un de ses mamelons pour doucement le tordre en le pinçant, d'un côté, puis de l'autre quand elle ne tirait pas en avant, faisant remuer ses hanches comme une danseuse. Avec sa cravache, elle recommença à la frapper doucement, la cuisse, parfois ses lèvres mais comme son regard était surtout en bas, elle cherchait à fouetter avec le bout de sa cravache son petit bouton d'amour.

Devant un tel traitement, Sya se retenait encore un peu mais avec tous ses coups, ce plaisir pendant et avant ça, elle commençait à atteindre ses limites. Elle remuait de plus en plus mais quand elle relâcha la pression sur son sein pour recommencer avec son bouton d'amour, il ne lui fallut pas plus d'une minute pour la faire cambrer en arrière alors qu'elle se relâchait et qu'elle atteignait l'orgasme en criant de plaisir.

« HAAAANNNN MAÎTREEEEEEEEESSE!!!!!! »

Le petit jet de cyprine arrosait sa main comme son pantalon de cuir alors que Sya, se sentait soudainement libérée et soulagée. La suite maintenant, elle en voulait plus! Savoir ce que Carla comptait faire d'elle et Mizuki où si elle devait aller voir une autre Maîtresse ou copine? Après tout, Mélinda ne lui avait rien dit à ce sujet? Reprenant son souffle, elle redressait la tête en observant Carla, le regard vague mais le sourire large.

« Maîtresse~ »

Oui, après ça, Sya était heureuse.

C’était au tour de Sya de prendre cher, de se faire violemment cravacher pour son impertinence. Carla savait que la seule chose que l’Ange voulait était de se faire battre, et elle comptait bien, sur ce point, la satisfaire intégralement. La cravache s’abattait ainsi forcément sur le ventre de Sya, giflant ses cuisses, cravachant son ventre, son bel estomac, ses seins, se rapprochant d’elle pour la toucher, sentant, derrière elle, le regard insistant et plaintif de Mizuki. Elle était très excitée devant cette scène, devant les coups violents de cravache, ces coups qui faisaient gémir la brave Ange. Un sourire éclairait les lèvres de Carla, qui la battait de plus en plus fort, mouillant sous son pantalon et ses sous-vêtements. C’était tellement excitant ! Elle battait une Ange ! Dieu existait donc bel et bien, afin de lui offrir un tel cadeau ! La femme continuait, sans relâche, à abattre la cravache, faisant rougir le corps de Sya, lui pinçant un sein, jusqu’à finir par sentir cette dernière jouir, dans un « Maîtresse » puissant et très encourageant. Carla vit la cyprine mouiller son pantalon de cuir, ainsi que sa main. Un sourire éclaira ses lèvres, et elle lécha son gant, le nettoyant, voyant un air de plaisir traverser le visage de Sya, ce qui fit sourire Carla.

« Tu n’es vraiment rien de plus qu’une pute... »

Carla adorait insulter ses partenaires, et déposa la cravache dans un coin, puis se retourna vers Mizuki, qui gémissait silencieusement, essayant de frotter ses cuisses l’une contre l’autre. Carla se rapprocha d’elle, faisant à nouveau crisser son cuir en marchant. Le crissement du cuir... Une autre des choses qui excitait follement Mizuki, et même Mélinda. Carla faisait partie de ces quelques privilégiées qui, de temps en temps, avaient l’honneur de pouvoir battre leur Maîtresse, quand celle-ci en exprimait le désir. On l’attachait, et Carla faisait partie des quelques dominatrices qui lui fouettaient les fesses, et la torturaient. Maîtresse était une femme très endurante, en raison de sa constitution vampirique, ce qui rendait ce genre de séance, au-delà du symbolisme, particulièrement délicieuse. Carla frotta le sein de Mizuki, le tenant dans sa main, et la gifla entre les cuisses, la faisant fortement miauler.

« NYYYYYYYYYYUUUUUUU !!!
- Tu aimes ça, hein, petite salope ? »

Elle rougit en baissant la tête, et Carla s’écarta.

« Rassurez-vous, vous êtes de telles traînées que je ne vais pas vous laisser partir si facilement. »

Et, accessoirement, Carla avait également envie de jouir, et elle le ferait en les battant, ce qui arrivait toujours à un moment. Elle s’écarta des deux jeunes femmes, le temps d’aller chercher un fouet, et nota alors la présence, sur le sol, de la ceinture à godes utilisé par Sya. Un sourire étira ses lèvres, car elle portait justement une culotte de ce genre, à la différence qu’elle pouvait rétracter les godes ou non. C’était une culotte tekhane, très pratique. Cette situation l’excitait tellement qu’elle enclencha sa culotte, et deux godes s’enfoncèrent en elle, la faisant soupirer. C’était une forme d’alternative, mais il n’y avait toujours aucun contact physique. Elle se sentait pleine, continuant à mouiller, puis se rapprocha des deux femmes, portant également des pinces pour les seins, avec une chaîne les retenant, et les accrocha à la fois sur Mizuki et sur Sya, puis alla chercher un autre objet, un double collier, afin de les relier à Sya et à Mizukia. La chaîne était souple, en pouvant se déplacer le long de cette dernière, leur permettant ainsi de se mettre l’une à l’autre.

Ce faisant, Carla les détacha, et les deux femmes tombèrent sur le sol, tandis qu’elle tenait le fouet. Elle alla s’asseoir, et croisa les jambes.

« Léchez mes bottes, mes salopes. Tout de suite. »

Pendant ce temps, Mélinda, quant à elle, retournait à ses activités, et se trouvait toute nue dans l’une des salles de massage du harem, une autre activité offerte aux clients, qui consistait à avoir des massages, parfois très érotiques. En l’occurrence, cette salle de massage était vide, à l’exception de Mélinda, de Lizzie, et d’autres femmes nues, ou partiellement nues, qui parlaient entre elles, ou s’embrassaient. Le centre de conversation de l’essentiel du harem portait naturellement sur la présence d’une Ange dans les locaux : la petite Sya. Mélinda ignorait alors que Sya était déjà connue par d’autres personnes.

Limma c'était habitué à sa nouvelle vie d'esclave de Mélinda. Une vie qui était plutôt agréable et simple. Jamais elle n'aurait imaginé que revire en esclave aurait pu la rendre heureuse. En même temps elle profitait d'une bien plus grande liberté qu'avant. Elle ne vivait pas enfermée dans une cage et nourri comme une vulgaire bête et abandonné tant qu'on ne se servait pas de son corps.

Après une nuit passée à une forge de la ville, Limma rentra plus tard que prévue au harem. Elle avait voulu rentrer tôt pour être disponible pour sa maitresse avant qu'elle ne se réveille. Mais son temps passé à la forge lui avait fait perdre la notion du temps. La raison de cette visite nocturne au forgeron, était dut à une envie et à un manque de Limma. Depuis qu'elle avait fusionné avec Xia, Limma avait un rêve, pouvoir volé. Car l'une des seules choses qu'elle n'avait pas héritées de la démone étaient ses ailes. C'est pourquoi elle tentait d'en forgé. L'idée pouvait paraître folle, mais avec sa capacité à pouvoir mouvoir le métal comme s'il était un membre de son corps pouvait rendre cela possible.

Les ailes n'étaient pas encore finies, Limma retournera surement bientôt voir le forgeron. Limma rentra donc dans le harem sans difficulté. On la connaissait maintenant et on la laissa donc rentré sans problème. Limma voulait vite aller voir sa maitresse, pour s'excuser si jamais elle l'avait cherché durant son absence trop longue. Mais avant ça elle se rendit dans sa chambre. Dans cette pièce qu'elle avait le privilège de posséder, se trouver un grand lit et plusieurs meubles. L'un d'eux contenait différent vêtements, chose qu'elle possédait que depuis peu. Un second contenait des bouteilles de sang. Avoir une maitresse vampire avait ses avantages.

Limma pris donc l'une des bouteilles et commença à la boire. Le sang avait la particularité de régénéré son corps très rapidement et Limma en avait justement besoin avant de se présenter devant ça maitresse. Son corps et tout particulièrement son dos et ses bras étaient couvert de brulure plus ou moins grave. Pour arriver à faire ses ailes, elle avait tenté des les fixer directement sur son corps pendant que le métal était encore chaud espérant les fixé sur ses os.

Une telle folie était dur a réalisé et peut-être même impossible à réaliser. Mais cela Limma ne le savait pas et avait donc tenté la chose. Le sang faisait petit à petit son effet et apaisais ses douleurs et régénéré sa peau. Limma avait déjà bu la moitié de sa bouteille. En temps normal, l'esclave démoniaque aurait plus pris son temps pour savouré le goût du sang, mais là elle voulait se dépêcher à rejoindre sa maitresse.

Alors qu'elle se régénérait lentement, Limma repéra qu'elle qu'un arriver en courant vers sa chambre. Elle avait déjà reconnue l'aura de Dina. Dina était une humaine aussi esclave de sa maitresse depuis peu. Elle n'était pas très expérimentée, mais avait une personnalité très sociable. Si Dina ne c'était pas encore faite à sa condition d'esclave, elle l'acceptait plutôt bien, sans ça elle serait mortes avec le reste de sa famille. Dina avait l'une des premières à s'approcher de Limma à son arrivée et finalement les deux filles étaient devenue amie.

Comme elle l'avait détecté, Dina ouvrit la porte de sa chambre et sauta sur son lit.

-Limma, tu es enfin rentré ! Tu connais la dernière ? Maitresse à trouver une nouvelle esclave dans son lit. Et devine quoi c'est une ange !

Sur le cou Limma n'y prêta pas plus attention que ça, jusqu'à qu'elle entende le mot « ange ». Une ange esclave ? C'était extrêmement rare. Elle se tourna brusquement vers Dina.

-Une ange tu es sûr ?

-Oui certaine je l'ai vu, elle est toute mignonne avec ses cheveux bleus.

Impossible, une ange, esclave et en plus avec des cheveux bleus. Autant de coïncidence était trop énorme. Limma leva la main pour demander à son amie de se taire et ferma les yeux. Limma se concentra et scanna tout le harem. Et finalement elle trouva enfin l'aura de l'ange. Il n'y avait plus de doute possible, c'était Sya. L'ange esclave et prêtresse de la luxure, son amie qui lui avait appris pas mal de choses et qui l'avait sauvé du dégout total du sexe.

-Faut que je voie, la maitresse.

Limma se leva brusquement de son lit et partie en courant pour rejoindre Mélinda. Dina la suivant sans comprendre ce qui se passait. Limma n'avait pas fini de soigné ainsi on pouvait voir encore des brûlures sur son bras et dans son dos. Heureusement aucune n'était dangereuse pour l'instant. Mélinda se trouvait pour l'instant dans la salle consacrer au massage, qui heureusement était vide de client et contenait pour l'instant que des femmes. Limma rentra calmement dans la pièce et approcha de sa maitresse. Contrairement au autre Limma avait gardé ses vêtements. Une mini jupe noire, ses longues bottes cachant ses chaînes, ses gants longs blanc couvrant aussi ses chaînes et pour le haut un simple bandage qui l'entourait et couvrais sa poitrine et caché en partie les brûlures de son dos. Mais ses dernières restaient visibles.

-Bonjours maitresse. Je m'excuse de rentrer juste, j'ai mis plus de temps que prévue.

L'esclave accompagna ses excuses d'une courbette. Dina rentra à son tour, mais resta timidement en retrait curieuse de savoir ce qui arrivait à Limma.

-Maitresse, j'ai crue comprendre que vous avez accueillie une nouvelle esclave. Il se trouve que c'est une amie à moi et j'aimerais pouvoir la voir.

Quelle joie! Sya venait de jouir sur sa maîtresse, un petit peu mais c'était suffisait pour être soulagée, de même que là n'était pas son but, tant que l'ange de la luxure prenait son pied avec sa maîtresse, jouir sur elle ou non n'était qu'un petit bonus. Se faire insulter par Carla, ça n'avait pas de prix, elle adorait ça. Traité de pute, c'est comme si on lui disait qu'elle était formidable. Bien sur, elle acceptait et adorait ce genre de petit nom que dans ce genre de moment sinon, une insulte reste une insulte. Une fois fini, elle retourna vers Mizuki pour s'occuper un peu d'elle, pauvre petite neko en effet. Une chance que Carla soit si douce avec ses choses. Sya n'avait pas la même définition que les autres du mot « doux » mais ça ne faisait rien, elle était heureuse ainsi. Sa joie se trouvait dans toutes les envies érotiques des femmes, à part le genre de relation avec un homme, l'ange de la luxure exauçait les souhaits les plus dingues aux plus classiques chez les femmes qui croisaient son chemin. S'occupant doucement de la petite chatte, Carla vint les détacher une fois qu'elle avait pris de nouveaux jouets. Des pinces sur sa poitrine furent installés, mais pour Mizuki aussi et elle grimaça sur le coup en ressentant sa poitrine se faire compresser, bien que ce soit surtout le petit bout.

Un nouveau collier en cuir lui fut installé derrière le gros en métal qu'elle gardait en toutes circonstance puis la chaîne fut elle aussi installé pour la relier à Mizuki. Chouette, elle allait devoir faire des folies à la neko sous les yeux de leur maîtresse? Non, pas vraiment. Carla leur ordonna de lui lécher ses bottes. Mouais, il y avait plus excitant. Sya préférait lécher la peau ou au moins l'endroit des zones intimes, fesses, vagin, seins. Enfin, les ordres restes absolus pour l'esclave. Suivant l'ordre à la lettre, Sya et Mizuki se rapprocha d'elle pour lécher ses bottes ou plutôt sa botte. Sya faisait exprès d'aller sur la même botte sur la neko pour lécher sa petite langue de temps en temps, la frôler parfois, l'air de rien. Ce petit jeu dura un petit moment avant que sous les mains de Carla qui caressait son fouet de plus en plus, elle ne change pour aller lécher son autre botte. Oui, elle voulait éviter le fouet, c'était déjà plus menaçant puis elle venait d'avoir sa petite dose de douleur, autant avoir un peu de douceur? Douceur n'était pas un mot vraiment employé par Carla mais ça pouvait toujours la rendre un poil plus doux? Son corps restait cependant collé à celui de la neko puisqu'elle n'avait pas le choix pour lécher les bottes de la jeune femme.

Quand leur maîtresse ordonna que ça suffisait en décroisant ses jambes, les écartant même. Sya s'attendait à un ordre superbe comme venir la lécher mais elle voyait le cuir remuer doucement entre ses jambes. Non? Une futa? Ce serait trop beau! C'était simplement un jouet qui était activé mais dans sa grande bonté, elle acceptait de laisser quelques minutes aux deux esclaves pour s'embrasser, se toucher et s'amuser. Sur leurs genoux, Sya et Mizuki se regardaient avant de rapidement se trouver pour s'embrasser, poitrine contre poitrine, leurs tétons avaient beau se pincer, elles se léchaient à grands coups de langue en gémissant. Poussant le vice un peu plus loin, Sya passait la main dans le dos de la jeune neko, caressant ses blessures pour mieux la faire gémir et le pire, c'est qu'elles adoraient ça! Même si Mizuki avait mis plus longtemps à passer sa main entre les jambes de Sya pour caresser ses rougeurs. Se relevant de sa place, elle poussa avec sa botte Sya puis Mizuki pour les mettre sur le sol, demandant calmement mais autoritaire de lui tendre leurs fesses vers elle. À coups de fouet? De pied? Autre? Surprise! Mais les deux esclaves obéissaient et l'ange en profitait pour continuer d'embrasser cette coquine de Mizuki. Qu'est-ce qui attendait Sya et Mizuki, c'était la surprise de la maîtresse!

MÉLINDA WARREN

« Oh, Lizzie, hum... Tu as des doigts de fée, ma chérie !
- Maî... Maîtresse me flatte... »

Mélinda soupirait de plaisir, heureuse et détendue. Elle avait beau être une vampire perverse qui faisait l’amour à un rythme assez incroyable, son dos était parfois tendu. Diriger un harem à Ashnard, ça avait parfois son lot de contrariétés, et, après ces dernières, un massage n’était jamais de trop. De plus, Mélinda devait remettre son corps de la rencontre avec Sya, et de la manière dont elle avait assez sauvagement baisé l’Ange, sans même être complètement réveillée. Dans cette salle assez chaude, où de la vapeur s’échappait du sol, les doigts de Lizzie étaient terrifiants d’efficacité, malmenant Mélinda, dans le sens où elle commençait à s’endormir. Elle comprenait mieux pourquoi les câlins endormaient fréquemment les nekos. Lizzie, debout sur ses pattes arrière, se félicitait de ça. Elle grattait, frottait, et caressait le beau dos de sa Maîtresse, pouvant même glisser ses doigts dans ses longs cheveux. Au harem, il était de notoriété publique que Mélinda appréciait bien plus que de raison sa longue chevelure. Lui couper les cheveux était un exercice assez difficile, car elle était plutôt exigeante. Lizzie la frottait plutôt bien, avec un doigté merveilleux. Elle était, au harem, avant d’être prostituée, serveuse, masseuse, et secrétaire. Lizzie, comme d’autres nekos du domaine Warren, avait été éduquée par d’anciens maîtres, avant d’être achetée par Mélinda, suite à la liquidation judiciaire de la société où elle était employée. On lui avait appris qu’il fallait se tenir de bout, afin de mieux servir, et, si ça avait été initialement douloureux pour sa colonne vertébrale, son corps s’était adapté. Lizzie, dans la salle, portait son uniforme scolaire. C’était curieux, car elle n’allait pas à l’école, mais, depuis qu’elle avait vu un uniforme scolaire, elle adorait les mettre. Les nekos avaient parfois de drôles de goûts.

La vampire fermait donc les yeux, lorsqu’elle sentit deux présences s’approcher, en reconnaissant rapidement une au goût de son sang particulier. Limma. L’esclave/démone. Celle qui avait donné des cheveux blancs à Mélinda quand elle avait rejoint le harem, et qui avait terrorisé Ligie, sa sirène. Limma Darts entra donc dans la salle de massage, et Mélinda se rappela alors qu’elle lui avait dit qu’elle passerait la nuit dans la ville, avant de revenir la voir le matin. Elle était en retard. Elle était accompagnée par une esclave assez timide, Dina. Mélinda l’impressionnait, et elle préférait rester avec les autres esclaves. Elle avait perdu toute sa famille suite à un raid, et avait eu la chance de se retrouver entre les griffes de Mélinda, et non dans les mines de fer, où les jeunes esclaves étaient employés pour se faufiler dans les conduits, grâce à leur petite taille.

Relevant la tête, menton posé sur ses bras croisés, la vampire fronça les sourcils en voyant des traces de brûlure sur le corps de Limma. Qu’avait-elle fait dans cette forge ? Elle la salua, présentant ses excuses pour son retard, et, quand le regard de Mélinda se porta sur Dina, cette dernière rougit en baissant un peu la tête. Limma lui parla alors de la dernière arrivée.

*Décidément, les rumeurs circulent vite.*

Elle ne pouvait parler que de Sya. Qui d’autre ? Une ange esclave perverse et nymphomane, ça n’arrivait pas tous les jours. Elle avait déjà du faire le tour du harem. Mélinda s’humecta la gorge, la raclant, afin de reprendre son souffle. Lizzie lui caressait les cotes, glissant près de ses fesses. Comme toujours, elle hésitait fortement à s’attaquer à cette partie. Dans le harem, il n’y avait pas de serviette pour recouvrir les parties intimes, et Lizzie savait que sa Maîtresse adorait qu’on s’attaque à ses fesses. Elle les observait toujours en rougissant. Ce beau cul aux lignes courbes était fascinant, tant il était beau.

« J’accepte tes excuses pour ton retard, Limma... Mais tu devrais faire un peu plus attention à ton corps. »

Cette fille était vraiment frustrante Elle ne supportait pas le masochisme, mais, d’un autre côté, elle revenait fréquemment avec un corps dans un état qui laissait croire qu’elle avait passé la nuit entre les mains d’un bourreau ashnardien.

« Quant à la nouvelle, elle s’appelle... Sya. Je suis curieuse de savoir que tu la connais... Et, si j’aimerais en savoir plus, je crois que ça attendra pour plus tard. »

Entre les mains de Lizzie, on avait du mal à se concentrer, et à penser à autre chose qu’à des caresses le long du corps.

« Sya est... Avec Carla. »

Limma connaissait normalement Carla, car cette dernière, ayant des attributs démoniaques, lui avait déjà parlé.

« Tu la trouveras dans sa chambre avec Mizuki. »

Il semblait inutile, pour Mélinda, de préciser ce qu’elles étaient en train de faire, connaissant Carla. Elle soupira, continuant à sentir les doigts de Lizzie sur son corps, la faisant frissonner. La queue de Lizzie remuait joyeusement de gauche à droite.

« Là, oui... Plus bas, hum... »

CARLA

Fouetter une Ange, ça n’avait vraiment pas de prix. Carla en aurait presque pleuré de joie. Elle savait toutefois qu’il ne fallait pas trop les faire souffrir, car, au bout d’un moment, le corps finissait par lâcher. En leur ordonnant de lui lécher ses bottes, elle accordait tout simplement une pause, et ne fit même quasiment pas attention à ces dernières, se contentant de fermer les yeux, tandis que les godes de sa culotte s’enfonçaient en elle, la faisant soupirer. Carla avait beaucoup de fantasmes, et elle adorait notamment jouir dans ses propres affaires, sans pouvoir se l’expliquer. Elle aimait bien la nudité, certes, mais elle trouvait aussi particulièrement jouissif de faire jouir quelqu’un qui était encore habillé, de salir ses vêtements, et de voir dessus ces petites tâches temporaires qui marquaient l’individu aussi efficacement que du fer rouge. Yeux clos, Carla remuait légèrement sur son fauteuil, en revoyant sa cravache s’abattre sur le corps de l’Ange. C’est ce qui, dans un soupir, lui provoqua un orgasme. Elle sentit son corps se contracter, et cracha sa mouille, salissant l’intérieur de son cuir.

Carla se redressa ensuite, écartant les deux jeunes femmes, et désactiva les godes. Elle les regarda s’embrasser et se caresser pendant quelques minutes, le temps pour elle de retourner dans le bain. Elle n’en avait pas encore fini avec ces deux femmes. Mais, après son orgasme, il fallait qu’elle revienne dans le bain. Sa vision glissa sur les fesses rebondies des deux femmes, et un sourire traversa ses lèvres. Voilà un bon endroit par où commencer. Elle leur fit signe de se mettre en position, de lui présenter leurs fesses, et elle gifla celle de Mizuki, qui poussa un petit cri, avant de gifler également celle de Sya.

« Vous êtes de belles traînées, toutes les deux... Vous le savez, ça, hum ?
- O-Oui, Maî...
- Tais-toi, chienne ! »

Carla ne lui avait pas donné l’autorisation de parler, et elle gifla à nouveau Mizuki, qui poussa un petit cri. Elle caressa ensuite le postérieur de Sya, et glissa l’un de ses doigts dans son fondement, le remuant. C’était le majeur. Elle secoua la tête, faisant remuer ses longs cheveux, et le retira assez rapidement.

« Un cul de salope... commenta-t-elle. Ce n’est guère étonnant, à vrai dire. »

Elle s’écarta des deux femmes.

« Allez vous mettre sur le lit, et faites l’amour. »

Pendant ce temps, elle les fouetterait, pour mieux les motiver.

Limma regarda sa maitresse étendue et détendu. Prise en pleine séance de massage Mélinda l'excusa pour son retard et lui demanda de faire plus attention à son corps. Limma remarqua alors qu'en partant à la hâte, elle n'avait pas fini de se régénéré. Heureusement, le plus gros et le plus dangereux était déjà guérie. Mélinda confirma une nouvelle fois que l'ange présente était bien son amie, Sya était donc bien là.

-Je veux bien tout vous raconter. Je vous avais déjà parlé d'elle.

Le massage de sa maitresse ne l'aidait pas à se concentrer et cette dernière préférait attendre pour l'écouté. Limma le comprenait bien et ce décida donc d'attendre. Mélinda lui appris que de toute façon Sya était occupé avec Carla. Limma l'avait déjà rencontré, mais ne c'était pas très bien entendu avec elle. Limma aimait autant la domination que la soumission, les deux femmes n'étaient pas vraiment en accord sur le sujet. Limma préférait donc éviter d'aller la voir pour retrouver Sya, elle risquerait de gâché le plaisir de son amie. Sya avait tenté de l'initier à ce type de plaisir, mais Limma avait refusé. Les souvenirs de son ancienne vie étaient trop récents. Pour autant, elle n'avait pas refusé de tester plus tard, quand son passé la hanterait moins.

-J'attendrais qu'elle est fini et je reste à votre disposition maitresse.

Dina s'approcha alors timidement de Limma. Prévoyante, elle avait emporté la bouteille de sang de Limma et lui tendit. Limma la prit soulager de pouvoir finir de se soigner et offrir à sa maitresse un corps en meilleur état.

-Oh merci Dina d'avoir pensé à la prendre.

Elle but alors avec plaisir le sang de la bouteille. Elle prit plus son temps pour la boire. Après tout sa maitresse était encore occupée. Le sang commença à faire son effet effaçant petit à petit les brûlures de corps et effaçant sa faim par la même occasion. Ces bouteilles étaient vraiment pratiques, quand elle ne pouvait pas chasser et que manger normalement ne lui suffisait pas, une simple bouteille la remettait d'aplomb. La chasse était plus un plaisir qu'une nécessité avec elle. Alors que sa dernière brulure s'effaça, Limma réalisa quelque chose. Sa maitresse vampire avait du ressentir l'odeur du sang, en buvant devant elle se liquide si précieux, elle avait peut-être éveillé sa faim ou son excitation. Si c'était le cas, Limma était prête à la soulager, que soit l'un ou l'autre des cas.

C'était si bon, soumise aux bons soins d'une professionnelle, Sya était aux anges! Elle avait déjà eu affaire avec des soi-disante dominantes mais à part une ou deux fessées, un ou deux coups de cravache, elles s'arrêtaient là, des petites en manque ou plutôt des amatrices. Tandis que Carla connaissait très bien son travail. Elle savait quand frapper et où frapper aussi. L'ange et la neko lui étaient soumises, obéissantes au doigt et à l'œil. Elles se tenaient l'une à coté de l'autre en se frottant comme des petites chattes, s'embrassant de temps à autre alors que leur maîtresse s'amusait à faire claquer sa main sur leur fesse et l'ange avait même eu le droit à un doigt en elle, passant par son colon pour remuer un peu, lui donnant un peu de plaisir avec un simple doigt. Leur cul de salope, Carla aimait ça chez ses deux petites esclaves mais elle demanda plutôt à les voir se faire l'amour. Les voir seulement? C'était rare mais ça voulait dire que l'ange et la neko peuvent jouer comme elles l'entendent? C'était bien ça, Sya allait pouvoir profiter un peu plus du corps de cette adorable petite chatte. Se relevant, Sya prit la main de Mizuki alors qu'elle entendait le fouet claquer derrière elle. Libre, pas tout à fait alors. En la voyant, il était aisé de savoir que Mizuki n'avait absolument aucune expérience en tant que dominante, la parfaite petite soumise en somme. Sya allait devoir faire preuve d'un minimum d'autorité avec elle. Parfait! Un poil, mais sans plus.

Allongée sur le dos, Sya se plaçait au-dessus d'elle en lui caressant la joue, ses longs cheveux bleus retombaient sur le lit, partiellement sur ses tempes pour la chatouiller un peu. Elle était belle la petite Mizuki et son coter soumise la rendant encore plus adorable.

« La Maîtresse veut que ses petites salopes s'amusent pour la rendre heureuse, alors soyons deux parfaites petites salope comme elle aime, hum? »

Sya déposait un doux petit baiser sur les lèvres de la neko et quand elle recula doucement sa tête, cette dernière acquiesça dans un faible miaulement qui fit glousser sa partenaire. Le tout maintenant était de faire plaisir à Carla. Cette dernière voulait les corriger en même temps. Pour faire plaisir à une dominante, il peut y avoir plusieurs méthodes mais en général, voire deux esclaves se livrer à un début de rapport SM étaient appréciés, il suffisait ensuite de lui laisser deux cibles de choix pour qu'elle puisse laisser son fouet s'exprimer comme elle le souhaite et après, tout dépend de la maîtresse. Libre à elle de lâcher son fouet et venir jouer avec elle, de vouloir les corriger à ses pieds, de les laisser simplement jouir entre elles dans un petit moment de bonheur sans la moindre douleur. Non, ça ne plairait à aucune des trois! Sya embrassait Mizuki doucement, profitant de son corps à sa guise, remontant ses mains le long de son corps, collant son antre humide contre celui de la chatte. Le tout se frottait pour laisser un petit filet de cyrpine les relier et se détruire rapidement. Mizuki laissait l'occasion de caresser la petite vedette du harem, laissant surtout ses mains dans son dos et sur ses hanches.

Phase un, point cinq, la douceur laisse place à un soupçon de douleur. Sya commence en pinçant un peu plus les seins de la belle neko même si les pinces s'en occupaient déjà et Mizuki usait de ses pattes pour griffer doucement les fesses de l'ange. Un peu plus vif, elle retira la pince pour mordiller son petit bout de sein, allant un peu plus fort que la normale puisque la douleur était ce qui faisait jouir la neko mais le premier coup de fouet tomba dans le bas du dos de l'ange. Impatiente? Peut-être? Sya reprit son travail en tombant sur le côté, obligeant la neko à se mettre sur le côté pour continuer le jeu et présenter à leur maîtresse deux fesses qui ne demandaient qu'à être punis. Sauf que Carla pouvait apprécier le geste mais c'était elle qui menait quand même la danse et appela à son tour la « salope d'ange » pour qu'elle puisse se mettre sur Mizuki et offrir ses fesses à Carla avant que la « petite chienne de mizuki » ne prenne le relais pour recevoir ses coups de fouet pour la faire miauler de plaisir et de douleur. Ce petit jeu dura quelques minutes, l'ange couinait de plaisir dans la chambre de Carla, Mizuki laissait entendre sa petite voix adorable pour sa copine et sa maîtresse et pour le final, Sya mit sa main entre les jambes de Mizuki pour lui pincer le clitoris et le tordre dans tous les sens. Mizuki miaulait de plaisir et de douleur mais Sya la poussait à en faire de même. Bien placée sur la neko, leur chatte se touchait mais l'ange avait réussi à faire comprendre à Mizuki d'en faire autant, se torturant ensemble leur bouton d'amour, frottant leurs lèvres inférieures jusqu'au grand final! Elles jouissaient ensemble, s'éclaboussant les mains et les cuisses, sans compter le lit. Elles n'avaient pas joui à cause du fouet mais bien dans la douleur.

Sachant qu'il était bientôt l'heure de reprendre le travail pour Carla, Mizuki et Sya allaient devoir bientôt quitter sa chambre pour une autre destination mais laquelle? La soumise Mizuki allait-elle emmener sa copine angélique quelque part ou bien devait-elle aussi travailler elle aussi, laissant l'ange se balader librement dans le harem et découvrir des tas de choses? Faut éviter, tomber sur des clients risqueraient de causer quelques problèmes à Mélinda. En revanche, si ce sont des clientes... non, Sya était son esclave et donc elle devait faire cracher de l'argent aux clientes même si rien ne l'empêchait de donner un petit bonus plus tard à ses clientes.

MÉLINDA WARREN

Allongée sur la table, Mélinda subissait les assauts fougueux et terribles des mains de Lizzie. La neko était terriblement douce, et, pendant ce temps, Limma l’écoutait. En apprenant que Sya était avec Carla, elle choisit d’attendre qu’elles aient fini, ce qui fit légèrement sourire Mélinda, qui restait les bras croisés sous sa tête. La perspective de croiser Carla inquiétait un peu Limma. Que certaines filles soient en froid énervait toujours Mélinda, et ce même si c’était inévitable.

« Comme tu veux, ma chérie. »

Elle vit alors Limma boire du sang devant ses yeux, ce qui eut pour effet de lui donner légèrement soif. La vampire se mit à déglutir, remuant sur place, les caresses de Lizzie ne l’aidant vraiment pas à rester calme et sereine. Elle remuait un peu sur place. Dina s’était prudemment remise en arrière, évitant toujours, par timidité, de regarder sa Maîtresse. Mélinda regarda donc Limma, tandis que les mains de Lizzie descendait sur ses fesses, les massant tendrement, avec un talent indéniable. Elle était douée, cette petite, et elle fit soupirer Mélinda.

« Ton amie angélique est une sacrée gourmande, en tout cas... »

Soupirant, Mélinda secoua la tête, et se redressa un peu, à la surprise de Lizzie, qui retira ses mains des fesses de la vampire. Elle s’assit ainsi sur le rebord de la table, toute nue, et sentit le rythme sanguin de Dina s’affoler. Un sourire éclaircit alors le visage de Mélinda. Elle se rappelait en effet qu’elle n’avait pas goûté beaucoup de fois au sang de Dina. Prendre le sien serait sans doute préférable, d’un point de vue thérapeutique, à Limma, vu qu’elle venait d’en boire pour cicatriser. De plus, elle sentait clairement le pouls de Dina, fort et puissant, qui l’attirait à elle.

« Ma petite Dina, viens donc par là... Ton sang m’attire. »

Dina sursauta, troublée, et s’avança vers Mélinda, rabattant une mèche de cheveux derrière ses oreilles, tout en relevant parfois la tête, louchant sur les seins de la vampire. Elle arriva devant elle, et Mélinda lui caressa les hanches, puis les joues, avant de glisser sur sa nuque et ses épaules, frottant sa peau avec ses doigts griffus. Dina rougissait, gênée, et Mélinda sourit, lui caressant ensuite, avec le doigt, la bouche.

« Petite jeune femme... Ta timidité m’attire encore plus... Viens, Limma, et fais-lui l’amour, pendant que je me délecterais d’une part de son sang... »

Voilà un programme assez réjouissant, et qui attirait beaucoup la vampire.

MIZUKI

La douleur était vraiment quelque chose qui excitait Mizuki, et pas uniquement pour des raisons perverses. C’était ausis plus intime. Mizuki avait grandi dans des laboratoires tekhans, dans des cages en verre, comme une bête de somme, avant d’être rachetée par Mélinda. Dans un environnement aseptisé où elle avait eu l’impression de n’être qu’un objet, les claques et la douleur lui permettaient de voir qu’elle existait, qu’elle avait bien une enveloppe charnelle. En conséquence, se faire battre par Carla était délicieux, dans la mesure où elle était toujours excitée, et ressortait toujours de sa chambre en étant vivante et pleine d’énergie. Et puis, Carla adorait la battre, de toute manière. Pour quelle raison se serait-elle privée de tant de délices ? Le must, la cerise sur le gâteau, avait clairement été de faire l’amour avec une Ange, de la sentir pincer encore plus ses tétons endoloris, une sorte de magnifique valeur ajoutée aux coups de fouet. Mizuki avait joui avec force, et, en sortant de la chambre, elle était épanouie.

A quatre pattes, sa queue violette remuait de droite à gauche, alors qu’elle avait mal aux fesses. Elles étaient rougies et endolories, et elle adorait les remuer, elle adorait les sentir comme ça, chaudes et vives, légèrement piquantes.

« Mets-toi à quatre pattes, Sya... Maîtresse aime bien que ses esclaves soient à quatre pattes... »

Elle se frottait contre elle, résistant à l’envie de lui faire encore l’amour, au nom de ses obligations. Dans une demi-heure, elle devait faire l’amour à un chevalier ashnardien, et il fallait qu’elle retrouve sa forme, après ce qu’elle avait vécu dans la chambre de Carla. Maîtresse ne supportait pas que les clients ressortent insatisfaits.

« Tu devrais retourner voir Maîtresse, ma belle... Elle te dira ce qu’il convient de faire. »

Mizuki lui lécha ensuite la joue, avant de filer rapidement, se déplaçant plus vite que Sya.

La journée commençait bien !

Comme elle l'avait pressenti, le sang qu'elle venait de boire n'avait pas laissé indifférente sa maitresse. Limma s'amusa à la voir se remuer sur sa table de massage, elle était mignonne comme ça. Limma fini sa bouteille quand Mélinda se redressa et demanda à Dina de s'approcher. C'était donc elle qui allait donner son sang, Limma aurait pu être jalouse, mais se ne fut pas le cas. La maitresse lui ordonna de faire l'amour à Dina pendant que cette dernière allait la nourrir. Souriante Limma poussa délicatement son amie dans le dos pour la guider vers leur Maitresse. Elle sentait la timidité chez son amie. Quand Dina se retrouva face a Mélinda et entre ses douces mains, Limma se plaça dans son dos. Elle fit alors descendre doucement la culotte de son amie avec un sourire qui en disait long sur sa propre excitation. Elle passa délicatement sa main sur ses fesses, avant de poser un bisou dessus.

-Détend toi Dina et profite bien.

Limma lui écarta doucement les jambes et se glissa entre pour s'accroupir entre Mélinda et elle. Il n'y avait pas beaucoup de place mais c'était suffisant. L'esclave démoniaque approcha alors la bouche de l'intimité de son amie et commença à la léché en tenant en main ses fesses qu'elle malaxait délicatement. Limma et Dina n'avait pas encore ut de rapport entre elle, c'était donc une première. Leur amitié c'était plus noué par la discussion. Mais bon dans un lieu comme celui-ci, il était évident que cela allait finir par arriver. Et aujourd'hui c'était le cas pour le plaisir de leur Maitresse. Limma apercevait Mélinda penché au-dessus d'elle buvant le sang de son amie. Elle aimerait tant pouvoir faire comme elle, pouvoir prendre du sang être obligé de blessée et souvent mortellement la personne.

Se servant de ses capacités maintenant connue de sa maitresse, mais pas de son amie, elle agrandit sa langue pour la plonger en elle. Le plaisir qu'elle donnait à Dina, devait toucher la saveur de son sang et surement plaire à Mélinda. Tout ça commençait à bien excité Limma, qui sentait une forte envie de lâcher l'une des fesses pour glisser sa main dans sa culotte. Sans vraiment sans rendre compte, sa queue c'était enroulé au tour de la jambe de sa Maitresse. Toujours a joué avec sa langue, elle sentait que Dina n'allait pas tenir longtemps.

Finalement, Sya était bonne pour repartir voir Mélinda! Dommage, une fois dans le couloir et à quatre pattes, elle aurait bien grimpé sur le dos de Mizuki pour jouer avec elle voir même devenir futa le temps d'un instant pour mieux jouer avec elle. Mais elle ne voulait pas qu'elle ait un blâme par sa faute et même maintenant, Sya avait pour mission de retrouver sa Maîtresse, quelque part dans le harem. Il serait très simple pour elle de découvrir sa localisation facilement en un claquement de doigt mais rien ne l'empêchait de visiter un petit peu ce lieu si adorable. Mizuki n'était plus là, Sya était seule, toute seule dans un grand harem! C'était Noël avant l'heure! L'ange de la luxure suivait le chemin de Mélinda, observant bien ce qui se trouvait autour d'elle sur le chemin, les couloirs, les délicieuses odeurs de sexe qui s'en dégageaient, les délicieux bruits d'orgasmes, elle se sentait si bien ici! Sur la route tapissée, elle ne pouvait s'empêcher de faire plaisir à une esclave ou deux, venant les lécher, les embrasser, jouer un peu avec leur poitrine alors qu'elles étaient prisonnières du mur, se faisant prendre par des jouets à longueur de temps, rien ne valait un peu de chaleur dans ce genre de moment. N'était-elle pas une Ange? Voulant le bien d'autrui? Pour son cas, le bien des femmes et elle le ressentait, ses femmes avaient besoin de contact et de chaleur humaine, elle leur en offrit donc un peu, à deux chanceuses car elle ne pouvait pas faire tout le chemin comme ça, Mélinda l'attendait, ainsi qu'une surprise.

Arrivant près de l'odeur de Mélinda et d'un tas d'odeur de femmes, elle trouva ce qu'elle cherchait sa maîtresse! En passant devant les autres esclaves, elle entendait les murmures, les petits appels ou autres mais Mizuki lui avait demandé de retrouver sa maîtresse donc, mission accomplie! Si elle devait jouer avec les autres filles, ça ne sera qu'avec son autorisation. La belle vampire buvait le sang d'une adorable demoiselle, chanceuse! Elle avait même une délicate petite demoiselle entre ses jambes! En gros, il ne lui restait que le haut de libre? Pas grave, autant combler autant que possible cette femme. Sucer du sang, lécher sa fente, il lui restait sa petite poitrine mignonne ou sa petite bouche? Allez, va pour la bouche! Sya se rapprocha en déposant ses mains sur les hanches de la jeune femme et approcha ses lèvres des siennes pour un délicat petit baiser. Rien de sauvages ou autres, elle savait, elle ressentait que cette fille avait besoin de douceur alors elle lui offrait la douceur. Le métal froid de ses maillons se frottait à sa peau si chaude pendant qu'elle faisait tourner sa langue dans la bouche de la petite femme. Sya avait les fesses rouges, quelque peu marquée mais rien de grave. Ses couettes n'étaient même pas encore faite, ses cheveux étaient détachés et se baladaient librement, ont pouvait même y trouver une ou deux tâches de sperme de Mélinda dessus. Parlant de la maîtresse des esclaves, elle venait de finir de boire sa deuxième petite goutte de sang de la matinée et semblait toujours plus belle que jamais.

Retirant ses lèvres de celle de la jeune femme, elle lui sourit tendrement en passant une main sur sa joue avant de s'écarter d'elle, laissant aussi la demoiselle sous ses jambes quittées sa place.

« Sya a fini Maîtresse! Carla s'est bien occupée d'elle et de Mizuki! Est-ce qu'elle doit faire voir quelqu'un d'autres maintenant? Ou bien elle va devoir aller jouer avec l'une d'elles? »

Sya se tourna vers les autres femmes qui pour la plupart l'observait, la convoitait mais sans ordre de Mélinda, elle n'irait pas les voir même si l'envie était forte. Tant de demandes, elle aurait bien aimé joué avec toutes les femmes de ce harem, au moins une fois avant de partir dans trente jours. Certes, il manquait la culotte double gode de Sya mais elle l'avait oublié dans la chambre de Carla, comme elle devait se préparer avant de travailler, elle était sortie rapidement avec la neko, oubliant sa culotte noire. Mais c'est mieux ainsi! Elle pourra jouir vraiment avec les autres. Voyant enfin qui se cachait sous la petite humaine, Sya eut un large sourire bien grand, presque enfantin! Si elle aurait une queue d'animal, elle aurait remué comme une folle! Elle voulait tant revoir Limma, lui demander de ses nouvelles, ce qu'elle avait appris, tout ce que sa disciple avait pu faire depuis leur séparation mais sans Mélinda, pas possible d'agir! Sya était l'esclave parfait, malgré l'envie, elle restait là à regarder Limma, le sourire plus grand que jamais! Elle allait presque se dandiner sur place tient!

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